Ce sceau en argile n’a sans doute pas l’air important ou unique. Et pourtant! En août 2008, une découverte archéologique remarquable a été faite à Jérusalem : un sceau portant le nom de Gedaliah ben Pashur.
Ce sceau en argile n’a sans doute pas l’air important ou unique. Et pourtant! En août 2008, une découverte archéologique remarquable a été faite à Jérusalem : un sceau portant le nom de Gedaliah ben Pashur.
Chaque découverte archéologique confirme encore et encore que la Terre d'Israël regorge de vestiges appartenant au patrimoine du peuple juif. Il ne se passe pas une semaine sans que la terre offre les preuves toujours confirmées de la présence et de l'identité juive, enfouies au plus profond d'elle-même.
Des découvertes incessantes qui enragent les arabo-palestiniens qui n'ont pas d'histoire en tant que peuple dans la région. Les seuls vestiges que l'on puisse extraire et qui ont une identité musulmane le sont depuis la conquête islamique datant du 7ème siècle de l'ère chrétienne.
Il n'est pas étonnant pour un peuple qui cherche a se créer une histoire qu'il n'a pas, de recourir systématiquement à la distorsion des faits historique, et de nier l'identité des réels propriétaires.
L'affaire de la clochette de l'habit du prêtre a encore une fois enragé ces pauvres hères sans passé, descendants de conquérants d'autres contrées.
Dés qu'il s'agit de fouilles archéologiques, les menaces pleuvent, telles la volonté pour les Juifs de vouloir judaïser Jérusalem, ou comme c'est le cas, maintenant, d'accuser les Juifs de falsifier l'histoire en inventant des trouvailles, ou même de les enterrer exprès pour les redécouvrir.
Le Waqf, on se souvient, détruira des centaines et des centaines de tonnes de vestigesdu patrimoine juif pour tenter d’effacer toute trace ou preuves de l'identité juive de l'endroit.
Certains iront même jusqu’à créer de fausses tombes, pour mieux accuser les Juifs de profanation, bref tout est permis.
Seulement il y a un petit problème, à vouloir tellement persuader que
, puis ensuite de renier cette même histoire biblique au motif qu'elle n'est autre qu'une “fasilfication”, on ne gagne qu'à ce faire passer pour des escrocs ridicules et pervers.
petit rappel
La clochette, qui est faite d'or pur, a été trouv&e intacte lors de fouilles dans la Ville de David. "C'est un objet unique en son genre a Jérusalem", selon un archéologue, "on peut chercher toute sa vie sans jamais faire une telle trouvaille".
Une pièce archéologique rare de la période du Second Temple a été trouvée dans la ville de David. Une des clochettes en or du Cohen Hagadol, de la période du Second Temple, a été trouvée près du Kotel, dans une canalisation d'eau de drainage, qui était sous la rue principale de Jérusalem et reliait la Ville de David a la piscine de Shiloah.
La clochette, qui est faite d'or pur, a des courbes subtiles et des parois fines, et son diamètre est d'un centimètre. Elle a été trouvée intacte lors de fouilles organisées par l'autorité des antiquités du parc national de la Ville de David et financées par la Fondation Elhad.
L'autorité des antiquités a explique que seul un homme respectable et puissant pouvait porter un tel bijou au revers de son manteau. Ainsi, le Cohen Hagadol, pendant la période du Second Temple, portait sur son manteau des clochettes en or et des bijoux en formes de grenade. "Un archéologue peut chercher toute sa vie sans jamais faire une telle trouvaille", raconte très ému l'archéologue Elie Shokroun, "pendant nos fouilles nous avons trouve de nombreuses jarres en argile, des outils et des pièces, mais la il est question d'une découverte très rare, mieux même, j'ai cru comprendre qu'il s'agit d'une pièce unique en son genre a Jérusalem".
Il raconte : "lundi la clochette a été trouvée sous la rue principale de la ville, du temps du Second Temple, sous l'arche Robinson. Il est question d'une trouvaille particulièrement rare, la clochette a été trouvée entière et intacte avec son anneau, prêt a être cousue sur le col du manteau du Cohen Hagadol".
A la question, est ce que l'on pourra être sur qu'il s'agit d'une clochette ayant appartenu au Cohen Hagadol, Shoukroun répond "je suis un archéologue et en tant que professionnel je dois être prudent, mais si je parle de l'homme respectable et puissant a cet endroit et a cette époque, a Jérusalem, vous devinez facilement de qui je parle"
"La clochette a du tomber sans que l'on fasse attention"
Il ajoute : "sur son vêtement il y avait de nombreuses clochettes, et ainsi, quand il passait dans la rue, elles sonnaient et les gens savaient qu'arrivait un homme important et lui libérait le passage. Extraordinaire comme cette clochette sonne comme il y a 2000 ans. Apparemment une de ses clochettes est tombée sans qu'il s'en rende compte dans cette canalisation et nous a laisse ainsi un souvenir unique de la vie de cet endroit il y a plusieurs milliers d'années.
Pour l'instant la clochette est gardée dans les entrepôts de l'autorité des antiquités. "Je suppose qu'après cette publication de nombreux musées demanderont a pouvoir exposer cette découverte".
Traduit de l'hébreu par David Goldstein a partir dehttp://www.ynet.co.il/articles/0,7340,L-4098615,00.html
ISRAËL - Un site archéologique de la période du premier temple dévoilé à Jérusalem
par Benjamin Katane
Un grand complexe, des ruines des murs de la ville d'Ophel, datant de l'époque du premier temple a été inauguré ce mardi autour des murs du parc national de Jérusalem.
Une inauguration mettant en avant l'une des fouilles les plus complètes autour de cette période. Le site est considéré comme la "porte des eaux" mentionnée dans la Bible.
Il été mis à jour par le docteur Eilat Mazar, de l'Université Hébraïque de Jérusalem
Selon ses descriptions, le site abriterait des Mikvaot (Bains rituels), des salles de magasins, un tour de guet et des bâtiments royaux où les archéologues ont découvert des douzaines de grands pots en argile de différentes tailles.
Mazar estime que les ruines avaient plutôt été bien conservées: des murs intérieurs ont même conservé leur hauteur originelle de cinq mètres.
"Notre avenir réside dans le fait que nous pouvons reconstruire notre passé " a déclaré le maire de Jérusalem, Nir Barkat lors de l'inauguration du complexe archéologique.
Avi Mashiah, qui a supervisé les efforts de conservations, a révélé que certaines poteries ont été noircies par les incendies de la destruction du premier temple.
Ces fouilles ont également permis aux archéologues de mieux comprendre les méthodes de constructions utilisées à l'époque.
L'excavation a été financée par Daniel Mintz et Meredith Berkman :
"La première fois qu'un ami nous a présenté le docteur Mazar, il nous a emmenés ici. Nous avons d'abord cru à un tas de poussière et de ruines mais le docteur Mazar a souligné qu'il se pourrait qu'il s'agisse des restes des murs élevés par le roi Salomon. J'étais consternée"explique Meredith Berkman.
Un autre document a été dévoilé ce mardi. Il s'agit d'un fragment d'un ancien document écrit à Jérusalem. Les experts estiment que ce fragment écrit en forme akkadienne est la copie d'une lettre envoyée à un roi égyptien.
"Lorsque c'est tangible, c'est plus simple pour comprendre les choses. Les gens croient ce qu'il y a dans la Bible mais ne comprennent pas qu'ils peuvent voir et toucher ces lieux" ajoute le docteur Maza
Si vous n'arrivez pas à visionner la vidéo elle se trouve sur ce lien
http://www.aschkel.info/pages/PESSAH-5001358.html
Les archéologues israéliens ont-ils trouvé le tombeau de Zacharie ?
Par Aschkel
Sources antiquities.org.il et EoZ
Cliquez sur les photos pour les aggrandir
Les archéologues israéliens ont dévoilé mercredi les restes d'une église de l'époque byzantine sous laquelle on pense trouver le tombeau du prophète Zacharie.
Les sols en mosaïques sont relativement bien conservés, les reste de cette églises ont été trouvés sur les pentes d'une des collines de Judée nommée Horbat Midras, site d'une communauté juive de l'époque romaine au sud-ouest de Jérusalem.
Sous la première couche on en trouve une deuxième datant de l'époque romaine, avec un complexe de grottes dans lequel les archéologues pensent pouvoir identifier un tombeau comme pouvait être celui de Zacharie. Comme toujours les structures byzantines ont été construites sur des structures romaines existantes.
Les chercheurs pensent qu'en fait cette église a été bâtie comme site commémoratif pour marquer la tombe du prophète selon les Autorités des antiquités Israélienne.
Les recherches se poursuivent à l'aide du décryptage des mosaïques..
Célèbre carte de Madaba - Jérusalem - on voit la route transversale
En février 2010, les archéologues grâce à la carte de Madaba avaient retrouvé une route travaersant Jérusalem.
Une carte qui en fait est grande - fragment qui positionne la ville d'Aschkélon
Le plus vieil Homo sapiens a 400 000 ans
LEMONDE.FR avec AFP | 29.12.10
"L'examen des stalagmites et stalactites, ainsi que d'autres matériaux découverts sur place, indiquent que cette caverne a commencé à être utilisée il y a 400 000 ans", a-t-il expliqué.
HUIT DENTS RETROUVÉES
Mais ce sont surtout huit dents retrouvées dans la grotte qui ont permis de faire cette datation. "Les dents trouvées dans la grotte Qessem étaient éparpillées parmi les diverses couches de la caverne, certaines remontant à 200 000 ans, et les plus vieilles à 400 000 ans", a-t-il ajouté.
M. Gopher a précisé qu'une première dent avait été trouvée en 2006 dans la caverne Qessem, mais que ses collègues et lui-même avaient préféré continuer à fouiller pour trouver d'autres dents et procéder à une série de tests et d'examens de datation avant de faire connaître leur découverte.
"Les fouilles continuent dans cette grotte. Les chercheurs espèrent trouver d'autres vestiges qui leur permettront d'étayer leurs travaux et de mieux comprendre l'évolution de l'humanité et l'apparition de l'homme moderne", a indiqué dans un communiqué l'université de Tel-Aviv.
Cette tempête de sable (terrible pour les yeux) et de pluie aura eu au moins cela de bon !
Une violente tempête qui s'est abattue en fin de semaine sur les côtes méditerranéennes aura permis de découvrir des vestiges de l'époque romaine qui étaient enfouis.
La découverte a été faite à Ashkelon, une ville côtière israélienne. Entre autres, une statue romaine en marbre, qui représente une femme en toge et en sandales, a été découverte après qu'une partie d'une falaise se soit effondrée en raison des forts vents, des vagues et de la pluie.
Selon le site Internet du quotidien Haaretz les autorités israéliennes responsables des antiquités estiment que la statue daterait de l'époque de l'occupation du secteur par l'armée romaine. Elle aurait été importée d'Italie, de Grèce ou d'Asie mineure. La statue, qui n'a plus de tête et de bras, est haute de 1,2 mètre et pèse environ 200 kilogrammes. Il pourrait s'agir d'une représentation d'Aphrodite.
D'autres vestiges ont été découverts lors de l'effondrement de la falaise, notamment des mosaïques et des vestiges de bains romains. Par ailleurs, la tempête a aussi endommagé plusieurs sites antiques de la côte.
par Olivier Caron - matin.branchez
Le Département Israélien des antiquités et Google ont annoncé leur décision de s'associer pour mettre en ligne les célèbres rouleaux de la mer Morte.
En attendant voici une superbe animation ICI
A lire ou relire
>1947 : Qui est l'auteur des manuscrits de la mer Morte ? Le mystère de QumrânLire la suite l'article
>L'affaire du rouleau de cuivre et du rouleau d'argent
Découverts dans des grottes près de la mer Morte à la fin des années 1940, les rouleaux seront disponibles dans leurs langues originales -l'hébreu, l'araméen et le grec-, et en anglais. Des traductions dans d'autres langues seront proposées ultérieurement.Le projet offrira un accès gratuit et mondial au texte, en proposant des images haute résolution de ce document vieux de 2.000 ans, considéré comme l'une des plus grandes découvertes archéologiques du 20e siècle. Les premières photos devraient être mises en ligne d'ici quelques mois.
Composés de 30.000 fragments, les rouleaux contiennent d'anciens textes bibliques et apportent un éclairage important sur le judaïsme et les origines du christianisme. Le projet de mise en ligne offrira un large accès aux documents, souligne Pnina Shor, du département israélien des antiquités. "N'importe qui dans son bureau ou sur son canapé pourra cliquer pour voir un fragment de rouleau."
Les experts se plaignent depuis longtemps de conditions restrictives d'accès aux rouleaux. Les fragiles parchemins et papyrus sont conservés dans des salles sombres à température contrôlée au musée d'Israël à Jérusalem. Seulement quatre employés ont le droit de les manipuler.
La plupart des demandes d'experts pour accéder aux documents sont acceptées, mais pas plus de deux personnes ont le droit de se trouver en même temps dans la salle où ils peuvent être consultés. Les chercheurs ne disposent en outre que de trois heures pour examiner uniquement la partie des rouleaux qu'ils ont demandée.
Yossi Matias, de Google-Israël, explique que le projet répond à une volonté de "faire tomber les barrières" et d'encourager la "diffusion et la préservation du patrimoine et de la culture mondiales". M. Matias précise que Google a travaillé avec des universités européennes et le musée national irakien pour mettre en ligne d'autres textes et des objets. AP
L’événement est d’une telle importance qu’un grand rassemblement est prévu sur le site durant Hol Hamoed souccot. Au hasard d’une promenade, un habitant de la localité de Beit Horon a découvert aux alentours un antique site comprenant au moins six villages des époques du 1er et du 2e Temple.
Ayant aperçu deux colonnes de marbres parmi des oliviers, puis des vestiges de mosaïque, Shaï Laszlo a immédiatement averti l’archéologue du district, Benny Har-Even. Ce dernier a fait effectuer des fouilles plus approfondies et a découvert un périmètre de plusieurs dizaines de milliers de dounam. Pour l’archéologue, « les éléments recueillis sur place indiquent avec certitude qu’il s’agissait de villages juifs : des bains rituels, des pressoirs, des caveaux familiaux, des mosaïques et des outils que seuls les Juifs utilisaient ».
Har-Even révèle « que des vestiges avaient déjà été mis à jours non loin de là, lors des travaux de la barrière de sécurité, mais ceux qui étaient sur place pensaient qu’il s’agissait de sites de l’époque byzantine, avant de se rendre compte qu’il s’agit en fait de sites juifs. Par ailleurs, on y a trouvé des restes de synagogue sur lesquelles avaient été construites ».
Régulièrement chaque année, les habitants de Beit-Horon « actuel » se rendent près l’ancien site, pour y effectuer des prières, espérant qu’il pourra un jour être reconstitué.
Des objets trouvés sur le site révèlent également que des combats y eurent lieu durant la Première Guerre mondiale, entre les Anglais et les Turcs.
Shimshon est le héros de la ville d'Aschkélon - l'autre nom des Aschkélonites est les Samsonites réputés pour leur fort caractère de frontaliers
L'histoire de Shimshon (Samson) confirmée scientifiquement
Par | hamodia | |
Tout le monde connaît l'histoire de Shimshon (Samson), ce Nazir, homme consacré à D.ieu depuis sa naissance, qui fut juge, régna sur Israël durant vingt ans et dont la force herculéenne lui venait de sa chevelure.
Après avoir été trahi par Dalila, qui coupe ses tresses et révèle aux Philistins qu'il est désormais privé de sa force, Shimshon, à qui on a crevé les yeux, est enfermé… à Gaza. Il est ensuite sorti du cachot pour divertir les Philistins dans leur temple dédié au dieu Dagon. Le livre des Juges indique que Shimshon fut placé « entre les colonnes » du temple, qui accueillait alors 3 000 personnes. Shimshon invoqua alors Hachem en disant: « Daigne te souvenir de moi ! Daigne me rendre assez fort cette fois seulement, mon D.ieu, pour que je fasse payer d’un seul coup mes deux yeux aux Philistins ! ». Le livre décrit ensuite comment Shimshon s'appuya sur « les deux colonnes du milieu qui soutenaient le temple » et « fit tomber la maison sur les princes et sur toute la foule qui était là, de sorte qu’il fit périr plus de monde à sa mort qu’il n’en avait tué de son vivant ».
Aujourd'hui, on vient d'apprendre qu'une découverte archéologique a permis de confirmer l'histoire de Shimshon telle qu'elle est décrite dans la Bible !
Les vestiges des deux colonnes centrales d'un temple philistin ont été très récemment découverts à Tel Tsafit, située sur l'emplacement de l'antique ville philistine de Gat. La distance entre les deux colonnes est de deux mètres ce qui indique qu'un homme de grande taille et possédant l'envergure de Shimshon aurait en effet été capable de se tenir entre les deux colonnes et de les pousser jusqu'à ce que tout l'édifice s'écroule.
Selon les archéologues, ce temple date du dixième siècle avant l'ère vulgaire, ce qui correspond à peu près à la fin de la période des Juges. Il a été découvert à l'est de Kiryat Mala'hi, lors de fouilles dirigées par le département d'études d'Eretz Israël et d'archéologie de l'université de Bar Ilan.
« Il est vrai que l'histoire de Shimshon ne s'est pas déroulée dans ce temple précis mais ce que nous avons découvert nous permet de confirmer l'histoire biblique et nous indique que les temples philistins étaient construits selon un modèle bien précis », a déclaré le Prof. Méir, qui a dirigé les fouilles.
Les fouilles de Tel Tsafit ont révélé une autre découverte archéologique liée à la Bible. Le livre d'Amos (chapitre 1) et celui de Isaïe (chapitre 6) nous parlent d'un tremblement de terre qui a secoué la terre d'Israël. Les archéologues ont découvert à Tel Tsafit un mur, long de 20 mètres, qui s'est entièrement écroulé, à la suite d'un très fort séisme, d'une magnitude de 8 sur l'échelle de Richter et capable de détruire toute une ville. Ce tremblement de terre a eu lieu environ en l'an 760 avant notre ère. Cette hypothèse a été confirmée par les sismologues qui se sont rendus sur place. « C'est exactement le tremblement de terre décrit par la Bible », affirme le Prof Méir.