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4 septembre 2011 7 04 /09 /septembre /2011 07:51

 

 

 

Dr Martin Luther King

LES INCOHÉRENCES DES ANTISIONISTES par Dora Marrache

LES INCOHÉRENCES DES ANTISIONISTES

 

« Quand les gens critiquent le sionisme, ne te trompe pas, ils pensent les Juifs ». (Martin Luther King) 

 

« Quelqu’un qui a toujours critiqué Israël est un antisémite » (Élie Wiesel) 

Depuis quelques années, on constate que la voix des antisionistes se fait de plus en plus entendre pour condamner Israël et bien souvent pour prôner sa destruction pure et simple. Contrairement à ce qu’ils affirment, à savoir que le lobby juif exerce des pressions sur les medias pour les empêcher de s’exprimer, ces antisionistes font la Une des journaux et sont reçus comme des personnages éminents sur les plateaux de télé. Je serais presque tentée de dire qu’on n’entend qu’eux et qu’il est fort regrettable qu’ils ne rencontrent que peu ou pas de résistance.

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22 août 2011 1 22 /08 /août /2011 19:31

 

 

Le Caire - Vidéo du jour - Manifestation putride contre l'Ambassade israélienne au Caire "Les chambres à Gaz sont prêtes".

 

Espérons que le larbin américain des frères musulmans qui a soutenu le renversement de Moubarak, un des seuls pays avec la Jordanie qui ait tenté de maintenir la paix avec Israël, réflechisse aux dégâts qu'il a causé !

 

 

 


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9 août 2011 2 09 /08 /août /2011 11:11

Orange aussi élimine Israël, SFR propose un tarif Internet depuis la Palestine

http://www.europe-israel.org

 

boycott-Orange


  août 7th, 2011   Daniele - Europe-Israel.org

 

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Les abonnés à Orange reçoivent dès  leur arrivée à l’aéroport Ben Gourion  (Tel Aviv) le message suivant sur leur téléphone

« Orange vous accompagne to PALESTINIA AUTHORITY »

Orange participe aussi au boycott d’Israël. Son slogan  « La vie change avec Orange » changerait-il aussi la carte du Moyen-Orient ?

 Europe Israël écrit au PDG  d’Orange  et de France Télécom afin de lui demander sa position officielle de la société Orange , filiale de France Télécom.

France Télécom société française  participe donc au boycott d'Israël, nous demandons au gouvernement français quelle est sa position officielle de la France à ce sujet.

Les  consommateurs prendront aussi leurs responsabilités, comme la campagne auprès de Nivéa contre le boycott d’Israël vient de le démontrer.

Les citoyons que nous sommes ont de la mémoire.

 

Les abonnés  SFR ne sont pas en reste : ils reçoivent le tarif internet depuis la Palestine, 0, 45 €/ 10 Ko.

 

Vous pouvez écrire à orange par mail :

http://assistance.orange.fr/contacter-le-service-clients-orange-mobile-2383.php
http://assistance.orange.fr/contacter-le-service-clients-orange-mobile-par-mail-2394.php

 

Idem et suites : 

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4 août 2011 4 04 /08 /août /2011 21:27


Par Isabelle Kersimon - Mercredi 3 août 2011 à 16:36

 http://www.guysen.com

 

 

L’ex-Pink Floyd Roger Waters donne ces jours-ci un concert à Athènes. Il s’était produit en Israël, au village coopératif judéo-arabe de Neve Shalom, en 2006. Depuis, il boycotte l’Etat juif.

 

 En 2006, l’artiste britannique avait refusé de se produire sur les scènes à ciel ouvert connues en Israël, et opté pour un lieu particulier : le village coopératif judéo-arabe de Neve Shalom, au centre du pays. Il y avait donné un concert resté dans les mémoires, devant un public des dizaines de  milliers de fans déchaînés et heureux, qu’il avait conclu par un appel à « abattre le mur » et à faire la paix.


 

L’art a pour vocation d’éveiller les consciences, et « la musique adoucit les mœurs ». Nul ne devrait donc tenir rigueur à Roger Waters de rêver à une paix et à une fraternité que tous les Israéliens appellent de leurs vœux depuis toujours, fatigués des agressions répétées dont ils doivent se défendre, de génération en génération, en deuil de pères, de fils, de frères, de cousins et d’époux depuis trop longtemps.


 

Personne, donc, n’aurait l’idée de contester le rêve de Roger Waters, à qui la qualité de star incontestée et internationale donne des airs de démiurge dans le gigantisme de son dernier show : « The Wall », « Le Mur ».
 

On s’en doute, l’occasion est toute trouvée pour « dénoncer » la barrière de sécurité israélienne. Et la Ligue anti-diffamation américaine a alerté le gouvernement israélien au sujet des clips vidéo qui animent le spectacle, truffés, selon elle, de références antisémites et anti-israéliennes : des boucliers de David accrochés au symbole du dollar, des avions larguant des bombes en forme de bouclier de David, des images de soldats israéliens et de Palestiniens en souffrance…


 

Dépêché par l’ambassade d’Israël à Athènes, le diplomate Yossi Moustaki s’est rendu sur place (en payant son ticket, selon le Jerusalem Post).


 

Selon lui, les soldats de Tsahal sont représentés sans lien effectif avec les images de Palestiniens. Gageons que le public fera le lien tout seul, compte tenu des prises de position du musicien.


 

Il ajoute que le seul autre pays critiqué par la star du rock progressif est l’Iran : des tableaux montrent l’assassinat de militants iraniens des Droits de l’homme lors des manifestations anti-gouvernementales.


 

L’employé de l’ambassade, qui reconnaît ne pas avoir apprécié la musique, réfute aussi les accusations d’antisémitisme car « des croix apparaissent le long des boucliers de David, et nul ne prétend que le concert est anti-chrétien ».


 

On est fondé à se demander quelle aurait été la réaction des chrétiens si le clip avait mis en scène la Garde suisse vaticane en sus des croix.


 

Et qu’en est-il des dollars, évoquant dans l’imaginaire antisioniste radical la puissance de l’ « empire judéo-américain », le « capitalisme mondial aux mains des sionistes », voire le Protocole des Sages de Sion et la prise de pouvoir juive, par l’argent, sur la planète ?


 

Ces images, pas exactement d’Epinal, marquent les consciences, et représentent peut-être pour l’artiste le danger de la valeur de l’argent, le coût des armements…


 

Dans un entretien accordé à la chaîne qatarie Al-Jazeera, Roger Waters a aligné les poncifs de l’antisionisme radical, sans en avoir conscience sans doute.
 

Il a accusé d’Etat juif de « répandre du bout des lèvres l’idée qu’ils veulent faire la paix, pendant qu’ils expulsent les gens de leurs maisons et qu’ils annexent tranquillement le pays ».


 

Il a ajouté qu’Israël est un Etat raciste et discriminant, annexant une énorme partie de la Judée-Samarie.


 

Et pour s’assurer de ne pas se contenter de paroles vaines, il a appelé ses amis musiciens et artistes à rejoindre la campagne BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions).


 

« J’ai finalement décidé de sortir ma tête de l’eau et de dire assez c’est assez », a-t-il dit. Cette formule « enough is enough » avait fait le tour du monde en 2009 pendant l’opération Plomb durci à Gaza, lorsque Tzipi Livni, leader du parti Kadima, expliquait aux gouvernements qu’Israël avait reçu trop de roquettes et de missiles pour en supporter davantage sans réagir.


 

Mais les attaques sur Israël ne semblent pas vraiment émouvoir le pacifique créateur, qui se mêle de questions politiques complexes et propose, tel un gourou, des solutions simples.


 

Il évoque ses amis israéliens « qui désapprouvent la politique étrangère menée par leur gouvernement » et indique que des milliers et des milliers d’Israéliens sont opposés à sa « politique répressive, raciste et colonialiste, impérialiste et mauvaise » et la combattent. Des amis de gauche.
 

C’est pourtant bien le parti travailliste israélien, Yitshak Rabin en tête, qui avait le premier envisagé d’ériger une barrière de séparation, dès 1990, pour éviter la multiplication des incidents violents entre Palestiniens et Israéliens. Certes, c’est Ariel Sharon, après moult hésitations, qui a donné l’ordre de la construction préconisée par la gauche, sous la pression d’associations de citoyens refusant de continuer à subir sans broncher les séries d’attentats meurtriers de la deuxième Intifada...
 

Sans doute n’a-t-il pas vraiment conscience du discours qu’il véhicule, parce qu’il est de bonne foi et qu’il calque l’image du mur de Berlin sur la situation en Israël. C’est un artiste, il pense en associant des idées, des images, des symboles.


 

« Je pense », dit-il, « que nous sommes tous des êtres humains avant tout »… Un grand moment dans l’histoire de la pensée.


 

Aux avant-postes de l’expérience post-nationale européenne, il « applaudit ceux dont l’humanité transcende la religion et la ferveur nationaliste qui pourraient les faire régresser ».


 

Il se verrait bien donner un concert géant, comme à Berlin en 1990 après la chute du Mur, si « le mur séparant les Palestiniens et les Israéliens était abattu ».


 

Berlin, c’est bien le problème. Marqué par son défunt père, mort au combat contre l’Allemagne nazie en 1944, Roger Waters s’est peut-être trompé d’époque, et de concepts.

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4 août 2011 4 04 /08 /août /2011 08:18

MERCREDI 3 AOÛT 2011


Complot du jour: Moubarak est mort en 2004 et un agent sioniste l'a remplacé

 

http://philosemitismeblog.blogspot.com/

La complot du jour nous vient d'Égypte (Elder of Ziyon).

Repris du The Daily Telegraph, qui couvre le procès de Hosni Moubarak qui vient de s'ouvrir:

11.32 Moment surréaliste lorsqu'un avocat déclare que Moubarak est mort en 2004, et que l'individu présent au tribunal est le fruit d'un complot ourdi par l'Amérique et Israël. Il demande qu'un test ADN soit effectué pour qu'on s'assure qu'il s'agit bien de Moubarak et pas d'un sosie.

Plusieurs avocats interpellent le juge, qui demande d'une voix lasse: "Qu'est-ce que ce que vous dites a à voir avec le procès?"

Précisions sur la conspiration autour du sosie de Moubarak qui l'aurait remplacé lorsque le vrai est mort en 2004:

L'avocat complotiste s'appelle Hamed Siddik, et il avait déjà dénoncé en 2004 ... que Moubarak était mort et qu'un imposteur l'avait remplacé.

Pendant le Ramadan, les chaînes arabes diffusent des feuilletons télévisés à sensation. Il est peu probable qu'en Égypte d'autres programmes supplantent le procès en termes d'audience.  En effet, il y aura sans doutes plein de rebondissements, d'histoires de complots, de conspirations etc.
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31 juillet 2011 7 31 /07 /juillet /2011 05:14

 

Merci Romain

 

 

Le Saviez-vous ? Qu'est ce que la Sionologie ?

 

On comprend donc beaucoup de choses !

 

 

La Sionologie (en russe: сионология sionologiya), aussi nommée Antisionisme soviétique, est une doctrine promulguée en Union soviétique pendant la période de la Guerre froide, et intensifiée après la Guerre des Six Jours. Elle a été commanditée par le Département de la propagandedu Parti communiste de l'Union soviétique et par le KGB. La sionologie est fortement antisioniste; elle affirme que le sionisme est une forme deracisme et parfois assimile le sionisme au nazisme. L'Union soviétique était officiellement opposée au racisme sous toutes ses formes et les sionologistes déclaraient donc qu'ils n'étaient pas eux-mêmes antisémites ou racistes.

 

La sionologie a été présentée comme une science sociopolitique, mais il est évident que les sionologistes ne se sont jamais astreints à respecter des méthodes scientifiques. En ligne avec la politique officielle soviétique anti-israélienne et anti-occidentale, qui résultait de la Guerre froide, ils ont fréquemment recyclé les vieux pamphlets antisémites, tout en les plaçant dans un contexte marxiste-léniniste.

Le sionisme, mouvement national de retour du peuple juif à Sion, et leur autodétermination, influencé à l'époque par un fort courant gauchiste et socialiste (qui se traduisait entre autres par la création de kibboutzim), était dénaturé par les sionologistes, car Israël s'était allié avec les États-Unisdans la Guerre froide. Dans son livre de 1969, "Attention! Sionisme", le responsable sionologiste Yuri Ivanov définit le sionisme « une idéologie d'organisations vaguement unies, et la pratique politique de la bourgeoisie juive, alliée avec les sphères monopolistiques aux USA. Le sionisme pratique un chauvinisme et un anticommunisme militant ».

Comme l'Union soviétique proclamait suivre l'idéologie communiste qui déclare l'égalité universelle entre tous les hommes, les autorités soviétiques se disaient officiellement opposées à toute sorte de racisme et d'antisémitisme. C'est pourquoi l'antisionisme et la sionologie devaient être présentés comme totalement non-racistes, en opposition avec Israël. Pour preuves, ils insistaient sur le fait que plusieurs sionologistes notables étaient des Juifs ethniques qui étaient chargés de représenter une opinion experte.

Néanmoins, de nombreux historiens, y compris certains en Union soviétique, soutiendront que la sionologie reprenait des thèmes antisémites. En novembre 1975, l'historien et académicien soviétique éminent, M. Korostovtsev, écrit une lettre au secrétaire du Comité central, Mikhaïl Souslov, concernant le livre "La Contre-révolution en marche" de Vladimir Begun: « ...il attise de manière perceptible l'antisémitisme sous le couvert de l'antisionisme. »

 


Certains livres de sionologie, dénonçant le sionisme et le judaïsme, sont inclus dans la liste des lectures obligatoires du personnel des armées et de la police, des étudiants, des professeurs et des membres du Parti communiste, et furent publiés en masse.

La troisième édition de la Grande Encyclopédie soviétique en trente volumes (Большая Советская энциклопедия, БСЭ), publiée de 1969 à 1978, identifie le sionisme au racisme et fait les assertions suivantes:

  • « les postulats principaux du sionisme moderne sont le chauvinisme, le racisme, l'anticommunisme et l'antisoviétisme militants »
  • « l'essence réactionnaire anti-humaine du sionisme est un "combat dissimulé et non dissimulé contre les mouvements de libération et contre l'URSS" »
  • « l'Organisation sioniste mondiale possède des fonds financiers importants, obtenus pour partie grâce aux monopolistes juifs et pour partie collectés par les œuvres de charité juive obligatoires. Elle influence et contrôle aussi une partie importante des médias occidentaux »
  • « servant comme avant-garde du colonialisme et du néo-colonialisme, le sionisme international participe activement au combat contre les mouvements de libération nationale des peuples d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine »
  • « Un processus naturel et objectif d'assimilation des Juifs grandit dans le monde entier »

Dans son livre "A History of the Jews in the Modern World" (Une histoire des Juifs dans le monde moderne), Howard Sachar décrit l’atmosphère de la campagne antisioniste soviétique suite à la Guerre des Six Jours

« Fin juillet 1967, Moscou lança une campagne de propagande sans précédent contre le sionisme considéré comme une "menace mondiale". La défaite n'était pas attribuée au petit Israël seul, mais à une "force internationale superpuissante" …Dans sa vulgarité flagrante, le nouvel assaut de propagande atteint rapidement des caractéristiques de type nazi. Le public soviétique était saturé d'allégations racistes. Des extraits du livre de triste notoriété de Trofim Kichko, "Judaïsme sans embellissement", furent republiés abondamment dans les médias soviétiques. Le livre "Attention! Sionisme" de Yuri Ivanov qui recopie essentiellement les "Protocoles des sages de Sion" reçoit une diffusion nationale.  »

Paul Johnson et d'autres historiens affirment que la résolution 3379 de l'Assemblée générale des Nations unies du 10 novembre 1975, qui catalogue le sionisme comme du racisme était orchestrée par l'URSS. Cette résolution a été abrogée par la résolution 4686 en décembre 1991, date qui coïncide avec l'effondrement du bloc soviétique.

Un autre thème récurrent de la sionologie est l'allégation de liens secrets entre les nazis et les dirigeants sionistes. La thèse doctorale en 1982 deMahmoud Abbas, cofondateur du Fatah et un des leaders de l'Organisation de libération de la Palestine, qui obtint son doctorat en histoire au Collège Oriental de Moscou, a pour titre: "La Connexion Secrète entre les Nazis et les Dirigeants du Mouvement Sioniste".

 

Source - http://en.wikipedia.org/wiki/Soviet_Anti-Zionism

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28 juillet 2011 4 28 /07 /juillet /2011 10:57

 

Qui sont les anti-juifs d'Aujourd'hui ?...Et les indignés ? Interview P.A TAGUIEFF

 

 

 

 

Qui sont les anti-juifs d'Aujourd'hui ?

A l'occasion de la sortie son dernier livre "Israël et la question juive", le philosophe Pierre-André Taguieff a été interviewé par l'historien Andreas Pantazopoulos pour le journal grec Kathimerini.

 

Première partie.

Andreas Pantazopoulos : Vous parlez depuis une vingtaine d’années d’un antisémitisme nouveau que vous appelez “nouvelle judéophobie”. Pouvez-vous nous donner les traits de base de cette nouvelle configuration?

 

Pierre-André Taguieff : Le postulat de la nouvelle judéophobie est le suivant : les juifs constituent un peuple en trop. À cet égard, on note une continuité dans les formes de l’hostilité aux Juifs. La principale différence consiste dans le remplacement du grief de "cosmopolitisme" ou de "nomadisme" par celui de "nationalisme" ou de "colonialisme" : les juifs incarnaient le contre-type du « sans-patrie » dans le vieil antisémitisme politique, ils incarnent aujourd’hui le type négatif du "nationaliste" (colonialiste, voire "raciste") dans le cadre de la nouvelle judéophobie à base antisioniste.

Il s’ensuit que l’appartenance des juifs à la commune humanité est mise en doute, et même, par les antijuifs radicaux, niée purement et simplement. Ce qui peut se traduire par un impératif ainsi formulable : "juifs, cessez d’être juifs pour devenir humains !" Pour être humainement acceptables, les juifs doivent disparaître en tant que juifs. Or, dans la nouvelle vision antijuive du monde, la première étape de cette élimination n’est autre que la destruction d’Israël. La réalisation de cet objectif constitue la "solution" de la nouvelle "question juive",  résultat de l’islamisation du discours antisioniste, mêlant les arguments de type nationaliste ou ethno-nationaliste aux thèmes politico-religieux du fondamentalisme musulman. Le programme "antisioniste", considéré dans ses formulations radicales, a un objectif explicite : "purifier" ou "nettoyer" la Palestine de la "présence sioniste" ou "juive", considérée comme une "invasion" qui souille une terre palestinienne ou arabe (pour les nationalistes) ou une terre d’Islam (pour les islamistes).

 

Que professe le judéophobe d’aujourd’hui ? Quelle est sa physionomie ? Est-il de droite, ou de gauche ?

 

 

Cinq traits permettent de définir le style et le contenu du discours des antisionistes radicaux :

§  Le caractère systématique de la critique d’Israël, une critique hyperbolique et permanente faite sur le mode de la dénonciation publique et recourant aux techniques de la propagande (sloganisation, amalgames, etc.) ;

§  La pratique du « deux poids, deux mesures » face à Israël, c’est-à-dire le recours au « double standard ». Cette pratique systématique de la mauvaise foi, dès qu’il s’agit de l’État juif, conduit à la condamnation unilatérale d’Israël, indépendamment de toute analyse des faits ; 

§  La diabolisation de l’État juif, traité comme l’incarnation du mal, impliquant une mise en accusation permanente de la politique israélienne fondée sur trois bases de réduction : le racisme/nazisme/apartheid, la criminalité centrée sur le meurtre d’enfants palestiniens (ou musulmans) et le complot ;

§  La délégitimation de l’État juif, la négation de son droit à l’existence  - donc la négation du droit du peuple juif à vivre comme tout peuple dans un État-nation souverain -, ce qui implique d’isoler l’État d’Israël sur tous les plans, en organisant notamment contre lui un boycott généralisé ; 

§  L’appel répété à la destruction de l’État juif, impliquant la réalisation d’un programme de « désionisation » radicale, ou plus simplement une guerre d’extermination, où l’Iran nucléarisé jouerait le rôle principal.

 

Dans  vos analyses, vous insistez particulièrement sur le complexe formé par l’islamisme radical et la nouvelle judéophobie. Le thème récurrent est la destruction d’Israël. Mais la question qui se pose est la suivante : peut-on critiquer la politique d’Israël sans être judéophobe? 

 

Le vieil antisémitisme se survit à travers la simple substitution du mot "sioniste" au mot "juif", notamment chez les adeptes de la pensée conspirationniste : la "conspiration juive internationale" est ainsi rebaptisée "complot sioniste mondial". L’islamisation des Protocoles des Sages de Sion, auxquels se réfère la Charte du Hamas, en constitue le principal vecteur.

Le complot international est interprété par les islamistes radicaux, de façon paranoïaque, comme un grand complot contre l’islam et les musulmans, conduit par les juifs.L’existence même de l’État d’Israël est perçue comme la preuve du mégacomplot. Si Israël doit être détruit, c’est parce qu’il est le résultat d’une opération perçue comme criminelle : l’installation des juifs sur une prétendue "terre d’Islam".

L’islamisation de la cause palestinienne rend impossible toute véritable négociation susceptible d’aboutir à un compromis. Je distingue clairement, dans tous mes travaux depuis les années 1980, l’antisionisme radical de la critique légitime, dans une perspective libérale/pluraliste, de la politique de tel ou tel gouvernement israélien, de droite ou de gauche. La critique démocratique de la politique d’un gouvernement, relevant du débat public légitime, ne doit pas être confondue avec l’appel à la destruction d’un État-nation. Or, c’est un tel appel à l’éradication qui forme le cœur du programme de l’antisionisme radical.

 

 

Les indignés – degré zéro du politique

Seconde partie.

 

Andreas Pantazopoulos : Aujourd’hui en Grèce, mais aussi en Espagne, un nouveau mouvement, les “Indignés”, a fait son apparition spontanée. Il se dirige contre les systèmes politiques “corrompus”, contre l’ “oligarchie”. Comment interpréter ces mobilisations ? L’ “indignation” est-elle l’autre nom d’un populisme de gauche? 

 

Pierre-André Taguieff : Je ne crois pas que les mobilisations se couvrant du mot “indignés”, en Espagne ou en Grèce, soient “spontanées”. Elles ont trouvé leur modèle dans les manifestations de masse qui, dans certains pays du Maghreb et du Machrek,  ont abouti à ce que le monde médiatique, dans une flambée d’illusion lyrique, a baptisé le “printemps arabe”.

Leur seule originalité a été de s’emparer du vocable mis à la mode par le libelle insignifiant de Stéphane Hessel, le faux co-rédacteur de la Déclaration universelle des droits de l’homme. Le mot “indignation” est un mot attrape-tout. Il peut être mis à toutes les sauces. Qui n’est pas “indigné” pour telle ou telle raison ? En tout mouvement politique, il faut distinguer la formule oratoire des visées ou des intentions réelles. La formule oratoire des “révoltes arabes” a privilégié les motifs de la “liberté”, de la “démocratie” et de la “justice”, ainsi que la dénonciation de la “corruption”. Leur visée réelle était de chasser l’équipe dirigeante en place (“Dégage !”) : le degré zéro du programme politique, expression d’un rejet accompagné d’un mouvement d’humeur.

Ces prétendues “révolutions” n’ont guère été que des coups d’État, et plus précisément des coups d’État militaires déguisés en victoires du “peuple” ou de la “démocratie”.  Dans les démocraties européennes, pour les “indignés”, il s’agit également de prendre le pouvoir (en s’en tenant au moment négatif : chasser du pouvoir les “corrompus” ou les “voleurs”), mais l’ennemi n’est pas clairement désigné, ni le groupe contestataire bien identifié. Les leaders ne sont pas politiquement crédibles. Le programme est ici encore ultra-minimaliste et tout négatif : contre les “corrompus”, etc.

Le marxo-populiste français Jean-Luc Mélenchon en a formulé le slogan : “Qu’ils s’en aillent tous!” La diabolisation de l’ennemi remplace l’analyse de la situation et la réflexion sur les objectifs politiques. Rien n’est plus pitoyable que le recours des “indignés” grecs aux amalgames de propagande les plus éculés, du type “Nazi-Nazi/Merkel-Sarkozy”.

La nazification de l’adversaire est le nouveau socialisme des imbéciles. On reste affligé devant la misère intellectuelle d’une telle  contestation politique. L’indignation n’est pas une politique, elle illustre la tendance contemporaine à l’impolitique, qui remplace la réflexion politique par un moralisme sans perspectives ou par des imprécations anticapitalistes relevant du rituel magique. Quant à la stratégie, elle se réduit à cette forme d’expression politique primaire qu’est la manifestation. Une fois de plus, la “colère” du peuple ou des masses est sacralisée. Mais, plus profondément, je crois que ces mobilisations expriment une peur de l’avenir, devenu totalement opaque. Le grand message qu’on entend dans ces rassemblements de victimes de la crise financière, c’est la question sans réponse : “Qu’allons-nous devenir?”.

La question qu’on pose lorsqu’on est pétrifié par le sentiment de vivre une décadence finale. Il s’agit donc moins de revendications que de lamentations, éventuellement accompagnées de violences.  Du misérabilisme plutôt que du populisme.  Des plaintes de “victimes”, plus ou moins rageuses, plutôt que de véritables révoltes. Les déçus du présent y apparaissent en même temps comme des exclus de l’avenir. La vérité de ces mobilisations, c’est le sentiment d’une impuissance totale des dirigeants politiques, emportés par les turbulences immaîtrisables d’une économie financiarisée. Ce qu’on appelle la globalisation, nouvelle figure du destin, sans visage et impitoyable. Aucune réponse n’est plus crédible à la question “Que faire?”. Ce qui est en progrès, c’est le désespoir, soit la passion impolitique par excellence. La haine des “pourris” ou des “voleurs” peut mener à tout. Y compris à une nouvelle forme de dictature, une dictature post-libérale.

 

Surtout ces derniers temps, “l’Europe de l’extrême droite” ne fait que progresser. Dernier épisode en date : les “Vrais Finlandais”. En France aussi, Marine Le Pen veut respectabiliser son parti. Quelles sont les causes de cette avancée? 

 

Dans les années 2000, on a assisté à la disparition des éléments constitutifs du paysage de l’extrême droite tel qu’il s’était reconfiguré après la Seconde Guerre mondiale. Les “néo-” ont disparu, pour laisser la place à des mouvements ou des partis émergents ne se présentant pas comme des héritiers d’une tradition bien définie.

“Néo-nazi” et “néo-fascistes” ne sont plus que de folkloriques survivances, ayant plus à voir avec la culture “Underground” des années 1960 et 1970 qu’avec le Troisième Reich. Ce qu’on appelle encore aujourd’hui “l’extrême droite”, par une vieille habitude de langage, rassemble et amalgame d’une façon abusive toutes les réactions plus ou moins convulsives contre la globalisation financière et l’européisation dans un sens postnational. Or, ces réactions vont dans tous les sens : elles peuvent être interprétées comme des “progrès” ou comme des “régressions”, des “résistances” légitimes ou non, des formes émergentes de xénophobie ou des réaffirmations identitaires restant dans le cadre du pluralisme démocratique. Leur fond affectivo-imaginaire est la peur, qui se fixe soit sur le présent (peur de perdre des avantages acquis), soit sur l’avenir (peur de guerres civiles ethnicisées).

La paresse intellectuelle conduit à interpréter négativement toutes ces réactions de masse, à les diaboliser en les réduisant à des expressions d’une “extrême droite” fantomatique, qui serait condamnée par le Sens de l’Histoire. Telle est la grande illusion, héritage du XIXe siècle hégéliano-marxiste. Car il n’y a pas de Sens de l’Histoire : la globalisation va dans tous les sens, et engendre des réactions allant elles-mêmes dans tous les sens.

Le renforcement de l’Europe n’est pas plus probable que son effondrement après disparition de l’euro, accompagnée d’une réethnicisation et d’une reparticularisation généralisées, qui peut jouer en faveur des vieux États-nations mais aussi bien favoriser leur éclatement. Le nouveau Front national dirigé par Marine Le Pen illustre bien les ambiguïtés des nouveaux mouvements nationaux-populistes : dans leur discours idéologique, on trouve autant d’emprunts à l’antimondialisme d’extrême gauche que d’éléments issus des traditions nationalistes. C’est ce qui fait à la fois leur inclassabilité et leur attractivité.  Mais c’est précisément ce qui doit nous conduire à les intégrer dans le jeu politique “normal”.

 

Que faire? 

 

Les nouveaux populismes identitaires ou protestataires corrompent les démocraties représentatives de l’intérieur. Ils représentent pour elles un défi qu’elles doivent relever avec lucidité et courage. Si la "normalisation" des mouvements populistes ne s’opère pas, les vieux partis de gauche et de droite risquent de perdre ce qui reste de leur attractivité, et de finir par se confondre dans un centre indistinct face auquel s’affirmerait le nouveau camp du "changement" (mot magique aujourd’hui privilégié par tous les démagogues en âge de gouverner), monopolisé par les démagogues "antimondialisation". Ces derniers auront beau jeu de dénoncer la "ploutocratie" internationale ou les oligarchies financières, la "bureaucratie" européiste, etc.

Ce sont là les éléments du nouveau discours de révolte des "damnés de la terre". Que la crise se généralise en se radicalisant, et les nouveaux démagogues qui ne manqueront pas de surgir – la nature politique ayant horreur du vide -, se présentant comme des sauveurs, risquent de séduire les foules désemparées. Or, ces démagogues n’auront d’autre légitimité que celle qu’ils tiendront de leurs chasses aux responsables présumés des malheurs de leur "peuple", chasses aux sorcières prenant la forme d’appels à la guerre civile ou d’engagements dans des guerres régionales. Fuite en avant dans le chaos.

L’ironie de l’Histoire pourrait alors prendre le visage du tragique. Mais qui pouvait croire que la marche de l’Histoire ressemblait à celle d’un fleuve tranquille ?

 

 

source

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28 juillet 2011 4 28 /07 /juillet /2011 06:09

 

Courrier d’indignation à l’intention des Editions Hachette

par Stéphane PEREZ - et suite du dossier.....

 

Lire aussiLe nouvel enseignement du mépris Par Guy KONOPNICKI 

France: l’éditeur Hachette refuse de corriger les manuels scolaires anti-israéliens ! par Jean-Marc Moskowicz et liens de tous les articles sur ce dossier

 

 

 

L’enseignement du mépris chez l’éditeur de Jules Isaac

 

 

J’ai appris ce 1er juillet, que votre manuel de Français des classes de 4ème "Les couleurs du français 4ème édition Hachette " proposait l’exercice suivant en page 189

 

Sous une photographie de Patrick BAZ intitulée :

Une petite fille courant entre des soldats israéliens dans la vieille ville de Jérusalem, le 11 octobre 1990 

 

Une petite fille courant entre des soldats israéliens dans la vieille ville de Jérusalem, le 11 octobre 1990

Lié à cette photo est proposé un exercice ainsi libellé :

« La scène que vous découvrez sur cette photographie vous choque : vous décidez d'écrire à un journal pour exprimer votre émotion. »

Consignes : écrivez une lettre d'une quinzaine de lignes, en cherchant à émouvoir le lecteur.

   

En tant que père de deux enfants de 11 et 17 ans, je suis particulièrement choqué par le contenu et le présupposé anti israélien de cet exercice de style, et je vais essayer de vous en expliquer les raisons.

L’objet de cet exercice est-il journalistique ?

 

1° D’un point de vue photographique, l’image est parfaite, nous trouvons l’opposition de la petite fille en robe rose désarmée de face et des soldats armés casqués de dos. Aucun de ces hommes (qui sont vraisemblablement des conscrits) n’est de face, on ne voit pas leurs visages, ils sont déshumanisés par le photographe.

 

2° Le libellé de cet exercice de français démontre qu’un jeune de 14ans ne doit pas exercer d’esprit critique : Cette photographie doit le choquer au premier degré. La proposition n’est pas interrogative, elle ressemble beaucoup à l’impératif « indignez-vous ! ». Le jeune élève doit donc exprimer une émotion téléguidée (l’identification supposée à une jeune fille arabe palestinienne) et il doit émouvoir son lectorat en commentant une photo qui est subjective donc mensongère par essence. Les registres de cet exercice sont donc l’antithèse du raisonnement et de l’esprit critique, c’est l’enseignement de l’émotion et donc du fanatisme.

Le journaliste devrait analyser et rapporter les faits, feriez-vous l’éloge de la presse à sensation ?

Je remarque que cet exercice est proposé dans un livre de français, dans ce cadre vous auriez pu gommer toute indication de lieu et de nationalité de cette légende.

Puisque ce n’est pas le cas, une approche historique s’impose donc :

Le photographe Patrick Baz est spécialisé dans les conflits du Moyen Orient. Il est libanais (ou franco libanais selon ses différentes biographies), et a réalisé certaines des meilleures photos de guerre publiées depuis une dizaine d’années par l’AFP. Cette photo date du début de sa carrière (il a 26 ans), et a été montrée à l’occasion de plusieurs expositions prestigieuses. Il est à noter que la légende anglaise de cette photo est différente de la version française : Palestinian girl runs 11 October 1990 through a row of Israeli soldiers in Jerusalem’s Old City as security has been increased following rioting that erupted in response to the killing of 21 Palestinians 08 October 1990.

  • Nous apprenons qu’il s’agit d’une situation exceptionnelle de rioting (émeute) qui justifie cette présence armée. Mais quelle est cette situation exceptionnelle qui prévalait entre le 8 et le 11 octobre 1990 ? c’est simplement la première guerre du golfe : L’Irak envahit le Koweit le 2 aout 1990, le 1er octobre 1990, Georges Bush (le père) est à la tribune des Nations-Unies. Il monte une coalition comprenant en outre plusieurs pays arabes contre l’Irak. Dans ce contexte, l’OLP fait courir une rumeur de destruction des mosquées de Jérusalem par des juifs qui voudraient reconstruire le 3° Temple, le but étant de créer une diversion pour soutenir Saddam Hussein. Cette, manœuvre de diversion atteindra son comble lorsque des fusées Scud bombarderont Israël qui ne pourra répondre pour ne pas affaiblir les alliés.
  • Il est à noter qu’en 1920 au moment de la Conférence de San Remo, les leaders arabes palestiniens de l’époque avaient porté les mêmes accusations pour empêcher la création du Foyer National Juif en Palestine, cela avait provoqué un pogrom contre la population juive de Jérusalem.
  • En l’absence de cette indication historique, la photo légendée fait croire que l’armée israélienne en armes occupe une cité paisible peuplée de petites filles vêtues de rose. Le choix de Jérusalem occupée par des soldats n’est pas non plus innocent puisqu’il fait référence implicite aux évangiles et à l’occupation romaine, la petite palestinienne devient le symbole christique dénoncé par Jules Isaac (l’auteur du livre d’histoire Mallet-Isaac) dans son ouvrage « l’enseignement du mépris » (1962).

Patrick Baz est un bon photographe, en tant que responsable régional de l’AFP, il a été interrogé en 2006 par le journal Le Monde au sujet des photos truquées des agences de presse. Dans l’article « Guerre du Liban et "fauxtographies" » Le Monde 16/09/2006 : Selon lui, au Liban, "Israël a perdu la guerre des images. Du côté israélien, on a vu l'armée, les chars. De l'autre, uniquement des victimes. Le Hezbollah est resté invisible.". Mais Patrick Baz reconnaît aussi qu'il existe "une tentation de rendre les photos plus spectaculaires pour les vendre. Il y a une telle compétition... Tout le monde veut être dans le "play report" (catalogue) qui dresse la liste des photos reprises dans la presse". On peut déduire des propos de Patrick Baz, qu’il est averti en 2006 que les photos font partie d’une « guerre des images» contre Israël, et ce même s’il n’en avait pas conscience en 1990.

La publication de cette photo dans un livre scolaire de français en 2011 n’est donc pas innocente pour les rédacteur de l’ouvrage. J

 

J’espère, Monsieur l’éditeur,  avoir réussi à vous émouvoir, même si mon texte fait plus de 15 lignes.

 


 

 

Actualité concernant de dossier

 

Hachette menace Europe Israël de poursuites et prétend que les manuels scolaires ne sont pas en vente: les preuves du mensonge…Par Jean-Marc Moskowicz

europe-israel

Suite à notre article du 22 juillet 2011 indiquant qu'Hachette avait remis en vente les manuels scolaires présentant des pages propagandistes anti-israéliennes, nous avons été contacté au téléphone par la personne chargée des relations avec les médias qui nous a affirmé que notre article était mensonger car les manuels scolaires n'étaient que des spécimens et qu'ils allaient  être modifiés. De plus Hachette nous a menacé à mots couverts de poursuites judiciaires…

Aujourd'hui nous dévoilons toutes les preuves que les manuels scolaires ne sont pas de simples spécimens mais qu'ils sont bien en vente dans toutes les librairies et sur le site de vente en ligne d'Hachette sans avoir été modifiés !

Voici l'email d'Hachette indiquant que les manuels scolaires "ne sont pas encore disponibles puisqu’il ne sont pas encore imprimés" :

Voici le manuel scolaire en vente dans les rayons des librairies:



Mensonge encore car les manuels scolaires sont en vente sur le site de vente en ligne d'Hachette !

Le manuel d'histoire des classes de 1ère estampillé "nouveau programme, nouvelle collection" en vente sur le site Hachette :



 

Les manuels de français des classes de 4ème en vente sur le site Hachette : on peut feuilleter l'ouvrage en ligne…



Hachette tente de "noyer le poisson" en nous faisant croire que se sont les anciennes éditions qui sont en vente ce qui est totalement faux voici la preuve :

 

l'ancienne édition la nouvelle édition
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26 juillet 2011 2 26 /07 /juillet /2011 19:33

MEMRI Middle East Media Research Institute

Dépêche     FR n° 269

Avec le soutien de la Fondation pour la mémoire de la Shoah


 
Protocole des Sages de Sion : l´Evêque orthodoxe syrien George Saliba y voit l´origine des révoltes arabes

Voir les extraits vidéo sur MEMRI TV :

http://www.memri.org/clip/en/0/0/0/0/0/0/3047.htm


Ci-dessous des extraits d´un entretien avec George Saliba, évêque de l´Eglise orthodoxe syrienne au Liban, diffusé sur Al-Dunya TV le 24 juillet 2011 :

Le sionisme "derrière toutes les guerres civiles"

George Saliba : La source qui finance et motive toutes ces organisations internationales, en Orient comme en Occident, et en particulier dans le monde arabe... Ils sont dirigés par une seule organisation maléfique, connue sous le nom de "sionisme". Elle est derrière tous ces mouvements, toutes ces guerres civiles, tous ces maux ; elle se sert des Occidentaux - aux Etats-Unis, en Europe - ou de leurs disciples.

[...]


Ce qui arrive n´est que naturel. Jésus Christ a guéri les malades parmi les Juifs. Il a rendu la vue aux aveugles, purifié les lépreux, ressuscité leurs morts.

Interviewer : Comment le lui ont-ils rendu ?

"L´opposition est enracinée dans le judaïsme et le sionisme"

George Saliba : ils ont tout fait pour le crucifier, jusqu´à sa mort.

[...]

Est-ce que les gens de l´opposition, avec leurs idées et leurs agissements, appartiennent au christianisme ou à l´islam ? Non, ils sont profondément enraciné s dans le judaïsme et le sionisme, qui ne veut le bien d´aucune nation, d´aucun peuple ni pays.

[...]

Toute personne intelligente qui lit le Protocole des Sages de Sion reconnaîtra l´étendue de son influence sur la politique de notre région et du monde.

[...]

Pour adresser un email au MEMRI ou faire une donation, écrire à : memri@memrieurope.org.

Pour consulter l´intégralité des dépêches de MEMRI en français et les archives, libres d´accès, visiter le site www.memri.org/french.

Le MEMRI détient les droits d´auteur sur toutes ses traductions. Celles-ci ne peuvent être citées qu´avec mention de la source.

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26 juillet 2011 2 26 /07 /juillet /2011 12:08

MEMRI Middle East Media Research Institute

Dépêche   spéciale n° 4018


Avec le soutien de la Fondation pour la mémoire de la Shoah


 
AL-RAHMA : Les Juifs provoquent des révolutions pour contrôler le monde, comme la Révolution française

Voir les extraits vidéo sur MEMRI TV :

 

http://www.memri.org/clip/en/0/0/0/0/0/0/3035.htm

Ci-dessous des extraits d´un entretien avec Mohammed Galaa Idris, directeur du Département d´études hébraïques à l´Université de Tanta en Egypte, qui a été diffusé sur Al-Rahmale 16 juillet 2011 :

"Ces protocoles sont actuellement mis en œuvre, jour et nuit"

Interviewer : Les Arabes ont-ils lu le Protocole des Sages de Sion et comment ont-ils réagi ? Ces protocoles sont actuellement mis en œuvre, jour et nuit. Jusqu´à ce jour, le Protocole des Sages de Sion est remis en question. Certains affirment que c´est un faux rédigé par les services de renseignement russes, tandis que d´autres assurent que c´est le fruit de la pensée maléfique des Juifs.

Mohammed Galaa Idris : Ce titre se rapporte à un complot fomenté par les financiers sionistes, visant à détruire les pays chrétiens et islamiques de la même façon, et à établir un gouvernement juif mondial.
[...]

Interviewer : Il s´agit donc d´un ensemble de textes traitant de la prise de contrôle du monde.

Mohammed Idris Galaa : C´est exact. 

Interviewer : Devons-nous considérer ces protocoles comme des comptes-rendus de réunions, ou sont-ce des rapports, ou des résolutions ?

Mohammed Idris Galaa : Ce sont les comptes-rendus des réunions où un certain plan a été discuté : ce qui a déjà été réalisé, ce qui reste à accomplir, et les moyens nécessaires à la mise en œuvre du complot [...
]

Quand [Sergei Nilus] a lu ces protocoles, il a prophétisé quatre choses ; toutes les quatre se son t réalisées.

La première prophétie a été le déclin des grands royaumes de l´époque. "L´empire britannique sur lequel le soleil ne se couche jamais" a pris fin. Le califat ottoman s´est éteint... C´est la première chose que Sergei Nilus a prophétisé quand il a lu ces documents.

La seconde prophétie était qu´une guerre mondiale serait provoquée. C´était en 1901, et la Première guerre a éclaté onze ans plus tard.

La troisième chose, c´est le retour des Juifs en Palestine. En 1901, il a prophétisé le retour des Juifs en Palestine, et cela a eu lieu plus tard.

Il a aussi prophétisé la créati on d´Israël. [...]

Il y a trois éléments principaux dans ce complot.

Interviewer : Quels sont-ils ?

"L´objectif des Juifs est de conquérir le monde"

Mohammed Idris Galaa : Tout d´abord, les Juifs ont un ancien plan secret, dont l´objectif est de conquérir le monde dans son intégralité. Nous en avons déjà parlé. Certains prétendent que je délire... Eh bien non ! [...]

Le deuxième élément du complot, c´est que les Juifs tentent constamment de renverser les gouvernements en place et d´établir des gouvernements tyranniques. La méthode qu´ils emploient est d´inciter les dirigeants à persécuter les peuples, puis de remonter les peuples contre leurs dirigeants.

Comment détruit-on un pays ? Il existe une méthode très simple : J´exhorte le souverain à agir tyranniquement et à persécuter son peuple, et puis je me mets à remonter les peuples contre les dirigeants. Lorsque les deux côtés se battent, le pays s´effondre.

"…la Révolution française. .. Les Juifs étaient derrière"

Il a été prouvé que la plupart des révolutions qui ont conduit à la chute de nombreux régimes dans le monde - et avant tout la Révolution française... Les Juifs étaient derrière [...].

"Les Juifs se servent de la laïcité, du libéralisme, et de certaines confessions religieuses pour attiser les conflits"

Le troisième élément est la propagation de l´esprit de conflit entre les pays, au moyen des forums maçonniques dont nous avons parlé, et en utilisant tous les moyens et méthodes provenant de l´étranger, comme la laïcité, le libéralisme, et même certaines confessions religieuses. [...]

"Qui contrôle l´industrie de l´armement dans le monde ? Les Juifs"

Regardez à qui tout cela profite. Imaginons qu´un conflit éclate entre l´Egypte et la Libye et que nous nos mettions à nous battre les uns contre les autres. D´où recevrions-nous des armes ? De l´Amérique. Qui sont les marchands d´armes ? Qui contrôle l´industrie de l´armement dans le monde, et pas seulement en Amérique ? Les Juifs. […]

 

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