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15 décembre 2010 3 15 /12 /décembre /2010 19:00

 

 

 

europe israel 2-300x187

Par Jean-Marc Moscowicz - europe-israel

 

Hervé Chabalier

 

Notre petit sondage sur la question « Pensez vous que les médias européens disent la vérité sur Israël et les Palestiniens ? » a donné les résultats suivants sur 1498 personnes :

  • 93 % des personnes ont répondu NON (1398)
  • 6 % des personnes ont répondu OUI (83 personnes)
  • 1 % des personnes ne se prononcent pas (17 personnes) 

Une illustration de cette désinformation :

Hier a été diffusé sur France 5 dans le cadre de l’émission « Le Monde en Marche » de Hervé Chabalier, pseudo Grand Reporter, un reportage appelé « Palestine : l’impossible Etat ».

Ce fût encore une belle illustration des mensonges journalistiques sur Israël et la Palestine !

Le dossier n’a été présenté « qu’à charge » contre Israël, seul responsable de l’échec des négociations par son gouvernement de coalition de droite et d’extrême droite (ainsi qualifié par Chabalier) intransigeant face aux « gentils négociateurs Palestiniens ». 
Ce pseudo Grand Reporter a fait la place belle à la « cause palestinienne » ! Son parti-pris était flagrant…

Longs interviews d’un négociateur Palestinien qui n’a cessé d’affirmer qu’il voulait la paix et un Etat, que les israéliens au contraire ne voulaient que coloniser chaque jour un peu plus « la Terre Palestinienne »…

Chabalier a même trouvé un israélien francophone, récemment installé en Israël, pour abonder dans son sens et fustiger la politique du gouvernement Israélien. Et comble du bonheur pour ce Grand Reporter, qui souhaite détrôner Charles Enderlin dans la désinformation, il a même interviewé  le réalisateur de « Lebanon », Samuel Maoz, qui est le film israélien le plus anti-israélien produit ces dernières années… sur une jolie page israélienne où l’on aperçoit des israéliens heureux en contraste avec les palestiniens opprimés. Habile contraste des images orienté dans le seul but d’arracher quelques larmes aux spectateurs…

Quid de l’objectivité d’un tel documentaire ?

Chabalier n’a interviewé aucun négociateur israélien. Il n’a interviewé aucun membre du gouvernement.

La seule personne sioniste qui a eu droit aux faveurs de ce prétendu journaliste est l’un des membres d’une association qui achète des maisons aux palestiniens dans les quartiers arabes de Jérusalem pour y implanter des familles juives. 
Là encore Chabalier a choisi délibérément cette personne pour stigmatiser la colonisation israélienne « qui vole » les maisons des « pauvres palestiniens ».

D’ailleurs en parallèle Chabalier nous montrait une pauvre famille arabe expulsée par décisions de justice de leur maison et remplacée par une famille juive, sans que celui-ci nous indique les raisons de cette expulsion. On peut largement imaginer l’impacte de telles images dans le coeur des français sensibles aux injustices… 
Mais l’objectivité aurait voulu que ce soit précisé les raisons de cette expulsion, surement en raison de l’illégalité de l’occupation par cette famille arabe ou de loyers impayés (comme la justice française prononce de la même façon des expulsions).

Quid donc de l’objectivité d’un tel reportage ?

Pas un mot sur l’intransigeance Palestinienne à ne pas vouloir reconnaitre Israël en tant qu’Etat Juif alors que c’est l’objet même du vote de l’ONU en 1947.

Pas un mot sur les folles demandes Palestiniennes sur le prétendu « Droit au retour » de plus de 7 millions de réfugiés ? Rappelons qu’entre 1948, date de la première guerre d’indépendance de l’Etat d’Israël, et 1967, date de la Guerre des Six Jours, il n’y eu que 800 000 réfugiés arabes. Ceux-ci seraient aujourd’hui plus de 7 millions…

A-t-on déjà vu un « Droit au retour » ailleurs sur la planète à l’occasion d’un conflit ? Jamais !
A-t-on déjà vu un « droit de réfugié transmissible » de génération en génération ailleurs ? Jamais !

Dans tous les conflits mondiaux, les réfugiés ont été absorbés par les pays voisins et intégrés dans leurs populations.

C’est ainsi que plus de 1,5 million de Juifs ont été obligés de fuir les pays Arabes dans la même période. Ces 1,5 millions de Juifs dont personne ne parle jamais se sont intégrés en Israël, en France, en Europe et aux USA sans que personne ne s’en émeuve jamais, sans que l’ONU ne crée un département spécial comme il l’a fait pour les 800 000 palestiniens (l’UNWRA).

Monsieur Chabalier vient nous démontrer une fois de plus les orientations pro-palestiniennes de France Télévision qui laisse une fois de plus le mensonge et la désinformation servir la seule cause « politiquement correcte ».

Nous pouvons ainsi décerner à Monsieur Chabalier, avec ce documentaire pour le moins partial, le AWARD 2010 de la désinformation pro-palestinienne !

Jean-Marc MOSKOWICZ   

France 5 programme un deuxième numéro du Monde en Marche , ce soir à 20h35. Hervé Chabalier et son équipe de journalistes décrypteront le conflit au Proche-Orient. 

 

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14 décembre 2010 2 14 /12 /décembre /2010 19:09

 

 

 

Nous prenons acte des excuses de ce Monsieur Durivage, qui avait assimiler Israël aux pires régimes qui soient.

Je remercie aussi yous ceux et celles notamment Dora, Miche et Hélen qui ont écrit pour cette abjecte mise en parallèle.

 

Voir leurs lettres envoyées (dans les commentaires) en cliquant sous le lien en dessous 

 

>Radio-Canada assimile Israël à l'Iran et au Soudan (8 novembre 2010)

 

               

Un animateur de Radio-Canada s’excuse d’avoir assimilé Israël à l’Iran et au Soudan

            
                                                       13 décembre 2010

Chers amis,

HonestReporting Canada (HRC) et le Comité Québec-Israël (CQI) ont le plaisir de vous informer que Simon Durivage, animateur à Radio-Canada, a récemment présenté en ondes des excuses sans équivoque pour ses propos assimilant de manière grotesque l’État démocratique d’Israël aux régimes terroriste iranien et génocidaire soudanais.

Pour mémoire, M. Durivage, animateur chevronné à l’antenne du télédiffuseur public, a établi cette comparaison inappropriée le 15 octobre dernier à l’émission d’affaires politiques « Le match des élus » :

                                
(Cliquez ici ou sur l’image pour visionner l’extrait vidéo) 
                                

                  

A la suite de nos efforts, Simon Durivage a eu le mérite de reconnaître dans l’édition du 26 novembre de son émission qu’Israël est une démocratie qu’on ne peut comparer à des pays comme le Soudan ou l’Iran:

                                 
(Cliquez ici ou sur l’image pour visionner l’extrait vidéo)

                       

« Avant de vous présenter mes invités, toutefois, je veux revenir sur notre Match des élus d’il y a un mois, où nous abordions avec nos amis fédéraux les raisons qui avaient pu faire en sorte que le Canada perde son siège au Conseil de sécurité des Nations Unies, un siège qu’il convoitait. Et parmi les raisons de cet échec, j’évoquais le fait que les pays arabes et musulmans y étaient sûrement pour quelque chose, avaient voté contre, parce que le gouvernement Harper appuie inconditionnellement Israël depuis qu’il est au pouvoir à Ottawa. Et je demandais à nos quatre députés s’il n’était pas dangereux pour le gouvernement Harper de trop se coller à Israël, un pays dont les actions et les politiques sont parfois controversées, et, j’ajoutais, je vous poserais la même question si le Canada se collait trop à d’autres pays, l’Iran ou le Soudan, par exemple. Alors là, je reconnais que ces deux exemples-là étaient très mal choisis. Israël n’a évidemment rien à voir avec l’Iran et le Soudan en termes de politiques controversées, sans compter qu’Israël est une démocratie, ce que les deux autres ne sont pas, selon nos critères à nous en tout cas. D’ailleurs, je ne cherchais pas par là à comparer Israël à ces deux pays-là, mais ça été perçu comme ça, semble-t-il, par certains téléspectateurs, que ça a choqué. Alors, je m’en excuse sincèrement auprès de tous ceux que ça a pu choquer. Je choisirai mieux mes exemples la prochaine fois, c’est promis. »
- Simon Durivage, RDI, 26 novembre, 2010

De plus, l’ombudsman de Radio-Canada a immédiatement effectué une révision journalistique qui note que:

"Radio-Canada a reconnu qu’il était inapproprié de prendre pour exemples l’Iran et le Soudan afin d’illustrer les dangers d’un appui inconditionnel du Canada à Israël."

"[…] en faisant un rapprochement erroné entre Israël, le Soudan et l’Iran, Simon Durivage n’a pas respecté un des principes au cœur des Normes et pratiques journalistiques, celui de l’exactitude".

"
Ce rapprochement entre Israël, l’Iran et le Soudan constitue une erreur sur le plan journalistique".
- Julie Miville-Dechêne, ombudsman des services français, Radio-Canada, 1er décembre 2010

Nous apprécions le fait que M. Durivage se soit excusé publiquement pour son impair journalistique. Ce faisant, il établit un précédent important quant au caractère inapproprié de comparaisons semblables. Nous nous félicitons aussi des conclusions de l’ombudsman de Radio-Canada qui valident nos préoccupations partagées à l’endroit des propos de M. Durivage et de leur dérogation aux normes journalistiques de Radio-Canada. Cependant, nous demeurons préoccupés par la qualité du traitement journalistique d’Israël et du Moyen-Orient à Radio-Canada et resterons vigilants pour assurer le respect de sa propre déontologie.

Pour de plus amples informations, veuillez contacter:

Mike Fegelman, directeur éxécutif
HonestReporting Canada
(416) 915-9157
mike@honestreporting.ca

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13 décembre 2010 1 13 /12 /décembre /2010 03:46

 

 

Les rois de d'info, la vraie, la meilleure !!!

 

 

 

En bleu les petits commentaires d'OCCAM

 

Une émission typiquement française (air grave du commentateur qui évidemment connait tout le dossier et appuie bien sur l'intrangiseance palestinienne (euhhhhh pardon israélienne) sur le Proche-Orient  qui contient un passage intéressant que j'ai commenté. C'est assez amusant !

 

-- Colonies : Netanyahou 1 - Obama 0 ? d (Emission France24, 18mn18) - Malgré son titre racoleur et partial, cette émission-débat renferme une perle : un passage où la désinformation française s'est fissurée un bref moment. Un Israélien interrogé parvient à contraindre le journaliste à préciser la réalité de la situation (Israël n'a pas refusé la proposition américaine mais a demandé sa mise par écrit, ce que les Américains n'ont pu faire devant l'opposition palestinienne), et la réaction du journaliste palestinien montre soudainement combien l'intransigeance n'est pas forcément du côté postulé par l'émission. Mais rapidement l'un des participants décidera de changer de sujet, décidant que la question n'a plus d'importance dès lors qu'elle semble bien trop complexe pour une oreille française. Vraiment amusant !

    Introduction de l'émission : "C’est peut-être un tournant dans le processus de Paix: Barack Obama renonce officiellement à demander aux Israéliens d’arrêter la colonisation dans les territoires occupés comme condition préalable à la poursuite des négociations. C’était pourtant le fer de lance de sa stratégie au Proche-Orient. Que penser de ce changement ? Obama y était-il contraint ? Est-ce un geste pragmatique ? Ou bien un aveu de faiblesse face à un Netanyahou intransigeant ?"
    - L'animateur à 6mn36 : "Michel Ben Ami, [...] comment est-ce que vous accueillez ce revirement officiel de la "doctrine Obama", si j'ose dire ? Est-ce que vous considérez que c'est une victoire pour Israël ?"
    - Michel Ben Ami (Likoud) : "Non, tout au contraire. D'abord, quand j'entends parler Guillaume [Meyer, journaliste France 24 à Washington] et Abdelattif [Souleiman, journaliste palestinien], j'ai l'impression que tout le conflit israélo-palestinien est une guerre d'information, parce qu'on n'a pas du tout les mêmes informations, au contraire. Israël a accepté l'accord américain, Israël a demandé que ça soit par écrit, signé par les Palestiniens, et les Palestiniens ne l'ont pas accepté, c'est pourquoi il n'y a pas eu d'accord jusqu'à hier soir."
    - L'animateur : "Attendez, c'est important ce que vous dites. Je me permets de vous interrompre, c'est important parce que si vous dites que les informations de Guillaume, vous ne les confirmez pas, on va s'arrêter un instant sur cette histoire d'accord. Qu'est-ce que vous dites ? Vous dites que les propositions américaines ont été acceptées par les Israéliens ?"
    - Michel Ben Ami : "Elles ont été acceptées jusqu'au dernier mot. Les Israéliens ont demandé que ce soit par écrit et signé par les Palestiniens. Et pendant deux mois on a attendu cette signature qui en fait n'est pas venue jusqu'à hier. C'est-à-dire que nous, on a tout à perdre en n'ayant pas ce papier que l'on a accepté."
    - L'animateur : "Abdel-Atif Souleiman, pourquoi est-ce que les Palestiniens n'auraient pas signé ce papier ?"
    - Abdellatif Souleiman : "Signer quoi ? Signer que les Israéliens ont le droit dans deux mois [en fait trois mois] d'avoir le droit de continuer la colonisation à Jérusalem et dans les territoires occupés ? C'est impossible pour les Palestiniens d'accepter ça !"
    - Michel Ben Ami : "S'il y a une proposition américaine il faut l'accepter de l'autre côté aussi. Les Israéliens, nous, on l'a accepté. Il faut pas faire de la déformation maintenant en direct selon laquelle nous n'avons pas accepté cette proposition, c'est tout le contraire."
    - Abdellatif Souleiman : "Pour les Palestiniens, d'abord, aux yeux des Américains, aux yeux du droit international, aux yeux des Nations Unies, la colonisation est illégale. C'est impossible pour les Palestiniens d'accepter même un seul jour que les Israéliens aient le droit de coloniser le territoire occupé. C'est impossible. [...] Les Palestiniens acceptent la paix avec les Israéliens, mais aux yeux de tout le monde le territoire occupé c'est 1967. Les Palestiniens veulent une paix avec les frontières de 1967, sans ça c'est impossible pour n'importe quel dirigeant d'accepter moins que ça !" [Donc ici Souleiman montre qu'il refuserait tout échange de territoire et tout compromis, même l'Initiative de Genève, qui représente le point de vue de l'extrême gauche israélienne (Meretz et aile gauche minoritaire du Parti travailliste), c'est-à-dire le plus accommodant pour les Palestiniens.]
    - L'animateur : "Guillaume Meyer à Washington, qu'est-ce qu'on dit à Washington : ce sont plutôt les Israéliens ou les Palestiniens qui ont bloqué cette dernière tentative ?"
    - Guillaume Meyer : "Quand on lit la presse américaine, d'abord la plupart des observateurs ici estiment que ce sont les Israéliens qui n'ont pas voulu accepter l'offre des Américains [...] [ce n'est en tout cas pas la description des faits par Associated Press ou par le New York Times, mais ce "journaliste" les a-t-il seulement lus ?]. On estime que les Israéliens n'ont pas accepté parce qu'ils ont demandé justement à ce que les Palestiniens valident eux aussi, signent ce document, ce qui ne faisait pas partie de la proposition initiale des Etats-Unis. [...]" [Plus précisément, ils ont surtout voulu que l'engagement américain se fasse désormais par écrit, les Israéliens étant échaudés par les promesses orales non tenues de l'administration Obama (comme celle de ne pas demander de nouveau moratoire après celui de 10 mois).] [...] Donc évidemment désormais les Israéliens estiment que oui, il y a eu échec parce que les Palestiniens n'ont pas voulu valider cette offre américaine [ce que Meyer n'avait aucunement précisé auparavant, et ce qu'il n'aurait probablement jamais précisé si Ben Ami n'était pas intervenu ! voilà comment on est obligé de tirer les vers du nez d'un "journaliste" français pour obtenir ne serait-ce qu'une peinture un peu plus complexe des faits], mais à l'origine l'offre de Washington ne concerne que les Etats-Unis et Israël [...]."
    - L'animateur : "Maya Siblini [journaliste France24 pour le Proche-Orient] sur le plateau, aidez-nous à y voir clair dans ce contrat proposé par les uns et refusé par les autres..."
    - Maya Siblini : "Indépendamment de qui a accepté ou pas accepté cette offre, de toute façon l'offre américaine ne portait que sur un gel de trois mois des colonies, donc quid après ces trois mois ? le problème serait resté entier..." Et voilà comment elle évacue totalement la question comme insignifiante, alors qu'elle est totalement au centre du débat ! On apprend que ce sont finalement les Palestiniens qui ont refusé le deal de Washington, cela ne concorde pas avec la vision française, donc hop elle change de sujet en prétendant que désormais la question de savoir qui est "intransigeant" n'a plus d'importance... Le procédé est très efficace.
    Dans la deuxième partie du "débat", il ne s'agira désormais plus que de s'affliger devant "la droitisation et la radicalisation de la société israélienne", et de se demander quand Obama aura enfin le "courage" de tordre le bras du vaurien israélien (Maya Siblini : pas de paix "tant qu'il n'y a pas une volonté politique américaine de faire pression sur Israël"), avec Souleiman prônant un Etat binational pour remplacer l'affreux Etat juif. Bref, retour au bon vieux refrain de nos ondes françaises ! Ben Ami a tout de même le droit de reprendre un peu la parole, sans être jamais vraiment écouté, comme si ses propos détonaient tellement dans cette belle harmonie qu'ils ne pouvaient vraiment être enregistrés (de fait personne ne lui répondra jamais ni ne daignera critiquer ses arguments, préférant purement l'ignorer) :
    - L'animateur à 4mn29 (deuxième partie) : "Michel Ben Ami à Jérusalem, qu'est-ce que vous seriez prêt à entendre comme nouvelle requête des Américains, cette semaine et la semaine prochaine ?"
    - Michel Ben Ami : "Nous on pense qu'Obama, après deux ans, a compris le problème palestinien, que le problème n'était pas du côté israélien. La balle est plutôt dans le terrain palestinien, puisque Barack Obama n'a que refait [en renonçant aux pré-conditions] ce que Carter a fait. Quand [Carter] est arrivé, il a dit [aux Egyptiens et Israéliens] : d'accord, vous êtes d'accord pour 96% du territoire [du Sinaï], on va parler de ces 96%, les 4% on les laisse pour la fin. Je parle de 1981 avec Sadate, quand il a accepté que Taba on en parle après l'accord de paix. On a fait la même chose pour Jérusalem [dans les accords d'Oslo], on a fait : on va d'abord régler les problèmes des territoires, de la Judée-Samarie, on va placer une frontière, et une fois qu'on aura signé un accord de paix on pourra discuter même de Jérusalem. On a accepté cela il y a un an.
    C'était une nouvelle pour Israël, surtout déclaré par Nétanyahou lui-même, le président du parti de droite en Israël. Donc nous, du côté israélien et du côté américain, on arrive au bout du rouleau. Moi je propose aux Palestiniens de prendre ça avec quatre mains, pas avec deux mains, parce que sinon dans un an on aura un mur [la clôture de sécurité] qui va décider, lui, ce que seront les territoires du prochain Etat palestinien. Donc au lieu de faire que le mur décide, c'est-à-dire uniquement les Israéliens, autant rentrer dans cette décision et discuter, et parler. Il y a moyen de trouver, parce que les Israéliens viennent et mettent sur table : on ne veut pas contrôler un seul Palestinien, là où il y a une famille palestinienne, ça devient palestinien ; mais là où il y a des Israéliens, comme Ariel, Maaleh Adumim et Jérusalem, là où il y a des Israéliens ça deviendra israélien, même s'il faut faire des échanges de territoire."

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7 décembre 2010 2 07 /12 /décembre /2010 08:18

 

Scoop publié par un journal arabe et pratiquement ignoré des chancelleries, des titres de la presse française et européenne

Sur la forfaiture GOLDSTONE

Logo Goldstone


Nous en parlions dés les révélations du 'Hamas le 02 Novembre, puis encore le 23 Novembre dans ce rapport complet, silence dans les officines bien-pensantes EVIDEMMENT !!!


>Révélations du 'Hamas - Israël avait raison. Goldstone a eu tort de croire sans réserve les mensonges du Hamas

Merci donc à Clément-Weill Raynal !

La vérité sur le Bilan des pertes à Gaza

radiochalomnitsanEcrit par Clément Weill RaynalLundi, 6 décembre 2010 10:52

 

 

C’est une information qui est passé quasiment inaperçue – en France et en Europe en tout cas, peut être tout simplement parce qu’elle a été rendue publique le 1er novembre en plein week-end de la Toussaint.

 

Cette information nous parvient de Gaza. Un des plus haut responsables du Hamas Fatih Hammad, qui est en quelque sorte le ministre de l’intérieur de la bande de Gaza, Fati Hammad donc a reconnu dans une interview au très sérieux journal arabe Al Hayat, publié à Londres, que parmi le millier de morts provoqué par l’intervention israélienne à Gaza se trouvait en fait une majorité de combattants et de militants du Hamas. 

Jusqu’à présent le Hamas affirmait que la majorité des victimes étaient des civils et ne reconnaissait que quelques dizaines de pertes dans les rangs de ses combattants.
Pourquoi alors changer aujourd’hui de version et rétablir la vérité ? Parce que le Hamas a été victime – si j’ose dire – de la critique de certaine factions rivales qui lui ont reproché sa couardise, et qu’ils l’ont accusé d’avoir fuit les combats lors de l’opération plomb durci en janvier 2009. D’où la décision de Fathi Hammad de révéler dans un journal destiné à l’opinion publique arabe le véritable chiffre des pertes au sein de ses troupes.

Pourquoi alors avoir menti pendant plus d’une année ? La réponse est simple, En exagérant les pertes civiles, le Hamas s’est d’une part présenté comme la victime d’une agression israélienne. Et Cette falsification a permis d’étayer les accusations formulés contre l’armée israélienne d’avoir commis à Gaza des crimes de guerres en visant délibérément des civils.

La vérité est donc aujourd’hui rétablie. Mais il faut savoir que le rapport Goldstone qui accable Israël en l’accusant précisément d’avoir commis à Gaza des crimes de guerre, il faut savoir que le rapport Goldstone est largement fondé sur les affirmations falsifiées fournit par les Palestiniens. Le rapport Goldstone affirme ainsi que quatre victimes sur cinq étaient des civils. Aujourd’hui, on sait donc que cela est faux. Le rapport Goldstone, pour ceux qui en doutaient encore, est donc largement invalidé. Malheureusement, cette information a du échapper à la plupart des titres de la presse française et européenne. Aucune chancellerie n’a non plus réagi. Et le plus incroyable je vous le disais est que ce scoop a été publié par un journal Arabe.

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6 décembre 2010 1 06 /12 /décembre /2010 04:24

 

 

Merci Dora pour l'envoi de ce texte 

Pour écouter DORA > ECOUTER ICI-copie-1

 

Sur radio-shalom et radiochalomnitsan

L’Affaire Al-Dura : De l’erreur à la faute

Ecrit par Dora MarracheDimanche, 5 décembre 2010 03:47

 

 

L’Affaire Al-Dura? Comme vous tous, je l’avais oubliée jusqu’à ce jour d’octobre 2010 où j’ai écouté Philippe Karsenty nous expliquer cette affaire et la polémique qui l’entoure. Pourquoi faire ressurgir une affaire qui date de dix ans ? Rares sont ceux qui s’en souviennent, et n’eût été l’obstination de P.Karsenty, on n’en aurait plus entendu parler 

 

Rappel des faits
L’affaire Al Doura est née de ce reportage présenté par France 2, le 30 septembre 2000, et au cours duquel on voit un père et son fils tenter de se protéger des balles des soldats de Tsahal. Charles Enderlin, correspondant de France 2 à Jérusalem, commentait les images en ces termes: « 15 heures. Tout vient de basculer près de l’implantation de Netzarim, dans la bande de Gaza. Les Palestiniens ont tiré à balles réelles, les Israéliens ripostent. Ambulanciers, journalistes, simples passants sont pris entre deux feux. Ici, Jamal et son fils Mohammed sont la cible de tirs venus des positions israéliennes. Mohammed a douze ans, son père tente de le protéger. Il fait des signes […], mais une nouvelle rafale. Mohammed est mort et son père gravement blessé. Un policier palestinien et son ambulancier ont également perdu la vie au cours de cette bataille. »
On sait que l’image à elle seule a force de loi ; l’ image « choc », de surcroît, a un impact considérable, à fortiori quand un tel commentaire l’accompagne.
On comprend pourquoi P. Karsenty nous dit « L’affaire al Doura » est une des accusations les plus graves contre l’Etat d’Israël depuis sa création. C’est l’image qui a sans aucun doute le plus choqué dans le monde, cette dernière décennie »

Philippe Karsenty affirme que ce reportage est une pure fiction, Charles Enderlin, auteur du reportage, affirme le contraire. Nous sommes face à deux versions totalement antinomiques. Nous écoutons les arguments de l’un et de l’autre et nous tentons de nous faire une idée. Pas facile dans la controverse qui entoure cette affaire de prendre une position bien tranchée d’autant plus que, de toute évidence, les medias ne donnent à leurs auditeurs ou à leurs lecteurs qu’une seule version, celle de Charles Enderlin. Pour eux, Israël doit être coupable, il ne peut en être autrement. L’hypothèse voulant que des Palestiniens aient tiré sur d’autres Palestiniens leur semble impossible à envisager. Or, on ne peut prendre position que si on a eu la chance d’avoir accès aux deux thèses. Alors, de Charles Enderlin et de Philippe Karsenty, qui dit vrai?

À la lumière de la centaine de preuves quasi irréfutables présentées par P. Karsenty, du jugement de la Cour d’appel , des prises de position de personnalités comme Alain Finkielkraut, Élie Barnavi, ex – ambassadeur israélien en France redevenu historien, ou Richard Prasquier, président du CRIF, on ne peut qu’adhérer à la thèse de P. Karsenty et conclure que, de toute évidence, tout concorde pour affirmer que la scène a été montée de toutes pièces, qu’il s’agit là d’une mise en scène machiavélique destinée à présenter une fois de plus les Palestiniens comme les victimes de Tsahal, et c’est encore une fois le symbole du combat de David contre Goliath.
Qui plus est, la lecture de l’arrêt du Tribunal nous conforte dans notre choix. En effet, on peut y lire ce qui suit : » Richard LANDES, journaliste, professeur à l’université de Boston, entendu en qualité de témoin par les premiers juges, a déclaré que, selon lui, après avoir étudié les rushes de Reuters et le reportage de Charles ENDELIN, avec lequel il s’est entretenu, la probabilité que la mort de l’enfant présentée par celui-ci serait une mise en scène était « supérieure à 95% ».

Certes, il semble bien qu’il y ait eu complot. En revanche, j’ai beaucoup de mal à croire que Charles Enderlin ait fomenté ce complot avec les Palestiniens. Quand il se dit victime d’un complot, il dit vrai, mais il n’est pas victime d’un complot de la droite israélienne comme il ne cesse de le répéter: il est victime du complot tramé par les Palestiniens et de la confiance qu’il a mise en ce cameraman.

Premier stade : Le complot

Mon hypothèse est que Charles Enderlin a été mystifié par son caméraman Talal Abu Rahma en qui il avait – en qui il a peut-être toujours – une confiance aveugle.
Je suis alors portée à imaginer le scénario suivant :
1. Talal Abou Rama fait partie de la poignée de journalistes autorisés à filmer à Gaza, à condition qu’ils se plient au desiderata de l’Autorité Palestinienne. D’ailleurs, le caméraman avait été arrêté à deux reprises pour avoir filmé des images qui avaient déplu à Yasser Arafat.
2. Les Palestiniens savent que Talal Abu Rahma jouit d’une réputation sans faille aux yeux de Charles Enderlin et de France 2 , qu’il travaille avec eux depuis 1988 et qu’il ne s’est jamais rendu coupable de la moindre faute. Alors, je suis tentée de penser que les Palestiniens, dont la propension à passer pour des victimes et à inventer des histoires est légendaire, auraient incité le caméraman à filmer une scène “tragique” qui incriminerait Israël et discréditerait son armée aux yeux du monde. Et j’imagine aisément qu’il ne fut pas difficile de le convaincre de tourner ce reportage pour deux raisons : d’une part, il est dévoué à la cause palestinienne : « J’ai choisi le journalisme pour défendre la cause palestinienne “ avait-il déclaré au journal marocain “Le Matin du Sahara” ; d’autre part, il savait que C. Enderlin ne serait pas sur le terrain puisqu’il était retenu à Ramallah – (et si ceci faisait partie du complot ourdi par les Palestiniens ?), donc qu’il pourrait opérer plus facilement.

Deuxième stade : L’erreur de C. Enderlin

« Le contraire de la vérité est la fausseté, écrivait Emmanuel Kant ; quand elle est tenue pour vérité, elle se nomme erreur »
La suite est facile à imaginer : le caméraman remet le film à C. Enderlin qui ne prend pas la peine de s’assurer de l’authenticité de ce reportage. Pourquoi l’aurait-il fait? Il n’a jamais eu le moindre soupçon sur le travail de son caméraman qui lui est dévoué depuis si longtemps.
Les propos suivants qu’on peut lire dans son blog sont révélateurs de la confiance aveugle qu’il a en Talal Abu Rahma . « Imaginons la situation suivante : Éric Conan se trouve sous le feu au milieu du carrefour de Netzarim, à la place de Talal et me dit : « L’enfant est mort, les tirs étaient israéliens ! » Eh bien, je ne l’aurais pas diffusé ! Non pas que je doute de la crédibilité de cet estimable journaliste, mais il n’était pas caméraman accrédité par France 2. Et puis, je n’avais jamais travaillé avec lui et ne savais pas s’il était capable de repérer l’origine et la nature de tirs. En compagnie de Talal, j’ai couvert depuis 1988, des dizaines et des dizaines d’accrochages entre l’armée israélienne et des Palestiniens. À plus d’une reprise, nous nous sommes trouvés ensemble sous le feu. Son témoignage est des plus crédibles… »

D’après moi, à ce moment-là, C. Enderlin n’envisageait nullement les conséquences dramatiques de son reportage sur l’état d’Israël, et même hors d’Israël puisque, rappelons-le, le journaliste américain Daniel Pearl a été égorgé quelque temps après pour venger la “mort” de Mohamed Al-Dura.
Ce qui importe avant tout pour C. Enderlin, c’est de prendre de vitesse les autres journalistes qui, devait-il penser, tout comme lui voudraient un scoop sur cet événement . Il ignorait à ce moment-là que son caméraman était bien le seul à avoir filmé cette scène. Alors, on peut supposer que C.Enderlin commente largement le vidéo à partir des informations que lui a fournies son Talal Abu Rahma sans même remarquer qu’il y a certaines invraisemblances, certaines incohérences : la position de l’enfant qui, selon ses dires, vient de recevoir une rafale de balles; les 45 mn de tirs qui supposent que les soldats israéliens se seraient acharnés sans interruption pendant 45 mn sur ce malheureux père et son fils. Il s’empresse ensuite d’envoyer son reportage à France 2 qui le visionne sans remarquer la moindre incohérence et en autorise la diffusion.
Peut-être aussi Enderlin voyait-il une fois de plus l’occasion de montrer aux non-juifs que, bien que juif et franco-israélien, il ne prend pas nécessairement le parti d’Israël. Ce qui compte pour lui, c’est sa notoriété, c’est l’image du journaliste ”sans peur et sans reproches” que France 2 et les medias français ont de lui.

Jusque –là, C. Enderlin ne s’est rendu coupable en somme que d’avoir commis une erreur, c’est-à-dire d’avoir énoncé des affirmations fausses, mais persuadé qu’il s’agissait de vérités. Certes, ii a fait preuve d’un manque de professionnalisme, mais comme il était de bonne foi , comme il croyait dire la vérité, on lui aurait pardonné. Il aurait été blanchi aux yeux des Israéliens, il aurait blanchi Israël aux yeux de la communauté internationale .

Troisième stade : De l’erreur à la faute

« Une erreur ne devient une faute que lorsqu’on ne veut pas en démordre » (Ernst Jünger)

Quand il a appris que les journalistes de l’Associated Press et de Reuters, qui se trouvaient sur les lieux au moment du « drame », n’avaient pas vu cet événement, ne l’avaient pas filmé, C.Enderlin aurait dû, en bon reporter, se poser des questions et demander des explications à son caméraman. Il ne l’a pas fait.

Vinrent ensuite la diffusion du reportage de la télé allemande soutenant la mise en scène, puis l’accumulation de preuves quasi irréfutables accumulées par la Ména et par P. Karsenty. Il me semble impossible que le doute ne se soit pas installé dans son esprit et qu’il n’ait pas réalisé son erreur. Il avait encore la possibilité de se rétracter, de faire preuve de courage et de reconnaître son erreur. Loin de le blâmer, on l’aurait glorifié. Après tout, l’erreur est humaine. “C’est le propre de l’homme de se tromper», disait Cicéron, mais il ajoutait « seul l’insensé persiste dans son erreur ». Et ce fut précisément insensé, de la part de C. Enderlin, de persister dans son erreur et de choisir le mensonge. Quand on lui demande comment il peut affirmer que les tirs venaient du fortin israélien puisqu’il n’était pas sur les lieux de l’événement, il se contente de répondre qu’ « un reportage TV est un travail d’équipe”, explication qui ne nous convainc pas. D’autre part, le CRIF avait demandé que Jamal Al-Dura se soumette à des examens médicaux pour vérifier s’il avait bien été blessé le 30 septembre 2000. Or, celui-ci, peut-être sur les conseils de C.Enderlin, même si ce dernier affirme le contraire, refuse et va jusqu’à déposer plainte pour diffamation contre Actualité juive.

C. Enderlin , me semble –t-il a choisi le mensonge. Or le mensonge, contrairement à l’erreur, suppose la mauvaise foi : dans le mensonge, on choisit d’induire les gens en erreur en énonçant un fait qu’on sait contraire à la vérité.
Et ce faisant, C.E se rend coupable d’une faute qui se définit en droit comme « l’action, volontaire ou non, ou encore l’omission qui porte atteinte au droit d’autrui en lui causant un dommage. »
Pourquoi aurait-il persévéré dans l’erreur et choisi de tromper les auditeurs ?
Difficile de le dire, l’être humain est d’une grande complexité, et je ne suis ni psychologue ni psychiatre pour me prononcer sur les raisons qui ont dicté sa démarche. Je me permets tout simplement d’envisager certaines hypothèses.

- Le besoin de protéger son caméraman. Tout d’abord, il me semble que si
C. Enderlin n’a pas songé en rédigeant son reportage aux conséquences sur Israël, en revanche, il redoute, s’il reconnaît son erreur, les conséquences sur son caméraman et sur ses amis palestiniens.

- L’orgueil l’empêche de reconnaître son erreur. Il craint pour sa réputation, il ne veut pas que son image soit ternie. Il se considère comme un des meilleurs journalistes, sinon le meilleur, et ne peut consentir par le fait même à avouer son erreur, un peu comme si une longue carrière journalistique garantit l’absence de quelque erreur que ce soit. Il n’a pas même admis qu’il y ait – et je cite “quelques erreurs factuelles, quelques maladresses” .
Je crois que c’est d’ailleurs aussi l’orgueil qui lui dicte cette conduite de victime. Il aime à se faire passer pour quelqu’un dont la valeur n’est pas reconnue, il suscite ainsi de l’empathie, voire de la pitié et, au bout du compte, il fait figure de héros. Il suffit d’écouter l’entrevue qu’il a accordée à Michel Desautels de Radio-Canada pour s’en convaincre.

- le déni de la réalité : il ne peut admettre que l’homme qui à ses yeux est “blanc comme neige” ait pu le trahir.

- À moins qu’il n’ait peut-être fini par croire qu’il n’avait rapporté que la vérité. Après tout, ne suis-je pas moi-même, alors que j’élabore un scénario, portée à croire qu’il est tout à fait plausible.

Conclusion

Cette affaire devra connaître son épilogue. Israël a enfin brisé le silence, et le Bureau du Premier ministre a émis un communiqué qui est clair, dans lequel il précise qu’ « on connaît les pratiques des Palestiniens » et il rappelle « tout particulièrement la campagne d’horreur qui prétendait attribuer à Israël un “massacre” à Jénine, qui n’a jamais eu lieu, ainsi que de l’épisode où un « mort » était tombé du brancard et avait commencé à marcher. Au vu de ces cas, on est en droit de s’attendre à ce que les médias vérifient minutieusement de tels reportages, et qu’ils évitent de publier des allégations non vérifiées. (…) il est clair à présent, qu’il était faux de faire endosser la responsabilité dans l’affaire Mohammed Al Dura à Tsahal et à l’Etat d’Israël. »
La vérité, quelle qu’elle soit, devra apparaître et la chaîne publique France 2 ne pourra éviter longtemps encore le vrai débat. Il en va de la crédibilité des journalistes.
S’il s’agit d’une campagne de diffamation destinée à le museler comme il le laisse entendre, à l’abattre professionnellement parce que, dit-il, il avait « mis à mal, dans «Le rêve brisé», la version israélienne sur les responsabilités dans l’effondrement du processus de paix d’Oslo », C. Enderlin devrait réagir. . Au lieu de se lancer dans une longue litanie de plaintes destinée à attendrir les lecteurs sur le martyre que sa famille et lui endurent depuis dix ans, le reporter de France 2 devrait analyser le reportage en profondeur, se pencher sur les preuves de ses adversaires et tout mettre en œuvre pour fournir une contre – argumentation solide qui invaliderait la thèse de P. Karsenty et faciliterait l’émergence de la vérité, On nous dira que c’est l’objet de son livre, mais en réalité ce livre sert essentiellement à le présenter comme une victime de la droite israélienne.
En revanche, s’il y a eu trucage, donc imposture médiatique, ce dont nous sommes nombreux à être convaincus, C.Enderlin devrait le reconnaître et assumer, avec son caméraman, les conséquences de cette faute, quelle qu’en soit la gravité.
Après tout, a-t-il mesuré la gravité et les conséquences planétaires de cette falsification de la vérité ? La lui pardonnera-t-on un jour? J’en doute fort, l’humiliation cette fois sera terrible, mais infime en comparaison du tort qu’il a causé à “son pays”, ces images de la « mort » de l’enfant ayant justifié des crimes et plusieurs attentats qui ont fait plus de mille morts.
C’est sans doute parce qu’il est conscient des ravages qu’a entraînés son manque d’éthique et des conséquences auxquelles il s’expose s’il dévoile maintenant la vérité qu’il a choisi de manipuler tout le monde, mais tout a une fin et l’Affaire Al-Dura ne fera pas exception.

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5 décembre 2010 7 05 /12 /décembre /2010 10:42

 

 

Logo G.W.G

 

blognadel

La Malhonnêteté de Service Public

 - Gilles-William Goldnadel


 

Si l’on veut se faire une petite idée du sérieux et de l’honnêteté de l’information qui règnent en France, on peut, à titre d’illustration et entre de multiples exemples, se pencher sur le compte rendu par FR3 Alsace de l’audience du Tribunal Correctionnel de Mulhouse qui devait se pencher le 29 octobre sur l’affaire du boycott de produits israéliens par des militants pro-palestiniens.

 

A titre de hors d’œuvre, les journalistes ont annoncé le report du procès sur des images de manifestants brandissant des pancartes appelant au boycott d’Israël.

 

En suite de quoi, les téléspectateurs alsaciens ont eu le droit à une interview non contradictoire de Monseigneur Gaillot, présent à la manifestation, qui a déclaré à l’antenne : « Je soutiens le boycott des produits de l’occupant israélien, c’est-à-dire des produits provenant de terres volées, j’estime en effet que l’Etat d’Israël est un Etat colonial basé sur le vol de la terre et l’expulsion d’un peuple… ».

 

Le plus grave, c’est qu’à aucun moment, les journalistes de service public, n’ont estimé devoir, histoire d’équilibrer un peu les points de vue, interroger les parties civiles qui se tenaient pourtant à la disposition des journalistes.

 

En conséquence, nous avons eu le droit à la fois à un nouvel appel au boycott d’un antisionisme délirant et illégal et de l’autre, une belle petite démonstration de l’idéologie au pouvoir dans les médias quand elle se met à être malhonnête et partiale.

 

Vous voulez un autre exemple ?

 

La semaine dernière, la grande historienne d’origine égyptienne Bat Yeor, celle qui a révélé au public le concept de « dhimitude » des Juifs et Chrétiens en terres d’Islam, devait donner une conférence au CAPE qui est l’organe de la presse étrangère, supervisé par le Quai d’Orsay, pour présenter son dernier ouvrage « L’Europe et le spectre du Califat ».

Contre toute attente, le directeur du CAPE a décidé d’annuler la conférence avec, parmi les griefs les plus divers, que l’historienne serait liée à l’extrême-droite.

 

Aujourd’hui, qui veut noyer son chien sans collier, l’accuse de rage fascisante.

 

En réalité, la même idéologie au pouvoir, antisioniste, arabophile, préfère bien entendu valoriser le crétinisme politique dont Monseigneur Gaillot est le représentant emblématique, plutôt que de diffuser la pensée d’une Bat Yeor ou d’un Pierre-André Taguieff.

 

Bien entendu, je ne vais pas manquer de saisir la direction de FR3 et le CSA de ce énième manquement.

 

Il n’empêche, ils ont beau vouloir désinformer, les faits sont têtus : ainsi les massacres de Chrétiens au Proche et Moyen-Orient ne sont plus occultés comme avant.

 

L’épouvantail de l’islamophobie a perdu beaucoup de sa paille et ne peut plus empêcher la critique du radicalisme islamique, et vous verrez qu’un jour, même le palestinisme antisioniste sera tenu pour ce qu’il est : une vaste escroquerie intellectuelle.

 

 

D’après ma chronique sur Radio J.

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28 novembre 2010 7 28 /11 /novembre /2010 14:22

Chers amis,

 

Depuis deux mois, la campagne destinée à promouvoir le livre de Charles Enderlin – « Un enfant est mort » - fait rage dans les médias français.
De retour des Etats-Unis - si vous souhaitez visionner une de mes conférences de Los Angeles, cliquez ici - je découvre que le summum de cette campagne vient d’être atteint par France-Inter ce samedi 27 novembre 2010 au cours de l’émission « Rendez-vous avec X » de Patrick Pesnot.
Vous pouvez écouter cette émission en écoutant le fichier son attaché à cet email.
Pour réagir à cette émission de France-Inter, je vous invite à écrire directement au médiateur de France-Inter en cliquant ici.
Ne négligez pas cette action, cela peut avoir un effet.


Radio-Canada a offert une interview complaisante à Charles Enderlin. Pour l’écouter, cliquez ici.

 

La meilleure analyse (en anglais) du livre de Charles Enderlin est celle de Nidra Poller.

 

Pour ce qui me concerne, je serai en Israël, particulièrement à Herzliya, entre le lundi 29 novembre et le jeudi 2 décembre pour un voyage lié à mon activité de maire-adjoint de Neuilly-sur-Seine.

Je n’y effectuerai donc aucune conférence.
J’y serai joignable sur mon portable israélien : + 972 54 924 35 61.

 

Le mercredi 8 décembre 2010, j’effectuerai une présentation à l’Université Libre de Bruxelles qui sera suivie d’un débat avec Ouri Wesoly, un soutien de Charles Enderlin, qui a publié ceci : « L’exemple Enderlin ».

 

Voici quelques médias, principalement étrangers, qui ont traité de l’affaire de façon plus honorable :

-        A Child Is Not Dead: Philippe Karsenty and the Al Dura Hoax

-        Interview radio de Frank Gaffney

-        Karsenty continues to expose al-Dura ‘hoax’  

-         21st century blood libel debunked – again 

-        Gérard Brazon-Puteaux-libre

Amitiés,

 

Philippe Karsenty

 

France-Inter Rendez-vous avec X.wma France-Inter Rendez-vous avec X.wma
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28 novembre 2010 7 28 /11 /novembre /2010 14:15

 

BANN-PEREZ.jpg

 

Rendez-vous avec Patrick Pesnot, X et Charles Enderlin

 Victor Perez

L’émission de France Inter du 27 novembre, intitulée « Rendez- vous avec X » (1), animée par le journaliste Patrick Pesnot est, à elle seule, un exemple parfait de l’air du temps qui court enFrance mais aussi en Europe. Un air du temps qui occulte, pour le moins, le bon sens, l’intelligence, l’honnêteté et développe l’animosité envers tout soutien d’Israël. Air du temps authentifié par un certain X accordant, lors de cette diffusion, son avis ‘’éclairé’’ sur l’affaireMohamed A-Dura, cet enfant qui fut « assassiné » selon France 2 par les soldats israéliens.

 

Dès le début de l’émission l’animateur précise pour les auditeurs ce qu’il a vu et entendu dans ce fameux reportage de quelques secondes, filmé le 30 septembre 2000 par Talal Abou Rahmé, le caméraman officiel de la chaîne française pour la région de Gaza.

 

Ainsi, il atteste que Mohamed A-Dura « (…) gît à terre(…). Il est touché à l’abdomen. Le bras gauche est replié sous son ventre. On voit une blessure sur l’avant-bras droit du père. L’enfant bouge brièvement puis s’immobilise. Le père, prostré, est adossé au mur ».

 

Selon cette description, le père est blessé à l’avant-bras droit. Mais selon le commentaire deCharles Enderlin, repris par Patrick Pesnot, « Jamal et son fils Mohammed sont la cible de tirs venant de la position israélienne. Mohammed a douze ans. Son père tente de le protéger. Il fait des signes… Mais une nouvelle rafale. Mohammed est mort et son père gravement blessé. ». Singulière contradiction !

 

Chacun admettra qu’il existe des blessures plus graves que celle occasionnée par un projectile sur un avant-bras. Une ‘’blessure’’ qui n’explique nullement cependant l’évacuation de Jamal A-Dura vers un  hôpital jordanien quelques jours plus tard. Patrick Pesnot nous confirme donc, bien involontairement, être incapable de dénombrer les autres blessures du père et que tous les doutes, à ce sujet, sont largement justifiés.

 

Autre assertion, cette fois-ci du sieur X, rajoutant à l’air du temps anti-israélien. Pour ce dernier, Talal Abou Rahmé « est un caméraman très expérimenté dont le travail a été honoré par plusieurs récompenses ». Ce qui, à ses yeux, contrarie toute dévalorisation de son témoignage quant à l’origine des tirs. Et s’il y a ‘’dépréciation’’ de ses dires c’est uniquement, nous assure t-il, dû à ses origines ‘’palestiniennes’’. Accusation terrible de racisme primaire ! D’autant plus si l’on se souvient qu’Arlette Chabot elle-même, alors patronne de la rédaction de France 2, affirma son impossibilité de préciser l’origine des ‘’tirs mortels’’.

 

Alors ! Chabot ‘raciste’’ ?

 

Sur la même veine de dénigrement, est affirmé lors de l’émission que Tsahal a toujours refusé de participer à « une enquête indépendante » sur le sujet. Outre que l’on se demande ce que signifie « indépendante » et que la participation de l’armée israélienne n’est absolument pas indispensable, il est fait ici oubli de l’enquête convenue par le Crif et l’ancien Président de France Télévision Patrick de Carolis et qui n’est toujours pas en chantier. Faut-il accuser, alors, le Crif d’en être le responsable ? Celui-ci assure que « Les raisons qu’il (Charles Enderlin) donne (dans son dernier livre) du blocage de la commission d’enquête demandée par le CRIF à France 2 sont fausses ».

 

Enderlin n’a pas jugé utile de répondre à cette charge.

 

Il est dit encore, que « l’état hébreu n’entend pas être mêlé à cette thèse conspirationiste » anti-Enderlin. C’est ici omettre le communiqué récent du bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahou attestant, entre beaucoup d’autres choses,  « des doutes sur le bien-fondé  des affirmations de la chaine française FRANCE 2, telles qu'elles ont été diffusées le 30 septembre 2000 ». Omission volontaire (X n’étant pas sensé entant qu’expert dans l’émission ignorer les dessous de l’affaire) qui corrobore l’intention de désinformer les auditeurs.

 

L’un des derniers points relevé ici concerne l’énoncé d’une des thèses « perverse » des « propagandistes » selon le vocabulaire de X. Un des trois scénarios de ces derniers affirmerait « que les Palestiniens auraient eux-mêmes sciemment tué Mohamed à des fins de propagande » pour pouvoir accuser ensuite les Israéliens. Trame qui supposerait, selon X, « que le père du petit Mohamed aurait accepté que l’on tue son fils sous ses yeux ». X étant probablement un ‘’innocent’’, il est inconcevable pour lui de penser un court instant que les auteurs de cette scène, membres du HamasFatah ou autres organisations criminelles aient oublié de communiquer au père l’épilogue de l’épisode !

 

En revanche, les contradicteurs d’Enderlin sont à ses yeux capables du pire.

 

L’impression que l’on retire de cette émission est une insulte à l’intelligence remplaçant la réflexion. Réflexion qui amène, bon gré malgré, l’auditeur à s’interroger quant à l’éternelle absence des débats des principaux tenants de l’accusation. Au vu des émissions et écrits à charge qui se multiplient sur le sujet, le silence qui leur est imposé par tous les grands médias n’est qu’aveu de la fébrilité qui gagne ces derniers. Une agitation qui les contraindra tôt ou tard à ouvrir publiquement la controverse et à finalement reconnaître que l’envoyé permanent deFrance 2 à Jérusalem s’est fourvoyé en affirmant le décès d’un enfant faute d’éléments incontestables.

 

Ce qui au détour révélera les ‘’bons apôtres’’, tels Pesnot et X, comme des propagateurs d’une thèse nauséabonde à l’encontre des défenseurs d’Israël forcément ‘’racistes’’ et ‘’d’extrême droite’’.

 

Victor PEREZ ©

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27 novembre 2010 6 27 /11 /novembre /2010 17:53

 

Gaza - Les mensonges des "palestinistes"

 

Question d'un Lecteur 

 

"Comment se fait-il que la presse nous mente tant !"

 

Logo - Gaza vous avez dit blocus

 

Puisque les menteurs et les propagandistes de la terreur foisonnent sur le Web ou sur les places publiques, puisque les pro-Hamas et leurs relais de la presse continuent leurs oeuvres de désinformation malfaisante.

Puisque des actions comme celles initiées par drzzeurope-israel et la LDJ sont systématiquent salies parce qu'elles montrent un Gaza tel qu'il n'est jamais montré.

Parce que toute désinformation, devant les faits ne tient pas, pour preuve le rapport Goldstone, désavoué (ICI) par le 'Hamas manipulateur lui-même........

Nous avons décidé , en plus de ce que nous faisons régulièrement sur ce site de publier chaque rapport des transferts de biens de consommation livrés à la bande de Gaza.

Transferts qui chaque semaine depuis de nombreuses années s'opèrent, (mais qui par la malhonnêté des médias ne sont jamais communiqués) par les passages de Keren Shalom ou autres.

 

Cependant ce que nous ne pouvons pas fournir est le tableau des vols et pillages exercés par l'entité terroriste du 'Hamas sur les livraisons.

comme par exemple les vols de médicaments que les palestinistes hypocrites ne déclament jamais (ICI - Lettre d"un Gazaoui ) ou cet article jamais relayé > Les Gazouis forcés et contraints pour se soigner d'acheter l'aide humanitaire gratuite !

 

 

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27 novembre 2010 6 27 /11 /novembre /2010 17:38

 

Votez pour nous!!

 

europe-israel

 

L’action conjointe Drzz, Europe-Israël et la LDJ sélectionnée parmi les « nominées » , pour gagner le« 2010 Hasby Awards »,  la présentation du vainqueur aura lieu le 7 décembre à New York. Ce prix récompense la meilleure action relations publiques pour défendre l’image d’Israël.

Notre action de distribution de tracts montrant la réalité de Gaza devant le musée d’Art Moderne est nominée! C’est déjà un grand succès  maintenant nous devons gagner, grâce à vos votes! soutenez Europe-Israël, votez!

Il n’y a pas d’ordre particulier dans la liste, notre action est la numéro 16

Selectionnez  « Protest outside Museum of Modern Art, Paris » et ensuite votez, merci !

POUR VOTER CLIQUEZ ICI  nous c’est le numéro 16
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