Pour aschkel.info et lessakele
Par Crocsnoirs
Va chercher la mort mon fils !!
Après la religion et la politique, l'apprentissage pour glorifier la mort
A ces enfants que leurs parents trahissent pour
des causes hystériques.
L’opération formatage commence par des clips vidéo passés dans les écoles.
Du style langoureux sous forme de lettre d’adieu tout en lyrisme: « Qu’elle est douce pour les enfants martyrs, la mort pour Allah »
Du style pompier vibrant : « Je suis le martyr - Shahid-, Ma Mère!
C'est avec mon sang que j'ai écrit mon nom »
Du style rassembleur avec le petit Al Dura (que connait bien Charles Enderlin) qui chante depuis son paradis en voix off : « “Suis-moi au Paradis des Enfants » On le voit dans le clip jouant au cerf volant et courant sur la plage. [Télévision officielle palestinienne, le 25 décembre (!!!) 2000, et de nombreuses fois depuis lors jusqu’à aujourd’hui]
Tout est fait, donc, pour rassurer les enfants et les parents sur l’avenir radieux et paradisiaque des futurs victimes de leurs grands manipulateurs au pouvoir. Pour compléter cette formation, les livres scolaires servent de vecteur indispensable. Un exemple parmi tant d’autres de culture palestinienne, et cela va des livres pour enfants jusqu’aux livres universitaires (pour shahids attardés sans doute, car tout le monde n’est peut être pas doué) :
“Le Musulman se sacrifie pour sa foi, et mène une Jihad pour Allah. Il ne peut être détourné de ce but, car il sait que la date de sa mort a été prédéterminée et qu’il est préférable de mourir en Shahid sur le champ de bataille que dans son lit (Pour mémoire, Arafat est mort d’une longue maladie et bien entouré. Le grand homme a même eu droit à un honneur militaire français avec sonnerie aux morts pour compenser la shahada sans doute.) [Education islamique, pour les élèves de 14 ans, page 176, publié par le ministère de l’Education de l’Autorité Palestinienne, rapport du CMIP]
Les programmes culturels ne sont pas en reste ou l’on exalte la shahada et ses shahids. Résultat de cette éducation : dés l’âge de 6 ans le jeu officiel en vogue est le jeu du shahid joué lors des spectacles de fin d’année par exemple. La télévision palestinienne montrait deux petites filles de 11 ans exprimant leur désir de mourir en shahid pour la gloire de la Palestine et d’Allah.
“72% des enfants sondés dans tous les quartiers de Gaza expriment l’espoir de devenir des Shahids – au cours de combats...”
[’Sout Al-Nissa’ – Voix des Femmes –, Al-Ayyam, le 24 Janvier 2002]
“…entre 79 % et 80% des enfants disent leur volonté de devenir des Shahids. [Quotidien officiel de l’Autorité Palestinienne, Al-Hayat Al-Jadida, le 18 Juin 2002]
William o’Brien Professeur à l’Université de George town, précise que lors de la première intifada, les protagonistes palestiniens étaient en grande majorité des jeunes y compris des enfants d’école primaire.
Le CSUCS global report (Coalition to Stop the Use of Child Soldiers)informe en 2008 que les enfants sont utilisés principalement comme courriers ou messagers et parfois comme combattants ou bombes humaines contre des soldats ou civils israéliens. Même Amnesty International s’en est inquiété en 2005 quand elle a lancé un appel aux palestiniens pour qu’ils arrêtent d’utiliser leurs enfants dans les conflits.
Jacques-Marie Bourget, journaliste, a décrit en 2005 pour Paris Match comment les enfants de moins de 15 ans étaient recrutés et « formés » pour devenir martyrs.
La tactique habituelle des Palestiniens consiste à demander aux enfants de jeter des pierres sur les soldats, sachant pertinemment que ceux-ci ne tireront pas sur eux. Cependant des snippers palestiniens perchés sur les toits visent les soldats israéliens et parfois, rarement mais c’est arrivé, tirent eux-mêmes sur les enfants lorsqu’une caméra est repérée dans le coin.
La mort des enfants est systématiquement reportée sur les Israéliens, alors que l’on voit bien que ces enfants ont été littéralement programmés depuis leur tendre enfance pour aller au devant des conflits et chercher la mort. Nous sommes habitués au double langage des palestiniens. A commencer par celui d’Arafat qui n’hésitait jamais à tenir un discours en Anglais pour le contredire en arabe immédiatement après.
Ce double langage est une pratique courante et est même devenu une stratégie en soi lorsqu’on fait sciemment passer de fausses informations sachant que les médias occidentaux privilégient la vitesse du scoop à la vérification des infos. Mais quand le mal est fait, il est trop tard. Elles sont nombreuses ces informations passées en une mondiale puis démenties par entrefilets en page 5 ou 6. Les lecteurs sont nombreux qui auront lus ces unes partout ou les journaux sont à la vente et donc sans même avoir acheté le journal et qui ne sauront jamais que l’information était fausse.
Les Palestiniens le savent, en usent et en abusent avec la complicité, on va dire involontaire, des médias qu’ils instrumentalisent en jouant sur leur mode de fonctionnement. (On va dire involontaire, bien que les journalistes occidentaux sous traitent une grande partie de l’information aux journalistes palestiniens, qui ne peuvent l’être et le rester qu’avec l’agrément de leurs autorités, ce qui donne une petite idée de l’impartialité des informations qui nous sont communiquées).
Le mensonge est une chose et la propagande palestinienne et de leurs alliés de la gauche pseudo pacifiste qui taisent opportunément les exactions palestiniennes, nous y sommes habitué depuis fort longtemps.
Là ou cette folie mensongère atteint le comble de l’abject, c’est lorsque les enfants sont utilisés pour raison cynique de propagande et pire comme réserve de chair à canon.
Je laisserai le mot de la fin de ce triptyque à La célèbre sociologue d'origine syrienne Wafa Sultan en 2009 :
« Il est impossible pour une nation qui éduque ses enfants sur la mort et le martyre, pour plaire à son créateur, d'enseigner en même temps l'amour de la vie.
La vie a-t-elle une valeur pour une société qui inculque à ses enfants qu'ils doivent tuer ou être tués pour aller au Paradis?
Elle ajoute : CNN a diffusé un documentaire sur Gaza montrant une femme palestinienne qui se lamente et crie : mais qu'ont fait nos enfants pour être tués comme ça ? Qui sait. Peut-être s'agit-il de la même palestinienne qui se réjouissait il y a deux ans, quand l'un de ses fils s'était fait exploser dans un restaurant de Tel-Aviv et qui disait souhaiter que ses autres enfants suivent le même exemple et deviennent martyrs ?
Dans ce cas, comment puis-je me solidariser avec une femme qui lance les youyous de jouissance quand l'un de ses enfants se fait exploser contre les juifs, alors qu'elle pleure quand les juifs tuent ses autres enfants ? »
Source : Itamar Marcus Palestinian Media Watch
Pour information : Coalition to Stop the Use of Child Soldiers
PO Box 22696, London N4 3ZJ
United Kingdom
Telephone number: +44 20 7226 0606
Facsimile number: +44 20 7274 0230
Email: info@child-soldiers.org
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