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24 mai 2010 1 24 /05 /mai /2010 20:24

 

 

Comme chaque année, la fameuse 5e avenue de New-York prend les couleurs bleu-blanc avec des centaines de milliers de personnes – juives comme non juives – qui défilent pour manifester leur solidarité et leur amitié pour Israël. Ce fut le cas dimanche, où les foules se pressaient au son de la musique israélienne et des danses pour lancer un message qui réchauffe le cœur à 10.000 kilomètres de chez eux.

En tête du cortège, le maire de la ville, Michael Bloomberg, des personnalités politiques de la ville et de l’Etat, l’ambassadrice d’Israël à l’ONU, Prof. Gabriella Shalev, le Consul Général d’Israël à New York, Assaf Shariv, le premier basketteur israélien à évoluer en NBA, Omri Caspi, le champion du monde de boxe, Youri Foreman etc. Egalement présent, le Procureur Général de la Ville de New-York Andreo Cuomo, candidat favori au poste de gouverneur de l’Etat de New-York et qui entamait là sa campagne.

Pour l’anecdote, à côté de lui défilait son challenger républicain Rick Lazio! Des jeunes juifs venus de tout le pays participaient à cette grande fête d’amitié et de soutien à l’Etat juif. Le soir, un méga-concert était donné par le chanteur israélien Idan Reichel, devant des dirigeants des communautés chrétiennes, hispano-américaines et afro-américaines.


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24 mai 2010 1 24 /05 /mai /2010 17:08

 

pour aschkel.info et lessakele.


D'après l'article «Guerre économique contre Israël» d'Israël 7 du lundi 24 mai 2010

Et que dit l'Amérique?

Par Yéochoua SULTAN

Lire ses autres analyses

Yéochoua 2

Le Premier ministre israélien s'est entretenu à la Knesset, lors de la réunion du Likoud, du boycott économique unilatéral et effectif dirigé par Fayad et Abbas qui gâchent ouvertement des produits,  notamment alimentaires, produits par Israël. C'est donc la première fois depuis le début de ces bassesses, des confiscations et de la destruction systématique de tout ce qui est l'œuvre de Juifs que Netanyahou se prononce enfin publiquement.

«C'est intolérable!» a-t-il déclaré. Et il ajoute, d'une naïveté réelle ou feinte mais pas moins pathétique: «Ils mènent contre nous une guerre économique avec le sentiment que tout est permis. Il faut que le monde comprenne quelles sont leurs véritables intentions. Nous leur avons facilité la vie, et malgré tout ce que nous faisons pour eux, ils s'opposent à la paix économique.»

Répondant à la députée de sa formation, Tzipi Hotoboli, qui l'a interrogé à propos du boycott, il a également parlé de la tentative diplomatique d'empêcher l'adhésion d'Israël à l'OCDE. «Et tout cela malgré les discussions de rapprochements et les nombreux gestes d'apaisement dont nous avons fait preuve en leur faveur.Israël aspire à la paix économique. Nous avons annulé des barrages, rendu les conditions de vie plus faciles ; nous œuvrons en permanence pour améliorer leur niveau économique (…) En fin de compte, tous ces agissements dirigés contre nous finissent par se retourner contre eux. C'est vrai aussi bien au niveau du boycott économique qu'ils mènent contre nous qu'au niveau de la pollution de nos sources d'eau potable qu'ils polluent.»

L'observateur neutre s'interroge et se demande comment il est possible, vu la gravité de la situation, que le Premier ministre, son gouvernement ou la Knesset ne considère pas qu'un tel acte signifie la fin des discussions indirectes, mais surtout l'interruption spontanée de tous ces gestes supposés détendre l'atmosphère, de confiance, d'apaisement, et ainsi de suite. Dans ce contexte, nul n'est besoin d'être un fin stratège politique pour faire le rapprochement entre cette situation et la fameuse déclaration américaine, du président de service Obama, où ce dernier prévenait solennellement que celui qui serait considéré comme responsable de l'échec des pourparlers indirects serait gravement mis au ban de l'échiquier politique mondial par les Américains, car il serait jugé responsable de l'instabilité régionale et de toutes les guerres et malheurs du monde.

La solution est pourtant simple et connue d'avance: une seule partie peut faire exploser le processus de «paix»: Israël. Et voici en deux mots comment fonctionne le principe:

Tous les coups sont permis aux petits dictateurs, mini reproductions des systèmes totalitaires du vaste monde arabo-musulman. Ils peuvent réquisitionner, saccager, spolier et tuer, l'arbitre n'a rien vu. Mais si Israël considère que la guerre économique, comme le dit si bien Netanyahou, annonce la fin des discussions indirectes, il sera tenu pour responsable et on lui reprochera encore et toujours son intransigeance, son manque de patience, et surtout sa volonté viscérale de ne pas vouloir réellement de la paix. Voila pour le premier poids.

À présent, considérons la seconde mesure: si, pour une raison ou pour une autre, les chefs des mouvements terroristes se sentent offensés ; si, par exemple, les Juifs décident de construire des maisons pour les habiter eux-mêmes, dans des endroits jugés par les totalitaristes comme judenrein, et qu'ils tournent le dos aux pourparlers même indirects, les Américains sortiront de leur torpeur pour faire retomber la «faute» sur Israël, qui aura poussé à bout des gens tellement civils et adorables.

C'est un peu comme, au football, quand un arbitre partial ferme les yeux quand l'équipe qu'il protège touche la balle de la main. Or, Obama ne peut pas être impartial, pour cela, il lui faudrait n'être ni juif, ni non-Juif, à moins d'être un juste des nations, mais ça, c'est une autre affaire.

«»

Yéochoua SULTAN

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24 mai 2010 1 24 /05 /mai /2010 12:59

 

aschkel.info et lessakele.

Benilou 

 

 

 

 

Israël, l'Iran et le Hezbollah préparent la guerre

La Russie accélère ses livraisons de matériels militaire sophistiqué à Téhéran en dépit des pressions américaines et israéliennes.

 

slate.fr

 

Tandis que le doute s'installe dans l'opinion publique israélienne sur l'opportunité et les risques d'une attaque des installations nucléaires iraniennes, des informations de source militaires montrent que non seulement Israël se prépare à un éventuel conflit armé, mais c'est aussi le cas de Téhéran et de ses affidés, en particulier le hezbollah libanais. Chacun accélère les préparatifs comme si la guerre devait éclater demain. Et l'histoire a prouvé qu'il est rare que les militaires fassent des préparatifs pour rien.

Jérusalem s'inquiète notamment du double jeu russe qui consiste d'une part, à se joindre mollement aux Etats-Unis pour le vote éventuel de sanctions contre l'Iran et son programme nucléaire dont personne ne croit qu'il est civil et d'autre part, à participer à la modernisation des armées iranienne et syrienne. Les services de renseignements israéliens affirment que des Gardiens de la Révolution islamique iraniens s'entraînent en secret dans des bases russes, depuis le début du mois de mai, au maniement dusystème de missiles antiaériens S300 pour être prêts lorsque ce matériel parviendra en Iran. Les russes n'ont pas l'intention de voter des sanctions contraignantes incluant l'interdiction de livraison de ce type de matériel. Ils ont déjà accepté de fournir des avions de combat Mig-29, des missiles de courte portée Pantsyr, des véhicules blindés et d'autres armes conventionnelles.

Mises en gardes américaines

Le président israélien Shimon Pérès, en déplacement à Moscou le 9 mai, a fait part de sa préoccupation au président Medvedev qui a estimé que la Russie était «seule qualifiée pour choisir ses clients». Le conseiller nucléaire de Barack Obama s'est montré menaçant le 11 mai en précisant: «Les Etats-Unis ont fait savoir à la Russie que la livraison d'un système avancé de défense aérienne à l'Iran aurait des conséquences graves sur les relations américano-russes». Le président Medvedev a aussitôt répondu «qu'il n'attendait pas de conseils en provenance de l'autre côté de l'océan». Les Israéliens analysent ces nouveaux faits avec gravité d'autant plus qu'il semble que les Chinois, de leur côté, ne sont pas résolus à accepter des sanctions interdisant le réarmement de l'Iran.

Ces évolutions militaires ont poussé Barack Obama à revoir soudain ses relations avec Israël, et avec Benjamin Netanyahou en particulier, qui étaient devenues conflictuelles. Après avoir pris conseil auprès de ses principaux experts, Dennis Ross,  conseiller sur l'Iran, Dan Shapiro, chef du bureau Moyen-Orient au Conseil national de sécurité, et Rahm Emanuel son conseiller particulier, il les a envoyés faire une offensive de charme auprès des rabbins américains le 13 mai. La visite de ce dernier est par ailleurs planifiée en Israël pour la fin du mois de mai.  Le président américain aurait d'autre part donné des ordres à George Mitchell de cesser de faire pression sur Israël pour obtenir des concessions dans le conflit avec les Palestiniens.

En Israël, on explique ce revirement d'abord par l'approche des élections américaines de la mi-mandat et la nécessité pour les démocrates de conserver le soutien des électeurs juifs. Par ailleurs, l'impasse diplomatique et l'incapacité des Etats-Unis à obtenir de la Russie et de la Chine un soutien suffisant à des sanctions significatives contre l'Iran et son programme nucléaire redonne du poids à Israël. Jérusalem apparaît à nouveau comme le seul allié stratégique fiable au Moyen-Orient de Washington. Pour autant, cela ne veut pas dire que Barack Obama s'est soudain pris de sympathie pour Benjamin Netanyahou et ne fera pas à nouveau pression sur Israël pour contraindre son gouvernement à négocier avec les Palestiniens. Mais ce n'est plus la priorité.

Renforcement des forces navales

Ce changement de politique américain s'accompagne du renforcement de la présence militaire des Etats-Unis notamment naval en Méditerranée et dans le Golfe Persique. Le porte-avions Harry S. Truman, à propulsion nucléaire, a quitté le 21 mai Norfolk en Virginie pour rejoindre le Dwight D. Eisenhower en mer d'Arabie. Jusqu'à 4 ou 5 porte-avions pourraient être visibles des côtes iraniennes d'ici le début du mois d'août.

Les experts israéliens interprètent ces manœuvres comme une volonté des américains d'empêcher toute intervention solitaire de Tsahal contre l'Iran. La doctrine dictée par l'ancien premier ministre israélien Menahem Begin reste de mise en Israël. Elle stipule «qu'Israël bloquera toute tentative de ses adversaires d'acquérir des armes nucléaires». Par deux fois, le principe a été déjà appliqué. Le 7 juin 1981, seize F-16 et huit F-15 ont rasé le site du réacteur nucléaire Osirak en Irak. En septembre 2007, une opération similaire a détruit un réacteur syrien sur les rives de l'Euphrate. Mais si les plans de la première attaque avaient été transmis à Ronald Reagan pour qu'il cautionne l'opération. La deuxième attaque, en revanche, qui n'a jamais été revendiquée par les Israéliens, n'a été annoncée aux américains que quelques heures seulement avant son lancement parce qu'ils voulaient se passer de leur imprimatur.

Il semble que les militaires israéliens, malgré les informations qu'ils laissent distiller, ont pour l'instant intégré l'idée qu'ils n'ont pas intérêt à intervenir seuls devant les marques de bonne volonté transmises par les Etats-Unis. Ils voient dans le renforcement des capacités militaires américaines dans la région une preuve de soutien à Tsahal. Le porte-avion Truman a embarqué sept escadrons d'avions de combat F/A-18 Hornet, un escadron d'avions espions et d'alerte rapide E-2 Hawkeye, des Squadron 130 chargés de perturber les systèmes de radar ennemis et plusieurs escadrons d'hélicoptères de combat anti sous-marins. Toute cette armada a pour but, certes, d'impressionner les Iraniens pour qu'ils acceptent de négocier sérieusement, les Russes et les Chinois pour qu'ils comprennent les risques, mais pourrait aussi servir.

Une nouvelle ligne Maginot

Les Syriens et leurs alliés du Hezbollah se préparent de leur côté à aider les Iraniens en cas d'attaque. Ils savent que les israéliens seront contraints d'intervenir au moyen de troupes terrestres, seules capables de déloger les rampes de lancement des Scud et des roquettes qui inévitablement seraient lancés du Liban en représailles à une frappe israélienne. Ils mettent donc les bouchées doubles pour construire, eux-aussi, selon les services de renseignements israéliens, un mur fortifié, sorte de ligne Maginot s'étendant depuis Rachaya Al-Wadi à l'ouest, le long des pentes du Mont Liban, jusqu'à la ville de la Bekaa Aita el-Foukhar. Cette structure de 22 kilomètres de long, longeant la frontière libano-syrienne, a pour but de bloquer toute avance de chars tentant d'investir la capitale syrienne à partir du Liban sud.

Cette zone militaire, habitée paradoxalement par des druzes et des chrétiens, serait entièrement sous le contrôle du Hezbollah et de la Syrie. Ce projet avait été négocié par le leader druze Walid Joublatt qui avait confirmé son allégeance syrienne lors de son dernier voyage à Damas. Ce mur a surtout pour objectif de masquer les transferts d'armement de la Syrie vers son voisin. Le Hezbollah a du mal à camoufler l'évolution de la construction de ce mur puisque des convois de camions en provenance de Syrie transportent en permanence le ciment nécessaire à sa construction, entraînant une raréfaction de cette matière première à Damas.

Les prochaines semaines s'annoncent décisives.

Jacques Benillouche

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24 mai 2010 1 24 /05 /mai /2010 08:10
Obama ou l'art de faire d'une pierre deux coups.
 
Premier acte : l'entente entre la CIA et la Maison Blanche est des plus mauvaise, Obama demande et obtient la démission de Blair.
Second acte : simultanément Obama brise une relation jusqu'à là jamais atteinte entre le renseignement US et le renseignement français, par ce biais, il isole un peu plus l'Europe dans le but inavoué que le dollar redevienne l'unique monnaie de référence mondiale au détriment de l'euro.

Jean-Louis Pourtet, RFI

dimanche 23 mai 2010, sélectionné par Spyworld
logo

Dennis Blair, directeur du renseignement américain, a donné sa démission vendredi 21 mai, pour incompatibilité d’humeur avec la Maison Blanche et à cause aussi de plusieurs ratés dont la fusillade de Fort Hood, les deux tentatives d’attentats à bord d’un avion à Noël, et plus récemment, avec une voiture piégée à Time Square.Des incidents que les services qu’il supervisait n’avaient pas réussi à anticiper. Mais comme le rapporte le New York Times, un autre facteur a contribué a la disgrâce de Dennis Blair : son désir de coopérer plus étroitement avec la France.

Dennis Blair souhaitait entretenir des rapports plus étroits entre le renseignement américain et français. Il préparait, au début de l’année avec Paris un pacte par lequel les deux pays s’engageraient à ne plus s’espionner l’un l’autre.

Car les deux alliés aiment depuis fort longtemps se surveiller : La France essaie de voler les secrets industriels américains, et les Etats-Unis observent les Français qu’ils soupçonnent d’avoir des liens et de commercer avec des pays tels que l’Iran et la Syrie.

Tensions entre les deux gouvernements

Dennis Blair, toutefois, avait estimé que Nicolas Sarkozy était un allié fiable avec lequel il pouvait conclure un « gentleman agreement » identique avec celui qui existe entre Washington et Londres. Malheureusement, la Maison Blanche a décidé de couler le projet, sans en avertir l’Elysée qui ne l’a appris qu’après coup.

Cela a créé des tensions entre les deux gouvernements à un moment où ils essayaient de montrer un front uni pour démanteler le programme nucléaire iranien. Blair a été blamé pour cette mauvaise communication. Mais pourquoi cette opposition de l’administration américaine ? La crainte qu’un accord écrit ne l’handicape si un gouvernement hostile aux Etats-Unis arrive au pouvoir. Comme l’a expliqué un responsable américain : « Comment vérifier si le pacte est respecté ? En espionnant ? ».

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24 mai 2010 1 24 /05 /mai /2010 08:01
Géopolitique/ La carte n'est pas le territoire

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24 mai 2010 1 24 /05 /mai /2010 06:11

 

les rencarts de NINA

 

EUROPALESTINE EST UNE TRUFFE !!!! 

 

Par NINA pour aschkel.info et lessakele.

 

 

eau

Tout fiers d'annoncer que 2 grandes chaînes de supermarchés italiens viennent de boycotter officiellement les produits israéliens, ces résidus communistes révolutionnaires nous prennent vraiment pour des abrutis. 

Ca marche sur les islamo-gauchistes mais en grattant un peu, on parvient facilement à découdre leur propagande digne du IIIè Reich. 

En fait de grandes chaînes de supermarchés, il ne s'agit tout au plus que de quelques magasins tenus par d'éternels communistes purs et durs qui tentent de se faire une petite clientèle du côté des musulmans et gauchistes italiens. 

On résiste comme on peut en période de crise et certains n'hésitent pas à faire dans le halal pour remplir les caisses ou bien dans le commerce politique du type "antisioniste AOC". 
Implantés dans des zones votant à gauche et extrême gauche, ces derniers stales de service veulent se finir en actions minables dignes des heures les plus noires de l'empire du soviétique. 

Un des potes de ces épiciers est connu par nos conspirationnistes du 11/09 n'est autre que ce taré de Giuletto Chiesa, auteur de la fameuse cassette qui inspira les Bigard, Kassowitz et autre M'bala M'bala. 
20 ans en URSS ça vous bousille un homme pour la vie ! 
Ils n'arrivent pas à se faire à l'idée que le communisme est mort alors, ils résistent comme de vieux shnoques qui s'agripperaient aux vitres les mains savonneuses. Et on y va dans le complot et dans le boycott. Pathétiques les mecs ! 

Initié par les britanniques du temps de Cheeri Blair et de son premier Ministre de mari, l'appel au boycott contre les produits israéliens est un sport international. 

Là où vous trouverez des musulmans et des gauchistes en panne de programme politique, vous trouverez les enragés du boycott. Ils n'ont que ça à foutre dans le fond. Ils ne bossent pas, ils ne cultivent pas mais ILS BOYCOTTENT ! Ça les occupe me direz-vous. "Un keffieh et hop ! j'suis cool !" 

C'est que les palestiniens eux-mêmes s'y sont mis. Salam Fayyad, le ministre des finances de l'AP est un sacré roublard. Tout le monde le donnait "pragmatique" comme Mahmood Abbas et puis que dalle...Sa nature profonde d'arabo-musulman arrive à venir à bout du brillant diplômé du Texas. Il se voulait JR et il se transforme en Jihad Radouane ! 

Il commence par faire brûler une tonne et demie de produits alimentaires issus des implantations. Et alors ? Il peut le faire...le monde entier verse des CENTAINES DE MILLIONS AUX PAUVRES AFFAMES PALESTINIENS ! Ils ont donc les moyens de leur politique même si des centaines de millions d'hommes et de femmes meurent de faim à travers le monde. 
Ensuite il légifère sur le boycott et là, on touche le fond de l'affaire. 

de deux à cinq ans de prison et une amende de 15.000 dollars. 
Les pauvres et les objecteurs de conscience iront se rhabiller. On est en démocratie non ?


Il y en a bien qui tentent de contourner étant donné que leurs patrons sont juifs mais désormais, il faudra crever de faim et ne pas recevoir de salaire sous peine d'être jeté en prison ou de payer une lourde amende. (20 à 30 000 palestiniens se retrouvent sans emploi). 

C'est encore pas assez. Certains radicaux demandent à ce que désormais des produits israéliens tels que les produits cosmétiques (un niqab suffira), les textiles (fastoche vu la mode islamique uniquement pour les pauvres, les riches ont des Prada, Gucci et Chanel) et les médicaments. 

Pour les médicaments, je trouve réellement que c'est important qu'ils aillent au bout de leur trip. 
Je les invite même à faire plus fort encore : BOYCOTTER LES HOPITAUX ET LES MEDECINS JUIFS FISSA !!! 
Cela permettra un désengorgement dans les hôpitaux israéliens et crééera moins de bouchons aux cheik points pour s'y rendre. 

Aujourd'hui, Mahmood Abbas, plutôt discret ces derniers temps vu son état de sante, a appuyé cette campagne de boycott. Sans médicament juif, je gage que les élections palestiniennes ne soient anticipées. 

Quant aux agités du bocal d'Europalestine, rien n'y fera. Dernièrement Israël a été admis dans l'OCDE et c'est pas faute d'avoir remué tous vos réseaux d'antisionistes. Waloo, nada, que dalle...Pour être admis dans l'Organisation du commerce international, il faut être un Etat démocratique et capables d'apporter des savoir-faire exemplaires.

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23 mai 2010 7 23 /05 /mai /2010 21:23

 

pour aschkel.info et lessakele

billet benillouche

 

 

BILLET D’HUMEUR : LA PIN-UP DES SOLDATS D’ELITE

Par Jacques BENILLOUCHE

 

Ecouter    

ECOUTEURS AUDIO


Le monde est ainsi mal fait que même les troupes d’élite de Tsahal  sont sensibles à la beauté féminine, à fortiori lorsqu’au fond d’une base perdue dans la nature, le seul contact avec le monde extérieur reste Facebook avec ses mystères et ses fantasmes. La belle Reut Zukerman exposait sa photo suggestive, allongée sur un canapé accueillant, pour pousser les esprits masculins à divaguer avec elle en admirant ses plus beaux atours. La faiblesse humaine est certes un signe de bonne santé physique et morale puisqu’elle a atteint une vingtaine de soldats d’élite et plus de 200 soldats et réservistes.

            Le problème réside dans le fait que derrière cette belle plante se profilait la milice du Hezbollah qui avait réussi à faire tomber dans le piège quelques naïfs pensant qu’ils avaient touché le jackpot en trouvant l’âme sœur auprès d’une jeune et tonique soldate d’une unité spéciale. Qui se ressemble s’assemble, pensaient-ils !

            Le dialogue s’est installé et la mise en confiance a fonctionné parfaitement puisque les victimes israéliennes n’ont pas hésité à communiquer des informations sur leur nom, sur leur unité, sur leurs activités sur le terrain, sur certains codes secrets et sur la description détaillée de leur base. La belle Reut avait concentré son dévolu sur une unité de parachutistes qui pensaient pouvoir ainsi s’envoler vers le septième ciel avant de sauter sur la terre ferme. A priori leur formation sur le maniement des armes et du parachute est insuffisante et il serait bon de conseiller à leurs chefs de la compléter par quelques cours de psychologie d’une part, et de drague d’autre part.

            Un soldat, plus malin et plus soupçonneux que les autres, s’était étonné que leur pin-up commune ait  inscrit sur sa liste d’amis Facebook uniquement des membres des troupes d’élite. Il a donc informé aussitôt l’Etat-major qui a vite attribué au Hezbollah cette mission réussie d’infiltration de Tsahal. La preuve est ainsi faite que les services de la milice libanaise ne sont pas moins doués que les israéliens qui avaient déjà choisi Facebook pour recruter des informateurs et des futurs agents du Mossad, pour Gaza en particulier, selon les informations publiées par le quotidien arabe Aschark Al-Ausat. Le Hezbollah n’a pris exemple que sur les meilleurs dans ce domaine ; une sorte de réponse du berger à la bergère.

            Mais après l’affaire Anat Kam, cet incident démontre, à nouveau et de manière aigüe, la faiblesse des services informatiques de l’armée qui permettent des connexions au sein même de Tsahal sans installer des procédures sérieuses de sécurité à l’heure d’Internet. Au lieu de blâmer ces soldats rêveurs, crédules, naïfs et imprévoyants, Tsahal devrait se mettre d’urgence en quête d’un excellent directeur informatique digne de ce nom. Avis aux amateurs !   

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23 mai 2010 7 23 /05 /mai /2010 07:36

 

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VOUS AVEZ DIT FAUTE MORALE ?

Par Gilles-William Goldnadel

 

Je ne sais ce qui m'attriste le plus dans ce texte littéralement insensé et pourtant intitulé non sans outrecuidance «Appel à la Raison».

J'ai, évidemment, d'abord mal pour Israël, déjà tellement et désespérément seul, mais j'ai mal aussi – et peut-être davantage – pour l'état crépusculaire d’une certaine pensée politique contemporaine.

Car il faut reconnaître que cette pétition de JCall est, hélas, revêtue de la signature de certaines personnalités estimables.

Je ne suis aucunement surpris par le fond de leur revendication : retrait des territoires conquis en 1967.Celles-ci sont connues et anciennes.

J'ai écrit, moi-même, à plusieurs reprises, que je n'avais pas la religion des territoires.

Seulement celle, plus ingrate et  laïque, de la sécurité d'Israël et de son peuple.

Je ne pense pas que lorsqu’Ehud Barak proposa vainement à Arafat la rétrocession de la quasi-totalité desdits territoires – contre une paix définitive – il commit un acte de haute trahison.

Je ne crois pas non plus que Benjamin Netanyahou le pense, lui qui a nommé Barak à la tête du ministère de la défense.

 

Ce que je ne puis admettre, c'est d'abord ce titre qui constitue une véritable indécence, pleine de fatuité, dès l'instant où l'objet serait de raisonner Israël.

Moi, si j'avais les moyens de publier une telle tribune dans la grande presse et si mon dessein était de vouloir raisonner les déraisonnables, j'aurais plutôt, pour autant que la chose soit possible, réservé les colonnes de la presse arabe.

J'aurais invité les Syriens à cesser de livrer, de manière assez irrationnelle pour qui veut la paix, des missiles au Hezbollah libanais en infraction avec la résolution onusienne.

J'aurais pressé les pays du golfe et l'Algérie à cesser leur ostracisme, peu rationnel, à l'égard de l'État juif.

Il y a trois jours, Mme Clinton l'a fait. Pas les raisonneurs juifs qui n'y ont même pas songé.

Vous avez dit faute morale ?

 

Ce que je ne puis admettre c'est que nos pétisionistes, avec un étrange anachronisme, fassent porter le poids moral de la responsabilité de l'enlisement du processus de paix sur la tête d'Israël, comme si le gouvernement israélien était resté immobile, comme si l’Autorité Palestinienne avait, à l'inverse, fait montre du sens du compromis historique.

Voilà un premier ministre élu démocratiquement qui décide, contre la pente naturelle de son camp politique, de reconnaître le bien-fondé d'un État arabe de Palestine et de prononcer le gel provisoire des constructions dans les territoires disputés.

Voilà un Président Palestinien, dont il est recommandé de louer l’extrême modération, qui continue, à l'instar de sa population, de refuser la légitimité d'un État juif en Palestine, autrement dit d'entériner enfin le partage de 1947.

Au même moment où les Israéliens commettaient la bourde administrative qui servit de prétexte au vice-président Bidden pour s'estimer offensé, l'Autorité Palestinienne décernait le nom d'une  place de Ramallah à un terroriste responsable de la mort de 37 civils israéliens.

Depuis, mais un peu tard, Mme Clinton a condamné cette provocation peu contributive de paix. Pas les pétitionnaires juifs.

Vous avez dit faute morale ?

 

Bien sûr que la position israélienne est aujourd'hui inaudible en Europe. Comment  pourrait-il en être autrement après le dénigrement médiatique systématique et permanent auquel nous assistons depuis des lustres.   Est-ce une raison  de voler au secours de la défaite ? D’enfoncer un peu plus la tête de l'être aimé dans la boue de la réprobation unilatérale sous l’étrange prétexte d'affection et de crainte pour lui ? 

Hitler a réussi la plus grande escroquerie politique du XXe siècle en vendant aux jobards que sa revendication satisfaite sur les Sudètes mettrait définitivement fin à ses exigences territoriales.

Les Palestiniens et leurs alliés sont en passe de réitérer le même exploit au XXIe siècle en laissant à penser que le dernier obstacle à la paix serait l'abandon des positions juives dans les territoires disputés et à Jérusalem.

Il est littéralement incroyable que des intellectuels férus d'Histoire, que des observateurs angoissés de l'actualité proche-orientale aient déjà oublié que les concessions unilatérales israéliennes, loin de faire avancer la cause de la paix, incitent un adversaire déjà peu intéressé à la renonciation à ses droits sacrés, à la surenchère irrédentiste.

Quant à espérer une meilleure position diplomatique, une plus grande popularité au sein de l'opinion internationale, voilà encore qui relève et de la candeur et de l'amnésie.

Ont-ils oublié, nos diasporiques donneurs de leçons de morale et de sagesse, qu'il y a seulement quelques mois, l'État juif, qui s'était pourtant retiré de Gaza et qui s'est vu agressé par un mouvement terroriste et islamiste censé être honni, n'a bénéficié d'aucune compréhension et a vu au contraire son premier ministre – qui n'était pas Benjamin Nétanyahou – menacé des foudres de la justice internationale, dès l'instant où il dut recourir à la légitime violence d'État ?

Si d'aventure, le chef du gouvernement israélien décidait, sous la pression, et avant toute négociation, un geste sans contrepartie, il pourrait peut être escompter 24 heures de sympathie mondiale, avant que de nouvelles pressions recommencent, sur fond d'admonestations et de désinformations mensongères.

 

À ce dernier sujet, il aurait été sans doute plus utile à la cause de l'État que l'on ambitionne de sauver, dès lors ou l'on s'adresse au lecteur du Monde et de Libération, en grand déficit d'information raisonnable, mais qui ne souffre pas cruellement d'une pénurie de remontrances à l'égard dudit État, d'expliquer le caractère inique de la justice onusienne en général et du rapport Goldstone en particulier.

 

Il est douteux que le premier ministre israélien, qui ne doit pas lire tous les jours la presse française, s'inspire des dernières recommandations publicitaires qu'elle contient.

Il est douteux que la communauté juive française  soit également ébranlée dans sa solidarité déterminée qui lui vient non d'un suivisme borné mais des leçons amères de l'expérience historique, ancienne ou récente, sagement méditée.

Il n'est pas douteux que les contempteurs d'Israël trouveront dans la pétition juive matière à jouissance intellectuelle et politique.

Il est absolument certain que le lecteur de bonne volonté, déjà tellement égaré, sera davantage encouragé à croire que, décidément, les Israéliens n'ont pas raison.

Vous avez dit faute morale ?

 

 

 

 

Petition contre JCALL

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22 mai 2010 6 22 /05 /mai /2010 23:30

 

Une nouvelle étude de Daniel Giacobi

son excellent blog 

Logo Ici-copie-1

 

 

Pourtant contestée le concept de « choc des civilisations » a aujourd'hui pignon sur rue, que l’ong 75 choc des civil 3 soit pour ou contre, on en fait mention. La notion semble avancer dans l’opinion publique comme le montrent l’affaire de l’interdiction des minarets en Suisse ou le débat sur le voile islamique.

 

Le « choc des civilisations », un nouveau concept géopolitique ?

 

Ainsi pro- et anti-, contribuent en fait tous à répandre la thèse d’Huntington, en accordant une importance inouïe à la question des civilisations dans les affaires internationales.

Rejeté en France, le concept s’installe pourtant peu à peu. En décembre 2003, quand  à Tunis, le président Jacques Chirac parle d’« agression » à propos du foulard islamique, la journaliste Elisabeth Schemla s’en réjouit : « Pour la première fois, Jacques Chirac reconnaît que la France n’est pas épargnée par le choc des civilisations.»

titre choc des civil 7Emmanuel Brenner dans un pamphlet intitulé « France, prends garde de perdre ton âme.. » écrit en 2004 écrit : «  il faut tenir compte d’enjeux culturels qui traduisentdes affrontements entre des conceptions du monde différentes sinon antagonistes. (...) Cette dimension culturelle fait défaut à de nombreux observateurs qui omettent de prendre en compte cet arrière-fond historique …. dont la nature longtemps conflictuelle affleure dans les retours identitaires d’aujourd’hui. Il n’est que d’évoquer les croisades et l’affrontement entre les deux rives de la Méditerranée, l’avancée de l’islam dans le sud-est de l’Europe jusqu’aux portes de Vienne au XVIIe siècle,  le temps du Turc redouté et abhorré, puis le temps de la colonisation et son cortège de violences, celui de la décolonisation, enfin, qui fut souvent sanglante. Cette confrontation, ancienne et récurrente, a sédimenté dans les consciences des peuples. » Et c’est pour cela, conclut-il, que nombre de jeunes Beurs français sont « culturellement » antisémites...

Blois, le 4 septembre 2007, Nicolas Sarkozy prononce un discours pour la rentrée des classes, il appelle au refus du "choc des civilisations"  :

« Si je veux que l'école, par-dessus tout, demeure laïque, c'est parce que la laïcité est à mes yeux un principe de respect mutuel et parce qu'elle ouvre un espace de dialogue et de paix entre les religions, parce qu'elle est le plus sûr moyen de lutter contre la tentation de l'enfermement religieux. Au risque de la confrontation religieuse qui ouvrirait la voie à un choc des civilisations, qu'avons-nous de mieux à opposer que quelques grandes valeurs universelles et la laïcité ? Pour autant, je suis convaincu qu'il ne faut pas laisser le fait religieux à la porte de l'école. La genèse des grandes religions, leurs visions de l'homme et du monde doivent être étudiées, non, bien sûr, dans un quelconque esprit de prosélytisme, non dans le cadre d'une approche théologique, mais dans celui d'une analyse sociologique, culturelle, historique qui permette de mieux comprendre la nature du fait religieuxLe spirituel, le sacré accompagnent de toute éternité l'aventure humaine. Ils sont aux sources de toutes les civilisations et l'on s'ouvre plus facilement aux autres, on dialogue plus facilement avec eux quand on les comprend. »

 

Cette idée de civilisation a été reprise par Nicolas Sarkozy dans son discours de vœux  2008. Sous l’inspiration de Henri Guaino, principal conseiller et plume des discours officiels, il a annoncé aux français "une politique qui touche davantage encore à l'essentiel, à notre façon d'être dans la société et dans le monde, à notre culture, à notre identité, à nos valeurs, à notre rapport aux autres, c'est-à-dire au fond à tout ce qui fait une civilisation". Il a évoqué les "Droits de l'Homme", "le goût de l'aventure et du risque", "l'environnement", etc, pour appeler une "nouvelle Renaissance", "une politique de civilisation"pour la Franceedgar-morin du XXIe siècle. La formule est empruntée au titre d'un livre du sociologue Edgar Morin publié en 1997 en collaboration avec le politologue Sami Naïr après le mouvement social de 1995 contre la réforme Juppé. Cet ouvrage aborde la question de la nécessaire réforme du service public français tout en  le préservant d’une destruction totale sous la pression du "libéralisme économique européen". Pour les deux auteurs, "la politique de civilisation vise à remettre l'homme au centre de la politique, en tant que fin et moyen, et à promouvoir le bien-vivre au lieu du bien-être". Le livre développe un concept d'écologie politiqueformulé dès les années 1960 dans l'œuvre du sociologue, en particulier dansAnthropolitique: Introduction à une politique de l'homme (1969).

Le socialiste Arnaud Montebourg dénonce un "concept nouveau qui ne veut absolument rien dire" hormis "une sorte d'intégration au bloc anglo-saxon" et "une espèce de croisade de l'affrontement des civilisations".

 

Le 19 janvier 2009 l’éditorial de Ouest France était intitulé : « Refuser le choc des civilisations ». Il a gardé toute son actualité. En voici l’intégralité (les passages sont surlignés par moi):

On prie à Gaza et à Jérusalem. En appeler à Dieu pour vaincre son ennemi ? Cette question sacrée pose un sacré problème... Cela donne le choc des civilisations et c'est la guerre. Le monde en fourmille d'occasions quand les hommes défendent aveuglément leurs fourmilières organisées autour d'une vision du monde, d'une révélation et d'un territoire. Nous le savons tous et l'actualité s'en fait le triste écho ces jours-ci aux abords d'une terre sainte et martyre. L'Histoire est jalonnée de guerres de religions, de conflits ethniques, de rivalités communautaires...

Or, nous voulons la paix, celle des hommes et des âmes. Au fil du temps qui fait l'Histoire, sur le chemin de la paix, l'homme a écrit les droits de l'homme, parmi lesquels la liberté de conscience, droit de croire ou de ne pas croire. Mais, pour que la foi ne soit pas prise en otage par des illusions séculières, il faut séparer ce qui relève de la transcendance et du temps qui passe. Pour que la loi protège la foi il faut renoncer à ce que sa foi dise la loi... Très clairement : pas de religion d'État.

Mais la séparation entre le privé (religieux) et le public (laïc) suppose de renoncer à l'arrogance de la supériorité... N'ayez pas peur... Admettre la légitimité d'une autre foi n'est pas nier sa propre foi. La peur de la religion de l'autre serait un manque de confiance en sa propre foi. Il faut dire adieu au fanatisme. Le respect de l'autre prend alors le nom de laïcité.

Il faut redire l'exigence de laïcité dans la conduite des affaires du monde, pour le respect des consciences et l'harmonie publique, avec pour meilleure arme la tolérance. Non pas cette laïcité paranoïaque qui voit en toute croyance un déni d'humanité et du coup se révèle croyance obscurantiste, mais cette belle laïcité qui permet à chaque religion de ne pas craindre l'autre, la laïcité comme lettres de noblesse de la politique du bien commun, pour vivre ensemble au nom de quelque chose ou de rien, espérance aux multiples racines...

La laïcité comme moyen de la liberté et de la paix, ce n'est pas une utopie trop belle pour être crédible. C'est une exigence. C'est le seul moyen de lutter contre les peurs ignorantes qui lancent les modes de vie les uns contre les autres.

Chez nous, contre les tentations de conflits qui reproduiraient les guerres qui désolent le monde, l'école républicaine et laïque doit enseigner tous les faits religieux et l'histoire des civilisations. Apprenons l'histoire aux enfants, étudions le fait religieux des autres, invitons toutes les cultures du monde à la table des écoles, écrivons le nom de Dieu et de la liberté dans toutes les langues. Et chacun saura que Dieu ne peut être l'ennemi de personne. À Gaza comme à Jérusalem.

 

En 2005, Kofi Annan, secrétaire général de l’ONU, commanda un rapport et réunit un forum international sur “l’Alliance des civilisations”.

g 79 anti choc des civil 10 « L'Alliance des civilisations », l’initiative a été lancée par le Premier Ministre espagnol de l’époque, M. Zapatero avec le soutien de la Turquie, en septembre 2004, à l'Assemblée générale des Nations Unies dans le but de prévenir les risques de fracture entre l'Occident et le monde musulman. Elle est présentée en décembre 2004 devant la Ligue arabe. Le 14 juillet 2005, le Secrétaire Général de l'ONU, Kofi Annan reprend l'idée d'une « alliance des civilisations» et décide de parrainer l'initiative. Un groupe de travail formalisa le projet et un comité de haut niveau créé en septembre 2005 présenta un rapport fin 2006, assorti d'un plan d'action concret. - Ce haut comité fut présidé par Federico Mayor, ancien Directeur Général de l'UNESCO et par Mehmet Aydin, Ministre d'Etat turc. Il comprend des personnalités du monde politique, des intellectuels, des hommes de religion, comme l'Archevêque Desmond Tutu, l'ancien Président iranien Mohammed Khatami, l'ex-président de la Banque inter-américaine de développement Enrique Iglesias, M. Hubert Védrine. - Il vise à renforcer le dialogue interculturel et à dépasser les incompréhensions mutuelles, particulièrement entre le monde occidental et le monde musulman.

 

Une vidéo d’animation:     http://www.youtube.com/watch?v=vAu_cW8SskQ
La contradiction des valeurs : le débat à propos de la condition féminine g 73 choc des civil 9

 

h 3 Gr Afghanistan Talibans

  

  

  

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pourtant le dialogue n’est pas aussi simple que l’on pourrait croire, alors que l’Occident depuis un siècle tend à établir la parité hommes-femmes dans tous les domaines, le maintien dans l’Islam d’une condition de second rang pour les femmes crée une contradiction difficile à résoudre si l’on se place du côté du droit occidental ou de celui du droit islamique, le débat sur le voile intégral en France en est la démonstration.h 2 AFG Fms avec la burqa ss Talibans (c) Gamma

h 1 Gr Afghanistan Talibans é

 

Un autre exemple : Au Pakistan, les crimes d’honneur sont très courants et toléré par la justice : une diapo vitriol7jeune fille refuse d’épouser le garçon choisi par sa famille, ou une épouse regarde un autre homme, et la folie s’empare de celui-ci et parfois de ses complices. Un flacon d’acide coûte seulement quelques roupies au marché du coin, il est très facile de s’en procurer pour commettre son crime sans souci. ”Sans souci”puisque l’État Pakistanais ne porte pas devant la justice ces crimes d’honneur.  Une déclaration d’un ”témoin” présent le jour de l’agression permet au garçon d’échapper à la prison. Les femmes ont toujours tort. Chaque année, des centaines de femmes sont aspergées d’acide ou de kérosèneLorsqu’une jeune femme se retrouve ainsi mutilée, si elle a eu la chance de survivre, elle doit rester cachée dans sa famille, qui a souvent honte d’elle ou mendier dans la rue pour pouvoir manger. Ses cicatrices indélébiles et douloureuses, sont cachées sous ses amples vêtements et un foulard. Comment vivre ainsi ? Puisque la justice ne reconnaît pas le crime dont elle a été victime, il ne lui reste souvent qu’une solution : le suicide.

Si c’est le sort de nombreuses pakistanaises, quelques unes espèrent s’en sortir grâce au soutien d’associations venant en aide aux femmes victimes de crimes d’honneur.

C’est le cas de Smile Again qui a déjà fait l’objet de reportages dans Elle et sur France 24. C’est en 2003 que diapo vitriol5Smile Again,association italienne officiant jusqu’alors au Bangladesh, qu’au PakistanMassarat Misbah, une femme d’affaire de Lahore, décide d’associer son entreprise de salons de beauté, Depilex à cette association. Elle crée Depilex Smile Again et ouvre ses salons de beautés aux femmes traumatisées et mutilées pour qu’elle retrouvent leur dignité. Malheureusement  l’exploitation de la détresse humaine est une réalité bien connue dans notre monde -  beaucoup n’ont pas bénéficié des soins promis et l’association a subi des graves détournements d’argent de la part de la femme d’affaire contre laquelle une plainte  a été déposée. Lors de son dernier voyage au Pakistan, en décembre 2009, Clarice Felli, la fondatrice de Smile Again, s’aperçoit que Masarrat a levé des fonds considérables sans jamais lui en parler. Elle réclame des explications mais Masarrat refuse de lui répondre et la menace. Clarice Felli découvre que des dizaines de patients censés avoir été traités par la fondation n’ont jamais reçu d’aide médicale.

 Lisez l’enquête du journal Libération en février 2010 :

http://www.liberation.fr/monde/0101616880-la-marraine-escroc-des-femmes-brulees-du-pakistan

Il n’empêche que la réalité des femmes défigurées est incontestable et intolérable au regard des principes occidentaux.

http://www.depilexsmileagain.com/

Deux vidéos :     http://www.youtube.com/watch?v=xThMhHT_rZY

http://www.france24.com/en/20090225-pakistani-women-acid-sulfuric-kerosene-attacks-Depilex-Smile-Again

http://www.youtube.com/watch?v=CQvHtJg3kuQ

 

 

D’où vient le concept de  "choc des civilisations" ?

 

Il a été formulé par Samuel Huntington qui est mort à l'âge de 81 ans le 24 décembre 2008.

Il était né le 18 avril 1927 à New York. Diplômé de la prestigieuse université Yale à 18 ans, il commence à enseigner dans la tout aussi prestigieuse université Harvard à 23 ans ; professeur reconnu très réputé il g 6 samuel Huntingtondonna des cours jusqu’à l’âge de 80 ans en 2007. "On a étudié ses idées et on en a débattu dans le monde entier", écrit l'économiste Henry Rosovsky, ami de Huntington, sur le site internet de Harvard. "Il était de toute évidence l'un des politologues les plus influents des cinquante dernières années." Jorge Dominguez, l'un des vice-doyens de Harvard, l'a décrit comme "un des géants de la science politique dans le monde au cours du dernier demi-siècle. Il avait le chic pour poser la question cruciale mais dérangeante. Il avait le talent et l'intelligence pour formuler des analyses capables de résister au temps". Pour le professeur Stephen Rosen, spécialiste des affaires militaires et de sécurité nationale, "l'intelligence brillante de Samuel Huntington était reconnue par les universitaires et les hommes d'Etat qui avaient lu ses livres à travers le monde. Mais ceux qui le connaissaient l'aimaient car il combinait une loyauté féroce envers ses principes et ses amis et un plaisir à se confronter à ceux qui s'opposaient à ses idées".

Il fut l'auteur ou co-auteur de 17 ouvrages et 90 articles scientifiques, sur la politique américaine, la démocratisation, la politique militaire, la stratégie et la politique de développement, selon Harvard. Ses recherches ont d'abord  porté surles relations entre l'armée et l'Etat et sont publiées en 1957, dans un ouvrage à l'époque très controversé intitulé "The Soldier and the State" (Le soldat et l'Etat). Réimprimé 15 fois, il est aujourd'hui considéré comme une référence. Puis il étudiales conséquences désastreuses de la guerre froide. Son travail s'orienta à la fin des années 1960 vers la situation économique et politique des pays du Tiers monde. Il aboutit à la publication en 1969 d'un livre de synthèse, "Political Order and Changing Societies" (« Ordre politique et évolution des sociétés »).

 

Aux Etats Unis, Huntington n’était pas un conservateur !

 

Démocrate, il participa à la campagne présidentielle de 1968 comme conseiller aux affaires étrangères de Hubert Humphrey battu à l’époque par Richard Nixon. Il est toujours resté fidèle au Parti démocrate et travailla à la Maison Blanche pour le Conseil de sécurité nationale de Jimmy Carter en 1977 et 1978.

 

Huntington, auteur d’un best-seller mondial :  "le Choc des civilisations".

QU’EST-CE QUE LE "CHOC DES CIVILISATIONS" ?

 

C’est en 1993 que Huntington reprend la formule du « choc des civilisations » dans un article célèbre paru dans la revueForeign Affairs“The conflicts of the future will occur along the cultural fault lines separating civilizations.”  = « Les conflits à venir se produiront le long des lignes de fracture culturelle qui séparent les civilisations. » )

 Il développe ensuit sa thèse dans un livre paru en 1996 - traduit ensuite dans 39 langues - avec un titre choc : « the clash of civilizations »  qui fut un événement majeur dans l’histoire contemporaine des idées politiques. Samuel Huntington a suscité aux Etats Unis un vif débat sur les relations entre les mondes occidental et islamique   -surtout après les attentats du 11 septembre 2001 -. Dès la publication, intellectuels, médias et opinions publiques en Occident se divisent en pro- et anti-Huntington

LIVRE c choc des civil 2 LIVRE a choc des civil

 

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Le contexte de sa publication est important, non pas, celui du 11 septembre 2001, mais celui du 9 novembre 1989,celui de la chute du Mur de Berlin et de la fin du communisme en Europe …Alors que Francis Fukuyama proclame la fin de l’histoire,  pour Huntington l’histoire rebondit : à l’affrontement bipolaire de la Guerre froide succède un affrontement multiforme et multipolaire où coexistent, pacifiquement ou pas, huit blocs qu’Huntington appelle “civilisations”.g 78 choc des civil 8

g 70 PolicierWallStreet

    Son dernier livre, "Qui sommes nous? Identité nationale et choc des cultures" est paru en 2004 et fit aussi débat car il y affirmait que l'afflux massif d'immigrés mexicains aux Etats-Unis menaçait l'identité et l'unité nationales américaines; ses dernières travaux  portèrent sur les liens religions/ identités nationales.

une-samuel-huntingtonPour Huntington, dans le monde d'après-guerre froidele conflitn'opposera plus des Etats-nations rivaux idéologiques, politiques et économiques mais des "civilisations", aux spécificité culturelles et religieuses de plus en plus marquées et antagonistes. En insistant sur les facteurs de conflit culturels et non plus sur les antagonismes idéologiques, politiques et économiques qui dominaient la Guerre froide.

     “Si le XIXe siècle a été marqué par le conflit des Etats-Nations et le XXe par l’affrontement des idéologies, écrit-il, le siècle prochain verra le choc des civilisations car les frontières entre cultures, religion et race sont désormais des lignes de fracture.”

   Civilizations map wikipedia

§ La notion de civilisation selon Huntington est une notion composite théologico-ethnico-politique un peu inspirée  des historiens Fernand Braudel et Toynbee, beaucoup de Spengler. Mais  pour Braudel la religion n’est qu’un des traits de caractères d’une civilisation, elle n’est pas déterminante, il utilise la notion de civilisation permet de comprendre la complexité du monde.

Huntington divise le monde en huit aires d’importance inégale :

 occidentale –Europe occidentale + Amérique du Nord-(bleu foncé) ,

  slave-orthodoxe autour de la Russie, (bleu clair)

 latino-américaine, (violet)  

 confucéenne - sino-vietnamo-coréenne- , (brun-rouge)  

 japonaise, (rouge)

 islamique, (vert)

 hindouiste  (orange)  

 africaine. (marron)

Dans cette division du monde le fait religieux est déterminant. Il applique au monde entier un modèle théologico-politique qui porte en lui le radicalisme religieux (qu’il soit musulman, juif ou chrétien). Pour lui, le fondamentalisme l’a déjà emporté et tous les progrès issus des Lumières, ce qu’on appelait justement  au XVIIIe siècle la civilisation, sont ruinés.

  Mais sa théorie géopolitique se confronte souvent à la complexité de la réalité. Par exemple, c’est le cas de  la Turquie, membre de l’Otan depuis 1952 et ainsi arrimée au bloc occidental, Huntington la retire de l’aire de la civilisation musulmane en s’appuyant sur son choix de la laïcité après la 1ère Guerre mondiale sous le régime de Mustafa Kemal Atatürk.…Il ne prend pas en compte la montée des partis intégristes en Turquie. Samuel Huntington a défini la Turquie comme "un Janus aux deux visages", dont on ne sait jamais s’il est ami ou adversaire de l'Occident.

Aussi ses thèses étaient souvent présentées comme  simplistes et auraient signifié l'idée d'un Occident en opposition avec le reste du monde. Huntington répondit dans un entretien à la revue Islamica en 2007: "Je maintiens que les identités, les antagonismes et les affiliations culturels joueront non seulement un rôle, mais un rôle majeur dans les relations entre Etats."

Ainsi, au cœur de la pensée d’Huntington se trouve l’opposition entre deux entités aux contours nettement définis,« Islam » et « Occident » (ou « civilisation judéo-chrétienne »).  C’est une pensée minimaliste qui réduit les musulmans à une culture figée et éternelle qui rejette avec haine une culture occidentale fondée sur le progrès et la remise en question. « Cette haine… devient un rejet de la civilisation occidentale comme telle, non pas seulement pour ce qu’elle fait mais pour ce qu’elle est et les principes et les valeurs qu’elle pratique et qu’elle professe.» Selon lui si les Musulmans haïssent l’Occident et les EU en particulier, ce n’est pas à cause de leur soutien à l’Etat d’Israël ou de leur occupation de l’Irak mais parce qu’ils rejettent les notions de liberté, de promotion des femmes et de démocratie. Comment comprendre le conflit du Kosovo selon cette thèse ? Par le refus des musulmans d’être gouvernés par des infidèles.

 

Le succès des thèses de Huntington tient au fait que pour se mettre à la portée du commun des mortels, g 5 Samuel Huntingtonil est plus facile d’expliquer le monde contemporain suivant des schémas simples, sinon simplistes, plutôt que de chercher à rendre compte de la complexité de toutes les interactions à l’œuvre dans les relations internationales en appliquant des méthodes historiques rigoureuses à la façon d’un Fernand Braudel, d’un Raymond Aron ou d’un Edgar Morin qui en "keynésien" libertaire, un des premiers penseurs d'une écologie radicale appliquée à tout l'écosystème de la société humaine, environnemental mais aussi social, économique et politique. Sa notion de "complexité systémique" et ses analyses sociétales formulées ses divers livres - de L'Homme et la mort (1951) à L'an I de l'ère écologique (avec Nicolas Hulot, 2007) en passant par La Méthode (6 volumes, 1977-2004), Terre-Patrie (1993), La Complexité humaine (1994) ou encore Le monde moderne et lag 75 choc des civil 3question juive (2006) - aborde les problèmes fondamentaux de notre temps et s'efforce de concevoir la complexité anthropo-sociale en y incluant les dimensions biologiques et imaginaires. Edgar Morin appelle à se saisir de la complexité du réel et s'attache, notamment dans La Méthode, à proposer aussi bien une éthique qu'un nouveau "filtre d'intelligibilité"

En réalité l’histoire comme l’actualité sont le lieu d’innombrables paradoxes et contradictions (rivalités entre Etats musulmans, rivalités au sein des mêmes religions, conflits entre Etats occidentaux, relations complexes des EU avec certains de ses alliés : Arabie Saoudite, Pakistan…).

 

Il n’est pas si facile qu’il y paraît d’enfermer notre monde dans la « planète du "choc des civilisations" selon Huntington ».

 

 

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22 mai 2010 6 22 /05 /mai /2010 20:35

 

 

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BILLET D’HUMEUR : D.S.K SUPERSTAR

Par Jacques BENILLOUCHE

 

 

 

Le directeur général du Fonds montéraire international (FMI) Dominique Strauss-Kahn souligne qu'"il faut réussir à éviter la contagion" de la ...


Ecouter

 


 

Dominique Strauss-Kahn a été exceptionnel lors de sa prestation télévisée du jeudi 20 mai. Tous les commentateurs politiques ont été unanimes à louer sa compétence, sa dignité dans le commentaire, sa sobriété dans ses explications et sa modestie dans sa fonction. Les sondages sont pour lui au firmament au point qu’on le presse à se présenter à l’élection présidentielle de 2012 puisqu’il est déjà déclaré vainqueur sur le papier. La question ouverte concerne l’intérêt qu’il aurait à briguer un poste convoité mais soumis aux aléas de l’humeur versatile des français. Que peut rechercher un homme qui a déjà tous les honneurs et qui, parce qu’il distribue l’argent abondamment, est considéré comme un demi-dieu sur terre ?

            Il occupe un poste, auquel il serait certainement réélu pour cinq ans jusqu’en 2017,  rémunéré à un demi-million de dollars net d’impôts, nourri et logé grâce à sa fonction au FMI alors que le salaire d’un président français atteint à peine 228.000 euros imposables. Certes, l’argent n’est pas le moteur essentiel d’une carrière, à la rigueur un étalon de la réussite, mais à ce stade et à ce niveau, il n’est plus motivant face à la détention du pouvoir suprême.

            Le président français gère un pays de 60 millions d’individus toujours insatisfaits alors que DSK gouverne le monde entier, fréquente d’égal à égal tous les chefs d’Etat qui lui sont souvent redevables, côtoie les grandes sommités de ce monde, est respecté et craint à la fois, et tient entre ses mains le sort de millions d’individus qui le vénèrent parce qu’il a le pouvoir de les sortir de la guigne économique. On comprendrait peu l’intérêt qu’aurait DSK à prendre les rênes d’un pays ingouvernable, dont les administrés vouent aux gémonies le président qu’ils ont choisi, qui réclament le beurre et l’argent du beurre alors que le pays est en faillite, qui refusent les sacrifices à condition qu’ils ne concernent que les autres, qui ne font preuve d’aucun sentiment de solidarité lorsque l’on touche à leur porte-monnaie et enfin, qui critiquent tout ce que le président et son gouvernement décident.

            Le point fondamental qui chargerait la balance tient aux origines de DSK et de sa femme Anne Sinclair, née Schwartz. En se réclamant de leur identité juive, ils risquent de susciter des sentiments antisémites de la part de compatriotes qui vouent à l’islam une passion immodérée ou de ceux qui partagent encore les idéaux racistes d’extrême-droite. Au moment où les tensions créées par les islamistes exacerbent les sentiments de défiance d’une partie de la population, voyant la nécessité d’un Djihad partout où la contestation existe, DSK sera toujours considéré comme responsable des troubles intercommunautaires.

            Les israéliens seraient fiers d’avoir un homme comme lui aux commandes de la France mais ils savent d’avance qu’ils n’en tireront aucun profit car chacun de ses actes serait mesuré au degré d’amitié qui sera perçu dans ses décisions vis-à-vis d’Israël. Ils craignent une inertie justifiée par une volonté de ne pas être taxé de favoritisme. Alors, ils le préfèrent au FMI où il constitue un parfait tandem avec le président de la Banque d’Israël, Stanley Fisher, homme-clé de la réussite de l’économie israélienne.       

 

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