L’Islam, une menace pour les valeurs de l’Europe
L’Europe est depuis plusieurs décennies un phare pour les valeurs universelles, les droits de l’homme et la démocratie. Cependant, en son sein se trouve une petite communauté ayant de plus en plus de difficulté, depuis quelques années, à y vivre dignement et en toute sécurité dans plusieurs pays de l’UE.
Ainsi à Malmö, troisième ville de Suède, on constate depuis un certain temps un exil progressif de la communauté juive qui fuit un antisémitisme en pente ascendante. Les plaintes pour propos et actes antisémites ne cessent de croître, alors qu’en parallèle il est demandé aux Juifs, entre autres, de ne plus s’afficher comme tels dans certains établissements scolaires (où l’étude de laShoa est bannie car vu par certains élèves comme une provocation), et de ne pas s’attarder près de leurs synagogues car pouvant devenir une cible d’attentats.
Un exil provoqué par l’hostilité récurrente de la communauté musulmane de la ville car s’affichant pro-palestinienne et identifiant les Juifs locaux come des soutiens inconditionnels de l’état d’Israël. Etat vu par celle-ci comme ‘’raciste’’, ‘’nazi’’ et autres qualités du même genre. Une position que ne peut ignorer le maire de la ville, Ilmar Reepalu, qui affirme, sans honte mais avec un calcul électoral en tête, que Malmö « refuse l’antisémitisme tout comme elle refuse le Sionisme ». Une communauté représentant 40% de la population locale cela se soigne !
Ainsi sont vendus dans cette ville, pour un poste municipal, les valeurs universelles, les droits de l’homme et la sécurité de quelques centaines de juifs au nom d’un pro-palestinisme nauséabond qui n’est rien d’autre que de l’antisionisme.
Autre pays, autre ville mais même cas. Vaulx-en-Velin en France. Dans les années 80 on comptait exactement 178 familles juives au sein de cette ville. De nos jours il n’en reste que 17 selon la LICRA qui veut saisir la Halde afin qu’elle enquête sur les discriminations auxquelles doit faire face la communauté juive vaudoise. Situation que connaissent bon nombres de communautés juives dans les banlieues françaises si l’on en croit Patrick Kahn, chargé de mission au sein de la LICRA Rhône-Alpes. Situation résultant, là encore, du pro-palestinisme flagrant des autorités locales. Choix politique suscité évidemment par le poids électoral que représente la communauté musulmane de la ville et par son antisionisme primaire.
Au Pays-Bas un homme politique essaie de prévenir l’antisémitisme en appelant les Juifshollandais à s’expatrier en Israël ou aux Etats Unis. Frits Bolkestein a avivé la polémique en incitant les juifs reconnaissables à quitter le pays car ils risquent d’être victimes d’un antisémitisme en expansion parmi les jeunes d’origine marocaine. Il se dit pessimiste et convaincu que la persistance du conflit israélo-palestinien va continuer d’alimenter l’antisémitisme. Il n’y a plus, selon lui, d’avenir pour les Juifs dans le pays. Constat dû, là encore, à l’antisionisme forcené de la communauté musulmane et que dévoile cet ancien dirigeant du parti libéral actuellement au pouvoir.
Ainsi est démontré, par ces trois exemples, que l’antisionisme est le paravent politiquement correct de l’antisémitisme, que la communauté musulmane européenne impose, par son nombre, sa lecture du conflit et ressuscite une haine que l’on croyait bannie de cette région. Mais pas seulement ! L’Islam impose de surcroît lentement mais surement, aidé en cela par des ’’collaborateurs‘’, ses traditions, ses mœurs et ses lois. Une religion d’un autre âge importée en Europe et source de problèmes présents et à venir pour la communauté européenne dans son ensemble.
Victor PEREZ ©