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3 mai 2010 1 03 /05 /mai /2010 13:36

Mettre un terme au boycott de l’AP

[Lundi 03/05/2010 11:26]

 

Pour la énième fois les israéliens tentent d'aider les palestiniens.

L'appel au boycott de l'autorité palestinienne contre les israéliens n'apporte que des conséquences néfastes pour les agriculteurs arabes qui bénéficient des techniques avancées de l'Etat d'Israël et profitent de leur savoir- faire en matière d'exportation.
Ces gens travaillent pour nourrir leurs familles et leur niveau de vie a bien évolué grâce aux conditions stables et sécuritaires que leur offre l'Etat Hébreu.
Ils redouteraient par dessus tout de se retrouver comme cette centaine de milliers de  pères de famille gazaouis qui gagnaient honorablement leur vie et qui ont été privés,depuis la prise de pouvoir du 'Hamas, de leurs moyens de subsistance par peur d'être pendus ou lynchés et considérés comme traîtres à la "cause".


Aujourd'hui l'autorité palestinienne fait de même, mesure complètement impopulaire d'ailleurs, alors qu'elle jouit d'un taux de croissance exemplaire grâce à la sécurité qu' Israël lui offre.

La commission parlementaire des Finances a tenu un second débat sur le boycott économique décrété par l’Autorité palestinienne contre Israël. Elle a appelé le gouvernement à prendre des mesures immédiates pour y mettre un terme et a demandé au Premier ministre d’évoquer la question lors de ses premiers contacts avec l’AP.

Le président de la Commission, le député Likoud Ophir Akounis, a ouvert le débat en soulignant que les Palestiniens seraient les premiers à souffrir de ce boycott, estimant « qu’au lieu de s’inspirer d’une des économies les plus fortes du monde, ils préféraient la combattre ».

Le député Ouri Ariel (Ihoud Leoumi) a proposé pour sa part qu’Akounis s’adresse directement au cabinet du Premier ministre afin que des efforts soient déployés pour régler ce problème au niveau ministériel. Il a également suggéré qu’une loi soit votée, prévoyant de prélever 100 shekels, pour chaque shekel perdu, des paiements versés régulièrement par Israël à l’Autorité palestinienne.

Le vice-ministre des Affaires étrangères Dany Ayalon a estimé que ce boycott s’inscrivait dans la campagne de provocation et de déligitimation menée contre Israël par les Palestiniens.

Le président de l’Union des Industriels, Shraga Brosh, a proposé pour sa part d’interdire aux Palestiniens l’accès des ports israéliens pour l’importation de leurs produits.

 

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2 mai 2010 7 02 /05 /mai /2010 19:34

 

 

 

LA SOI DISANT  "COLONISATION" ISRAELIENNE : UNE ERREUR SEMANTIQUE DOUBLEE D’UN MENSONGE HISTORIQUE

 

Par Maître Bertrand Ramas-Muhlbach

 

 

pour : lessakele et aschkel.info

 


Depuis son accession à la Présidence des Etats-Unis, Barak Obama critique les constructions israéliennes au-delà de la ligne verte, que la presse française traduit par le terme « colonisations ». De même, le Président Français Nicolas Sarkozy partage les condamnations de cette politique d’implantations israéliennes à l’est de Jérusalem, en recourrant à la notion de « colonisation ». S’agissant des Palestiniens, lorsqu’ils sont interrogés sur les constructions israéliennes à l’Est de Jérusalem, ils les qualifient  d’obstacle à la paix, et accusent au besoin, le Président américain de faire machine arrière sur son exigence d’un gel « de la colonisation », qui brise tout espoir d’une reprise des pourparlers de paix avec Israël. Enfin, les propos israéliens traduits en français, confirment une fois encore que l’Etat juif reste les yeux rivés sur son objectif concernant la « colonisation », bien que cette politique soit unanimement condamnée sur la scène internationale.

Ces déclarations laissent entendre qu’Israël est un Etat occupant (ce qui est blâmable) et qu’il se livre à une politique de colonisation (ce qui ne l’est pas moins). En réalité, l’opprobre jetée sur Israël est rendue possible grâce, d’une part, à une erreur sémantique concernant le terme de « colonisation », et, d’autre part, à un extraordinaire mensonge historique concernant la supposée « occupation ». 

Le terme de « colonisation » résulte en fait d’une traduction incorrecte du mot  construction ou aménagement. En anglais, le mot « settlement » recouvre pas moins de 17 sens dont celui « d’installation » ou de « peuplement » mais également celui de « colonie ». De même, en hébreu,  le mot « lehityachev » signifie « s’installer » ou « peupler » puisque le verbe est tiré de la racine « Ychv » qui est encore la racine du verbe « asseoir ». Les mityachvim sont ainsi des personnes qui viennent « s’installer » ou « s’implanter » même si le mot hébreu recouvre également la notion de « colons». Or, pour fustiger Israël, la presse recourt toujours à la notion de « colon » ou de « colonie ».

L’emploi du vocable « colonie », permet effectivement de considérer d’emblée Israël comme étant un Etat illégitime. En effet, dans son acception européenne, le terme désigne l’établissement de forces militaires sur un autre Etat pour imposer sa loi aux ressortissants et subtiliser les richesses qui s’y trouvent. Or, cette politique est condamnable en Droit international en vertu du « Droit des peuples à l’autodétermination » qu’il faut à tout prix favoriser, au moyen de mesures ou autres pressions pour faire cesser l’injuste situation.

A cette ambiguïté sémantique, vient s’ajouter le recours systématique à la notion de « territoires palestiniens occupés » pour installer dans l’opinion publique que les israéliens colonisent des terres prétendument palestiniennes.

Cette notion de « territoires palestiniens occupés » est la conséquence d’un formidable mensonge historique qui résulte d’une extrapolation de la notion de « territoires occupés » repris dans la résolution 242 du Conseil de Sécurité de l’Onu. Cette résolution, adoptée le 22 novembre 1967, affirme en effet « le caractère inadmissible de l’acquisition de territoires par la guerre » et la nécessité d’oeuvrer pour « une paix juste et durable » en exigeant, selon, la formulation anglaise : « Withdrawal of Israeli armed forces from territories occupied in the recent conflict » c'est-à-dire : « le Retrait des forces armées israéliennes de (ou des) territoires occupés lors du récent conflit ».

Or, au mépris de cette résolution 242, Israël s’obstinerait à poursuivre ses constructions à l’est de Jérusalem. Il est donc suggéré un règlement du conflit israélo-palestinien sur le modèle du traité de paix signé entre Israël et l’Egypte, qui s’est accompagné d’un retrait du désert du Sinaï occupé par Israël entre 1967 et 1979. La méthode ayant fait ses preuves, il suffit de calquer un processus prévoyant une restitution aux palestiniens des soi-disant « territoires palestiniens occupés ».

Une fois encore, et grâce à ce terme de « territoires palestiniens occupés » Israël est décrédibilisé, culpabilisé et objet de pressions internationales puisqu’il apparaît comme étant le seul responsable de l’enlisement de la situation. En réalité, dans la résolution 242, les « territoires occupés » n’étaient pas « palestiniens » mais bien « jordaniens ». Or, grâce à une substitution tout à fait habile, ces territoires (jordaniens) sont progressivement devenus « palestiniens ».

Rappelons en effet que le Royaume de Transjordanie (constitué le 25 mai 1946) a annexé la Cisjordanie et Jérusalem Est le 24 janvier 1949 et entériné cette annexion en 1950, en prenant le nom de « Royaume Hachémite de Jordanie ». La communauté internationale n’a jamais contesté cette annexion ni exigé du Roi Abdallah (assassiné le 20 juillet 1951) ou de son petit fils Hussein, qu’il restitue « les territoires annexés». Ainsi, lorsque Israël a occupé la Cisjordanie et Jérusalem Est, à la suite de la guerre des 6 jours en 1967, il s’agissait de la partie orientale de la Jordanie et non de territoires dépendant d’une supposé souveraineté palestinienne. Par la suite, le Royaume de Jordanie a renoncé officiellement à sa souveraineté sur la Cisjordanie et Jérusalem Est (juillet 1988). Il a ainsi mis fin à la représentation électorale des Palestiniens au sein du parlement jordanien et redessiné les cartes du Royaume, désormais limité à la rive orientale du Jourdain : à compter de cette date, la Jordanie cessait d’être occupée.

Les  Palestiniens ont immédiatement compris les conséquences dramatiques de cet abandon jordanien de souveraineté. Aussi, les Frères Musulmans se sont-ils empressés de déclarer nulle et non avenue la décision de juillet 1988 (le drapeau vert du Hamas a d’ailleurs été hissé sur l’université de Jordanie). Arafat et l’Olp ont employé une autre technique : ils ont commencé à faire glisser la notion de « territoires (jordaniens) occupés » vers celle de « territoires palestiniens occupés ». Pour ce faire, ils ont reconnu en novembre 1988, les résolutions 181 (concernant le partage de la Palestine de 1947) et 242 du Conseil de sécurité, et demandé le retrait des forces israéliennes des « territoires occupés » comme s’il s’agissait des leurs. Or, en Droit International, il était déjà trop tard puisque les territoires « jordaniens » occupés par Israël, ne l’étaient plus depuis juillet 1988.

Aujourd’hui, ce mensonge historique est cultivé par les pays musulmans qui ne font pas figurer le nom « Israël » sur les cartes de géographie mais celui de « Palestine ». Fatalement, ils considèrent le régime sioniste comme étant une « occupation », vérité que défend Ahmadinejad et qu’il entend faire triompher en éradiquant l’Etat juif au moyen, le cas échéant, de sa future arme atomique. La communauté internationale, responsable pour avoir cautionné la création d’Israël, cultive également ce mensonge historique en qualifiant les « territoires occupés » visés dans la résolution 242 de « territoires palestiniens », pour atténuer les tensions entre le monde occidental et le monde musulman.

Alors soit l’histoire de l’humanité doit reposer sur un mensonge historique (avec une disparition programmée d’Israël), soit la Palestine qui n’existe pas encore (et qui ne peut donc être occupée) pourra toujours s’établir sur les terres de Cisjordanie non annexées par Israël : à quelques mètres carrés près, il s’agit des frontières de 1967.

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2 mai 2010 7 02 /05 /mai /2010 11:20

 

 

 

Les maîtres-chanteurs du Hamas défient toutes les instances internationales et toutes lois de la guerre, conventions humanitaires, en faisant, dans cette vidéo de chantage , de cynisme et de propagande, défiler un Bus vide de la Croix-Rouge, des annonces vaines de négociations, et pour finir, débarquer le cercueil de Guilad,
 
sous les yeux de Noam, dans un monde vide et qui n'agit pas.
 
Le Hamas, fort du Rapport Goldstone, commet un crime contre la conscience humaine en employant de vils procédés de tortionnaires des opinions publiques.
 
Internationalement, le Hamas n'a que l'arme de l'otage Guilad pour faire valoir son combat! Il exprime l'intention, quelles que soient les conditions proposées, de s'accrocher indéfiniment à cette seule ressource pour assurer sa propre survie politique. Haniyeh, Al Zahar, Meshaal et Marzouk, leurs commanditaires al Assad et Ahmadindejad, leur coordinateur Nasrallah, criminels de guerre sans vergogne, tortionnaires d'opinion, emprisonnent leurs peuples dans leurs chantages et massacrent sans jugement tout opposant. De fait, ces tyrans prouvent à quel point ils sont eux-mêmes devenus les otages de Guilad Shalit. Cet homme, Guilad, par son courage et l'endurance de ses proches, détient seul les clés de l'avenir de Gaza et défie ses geôliers. Les promulgateurs de cette pièce à conviction, à faire valoir à La Haye, ne sont que les marionnettes du piège qu'ils se sont tendus, dès lors qu'ils l'ont privé de la lumière du jour.
 
Il faut clairement rappeler à tous les dirigeants du Hamas et aux auteurs de cette vidéo que s'ils leur prenaient de quitter leurs bunkers, déguisés en Eva Braun voilées, le sort qu'ils réservent aux autres leur est immédiatement applicable et sans restriction.
 
Libération immédiate et sans condition de Guilad Shalit et Tribunal Pénal International pour la clique islamiste d'Ismaël Haniyeh, Meshaal, et Bachar al Assad qui en héberge l'Etat-Major. Avec le consentement des chancelleries du Quai d'Orsay et du Département d'Etat! La liberté de Guilad est une précondition non-négociable, avant toute démarche diplomatique. Toute autre méthode "d'approche" des crocodiles orientaux ne contribue qu'à prolonger son calvaire et celui de ses proches.


Aschkel et Gad

 

 

 

 

 

 

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27 avril 2010 2 27 /04 /avril /2010 11:36

 

 

 

Abbas sur la bonne voie
Par KHALED ABOU TOAMEH 
27.04.10


 

http://fr.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1271934543584&pagename=JFrench/JPArticle/ShowFull

 

Selon un représentant de l'Autorité palestinienne (AP), Mahmoud Abbas serait prêt à entamer des pourparlers indirects. Une condition demeure toutefois : la garantie américaine d'un gel des constructions dans certains quartiers de Jérusalem.

Le chef de l'AP, Mahmoud Abbas. 
PHOTO: AP , JPOST

Lundi soir, le chef de l'AP annonçait au cours d'une interview accordée à la chaîne 2, qu'il était prêt à entamer les négociations indirectes avec Israël.Cette décision fait suite à la garantie de l'émissaire américain, George Mitchell, d'un gel des constructions dans certains quartiers de Jérusalem.

"Netanyahou a promis aux Américains que le projet de logement à Ramat Shlomo ne serait pas mis à exécution. Du moins pas dans un futur proche", a déclaré un représentant de l'AP au Jerusalem Post.

"Netanyahou a également promis de renoncer à toutes provocations dans la ville, telles que la publication de nouvelles autorisations de constructions ou la démolition de maisons arabes sous prétexte qu'elles ont été construites sans permis."

Et d'ajouter que la nouvelle position d'Abbas résulte d'une forte pression de la part de l'administration américaine. L'interview elle-même a été réalisée à la demande des Américains, qui ont conseillé à Abbas d'envoyer un message "conciliant" à Netanyahou et au public israélien, afin de paver la voie d'une reprise des pourparlers indirects.

Souplesse et compromis

Au cours de l'interview, Abbas a déclaré qu'il chercherait, le 1er mai, d'obtenir le soutien de la Ligue arabe.

Il a aussi fait preuve de souplesse quant à la demande de Netanyahou de démilitarisation du potentiel futur Etat palestinien. Il a expliqué qu'il s'était accordé avec l'ancien Premier ministre Ehoud Olmert pour qu'une force de l'OTAN, commandée par les Etats-Unis, ou une force semblable, soit déployée et apaise les préoccupations de sécurité israélienne.

Abbas a confirmé qu'il était prêt, sur le principe, à des échanges de terres qui permettront à Israël d'englober certaines implantations majeures de Judée-Samarie. Cependant, ces échanges de territoire devront être considérés au "cas par cas".

En ce qui concerne la question du "droit au retour" des réfugiés palestiniens, il semble qu'Abbas accepte que les réfugiés n'affluent pas en masse vers Israël. Le dirigeant semblait en désaccord avec la décision du Premier ministre Salam Fayyad de proclamer de façon unilatérale un Etat palestinien avant le mois d'août.

En réponse, Netanyahou s'est déclaré ravi, et espère qu'Abbas est vraiment prêt à lancer les négociations.

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25 avril 2010 7 25 /04 /avril /2010 17:06

La réponse du Hamas au geste israélien.

[Dimanche 25/04/2010 14:29] - source actu.co.il

 

Personne au monde ne croirait qu’Israël a effectué vendredi un geste envers le Hamas pour des raisons humanitaires, en permettant le transfert vers un hôpital de campagne jordanien de la fille de l’un des dirigeants de l’organisation terroriste. Agée d’à peine trois ans, la petite est dans un état grave et devait être opérée du cœur de toute urgence. Pour le transfert, elle avait d’abord été transportée à l’hôpital « Barzilaï » d’Ashkelon avant d’être embarquée dans un hélicoptère jordanien. L’un des responsables militaires de cette opération avait déclaré « qu’il ne s’agissait pas de la première fois que des malades graves étaient ainsi transférés depuis Gaza vers Israël ou d’autres destinations depuis les points de passage entre Israël et la Bande de Gaza, et que c’était là l’une des différences d’attitude entre Israël et les terroristes ».


La « reconnaissance » du Hamas envers ce geste israélien n’a pas trop tardé : dimanche matin, l’organisation terroriste a publié un clip d’animation dans lequel on voit Guilad Shalit restitué à sa famille…dans un cercueil ! Dans un communiqué qui précédait le clip, les Brigades Ezzedin El-Kassam indiquaient « qu’ils avaient un message spécial à destination de la population sioniste ». Les terroristes indiquaient « que si Israël continuait à refuser de se plier aux exigences du Hamas, Guilad Shalit mourrait en captivité ». Le communiqué précisait « que le prix à payer par Israël pour la libération de Shalit risquait encore d’être plus lourd à l’avenir », et « que le sort du soldat pourrait ressembler à celui de Ron Arad ».


La mise en scène du film d’animation était des plus cyniques, montrant par exemple Noam Shalit, le père du jeune soldat, déambulant dans des rues désertes, tenant la photo de son fils dans les mains, et avec en toile de fond des extraits des déclarations de Guilad dans les rares enregistrements publiés par le Hamas. A la fin du film, on assiste à l’échange de prisonniers, Noam Shalit attend au point de passage d’Erez, et voit arriver un cercueil couvert du drapeau d’Israël…


Ni le transfert de la petite fille palestinienne en Jordanie, ni cette réponse insupportable du Hamas n’ont suscité de réaction quelconque dans les chancelleries européennes ou parmi toutes les ONG soucieuses « des Droits de l’Homme ».

par Shraga Blum

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25 avril 2010 7 25 /04 /avril /2010 16:45

"Le Hamas mène une guerre psychologique".

source : jpost


Noam Shalit a accusé le Hamas de mener une "guerre psychologique", dimanche. La branche armée du mouvement terroriste a réalisé une vidéo en trois dimensions qui montre son fils, Guilad, dans un cercueil.

Manifestation pour la libération de Guilad Shalit.
Photo: AP , JPost

"Il est regrettable que les dirigeants du Hamas choisissent de mener une guerre psychologique - pour la énième fois - contre la famille Shalit et l'Etat d'Israël", s'est plaint le père du jeune soldat.

"Le Hamas aurait mieux fait d'accepter la dernière offre d'échange de prisonniers, proposée par Israël. Nous n'avons pas de réponse depuis quatre mois !" Et de poursuivre : "Le Hamas devrait se préoccuper davantage de l'intérêt de ses prisonniers palestiniens et des citoyens de Gaza, qui sont devenus les otages de leurs chefs, au lieu de réaliser des films."

1 400 jours exactement après l'enlèvement du sergent Guilad Shalit par la branche armée du Hamas, Izzadin al-Kassam, le groupe publiait une bande vidéo de très mauvais goût. L'animation en trois dimensions montrait, dimanche matin, le retour en Israël du jeune soldat, dans un cercueil.

Le père de Guilad, Noam Shalit, devant la tente de protestation à Jérusalem.
Photo: AP , JPost

La vidéo de trois minutes représente Noam Shalit, le père du militaire, errant dans les rues avec une photo de son fils à la main. La voix de Guilad retentit, comme entendue dans les bandes déjà publiées par le Hamas. Alors que Noam Shalit marche, les photos de l'ancien Premier ministre Ehoud Olmert et de Binyamin Netanyhaou défilent, évoquant le temps qui s'écoule.

Alors que Noam Shalit apparaît comme un vieillard qui se déplace avec une canne, une phrase s'inscrit sur l'écran : "Finalement les efforts du gouvernement ont réussi. Après l'échange de prisonniers, Noam Shalit revoit enfin son fils Guilad."

Un cercueil recouvert d'un drapeau israélien est transporté dans une voiture militaire, au point de passage d'Erez. Le vieux Noam hurle "Non !" et se réveille dans la tente de protestation de Jérusalem : c'était un rêve.

La vidéo se termine avec le texte "il y a encore de l'espoir", suivi du symbole de Izzadin al-Kassam.

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21 avril 2010 3 21 /04 /avril /2010 15:22

Exclusif Aschkel et Lessakele.

 

OBAMA AUTORISE LE FINANCEMENT DE L'OLP !


Comme le montrent ces documents exclusifs en date du 7 avril 2010 et publiés dans les registres fédéraux le 15 avril 2010, le chef de la Maison Blanche considère que la levée des restrictions au financement de l'Organisation de Libération de la Palestine, ainsi que que l'Autorité Palestinienne, relève de l'intérêt de la sécurité nationale américaine !

De quoi rassurer les caciques de Ramallah à l'heure où Shabaneh révélait le gouffre des malversations financières, escroqueries, détournements de fonds orchestrés par l'OLP...  

Document 1 :

doc1.JPG

Document 2 :

doc2.JPG

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18 avril 2010 7 18 /04 /avril /2010 05:01

 

 

Lire les autres billets

billet benillouche

 

 

 

BILLET D’HUMEUR : ASSASSINAT A GAZA

Par Jacques BENILLOUCHE

 

 

Le 'hamas executant d'autres palestiniens

 

 

 

 

Le terme d’assassinat a été précisément employé par le porte-parole du Quai d’Orsay qui se rappelle aux bons souvenirs du Proche-Orient : « Nous sommes indignés par ce qui est présenté comme une exécution et que nous appelons un assassinat. La France appelle au plein respect des libertés publiques à Gaza ». Simple déclaration sous forme de vœu pieu, cette réaction fait suite à l’exécution de deux palestiniens accusés de collaboration avec Israël.

            Il ne s’agit pas de prendre position sur le fond du problème qui est interne aux palestiniens mais de s’interroger sur le déni de justice que représente un tel acte. La prise de pouvoir du Hamas en 2007 n’efface pas le fait que Mahmoud Abbas reste le président de l’Autorité palestinienne et qu’à ce titre, il détient selon la loi le droit de grâce. Or, il n’a pas été consulté sur cette peine capitale qui a été appliquée dans l’illégalité totale. Peu de chancelleries ont réagi de crainte d’indisposer les dirigeants de Gaza. Le Quai d’Orsay ne pouvait pas faire moins que de s’indigner devant un acte barbare. Nous ne savons rien des droits de la défense puisque le procès n’a pas été public et nous ignorons si toutes les voies de recours ont été utilisées par les condamnés. La preuve est ainsi donnée que Gaza vit dans l’arbitraire et hors du cadre d’un Etat de droit.

            Les associations de défense des droits de l’Homme ont bien protesté mais, du bout des lèvres, et il ne semble pas que des manifestations aient été organisées en Europe pour défendre le droit des accusés à bénéficier d’un procès équitable et pour s’élever contre l’application barbare de la peine de mort. Les dictatures et les dirigeants aux abois montrent toujours leur faiblesse en traitant les opposants avec rigueur pour étouffer toute velléité de contestation ou de rébellion. Il faut dire que le Hamas tire ses enseignements de la part de ses maîtres. L’Iran pend les étudiants qui s’opposent et la Corée du nord abat d’une balle dans la nuque les fonctionnaires qui déméritent. La peine de mort devient leur seul argument pour museler une population qui souffre en silence et qui regrette certainement le bulletin de vote qui a mis les barbus au pouvoir.

            Dans cette affaire, le Hamas rend service à Israël car, en créant deux martyrs, il va se trouver à l’origine d’un cycle de vengeance et de violence qui tendra à polluer et envenimer les rapports internes entre militants. Et pendant ce temps, la France continue à soutenir économiquement la bande de Gaza pour aider des civils sous la coupe de dirigeants sanguinaires. Les règlements de comptes entre factions risquent de faire plus de morts palestiniens que ceux qui tombent sous les balles israéliennes. Dans son mauvais calcul, le Hamas démontre qu’il ne maitrise ses troupes que par le meurtre et la terreur. 

 

 

 

 

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16 avril 2010 5 16 /04 /avril /2010 09:20

 

Sur aschkel.info et lessakele

 

LA SALE GUERRE ENTRE PALESTINIENS

 

Par Khaled Abou Toameh, journaliste palestinien

The Hudson Institute – 13/04/10

Traduit par Albert Soued, soued.chez.com pour .nuitdorient.

 

Si Israël ne servait pas de tampon entre Gaza et la Cisjordanie, le Hamas et le Fatah se seraient entretués par bombes-suicide et missiles. Et probablement chaque partie serait en train de précipiter des 15ème & 16ème étages de grands immeubles les partisans de l'autre partie, si Israël n'avait pas aidé les membres du Fatah et leurs familles à s'enfuir de Gaza, lors de l'été 2007.

Ce n'est pas un conflit qui apportera la démocratie et une bonne administration aux Palestiniens, car il s'agit d'une lutte de pouvoir, à qui s'emparera des prérogatives et de l'argent reçu de l'étranger. De plus, ce n'est pas une lutte entre "les bons et les mauvais gars", mais une lutte "entre mauvais gars".

Les dirigeants du Fatah haïssent ceux du Hamas à un point tel qu'ils sont même prêts à s'allier avec l'"ennemi" Israël, pour atteindre leur but, renverser le régime du Hamas.

Lors de la dernière intervention israélienne "Plomb durci" dans la bande de Gaza, l'an dernier, les officiels du Fatah ont communiqué à Israël des informations utiles qui lui a permis d'éliminer nombre d'opérationnels du Hamas.

Les Palestiniens ne doivent pas s'attendre à ce qu'un dirigeant Israélien leur offre un pays sur un plateau d'argent. Un peuple gagne sa patrie en restant uni et en installant une administration efficace et viable, des institutions sérieuses et une infrastructure solide. Et bien entendu dans une démocratie ayant une bonne économie.

 

La seule guerre qui permettrait de progresser vers la paix est celle qui mènerait les Palestiniens d'abord à s'unir. A quoi sert-il à Israël de signer un accord avec Mahmoud Abbas ou Salam Fayyad, alors que tout le monde sait que les 2 hommes n'ont aucun contrôle sur Gaza ? Et qui dit qu'Abbas ou Fayyad -- perçus par nombre de Palestiniens comme des fantoches entre les mains des Américains et des Israéliens – pourra vendre un accord de paix avec Israël aux Arabes et aux Musulmans ?

Alors que le Fatah cherche l'appui des Américains, des Européens et d'Israël pour se débarrasser du Hamas, le mouvement islamique compte sur l'Iran, la Syrie et sur le Qatar pour miner et discréditer ses rivaux de Cisjordanie.

 

La lutte pour le pouvoir a commencé aussitôt après que la Hamas soit arrivé au gouvernement en janvier 2006. Appuyé par les Etats-Unis et par certains pays européens, le Fatah --- qui n'a jamais avalé sa défaite humiliante aux élections –

avait fixé comme objectif de renverser le régime du Hamas. Au lieu de tirer les bonnes conclusions de sa défaite et de mettre en ordre ses "affaires", le Fatah a choisi de faire le maximum pour revenir au pouvoir par tous les moyens. Mais tous ses efforts pour torpiller le Hamas ont échoué, provoquant même une mini-guerre civile qui entraîna la chute de l'Autorité Palestinienne à Gaza.

Quand la guerre prit fin sans le renversement du Hamas, un grand nombre de dirigeants du Fatah ont exprimé leur déception qu'"Israël n'ait pas fini le boulot".

 

La plus grande erreur que les Occidentaux aient faite, c'est de permettre au Hamas de participer aux élections sans conditions. Ils auraient dû lui imposer 3 conditions pour sa participation: renoncer à la violence, reconnaître Israël et honorer les accords passés, signés avec cet état. La communauté internationale s'est enfin réveillée et a imposé ces conditions, mais c'était trop tard, le régime islamique avait déjà gagné dans des élections "libres et démocratiques", supervisées même par Jimmy Carter, ex- président américain.

Aujourd'hui les 2 rivaux, en guerre depuis les élections de 2006, sont déterminés à poursuivre leur combat jusqu'au dernier Palestinien.

 

La sale guerre a déjà tué 2000 Palestiniens, la plupart d'innocents civils, alors que des milliers d'autres sont blessés ou handicapés. Dans la bande de Gaza, depuis 3 ans, le Hamas a tué ou emprisonné tous les partisans loyaux du Fatah. Les organisations des droits de l'homme sont inquiètes du fait que le Hamas a annoncé qu'il exécuterait tous les collaborateurs, et la plupart sont des hommes du Fatah (1).

En Cisjordanie, des centaines de membres du Hamas et de ses partisans sont en prison, sans procès. Des dizaines d'œuvres sociales ou de charité du Hamas ont fermé leurs portes. Des milliers de fonctionnaires suspects de sympathie pour le Hamas ont été licenciés. Dans cette guerre, les deux parties utilisent des armes diverses, la guerre ne se limitant pas au terrain, mais s'étendant aux médias. Les 2 parties ont créé nombre de sites web dédiés à leur cause et à l'attaque de l'autre.

 

Il est difficile de voir comment "le processus de la paix" pourrait progresser alors que les Palestiniens sont occupés à se battre entre eux. Le fossé qui les sépare est si large qu'ils ne parviennent même pas à s'entendre sur les jours de repos hebdomadaire. La semaine dernière des centaines de milliers de Gazaouis sont restés sans lumière pendant plusieurs jours, l'Autorité Palestinienne refusant de payer la note de fuel à la compagnie qui fournit l'électricité.

 

Cette querelle est une affaire intérieure aux Palestiniens et devrait être résolue par eux et non par d'autres, qu'ils soient Saoudiens ou Américains. Les ingérences extérieures dans les affaires Palestiniennes ne peut qu'exacerber la crise.

 

Note du traducteur

(1) le figaro du 15 avril 2010 : Le Hamas exécute deux hommes accusés de collaboration avec Israël

 


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14 avril 2010 3 14 /04 /avril /2010 10:55

Le droit au retour des Palestiniens

n’est pas un droit de l’homme

Source : Hamodia, No 115 17 mars 2010, Editorial

 
Lors des débats relatifs au conflit israélo-palestinien, nous entendons souvent que les négociations échouent, entre autres raisons, faute pour les protagonistes de trouver un accord sur le dossier du « droit au retour » des Palestiniens.
Pourtant, il existe d’autres situations, semblables à celles des Palestiniens, où des personnes, à la suite d’un conflit, ont dû quitter leur pays. Nous voudrions donc analyser ce qui constitue peut-être l’avancée juridique la plus spectaculaire en la matière : par un arrêt du 5 mars 2010,- il y a à peine quelques jours - la Cour européenne de sauvegarde des droits de l’homme a expressément rejeté les prétentions de chypriotes grecs à l’encontre de la Turquie qui portaient précisément sur la reconnaissance « du droit au retour » de ces personnes au sein de leur territoire d’origine. Nous commencerons dans un premier temps par montrer l’absence de base tangible du « droit au retour » invoqué par les Palestiniens pour, dans un second temps, exposer les similitudes entre la situation des Palestiniens et celles des Chypriotes à l’origine de la présente décision de façon à en déduire la portée au regard du confit israélo-palestinien.
Fondement du « droit au retour » des Palestiniens.


Le droit au retour des Palestiniens repose à l’origine sur la résolution 194 des Nations unies adoptée le 11 décembre 1948 en vertu de laquelle « les réfugiés souhaitant revenir dans leur maison et vivre en paix avec leurs voisins devraient pouvoir le faire le plus rapidement possible ». Les instances onusiennes ont rappelé près de 130 fois qu’il fallait que les parties s’accordent sur le traitement de ces situations. Certes, les résolutions intervenues en 1996 et 1997 témoignent d’un changement de ton : les droits des Palestiniens sont davantage affirmés.
Pour autant, c’est tout l’enjeu de la distinction entre les résolutions adoptées par l’Assemblée générale des Nations Unies et celles prises par le Conseil de sécurité. Seules les secondes disposent d’une véritable force contraignante.
Dès lors, l’attention toute particulière que l’Assemblée des Nations Unies accorde à la situation des Palestiniens ne consacre nullement un véritable droit des Palestiniens à reprendre possession de ce qu’ils ont perdu.

 

Similitudes entre la situation chypriote et la situation israélienne
L’île de Chypre est divisée en deux depuis l’intervention turque de 1974 soutenue par la Grèce. Voici la description que donne la Cour européenne des droits de l’homme donne de la situation à Chypre : « Les forces armées turques, comptant plus de 30 000 hommes, sont stationnées à travers la zone occupée du nord de Chypre, qui fait constamment l'objet de patrouilles et renferme des postes de contrôle sur tous les grands axes de communication ». On retrouve donc ici la logique tant décriée des check-points même si, par les grands mystères de la communication moderne, le sort du chypriote grec importe moins que celui du Palestinien. De façon aussi mystérieuse, l’occupation de l’île de Chypre par la Turquie ne porte nullement atteinte à la demande d’adhésion de celle-ci à l’Union européenne.
Depuis l’intervention turque et la partition de l’île, cette zone connaît également un sérieux problème de réfugiés. Schématiquement, certaines personnes d’origine turque vivent du côté grec et vice versa. Dans leur grande majorité, les chypriotes grecs ont refusé en 2004 le plan de règlement du litige proposé par la communauté internationale, plan qui cherchait précisément à concilier le changement de situation résultant de l’occupation turque et le droit de propriété des personnes dépossédées à la suite de l’intervention.

 

D’où la situation de fait qui a fait l’objet de la décision commentée : « Tous les requérants, Chypriotes grecs, se prétendent propriétaires en tout ou partie de biens immobiliers et/ou de biens meubles dans la partie nord de Chypre. Ils alléguaient que depuis août 1974, ils étaient privés de leurs droits de propriété, tous leurs biens étant situés dans la zone sous occupation et contrôle des forces militaires turques. Ces dernières les empêcheraient d'accéder à leurs domiciles respectifs et à leurs autres biens immobiliers et mobiliers se trouvant dans la partie nord de Chypre et d'en avoir l'usage et la jouissance.
Bref, ces Chypriotes invoquaient leur droit de propriété pour pouvoir obtenir le droit de revenir sur leur terre en dépit de l’occupation de leur territoire - en somme, le fameux droit au retour. En cela, même si les conditions historiques ne sont bien évidemment pas les mêmes que celles qui ont présidé à la création de l’État d’Israël, le problème reste le même, surtout si on s’en tient à la situation résultant de la guerre des six jours : comment résoudre la question des réfugiés ?

 

Dans ce cadre, les considérations avancées pour rejeter les prétentions des requérants devant la Cour européenne correspondent en tous points aux arguments avancés pour estimer infondées les prétentions palestiniennes :
« En ce qui concerne les présentes affaires, quelque trente-cinq ans se sont écoulés depuis que les requérants ont perdu, en 1974, la possession de leurs biens dans le nord de Chypre. Des générations sont passées. La population locale n'est pas demeurée immobile. Des Chypriotes turcs qui habitaient le nord ont déménagé ailleurs ; des réfugiés chypriotes turcs du sud se sont établis dans le nord ; des colons turcs de Turquie sont arrivés en grand nombre et ont établi leur domicile dans le nord. Maintes propriétés chypriotes grecques ont changé de main au moins une fois, que ce soit par mutation, donation ou héritage. »
« La Cour se trouve donc confrontée à des affaires lourdes d'une complexité politique, historique et factuelle tenant à un problème qui aurait dû être résolu par toutes les parties ayant la pleine responsabilité de trouver une solution au niveau politique. Cette réalité de même que le passage du temps et l'évolution continue du différend politique plus large doivent guider la Cour dans son interprétation et son application de la Convention qui ne sauraient être ni statiques ni aveugles aux circonstances factuelles concrètes si l'on veut qu'elles soient cohérentes et aient du sens (points 84 et 85). »
Autrement dit, il n’est pas possible, même sur le fondement du droit de propriété, de faire valoir un droit intangible devant une situation complexe.

 

Mais ce n’est pas tout.
« Au stade actuel, de nombreuses décennies après que les propriétaires d'alors ont perdu la possession de leurs biens, ceux-ci ont, dans de nombreux cas, changé de main, par donation, succession ou autre ; les personnes qui revendiquent le titre de propriété peuvent n'avoir jamais vu les biens en question et encore moins en avoir eu l'usage. Se pose alors la question de savoir dans quelle mesure la notion de titre légal et l'espérance de jouir pleinement des avantages qui s'attachent à ce titre sont réalistes en pratique. Les pertes dont il est fait état deviennent de plus en plus spéculatives et hypothétiques (point 111). »
On mesure ici la supercherie de l’héritage du droit au retour intergénérationnel que revendiquent les Palestiniens.
La conclusion est juridiquement sans appel : « il serait pourtant irréaliste de penser qu'à la suite des présentes affaires, la Cour devrait ou pourrait ordonner directement au gouvernement turc de faire en sorte que les requérants puissent accéder à leurs biens et en avoir la pleine possession, indépendamment du point de savoir qui y vit désormais ou si les biens en question se trouvent prétendument dans une zone militairement sensible ou sont affectés à des usages publics essentiels. »

Il convient donc de présenter rapidement la portée d’une telle solution sur le conflit israélo-palestinien.

 

Portée de la solution
Notre présentation rapide ne permet pas de rendre compte de toute la subtilité du raisonnement de la Cour - d’autres points mériteraient d’être exposés.
Cette solution n’en présente pas moins une portée importante pour les raisons suivantes :
1° il est fréquent en matière de droits de l’homme de prendre pour référence la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’homme. D’ailleurs, la Cour suprême israélienne sous l’impulsion du juge Barak a érigé cette pratique en véritable dogme au point d’aboutir parfois à des solutions totalement inadaptées à la réalité israélienne. La solution retenue peut donc également faire jurisprudence en droit israélien pour écarter des demandes d’indemnisation émanant de Palestiniens.
2° cette jurisprudence rappelle une évidence que le rapport Goldstone a délibérément cherché à gommer : les droits de l’homme ne peuvent se réaliser que dans un cadre étatique. Il ne peut y avoir de solutions fermes sans le respect des principes étatiques.
Par voie de conséquence, avec cette jurisprudence, il faut se rendre à l’évidence : le principe du droit au retour rappelé dans le préambule de la loi fondamentale de l’Autorité palestinienne est tout autant caduc que la charte de l’O.L.P.

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