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8 janvier 2010 5 08 /01 /janvier /2010 04:26
Pensées pour mon tunisraélien préféré.

tunisraeliens


Les éditions Elkana annoncent la sortie prochaine d’un livre consacré à l’histoire des Juifs de Tunisie en Israël. Son titre: « Les Tunisraéliens », c’est-à-dire les Tunisiens en Israël.

L’auteure de ce livre monumental est Nava Sarah Yardéni, une spécialiste israélienne du Judaïsme de Tunisie. C’est en 1956 que Nava Yardéni, née Claudine Zagron, monte de Tunis en Israël. Elle a plus de 40 ans lorsqu’elle débute ses études supérieures à l’Université ouverte de Raanana. Sa soif d’apprendre n’étant pas satisfaite par son diplôme de deuxième cycle à l’Université de Haïfa, elle se lance dans un doctorat à l’Université Bar-Ilan, dont le sujet est consacré à l’étude de l’immigration et de l’intégration des Juifs de Tunisie en Israël.

La traduction du livre de l’hébreu au français a été assurée par notre collaborateur, l’économiste et sociologue Jacques Bendelac. C’est un autre historien du Judaïsme tunisien, Claude Sitbon, qui a en écrit la préface. En voici un extrait communiqué par l’éditeur:

« Les Tunisraéliens ont su développer un art de vivre fondé sur une étonnante capacité d’adaptation qui se vérifie encore aujourd’hui, du kibboutz Régavim au mochav Yanouv, en passant par Natanya et Ashdod, Dimona, Beer-Shéva et Jérusalem. Ils ont conservé leur identité tunisienne malgré la rupture géographique. Pour tous ceux qui bâtirent ce bel Israël, et tous ceux qui le soutiennent, ce livre composé avec science et goût par Nava Sarah Yardéni donnera l’occasion d’une sorte de pèlerinage aux sources. Il illustre clairement la volonté de survivance de cette communauté à qui les siècles ont modelé un visage attachant et fidèle. Les gens heureux ont une histoire, la voici ».

Plusieurs « Tunisraéliens » ont déjà eu connaissance de ce livre, comme Sylvain Shalom, Nissim Zvili et Meni Mazouz. En voici leur appréciation:

Sylvain Shalom, vice-premier ministre: « Le livre révèle des informations d’une ampleur impressionnante. L’auteure marque de son empreinte l’étude du Judaïsme de Tunisie en Israël, sujet très peu exploré à ce jour ».

Nissim Zvili, ancien ambassadeur d’Israël en France: « J’ai lu d’un trait cette thèse remarquable, car elle m’a rappelé exactement l’itinéraire de ma famille. Je ne savais pas à quel point mon histoire particulière se confondait avec l’Histoire de ma communauté. Une lecture étonnante et passionnante ».

Méni Mazouz, Conseiller juridique du gouvernement: « Ce livre, intéressant et émouvant, vient combler un vide dans l’histoire d’Israël, en mettant à jour des détails inconnus sur la contribution des émigrants juifs de Tunisie au peuplement et au développement du pays… Il apparaît que plus le temps passe et plus un besoin impérieux de connaître ses racines se renforce… Je vous félicite pour cet ouvrage important ».

Pour ceux qui ne voudraient pas manquer ce livre sur « Les Tunisraéliens », dont la parution est annoncée pour mai prochain, les éditions Elkana le proposent en souscription anticipée, jusqu’au 29 mars 2010. —

Pour joindre les éditions ELKANA : par téléphone, +972 (0)54 7686356 ou par email: editions.elkana@yahoo.fr.

Israel Valley 

 
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5 janvier 2010 2 05 /01 /janvier /2010 14:50



Allez un peu de détente......Bonne année !!!!!



2009 s'est terminée sur l'attentat raté lors du vol Amsterdam-Detroit. 2010 a commencé avec celui qui visait le dessinateur danois Kurt Westergaard.Ces deux tentatives ont échoué. Mais, au Pakistan ou en Afghanistan, on ne compte plus les attentats réussis (si l'on peut dire).














essais nucleaire en Coree du Nord




iran
Obama s'adresse au monde musulman

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3 janvier 2010 7 03 /01 /janvier /2010 16:44
Aujourd'hui dans notre tribune de l'art je souhaite vous présenter un artiste uruguayen 
BERNARD KORZENIAK 

http://www.ietsirart.com/korzeniak/Background.htm




President of Uruguay & Bernardo Korzeniak
Honour Reception, B'nai B'rith 1999


 
Arche Sainte 



L'arbre de vie

 

 Jérusalem



 Jérusalem

 
Jérusalem

 
Shabbat


 
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24 décembre 2009 4 24 /12 /décembre /2009 05:26
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20 décembre 2009 7 20 /12 /décembre /2009 16:02
L’Académie d’Art Betsalel
http://israel-art.blogspot.com/ 



Je souhaite vous faire découvrir cette semaine L'Académie d'Art Betsalel de Jérusalem qui est une véritable institution ici en Israel



En septembre 2009 à l'Orangerie du Sénat à Paris, l'Académie d'Art Betsalel exposait pour la première fois à l'étranger le travail de ses meilleurs éléments. Toutes les disciplines artistiques y étaient représentées, de la peinture au dessin industriel, en passant par la vidéo.


En longeant la rue Shemuel Hanaguid, en plein centre de Jérusalem, on ne peut manquer deux édifices de style ottoman : ce sont la les anciens “locaux” de l’Académie des Arts Betsalel : le premier n’abrite plus que le département d’architecture tandis le second est devenu la “Maison des Artistes”. Celle-ci est surmontée d’une majestueuse menorah, la première de la Jérusalem moderne. Touristes et autochtones, ralentissez le pas ! Une page de l’histoire d’Israël s’ouvre devant vous.

Osez pousser la grille de l’Ecole Betsalel, sous les yeux du gardien qui veille : des constructions architecturales originales, parfois franchement audacieuses, assurent une promenade inattendue autour de l’édifice.


Pour la première fois en septembre 2009, l’Académie Betsalel s’exposait à l’étranger


Pour la première fois en septembre 2009, ce n'étaient pas des artistes individuels sortis de Betsalel, mais l’Académie elle-même qui s’exposait à l’étranger. A l'Orangerie du Sénat, du 16 au 29 septembre 2009 et de 11h à 19h, une sélection de travaux d’élèves était présentée au public francophone. Une exposition intitulée : Cent ans de Dialogue par l’Art.


Yona Fisher, en charge de l'exposition, a répondu à nos questions sur les objectifs de cette exposition. Conservateur de musée depuis cinquante ans, il est accessoirement le fils du Premier ambassadeur de France en Israël (Maurice Fisher, 1949-1952). Tout un symbole, puisque c’est avec lui que Betsalel exposait pour la première fois hors des frontières d’Israël. « Nous avons voulu en faire une exposition itinérante », souligne-t-il. Après Paris, c’est Marseille qui est pressentie.

C’est au B’nai Brit en particulier que revient le mérite de l’initiative : « Betsalel souhaitait s’exposer à l’étranger, et le B’nai Brit a trouvé le chemin du Sénat… Plus précisément de l’orangerie du Sénat, qui donne sur le Jardin du Luxembourg », relate Fisher.


Ce fut bien sur l’occasion pour les étudiants les plus brillants de se faire connaître à l’étranger. Ce fut, plus largement, une façon de confirmer l’état les bonnes relations culturelles entre la France et Israël ; l’exposition était soutenue par l’Ambassade d’Israël en France et l’Association des Amis de Betsalel en France, outre le B’nai Brit. Ce fut aussi l’occasion pour Betsalel de faire connaître ses programmes d’échange, qui dépassent la centaine, "en France avec l’Ecole nationale des Arts décoratifs, l’Ecole des Beaux arts et d’autres institutions. Toutefois en ces temps de crise, le principal objectif de l’exposition était sans doute d’attirer des donateurs potentiels", confie Yona Fisher.


Céramique, verre, architecture… Mais aussi design industriel, communication visuelle. Des courts métrages de deux à huit minutes ont été inclus à l’exposition, car il existe aujourd’hui un département des Arts de l’écran à Betsalel. « L’Académie d’art de Betsalel est reconnue comme l’une des mieux équipées au monde. C’est une académie qui touche à tout, y compris au niveau théorique et philosophique. »


La plupart des élèves représentés étaient en dernière année, « mais pas tous : certains étaient seulement en 2ème année tandis que d’autres étaient des anciens de l’Ecole. J’ai voulu montrer au public ce que celle-ci a donné de meilleur, englobant aussi bien nos anciens élèves que certains nouveaux arrivants. » Une soixantaine d’élèves exposés en tout. Parmi eux, deux Arabes chrétiennes de Galilée.


Les œuvres des élèves n’échappent pas au contexte politique


Des défis "politiques" ont du être relevés pour venir à bout du projet : "Les bonnes dames du B’nai Brit m’ont demandé de ne pas montrer des travaux trop embarrassants relatifs au conflit israélo-palestinien. J’ai dit que je ferais mon possible, mais je sais qu’il est absolument impossible de montrer des œuvres de jeunes artistes ou d’élèves sans que ne soit présente une intention politique, aussi métaphorique en soit l’expression. Essentiellement, les œuvres d’art sont issues de leurs temps, expriment leurs temps, et les œuvres des élèves n’échappent pas au contexte politique."


Et pourtant, Yona Fisher a obtempéré : "Bien que la liberté intellectuelle soit essentielle à la vie de l’art, il m'a fallu tenir compte de la sensibilité du public, largement constitué de Juifs français. J’ai évité pas exemple d’inclure à l’exposition une représentation montrant un soldat israélien frappant un jeune palestinien ligoté… Ces œuvres sont susceptibles de heurter la sensibilité du public et ce n’est pas le but recherché. »


L'histoire de l'illustre école d'art israélienne est inséparable de l’histoire sioniste du pays.


Sensibilité post-sioniste de certains élèves ? Et pourtant, l'histoire de l'illustre école d'art israélienne est inséparable de celle du sionisme : en 1905, avec l’aide du Fonds National Juif, Boris Schatz acquiert deux constructions de style ottoman dans ce qui deviendra plus tard le centre ville de la Jérusalem moderne, pour y créer dès 1906 l’École d’Art et son musée attenant. Boris Schatz, à l'origine Shlomo Zalman Dov Baruch Schatz, peut-être le plus renommé des artistes israéliens, est né en 1867 en Lituanie et descend d’une lignée de rabbins. Il commence par étudier dans une yechiva, puis dans une école de dessin à Vilna.


En 1903, il rencontre Théodore Herzl à Vienne et lui confie son projet de créer, à Jérusalem, une école nationale d’art juif. Herzl lui demande quel sera le nom de cette école ; Schatz répond : "Betsalel bien sûr !" Pour cet ancien bakhour yechiva reconverti aux arts, c’est un choix qui s’impose : dans la Bible, Betsalel est chargé de réaliser les travaux artistiques consacrés à l’embellissement du Tabernacle, et en particulier la Menorah (chandelier) d’or pur qui, plus tard, sera transportée au Temple de Salomon. D’où la menorah qui surplombe aujourd’hui la Maison des artistes ?


Le Mouvement sioniste mondial soutient le projet de Schatz. Ce dernier espère, à travers l’art, former des "Juifs nouveaux" dont les racines plongeront aussi bien dans ce pays neuf que dans la culture des ancêtres. C’est bien avant le modèle du kibboutz, qui développera sa propre vision du "Juif nouveau"...


En 1965, le Musée Betsalel sera transféré au Musée d’Israël et en 1990, c’est au tour de l’École d’art d’être transportée à proximité de l’Université hébraïque, sur le Mont Scopus. L’immeuble de l’Ecole devient alors la "Maison des Artistes", où se succèderont diverses expositions d’artistes israéliens. Avis aux touristes : cette Maison des artistes abrite également l’un des meilleurs restaurants de Jérusalem, au cadre authentique : murs de pierres, chaises et tables en bois, bar ouvert la nuit avec éclairage tamisé.


L’Ecole Betsalel acquiert assez vite une réputation d’excellence. Les artistes israéliens qui y ont fait un bout d’études le mentionneront toujours avec fierté. Riche de 2000 étudiants et de huit départements, Betsalel s’efforce d’être constamment à la pointe. Sur la scène internationale, des artistes issus de Betsalel ont séduit musées et galeries qui les ont exposés des Etats-Unis au Japon.
Photo peinture David Cohen, "Ben Yehuda Walkway"


Nathalie Szerman
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15 décembre 2009 2 15 /12 /décembre /2009 06:00
Au cœur du genre humain. Partie 1

Un peu de philosophie métaphysique par François Célier, écrivain. 

 ©François Célier pour LibertyVox
http://www.libertyvox.com/article.php?id=406 

Un serpent s’est lové dans le cœur du genre humain. En Eden, le serpent répandit le venin du doute métaphysique. L’antisémitisme ne peut être annihilé que par l’antidote du sionisme (une Parole de Dieu). Cette réflexion nécessite de revenir à la source du drame primordial avec  Dieu le Créateur, Adam et Eve, premier couple dont l’esprit fut ouvert par son souffle (Dieu est Esprit) et le Serpent, distillant le doute. Dieu a-t-il dit ?(La Promesse). Interdit d’interdire ! (Mai 68).

L’inconscient collectif du genre humain n’ignore plus qu’Adam et Eve rompirent le Pacte de la confiance en Dieu et qu’ils furent chassés d’Eden, sous protection divine à l’égard des populations d’Homos sapiens qui les environnaient. Ils eurent deux fils : Abel, le paisible, et Caen, le chasseur. Ce dernier assassinat son frère. Plus tard, Jacob, fils d’Isaac (fils d’Abraham et demi-frère d’Ismaël), sensible à l’esprit, et son frère Esaü, se fiant à son ego, révélèrent leur identité spirituelle respective : Esaü vendit son héritage à Jacob pour un plat de lentilles et, jusqu’à nos jours, devinrent radicalement rivaux.

I. Du présent à la nuit de Cristal.  

II. Ismaël ou la haine d’Israël.

III. De la Shoah à l’Inquisition.  

IV. La source du drame en Eden.

 

I. Du présent à la nuit de Cristal

Le monde chrétien compterait plus d’un milliard de catholiques, 200 millions d’orthodoxes et plus de 250 millions de protestants. D’après la Bible servant de référent, ce quart de population mondiale devrait avoir l’inclination religieuse de soutenir Israël et les juifs, étant donné que l’héritage de leurs croyances et traditions sont judéo-chrétiennes.  Ce qui ne fut jamais le cas, loin s’en faut !

Il semble que nous arrivons à la fin du temps de nos civilisations traditionnelles (du moins, en serions-nous proches). Pour un tas de raisons historiques, après avoir été considéré comme un trublion urticant à travers les âges, Israël et les juifs redeviennent (selon les Ecritures) le seul espoir pour la restauration du monde et sa rédemption. Il serait temps de se souvenir du paradoxe fondateur du christianisme, se réclamant à la fois du peuple d’Israël et de la tradition biblique. Pour s’en émanciper, les chrétiens de jadis vont se démarquer du peuple hébreu matriciel et indocile en superposant aux Ecritures hébraïques, d’inspiration divine, un autre Testament ou Seconde Bible, rédigée en grec, dite Nouveau Testament.

S’étant fourvoyés un temps dans l’hérésie Marcionite, la chrétienté historique (orthodoxe, catholique et plus tard protestante), refusa néanmoins de s’y engager, préférant assumer une relation ambiguë avec le judaïsme. Une Epître de St. Paul aux Romains leur rappelait opportunément que les Juifs n’ayant jamais été rejetés par Dieuleur effacement (partiel et temporaire) de l’histoire ontologique permettait de faciliter la conversion des nations à la foi catholico-chrétienne. Et la chrétienté historique préjugea qu’à la fin des temps les juifs reviendraient à Dieu et retrouveraient le rang prééminent qui leur était dévolu. Dans cette attente de réhabilitation, les chrétiens d’aujourd’hui ne doivent plus occulter ou ignorer que ce sont les Juifs qui soutiennent et alimentent leur foi comme les racines soutiennent et alimentent l’olivier sur lequel ils sont entés. L’antisémitisme chrétien procède souvent de son ignorance ou du dévoiement de son raisonnement épistémologique, car il ne vit plus selon l’esprit de Jésus, juif central du Nouveau Testament. Cet égarement provoque en lui mauvaise conscience et agressivité. Pour s’en absoudre, il a besoin du bouc émissaire séculairement éprouvé : Israël et les juifs.

Un article du pasteur Adolphe Hunziker intitulé Israël, nous n’avons pas bonne conscience démontre qu’à l’égard d’Israël, le christianisme s’est fourvoyé dans ses déductions philosophiques, politiques, sociales et religieuses. Il fit la remarque suivante : là où le christianisme progressait dans l’Histoire, le Juif en était le bouc émissaire coutumier.

L’inversion des valeurs actuelles due au relativisme tout azimut, implique pour les nouveaux damnés de la terre que sont les fanatiques et les meurtriers islamistes, encensés par les benêts idéologiques aux empathies dévoyées « nul d’entre eux n’est coupable en rien… ». Y compris meurtres, viols, attentats, torturesbombes humaines, au nom de leur nouvel idéal mondialiste. Les musulmans dédouanés par leur Coran et par les bons sentiments hypocrites et gauchisants où les fautifs sont les autres, c’est-à-dire l’Histoire (dévalorisée, déhistorisée) ; la Société (démoralisée) et le joker automatique et bouc émissaire israélo-américain, porteur attardé de valeurs militaires et d’honneur. Intolérable !

Apeurée par la force de l’assaut islamiste actuel, impunément armé de son manuel de guerre coranique, l’intelligentsia occidentale pusillanime baisse pavillon sans trop d’état d’âme.  Espérait-elle que sa capitulation intellectuelle (dhimmitude inavouée) leur offre un répit, permettant un contournement de la menace ou une trêve mahométane négociée ? Stupide reddition de la pensée due à la méconnaissance historique de quatorze siècles de conquêtes Islamiques. Cinquante six pays furent gagnés de la sorte ! Malheureusement, ce phénomène de soumission s’amplifie dans toute l’Europe.

L’illusion qu’un sursaut de la nouvelle génération libérée de référence au passé, affranchie de toute conscience du bien et du mal (merci à l’Education Nationale qui s’y emploie, ainsi qu’à la langue de bois politicienne psalmodiée par ses médias serviles), de lien sociaux autres que celui des gangs et du communautarisme à contre-morale des Droits-de-l’homme. Dès à présent, des poches de résistance et d’honneur se mettent en place, en toute discrétion. Il en fut toujours ainsi…

A l’heure actuelle, l’antisémitisme latent ou affiché d’un grand nombre de citoyens européens s’est emparé d’une formulation plus politique : celle de l’antisionisme ; tout en feignant d’être amourachés par la flûte enchantée du palestinisme arabo-philistin. Pour se racheter de cette nouvelle aberration, la Bible propose un proverbe : Celui qui cache ses transgressions ne prospère point, mais celui qui les avoue et les délaisse obtient miséricorde (Prov. 28 :13).

Tout homme droit, tout homme d’honneur et d’intégrité qui s’applique à raisonner par lui-même, donc capable de discerner le vrai du faux, peut dire NON aux mensonges d’Etat et aux médias mensongers. Il a conquit l’autonomie de sa pensée et de sa conscience. Dès lors, il peut témoigner de son changement de cap, de l’abandon de faussetés qui jalonnaient son parcours politico-religieux se rapportant à Israël ou à la colonisation colorée qui se propage en Europe.

Les chrétiens (de réelle conviction) et les hommes de bonne volonté restés fidèles en amitiés à Israël, peuvent se réjouir de la réalisation de la promesse de Dieu sur le retour des juifs, son Peuple, sur la terre qui lui avait été volée. Comprendre le Sionisme qui les anime, c’est avoir l’amour de la liberté et de la vérité foncière et non l’amour du mensonge ! A contrario, l’antisionisme n’est rien moins que le déni au peuple juif de son droit fondamental, ce qui se nomme aussi discrimination envers lui. Autrement dit, c’est encore de l’antisémitisme.

Pour sa visite à la synagogue de Rome en avril 1986, le Pape Jean-Paul II déclara (enfin !) que les Juifs étaient nos frères aînés. En son temps, Jésus avertit ses disciples qu’à travers les âges ils seraient jugés pour la façon dont ils traiteront le peuple juif, ses frères de sang, issu du même sein culturel.

La meilleure attitude des hommes droits et des Chrétiens d’aujourd’hui envers Israël et les Juifs, serait de reconnaître une certaine méconnaissance de l’héritage spirituel et du rôle qu’Israël a joué et jouera encore dans le plan de Dieu. Bien qu’amicaux, beaucoup ignorent l’importance du lien qui les unit au peuple Juif et à la matrice dans laquelle ils puisent leur foi. Par contre, l’antisémite lambda se réjouira de chaque occasion qui lui sera donnée d’exprimer son animosité et ses ressentiments. Aussi, pour se réactualiser au goût du jour, il devra inventer de nouvelles affirmations offensantes et des slogans haineux pour diffuser son venin. Il peut même affirmer qu’il ne hait pas les Juifs, mais qu’il est seulement antisioniste.

« Mon ami, écrivit Martin Luther King en 1967, je ne t’accuse pas d’antisémitisme délibéré. Je sais que tu ressens, comme je le fais, un profond amour pour la vérité et la justice, et une révulsion envers le racisme, les préjugés, la discrimination. Mais je sais que tu as été trompé, comme d’autres l’ont été, en te faisant croire que tu pouvais être antisioniste tout en restant fidèle aux principes que nous partageons toi et moi du fond du cœur. Que mes paroles sonnent dans les profondeurs de ton âme : quand les gens critiquent le sionisme, ne te trompe pas, ils pensent les Juifs ».

La mode actuelle n’est plus de se déclarer antisémite, mais uniquement antisioniste. Or l’un n’est que l’ombre portée de l’autre : « ... Tu déclares, mon ami, que tu ne hais pas les Juifs, que tu es seulement antisioniste. A cela je dis, que la vérité sonne du sommet de la haute montagne, que ses échos résonnent dans les vallées vertes de la terre de Dieu : Quand des gens critiquent le sionisme, ils pensent Juifs, et ceci est la vérité même de Dieu. L’antisémitisme, la haine envers le peuple juif, a été et reste une tache sur l’âme de l’humanité… antisioniste signifie de manière inhérente antisémite, et il en sera toujours ainsi… le Sionisme n’est rien moins que le rêve et l’idéal du peuple juif de retourner vivre sur sa propre terre...  Ils en furent expulsés par le tyran de Rome, les mêmes Romains qui assassinèrent si cruellement Jésus. Chassé de sa patrie, sa nation en cendres, le peuple juif fut forcé d’errer sur le globe. Encore et encore, le peuple juif souffrit aux mains de chaque tyran qui vint à régner sur lui ».

Les chrétiens évangéliques d’aujourd’hui, quelque peu triomphalistes sur leur forte croissance dans le monde, devraient se souvenir que les églises évangéliques allemandes, majoritaires à l’époque de la 2ème guerre mondiale, déclarèrent officiellement qu’il fallait prier pour Adolf Hitler car Dieu utilisait cet homme pour restaurer l’économie et la grandeur de l’Allemagne (!) De même, les églises pentecôtistes qui se prévalaient de dons charismatiques avancés, allaient même jusqu’à proclamer que Adolf Hitler était un instrument de Dieu pour apporter l’accomplissement des prophéties concernant les afflictions et les punitions du peuple Juif (!)

Homme de foi Ch. Péguy écrivit : Je connais bien ce peuple (les juifs). Il n’y a pas sur sa peau un seul point qui ne soit douloureux, où il n’y ait pas la mémoire d’une souffrance, une cicatrice, une blessure d’Orient ou d’Occident.

Le pasteur Hunziker pose à juste titre la question : Comment et pourquoi de telles aberrations sont-elles possibles ? Raisons religieuses : Les Juifs furent accusés de déicide et ceci donna un bon alibi en alimentant la haine et le mépris, par un enseignement religieux borné et tendancieux. Raisons sociales : Les Juifs furent enviés par les ignorants à cause de leur savoir, leur culture et leurs réussites, faisant l’envie des pauvres et la jalousie des riches. On a fait des Juifs les responsables des crises sociales.

En évoquant deux personnalités chrétiennes : le révérend William Hechler, aumônier de l’Ambassade britannique à Vienne et le protestant Suisse Henri Dunant, qui partagea le 1er prix Nobel de la paix, Théodore Herzl inventa l’expression de chrétiens sionistes au 1er Congrès sioniste de Bâle, en 1898.  Personnellement, en tant que disciple de Jésus le juif, j’emploierai de préférence le terme de sioniste biblique qui me paraît plus approprié ; lequel peut recevoir des adhérents juifs et frères aînés. Cette attitude du plus grand nombre de croyants judéo-chrétiens permettrait de soutenir le sionisme politique de la patrie du peuple juif, en y incluant de ce fait, une dimension de transcendance spirituelle hébraïque qui fait parfois défaut à la Knesset...

L’antijudaïsme s’étant habillé de nouveaux atours, la presse actuelle le tague à tout-va d’antisionisme pour faire avaler à leur lectorat la même pilule empoisonnée de sa politique proche-orientale. Ce qui se traduit par une insistance quotidienne sur l’imagerie d’une puissante armée israélienne tueuse d’enfant palestiniens ghettoïsés et de jeunes jeteurs de cailloux contre des véhicules blindés. En fait, ces maîtres menteurs ont pour objectif d’annihiler la notion de peuple élu (Israël) qui chercherait à entrer par effraction dans l’Histoire avec son idéologie sioniste.

Bien entendu, cet antijudaïsme de mécréance médiatique ignore que le Dieu d’Israël a déclaré maintes fois dans la Bible qu’IL est LUI, le Premier des Sionistes ! Toujours est-il que cette nouvelle stratégie sémantique ne signifie rien moins qu’un transfert de l’imagerie désuète de l’antisémitisme conventionnel, sur un antisionisme up to date projeté dans les médias.

Or la Bible des juifs ne raconte que l’Histoire ancienne, présente et future du monde car celui-ci été fécondé par la Parole divine recueillie dans ses pages. Ce précieux livre ne se lit pas seulement comme un document créationniste ou darwinien, mais avec une humble conscience de nos lacunes, pour atteindre d’autres profondeurs de son intériorité.

Dans les instances onusiennes et autres de même acabit, il est souvent décrété qu’Israël et les juifs sont une menace pour l’ordonnancement des nations et des peuples. Au fil de l’Histoire, les nations se sont déployées sur le principe de la confrontation ou de revendications immorales, se rapportant aux ambitions cupides d’hommes déterminés et aux nécessités économico-politiques, en occultant toute une référence au Créateur. Il en est exclu of course. Si cela n’était pas, leurs dirigeants, passés ou actuels, devraient êtres comme amoureux et admiratifs des signes de Dieu dans l’agencement et la conduite du monde. Au lieu du désarroi-panique inavoué qui s’empare d’eux, ils  parviendraient, avec son aide, à restaurer les désordres financiers, les désastres écologiques, etc. Bref, ils géreraient au mieux les lois des échanges, de la nature aux abois et de la complexité du Réel social.

Il s’avère que paré d’un nouveau lexique, le marcionisme sectaire est de retour en Occident. Jadis, par antijudaïsme concurrentiel, cette hérésie des 1ers siècles tenta de séparer l’Ancien et le Nouveau Testament comme étant l’expression de deux Dieux distincts :

Jésus, amour universel et Jéhovah, Dieu vengeur, tout en occultant l’œuvre maléfique du Serpent (le Père du mensonge) et notre libre arbitre, inclinant vers le bien ou le mal, selon.

Depuis le XXème siècle, la source historique de l’antijudaïsme chrétien, ayant relooké le marcionisme, réapparaît, plus pernicieuse que jamais. Par exemple, l’impératif dialogue avec l’Islam géopolitique du XXIème siècle l’imposerait. Cette hérésie méconnue est en phase avec l’insidieuxdialogue des cultures. Prétextes sournois à d’hypothétiques accords européens avec l’Orient musulman pétrolifère. D’où l’empressement et l’orchestration des médias contre un Israël oppresseur, guerrier dominateur et sûr de lui, qui écraserait tous ceux qu’il trouve sur son passage ; ou encore la folie calculée d’un Ahmadinejad se permettant de clamer en toute impunité de rayer Israël de la carte. Cette arrogance n’invite-t-elle pas à se demander jusqu’à quel point ce roitelet persan serait habité du même esprit hitlérien avant qu’il ne déchaînât l’enfer sur le monde ?

Au fur et à mesure de l’ascension d’Hitler au pouvoir, l'antisémitisme nazi connut une radicalisation progressive et inéluctable. Les premières mesures discriminatoires contre les Juifs sont adoptées dès le printemps 1933 ; deux ans plus tard elles sont étendues par les lois de Nuremberg, effaçant ainsi tous les acquis d'un siècle d'émancipation des juifs européens. Elles se transforment en une véritable persécution après la vague de pogromes déclenchée en 1938, pendant la tragique nuit de cristal qui recouvrit l’Europe d’un manteau de ténèbres. La 2èmeguerre mondiale s’illustra pour l’éternité de l’horreur absolue de la shoah. L’historien Raoul Hilberg déclara un jour : Les chrétiens du second siècle dirent aux Juifs : Vous ne pouvez pas vivre parmi nous en tant que Juifs. En prenant le pouvoir politique, les autorités séculières leur dirent : Vous ne pouvez pas vivre parmi nous. Au XXème siècle, les Nazis ont décrété: Vous ne pouvez pas vivre.

Le 10 juillet 1940, le Parlement  français votait les pleins pouvoirs au maréchal Pétain. De son propre chef, ce dernier mit en place un dispositif sur le statut des juifs qui constituera la grande forfaiture de l'histoire de France. Pierre Laval, chef du gouvernement d’une France tétanisée, proposa lui-même de livrer aux SS les enfants de moins de seize ans, ainsi que tous les juifs se trouvant en zone libre. Des déportations massives commencèrent par la rafle du Vélodrome d'Hiver à mi-juillet 1942. Treize mille juifs de la région parisienne, dont quatre mille enfants, seront regroupés dans les camps de Drancy, Beaune-la-Rolande et Pithiviers, avant d'être déportés à Auschwitz, c’est-à-dire dans l’enfer de l’inhumanité. Il en fut de même à travers toute une Europe christianisée depuis 19 siècles !  Ce qui m’amène à la réflexion suivante : Ne sont-ce pas tout autant les collaborateurs des bourreaux du plus grand massacre des innocents de tous les temps qui, par antisémitisme révélé, franchirent d’eux même la porte de l’enfer ? Un enfer autrement moins poétique que celui de Dante Alighièrie, mais celui qui tombera de la justice du Dieu d’Israël.

Indépendamment des courageux résistants aux envahisseurs nazis, la seule lueur d’humanité dans ce torrent de lâcheté munichoise et pétainiste fut le rôle joué par des milliers de français qui, au péril de leur sécurité et souvent de leur vie, sauvèrent des milliers de victimes juives vouées à l’holocauste. Ces héros de l’ombre n’eurent droit qu’à la reconnaissance officielle de l’Institut de Yad Vashem créé en 1953 en Israël qui leur décerna le titre de Justes des nations

Combien sont les résistants et les Justes de nos jours ?

 

©François Célier pour LibertyVox

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14 décembre 2009 1 14 /12 /décembre /2009 05:17
Caricature de la semaine

Un peu de détente non ? 


 
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13 décembre 2009 7 13 /12 /décembre /2009 17:19
Par Aschkel

Cette semaine dans notre tribune ART j'aimerai vous faire découvrir un artiste que j'aime beaucoup qui a illustré à merveille les Psaumes.

Mosché Tsvi Halevy Berger né en 1924 en Transylvanie est un survivant de la Shoah.




Versé dans la Kabbale, il exprime par ses couleurs et sa spiritualité la beauté des psaumes de David.

Voici quelques-unes de ses oeuvres.


Source : http://www.museumofpsalms.com/artist.php


Psalm 3

Psalm 4

Psalm 6

Psalm 17
 
Psalm 22

Psalm 78

Psalm 81

Psalm 26

 
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6 décembre 2009 7 06 /12 /décembre /2009 05:13
Aujourd'hui un peu de sport ?

LES CHAMPIONS JUIFS











Les champions juifs dans l’histoire - des sportifs face à l’antisémitisme, par Philippe Assoulen
http://prof-theme.blogspot.com/







Les ouvrages sur les sportifs juifs ne sont pas légion . À travers les siècles, les Juifs ont souffert de l’image complètement fausse véhiculée par les antisémites selon laquelle un Juif ne saurait, par définition, être capable du moindre exploit physique. En témoigne l’assertion du général Charles H. Scherrill, représentant américain au Comité International Olympique, formulée au Madison Square Garden de New York en 1935 : « Il n’y a jamais eu de grand athlète juif dans l’Histoire ».

Une assertion contre laquelle s’inscrit en faux la réalité depuis les temps bibliques. Bien avant l’ère chrétienne, Jérusalem possédait un gymnase. Hérode, roi de Judée, fit construire l’un des premiers stades dont on ait le souvenir. Resh Lakish, le fameux gladiateur devenu rabbin y connut des heures de gloire. Plus près de nous, au XVème siècle, c’est un Juif, Ott, qui est considéré comme le meilleur lutteur de l’époque.

Sans oublier le boxeur de légende, l’Anglais Daniel Mendoza (1764-1836), « Étoile d’Israël » et « père de la boxe scientifique ».


Pour Philippe Assoulen, c’est en Hongrie que « tout à commencé ». À Budapest, où naît, le 1er février 1878, Arnold Guttmann, fils d’un modeste colporteur brillant nageur qui, pour s’intégrer et gravir tous les échelons sportifs de son pays, se métamorphosera en Alfred Hajos. C’est à Budapest aussi, que naît Theodor Herzl qui, en 1896, peu avant le début des premiers Jeux Olympiques s’apprête à publier son État des Juifs.

Le petit Juif Hajos, en remportant, lors de ces Jeux, deux médailles d’or, va devenir l’idole de tout un peuple. Il n’est pas le seul. D’autres grands nageurs juifs sont à ses côtés : Neumann et Herschmann. L’auteur mêle, d’une manière astucieuse et convaincante les destinées d’Hajos et de Herzl. On découvrira par ailleurs, au fil des pages, la contribution exceptionnelle des Juifs hongrois à la grande épopée du sport international, notamment en escrime.
Le chapitre consacré à « Hitler face aux champions juifs » est particulièrement édifiant. « Il est frappant de retrouver chez Hitler, presque mot pour mot, la pensée de Herzl : le corps au service de l’esprit pour gagner des batailles », nous dit l’auteur qui ajoute, fort heureusement : « La haine, toutefois, fait la différence ».

On découvre le personnage déroutant de la championne allemande d’escrime, Hélène Mayer, Juive de père, qui clamera haut et fort qu’elle est allemande avant tout et poussera l’identification au régime jusqu’à faire le salut hitlérien aux Jeux de Berlin en 1936. Ce jour là, fait exceptionnel, trois Juives seront sur le podium : la Hongroise Ilona Elek, médaille d’or, Hélène Mayer et l’Autrichienne Ellen Preis, médaille de bronze. D’ailleurs, on l’oublie souvent, à ces J.O. de Berlin, seize médailles seront remportées par des Juifs !
Fait peu connu, le baron de Coubertin, si souvent encensé, n’a pas toujours été digne : « Mais le baron, à l’amorce des nouveaux jeux olympiques, s’égare un peu. Il se sent proche d’Hitler. Il admire le dictateur et échange même avec lui de nombreux courriers. Il soutiendra le dossier olympique de l’Allemagne nazie. Hitler, reconnaissant, lui versera une rente jusqu’à sa mort, en 1937 ».
La tragédie des champions juifs qui moururent dans les camps de concentration est également narrée avec talent : le boxeur franco- tunisien Young Perez, bien sûr, mais aussi les sabreurs Janos Garay, Oszkar Gerde, Attila Petschauer et Endre Kabos et tant d’autres encore.
On lira avec intérêt la reconstitution minutieuse du drame de Munich en 1972 avec l’invraisemblable amateurisme de la police allemande et, par la suite, si l’on en croît les déclarations du responsable palestinien d’un détournement d’avion pour le moins bizarre, une connivence quasi certaine des autorités allemandes avec l’OLP pour la libération des terroristes palestiniens responsables du massacre encore en vie. Des jeux endeuillés qui verront le Juif américain Mark Spitz réaliser son exploit de remporter sept médailles en natation.


Un précieux « Petit dictionnaire des champions juifs » par discipline et la liste des médailles israéliennes aux Jeux ( Sept en tout depuis Barcelone en 1992, dont une seule d’or, celle de Gal Friedman en planche à voile en 2004 à Athènes) est proposé en fin d’ouvrage.


Jean-Pierre Allali


Cliquez sur le nom pour en savoir davantage
Tous les Grands Sportifs Juifs de jewisheritage 

HAROLD ABRAHAMS
VIKTOR BARNA
DAVID BECKHAM
GRETL BERGMANN
ALAIN CALMAT
BEN CHEMOUL
LILIAN COPELAND
ALFRED FLATOW
GAL FRIEDMAN
MILTON GREEN
HANK GREENBERG
ALPHONSE HALIMI
OTTO HERSCHMANN
ZAB JUDAH
GENNADI KARPONOSOV
AGNES KELETI
SANDY KOUFAX
LENNY KRAYZELBURG
DANIEL MENDOZA
ALFRED NAKACHE
VICTOR YOUNG PEREZ
MYER PRINSTEIN
BOBBIE ROSENFELD
BARNEY ROSS
DOLPH SCHAYES
MARK SPITZ
KERRI STRUG
IRENA SZEWINSKA
DARA TORRES
ARIK ZEEVI 
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3 décembre 2009 4 03 /12 /décembre /2009 05:58
Les origines du jeu d'échecs se perdent dans la nuit des temps entre légendes et une réalité historique souvent controversée. Une origine située dans le nord de l'Inde vers 600 (après J.C.) est aujourd'hui communément admise. L'ancêtre direct décrit par des textes est le chatranj que les Perses auraient reçu des Indiens (jeu dérivé du Chaturanga à deux joueurs).
http://www.iechecs.com/origine.htm

On aurait bien besoin de grands stratèges face à la Perse d'aujourd'hui !


la plupart des grands champions d’échecs sont juifs
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le 02/12/2009 à 22:41vu 272 fois0 nombre de réactions

 

chess.jpg

 

Est-il excessif de croire que le judaïsme entretient avec les échecs une relation familière ? Impossible de l’affirmer avec certitude.


Quelques éléments, cependant, suscitent le questionnement.
Le jeu d’échec, à bien des égards, apparaît comme le miroir de l’univers, une réduction de l’infiniment grand, dont on cherche sans cesse le sens.

Il est tentant de rapprocher ce jeu de la tradition juive dont il partage le sort dans l’esprit des chrétiens de l’Occident médiéval – une invention diabolique.

L’intelligence y tient une place essentielle, et permet de rendre hommage à la beauté du monde. D’une manière plus nette, l’analyse des parties jouées provoque des discussions enflammées qui rappellent celles pratiquées dans les écoles talmudiques. Le jeu d’échec apparaît aussi comme un espace où repousser des limites, au risque du vertige, en sachant pertinemment qu’elles existent. Enfin, la nécessité de jouer encore une partie, n’est-elle pas une métaphore de l’attente, jamais encore satisfaite, de la venue du Messie ?
Il serait excessif d’aller plus loin et de considérer le jeu d’échec comme un prolongement profane de la spiritualité juive. Mais il est un phénomène indiscutable : la plupart des grands champions d’échecs sont juifs,et c’est évidemment en Union Soviétique que le phénomène apparaît le plus clairement.

http://www.youtube.com/watch?v=lsG7sdF4X8k&feature=player_embedded
    

Aaron Alexandre
, German-born French-English

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