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11 septembre 2011 7 11 /09 /septembre /2011 17:10

Obama et Abbas

Obama/Palestiniens  – Quelle est la plus grosse bourde d’Obama ?

Comment Obama a « induit en erreur » les arabo-palestiniens

Si quelqu’un doit être tenu responsable de la décision de l’Autorité palestinienne de demander à l’Onu de la reconnaissance d’un Etat palestinien le long des lignes de 1967, c’est le président américain Barack.H.Obama et son conseiller au Moyen-Orient

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8 septembre 2011 4 08 /09 /septembre /2011 08:26

rapport obaba

La politique antiterroriste de faux-semblant d’Obama

Au début d’août, avec trompettes et roulements de tambour, la Maison Blanche a fait paraître undocument politique sur les méthodes pour prévenir le terrorisme, qu’elle dit avoir mis deux ans à élaborer. Signé personnellement par Barack Obama et dans un style plein d’emphase vantant « la force des communautés» et la nécessité d’«augmenter notre compréhension de la menace constituée par l’extrémisme violent», le document semble rassurant.

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6 septembre 2011 2 06 /09 /septembre /2011 19:09

 

 

obama

OBAMA – Pompier ou pyromane ?

Economiste senior
Institut économique de Montréal

Le discours sur la situation de l’emploi et de l’économie que doit prononcer ce soir le président Obama devant le Congrès est attendu avec impatience. Pourtant, le contenu en est assez prévisible.

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17 août 2011 3 17 /08 /août /2011 12:08

soporifique... 

Plus arrogant que jamais dans sa défaite électorale annoncée, Obama joue une fois de plus les donneurs de leçon d'avocaillon d'Harvard qui n'a su décoller sur aucun dossier dans son propre pays (économie) et a, pour ainsi dire, ruiné les acquis de la politique étrangère américaine pour des décennies

Les Etats-Unis exigent qu’Israël s’excuse auprès

de la Turquie

http://www.guysen.com

 

Par Eric Desbordes - Mercredi 17 août 2011 à 11:48


Les relations israélo-turques préoccupent manifestement beaucoup les Etats-Unis. Ils viennent de demander fermement à Israël de présenter ses excuses à Ankara pour stabiliser les forces en présence dans la région avant le vote de l'ONU en septembre. Réponse du Vice-Premier ministre israélien : hors de question.

 

 

Les Etats-Unis exigent qu’Israël s’excuse envers la Turquie dans l'affaire de l’assaut du Mavi Marmara, le navire amiral de la première « flottille pour Gaza » intercepté par Tsahal en mai 2010 et lors duquel neuf ressortissants turcs, identifiés par la suite comme appartenant à des groupes terroristes et s’étant clairement déclarés djihadistes, avaient péri après avoir agressé des soldats de Tsahal en vue de les tuer.
 

Si Israël maintient sa position de refus, préférant déplorer les morts et dédommager leurs familles, les Etats-Unis menacent de durcir leurs positions au moment du vote de septembre sur l’adhésion d’un éventuel Etat palestinien aux Nations Unies.

 

Les Américains haussent le ton alors même qu’Israël ne ménage pas ses efforts pour éviter des heurts au moment du « soulèvement populaire » demandé par Mahmoud Abbas, et vient de proposer des compromis importants aux Palestiniens.

 

Cette requête pour le moins intrusive émane du bureau de la Diplomatie américaine dirigée par Hillary Clinton, et entend servir les intérêts américains dans la région en stabilisant les relations israélo-turques.

 

Mais les Israéliens ne l'entendent pas de la même oreille. Pour Boogie Yaalon, en tous cas, les choses sont claires. Lors d'une réunion du Likoud, le Vice-Premier-ministre s'est déclaré formellement opposé à ce qu'Israël présente des excuses à Ankara.

 

Boogie Yaalon est persuadé que la Turquie est impliquée dans l'affaire du Mavi Marmara. Il en veut pour preuve le fait qu'Ankara ait empêché le second navire turc de se rendre à Gaza en juin dernier.

 

Il s’agit selon lui d’une véritable machination du gouvernement turc pour « affaiblir Israël » et se placer en maître de la région. Pour lui, il en va en outre de l'honneur national, une véritable question stratégique.

 

Reste à la Turquie, à Israël comme aux Etats-Unis, d'attendre le rapport onusien Palmer sur le Mavi Marmara. Sa publication a été reportée maintes fois pour être finalement attendue avant la fin du mois.

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15 août 2011 1 15 /08 /août /2011 13:39

 

Par:Jacques Brassard

Pour © 2011 aschkel.info et © 2011 lessakele  

Souvenez-vous, c’était le Messie qui entrait à la Maison-Blanche. Barak Hussein Obama était idolâtré à travers la Planète. Ici, au Québec, on se prosternait «à la musulmane» devant cette émanation de l’ultra-gauche du parti Démocrate. Encore aujourd’hui, malgré une moitié de mandat calamiteux, la horde médiatique et tous les «chroniqueux» et intello-experts du Québec continuent de faire tournoyer l’encensoir avec énergie devant le Grand Timonier du Potomac.

À l’époque, j’avais consacré plusieurs chroniques au Quotidien, exprimant ma méfiance et mes doutes à l’égard du Rédempteur venant de l’Illinois avec plein de squelettes dans son placard. Guy Millière, dans son livre, La Résistible Ascension de Barak Obama, a largement mis en lumière tous ces squelettes, avec références à l’appui.

Daniel Pipes, un éminent spécialiste de l’islam, a fait de même. Michel Gurfinkiel également. Et bien d’autres. Mais l’idolâtrie empêchait et empêche toujours de voir et d’entendre. Pourtant! Michel Gurfinkiel, par exemple, a montré, dans son dernier livre, Israël Peut-il Survivre?, que «la carrière d’Obama doit beaucoup à des réseaux communistes et post-communistes».

Daniel Pipes, quant à lui, a mis en relief les relations d’Obama, tout au long de sa carrière d’activiste social, avec l’islam extrémiste. En particulier avec The Nation of Islam, dont le leader, Louis Farakhan, est un raciste et un antisémite, admirateur d’Hitler.

Et tout le monde sait que, pendant 20 ans, et jusqu’en 2008, Obama a choisi et fréquenté la Trinity United Church of Christ, une église dont le pasteur est un adepte de la théologie noire de la libération et qui était et est toujours un raciste anti-blanc, antisémite et anti-américain.

Guy Millière, de son côté, a fait ressortir l’influence déterminante d’un gauchiste radical sur le jeune Obama, dénommé Saul Alinsky, qui a mis au point la doctrine et la stratégie de l’activisme social. Et celle aussi de William Ayers, un agitateur d’extrême- gauche et fondateur d’un groupe terroriste dans les années 70, les Weathermen, et «responsable d’attentats contre le Pentagone et le Capitole, arrêté en 1980, puis relâché suite à un vice de procédure».

De bien belles fréquentations! De nos jours, tout cela est bien connu. Sauf au Québec sans doute! On sait maintenant que le locataire de la Maison-Blanche appartient depuis longtemps à l’ultra-gauche du parti Démocrate et qu’il a subi l’empreinte de doctrinaires gauchistes et d’activistes islamistes (dont, entre autres, l’ex-porte-parole de l’OLP, Rachid Khalidi, antisémite notoire). Et ce ne sont pas des erreurs de jeunesse.

Ces accointances douteuses n’ont jamais vraiment cessé. Dès sont arrivée au pouvoir, il s’est d’ailleurs entouré de «conseillers spéciaux» (on les désigne sous le nom de tsars, parce qu’ils n’ont de compte à rendre qu’au Président), la plupart issue de l’ultra-gauche, qui court-circuitent ministres et ministères en vue d’imposer les options idéologiques présidentielles.

Guy Millière, dans son livre, passe en revue la liste de ces tsars gauchistes. Sachant cela, vous comprenez pourquoi, après moins de 3 ans de Présidence Obama, l’Amérique est frappée par un cataclysme économique et dangereusement affaiblie par une politique étrangère, dont, nous signale Laurent Murawiec, analyste clairvoyant trop tôt disparu, «le pacifisme benêt et l’amour porté aux dictateurs est la marque de l’incohérence et de la niaiserie idéologique». Désastre économique, de toute évidence!

Face à la crise économique et financière, César Obama s’est lancé, en bon ultra-gauchiste, dans le charlatanisme économique qui consiste à s’imaginer qu’on puisse retrouver le chemin de la croissance et de la prospérité par la dépense publique et l’endettement.

«Combien de fois faudra-t-il, écrit Guy Sorman, que cette théorie dite keynésienne, de la pensée magique et pas de la science économique, échoue pour qu’on renonce enfin à recourir à ses grigris et à ses croyances?». Et dans le cas du Grand Timonier de Washington, l’échec est une gigantesque catastrophe.

Dernier déficit de Bush : 240 milliards. Les déficits Obama : 2009, 1400 milliards; 2010, 1300 milliards; 2011, 1500 milliards. Imaginez que Bush ait plongé dans de tels abysses! Les médias l’auraient taillé en pièces, écorché vif!

Pour Obama, on invente les excuses les plus saugrenues! Quant a la dette publique américaine, elle a, sous Obama, atteint des hauteurs stratosphériques! 100% du PIB! Tellement incontrôlable que l’agence de notation Standard and Pools a dû abaisser la cote du gouvernement fédéral américain de AAA à AA+. Une première dans l’histoire! Eh! Bien! Savez-vous qu’il y a quand même, au Québec, de soi-disant experts pour évoquer sérieusement un «complot républicain» afin d’expliquer la décote! J’en ai entendu un à TVA ! Et un autre chez Dumont! On croit rêver.

La faillite économique des États-Unis, que la décote ne fait que révéler, n’est pas vraiment due à la gestion désastreuse du Messie de la Maison-Blanche, mais…à une conspiration des Républicains planqués au sein de l’agence Standard and Pools! Il faut croire que toute faribole est de mise quand il s’agit de disculper le Génie du Potomac!

Par ailleurs, les «chroniqueux» et les «experts» de la gauche intello-médiatique ne ratent jamais une occasion d’identifier les vrais coupables de la déconfiture économique américaine : les Républicains, bien sûr! Mais surtout, les Tea Parties, ces «dangereux-extrémistes-décervelés»! J’ai rarement vu un regroupement politique autant calomnié, diffamé et diabolisé! Pourtant, que sont les Tea Parties?

D’honnêtes citoyens issus de la classe moyenne qui souhaitent que les États-Unis reviennent à ses sources fondatrices, c’est-à-dire les grandes valeurs inscrites dans la Constitution : liberté, responsabilité, démocratie. Ils croient aussi à un ordre moral d’origine transcendante.

Eh! Oui! Quelle horreur! Ce sont des judéo-chrétiens! Ce qui en fait des ringards ridicules aux yeux des scribouilleurs prétentieux de la gauche étatiste. C’est sur la base de ces valeurs que les Tea Parties combattent l’endettement excessif, la fiscalité trop lourde, le relativisme moral et l’interventionnisme étatique effréné.

Ou sont l’extrémisme et le fanatisme chez ces braves gens de l’Amérique profonde qui n’aspirent au fond qu’à un État plus responsable et moins envahissant? Il s’est quand même trouvé des «chroniqueux» et de prétendus experts pour affirmer le plus sérieusement du monde qu’après tout, la solution Obama, c’est-à-dire des hausses d’impôts, était tout-à-fait raisonnable puisque, comparé au Québec par exemple, l’État fédéral américain disposait d’une bonne marge de manœuvre fiscale.

Ahurissant! Nous sommes tellement habitués de subir la plus lourde fiscalité de toute l’Amérique du Nord que nous avons le réflexe dérisoire de proposer aux Américains de se mettre à niveau …avec le pire! Nos gratte-papier et nos experts patentés sont tellement remplis de mépris, de dégoût et de préjugés à l’égard des Républicains et des Tea Parties qu’ils basculent dans la niaiserie idéologique en faisant de l’insupportable fardeau fiscal du Québec…un modèle à suivre! Le gauchisme étatiste serait-il un virus de l’intelligence?

Et en politique étrangère, l’œuvre d’Obama est tout aussi dangereuse que ses décisions économiques. Certains commentateurs la trouvent…illisibles. Et incohérentes…à première vue.

Ce n’est pas le cas. Elle devient lisible si nous n’oublions pas les fondements idéologiques de la vision du monde et de l’Amérique d’Obama. Ils lui ont été inculqués par l’ultra-gauche américaine dont il fut un membre actif et le candidat choisi. Cette gauche américaine est convaincue que les États-Unis constituent un empire qui fait peser sur le monde une hégémonie intolérable.

C’est là un très vieux paradigme de la gauche occidentale (communistes, socialistes, socio-démocrates, alter-mondialistes, écolos, tiers-mondistes). Lénine l’a fort bien codifié dans son livre Impérialisme, Stade Suprême du Capitalisme.

Lisez Noam Chomsky, regardez les films de Michael Moore, écoutez les sermons de Jerimiah Wright, analysez les opinions des amis et des formateurs du Président, passez en revue la liste de ses conseillers (les tsars) et vous constaterez que ce paradigme est bien implanté dans la gauche américaine. Et vous conclurez que l’hôte actuel de la Maison-Blanche, lui aussi, est infesté par ce paradigme : «l’empire américain» est nuisible et il doit s’éteindre.

Et c’est la première fois qu’un Président américain est inspiré guidé par un tel modèle théorique. Utilisez cette grille de lecture, et vous verrez que sa politique étrangère est parfaitement…lisible. En gros, il prend ses distances avec les pays-amis de l’Amérique et ils courtisent les États-ennemis. Il fait confiance à l’ONU, ce «machin» dominé par un conglomérat de dictatures gauchistes et d’États islamistes. Et dont le Conseil des Droits de l’Homme est une officine des pires tyrannies de la Planète.

Il est complaisant à l’égard de l’islam radical et terroriste. Avec comme résultats que la Turquie, membre de l’Otan, s’islamise rapidement; que les Frères Musulmans assurent leur emprise sur l’Égypte; que le Hezbollah a mis sa patte sur le Liban; que le Hamas continue de faire pleuvoir des roquettes sur Israël; que les Talibans s’apprêtent à reprendre le contrôle de l’Afghanistan; que les chiites iraniens accroissent leur influence en Irak; que les pays amis de l’Europe de l’est et de l’ex-URRSS sont abandonnés à leur sort face à la Russie.

Et dans chacun de ses discours à l’étranger (celui du Caire est exemplaire à cet effet), il ne manque jamais de battre sa coulpe pour les «fautes» de l’Amérique.

En revanche, il mène la vie dure à Israël, la seule démocratie de tout le Moyen-Orient, pourtant un allié fidèle de l’Amérique. Il faut faire reculer «l’empire», affaiblir son «hégémonie». Il est bien pire que Carter.

Car il croit à ce qu’il fait. Il croit, comme le prêche son guide spirituel, Jeremiah Wright, que l’Amérique doit être punie. N’oubliez pas que ce prêcheur raciste s’est écrié, au lendemain du 11-Septembre : « Dieu damne l’Amérique!» Tel est le programme de l’ultra-gauche américaine.

Et Obama s’efforce de l’appliquer. Les Américains se sont vite rendus compte qu’ils avaient élu un Président dont les visées étaient, selon le catéchisme progressiste, d’accroître l’emprise de l’État sur la société et de réduire l’influence de leur pays dans le monde (parce que de nature «impérialiste»).

Et, à la première occasion, ils ont réagi et ça s’est traduit par un raz-de-marée Républicain aux élections de mi-mandat. Et, en novembre 2012, ça devrait se traduire par l’éviction du Messie de gauche de la Maison-Blanche. Le malheur, c’est qu’en un seul mandat, il aura fait tellement de dégâts qu’il faudra des années pour les réparer.

L’Amérique a besoin d’un autre Reagan. Jacques Brassard N.B : Je ne pourrai publier vos commentaires que mardi. Je serai en pleine forêt avec quelques-uns de mes petits-enfants. J .B.

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13 août 2011 6 13 /08 /août /2011 19:49

 

 

 

Obama ou la vacance du pouvoir

Par Ariel Gurevitz

Le Président des Etats-Unis a du pouvoir,mais tout comme dans d’autres démocraties sa marge de manœuvre est limitée par les médias,l’inertie des institutions et la dynamique d’une société complexe et mondialisée. Il est donc difficile pour l’opinion publique de se faire une idée globale du bien-fondé de sa politique intérieure ou extérieure. Reste la perception que l’on acquiert à travers les apparitions,la personnalité et le charisme du Président.

Barack Obama a commis toutes les erreurs imaginables concernant ce qu’il présentait comme sa doctrine lors de sa campagne électorale. Dernièrement il a encore atteint un sommet de dilettantisme en critiquant ouvertement l’agence de cotation qui a réduit la cote de crédit des Etats-Unis et qui a fait baisser Wall Street. Il a étayé son opinion en se référant au milliardaire Warren Buffet qu’il présentait comme omniscient. Cela n’a visiblement pas convaincu les millions américains qui l’écoutaient,parce qu’à peine son allocution terminée les marchés sont repartis à la baisse de plus belle.

La quinzaine précédente Obama avait donné l’image d’un leader aux abois face à la question du plafond de la dette de l’Etat. Il a laissé entendre que son pays,le plus riche et le plus puissant de la planète,pourrait être en cessation de paiement sous peu. L’argument est absurde quand on sait que l’Amérique connaît un régime fiscal clément et qu’elle dispose de moyens et d’outils financiers suffisamment solides pour assurer sa solvabilité,ce qui fait qu’agiter le spectre d’un défaut de paiement est inepte,et relève d’une démagogie digne d’une république bananière.

En ce qui concerne le conflit israélo-palestinien Obama est parvenu à indisposer à peu-près tous les intéressés. Quand il a commencé à faire ses visites d’Etat il a choisi avant tout d’honorer le Président Moubarak,aujourd’hui considéré comme criminel par son peuple,et de présenter sa vision du conflit israélo-palestinien à l’Université du Caire plutôt qu’à celle de Jérusalem. Lors de son discours il a par ailleurs fait une association d’idées douteuse en énumérant dans un même souffle la Shoah et le problème palestinien. Il a ensuite rendu visite à une série de pays de la région,mais a soigneusement évité Israël,la seule démocratie du Moyen-Orient,le seul pays auquel la nation américaine puisse s’identifier,et son allié le plus sûr.

Obama a rejeté les propositions de Netanyahu concernant le règlement du conflit israélo- palestiniens,mais quand Netanyahu les a réitérés devant les Congrès américain il a été ovationné avec un enthousiasme sans précédent par la totalité des représentants. A la suite de cela Obama s’est retrouvé isolé de son propre parti et s’est empressé d’ajuster le tir en se justifiant d’une manière confuse.

Obama a fait pression sur le gouvernement israélien pour qu’il gèle les constructions en Cisjordanie durant dix mois en échange d’une promesse d’un face-à-face entre Netanyahu et Mahmoud Abbas. Celui-ci a attendu neuf mois avant de se manifester,et cela uniquement pour dire que dix mois ce n’était pas suffisant,déclarant que le Président des Etats-Unis était monté avec lui sur un arbre,et puis qu’Obama en était redescendu tout seul en emportant l’échelle.Ceci dit il faut reconnaître qu’Obama a au moins réussi à démontrer que les implantations israéliennes n’avaient aucun rapport avec le conflit,et qu’arrêter les constructions en Cisjordanie ne servait strictement à rien,puisque que les palestiniens refusaient de négocier autre chose que la liquidation de l’Etat d’Israël.

Obama ne donne jamais l’impression d’avoir une vision,mais plutôt de se laisser porter par les évènements. Cet homme est un technocrate sans inspiration. Il n’est ni utile ni nuisible,mais inexistant.


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10 août 2011 3 10 /08 /août /2011 18:57

 

N.Elgrably-Levy-copie-1.jpg

 

 

US/Economie - Comment le géant américain en est-il arrivé là? Explications

par Nathalie Egrably-Lévy

pour  © 2011 www.aschkel.info

 

Merci à Nathalie pour ces éclaicissements

 

 

Le déni du président

La décision de l’agence de notation Standard & Poor’s d’abaisser la note de crédit des États-Unis a eu l’effet d’un tsunami. Certains sont surpris, d’autres sont outrés, mais tous posent inlassablement la même question : comment le géant américain en est-il arrivé là?

Pourtant, cette décote n’est pas étonnante. Le plus mystérieux, c’est qu’elle n’ait pas eu lieu plus tôt et qu’elle n’ait pas été plus prononcée, car ce n’est pas la crise politique autour du relèvement du plafond de la dette qui est réellement en cause, c’est la dette elle-même.

Le 20 janvier 2009, lorsque Barack Obama entre en fonction, il hérite d’une dette de 10 600 milliards de dollars, soit environ 75 % du PIB. Aussitôt, dans l’espoir de stimuler l’économie américaine, la nouvelle administration applique la doctrine keynésienne et adopte les plus importants plans de dépenses de l’histoire des États-Unis. Or, des politiques malsaines produisent toujours de mauvais résultats, et l’inévitable s’est produit. En deux ans et demi, la dette bondit et atteint aujourd’hui 100 % du PIB. Si l’Amérique était déjà dans un gouffre financier lorsque Obama est arrivé au pouvoir, il est indéniable qu’il a non seulement continué à creuser, mais qu’il y a mis toutes ses énergies.

À eux seuls, les chiffres précédents suffisent pour justifier une décote, tout comme ce fut le cas pour le Canada à partir de 1992 lorsque sa dette atteignait des proportions similaires. Pourtant, il y a plus. Si l’on tient compte de tous les engagements de Washington au titre de la sécurité sociale, du régime de médicaments et de l'assurance maladie, la dette totale atteint presque 130 000 milliards de dollars, soit environ 875 % du PIB! La dure réalité, c’est que l’Amérique est en faillite, purement et simplement, et que l’agence Standard & Poor’s est encore bien trop indulgente même en tenant compte de l’erreur de 2000 milliards de dollars qu’on lui reproche.

Malgré tout, le grand drame de l’économie américaine n’est ni sa dette, ni sa décote. Ce qui compromet sérieusement l’avenir, c’est le déni systématique et persistent du président et de ses collaborateurs. Encore lundi, alors qu’il prononçait un discours en réaction à l’annonce à la décote, il a nié la gravité de la situation et a préféré déclarer que son pays « a toujours mérité et méritera toujours la note AAA ». Pour lui, la situation actuelle est attribuable au blocage politique, à l’héritage de Bush, à l’erreur de Standard & Poor’s, à la nécessité d’augmenter les impôts, etc. En revanche, pas un mot sur la folie dépensière de son administration! Il pointe du doigt et annonce des mesures insignifiantes alors que l’Amérique attend de lui un mea culpa et un sérieux coup de barre. 

Ceux qui souffrent de dépendance savent bien que la première étape vers la guérison est d’admettre l’existence du problème. Washington est accro à la dépense, mais vit dans l’aveuglement volontaire : voilà la plus grande tragédie de l’empire américain !

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20 juillet 2011 3 20 /07 /juillet /2011 19:08

 

 

 

 

Plainte à la CPI contre Obama pour le meurtre de Ben Laden

 

Non, non ce n'est pas une blague !!! Le monde tourne bien à l'envers...

La cour pénale internationale va-t-elle émettre un mandat d'arrêt international contre Obama pour crime contre l'humanité ? Si tel est le cas, Obama devra vraisemblablement renoncer à la présidence. On peut difficilement imaginer que l'armée américaine obéisse à un Commandant-en-chef recherché par la justice internationale pour crimes contre l'humanité. 

À noter que l'auteur de la plainte, Me Daniel Fiol, n'avait pas déposé de plainte contre Ben Laden pour crimes contre l'humanité après qu'il a ouvertement admis avoir orchestré les attentats du 11 septembre 2001. 

Obama-osama-cpi

_________________________

Me Daniel Fiol a déposé à la cour pénale internationale une plainte écrite accusant le président américain d’avoir contrevenu à la Convention de Genève.

Les Navy Seals, agissant sur les ordres d’Obama, ont abattu le chef d'Al-Qaïda  le 2 mai après la prise d’assaut de son repaire d’Abbottabad au Pakistan. Dans sa plainte écrite, l'avocat basé à Majorque affirme que Ben Laden aurait dû être «traqué, arrêté, jugé et condamné» au nom des «victimes d’atrocités terribles et effroyables». L'assassinat de Ben Laden est aggravé du fait qu’il a eu lieu en territoire étranger, au Pakistan, sans l'autorisation de ce gouvernement», a-t-il dit. «Je ne suis pas payé par al-Qaïda», a ajouté Me Fiol en plaisantant.

L'ancien Premier ministre Tony Blair a dit qu'il n'aurait pas hésité à ordonner l'assassinat de Ben Laden si la décision lui était revenue.

Source : Barack Obama accused of crimes against humanity for Osama bin Laden killing, Telegraph, 17 juillet 2011. Traduction par postedeveille

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16 juillet 2011 6 16 /07 /juillet /2011 20:18

 

 

 

 

S'agissant d'Obama, les Républicains manquent de cohérence, mais les Démocrates sont hypocrites

par Daniel Pipes
11 juillet 2011

http://fr.danielpipes.org/blog/2011/07/obama-republicains-democrates-hypocrites

Version originale anglaise:Republicans Are Inconsistent with Obama, But Democrats Are Hypocritical
Adaptation française: Anne-Marie Delcambre de Champvert

« Les Démocrates ont-ils deux poids, deux mesures quand il s'agit d'Obama? » Ma réponse à cette question de conférence-débat* [*de table ronde] suit ci-dessous. Pour les réponses données par Bernard A. Weisberger, Michael Lind, Kenneth W. Mack, Rick Shenkman, et Gil Troy, prière d'aller surhttp://hnn.us/

Obama et Bush – parfois le contenu de la politique importe moins que la personne qui la met en œuvre.

Bien qu'il soit certainement vrai que les Démocrates mettent la pédale douce pour Obama, s'agissant de politiques où ils auraient descendu en flammes Bush ou McCain, en tant que Républicain impartial, je note que l'inverse est également vrai: Les Républicains descendent en flammes Obama et y vont plus doucement avec Bush. Je vais prouver que c'est vrai dans un sens comme dans l'autre, en me référant à mes domaines de spécialité, le Moyen-Orient et l'Islam.

Commençons par le manque de cohérence démocratique: Bien que les Démocrates aient été furieux contre les forces américaines combattant en Irak et aient maugréé contre leur rôle en Afghanistan, il y eutplus de troupes américainesdans le champ des opérations combinées en Irak et Afghanistan sous Obama à la fin de 2009 que cela n'avait jamais été le cas sous l'administration Bush - et les Démocrates gardèrent le silence à ce sujet. Les Démocrates ont tourné en ridicule Bush parce qu'il avait porté atteinte à la réputation de l'Amérique parmi les musulmans et Obama a mis fortement l'accent sur [la nécessité d']d'adopter un nouveau ton vis-à-vis des musulmans. Mais ses efforts eurent fort peu de vrai impact, avec des sondages montrant des musulmans le voyant de la même façon qu'ils voyaient Bush ; et les Démocrates ne disent rien sur cela. Enfin, les Démocrates ont déploré leprogramme clandestin de drones de la CIA[d'avions téléguidés] opérant dans les pays où les troupes américaines ne sont pas basées, comme le Pakistan. Mais l'administration Obama a autorisé plus de meurtres ciblés dans sa première année [d'exercice] que ne l'a fait l'administration Bush dans sa dernière année.Plus précisément, il y a eu 36 opérations en 2008 et une cinquantaine en 2009.

Les Républicains, cependant, manquent également de cohérence: ils tournent en ridicule l'insistance d'Obama à tenter des efforts de diplomatie vis-à-vis de l'Iran, mais Bush a fait de même, autorisant28 réunionsavec des représentants de Téhéran au niveau ambassadeurs ou même plus haut. Les Républicains fustigent Obama parce qu'il a fixé une échéance pour le retrait des troupes américaines en Afghanistan, mais ils n'ont pas dit un mot de protestation quand Bush a fait de même pour l'entreprise beaucoup plus vaste en Irak de l'établissement de l'accord des forces pour retirer toutes les troupes américaines avant le dernier jour de 2011. Inversement, les Républicains font peu confiance à Obama pour maintenir au fond la mission irakienne en place, accélérant seulement le calendrier.

Pour terminer sur une note positive, les Républicains ont soutenu Obama pour l'augmentation des troupes en Afghanistan et ils ont applaudi la prise d'Oussama ben Laden. En revanche, il est difficile d'imaginer un soutien comparable accordé par les Démocrates à un McCain Président. Bien que les Républicains aient des problèmes de cohérence, les Démocrates , [eux], sont de façon flagrante, hypocrites.

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14 juillet 2011 4 14 /07 /juillet /2011 09:47


 

http://haabir-haisraeli.over-blog.com


 

null

 

Le Président des Etats-Unis, Barak Obama, a interrompu les discussions qui avaient lieu a la Maison Blanche avec des représentants des partis républicains et démocrates, au sujet de la dette nationale qui ne cesse de gonfler.

 

Des responsables du parti démocrate ont confié aux journalistes qu'Obama avait tenté de faire pression sur eux pour leur faire abandonner leurs positions. D'après les descriptions, et les responsables du parti républicain, Obama est sorti furieux de la pièce, après avoir déclaré qu'il ne continuera pas de transiger sur le sujet, même si cela met en danger la suite de sa présidence. "Je suis arrivé au point ou je dis : ça suffit".

 

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"Est ce que Ronald Reagan se serait assis avec vous comme ca ? C'est ma limite, même si cela me fait perdre mon poste de President".

 

Un peu plus tôt, l'agence de notation Moody's avait annonce étudier la possibilité de déclasser la note des Etats-Unis, en raison de la dette nationale énorme de la puissance mondiale.

Cette mise en garde était adressée aux législateurs américains afin de les encourager àtrouver un compromis qui permettrait d'augmenter la limite de la dette et d'éviter la faillite du Trésor US !

 

Traduit de l'hebreu par David Goldstein sur http://www.ynet.co.il

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