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11 novembre 2009 3 11 /11 /novembre /2009 04:52
Sombres perspectives si Massimo D'Alema est élu au poste de chef de la diplomatie européenne.

Extraits de la presse italienne
Adaptés par Danielle Elinor Guez.

pour  http://aschkel.over-blog.com  et http://lessakele.over-blog.fr/







Union européenne : David Miliband n'est plus candidat

http://www.fenetreeurope.com/php/page.php?section=actu&id=15936


Mardi 10 Novembre 2009


Le ministre britannique des Affaires étrangères, David Miliband, a fait savoir qu'il refusait le poste de chef de la diplomatie de l'Union européenne.

Les travaillistes et l'Europe ça ne marche pas ! Après l'échec de Tony Blair à conquérir la présidence de l'Union, c'est au tour de David Miliband de se retirer de la course au poste de haut représentant de l'Union européenne aux Affaires étrangères prévu par le Traité de Lisbonne qui entre en vigueur le 1er décembre prochain.

Le président du groupe socialiste au Parlement européen, Martin Schulz, qui considère ce refus comme définitif, soutient désormais l'ancien premier ministre italien, Massimo d'Alema, pour occuper cette fonction.
Extraits de la presse italienne

<B>D'Alema con il deputato Hezbollah<br>ed è subito polemica sulla foto</B>
Massimo D'Alema avec le député du Hezbollah Hussein Haji Hassan

  Non esiste un candidato peggiore di Massimo D’Alema
Il n'y a pas de pire candidat que Massimo D'Alema
http://www.informazionecorretta.it/main.php?mediaId=8&sez=120&id=31860

 

 

Il n'existe pas de pire candidat que Massimo D'Alema pour le poste de haut représentant aux Affaires Etrangères et à la Sécurité de l'Union Européenne. Le nouveau poste, prévu par le Traité de Lisbonne est une espèce de Ministère des Affaires Etrangères doté d'un corps diplomatique autonome et destiné à devenir le poste le plus important de l'Union Européenne.[...]  

D'Alema est le seul vrai chef de file de la gauche italienne. Personne ne discute de son leadership ni de sa capacité politique - en réalité plus tactique que stratégique - ni même de son extraordinaire mythomanie dont il est un porteur sain au point de laisser croire à ses nombreux adorateurs qu'il est l'auteur de la phrase « la place d'honneur c'est l'endroit où moi je siège », et non pas Don Quichotte de Cervantès. On peut répondre à d'Alema à juste titre : dans le monde occidental, la place d'honneur n'est pas là où siège le Hezbollah.

[...] A la table européenne dans le rôle de guide de la politique étrangère, il ne devrait pas y avoir de place pour quelqu'un qui se promène dans les décombres de Beyrouth, bras-dessus bras-dessous avec les ministres du Hezbollah pour dénoncer les crimes de guerre israéliens, ni pour quelqu'un qui a osé dire à propos de l'assassinat du chef militaire du parti de Dieu, Imad Mughniyeh, surnommé le Ben Laden chiite, que de l'avoir tué était un acte terroriste. Un certain génie du socialisme européen a expliqué que la candidature de Blair n'est pas bonne, parce que l'Europe a besoin d'un ami d'Obama et non pas d'un ami de Bush. [...]

 

D'Alema ministro degli esteri Ue. Perche non a Beirut ?

D'Alema ministre des affaires étrangères de l'UE. Pourquoi pas à Beyrouth ?

http://www.informazionecorretta.it/main.php?mediaId=6&sez=120&id=31971

 

Voici l'article de Marco Zatterin   « Miliband se retire. Feu vert pour le Parti Socialiste Européen ».

La nouvelle concernant le retrait de Miliband et, comme conséquence la probable victoire d'Alema, est traitée de manière différente par les journaux italiens. Les journaux suivants sont certains de la victoire D'Alema : LIBERO, Il GIORNALE, Il MANIFESTO. Pour il CORRIERE della SERA, La REPUBBLICA, La STAMPA au contraire, la partie est encore ouverte. Quant à L'UNITA, on lit en première page la nouvelle que David Miliband ne s'est pas retiré et que Gordon Brown resterait candidat contre D'Alema. 

Quant à nous, nous voyons volontiers d'Alema à l'extérieur des frontières nationales, nous lui recommandons toujours le poste de Ministre des Affaires Etrangères, non pas à Bruxelles mais plutôt à Beyrouth, où il pourrait facilement rallier le Hezbollah pour entrer au gouvernement où il a déjà tant d'amis (compte-tenu de son passé).

 

 

"Sul Medio Oriente D'Alema tenta la scissione dei Pd"

D'Alema cherche la scission du Parti Démocrate sur la Moyen Orient


D'Alema n'aime pas Israël, c'est un homme politique qui s'inspire de la vieille politique étrangère substantiellement arabophile de la Démocratie Chrétienne et du Parti Communiste italien (mais aussi de Craxi), il a été un partisan d'Arafat mais surtout ne supporte pas le rôle public de la communauté juive avec laquelle il se heurte avec une particulière acrimonie. Ce choix d'adhésion totale au camp arabe s'est nourri de gestes bruyants : de l'embrassade avec les leaders du Hezbollah quand, en tant que Ministre des Affaires Etrangères, il a visité le Liban après la guerre, de ses continuelles prises de positions en faveur de la reconnaissance unilatérale du Hamas, jusqu'au refus de sanctions envers l'Iran dont il n'a, pourtant, jamais contesté la prétention à avoir l'arme atomique. Cette politique a été définie par l'ex-premier comme une politique réaliste d'approche équilibrée envers les deux camps, mais il n'a exprimé de condamnations qu'à l'encontre d'Israël et jamais à l'encontre des organisations terroristes qui assiègent l'État juif. Sur ces bases d'Alema tente de construire ces jours-ci une large majorité politique.


D'Alema, Israele e la Serbia L'éditorial de Peppino Caldarola dans le journal Il RIFORMISTA http://www.informazionecorretta.it/main.php?mediaId=20&sez=120&id=27589
 

Il est bon de ne pas se mêler des querelles d'autrui. C'est pourquoi nous ne nous sommes pas mêlés de la polémique qui a commencé entre Andrea Marcenaro dans le journal « Foglio » et Massimo d'Alema avec, ensuite, l'intervention de Pigi Battista dans le journal « Corriere della Sera » et encore d'Alema. D'Alema, qui attaque Israël sur sa réaction disproportionnée aux missiles du Hamas, s'est vu rappeler par les deux journaux, la guerre contre la Serbie co-dirigée par le dirigeant du post PCI, dans laquelle 500 Serbes ont été tués dans un bombardement de l'OTAN n'ayant touché aucun soldat de l'alliance. D'Alema s'est énervé et a dit que sa guerre était une guerre juste et que celle d'Israël ne l'était pas. Et non. C'est une opinion qui devrait se présenter comme une opinion. Mais d'Alema n'a pas d'opinion, les opinions appartiennent aux communs des mortels, lui est porteur de vérité absolue. Toutefois le fait est incontestable. Les avions de d'Alema ont fait 500 morts presque exclusivement des civils innocents. Giordano, ancien chef de Rifondazione aujourd'hui si indulgent avec le d'Alema anti-israélien devrait se rappeler combien nous sommes choqués par une gauche dont le patron a contribué à faire tuer des innocents. J'insisterai jusqu'à la fin de ma vie pour dire que le mal obscur dont souffre la gauche est le double standard moral. Si c'est moi qui tue, je le fais pour la paix, si c'est toi qui tue, tu es un délinquant. Quand on porte le poids de tant de morts sur ses épaules parce qu'on était le commandant en chef des avions bombardiers, on devrait se taire à jamais sans donner de leçons. Voilà ce qui serait moral.


Adapté par Danielle Elinor Guez pour http://aschkel.over-blog.com
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