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29 juin 2011 3 29 /06 /juin /2011 07:25

 

logo europe israel

 

 

Europe-Israël met à votre disposition un tract recto-verso à télécharger contre une déclaration unilatérale d'un Etat Palestinien lors de la session de l'ONU de septembre.

 

 

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tract - EI contre declaration unilatérale1

 

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28 juin 2011 2 28 /06 /juin /2011 07:51

 

 

 

Le 'Hamas a tenu les Nations-Unies responsable pour le sort des "réfugiés palestiniens"

 

Adapté par Aschkel

 © 2011 www.aschkel.info

qassam.

 

Cynisme et mauvaise foi de ces enfants gâtés  qui sont au monde, les seuls personnes ayant un statut spécial, leur octroyant le statut de "réfugiés" de génération en génération, et qui pendant 63 ans ont été maintenus dans ce statut par l'UNRWA et les pays arabes a l'aide de milliards de dollars.

Jamais un seul groupe de vrais réfugiés dans le monde n'a pu bénéficier du millième de ce qu'ont reçu les soi-disant réfugiés palestiniens qui osent encore se plaindre et quémander, plus toujours plus..Rejetant toujours la responsabilité de leurs actes sur les autres.

 

Cette déclaration a peut-être motivé  celui qui a posé une bombe près d'une représentation de l'Onu hier à Gaza, mais il me semble que cette manœuvre est surtout destinée a aider le 'hezbollah, confronté bientôt aux révélations du TSL.

Où  L'art de prendre les gens pour des idiots !

 

Le 'Hamas a tenu les Nations-Unies responsable pour le sort des "réfugiés palestiniens"

Le site internet damascène des Azzédine Al Qassam, à publié pour le département des réfugiés du mouvement 'Hamas une déclaration accusant l'ONU comme le responsable du déplacement et de l'oppression qui s'est abattue sur le peuple palestinien.

Cette déclaration a été faite à l'occasion de la journée internationale des réfugiés lundi dernier que l'ONU est responsable en premier lieu d'avoir approuver la partition de la Palestine et la reconnaissance d'Israël, et que les Nations-Unies est restée silencieuse vis-à vis de l'oppression subie durant ces 63 dernières années.

 

L'ONU n'a pas assez offert d'aide pour alléger les souffrances des réfugiés palestiniens qui ont été déplacés à cause de résolutions onusiennes, et ont même réduit les aides malgré leur nombre croissant, indique le communiqué.

Un certain nombre de pays ont été impliqués dans l'augmentation de la souffrance du peuple palestinien en participant d'une manière ou d'une autre en imposant le siège sur la bande de Gaza, bloquant l'arrivée de matériel de secours vers l'enclave côtière. Souligne t- il encore.

La déclaration exhorte le gouvernement libanais d'améliorer rapidement les conditions des réfugiés palestiniens au Liban, leur facilitant l'accès au travail, les déplacements, l'habitat, d'autres services, et d'accélérer  au plus tôt leur retour au camp de réfugiés de Nahr El Bared.

Enfin, la déclaration enjoint aux réfugiés palestiniens de maintenir leurs exigences, sur les subventions , aides reçues et rémunération , d'organiser chaque jour  des rassemblements de type Nakba/Naksa et de ne pas se contenter d'un seul jour dans l'année.

 

Explosion à proximité du siège du BCSNU à Gaza

Une bombe a explosé samedi soir à proximité du Bureau du coordonnateur spécial des Nations Unies pour le processus de paix au Moyen-Orient (BCSNU), situé dans l'ouest de la ville de Gaza, blessant une personne, selon des sources palestiniennes.

Ces sources ont indiqué à Xinhua qu'une explosion avait dévasté la zone, endommageant la barrière du BCSNU et une mosquée voisine. Un passant a été légèrement blessé.

S'il est établi par la suite que la bombe visait bien le BCSNU, cela signifiera que c'est la première fois que le siège d'une organisation internationale a été pris pour cible depuis que le Hamas a pris le contrôle de la bande de Gaza par la force en juin 2007. Il n'est pas exclu cependant que la mosquée ait été la cible.

Le BCSNU se trouve à proximité d'un étalissement des forces de sécurité palestiniennes, actuellement contrôlées par le Hamas.

La police est arrivée sur place et une enquête a été ouverte.

Selon des sources, une autre bombe avait été placée dans la même zone il y a trois jours, mais elle n'a pas explosé et a été immédiatement désamorcée.french.cri

 

 

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27 juin 2011 1 27 /06 /juin /2011 07:50

 

Les palestiniens iront en Septembre à L'ONU, exigent des conditions du Quartet, font du chantage, se divisent entre eux...

 

 

 

C'est officiel les palestiniens iront en Septembre devant  l'ONU 

Adapté par David Goldstein

http://news.nana10.co.il/Article/?ArticleID=810630 - haabir-haisraeli

 

Les cadres de la direction palestinienne se sont réunis plusieurs heures a Ramallah et ont prisla décision finale de se tourner vers l'ONU en septembre pour demander la reconnaissance d'un état palestinien dans les frontières de 1967. Malgré le risque élevé du veto américain, le secrétaire général du comité exécutif de l'OLP a déclaré : "Nous ne voulons que la paix et un état, conformément aux conventions internationales."

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La direction palestinienne a prise cette nuit la décision finale de se tourner vers l'ONU en septembre pour demander la reconnaissance d'un état palestinien dans les frontières de 1967 et de faire partie de la famille des Nations Unies. Dans la déclaration lue par le secrétaire général du comite exécutif de l'OLP, Yasser Aber Rabo, après une réunion de quelques heures dans les bureaux de la présidence, aux mains d'Abou Mazen, a Ramallah , il est dit que la procédure vers l'ONU est une partie de la volonté du peuple palestinien d'obtenir une paix juste et durable et de créer un état indépendant conformément aux conventions internationales.

 

La direction palestinienne a appelé tout les pays du monde "sans exception" a soutenir leur démarche. D'après les dires des cadres palestiniens, leur décision de se tourner vers l'ONU renforcera les efforts pour renouveler les négociations avec Israël. Aux pays arabes ils ont demandé de les soutenir face "a la politique du gouvernement israélien de Netanyahu qui refuse toute les opportunités de renouveler le processus de paix". Dans le même communique, l'AP a demande un soutien financier continu face a la difficulté financière dans laquelle elle se trouve.

 

Le Président de l'AP, Abou Mazen, a déclaré avant la fin de la cérémonie a Ramallah que dans la mesure ou les négociations avec Israël ne reprennent pas, il n'y aura pas d'autre choix que de se tourner vers l'ONU en septembre. Abou Mazen a ajoute que jusqu'a maintenant il n'a pas reçu de proposition de Jérusalem de renouveler les négociations sur la base des lois internationales, une solution avec deux états pour deux peuples et le gel total des constructions dans les territoires.

 

L'observateur pour le compte de l'AP a l'ONU, Ryad Mansour, a déclaré en fin de semaine que même si les négociations reprennent avec Israël, les palestiniens comptent continuer leur démarches auprès de l'ONU en septembre. D'après Mansour, les palestiniens manœuvrent selon trois axes - renouvellement des négociations, continuation du développement des structures étatiques nécessaires a un état indépendant, et élargissement du soutien pour obtenir un état palestinien indépendant.

 


הפלסטינים מעוניינים בהישג מדיני בספטמבר

 

L'ONU : sans recommandation du Conseil de Securite pas d'Etat palestinien

 

Les dirigeants israéliens tendus a l'approche du mois de septembre peuvent se détendre a la lumière des dernières déclarations entendues de l'occident. Le Président de l'Assemblée Générale de l'ONU, Joseph Deiss, a dit il y a un mois qu'il n'y a aucun moyen de devenir membre des Nations-Unies sans recommandation du Conseil de Sécurité de l'ONU. Lors d'une conférence de presse, Deiss a précisé que si les Etats-Unis ou tout autre membre permanent se sert de son veto, l'Assemblée Générale ne pourras pas voter l'adhésion de la Palestine.

 

D'après Deiss, pour qu'un état palestinien soit accepte par l'ONU, il faut obtenir 9 votes, en faveur de la recommandation, sur les 15 membres permanents du Conseil, il suffit d'un seul veto pour empêcher l'Assemble Générale d'intégrer un nouvel état en son sein. Deiss a aussi ajoute que les palestiniens travaillent aussi en parallèle pour obtenir un état indépendant auprès de plusieurs pays. "C'est un moyen d'obtenir un pays, et d'après moi avant la création de l'ONU c'était le moyen principal".

 

 Jusqu'a maintenant, 113 pays ont reconnu la "Palestine", en majorité des pays en développement. Les palestiniens espèrent en obtenir jusqu'a 135 jusqu'en septembre - plus des deux tiers participeront a l'Assemblée Generale. Deiss a rappelé qu'il "existe déjà une décision, numéro 181 datant de 1947, qui soutient la création de deux pays, un arabe et un juif, a la fin du mandat britannique. Si les palestiniens obtiennent un grand nombre de soutiens, il faudra aussi prendre en compte cette décision la", a t-il révèle.

 


Autorité palestinienne - Avec ou sans négociations, la déclaration unilatérale d'un état palestinien en septembre
par Gerard Fredj

israel-infos


Selon Ryad Mansour, délégué de l'Autorité palestinienne à l'ONU, les palestiniens chercheront à obtenir la reconnaissance d'un état indépendant en septembre, même si les négociations entre les deux parties ont repris, faisant ainsi mentir Mahmoud Abbas, le Président de l'Autorité palestinienne qui parcourt l'Europe et les USA en affirmant le contraire.

Pour Mansour, la reprise des négociations ne sont qu'un des éléments constitutifs du futur état palestinien, au même titre que la mise sur pied d'institutions pouvant l'administrer ou la reconnaissance internationale. 

Alors que les USA, l'Union européenne et le Quartet se démènent pour faire repartir les discussions directes pour éviter la déclaration unilatérale d'un état palestinien, Mansour affirme que cette déclaration aura lieu quoiqu'il arrive ajoutant " Les Usa n'ont pas demandé l'autorisation de la grande Bretagne pour déclarer leur indépendance, Israël n'a pas demandé aux britanniques l'autorisation de déclarer son état en 1948".

Pour Mansour, ce qui est du ressort des négociations, ce sont "les implantations juives en Cisjordanie, la question de Jérusalem", mais pas la déclaration d'indépendance qui est selon lui "non pas un acte unilatéral mais l'expression de nos droits".

Selon le diplomate, Netanyahou est le leader d'un gouvernement radical qui ne représente pas le sentiment de l'opinion publique israélienne. (Il n'y a eu aucune élection, ni législative ni présidentielle dans les territoires palestiniens depuis 2006).


Autorité palestinienne - Saeb Erekat, négociateur en chef palestinien, dicte ses conditions pour la reprise des négociations avec Israël
par Gerard Fredj
Le négociateur en chef palestinien (démissionnaire depuis plusieurs mois), mais toujours en fonction, Saeb Erekat , a déclaré que l'Autorité palestinienne avait transmis au quartet les quatre conditions "officielles " pour la reprise des négociations avec Israël.

La première demande concerne l'arrêt total des implantations juives en Cisjordanie, la seconde est constituée par l'agrément des lignes de 1967 (avant la guerre des 6 jours) comme base de discussions au sujet des frontières du futur état palestinien, le soutien de l'Union européenne (UE) à la déclaration d'un futur état palestinien à l'ONU, et l'accord de l'UE sur le fait que la déclaration d'un état indépendant, ne contredit pas l'idée de la reprise des négociations (alors que l'UE juge une déclaration unilatérale contreproductive).

Le Premier ministre israélien a exprimé son opposition à l'idée d'un retour aux lignes de 1967.

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27 juin 2011 1 27 /06 /juin /2011 06:07

 

« ICI ET MAINTENANT » : SI FRONTIÈRES IL DOIT Y AVOIR, ELLES SERONT DE SEPTEMBRE 2011

 

logojusticebertrand

 

Par Maître Bertrand Ramas-Mulhbach

 

Pour © 2011 lessakele  et © 2011 aschkel.info

 

A l’occasion de la troisième Conférence des Présidents qui s’est achevée le 24 juin 2011, le Président Shimon Pérès a livré son sentiment sur le processus de paix. Estimant que la crise touchait à sa fin, il a invité les palestiniens à reprendre immédiatement les négociations : « la paix ne devrait pas être remise à plus tard ». Son propos a notamment été illustré par la solidité des accords de paix passés avec deux voisins : « n’oubliez pas que les accords de paix que nous avons signés avec l’Egypte et la Jordanie ont fait leur preuve au fil du temps ». La notion de temps a donc une certaine centralité dans le débat, tout comme le suggère d’ailleurs l’intitulé du thème de la Conférence en l’occurrence, « facing Tomorrow 2011 » qu’il est encore possible de traduire par « affronter l’avenir ».

C’est précisément cette maîtrise du temps qui semble poser quelques difficultés aux palestiniens. Ceux-ci ambitionnent une reconnaissance de l’Etat palestinien en septembre 2011 tout en se transportant en juin 1967 (c'est-à-dire 43 ans plus tôt), pour en définir les contours. Ce décalage dans le temps est pour le moins inapproprié car il revient à construire « aujourd’hui » les fondations d’une relation paisible « future » à partir des outils d’un « passé » révolu dans lequel les acteurs étaient différents. Bien évidemment, si l’Etat palestinien est reconnu lors de la prochaine Assemblée Générale de l’Onu en septembre 2011, les frontières étatiques entre Israël et la Palestine seront celles de septembre 2011 et ce, en vertu d’un principe basique : « ici et maintenant ». En effet, la paix relève d’une disposition d’esprit, non d’une captation territoriale d’autant que l’histoire de ces 63 dernières années a défini un espace géopolitique qu’il est impossible de modifier par une décision politique internationale.

Cette référence à 1967 égare en réalité les palestiniens, bercés d’illusions, qui se construisent dans le passé, un territoire qu'ils n'ont jamais eu. Au moyen de cette référence temporelle, ils cherchent à donner une consistance à leur combat tout en se rassurant et en ressuscitant, de façon factice, une période idéalisée qui n'a jamais existé. Depuis 1947, les palestiniens ont toujours refusé la coexistence de deux Etats juifs et arabes vivant aux côté l'un de l'autre. Or, leur choix de 1967 est fondamental car cette date coïncide avec celle de la condamnation d’Israël par la collectivité internationale. Ainsi, et grâce à la guerre des 6 jours (dans laquelle ils n’étaient pourtant pas engagés), les palestiniens se sont inventés une histoire, une identité fictive, un peu comme s’il s’agissait d’une usurpation d'identité. Cette période pendant laquelle Israël a conquis de nombreux territoires sur la Jordanie , l’Egypte et la Syrie, donne plus de poids à leurs complaintes interminables et au ressassement d'un passé catastrophique ( la Nakba ) qui a enfermé leur identité dans une projection fantasmée. En fuyant l’« ici et le maintenant », les palestiniens se complaisent alors dans cette souffrance qui les renforce, leur donne de l'importance et leur permet de s'apitoyer et d’attirer la reconnaissance de la communauté internationale sensible à leur condition de misère. Autrement dit, les frontières de 67 les aveuglent sur un passé qui n'a, de toute façon, jamais été leur présent.

Les palestiniens se sont en fait, façonnés sur des concepts émotionnels oscillant entre le rêve, la violence, l’horreur et une haine propre à encourager la bonne volonté des justiciers chargés de reprendre des terres dont ils se inventés une spoliation. Aussi, et en rejetant l’« ici et le maintenant », dans un combat qu’ils pensent héroïque, ils se persuadent que la vie dans le présent n’a aucune importance et ne prend son sens qu’à la lumière de l’accomplissement d’un bonheur mythique qui effacerait l’histoire depuis 1948. Cette image malheureuse qu'ils ont d’eux-mêmes, donne alors une épaisseur à leur existence, confère un sentiment de victimisation et d'accablement existentiel. Pour se valoriser, ils sont en quête de pouvoir sur Israël en caressant l’espoir de le déposséder de sa capitale historique. Pire, ce décalage temporel est à l’origine d’une tension devenue insupportable pour eux qui cultivent une frustration ininterrompue les conduisant à attendre ou à regretter, au lieu de vivre dans l’« ici et le maintenant ». En d’autres termes, leur rêve les plonge dans un malaise constant et la vie décevante devient une véritable torture qui bascule leur être dans un contenu émotionnel où ils sont sans cesse sollicités.

La dimension religieuse contribue également à leur égarement temporel. La religion de Mahomet est la « dernière » religion monothéiste, qui se présente comme une compréhension globale du fonctionnement mystique de l'univers telle une forme d'aboutissement spirituel de l'individu. Le système de foi proposé est donc présenté comme étant supérieur aux « précédents » en ce qu’il les a améliorés : les prophètes de l'ancien testament demeurent des prophètes de l'Islam, mais le peuple juif y est considéré comme un peuple maudit alors que l'Islam doit définitivement embrasser le monde à « la fin des temps ». Les palestiniens ne peuvent donc se résoudre à accepter un Etat juif aux côtés de l'Etat palestinien, ce qui reviendrait à un retour à la case départ sur le terrain de la phénoménologie religieuse. La Charte du Hamas le rappelle dans nombreux de ses articles en posant notamment que le palestinien n'existe par pour lui même mais pour une finalité qui le dépasse. Les moudjahidin n'évoluent pas dans l’«ici et le maintenant » mais sont investis d’une mission quasi divine en agissant « aujourd’hui » pour laisser aux générations « futures » un monde conforme aux « prédictions » religieuses dont ils sont l'instrument de l'aboutissement. Leur propre existence est ainsi relayée au second plan même si l'action immédiate conditionne la perspective d'une rétribution dans le monde futur où 70 vierges les attendent. La société traditionnelle dans laquelle ils évoluent, repose sur des principes qui s’opposent à la modernité même si les révolutions dans le monde arabe traduisent une aspiration vers les valeurs démocratiques du monde occidental, tournées vers l’avenir, les avancées scientifiques et les progrès technologiques, qui s’opposent aux fondements de leur représentation idéologique.

Sur un plan international, cette référence rabâchée des « frontières de 67 » a progressivement pris la forme d’une norme opposable à Israël comme si la communauté internationale avait intériorisé cette projection dans une autre dimension temporelle bien que la seule référence qui vaille soit celle du présent. La communauté internationale, en oubliant que les « frontières de 67 »concernaient des entités étatiques souveraines autres que la Palestine , se livre elle-même à un déni et à un refus du présent. L’antisémitisme viscéral, conscient ou inconscient, d’une partie de la communauté internationale (pudiquement traduit par le terme antisionisme), prête alors le flan à ces revendications palestiniennes d'un retour aux frontières de 1967 en entretenant le mélodrame palestinien et en se laissant elle-même, volontairement entrainée hors de l'« ici et du maintenant ».

Aucune paix ne pourra s’établir si les palestiniens ne se libèrent pas individuellement de leur enfermement intellectuel et de leur conditionnement émotionnel qui les prive de lucidité. Leur attention doit désormais se porter sur l’instant présent. Toutefois, si d'aventure, la référence aux « frontières de 67 » était vraiment indispensable, il serait toujours possible de soutenir que les frontières de septembre 2011 (soit de 5772 dans le calendrier hébraïque) sont également celles de « 5767 ». Tout le monde serait alors satisfait ( : « d’accord pour les frontières de 67 …enfin de 5767 »).

>LES LIGNES DE 1967 EMPORTENT RECONNAISSANCE INTERNATIONALE DE L’ANNEXION ARABE DE JERUSALEM EN 1949


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25 juin 2011 6 25 /06 /juin /2011 19:38

 

 

 

"Echanges de terres" et lignes de 1967 – Dore  GOLD

 Adaprré par Aschkel

 © 2011 www.aschkel.info

http://www.jcpa.org/JCPA/Templates/ShowPage.asp?DBID=1&LNGID=1&TMID=111&FID=573&PID=2094&IID=7648

 

Lorsque Barack Obama a d'abord fait sa conférence controversée le 19 mai 2011 sur les "lignes de 1967" qui seraient à la base des futures négociations israélo-palestiniennes, il a introduit le bémol  principal – l'idée qu'il y aurait un commun accord entre les deux parties, il a ajouté que les deux parties étaient en droit de "frontières sure et reconnues", mais la référence à l'échange de terres  a également soulevé de nombreuses questions.

 

Plusieurs mois après la guerre des six jours et après qu'Israël ait reconquis la Judée-Samarie et Gaza, le Conseil de sécurité a défini les termes  d'un règlement territorial pour une paix future dans la résolution 242 qui au fil du temps est devenue la pierre angulaire de toute diplomatie israélo-arabe. A l'époque les soviétiques ont tenté de faire passer Israël pour l'agresseur et exigeait de lui un retrait complet, mais la résolution 242 énonçait clairement qu'Israël ne devait pas se retirer de tous les territoires qui sont entrés en possession, ce qui signifie qu'Israël n'était pas dans l'obligation de se retirer de 100 % des territoires de Judée-Samarie.

 

En Octobre 1995, Yitzhak Rabin alors premier ministre, dans son dernier discours à la Knesset a précisé qu'Israël ne se retirerait jamais des lignes de 1967, soulignant qu'Israël aurait à garder le contrôle de la Vallée du Jourdain, barrière géographique qui a  assuré la sécurité pendant des décennies depuis la guerre des six jours, ne disant aucun mot sur des échanges de terre.

 

Ni la résolution 242, ni aucun autre accord signé ultérieurement ne stipule qu'Israël aurait à payer pour toute la terre de Judée-Samarie qu'il conserverait en remettant des terres souveraines propres en échange.

 

Alors d'où vient l'idée de l'échange de terres ?

 

Au milieu des 1990, il y eut des efforts non officiels multiples pour voir si il était possible de parvenir à un accord final entre Israël et les Palestiniens. Les palestiniens ont fait valoir que lorsqu'Israël a signé la paix avec l'Egypte, Israël avait décidé de se retirer des 100 % de la péninsule du Sinaï, ils se sont donc demandé comment Yasser Arafat Président de l'OLP pouvait recevoir moins que ce que Sadate avait reçu.

 

En conséquence les universitaires israéliens impliqués dans ces pourparlers non officiels ont accepté à ce que les palestiniens obtiennent 100 % des territoires tout comme les égyptiens malgré les termes de la résolution 242, cette idée est apparue dans le document Beilin/Abou Mazen qui n'a ni été signé, ni été adopté ni par l'Armée Israélienne ni par les dirigeants palestiniens.

En effet, Abou Mazen (M.Abbas) a même en 1999 refusé que tout accord de ce type existe.

 

Il y a une différence énorme entre l'Egypte et les palestiniens. L'Egypte a été le premier Etat arabe à faire la paix, et en reconnaissance de ce fait, le premier ministre Begin a rendu tout le Sinaï à Sadate. Par ailleurs, la frontière israélo-égyptienne était une frontière internationalement reconnue depuis l'époque de l'Empire Ottoman, les lignes de 1967 avec la Judée-Samarie ne sont pas une frontière, elles sont seulement une ligne d'armistice de démarcation où les armées arabes avaient été arrêtées lorsqu'elles ont envahi l'Etat naissant d'Israël en 1948.

 

En juillet 2000, au sommet de Camp David, l'administration Clinton a soulevé l'idée d'échange de terres qui avaient été proposé par les universitaires israéliens, mais ni Camp David, ni les efforts ultérieurs des négociations à Taba n'ont réussi. Le Ministre des affaires extérieures de l'époque Shlomo Ben-Ami admis lors d'une interview à Haaretz le 14 septembre 2001 – "Je ne suis pas sur que l'idée d'un échange de terres soit réalisable".

En bref, lorsque l'idée a été réellement testée dans les grands enjeux de négociations, l'idée d'un échange de terres s'est avérée beaucoup plus difficile à mettre en œuvre comme base d'un accord final.

 

Après l'effondrement des pourparlers de Camp David, le Président Clinton a essayé de résumer les positions israélienne et palestinienne et présenté une proposition américaine – l'échange de terres- Mais également Clinton a stipulé "Ce sont mes idées, si elles ne sont pas acceptées, elles sont sur la table, elles viendront avec moi lorsque je quitterai ce bureau". L'équipe de Clinton a informé celle de l'administration entrante Bush sur ce point. (Notamment que les échanges de terres ne faisaient pas partie de la feuille de route de 2003 ou dans la lettre du Président Bush à Ariel Sharon le 14 Avril 2004).

 

C'est Ehud Olmert qui dans le cadre d'un nouveau projet de concessions israéliennes en 2008 a ressuscité cette idée d'échange de terres et qui est allé beaucoup plus loin sur les positions qu'Israël avait prises à Camps David ou Taba.

 

Mah'moud Abbas était seulement disposé à parler d'un échange de terre basé sur 1.9 % du territoire, lié à la taille des zones de peuplement juif, mais qui ne touchent même pas les besoins de sécurité d'Israël, donc l'idée d'échanges de territoires s'est encore avéré inutilisable.

 

Le professeur Gidéon Biger, du département de géographie de l'Université de Tel-Aviv a averti

qu'Israël ne peut convenir d'un échange de terres supérieur à 2.5 % puisqu'Israël n'a pas de vastes zones de terrains vides qui peuvent être transférées. Tout échange de territoires de plus grande taille implique des domaines vitaux d'infrastructures civiles et militaires israéliens. Ecrivait-il dans Haaretz le 29 avril 2011.

En outre dans les résumés des négociations passées avec le premier ministre Olmert, les palestiniens ont fait remarquer qu'ils seraient exigeants lors d'échanges de terre de "valeur comparable" – ce qui signifie qu'ils n'accepteraient pas quelques dunes de sables distantes  en échange de terres de plus hautes qualités près du centre d'Israël, en bref étant donné les limitations sur la quantité et la qualité du territoire qu'Israël pourrait offrir, l'idée d'échange de terre est impraticable.

 

Dans Jérusalem, la ligne d'armistice de pré-1967 place le mur occidental (des lamentations), le Mont des Oliviers et la vieille ville sur le coté arabe de la ligne. De 1948 à 1967, les juifs se sont vu refusé l'accès à leurs lieux saints – quelques 55 synagogues et salles d'études (yéchivot) ont été systématiquement détruites, tandis que la vieille ville a été ethniquement nettoyée de tous ses habitants juifs.

Si des échanges de terres doivent être conclu d'un "commun accord", cela donne t-il aux palestiniens un droit de véto sur les revendications israéliennes au-delà de la ligne de 1967 dans la Vieille ville, comme sur le mur occidental ?

 

Les questions territoriales restent un profond dilemme des relations israélo-américaines. Quelles sont les idées de négociations qui ont échoué dans le passé et qui apparaissent dans le bilan diplomatique ? Barack Obama a déclaré à l'AIPAC le 22 mai 2011 que les lignes de 1967 avec des échanges de terres ont longtemps été la base de discussions entre les parties, y compris des précédentes administrations américaines. Tout simplement parce que l'idée a été discutée de manière non officielle par le passé, cette idée doit elle faire partie de l'agenda à venir alors qu'aucun accord n'a été signé ?

 

Heureusement il existe d'autres points sur les récentes remarques d'Obama à propos des négociations israélo-palestiniennes qui peuvent apaiser le coté israélien. A l'AIPAC, Obama a parlé de "nouvelles réalités démographiques sur le terrain" qui semble prendre en compte les grands blocs d'implantations, qu'Israël finira par intégrer. En utilisant le langage de la résolution 242, Obama parle de "frontières sures et reconnues" et surtout il a ajouté 'Israël doit être capable de se défendre lui-même contre toute menace".

Toutefois, pour les israéliens, en mentionnant les lignes de 1967, cela ramène des souvenirs d'un Israël qui avait 8 miles de large (13/15kms), un moment où sa vulnérabilité était la cible constante des pouvoirs hégémoniques du Moyen-Orient qui ont pour principal but la destruction d'Israël.

 

Bien sur, Israël a gagné la guerre des six jours en1967, mais il a du recourir à une frappe préventive sur quatre armées qui convergeaient sur ses frontières. Aucun israélien ne voudrait revivre ou vivre sous une telle menace à nouveau aujourd'hui.

L'alternative aux lignes de 1967 sont des frontières défendables qui doivent émerger si une paix viable et atteinte.

 

Dore Gold, ancien ambassadeur israélien aux Nations-Unies est président du JCPA(Jewish Center of Publics affairs)

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25 juin 2011 6 25 /06 /juin /2011 19:29

 

 

La souveraineté israélienne sur la Judée-Samarie et création de 8 micro-états arabes palestiniens - Débat

Par Arlène Kushner

Adapté par Aschkel - pour  © 2011 www.aschkel.info

Posté par Ted Belman -http://www.israpundit.com/archives/37123

.

La proposition du Dr Kédar est à prendre très au sérieux ! Lorsque le monse occidental comprendra la façon dont fonctionne le monde arabe, il aurait fait un grand pas en avant ! Tout marche par tribu et pas clan, il en a toujours été ainsi, il en sera toujours ainsi. La construction artificielle d'Etat ne mène qu'à l'implosion un jour où l'autre, nous le voyons sous nos yeux aujourd'hui. Le peuple palestinien est une création de 1964, ce sont des arabes de différentes tribus de différents clans qui ne s'entendent pas entre eux, et ne s'entendront jamais.

Que ce soit en Irak comme précisé, ou encore en Lybie comme on le voit, entre autre

Aschkel


 


Hier soir j'ai assisté à une mini conférence à Jérusalem sur le thème de "l'option préférée" – La souveraineté israélienne sur la Judée-Samarie.

Organisé par Yoel Meltzer, il est destiné à être le coup d'envoi d'un processus qui on l'espère dans le temps modifiera considérablement les conceptions concernant notre situation ici, en Israël. Il n'était pas destiné à être une déclaration définitive sur ce processus mais un commencement.

Quelques 250 personnes assistaient à l'évènement. Une vidéo sera bientôt en ligne.

Voici un résumé de ce qui a été dit par quatre intervenants.

 

Yoram Ettinger

Consultant sur les affaires américaines, a servi de liaison a l'Ambassade d'Israël pour les affaires du congrès, avec le titre d'ambassadeur et de Consul général à Houston. Il a consacré beaucoup d'attention ces dernières années à la question de la démographie israélienne.

Ettinger soutient que l'argument selon lequel Israël doit accepter une solution à deux etats en raison de la menace démographique pour la majorité juive est fallacieux. Il y a un problème a traiter certes, mais pas une bombe à retardement.

Les chiffres qui ont été fournis – qui sont censés "prouver" que dans les   prochaines années, les juifs seront "engloutis" par une population arabe palestinienne si toutes les terres entre le fleuve et la mer sont maintenues sous contrôle israélien sont inexacts, maintient Ettinger.

En fait il y a 1.2 millions d'arabes en moins en Judée-Samarie et à Gaza que ce qui est communément affirmé, ainsi que d'autres exactitudes dit-il.

Il y a des divergences dans les chiffres du recensement de l'AP sur lesquelles les estimations sont fondées. Quelques 400.000 arabes palestiniens qui "pourraient revenir" sont comptés dans le recensement alors qu'ils ne devraient pas l'être, l'AP réclame une immigration nette dans les zones de l'AP. Les arabes palestiniens qui épousent des arabes israéliens et reçoivent des cartes d'identité israéliennes finissent par être comptées deux fois dans les statistiques, comme les arabes de Jérusalem avec des cartes d'identité.

En outre, les projections sont mauvaises parce que la population arabe palestinienne, qui est devenue plus fortement éduquée et urbanisée subit une diminution de la natalité alors que la population juive – notamment la population laïque – a un taux de natalité qui augmente.

Plus sur cet article en anglais  http://www.imra.org.il/story.php3?id=46839  

 

Danny Dayan

Président du Conseil de Yesha (Judée-Samarie)

Dayan affirme que la souveraineté israélienne sur la Judée-Samarie est la seule solution juste, indispensable et réalisable.

Justice

Elle est notre terre.

A plusieurs reprises, les propositions soutenues par les juifs ont été rejetées par les arabes qui prétendent que le gagnant prend tout (winner takes all). Dans leurs guerres déclarées contre nous leur intention était de tout prendre. Il ne serait pas juste pour nous de revenir à une solution à deux états. Leur comportement a annulé la validité d'une solution à deux états. Aujourd'hui la partie qui a été la victime de l'agression et accepté un compromis est la gagnante.

Vital

Vital pour l'existence d'Israël.

D'abord pour des questions de sécurité, comme des frontières défendables nécessaires. Il doit y avoir un contrôle sur les hauteurs de Judée-Samarie pour protéger la population et les infrastructures industrielles et l'aéroport le long de la méditerranée des attaques notamment à la roquette. De plus il doit y avoir une zone tampon contre les attaques et les incursions par les radicaux de l'est du monde musulman.

Vital d'un point de vue juif.

Notre essence spirituelle est à Jérusalem et en Judée-Samarie. Nous aurons une société superficielle si nous devions donner 'Hévron, Shilo, Bet EL et une partie de notre capitale Jérusalem.

Réalisable

Nous devons être déterminés et avoir confiance en nous. Nous sommes 350.000 en Judée-Samarie, 650.000 si Jérusalem est compté, nous devons être 1 million.

 

Dr Mordéchai (Moti) Kédar

A servi pendant 25 ans dans Tsahal aux renseignements militaires en tant que lieutenant colonel – spécialisé dans le discours politique arabe, les médias arabes et groupes islamiques. Maître de conférences en arabe à l'université de Bar Ilan- expert de la population arabe israélienne.

 

Le Dr Kédar apporte à la discussion une idée différente. Nous avons deux préoccupations dit-il

L'une est d'empêcher un état arabe palestinien de voir le jour, car il serait gravement problématique, l'autre est que nous voulons nous assurer d'une très large majorité juive. Quelque soit l'optimisme d'Ettinger sur la démographie, il y a une possibilité d'un risque que la population arabe augmente.

Ce qu'il propose est une solution sociologique /anthropologique – Une solution à huit cités-états. Il y a différents clans arabes, le problème réside quand il y a de multiples clans ou tribus – de multiples groupes ethniques ou religieux – à l'intérieur d'une entité politique. C'est le problème en Irak, et s'il y avait un état palestinien, nous verrions une situation identique à celle de l'Irak.

Le calme est possible quand une entité politique est contrôlée par un clan, une tribu seulement, comme par exemple dans les Emirats Arabes Unis.

Kédar suggère que des émirats basés sur des clans ou tribus individuelles seraient établis en Judée-Samarie – Ils seraient cités-états. Chaque grande ville arabe palestinienne serait contrôlée par un clan, une tribu. Les chefs de ce clan sauraient quoi faire, et quoi ne pas faire, et c'est avec ce leadership autochtone et non la direction de l'Olp que nous devrions traiter. Il n'y aura pas de plan de paix formel mais plutôt une compréhension mutuelle qui génère un état de calme – un modus vivendi.

Les cités-Etas qu'envisage Kédar seraient Jénine, Tulkarem, Sichem (Naplouse), Kalkilya, Jéricho,  Ramallah et la partie arabe d'Hébron, ces petits états existent d'ores et déjà, dit-il comme le Vatican ou Gibraltar. Il pense cela viable si une certaine zone de développement est programmée.

Israël aurait encore la souveraineté de la rivière à la mer entourant chacune de ces ville-états. Les arabes vivant en milieu rural seraient sous souveraineté et citoyenneté israélienne. Israël serait alors séparé de 70/80 % de la population arabe palestinienne, tout en évitant la création d'un état palestinien.

Cela peut être fait si les israéliens le veulent.

A commencer pas les tribus d'Hébron, car elles ont leurs propres dirigeants et leurs propres agendas, aucun dirigeants arabes autres en dehors de leur clan ne peuvent pénétrer dans leurs zones.

 

Caroline Glick

Journaliste, directeur adjoint du Jérusalem Post, Sénior pour les affaires du Moyen-Orient a Center for Sécurité Policy à Washington DC et initiatieur de la Latma vidéos satiriques.

La souveraineté sur la Judée-Samarie est la seule option stratégique viable. Pour ne pas permettre à un état terroriste d'être mis en place est d'inciter les arabes israéliens de générer des menaces intérieures.

Les israéliens comprennent qu'un état palestinien n'est pas une solution mais ne reconnaissent pas encore la viabilité de l'annexion militaire.

Le problème n'est pas ce que le monde pense, mais ce que les israéliens pensent. Notre souveraineté à Jérusalem n'est pas reconnue par le monde, alors Quoi ?

Nous devons concevoir des tactiques pour permettre aux israéliens de reconnaitre ce fait.

Les médias sont contrôlés par la gauche, les idées plantées par les médias peuvent devenir la politique d'ici 10 ans. Nous devons concevoir d'autres idées pour sensibiliser le public sur la question.

Nous avons besoin de forum et de pousser un débat public, aujourd'hui avant le vote de l'ONU en Septembre. Il est temps de dire à chacun quels sont nos droits, et de nous responsabiliser. Nous devons aussi travailler pour exposer la vraie nature de la société arabe palestinienne.

Il y a un énorme appui israélien latent qui doit être réveillé, nous devons activement embrasser les grandes idées du peuple juif, de rassemblement de destin juif, etc..

 Nous devons fournir au peuple israélien un concept de ce que nous pouvons être si nous adoptons des concepts constructifs avec des arguments convaincants.

Nous devons régler le fossé qui existe entre nous, entre autre celui des "colons" et ceux qui vivent à Tel-Aviv et leur faire comprendre que notre terre appartient à nous tous

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24 juin 2011 5 24 /06 /juin /2011 15:59

Fatah' / 'Hamas - L'accord de réconciliation semble avoir pris fin avant qu'il ne commence.

 

Par Khaled Abu Taomeh

http://www.hudson-ny.org/2223/hamas-fatah-gap-remains-wide

 

Adapté par Aschkel

© 2011 www.aschkel.info

L'accord de réconciliation sous l'égide de l'Egypte entre le Fatah' et le 'Hamas annoncé le mois dernier au Caire, semble avoir pris fin avant qu'il ne commence.

Il s'avère que l'écart entre les deux parties rivaux reste aussi large que jamais, en dépit de l'accord, les deux factions restent en désaccord sur presque tout.

 

Il sont en désaccord que qui prendra la tête du prochain gouvernement, sur les membres du gouvernement, sur la plate-forme politique du gouvernement, sur l'avenir du processus de paix avec Israêl, sur la coordination de la sécurité avec Israël, sur la relation qu'entretient l'Autorité palestinienne avec les Etats-Unis et l'Union européenne, sur le rôle des forces de sécurité palestiniennes en Judée-Samarie et à Gaza.

 

Il y a cependant des choses sur lesquelles ils sont d'accord.

Les deux factions s'accordent sur la nécessité de restreindre la liberté d'expression et les médias. Les deux "gouvernements" palestiniens continuent a afficher intolérance envers toute forme de critique indépendamment de la source.

Journalistes palestiniens et militants politiques qui osent critiquer les gouvernements de Judée-Samarie ou de Gaza font face aux arrestations, aux harcèlements, aux intimidations. Cela explique pourquoi il n'ya pas un seul journal d'opposition.

 


Ils s'accordent aussi sur la nécessité pour chaque partie de rester au pouvoir a tout prix, c'est pourquoi ils ne veulent pas organiser de nouvelles élections, a bien des égards le statuquo n'est pas mauvais et ne semble pas les déranger.

En Judée-Samarie, l'Autorité palestinienne continue de recevoir des millions de dollars d'aide financière de la Communauté internationale, les dirigeants de l'AP possèdent des cartes VIP qui leur permettent de voyager librement en particulier dans les hôtels de luxe et restaurants de Tel-Aviv, ces cartes permettent aussi à ces dirigeants de passer les check-points 'dans des voitures de luxe) sans avoir à attendre tel le  palestinien ordinaire.

 

Ce statuquo est bon pour l'AP car il n'est pas tenu responsable de ce qui se passe dans la bande de Gaza, par exemple personne ne rend l'AP responsable des tirs de roquettes depuis Gaza sur les civils israéliens..

Le 'Hamas d'autre part, a appris de l'Autorité palestinienne que pour rester au pouvoir, il doit resserrer son emprise et son oppression sur la population de la bande de Gaza


Le 'Hamas et le Fatah' que la démocratie et la transparence sont des choses avec lesquelles sils ne peuvent vivre, ils partagent la perception que les Etats policiers répressifs est le seul moyen possible pour contrôler le peuple.

 

Enfin les deux factions s'accordent sur la nécessité de blâmer Israël pour tout et toujours pour les misères des palestiniens dont ils sont responsables. Aucune des parties n'est prête a accepter la responsabilité de tout acte répréhensibles causées par elles-mêmes.

 

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22 juin 2011 3 22 /06 /juin /2011 07:38

 

 

 

Les palestiniens ne déclareront pas leur état en septembre....par David Goldstein

 

 

 

Les palestiniens ne déclareront pas leur état en septembre parce qu'ils n'y ont aucun intérêt, mieux, cela les obligeraient a renoncer à tout leurs rêves !

Dans l'hypothèse ou ils iraient au bout de cette démarche, encourages qu'ils sont par les autres pays qui ne voient pas plus loin que le bout de leurs nez (la France en fait partie), les palestiniens se retrouveraient enfin avec un état. Cet état serait sans frontières réelles puisque déterminées en dehors du cadre d'un accord avec Israël. Cet état serait irréel puisque déclaré unilatéralement, donc non reconnu par Israël. Cet état serait donc, mais a quel prix ?

 

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L'état de Palestine serait limité aux frontières du cessez le feu de 1967. C'est à dire moins que la proposition initiale de l'ONU (ce qui est très con).

 

  • Fini le rêve de jeter les juifs a la mer.
  • Fini le rêve de détruire le sionisme et Israël.
  • L'état d'Israël serait reconnu de facto par les palestiniens et le monde arabe. Eh oui, ce serait automatique et logique, sinon pourquoi l'ONU leur donnerait un état.
  • Fini le droit au retour des soi-disant réfugiés.

 

  • Fini la lutte contre l'occupant, fini donc la lutte armée.
  • Ce serait le début d'une guerre civile entre les terroristes et les autres, si il y en a...
  • Fini l'UNWRA. Pourquoi continuer de donner de l'aide a des gens qui ont un pays ? 

 

logo unwra

 

  • Fini le soutien des pays arabes, de l'Iran, des autres groupes terroristes comme le Hezbollah ou Al-Qaeda.
  • Etc,...

 

 

Alors pourquoi donc déclarer un état en septembre a l'ONU ?

 

Il y a fort à parier que le Hamas ait signé le fameux accord de réconciliation avec le Fatah a cause de ca. Car le Hamas sait tout ca et qu'il sait aussi que si cela se faisait cela signifierait sa disparition a petit feu. Il sait que si l'ONU donne un état aux palestiniens il n'y aurait plus aucun prétexte a la lutte, plus de justification non plus a son existence.

 

 

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Le Hamas va donc se charger de débarrasser Israël de ce petit souci appelé Abou Mazen. C'est pour bientôt car c'est une question de vie ou de mort !

 

Alors pourquoi tout ca ?

 

En fait le Fatah et son chef se sont enfermés dans un piège sans issue. Cette idée débile d'un état palestinien déclaré par l'ONU leur est venue un beau matin comme une évidence, comme une envie de pisser, ils n'ont tout simplement pas réfléchi.

 

Si on regarde la politique d'Abou Mazen et sa clique depuis son arrivée au pouvoir on s'aperçoit qu'il a voulu copier les juifs, les sionistes, les pionniers de l'âge d'or d'Israël. Tout d'abord il a crée un "état "pacifique"", il a monté des structures, il assuré la sécurité, il gère bien son économie et ses finances, bref il essaie de montrer au monde que les palestiniens sont capables et qu'ils méritent un état. Opération propagande réussie, une grande partie du monde y croit, ou presque.

 

Mais voila, pour toutes les raisons citées ci dessus ce plan est très con, c'est un cercueil doré pour les djihadistes nihilistes que sont les palestiniens.

 

D'ailleurs Abou Mazen le sait maintenant, peut être même que ses potes du Hamas lui ont expliqué qu'il a fait une énorme gaffe !?

 

Aussi il n'est pas étonnant que la réconciliation palestinienne prenne l'eau. Encore ce matin Abou Mazen a déclaré que Salam Fayad serait le Premier Ministre du gouvernement réconcilié Fatah-Hamas parce que c'est le seul a en être capable et aussi parce que c'est lui le représentant des palestiniens et donc que c'est lui qui décide - pas Khaled Meshal. Il a même ajouté que le jour ou le Hamas aura ce statut il pourra faire ce qu'il veut lui aussi !

 

 

 

 

Hier Abou Mazen a presque imploré Les USA, l'Europe et Israël de revenir aux négociations pour ne pas avoir a aller jusqu'au bout de sa propre folie. Abou Mazen a compris depuis longtemps que l'option septembre est une ineptie. Il a compris cela alors que l'Europe ne fait que s'infiltrer dans la brèche, Sarkozy en tète. Abou Mazen sait parfaitement que le château de carte va s'écrouler sur sa tète ainsi que son sang !

 

Alors septembre ou pas, il n'y aura pas plus d'état de Palestine que de cheveu sur la tète d'un chauve !

 

 

 

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David Goldstein - haabir-haisraeli

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22 juin 2011 3 22 /06 /juin /2011 05:14

 

Pallywood

 

Alerte - Pallywood - Une photo falsifiée pour condamner Israël

 

 Ne soyez pas étonnés de voir cette photo sur une pancarte lors de  prochaines  manifestations anti-israéliennes !  

 


Petit conseil ! quand on veut créer un gros mensonge, on fait de telle sorte de ne pas laisser des indices flagrants !

le vert de l'uniforme, les gants noirs, la kalach.....

 

Voici une photo publiée sur une page anti-israélienne sur Facebook. La photo donne l’impression qu’un soldat de Tsahal marche avec arrogance et cruauté sur la poitrine d’un enfant palestinien alors que sa mère éperdue le regarde. Cette photo a attiré les condamnations habituelles contre Israël (et contre les juifs) de tous les suspects habituels, et voici huit commentaires choisis par hasard : 
"Je ne voudrais pas que vous pensiez que je défends l’occupant israélien, mais je pense que l’arme que porte le soldat indique quelque chose. L’arme du soldat de l’armée israélienne est un M-16 de fabrication américaine et celle qui figure sur la photo est un Kalachnikov de fabrication russe."

antisemitism

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21 juin 2011 2 21 /06 /juin /2011 15:44

 

 

 

 

Processus d'évolution et processus de paix

Par Yéochoua SULTAN  

 © 2011 www.aschkel.info


Yéochoua 2

couvyeochoua4

 

Nous allons nous pencher sur deux systèmes de pensée qui sont échafaudés sur des dogmes, à savoir la théorie de l'évolution et la théorie de la paix au Proche-Orient sur la base de la création d'un Etat dirigé par des terroristes négationnistes prétendument repentis. Nous envisagerons pour finir un dénominateur commun aux deux théories en rupture totale avec la réalité.

Si la paléontologie est une science, le darwinisme, en revanche, est un dogme. Il est fondé sur le reniement du principe d'une création merveilleusement élaborée qui implique l'intervention d'un créateur. Ses adeptes soutiennent que la première cellule vivante aurait été créée spontanément, par une combinaison, à force de manipulations circonstancielles et hasardeuses, de carbone, d'hydrogène, d'oxygène et d'azote, et que les chaînes peptidiques se seraient ordonnées comme par enchantement toutes seules. A partir de cette apparition rendue crédible par la ressemblance entre cette nouvelle combinaison d'éléments et une goutte d'eau, les «hasardistes»   on pourrait les nommer ainsi – échafaudent des théories de développement  et de ramifications induites par les besoins dictés par les conditions environnementales. Le poisson a eu besoin de se dégourdir les jambes, il devient donc quadrupède, puis, pouvant se contenter de deux pieds, et rêvant de s'envoler, les deux autres deviennent des ailes. Ce dogme a cherché dans la réalité ce qui pouvait le conforter et lui servir pourquoi pas de preuves. Des fouilles ont été entreprises, et des fossiles ont été exhumés du sous-sol. Dans les différentes strates, des restes des organismes les plus élaborés ont été trouvés dans les couches les plus superficielles, tandis que d'autres, figurant en grande partie de nombreux invertébrés, ont été retrouvés dans les couches apparentées au précambrien, période à laquelle on attribue les êtres unicellulaires comme les bactéries et les algues. La théorie de Darwin veut que les créatures les plus récentes et les plus complexes soient le résultat de mutations successives, très nombreuses et imperceptibles issues des formes plus simples et plus anciennes. Or, il établit lui-même un constat qui n'est pas pour étayer sa thèse, se demandant fort, comme il le constate dans ses écrits, comment il se fait que les terrains sédimentaires et fossilifères ne révèlent que des créatures finies, parfaitement achevées, et qu'ils ne contiennent aucune des formes intermédiaires. Ce qui l'a dérangé, c'est que les observations concrètes n'ont pu qu'entrevoir une autre théorie, supposant une création spontanée et complète de chaque espèce identifiée dans les roches, même si leur ordre d'apparition corrobore l'ordre chronologique qu'il y révèle aussi, sans entrer toutefois dans la question de la datation, qui est une autre affaire, nullement indissociable de celle qui nous occupe ici. Mais qu'à cela ne tienne, la théorie de l'évolution, bien qu'incapable de s'étoffer par les innombrables chaînons manquants, qui devraient servir de traits d'union entre les différentes étapes supposées d'une évolution, sera érigée pour les générations suivantes, et notifiée dans les manuels scolaires comme un dogme. Qui est pour? Les gens sérieux. Qui est contre? Les autres. Rabâché de génération en génération, la théorie de l'évolution s'inscrit dans la culture générale comme une certitude, et peu importe si les différentes longueurs des étapes successives du cou de la girafe, qui aurait été au départ semblable à celui d'un cheval, n'ont jamais été retrouvées.

Le second dogme concerne le peuple d'Israël et la lutte contre son plein rétablissement sur sa terre, refusant l'implication d'un Créateur dans le processus historique, et il impose ce que l'on appelle un peu partout «le processus de paix», même si les médias et les politiciens israéliens ont réduit son nom à «processus», en raison de ses résultats désastreux incurablement. Fondé sur une utopie malencontreuse, il repose sur des énoncés erronés qui peuvent tout juste faire office de slogans. Seule la connivence à son endroit permet à des gens sérieux d'en parler sans rire. Une agressivité intense fait se dresser comme une muraille les condisciples de cette connivence contre toute menace qu'opposeraient des gens pour eux «mal pensants» et qui seraient bombardés à vue, affublés des pires appellations, en tant que dangereux opposants à la paix et à l'équilibre mondial. A l'instar des évolutionnistes, les dogmatiques de la paix ne peuvent étayer leurs élucubrations dans les faits, mais ils prennent leur intransigeance et leur aveuglement pour de la persévérance, et leurs idées pour un espoir produit par une religion nouvelle, dogme qui vient s'opposer à la foi des prophéties bibliques, celles-ci préconisant le rétablissement des exilés d'Israël en leurs frontières dans le chemin de l'aboutissement du salut de l'humanité. Leurs «territoires contre la paix», la reddition volontaire en faveur d'un ennemi censé être désarmé de toute haine, font glisser dans le chaos toute valeur sûre, quand tout acquis dont la réalité est reconnue devient contestable et discutable pour les pires opposants au retour d'Israël. Dans quel cerveau a bien pu germer l'idée qu'en cédant le cœur de sa terre à un ennemi déclaré, on ferait de celui-ci un voisin paisible? Le directeur d'une entreprise embaucherait-il un individu qui aurait juré d'effacer son entreprise dans l'espoir de l'amadouer et de lui faire renoncer à ses sombres desseins? Lui fournirait-il tous les codes d'accès aux logiciels de gestion? Absolument pas. De même, on n'embaucherait pas un assassin en cavale au lourd passé judiciaire.  Alors, comment le «processus de paix» a-t-il pu être considéré comme crédible par des gens honnêtes et sensés? Certainement par la campagne de désinformation qui nous poursuit depuis des décennies, avec des formules comme «la paix des braves», «le courage de négocier», «les progrès dans le processus de paix», dès que des pourparlers se profilaient à l'horizon, et un espoir de pacotille martelant l'avènement d'un avenir meilleur pourvu que l'on sache se montrer généreux et ne pas faire preuve de blocage et d'entêtement. «Pourquoi refuser de donner sa chance à la paix? Pourquoi s'enfermer dans une belligérance sans fin?» Après les résultats prévisibles sans être prophète, la paix sans précédent promise avant l'abandon de Gaza, et ce que laisse envisager une répétition du même modèle appliqué aux hauteurs de Samarie, les partisans de la théorie du processus de paix ont du mal à faire encore valoir leur mensonge. Le problème, c'est que cette inversion des valeurs, qui fait passer la soumission aux conditions de l'ennemi pour du courage, comme s'il s'agissait d'un saut en parachute ou d'un plongeon du haut d'un plongeoir vertigineux, alors qu'il n'y a ni parachute ni eau pour amortir la chute, pousse le pays à la résignation et au suicide, l'argument qui fait vendre n'étant plus un espoir qu'il serait dommage de bafouer, mais qu'il ne reste guère de choix, et que toute résistance serait annonciatrice de catastrophes. Dialectique de la peur présentée comme du courage, le courage de se laisser anéantir sans opposer de résistance. Cet aboutissement à une démence qui passe pour de la sagesse n'a pu être engendrée que par un dogme coupé de la réalité, le dogme du processus de paix.

Qu'est-ce qui rapproche donc les partisans de l'évolutionnisme des partisans du processus de paix? En dehors de leur positionnement en conflit avec la réalité, les recherches dans le sol ou les événements politiques contredisant les idées finalement préconçues, nous observons dans les deux cas une athéisation de l'appréhension du monde. L'adepte de la théorie de l'évolution rejette la réalité de la création en tant qu'œuvre du Créateur, et l'adepte de la théorie du processus de paix rejette la réalité de son implication dans le processus de l'histoire: «Tes proscrits, fussent-ils à l'extrémité des cieux, l'Eternel, ton D., te rappellerait de là, et là même il irait te reprendre. Et il te ramènera, l'Eternel, ton D., dans le pays qu'auront possédé ter pères, et tu le possèderas à ton tour ; et il te rendra florissant et nombreux, plus que tes pères». (Deutéronome, XXX, 4-5, traduction du rabbinat français). Donc, les adeptes de la théorie du processus de paix refusent qu'Israël reprenne possession de sa terre, «parce qu'ils ont égaré mon peuple en disant: "Paix! Paix!" quand il n'y a point de paix.» (Ezéchiel XIII, 10). 

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