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L’amour du mensonge
Partie II
©Par François Celier. Pasteur et écrivain.
Pour aschkel.info et lessakele
Partie I ICI
La Taqqiya
A travers les sociétés et les âges de l’humanité, notre espèce Homo sapiens connaît la pratique de feindre, travestir, simuler, désinformer, mystifier et traquer. L’homme transhistorique connaît les activités de contre-vérité, de propagations de rumeurs malignes et les mystifications mensongères ; de même que toutes les facettes de la tromperie. Elles font bon ménage avec l’imposture, l’hypocrisie, la fabulation, la duperie et tout dénie de vérité.
Personne n’ignore l’art de subvertir, de répandre des idées fausses et des doctrines erronées.
Leurrer autrui, pratiquer l’illogisme ou une idéologie meurtrière dans des sociétés ouvertes pour y promouvoir l’horreur de régimes autocratiques ou totalitaires. Aucun despote ou tyran ne se prive d’user de machiavélisme, de culte de sa personnalité, d’inversion historique, d’imposer l’apathie, des masses assujetties, d’intoxiquer jusqu’à la résignation fataliste (genre mektoub).
Il semble qu’un substrat fondé sur la peur habite l’esprit de toute notre espèce (voir ma série " Au cœur du genre humain ICI")
Nos consciences intimes nous reprochent ces attributs in-vertueux et indignes du genre humain. Ces contre-vertus représentent une panoplie de menteries graduées et catégorisées que nous déplorons car nous n’ignorons pas leurs nuisances, parfois dévastatrices.
Ainsi apparaît à nos yeux notre nature foncière, même policée par un corpus de lois et une pédagogie civique du bon sens, de philosophies spéculatives et de moralisme relatif.
A ce constat plutôt accablant, certains tentent de se reformater par une discipline de fer, par des critères moraux inflexibles (religieux ou laïcs).
Une vraie galère que de s’affranchir d’une addiction par sa seule volonté, sans broncher.
D’autres, scientifiquement plus hardis, envisageraient de lobotomiser les plus atteints de quelques milliers de neurones, pour avoir la paix d’un voyage privé de raison.
D’autres encore songent à s’enfermer entre les quatre murs d’un monastère, d’un temple, d’une cellule, d’une grotte d’anachorète, avec vœux de silence et de mortifications diverses pour affaiblir la « faiblesse » de la chair et de l’esprit.
Certains croyants (les chrétiens) y répondent par une expérience spirituelle dite born again, soit renaître par l’Esprit de Dieu. Mais étant donné cette fichue propension à tricher, surtout depuis l’affaire d’Adam et Eve… Un tel acte de foi paraît d’autant plus difficile à valider que cette métamorphose relève d’une démarche de fils prodigue vers le Père Eternel. D’autant que cette téchouva implique de capituler intellectuellement… C’est-à-dire là où le bat blesse !
Concernant le monde juif, je crois que le peuple d’Israël entre dans une époque où l’une des valeurs juives, l’amour de la vérité, est trahie par certains de ses membres leaders. Ils sont placés en demeure de choisir : le bien d’Israël, pour l’amour de Sion ou, le mal d’Israël pour son dépeçage...
Cette alternative s’adresse surtout aux intellectuels, aux médias et au politiciens juifs qui se laissent séduire par le brouhaha médiatique et les conséquences suicidaires de type JCall et autres boni-menteurs de la paix contre la terre, jusqu’à même préconiser la division de Jérusalem.
En tant que non-juif, cela m’effare ! Comment osent-ils envisager de diviser la prunelle de Dieu !
Aussi me permettrais-je de rappeler quelques avertissements : Heureux qui ne se tourne pas vers ceux que le mensonge égare (ps 40-5) ; Je ne m’assieds avec les menteurs (ps 26-4) ; Ils se disent juifs et ne le sont pas, ils mentent (apo 3-9). Tu aimes le mensonge plutôt que la droiture (ps 52-5), etc., afin qu’ils se ressaisissent, ne tombent pas sous l’anathème de Hachem et ne soient retranchés.
Il est toujours temps de se repentir d’un égarement de l’esprit et de dénoncer sa propre signature…
Je pourrais citer d’autres tentatives d’échapper au mensonge qui nous habite, mais en vérité, il me semble que la condition humaine renâcle à s’investir dans de telles démarches, ne cherche pas à s’en prémunir, car après tout, qu’est-ce que mentir ?
A cette question, je répondrai candidement : faire allégeance au Père du mensonge (1)
Sur un plan métaphysique, ces réflexions me font penser que ce qu’elles manifestent le plus à l’heure actuelle réside en un lieu que je nommerai La maison du mensonge. L’aura qui en émane provient d’un dogme pernicieux, celui de la taqiyya, c’est-à-dire l’art de la tromperie et de la ruse, dans le but de circonvenir quiconque n’appartiendrait pas au monde de l’Islam…
Après avoir transité par d’autres systèmes religieux, cet art de la taqiyya réside depuis quatorze siècles dans un cube voilé de noir, apprêté jadis pour la cohabitation de 360 divinités préislamiques, parmi lesquelles Mahomet distingua celle d’Allah afin qu’elle présida à l’édification de sa doctrine cultuelle, fondée sur ses révélations personnelles dans une grotte, à des emprunts à la Torah juive, dans les évangiles judéo-chrétiens et provenant de légendes tribales d’Orient.
Sa doctrine de récitation (signifiant Coran) constitua une théologie politique judicieuse et même géniale dans son contexte arabique moyenâgeux. Intronisé Premier Prophète par rapport hiérarchique à Moïse ou Jésus et tous les prophètes juifs antérieurs, Mohamed découvrit son pouvoir sur l’esprit de ses adeptes, auxquels il enseigna un amour du mensonge capable de les entraîner jusqu’à l’amour de la mort. Autrement dit, Mohamed s’investissait d’une toute puissance.
Razzias coutumières puis guerres saintes (jihad) fondées sur une stratégie de la terreur, trêves tactiques circonstancielles, etc., lui offrirent les moyens et la trésorerie pour croître en puissance numérique et en influence tribales jusqu’à dominer toute l’Arabie. (2)
Son Coran, miraculeusement incréé et décrété inamovible, devenait sous couvert de piété, un manuel de guerre redoutable pour l’homme parfait qu’il devenait (là, il y aurait beaucoup à en dire…). Cette taqiyya pratiquée et accréditée par Mahomet, s’étendit comme un voile noir sur toute l’Arabie et l’entendement des croyants à son ordre politico-religieux.
Une réussite indiscutable représentant à l’heure actuelle un sixième de l’humanité !
Le voile noir coranique implique non seulement l’interdit de penser par soi-même (ce qui devrait faire fulminer Cohn Bendit, mais il semble que non, au contraire) pour les suiveurs musulmans et son Prophète, mais encore contraindre l’ordre inférieur des femmes à s’en recouvrir (voiles et burkas), de même que les ignorants dhimmis occidentaux qui tombent –de plus en plus nombreux- dans sa trame de fil noir.
Analogue à une éruption volcanique, le nuage noir du mensonge recouvre –spécifiquement- l’entièreté de l’Ummah musulmane, toujours en mal d’expansion, d’espace vital, disait Hitler à son féal Al Husseini, leader musulman palestinien.
Depuis quatorze siècles, la violence et la ruse de l’Islam permirent la conquête de 56 pays, les colonisant, pillant et supplantant leurs cultures, leurs richesses et leurs religions traditionnelles en les soumettant à l’ordre coranique. De nos jours, caractérisés par une accélération de l’Histoire, le monde de l’Islam n’ignore plus que le pactole de ses ressources énergétiques s’amenuisent et que les populations occidentales pressentent et s’alarment de la peur d’êtres asservis par sa colonisation rampante.
Le temps des chevauchées cimeterre au clair de ses conquêtes d’antan est révolu, ce qui l’amène à adapter ses stratégies politico-religieuses à un forcing colonisateur de l’Europe notamment.
Or, corrélativement à ses assauts contre la civilisation occidentale et sa démocratie, un aiguillon douloureux dans ses flancs l’ulcère et l’exaspère. Il se nomme Israël.
Depuis 62 ans, sa renaissance scripturaire prophétique et sa légitimation Internationale, le monde islamique tente d’anéantir la seule force qui lui fait obstacle et enfin, de l’effacer des cartes du monde qu’il lui reste à soumettre. Coran oblige.
Un peu d’historicité : Renforcés par des milliers de volontaires d’une dizaine de pays musulmans, les armées régulières de six pays arabes avoisinants fondirent sur l’Etat d’Israël, renaissant à peine des cendres d’une épopée historique et spirituelle à nulle autre pareille.
Fragile et vulnérable, ce petit pays caillouteux, démuni de tout, osa néanmoins les affronter (sous le regard impavide du monde qui léchait ses plaies). Pour se défendre contre l’assaut des armées arabes coalisées, Israël ne disposait que d’armes légères et d’une poignée de véhicules, dérisoirement blindés de tôles bricolées. Mais par la foi et le courage de sa maigre population locale et des survivants de la Shoah, lutta, contre-attaqua, et les vainquit. Honte pérenne pour ses assaillants.
Par trois fois (en 1948, en 1967 et en 1973), sans provocation autre que celle de sa volonté d’exister, Israël fut attaqué par le monde arabe et par trois fois, Israël les vainquit et regagna des territoires qui lui avaient été dérobés.
De nos jours, se sentant toujours revanchards monomaniaques et plus que jamais expansionnistes, les vaincus d’hier changent de stratégie. Par contournement du Droit International, par chantage économique, diplomatique, et menaces terroristes à l’encontre des pays occidentaux, soutenus par les blablas onusiens (3) et les tambours médiatiques planétaires, manipulant malignement les opinions publiques justifiant leur propre lâcheté qui n’échappe pas à celui qui a dit : Ils exercent leur langue à mentir les dénonçait jadis le prophète Jérémie (Jé.9-5) ou encore : Ils se servent de leur langue (et images TV) pour tromper (Ro.3-13)
Bref, le monde musulman veut obtenir ce qu’il ne parvint pas à gagner par la force de ses armées.
Par le voile noir du mensonge, des ténèbres spirituelles recouvrent notre planète (néanmoins bleue vu du ciel). Mais sur le peuple d’Israël, ce que je vois du plus profond de ma foi en D…, c’est que la gloire de l'Éternel se lève !
Ce que je sais et proclame, c’est que sa lumière brillera jusqu’à éclairer l’entendement perverti de toutes les nations de la terre. Et ce dont je suis convaincu, c’est que toutes les œuvres délétères du mensonge se retourneront contre leurs auteurs. D’ores et déjà, ils sont sous l’anathème de Hachem et resteront une malédiction mémorielle pour les générations à venir.
©François Celier
(1)Evangile de Jean, chap. 8 verset 44.
(2)Des recherches érudites découvrent que dans la région où se forma l’islam, durant plus de deux siècles, tous les documents originaux ont disparu. La biographie de Mahomet n’aurait été rédigée que 220 ans après sa mort. Les hadiths furent mis par écrits entre 250 et 300 ans après sa disparition. Par ailleurs, le Coran fut remplacé plusieurs fois, notamment par le général Hajjâj, en 692 (soixante ans après la disparition de Mahomet, avec destruction de tous les exemplaires précédents.
En fait, la religion originale de Mahomet serait celle d’une secte judéo-chrétienne (le nazaréisme).
Des textes écrits Georgiens, Arméniens, Araméens, Syriaques, Hébreux ou Coptes, révèlent des informations sur l'Islam 'original : Les mots musulmans et islam n’apparurent que 60 ans après sa mort. Dès lors, quelle pouvait être la dénomination de Mahomet ?
Les premiers compagnons de Mahomet se nommaient eux même les Magrayes, terme syro-araméen signifiant les émigrés. Leur langue sacrée était le syro-araméen et non l’arabe. D’autres parts, Mahomet ne serait pas né à la Mecque (selon l’islamologue Patricia Crone, enseignante à Princeton et Cambridge).
Elle démontre que cette ville a été créée vers 670, soit 40 ans après la mort du Prophète. Tel qu’il a été transmit, l'Islam a été une fabrication des califes pour servir d’idéologie à l’empire que les compagnons de Mahomet commençaient à créer.
Pour la communauté musulmane actuelle, ce sont-là des pistes de réflexions historiques considérables.
(3) Bien que l’ONU ait porté Israël en son sein baptismal, cet organisme est devenu un adversaire, par ses décrets s’appuyant sur le vote de sa spécieuse majorité automatique (composée de dictateurs et de chefs d’Etats musulmans), l’ONU combat dorénavant sa légitimité. Il en fut de même pour l’ânesse du prophète Balaam qui fut spirituellement amenée à bénir Israël, désobéissant ainsi à l’égarement de son maître et prophète institutionnel qui était payé par les ennemis d’Israël pour le maudire.
Cette histoire d’ânesse rappelle l’injonction coranique : « Sourions à la face de certaines personnes alors que notre cœur les maudit » verset 3:28 du coran.
Toujours la source noire… avec l’approbation de Mahomet à l’adresse de Abu Darda le menteur agréé.
« La taqiyya, même pratiquée hors de toute contrainte, ne conduit pas à un état d'infidélité - même si elle conduit à un péché méritant le feu de l'enfer ». Ibn al-Munir (décédé en 1333) écrivit : « La guerre est le mensonge, c'est à dire que la guerre la plus complète et la plus parfaite qu'il soit possible de mener dans la guerre sainte (jihad) est une guerre de tromperie et non d'affrontement, parce que celle-ci est intrinsèquement dangereuse et qu'il est possible d'atteindre la victoire par la tricherie sans subir soi-même de dommages ».
Et Ibn Hajar (décédé en 1448) conseille aux musulmans « d'être très prudents à la guerre, tout en se lamentant et en pleurant (publiquement) afin de duper les infidèles ».
Le coran témoigne que c'est Allah qui a révélé ces versets concernant la taqiyya, il est donc responsable de la doctrine du mensonge… Il se décrit lui-même dans le Coran comme étant le meilleur makar, autrement dit le meilleur menteur ou conspirateur (Coran : 3:54 : 8:30 : 10:21).