Merci à HANNA
LE DOSSIER
Traduction et adaptation par HANNA pour sionisme.xooit.com de Labeling Israel as an "apartheid state" is the embodiment of the new anti-Semitism that seeks to deny the Jewish people the right of equality and self-determination among the nations.
L’étiquetage d’Israël comme étant un Etat "d’apartheid"est l’incarnation de la nouvelle législation antisémite qui cherche à nier au peuple juif le droit à l’égalité et l’autodétermination des nations.
La résolution 1975 de l’ONU assimilant le sionisme au racisme est le coup de feu pour démembrer Israël, dans la guerre politique menée aux travers de ce que les dirigeants palestiniens appellent "la stratégie sud-africaine". Le processus s’est poursuivi, notamment à la Conférence de Durban de 2001, contre le racisme et dans la campagne de propagande qui tente sous l’étiquette anti-israélienne de freiner la lutte contre le terrorisme, en désignant le mur de séparation comme étant un "mur de" l’apartheid.
Le 24 août, Ha’aretz a rapporté que le professeur sud-africain, John Dugard, rapporteur spécial des Nations Unies sur la situation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens, a déclaré à l’assemblée générale des Nations unies qu’il existait un "régime d’apartheid" dans les territoires "pire que celui qui existait en Afrique du Sud".
Bien que la comparaison entre Israël et le régime d’apartheid qui a gouverné l’Afrique du Sud soit entièrement fictive. Les efforts aux fins de diabolisation, sont propulsés par la répétition et le renforcement de cette analogie. La tentative à vouloir montrer Israël comme illégitime et comme un "Etat d’apartheid" est l’incarnation de la nouvelle législation antisémite, qui cherche à nier au peuple juif le droit à l’égalité et à l’autodétermination des nations.
La stratégie sud-africaine n’est pas simplement basée sur la rhétorique, c’est aussi, les appels au boycott universitaire, qui ont lieu de manière courante en Europe et ailleurs, en brandissant des pancartes lors de manifestation afin de briser l’image d’Israël.
Il existe un vaste réseau d’acteurs puissants et non-gouvernementaux (ONG). Telles que Human Rights Watch, Ammesty, Christian Aid, des palestiniens et leurs alliés arabes et israéliens, qui sont les principaux canaux de diffusion de gros mensonges de crimes "de guerre" et "d’apartheid". De même, la répétition de la rhétorique de la diabolisation par des responsables palestiniens et arabes, dans les médias contribue à impulser cette stratégie.
Leur objectif à long terme est d’utiliser l’ONU pour imposer des sanctions économiques contre Israël, en élargissant le boycott arabe vers une grande partie du monde.
D’une résolution de l'ONU d'imposer des sanctions, en citant le rejet israélien de l'avis consultatif de la CIJ.
Les mesures économiques ont contribué à la chute du régime de l’apartheid, en Afrique du Sud- C’est l’attrait de cette approche- L’exploitation récente de l’ONU pour mettre en accusation Israël concernant la construction d’une barrière de sécurité, a été suivi de pseudos sanctions juridiques, émanant de la Cour internationale de Justice, qui sont des éléments importants pour arriver à leur finalité. Suivant l’ordre du jour, il y aura l’introduction d’une résolution de l’ONU afin d’imposer des sanctions, en citant le rejet israélien de l’avis consultatif de la CIJ.
En réalité, l’analogie et la rhétorique sont absurdes, et ils avilissent les chefs politiques du régime d’apartheid d’Afrique du Sud, par rapport aux victimes noires.Le sionisme et la renaissance de la souveraineté nationale dans la patrie juive, ne sont pas les manifestations du colonialisme européen, contrairement à ce qui a été créé à Johannesburg et Pretoria, par les colons blancs (Afrikaners, Anglais et autres). Tandis que l’exploitation des Noirs se faisait dans des conditions d’esclavage, sous l’apartheid, en revanche, les Palestiniens sont tributaires de l’emploi israélien en raison de leur corruption interne et ses échecs économiques. Israël ne bénéficie pas de la main-d’œuvre palestinienne bon marché et non qualifiée- en vérité, la dépendance des Palestiniens est d’une manière un flux pour les deux sociétés.
De même, alors que l’apartheid sud-africain, était basé sur la négation de la souveraineté pour la population noire, les Israéliens ont accepté la "solution à deux Etats" et le plan de partage de l’ONU, dès le début de 1947. Les citoyens arabes d’Israël ont les mêmes droits démocratiques que les Israéliens, y compris la représentation parlementaire totale et la liberté d’expression- en contraste avec les Noirs sous l’apartheid ou les minorités dans la plupart des pays arabes-
Les revendications politisées clamant qu’Israël est un pays "d’apartheid" tend à fausser les données historiques des faits réels, tout en dénigrant les souffrances des victimes sud-africaines noires.
Par contre, le racisme et la négation de la caractéristique de la légitimité de l’apartheid sont effectivement applicables aux arabes et islamistes, qui se traduisent par le rejet des droits des Juifs. Au Moyen-Orient, et ainsi qu'ailleurs dans le monde, les Juifs sont une infime minorité opprimée, luttant pour préserver leur identité culturelle pour survivre dans un environnement hostile et violent. Ces faits sont politiquement incorrects et incompatibles avec la diabolisation d’Israël.
La propagande "Sionisme est l’apartheid", est aussi utilisée pour justifier les attentats terroristes palestiniens, ainsi que les efforts visant à nier aux Israéliens le droit fondamental de légitime défense pour ne pas être, par exemple, victimes dans un bus d’un attentat à la bombe.
En effet, l’emploi acharné de l’expression "mur de l’apartheid" par les propagandistes palestiniens, dont le Dr Hanan Ashrawi, représentant à l’ONU, Nasser Al-Kidwa ainsi que des ONG telles que B’Tselem, Mossawa, Adallah, ISM, cherchent à continuer à exposer les Israéliens à des attaques terroristes.
En criant rageusement "apartheid" à toute occasion, les dirigeants de cette campagne ont réussi à enterrer des données démontrant que cette barrière de sécurité a sauvé de nombreux Israéliens. La politique immorale, du double langage d’aujourd’hui, la protection des Israéliens du terrorisme (mur de sécurité) est devenue "l’apartheid".
Dans le même temps, s’il existe des différences légitimes sur la sagesse de politique des implantations israéliennes dans les zones gagnées en 1967 à la suite de l’agression arabe, ces différences sont sans rapport avec les rhétoriques politisées"d’apartheid".
Les disputes ethniques nationales, l’occupation et les charges de discrimination contre des minorités font parties aussi des conflits en Irlande du Nord, Chypre, Kosovo et Bosnie, au Sri Lanka, entre l’Inde et le Pakistan, etc… Seule la campagne de diabolisation est opérante à l’encontre d’Israël.
De toute évidence, la stratégie sud-africaine qui consiste à propulser la guerre politique contre Israël a de nombreuses faiblesses. Par exemple, face à une campagne de désinvestissement du campus de Columbia, le président de l’université, Lee Bollinger, appelle la comparaison d’Israël à l’apartheid d’Afrique du Sud de"grotesque et humiliante".
Il est nécessaire d’exposer le grand mensonge du centre de la campagne de l’apartheid.
Au-delà d’exposer l’absurdité des accusations portées contre Israël, il est temps de mettre en avant le racisme arabe et islamique- Comme indiqué au Soudan et ailleurs- Dans la lutte politique comme sur le champ de bataille militaire, la meilleure défense est une bonne attaque.
NDLR : Rappel le dossier complet sur Israël n'est pas un pays d'apartheid
[Samedi 13/03/2010 23:09]