Nous avons eu droit ces dernières semaines à un florilège de déclarations concernant ces jeunes adolescents qui ont tagué une étoile de David sur la mosquée d’un village arabe et ont crevé quelques pneus. Nos « intellectuels », nos « élites » et nos médias se sont précipité avec moult photos sur ces méfaits
L’électeur juif, à supposer que sa judéïté compte pour lui, a trois bonnes raisons de douter de l’Europe. Les intentions de l’Union Européenne concernant le statut de sa propre religion viennent en premier : elles démontrent un mépris fondamental à son égard.
Ce n’est pas Venise qui a créé le premier ghetto juif comme le veut l’historiographie classique, mais Genève, près d’un siècle avant la Sérénissime. Ce n’est pas pour se vanter…
Nathan Weinstock est un avocat, criminologue et historien belge né à Anvers en 1939. Après une scolarité d’inspiration juive orthodoxe il se tourne vers le trotskysme, devient en 1967 antisioniste et pro-palestinien, et se répand en harangues féroces devant des auditoires nourris aux émissions de Radio-Le Caire, « savourant avec délices l’annonce que les vaillantes armées arabes sont sur le point de jeter les juifs à la mer ».
Une proposition de loi bipartite initiée par la députée Likoud Miri Regev et le député travailliste Hilik Bar a récemment été soumise à la Knesset dans le but de permettre aux Juifs de prier sur le Mont du Temple, y compris avec les objets rituels tels qu’un talith (châle de prière) et des tefilin (phylactères).
Il est donc temps que le monde libre se réveille de sa torpeur et suive l’exemple d’Israël. Le pape et l’Eglise devraient agir en urgence pour sauver les derniers survivants chrétiens du Moyen-Orient.
Je vous propose un test : lors d’un journal télévisé, le présentateur annonce « troubles dans les territoires occupés », sans préciser davantage, comme c’est d’ailleurs le cas. Je suis certain que chacun d’entre vous pensera immédiatement au même point presque invisible sur la carte appelé « Cisjordanie » ou « Judée-Samarie ». Etrange n’est-ce pas ?