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19 mai 2011 4 19 /05 /mai /2011 04:00

 

 

Le programme funeste de Mah'moud Abbas 

Par Victor Perez

 

Tout quidam, un tantinet honnête, ne peut plus affirmer, sans se déjuger, que l’Autorité palestinienne est un ‘’partenaire pour la paix’’. Au vu des réactions négatives des officiels de l’AP au discours du Premier ministre Benjamin Netanyahou à la Knesset le doute n’est plus permis. 
Nul ne peut en  effet attester que le peuple juif est reconnu dans ses droits les plus basiques par cette dernière ! Notamment, celui de posséder une patrie, de surcroît sur la terre ancestrale, pour s’y autodéterminer librement.
Le programme de Mahmoud Abbas est de contraindre Israël à accepter SA paix. Sa démarche restera donc, selon une tribune publiée dans le New York Times, d’internationaliser « le conflit en tant que problème juridique, et non plus seulement politique ». Ce qui, croit-il, permettra de « poursuivre Israël aux Nations Unies et devant la Cour Internationale de Justice » et, de ce fait, d’obtenir des condamnations puis des sanctions. Voire, pourquoi pas, une intervention militaire internationale pour contraindre Israël à obtempérer aux oukases internationaux. 
Scénario catastrophique dont on voit mal les grandes puissances suivre à la lettre et qui démontre clairement le peu d’intérêt de ce belligérant à une paix juste et durable pour cette région.  
Ce qui ne l’empêche nullement d’espérer par la suite des ‘’pourparlers’’ pour « négocier sur tous les "problèmes centraux" du conflit, en se concentrantsur une solution pour les réfugiés palestiniens d'après la Résolution 194 ». Imaginant, par cela, avoir auparavant obtenu de la communauté internationale la reconnaissance d’un état basé sur les «frontières de 1967, judenrein et dont la capitale sera Jérusalem». 
Il ne restera plus alors à négocier que le retour de centaines de milliers de « réfugiés » au sein d’Israël. Nulle incertitude, là encore, quant à un appel à la communauté internationale pour qu’elle dise le ‘’droit’’ puis esquisse une solution ‘’juste’’ à ce problème en cas d’échec évident de ces ‘’négociations’’.
« Si la communauté internationale tenait sa promesse faite il y a 60 ans, et s'assurait qu'une juste résolution pour les réfugiés palestiniens soit mise en application, alors il y aura un futur d'espoir et de dignité pour notre peuple ».

A lire correctement ce programme, on ne peut plus douter que l’intention de l’Autorité palestinienne est l’éradication totale de l’état juif plutôt que la l’acquiescement à la solution de deux pays pour deux peuples.
Un ‘’rêve’’ éveillé qui affirme publiquement le refus total de toutes revendications israéliennes et qui ne pourra se terminer que par une prise de conscience internationale et publique du jeu malsain du monde arabo-musulman. Un cauchemar qui, s’il devenait réel, rendrait à nouveau le peuple juif apatride et sujet à de nouvelles et nombreuses exactions.
Un futur si évident, si prévisible qu’il doit retenir tout état basé sur la charte des Droits de l’Homme (quel qu’il soit) à devenir complice de son accomplissement. Le rendez-vous de septembre prochain à l’Onu permettra, en conséquence, de lister ces pays de plus en plus minoritaires en cette planète.
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18 mai 2011 3 18 /05 /mai /2011 13:16

www.israel7.com

Le célèbre présentateur de la « Fox TV » américaine veut organiser à Jérusalem cet été ce qu’il avait fait à Washington en août dernier, où il avait réuni des dizaines de milliers de personnes devant le Mémorial Lincoln sous la bannière de « Restaurer l’honneur » (américain). Cette fois-ci, ce républicain qui ne cache pas son soutien inconditionnel à Israël, a fait part de son immense inquiétude quant aux événements qui s’annoncent dans les mois qui viennent concernant les Juifs et Israël. Il mobilise maintenant ses auditeurs, téléspectateurs et internautes pour se rendre au mois d’août en Israël et organiser un méga-rassemblement qui fera le tour des murailles de Jérusalem afin de soutenir Israël face aux manœuvres qui visent à l’abattre. Il a appelé ce projet « Restaurer le courage ». « Je veux que nous montrions au monde entier ce que veut dire vivre une vie de foi et de courage », déclare Beck, et prenant l’exemple des années qui ont précédé la Shoah, la passivité et la lâcheté des nations face à ce qui se préparait méthodiquement, il prévient : « Je ne veux pas que l’on puisse un jour nous reprocher de n’avoir une fois de plus rien fait pour défendre les Juifs et Israël ». Le charismatique animateur se dit persuadé « que le plan de créer deux Etats et de diviser Jérusalem est destiné à remplacer les balles et les fusils pour détruire Israël et voler Jérusalem, qui est le centre des fois juive et chrétienne ».
« Et même si je suis seul, je serai-là, debout », rajoute-t-il.

Pour regarder son émouvant appel qui fait chaud au coeur en cette période trouble:

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18 mai 2011 3 18 /05 /mai /2011 13:10

Pour E. Halevy, la paix avec les Palestiniens est actuellement impossible

 

www.guysen.com/


Par Diane Fink - Lundi 16 mai 2011 à 13:44


 

 

Pour l'ancien chef du Mossad, Efraim Halevy, des pourparlers

entre Israéliens et Palestiniens sont actuellement impossibles.

M. Halevy s'est exprimé ainsi lors d'une discussion du comité

des Affaires étrangères et de la Défense.

 

"Dans la situation actuelle des choses, des négociations entre

Israël et l'Autorité palestinienne sont impossibles", a-t-il déclaré

lors d'une discussion concernant la future déclaration unilatérale

d'un Etat palestinien en septembre aux Nations-Unies.

"La marge de manoeuvre se rétrécit. La capacité du Quartet à

influencer les pourparlers de paix diminue", a-t-il estimé.

"La situation existante est un non-commencement.

Ce qui a eu lieu ces deux dernières années est exactement

ce que nous ne voulions pas qui arrive : nous ne pouvons pas

aboutir à un accord de paix permanent parce que celui

avec qui nous discuterons ne sera pas celui qui réalisera

la paix", a déclaré l'ancien chef du Mossad.

La faction de l'Autorité palestinienne a récemment signé un

accord de réconciliation avec le Hamas de Gaza alors que

les Palestiniens prévoient de déclarer leur Etat de façon unilatérale.

L'envoyé spécial américain au Moyen-Orient, George Mitchell,

a quitté son poste la semaine dernière. Le Premier ministre

israélien, Benyamin Netanyahou, a d'ailleurs blâmé les

Palestiniens de sa démission, affirmant que l'Autorité palestinienne

avait imposé "des conditions préalables infinies" qui avaient

obstrué son travail en tant que négociateur de paix.

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18 mai 2011 3 18 /05 /mai /2011 08:25

 

 

 

Pourquoi Georges Mitchell a échoué

parTawfik HAMID

Adapté par Aschkel

pour © 2011 www.aschkel.info

 

 

http://www.jpost.com/Opinion/Op-EdContributors/Article.aspx?id=220694

 

 

Les émissaires américains dans la région doivent se rendre compte que le problème des palestiniens est l'existence même d'Israël, et non pas celui des frontières.

 

L'envoyé spécial américain au Moyen-Orient Georges Mitchell, l'homme chargé de concilier les Israéliens et les Palestiniens, a démissionné ce week-end.

Mitchell n'a pas réussi a parvenir à la paix entre les deux parties. Il n'y a pas de honte a cela – Les échecs

 

Il a réussi a négocier la paix en Irlande du nord; mais n'a pas même réussi à démarrer les choses ici au Moyen-Orient

 

La question est : pourquoi ?

 

De toute évidence, il est impossible de résoudre un problème sans aborder et traiter la véritable cause . en abordant le conflit arabo-israélien par le problème territorial, c'est-à-dire concéder plus de terres aux palestiniens pour résoudre le problème. Cette entreprise a échoué.

Pour exemple, Israël a déjà donné le Sinaï à l'Egypte et n'a rien reçu en retour qu'une paix froide et une lutte contre la hausse de l'antisémitisme dans le pays.

De même, le désengagement de Gaza n'a pas magiquement conduit à une baisse de l'antisémitisme dans le monde musulman.

Les manifestants pro-palestiniens musulmans ont  à travers le monde, à plusieurs reprises utiliser le chant "Kaybar, Kaybar…gaish Muhammad Sawfa Yahoud" qui rappelle aux Juifs que l'armée de Mahomet reviendra et répetera ce qui a été fait aux Juifs de Kaybar (péninsule arabique) – Selon les livres d'histoire islamique authentique, l'armée islamique conduite par Mahomet, la tribu de Kaybar avait été anéantie, les hommes avaient été massacrés, les femmes violées et enfants raptés, et/ou réduits en esclavage – Kaybar est une fierté pour les arabes.

 

Ces énoncés barbares contre les Juifs ont été utilisés de nombreuses fois dans le monde musulman, mais aussi aux Etats-Unis et également en Europe, lors de manifestations.

Vendredi sur la place Tahrir au Caire, ce chant a été repris en cœur par des milliers et des milliers de manifestants.

 

La Charte du 'Hamas appelle également à la destruction d'Israël. Ce principe violent prend ses racines dans l'enseignement islamique traditionnel, basé sur les Hadith et qui encourage la mise à mort de tous les Juifs avant la fin des jours.

 

Tant que les envoyés des Etats-Unis resteront aveugles sur le fait que les palestiniens et leurs partisans n'en veulent pas aux frontières d'Israël mais à l'existence même d'Israël dans cette région. Toutes les missions futures seront elles-mêmes rejetées.



Résoudre le conflit israélo-arabe doit se faire d'un point de vue théologique plutôt qu'au niveau politique, le premier empêchant le second.

Il est injuste de demander à Israël de faire confiance à ceux qui préconisent honteusement le massacre des Juifs et affirment aujourd'hui que l'anéantissement des Juifs doit se faire par une armée islamique basée sur un modèle qui doit être reproduit aujourd'hui.

Le problème n'est pas seulement dans l'existence d'enseignements historiques violents des textes islamiques mais aussi dans le désir de  nombreux islamistes érudits de faire revivre une telle violence dans les temps modernes.

Certes, des textes violents existent dans les autres religions, mais nous ne voyons pas un tel désir destructeur d'utiliser ces textes pour justifier de tuer les autres. Nous n'avons pas non plus entendu des savants modernes d'autres religions qui préconisent l'utilisation de tels textes.

Le problème vient aussi du fait que cette désastreuse dimension antisémite religieuse n'est pas limitée aux versets dans les livres, mais se propage également de façon puissante et vicieuse par les médias, et propage également la propagande nazie dans les pays musulmans.

Au cours des dernières décennies, dans les pays arabo-musulmans,     ont été publiées des caricatures déshumanisantes des Juifs dans les médias traditionnels.

Il est pratiquement impossible de promouvoir toute forme de règlement pacifique du conflit israélo-arabe sans réduire de tels niveaux d'antisémitisme dans le monde arabo-musulman.

Jusqu'à ce que les prochains envoyés au Moyen-Orient comprennent la dimension religieuse de ce problème, que le conflit israélo-arabe n'est pas sur les frontières mais sur l'existence même d'Israël, toutes les tentatives futures de faire la paix dans la région seront vaines et échoueront

L'auteur est un penseur islamique et réformateur. Il était membre d'Al Qaeda auprès de Zayman Al Zawahiri.

Il est actuellement président de l'étude de l'Islam à l'Institut d'Etudes politiques du Potomac


 www.tawfikhamid.com

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18 mai 2011 3 18 /05 /mai /2011 04:29

 

Une 3ème intifada possible pour la majorité des Palestiniens K.ABU TOAMEH

 

Par KHALED ABU TOAMEH 
17.05.11


Une large majorité de Palestiniens s'attend à une nouvelle Intifada si les pourparlers de paix avec Israël restent dans l'impasse, selon les résultats d'un sondage publié mardi.


PHOTO: REUTERS/NIR ELIAS , JPOST

Cette étude a été menée par le Centre palestinien pour l'Opinion publique (PCPO). Elle montre également que 80 % des Palestiniens soutiennent la récente réconciliation entre le Hamas et le Fatah.

Le Dr. Nabil Kukali, président de PCPO, déclare que le sondage a été mené entre le 5 et le 12 mai sur un échantillon de 950 Palestiniens de Judée-Samarie, Gaza et Jérusalem-est. Il précise que la marge d'erreur est de 3 %.

Si 70 % s'attendent à une 3e Intifada si les négociations échouent, 25 % des sondés indiquent qu'ils sont contre.

75 % d'entre eux estiment qu'une escalade militaire dans la bande de Gaza serait dans l'intérêt d'Israël, alors que seuls 18 % pensent que cela serait dans l'intérêt du Hamas.
D'autre part, le sondage montre que 70 % des Palestiniens sont opposés aux tirs de roquettes depuis la bande de Gaza vers Israël.

Sur la paix avec l'Etat hébreu, les sondés sont divisés. A la question "pensez-vous que les Israéliens sont intéressés à faire la paix avec les Palestiniens ?", 44 % disent non, 45 % répondent oui à un certain degré.
40 % soutiennent la reprise des pourparlers de paix, 32 % ont un avis mitigé et 25 % sont contre.

Selon les résultats de l'enquête, seule une petite minorité de 5 % se prononce pour "des opérations militaires" comme une voie pour mettre fin à l'occupation israélienne. Plus de 30 % déclarent être en faveur des négociations jusqu'à ce qu'un accord de paix soit trouvé. 25 % sont pour une résistance populaire non-violente, et 12 % estiment qu'une solution peut-être trouvée via l'ONU.

Plus de la moitié des sondés, 53 %, indiquent qu'ils voient le Premier ministre de l'AP Salam Fayyad comme le meilleur candidat d'un gouvernement d'unité avec le Hamas. Ismaïl Haniyeh, le Premier ministre du Hamas, n'est soutenu qu'à hauteur de 14 %.

Mais le sondage révèle que Fayyad perdrait une élection présidentielle face à Mahmoud Abbas. 48 % voteraient pour Abbas, 15 % pour Fayyad.

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17 mai 2011 2 17 /05 /mai /2011 20:10

 

 

 

La "catastrophe" palestinienne à nos portes 
17/05/2011 

 Freddy Eytan  | jcpa

Les Palestiniens et avec eux tous les charlatans  du conflit arabo-israélien sont orfèvres dans la réécriture de l'Histoire, dans la propagande mensongère, dans la désinformation, et dans la manipulation des foules et des medias. 

La vérité historique est tout autre. Le sionisme ne fut pas à la source de la haine arabe. La première "révolte" arabe a débuté bien avant la création de l'Etat d'Israël. Déjà en 1920, trois ans seulement après la fameuse Déclaration Balfour qui offrait un Foyer juif en terre d'Israël, les Arabes de la Palestine mandataire ont lancé des pogroms contre la population juive, résidente depuis des siècles à Jérusalem, Safed et Hébron. 

En 1929, les pogroms des Arabes ont tué 193 hommes, femmes, et enfants juifs et ont blessé plus de deux cents. 

Le 14 mai 1948, lors de la proclamation de l'Etat juif tous les pays arabes ont lancé une guerre pour tuer le nouvel Etat dans l'œuf. Les violences, et la chasse aux juifs dans les pays de la région ont été lancées simultanément avec l'exode de centaines de milliers de familles qui ont abandonné leurs foyers et leurs biens. Des communautés entières ont disparu. Des huit-cents mille habitants juifs dans les 21 pays arabes, il ne reste aujourd'hui que moins de cinq mille, pour la plupart de pauvres vieillards. L'écrasante majorité a choisi tout naturellement de se réfugier en Israël, dans le pays de leurs ancêtres. Personne à ce jour n'a reçu une seule indemnité.

Depuis 1948, les Palestiniens évoquent à chaque occasion leur "catastrophe", et le retour impératif de leurs réfugiés dispersés à travers le monde. Chaque année, jour anniversaire de l'Etat d'Israël, ils manifestent leur colère et leur rage et lancent des appels à la vengeance et à la violence contre les "sionistes terroristes". En principe, le souvenir d'une "catastrophe" devrait se faire dans le recueillement, dans la prière, en silence et dans la dignité et non pas dans de le cadre de violentes manifestations.

L'ONU a adopté plus de deux cents résolutions sur ce sujet et l'UNRA  est la seule organisation onusienne de la planète qui se préoccupe quotidiennement des camps des réfugiés palestiniens. Au lieu de régler définitivement ce problème humanitaire, les chancelleries préfèrent pour des raisons purement politiques et anti-israéliennes  de l'immortaliser. Notre peuple et nos dirigeants n'ont jamais admis la présence d'un seul réfugié juif. Notre solidarité a été exemplaire face à l'égoïsme et l'indifférence des cheiks et émirs arabes.

La défaite militaire et la débâcle des armées arabes, en 1948 et en 1967 ont été gommées des livres d'Histoire et pourtant elles demeurent la conséquence directe de la réalité de la diaspora palestinienne. Rappelons que jusqu'en 1967, les Jordaniens contrôlaient la Cisjordanie et l'Egypte la bande de Gaza.

Aucun gouvernement israélien n'acceptera le retour de plus de quatre millions de réfugiés. C'est insensé et ridicule et les dirigeants palestiniens le savent parfaitement. 

Toutes leurs tentatives de forcer nos barrières et nos frontières et d'envahir notre territoire souverain ne sont que de la pure provocation, une déclaration de guerre orchestrée par les dirigeants arabes et les ayatollahs d'Iran. La racine du conflit est donc le refus systématique des Palestiniens de reconnaître l'existence de l'Etat juif dans les lignes d'armistice de 1949 et non sur  les conséquences de la défaite arabe durant la Guerre des Six-Jours. 

Cette menace stratégique est nouvelle pour l'armée israélienne et Tsahal est capable de l'affronter, mais elle devrait aussi tirer une sonnette d'alarme en Europe. Les capitales de l'Union européenne devraient bien réfléchir avant de soutenir la création d'un Etat palestinien. Comment accepter par avance un Etat sans frontières reconnues et garanties et ignorer que sa création provoquerait l'installation de nouveaux camps de réfugiés à nos portes et l'internalisation du conflit.   

A l'approche de la réunion de l'Assemblée générale de l'ONU au mois de septembre, le gouvernement Netanyahou a le devoir de rallier tous les partis sionistes et les communautés juives pour combattre contre la supercherie et les menaces.  Il se trouve dans l'obligation d'agir avec fermeté mais aussi avec intelligence et pragmatisme. Il devrait trouver immédiatement des solutions adéquates à toute cette mascarade et ces manifestations hypocrites et haineuses.      


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17 mai 2011 2 17 /05 /mai /2011 09:13

 

Bann H.Ouizemann

 

DE SAN REMO A BAR ILAN II - Comment désamorcer l'initiative palestinienne ?

Par 'Haim OUIZEMANN

Pour le © 2011 magazine Météor Israël et  © 2011 www.aschkel.info

 

Lire aussi - 

ETAT JUIF - ETAT NATION

  


«Par cet acte mandataire est reconnu le lien historique entre le peuple juif et la Palestine et le droit qui est sien d'y reconstruire son foyer national en cette terre» (Acte mandataire de la Société des Nations- 24 Avril 1922)

 

Le 9 septembre 2011 constitue, sans aucun doute, une date butoir pour l'Etat d'Israël. En effet, l'Autorité palestinienne, forte de son influence parmi les pays d'Amérique du Sud, a l'intention, dans le cadre du rassemblement de l'Assemblée Générale des Nations-Unies, de déclarer unilatéralement la création d'un Etat palestinien indépendant dans les «frontières de 1967». Le Quartet (Etats-Unis, Russie, Union Européenne et les Nations Unies) semble, dans sa majorité, disposé d'ores et déjà à se ranger aux côtés de l'Autorité palestinienne. C'est dans la perspective d'une probable offensive diplomatique contre Israël que le Premier ministre Benyamin Netanyahou se prépare à prononcer devant le Congrès américain son prochain discours (Bar-Ilan II), dans l'espoir de désamorcer les dangers de l'initiative palestinienne.

Comment désamorcer l'initiative palestinienne ?

L'Etat d'Israël dispose, sur le plan diplomatique, d'un avantage considérable. Le Premier ministre Benyamin Netanyahou détient, en effet, de nombreux atouts politiques lui permettant de défier toute initiative unilatérale palestinienne qui serait appuyée par l'Europe, la Russie et les Nations-Unies. Lors de la réunion du Conseil de Sécurité des Nations Unies (Fév. 2011), le Président des Etats-Unis Barak Obama, par la voix de Suzanne Rice, ambassadrice des États-Unis d'Amérique auprès des Nations Unies, déclare: «Nous repoussons très clairement la légitimité des implantations… Le seul moyen pour atteindre l'objectif commun réside dans les pourparlers directs entre les parties avec le soutien des Etats-Unis et de la communauté internationale».

L'atout du Quartet:

Accords d'Oslo II (28 septembre 1995):

Article 31 (Alinéa 7):

«Aucune des deux parties ne prendra l’initiative ni n’adoptera de mesures qui modifieraient le statut de la Cisjordanie et de la Bande de Gaza dans l’attente du résultat des négociations sur le statut permanent».

La déclaration d'intention de proclamer unilatéralement un état palestinien constitue en soi une atteinte flagrante à l'article prévoyant la résolution définitive de la question des territoires par la voie du dialogue. 

Article 31 (Alinéa 9):

«L’OLP s’engage à ce que, dans les deux mois consécutifs à la date d’installation du Conseil, le Conseil National Palestinien se réunisse et approuve formellement les changements nécessaires concernant la Charte palestinienne, comme promis dans les lettres signées par le Président de l’OLP et adressées au Premier ministre israélien, en date du 9 septembre 1993 et du 4 mai 1994».

Cette promesse d'abrogation des articles de la charte palestinienne visant la destruction d'Israël n'a toujours pas été accomplie par l'Autorité palestinienne. De plus, la réconciliation récente de l'Autorité palestinienne avec le Hamas, dans le cadre de la déclaration d'un «Etat palestinien» virtuel en septembre prochain constitue, de facto, un acte de guerre à l'encontre d'Israël. Cette union  sonne le glas des Accords d'Oslo signés devant les témoins du Quartet et les rend automatiquement nuls et non-avenus.

L'atout européen:

La Déclaration européenne de Venise (1980)

 

 Au Conseil de Sécurité des Nations-Unies, en février dernier, les Etats-Unis apposent leur veto à la proposition de la représentation palestinienne de condamner les implantations en Judée-Samarie et la présence juive dans la partie Est de Jérusalem. Dans le même temps les quatorze autres membres du Conseil de Sécurité, dont la France, l'Angleterre et l'Allemagne, n'hésitent pas à condamner Israël pour colonisation. Ce vote européen antisioniste constitue très certainement un avertissement pour Israël. Gérard Araud, ambassadeur de France à l'ONU, déclare (21 avril 2011): «La France et les pays européens songent à reconnaître un État palestinien, la reconnaissance de l'État de Palestine est une option à laquelle nous réfléchissons actuellement avec nos partenaires européens, dans l'optique de créer un horizon politique à même de relancer le processus de paix». Alain Juppé, le ministre français des Affaires étrangères a, lui aussi, lancé l'idée que la reconnaissance d'un Etat palestinien constitue  «une hypothèse qu'il faut avoir en tête».

Pourtant toute reconnaissance unilatérale d'un «Etat palestinien» par les puissances européennes aux Nations Unies serait en totale contradiction avec la Déclaration européenne de Venise (1980) qui, tout en reconnaissant «le droit à l'autodétermination des Palestiniens et l'illégalité des colonies juives» en Judée-Samarie, précise clairement   l'urgente nécessité d'«une solution globale du conflit israélo-arabe» et non unilatérale.

Déclaration du sommet européen de Berlin (25 mars 1999)

La Résolution sur le processus de paix au Proche-Orient et l'échéance du 4 mai 1999 (05/1999) fondée sur la déclaration du sommet européen de Berlin (25 mars 1999) «invite les parties concernées à reprendre les négociations sur le statut définitif afin de parvenir rapidement à un accord en la matière et à s'abstenir d'actions ou déclarations unilatérales sur les questions figurant à l'ordre du jour de ces négociations (les frontières, l'eau, les colonies, les réfugiés, le statut définitif des Palestiniens et Jérusalem)».

L'Europe qui s'est engagée devant la communauté internationale à résoudre le conflit israélo-palestinien par la voie de pourparlers est disposée aujourd'hui à renier ses propres engagements.

L'atout  américain:

Lettre de Georges W. Bush (Avril 2004):

 

En début d'avril dernier, trois personnalités proches du Premier ministre Benyamin Netanyahou, invitées à témoigner devant la Commission des Affaires Etrangères de la Chambre des représentants des États-Unis,  tentent de rappeler l'engagement des Etats-Unis vis-à-vis d'Israël. Il s'agit du Docteur Dore Gold, ex-ambassadeur d'Israël aux Etats-Unis et président du Centre des Affaires Publiques et de l'Etat, Ouri Dekel, Général de Brigade au sein de Tsahal, tous deux promus par l'ex-Premier ministre Ehoud Olmert à la tête des pourparlers entre  l'Autorité palestinienne et Israël, et Ouzi Dayan, ex-vice-Chef d'Etat major, président du Conseil national israélien de Défense sous le Premier ministre Ehoud Barak et chargé du dossier de la Défense lors des pourparlers avec l'Autorité palestinienne dans les années 90.

Dore Gold réaffirme l'importance de la Lettre de George W. Bush adressée à Ariel Sharon (14 Avril 2004) visant à assurer «la sécurité d’Israël, incluant des frontières sûres et défendables» et reconnaissant qu' «il serait irréaliste de s’attendre à ce que les pourparlers se terminent par un retour absolu aux lignes d’armistice de 1949» faussement définies comme «frontières de 1967». Dore Gold ne manque pas de rappeler que cette lettre historique a reçu l'aval juridique des deux chambres du Congrès américain (*2) du vice-président actuel des Etats-Unis Joe Biden et de la Secrétaire d'Etat en fonction Hilary Clinton alors que tous deux occupaient le poste de sénateurs. Cette ligne d'Armistice (ligne verte), ne l'oublions point, est la conséquence de l'offensive armée des pays arabes qui, en 1948, tentent d'effacer Israël de la carte du monde. De plus, le traité d'armistice signé entre Israël et le royaume hachémite de Jordanie stipule très clairement que «les conditions du traité sont fixées uniquement sur la base de considérations militaires» (alinéa 2) et non territoriales. En d'autres termes, le droit international n'a jamais reconnu la ligne verte comme une «frontière» potentielle, d'autant que la résolution 242 des Nations Unies dans sa version anglaise ne contraint nullement Israël à se retirer de tous les territoires mais de(certains) territoires («from territories»). De plus, la lettre de Bush précise le maintien de la «présence de centres de population israélienne importants», à savoir la Grande Jérusalem (Jérusalem et sa périphérie) et l'Ouest de la Samarie (Maaleh Adoumim et Ariel). (*3)

«Loi de l'ambassade à Jérusalem» (1995)

Se fondant sur la «Loi de l'ambassade à Jérusalem» (The Jerusalem Embassy Act) votée en 1995 par le Congrès américain (347 voix pour- 37 contre), stipulant qu'«il faut reconnaître Jérusalem comme la Capitale d'Israël, l'ambassade des Etats-Unis sera transférée à Jérusalem au plus tard le 31 mai 1999», «Mike» Huckabee, ex-gouverneur républicain de l'Arkansas et candidat probable aux prochaines élections présidentielles américaines, lors de sa visite en Israël, il y a peu, a exprimé son intention, s'il était élu, d'appliquer la promesse du Congrès. A ce jour, tous les Présidents des Etats-Unis qui se sont succédé ont reporté l'application de la loi, y compris  Barak Hussein Obama.

Initiative d'Israël pour les réfugiés palestiniens:

A maintes reprises, l'Agence pour les Réfugiés palestiniens (UNRWA) subit la critique du Congrès américain portant sur sa gestion médiocre.  Le Congrès américain, en effet, n'a de cesse de vouloir  reconsidérer le financement de l'UNRWA, comptant pas moins de 24 000 employés palestiniens, afin  «d'éviter que l'argent du contribuable  américain ne serve de  soutien aux terroristes».

Le Premier ministre d'Israël, Benyamin Netanyahou, se doit de saisir l'opportunité qui lui sera donnée lors de la lecture de son prochain discours face aux deux chambres du Congrès américain afin de leur rappeler, d'une part, l'engagement des Etats-Unis reconnaissant Jérusalem comme la capitale réunie et éternelle de l'Etat d'Israël et, d'autre part, proposer la dissolution de l'UNRWA afin que les dits-réfugiés palestiniens de la deuxième, troisième et quatrième génération soient pris en charge directement par le Haut Commissariat pour les réfugiés (HCNUR).

L'atout  de l'Organisation des Nations-Unies:

Le Projet San Remo: le droit historique et juridique sur la Judée-Samarie

 

«Le gouvernement mandataire aura pour responsabilité (de veiller à ce) qu'aucune terre du territoire d'Erets-Israël ne soit donnée à jamais ou en fermage au pouvoir d'un quelconque pays étranger et qu'elle ne soit d'aucune manière mise sous le contrôle de quelque gouvernement étranger que ce soit» (Londres 24 Avril 1922).

Cet extrait de l'acte mandataire que la Société des Nations donna à l'Empire britannique sur la Palestine prévoit, sur la base de la Déclaration Balfour (1917) et les conclusions de la Conférence de San Remo (24 Avril 1920), que le futur Etat hébreu qui naîtra en 1948  étende sa pleine souveraineté depuis le Jourdain-incluant la Vallée du Jourdain et la Judée-Samarie- jusqu'à la Méditerranée. Cet engagement international capital reste jusqu'au jour d'aujourd'hui toujours en vigueur même après que les Nations-Unies, à la suite de  la dissolution de la Société des nations (18 Avril 1946), aient voté  la Résolution 181 (Plan de Partition 1947), rejetée immédiatement par les Arabes.

 Ces atouts diplomatiques de premier ordre, mises à la disposition du  Premier ministre Benyamin Netanyahou, devraient lui permettre, non seulement de mener une offensive de grande envergure, mais surtout de justifier la menace employée par l'Etat hébreu en cas de décision unilatérale palestinienne, d'annexer purement et simplement les territoires de Judée-Samarie, comme le droit international le reconnaît à Israël qui, alors libérée des Accords d'Oslo  devenus lettre morte, pourra faire valoir son droit collectif de souveraineté politique sur tout le territoire dans le respect des droits «civils et religieux» particuliers aux Arabes. Il reste à savoir si le contenu du discours de B. Netanyahou témoignera du courage politique d'un dirigeant disposé à sauver l'honneur de sa patrie ancestrale sur la base du droit historique conféré par les Nations elles-mêmes.

 (*1) Créé en 1974, le Goush Emounim est un groupe de jeunes pionniers qui se démarque du Mafdal (Mouvement National Religieux) fondé en 1956 par la fusion du haPoël HaMizrahi (branche ouvrière sioniste, religieuse et socialiste) et du Mizra'hi.

(*2) Résultats du vote de la Chambre des représentants des États-Unis: 407voix pour/ 9 contre; du Sénat: 95 voix pour/ 3 contre.

(*3)  http://www.knesset.gov.il/process/docs/armistice_jordan.htm

 

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16 mai 2011 1 16 /05 /mai /2011 18:51

Drzz

 

 

L'immence obscénité du discours sur la "Naqba" par Guy Millière

 

Guy Millière pour drzz

Naqba-Day-2011.jpeg

 

 

 

La propagande palestinienne marche bien. Le mensonge qu’est le discours sur la nakba est partout. Si Dominique Strauss-Kahn ne s’était pas précipité sur une femme de chambre à New York, ruinant ainsi ses chances de devenir Président de la République, on n’aurait parlé que de ça à la télévision française.  


Le discours sur la Naqba est en soi, obscène, car il est conçu pour présenter une symétrie avec la Shoah. Six millions de Juifs sont morts dans le plus abominable de tous les crimes contre l’humanité, et les propagandistes palestiniens veulent faire croire en un génocide perpétré contre les « Palestiniens » : Mahmoud Abbas est un négationniste. La naqba est, en soi, un événement négationniste : des gens qui nient la Shoah essaient de présenter un événement qui serait équivalent à la Shoah. Tout en niant un vrai génocide, ils présentent un faux génocide comme s’il était vrai. Cela devrait être suffisant pour disqualifier moralement et sur tout autre plan la clique qui règne à Ramallah.  


Le discours sur la naqba est, de fait, une falsification éhontée. Nul n’a demandé aux Arabes vivant sur la terre d’Israël d’organiser des pogroms antijuifs dès les années 1920. Nul ne leur a demandé de suivre les directives d’Amin al Husseini, mufti de Jérusalem, ami personnel d’Hitler et de tous les dignitaires du Troisième Reich, chantre de la « solution finale », fondateur d’une légion Waffen SS musulmane, père spirituel de tous les dirigeants palestiniens. 


Nul ne leur a demandé de contribuer à la guerre d’extermination lancée contre Israël dès sa (re)naissance par les pays arabes de la région, et s’ils sont partis au moment où la guerre s’enclenchait, aux fins de ne pas être éclaboussés par le sang juif qu’ils espéraient voir versé, cela n’en fait pas moins d’eux des coupables. 


Les Arabes qui n’ont pas pris le parti des exterminationnistes sont citoyens israéliens aujourd’hui, et si nombre d’entre eux crachent sur la démocratie israélienne tout en profitant de ses avantages, ils n’en sont pas moins, disent les derniers sondages, 77% à ne vouloir vivre nulle part ailleurs dans la région et à déclarer qu’ils tiennent à leur nationalité israélienne.  


On doit aussi rappeler les faits.


Il n’y a jamais eu d’Etat arabe palestinien. Les Arabes ont été des envahisseurs dans la région, au moment des conquêtes musulmanes. Ils ont été asservis par les Turcs, Seldjoukides, puis Ottomans jusqu’aux lendemains de la Première Guerre Mondiale. Le « Mandat palestinien » confié par la Société des Nations pour créer un foyer national juif s’est trouvé rapidement amputé de quatre-vingt pour cent de sa surface pour créer un Etat arabe palestinien, la Jordanie. Les vingt pour cent restants ont été divisés en deux par décision des Nations Unies en 1948, et cette division prévoyait la création d’un deuxième Etat arabe palestinien à côté d’Israël. Les dirigeants arabes n’ont pas voulu de ce deuxième Etat, ils n’ont pas voulu d’un Etat à côté d’Israël, (re)créé sur dix pour cent seulement du Mandat palestinien : ils ont voulu exterminer. Ils ont échoué. Ils ne méritent que le dégoût. Ces gens sont porteurs d’intolérance, de haine, de désir de meurtre. Ils sont imprégnés du goût du sang. Outre le dégoût, ils méritent le mépris et ne cesseront de le mériter que s’ils montrent concrètement qu’ils ne sont pas méprisables.  


On doit ajouter que le deuxième Etat palestinien n’a pas été créé, mais que la Judée-Samarie a été annexée de force par la Jordanie, et Gaza par l’Egypte : pendant toutes les années où a duré l’annexation forcée, nul n’a parlé de naqba. Nul, il est vrai, ne parlait de territoires palestiniens ou de peuple palestinien. Les notions n’avaient pas encore été inventées. Les Arabes vivant en Judée-Samarie et ceux vivant à Gaza n’avaient alors subi aucune catastrophe. Ils n’ont commencé à parler de catastrophe que bien plus tard. La commémoration de la naqba a été instaurée en 1998, par Yasser Arafat, l’homme à la serpillière sur la tête. Pourquoi 1998 ? Parce que le traité de paix entre la Jordanie et Israël avait été signé, et parce que la Jordanie avait laissé la Judée-Samarie pour qu’y soit créé un jour le deuxième Etat palestinien.


On doit noter que les « réfugiés » sont aussi réfugiés que je suis marchand de frites : il leur a été demandé de prouver deux années de résidence sur le territoire d’Israël pour bénéficier de cet intéressant statut. Ils sont, depuis, devenu  réfugiés professionnels, financés par les Nations Unies qui ont créé une administration spéciale pour eux, qui les rémunère, et veille à ce qu’ils restent dans l’état de haine frénétique dans lequel elle les a trouvé. Ils sont Palestiniens professionnels. Ils sont, par ailleurs, dans une position étrange pour des gens censés avoir subi un « génocide » : ils sont partis cinq cent mille et ils veulent revenir cinq millions. Chez ces gens-là, on est réfugié de père en fils et de mère en fille et on fait beaucoup de petits réfugiés. On peut acquérir le statut de réfugié par mariage ou par cousinage. Il n’existe nulle autre population sur la planète qui ait bénéficié un jour du statut de réfugié octroyé de cette façon : cherchez ailleurs des réfugiés qui héritent du statut de réfugié, ou des réfugiés par alliance, cherchez des réfugiés sur trois ou quatre générations, vous n’en trouverez pas.


Ces gens ont été maintenus dans leur statut de réfugié grâce à l’administration spéciale des Nations Unies créée exprès pour eux, l’UNWRA. Ils ont été maintenu aussi dans ce statut par les pays arabes qui les ont maintenu dans des « camps de réfugiés » aux fins de les utiliser comme chair à canon et comme otages d’une stratégie qui visait à poursuivre la guerre exterminationniste ratée de 1948-49. Et ils jouent jusqu’à présent le rôle qu’on leur a assigné. Ils sont maintenus dans une situation réelle d’apartheid au Liban et en Jordanie, mais nul ne proteste nulle part contre l’apartheid pratiqué par le Liban et la Jordanie : chez les nouveaux antisémites européens, si on ne peut pas accuser des Juifs et souhaiter leur mort, ce n’est pas intéressant.  


La réalité est qu’il y a déjà un Etat palestinien sur quatre vingt pour cent du territoire du Mandat palestinien, la Jordanie. La réalité est que la Jordanie est peuplée à quatre vingt pour cent d’Arabes « palestiniens » : le reste de la population étant composée de bédouins et d’Arabes venus d’Arabie Saoudite avec un roi qui s’est retrouvé là parce qu’il avait été chassé de La Mecque, mais qui est aussi « jordanien » que je suis aztèque.  


La réalité est qu’il n’y a pas la moindre légitimité à parler de « peuple palestinien », de « territoires palestiniens », et pas la moindre légitimité non plus à envisager de créer un deuxième Etat palestinien. Les Arabes « palestiniens » n’ont qu’à prendre le pouvoir dans l’Etat palestinien de Jordanie et qu’à le rebaptiser Palestine s’ils y tiennent. Arafat avait d’ailleurs tenté de faire cela voici quarante ans. Cela s’était mal terminé pour l’OLP, mais cela ne change rien à la réalité : le roi de Jordanie règne sur un fragment de terre arabe « palestinienne » tout en opprimant les populations arabes « palestiniennes ».


La réalité est qu’Israël a commis une grave erreur en signant les accords d’Oslo. Ces accords ont toujours été nuls et non avenus. Mais l’accord entre partisans du djihad lent, Autorité Palestinienne, et partisans du djihad rapide, Hamas, montre en soi qu’ils n’ont jamais eu même la valeur du papier sur lequel ils sont imprimés.  


La réalité est qu’il n’y aura pas de deuxième Etat palestinien, parce que ce n’est pas nécessaire, et parce que ce n’est pas ce que veulent les dirigeants « palestiniens », qui n’ont cessé de vouloir la destruction d’Israël et l’extermination du peuple juif.  


La réalité est que tôt ou tard, Israël devra faire ce qui s’impose : tracer des frontières compatibles avec la sécurité d’Israël, et celles-ci doivent inclure l’essentiel de la Judée-Samarie, qui n’a jamais été terre « palestinienne ».  


La réalité est que le monde arabe et une bonne part du monde musulman sont imprégnés d’une pathologie venimeuse et très émétique. Lorsqu’on a affaire à des malades rêvant d’assassinat et de meurtres de masse, à des disciples d’Hitler et d’Eichmann, on les traite comme il se doit : on les met hors d’état de nuire. Cela peut se faire en se séparant d’eux. Cela peut se faire en ripostant s’ils attaquent, et je suis partisan de ripostes très dissuasives, du style « pour une dent, toute la mâchoire ». Les seules ripostes efficaces sont les ripostes très dissuasives, celles qui otent à l’ennemi la volonté de recommencer.  


Israël doit se séparer des Arabes de Judée-Samarie et tracer unilatéralement ses frontières. Concéder un Troisième Reich miniature à Mahmoud Abbas me semble en soi une mauvaise idée, mais s’il ne dispose pas de davantage d’armes que la principauté de Monaco, ce sera peut être un mal nécessaire.  


Tant que les Arabes de Judée-Samarie se conduiront en animaux sauvages, il faudra les traiter conformément à leur comportement.  


La seule façon qu’ils redeviennent des êtres humains dignes d’être traités en êtres humains serait qu’ils soient désintoxiqués. Israël devrait suggérer au monde occidental de contribuer financièrement à la désintoxication, alors qu’aujourd’hui le monde occidental fait l’inverse.  


Israël devait sortir de la posture défensive qui est la sienne depuis trop longtemps, rappeler les faits, cesser de se placer sur le terrain de l’ennemi, et ne jamais se faire complice des manœuvres cauteleuses d’Obama, de Sarkozy ou de David Cameron.  


La seule naqba, la seule catastrophe, c’est ce que les Arabes palestiniens font de leur propre vie. C’est l’existence de dirigeants répugnants tels que Mahmoud Abbas et les dirigeants du Hamas. C’est la complicité de tant de dirigeants occidentaux. C’est la complicité de tant de journalistes occidentaux.  


Et qu’on ne se méprenne pas : je suis pour que les peuples arabes soient délivrés, y compris les Arabes qu’on dit Palestiniens. Je suis pour qu’ils soient délivrés du mensonge, du fanatisme, du racisme antisémite, du désir de meurtre. Je suis pour une délivrance rapide.  


Je suis aussi pour que le monde occidental contribue à cette délivrance et sorte de son attitude globale aujourd’hui, qui le rend complice d’une tentative de perpétuer une seconde shoah.  


Je suis pour qu’Israël, qui est déjà debout, comprenne plus largement qu’il faut changer d’attitude. Impérativement. Lorsqu’on a affaire à des gens qui parlent comme des assassins, qui agissent comme des assassins, qui pensent comme des assassins, il faut les traiter comme on traite les assassins.  


Lorsqu’on a la vérité historique de son côté, on doit affirmer la vérité. 


Lorsqu’on a affaire à des menteurs, il faut leur rappeler, poliment, mais fermement, ce qu’est la vérité.  


Dois-je l’ajouter ? Ceux qui ont tenté d’envahir Israël le jour de la « naqba » n’étaient pas des civils innocents, mais des gens impliqués dans un acte de guerre. L’armée israélienne a fait preuve de retenue et de sang froid. Ce qui explique quil n’y ait pas eu davantage de victimes.


Des gens imprégnés de haine génocidaire qui tentent d’envahir un pays sont en guerre. Même s’ils n’ont pas d’uniforme. Même s’ils servent volontairement de boucliers humains à ceux qui ont des armes. Servir volontairement de bouclier humain est contribué à l’action de celui dont on est le bouclier.


Reproduction autorisée avec les mentions suivantes et le lien vers cet article :

© Guy Millière pour Drzz.fr
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16 mai 2011 1 16 /05 /mai /2011 06:25

 

Photos du jour

Par Aschkel

 © 2011 www.aschkel.info

Photos Israël Ha Yom 

 

Les femmes arabes sont certainement plus en sécurité auprès de nos soldats que parmi les leurs. C'est ca le "génocide israélien" contre les pov' palestiniens ! 

      Qalandia

 

 

Ramallah - Guetty image

114192144, Getty Images /Getty Images News

114197016, Getty Images /Getty Images News

Qalandia

114196155, Getty Images /Getty Images News


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Les syriens s'infiltrent

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Des milliers de syriens

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Des milliers de libanais

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Des centaines de Gazaouis

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Les émeutiers palestiniens à Qalandiya utilisent une ambulance pour se couvrir dans les jets de pierres au cours de la violente émeute dans le cadre de la « Nakba ». Qalandiya a été le siège d’une grande quantité de violence au cours des trois derniers jours. Actuellement, 600 palestiniens participent encore à des émeutes violentes. Il y a eu un certain nombre de cas documentés aujourd’hui où les émeutiers se sont cachés derrière les ambulances comme couverture tout en continuant à lancer des pierres sur les forces de sécurité israéliennes.
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15 mai 2011 7 15 /05 /mai /2011 19:19

 

Arabes/Israel - Message et Avertissement clairs pour tous - Les arabes veulent la destruction d'Israël !

Haniyeh : priez pour la fin d'Israël

Par Shraga BLUM

Les slogans des manifestations arabes qui se sont répandues de Jérusalem à Ramallah, en passant par Jaffa, la Bande de Gaza, la frontière égyptienne ou libanaise ou encore les grandes villes arabes israéliennes ont au moins un avantage. Ils montrent clairement l’unité du message entre tous les Arabes, qu’ils soient du Hamas ou du Fatah, qu’ils soient des pays voisins ou qu’ils aient la carte d’identité israélienne: « Israël doit disparaître », et « la catastrophe date de 1948 et non de 1967″.

Ce message à l’intention des Arabes palestiniens mais aussi des Israéliens encore naïfs a été martelé par le chef terroriste du Hamas, Ismaïl Hanyeh, revigoré par le récent accord de réconciliation avec le Fatah.

Hanyeh s’est exprimé devant des milliers de fidèles dans une mosquée à Gaza et il a appelé « à la fin du projet sioniste en Palestine ». Le chef terroriste a précisé « que les Palestiniens ont le droit de se révolter contre l’occupation israélienne et de récupérer leurs terres et leurs biens qui leur ont été volés depuis 1948″. La date est claire pour ceux qui auront l’honnêteté de le reconnaître. Se référant à l’accord conclu avec le Fatah, Hanyeh a indiqué « que cet accord permettra de récupérer toutes les terres volées aux Arabes depuis 1948 grâce à une nouvelle direction unifiée et forte. » « Jamais nous ne reconnaîtrons Israël » a-t-il conclu sous les ovations.

Depuis la réconciliation avec le Fatah, les responsables du Hamas ne cessent de multiplier les déclarations enflammées et catégoriques, afin de bien faire comprendre que le Hamas n’est pas du tout en train de se « modérer » comme certains le pensaient ou l’espéraient dans la communauté internationale.

Les images de ces innombrables manifestations haineuses aux frontières du pays tout comme dans les villes arabes et même mixtes sont là pour rappeler que la situation n’a pas changé depuis près d’un siècle, et que la présence sur cette terre d’un Etat juif souverain n’est toujours pas acceptée. Il n’y a en cela ni « modérés » nin « extrémistes » du côté des Arabes. Seule change la tactique, et des journées comme celle de la « Nakba » devraient avoir l’effet salutaire dans la société israélienne de lui faire comprendre que l’enjeu n’est pas la soi-disant « occupation  » de la Judée-Samarie mais l’existence d’un Etat juif en tant que tel.

C’est aussi le message qu’a voulu transmettre le chauffeur-terroriste de Tel-Aviv.

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