Le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon a confirmé jeudi devant les journalistes au siège de l’Onu à New York qu’il n’avait pas encore reçu de demande d’adhésion palestinienne.
Le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon a confirmé jeudi devant les journalistes au siège de l’Onu à New York qu’il n’avait pas encore reçu de demande d’adhésion palestinienne.
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Chercheur au CNRS, fin connaisseur du mouvement national palestinien, Jean-François Legrain voit dans la demande d’adhésion de la Palestine à l’ONU, prévue mardi prochain, un jeu de dupes.
Remettre les pendules à l’heure : refus systématiques palestiniens de toutes les propositions israéliennes…
Le 21 septembre, la veille donc de la présentation devant l’ONU de l’acte unilatéral des arabo-palestiniens en violation des accords de paix, Abbas et son conseil révolutinnaire appelle à des manifestations massives des palestiniens pour appuyer la demande. Ce jour est décrété « jour de lutte nationale »
Une vidéo a diffuser largement, qui sur le ton un peu humoristique prouve encore fois, que l’entente et la paix sont nécessaires.
Les États-Unis viennent d’annoncer qu’ils opposeraient leur veto à la demande de la reconnaissance à l’ONU d’un état palestinien. Pour évaluer les implications à long terme de la démarche palestinienne, il convient de rappeler quelques leçons pertinentes que l’Histoire a données.
Il semble bien que l’Autorité palestinienne, malgré toutes les sollicitations pressantes contraires, va demander à l’Organisation des Nations unies, dès l’ouverture de la session, une reconnaissance de la « Palestine » dans les « frontières de 1967 avec Jérusalem-est comme Capitale ». Une requête qui sera, à coup sûr, bloquée par le véto des Etats-Unis, mais votée par la plupart des pays composant l’Assemblée générale.
Chers Lecteurs,
L’équipe d’Israël-flash vous présente ce document à diffuser le plus largement possible, sur l’acte unilatéral des arabo-palestiniens à l’ONU en septembre. Vous pouvez le télécharger en PDF et le diffuser ainsi au plus grand nombre - Merci - Aschkel
Avoir un état n’est pas la fin de la partie pour la direction palestinienne. Yasser Arafat et son successeur, Abbas alias Abou Mazen aurait pu déjà avoir un état depuis plus d’une décennie grâce aux offres très généreuses des premiers israéliens tels que Ehoud Barak en 2000 ou Ehoud Olmert en 2008 et mettre ainsi fin à l’objectif d’Arafat, continuer le conflit avec Israël sur les quatre grandes questions – les réfugiés, les frontières, Jérusalem et la démilitarisation.
L’équipe d’Israël-flash vous présente ce document à diffuser le plus largement possible, sur l’acte unilatéral des arabo-palestiniens à l’ONU en septembre.