Excellente nouvelle ! Le CAIR est un lobby américain qui utilise la stratégie du harcèlement juridique pour tenter de bâillonner la critique de ses activités. Les auteurs du livre Muslim Mafia dépeignent CAIR comme une organisation subversive alliée au terrorisme international.
CAIR a une branche canadienne, CAIR-CAN. Lire ce billet sur Canucki Jihad sur les liens entre les deux groupes.
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Un juge fédéral a rejeté la tentative du Conseil sur les relations américano-islamiques, qui voulait à nouveau intenter un procès à P. David Gaubatz, un agent spécial de l'Air Force, et à son fils Chris, le père et le fils qui avaient enquêté sur les liens du groupe avec le terrorisme et qui les avaient rendus publics.
Les avocats de la défense se félicitent de la décision, qui marque une victoire contre le plan du CAIR qui vise à « bloquer » la liberté de critique contre leur organisation par le biais d'une avalanche de procès et de dépenses judiciaires.
« Nous avons argumenté, nous avons contre-argumenté, nous avons dépensé des milliers de dollars sur cette affaire », a déclaré Daniel Horowitz, l'un des trois avocats de la défense. « Ce n'est qu'à ce moment qu'ils ont intenté ce nouveau procès, ce qui nous aurait effectivement contraints à tout reprendre à zéro ».
Ils savent qu'ils ne peuvent pas gagner, mais ils peuvent rendre inopérant le Premier amendement en faisant en sorte qu'il devienne tellement coûteux de parler contre eux que personne ne puisse s'opposer au CAIR, financé par les saoudiens. « Mais la nouvelle plainte ne comportait pas de fait nouveau substantiel », a expliqué Horowitz à WND. « Mais c'est là tout leur objectif. Ils savent qu'ils ne peuvent pas gagner, mais ils peuvent rendre inopérant le Premier amendement en faisant en sorte qu'il devienne tellement coûteux de parler contre eux que personne ne puisse s'opposer au CAIR, financé par les saoudiens. Finalement, ils peuvent se limiter à récolter de plus en plus d'argent de l'étranger et à réduire au silence l'opposition par des procès ».
« Pour ce qui est du Premier amendement, c'est une décision très forte, a poursuivi Horowitz, parce qu'elle reconnaît que, même si on finit par perdre le procès, on sape cet amendement en bloquant la libre parole. Le CAIR essayait d'exploiter ce moyen au maximum, et le juge a dit non ».
Qui plus est, le CAIR ne se défend pas, dans sa plainte, contre l'affirmation du livre, selon laquelle cet organisme qui se décrit lui-même comme un groupe de défense des droits civils des musulmans est en réalité un poste avancé d'une conspiration menée par les Frères musulmans, l'organisation égyptienne mère des principaux groupes terroristes à travers le monde, pour ouvrir la voie à l'instauration de la loi islamique de style saoudien aux États-Unis. Et la plainte ne dresse pas non plus explicitement la liste des torts dont l'organisation a souffert à la suite de la publication de Muslim Mafia, explique encore Horowitz.
Source : Federal judge rules against 'Muslim Mafia', par Drew Zahn, WND, 15 février 2010 Traduction d'extraits (Merci à mon traducteur)