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3 juillet 2011 7 03 /07 /juillet /2011 19:57

 

 

 

 

RETOURNE EN PALESTINE !

Par Samuel NILI

 

pour © 2011 www.aschkel.info

 

 

 

s.nili.png

 

Dans toutes les librairies européennes, et francophones en Israël
Ce livre fait l'objet d'une deuxième édition, la première ayant été épuisée en 5 mois.
Je vous recommande la lecture de cet ouvrage et je remercie Samuel Nili,  pour ces vérités si élémentaires, ses arguments parfois étonnants mais tellement lucides
Aschkel

S'il vous sied de croire que, déjà au Moyen-âge, mus par une pulsion dévastatrice, les Juifs empoisonnaient les puits, propageaient la peste et immolaient des enfants chrétiens par pure perversité ; si vous êtes certains que ce peuple de poètes, d’écrivains, de scientifiques et de philosophes n’a pour vocation que d’accomplir les hallucinants Protocoles des sages de Sion – inutile de lire ce livre, vous croirez encore à de la propagande sioniste.

Si en revanche, vous êtes curieux de connaître le revers de la médaille, les dessous ( « dessous » parce qu’ensevelis sous des monceaux de mensonges ) des grandes et petites controverses qui alimentent le conflit israélo-palestinien depuis près d’un siècle, plongez dans cet ouvrage écrit avec un souci d’exactitude et non dénué d’une certaine effronterie – celle qui caresse l’évidence bien pensante à rebrousse-poil, et qui, à contre-courant des poncifs et des paresses de l’esprit, ne renonce pas.
 


Samuel Nili





Un éditeur Bleu-Blanc David Reinharc

editionsdavidreinharc
 

 

Des Outils pour défendre Israël

Une nouvelle maison d’édition juive et résolument sioniste est apparue récemment sur la scène éditoriale, portant le nom de son créateur: David Reinharc. Parmi les premiers titres, parus fin 2010, figurent deux livres fiables, concrets, précis et complets : Retourne en Palestine ! (l) de Samuel Nili et L’Etat de trop (2) de Fabien Ghez.
Ils ont 1a même finalité : fournir aux défenseurs de la cause d’Israël des données et des vérités pour réduire a néant les mensonges et les falsifications historiques clé la propagande des ennemis de l’Etat juif.


L’exode et les massacres imaginaires

Les données historiques et politiques mises à notre disposition par Samuel Nili, un Israélien né à Paris et vivant à Jérusalem, proviennent de toutes les époques de l'existence plusieurs fois millénaire du peuple Juif, et de toutes les phases du conflit israélo-arabe.

Nili démontre l’injustice, la gratuité de la diabolisation d’Israël. Tandis que les véritables occupations et massacres au Soudan, au Tibet, au Yémen, en Tchétchénie etc.., sont pratiquement passés sous silence par les hommes politiques et les médias, la fable de l’expulsion des Arabes de Palestine en 1948, a fini par être acceptée pour une évidence. 
La vérité est inversée : Israël a tenté d’empêcher l’exode volontaire de ces Arabes. De très nombreuses déclaration arabes contemporaines de cet exode, et concordantes, reconnaissent que « la Ligue arabe exhortant la population à rechercher un refus provisoire dans les pays voisins, lui promettait qu'elle retournerait dans ses foyers sur les traces des armées arabes victorieuses, et qu'elle obtiendrait sa part du butin sur les biens juifs abandonnés ». Ces armées arabes croyaient pouvoir anéantir Israël à sa naissance même.
« Sabra et Chatila » est devenu synonyme de la fureur homicide des Juifs. La vérité est que les Phalangistes chrétiens et les terroristes palestiniens se sont affrontés sauvagement et entre-massacrés dans tout le Liban et que les Chrétiens se sont vengés à Sabra et Chatila des atrocités commises par les Palestiniens.
Les publications et sites islamistes colportent de soi-disant textes juifs, mais inventés de toute pièce par, exemple, ces adages talmudiques : « si un Juif tue un goy ce n’est pas un péché ». « Les Juifs peuvent mentir et se parjurer si c’est pour tromper ou faire condamner un non-Juif »… Or, ces « perles noires» de la littérature morale Juive sont tout simplement « extraites d’un faux rédigé par un religieux catholique lituanien profondément antisémite, Justin Bonaventure Pronaitis et publié en 1892 en latin ».


La nature des ennemis d’Israël

Un autre faux, de célébrité mondiale, Los Protocoles des Sages de Sion et le Mein Kampf, la bible des hitlériens, ont retrouvé une nouvelle jeunesse dans le monde arabe. Ce sont des best-sellers à Gaza comme a Ramallah.

Les ennemis d’Israël et la communauté internationale condamnent d’une même voix la clôture de sécurité, ce « mur de l’apartheid » ou « de la honte » que les Juifs ont osé ériger
pour rendre plus difficile la pénétration en Israël des assassins palestiniens venant pour massacrer des femmes et des enfants. C’est dans ce même esprit qu’à l’époque des pogromes
dans la Russie tsariste, la police restait l’arme au pied quand on tuait des Juifs et n'intervenait - contre les Juifs- que lorsque ceux-ci se défendaient. 
A Gaza et à Ramallah, mais hélas aussi à Amman et au Caire, et comme dans les enceintes sophistiquées de la vie internationale, on pratique la règle qu'avait énoncée Châteaubriand, et Josef Goebbels à sa suite: " Un mensonge répété souvent devient vérité ". 
La nature des ennemis d'Israël, aujourd’hui l’objet de toutes les sollicitudes, est occulté. Rappeler « la distribution de bonbons aux enfants et les manifestations de joie indécentes, filmées à Gaza à l’occasion du bombardement d'un camp de jeunes appelés " Israéliens " est taxé " d’arabophobie " ou de " raciste ". Tout comme l’évocation des " scènes de liesse dans les territoires palestiniens à la suite de l’attaque des tours du World Trade Center le 11 septembre 2001, tout comme lors de la guerre du Golfe, lorsque Israël était bombardé par les scuds irakiens ".


Une autre solution finale

Le titre du livre de Fabien Ghez L’Etat de trop, résume le tableau pessimiste mais combien Justifié que présente la situation d'Israël dans le monde. On pourrait la résumer par le constat humoristique et baroque, mais combien vrai d’Abba Eban, une " colombe " ministre travailliste des Affaires étrangères de 1966 à 1974: " Si l’Algérie présentait à l’ONU une résolution déclarant que la terre est plate et que c’est Israël qui l’a aplatie, elle serait approuvée par 164 voix pour, 13 contre et 26 abstentions. " On a vu l’équivalant et pire dans la réalité: quand un tsunami ravagea le Sud-est asiatique il y a quelques années, les ennemis d’Israël l'accusèrent de l'avoir provoqué par des tirs nucléaires sub-aquatiques.
L'auteur explore l'histoire d’Israël depuis sa création et passe en revue les principales affabulations diffusées à partir du monde arabe, jusqu'aux épisodes récents du conflit Israélo-arabe, notamment les soi-disant " massacres " lors de la guerre de Gaza de 2009. Fabien Ghez parvient à cette conclusion tragique : " il ne peut y avoir de solution au conflit israélo-arabe. Les nations la refusent comme elles ont refusé pendant des siècles l’émancipation de leurs Juifs. Les thèmes n’ont pas changé. Malgré la Shoah, malgré l’analyse approfondie du passé, malgré le rappel critique de l’Histoire, malgré l’enseignement de la tolérance et de la justice, malgré les combats menés contre le racisme, malgré toute la repentance exprimée, la sempiternelle haine des Juifs n’a pas cessé, pire, elle s’est étendue à l’Etat juif. Dans la nouvelle et absurde logique, le Palestinien a remplacé le Juif et l’Israélien à lui tout seul a remplacé les racistes, les ségrégationnistes, les nazis, les inquisiteurs, les pogromistes ".
Israël, dans ces conditions, L’Etat de trop comme l’étaient hier les Juifs, est-il condamné à disparaître, à la faveur d’une autre solution finale dont l’Iran forge aujourd’hui l’outil ? Et dans le même but : rendre le monde « Judenrein », purifié par la destruction des Juifs. Ahmadinedjad lui aussi rêve d’un monde sans sionistes, où tout serait à nouveau propre et beau.
L’auteur répond non, si le peuple juif, " renonçant à ses discordes, ses divisions, ses rivalités, fini(t) de douter de lui et cesser d’accorder le moindre crédit à ce que les antisémites ont toujours voulu faire croire de lui : qu’il est responsable de tous les malheurs de la terre, de ceux des Palestiniens, des Arabes, des autres peuples et nations ".

S’il en est ainsi, le peuple Juif et son Etat seront toujours là, quand leurs ennemis et détracteurs auront disparu de la scène de l’Histoire.


Les Juifs dont Hitler faisait l’éloge

Le cas de David Reinharc permet une digression qui à la réflexion, n’en est pas une. 

Un récent article du Monde rappelle que Reinharc a fondé en 2004 " une éphémère revue liée au Betar, un mouvement de jeunesse de la droite sioniste " et qu'il est un angoissé par le déclin de notre civilisation judéo-chrétienne " (3).
Depuis des décennies, depuis qu'il est avéré que nous sommes bel et bien engagés dans une guerre de civilisations, cette angoisse est largement répandue. Elle s’est exprimée avec véhémence, partout et dans toutes les familles politiques, lors des récents crimes des islamistes, notamment le massacre de Coptes en Egypte.
Certes, les " droites " et " extrême-droites " antisémites, antisionistes, néo-nazies et racistes existent bel et bien et elles sont haïssables et doivent être dénoncées et combattues. Mais ces qualifications, qui se veulent, légitimement, disqualifiantes, comme " Betar " d’ailleurs, ne doivent pas être utilisées à la légère. 
On le voit dans leur emploi dérogatoire pour stigmatiser la pensée et 1'action d’hommes politiques israéliens qui résistent simplement à la tentative des ennemis de l’Etat juif de le traîner dans la boue avant de le détruire.
Longtemps, Ariel Sharon le vainqueur de la guerre de Kippour a joué ce rôle de monstre sioniste (le président Bush fut son équivalent américain) avant de devenir 1’idole des hyper-pacifistes, quand il eut abandonné Gaza sans contrepartie et expulsé sa population Juive. Pour les ennemis d’Israël, il représentait le Juif idéal; celui qui s’autodétruit qui fait lui-même ce qu’on rêve de lui faire. Même Hitler eut pour cette catégorie de Juifs des mots d’éloge, consignés dans ses Propos de Table : " Il y eut chez nous, j’en suis persuadé des Juifs dont le comportement a été très correct, qui se sont abstenus de tout ce qui pouvait nuire à la collectivité allemande… Dietrich Eckart m’a dit un jour avoir connu qu’un seul Juif bien: Otto Weininger " (le philosophe de réputation mondiale et que certains de ses biographies ont traité de Juif antisémite prototypique) " qui se suicida après avoir reconnu que le Juif vivait de la décomposition des autres peuples " (4).
Souhaitons que les livres " bleu-blanc " publiés par David Reinharc soient lus par tous y compris les antisionistes, capables de comprendre leur erreur et désireux de réparer les dégâts qu'ils ont faits.


Paul Giniewski -
(l) Samuel Nili, Retourne en Palestine ! Ed David Reinharc, 172 p, 17 Euros, 2010. 
(2) Fabien Ghez, L’Etat de trop Ed David Reinharc, 224 p, 17 Euros, 2010.
(3) Jean Birnbaum : « Renaud Camus, candidat de l'Occident » Le Monde « l8 décembre 2010.
(4) Henry Picker, Hitlers Tischegespräche, Seewald Verlag, p 152




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