Israël - Journalistes calomniateurs : fin de l'ère d'impunité
Et il n'ya pas qu'en Israël, ou il faut faire un sacré ménage !!!!
Les cas deviennent de plus en plus nombreux où des journalistes de gauche se voient sommés de présenter des excuses pour avoir calomnié des Juifs de Judée-Samarie. C’est maintenant le cas de la célèbre – et virulente – journaliste de « Maariv », Yaël Paz-Melamed, qui a du mal à écrire un article dans lequel elle n’attaque pas de manière violente tout ce qui est à droite, mais surtout les pionniers de Yesha. Mais à force de le faire, on risque fort de se faire épingler pour diffamation.
La semaine dernière, dans l’un de ses articles, elle avait parlé « de la localité illégale de Itzhar en Samarie ». Mal lui en a pris. Suite à ces propos mensongers, le conseiller juridique du Yishouv Itzhar lui a envoyé une lettre – ainsi qu’au rédacteur en chef de « Maariv », menaçant Paz-Melamed de plainte pour diffamation si elle ne revenait pas sur ses paroles. La journaliste, sachant qu’elle était dans son tort, s’est résolue à publier mardi des excuses dans le quotidien : « J’ai commis une erreur lorsque j’ai qualifié Itzhar de localité illégale, alors qu’elle est parfaitement légale ».
Il y a une année, le journaliste-radio de « Galé Tsahal », Razi Barkaï, qui ne fait pas secret de ses opinions, avait dû en faire de même par rapport au village de Kfar Tapouah’. Idem pour Akiva Eldar, du « Haaretz » concernant le quartier « Elmatan » de Maale Shomron.
Yossi Dagan, du Comité des Habitants de Samarie explique cette nouvelle politique adoptée : « En Judée-Samarie vivent plus de 300.000 citoyens israéliens, de droit et non en vertu d’une quelconque faveur. Ils y ont été envoyés par mission sioniste par l’Etat, à diverses époques, et nul n’a le droit de les salir ou d’inciter à la haine contre eux, fusse-t-il journaliste. Il est grand temps que les médias intègrent le fait que l’époque du ‘colon-pigeon’ est révolue. Nous ne permettrons pas de stigmatiser ainsi cette partie si valeureuse de la population israélienne, qui donne tant à cet Etat. Dorénavant, toute calomnie entraînera une réaction ferme ».
De son côté, Avraham Binyamin, porte-parole du Yishouv Itzhar, rappelle « que ce village a été créé en toute légalité par un gouvernement israélien », et « que jusqu’à nouvel ordre, les termes de ‘sionisme’ et ‘implantation’ ne sont pas devenus des gros mots dans la population du pays qui conserve encore un tant soit peu son équilibre mental, contrairement aux journalistes de gauche, confortablement assis dans les cafés de Sheikh Munis (aujourd’hui ‘Katamon’) et qui dénoncent jour après jour à ‘l’occupation qui corrompt’ ».