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15 mars 2010 1 15 /03 /mars /2010 12:25
Le Vatican aurait aidé Eichmann à s'échapper
Par JPOST.FR 
14.03.10



On comprend mieux pourquoi le Vatican grince des dents quand il s'agit d'ouvrir ses archives


Selon un article du Daily Mail de dimanche, des militants allemands tentent de rendre publics les documents secrets concernant la fuite du nazi Adolf Eichmann après la Seconde Guerre mondiale. Selon le groupe, mené par le journaliste allemand Gabriele Weber, le dossier pourrait contenir les preuves que l'évasion d'Eichmann a été facilitée par le Vatican et par des agents allemands.


PHOTO: DR , JPOST

Les militants ont entamé un procès contre les services de renseignements allemands - le BND. Ils réclament la publication des 4 500 pages d'informations sur Eichmann. La Cour fédérale administrative de Leipzig étudie actuellement la requête et les documents dont il est question. Le BND, quant à lui, aurait affirmé que "la plupart des informations contenues dans les fichiers ont été fournies par un service de renseignements étranger anonyme" et doivent par conséquent rester secrètes afin de conserver de bonnes relations de coopération entre les agences de renseignements.

Le groupe persiste et signe

Cette déclaration n'a pas suffi à décourager les militants : "Il y a de solides raisons de croire [qu'Eichmann] a reçu de l'aide d'officiels allemands, italiens et du Vatican", disent-ils. L'avocat de Weber a déclaré au Daily Mail que Ricardo, le fils d'Eichmann, s'est lui aussi exprimé en faveur de la publication des documents.

En 1946, Eichmann a été capturé par l'armée et a traversé l'Atlantique en tant que prisonnier de guerre. La même année, il s'est échappé et s'est caché en Allemagne, puis en Italie et en Suisse, jusqu'à ce qu'il obtienne un nouveau passeport et un visa argentin sous une fausse identité, celle du réfugié Riccardo Klement. Sous cette nouvelle identité, Eichmann a pu obtenir de nouveaux papiers d'identité par l'Allemand Bishop Alois Hudal, qui travaillait depuis Rome. Cet homme est connu pour avoir aidé d'autres criminels nazis à échapper à la justice. Eichmann a vécu en Argentine pendant 15 ans avant d'être capturé par le Mossad. Il est mort pendu en Israël en 1962.

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14 mars 2010 7 14 /03 /mars /2010 03:17







A défaut de savoir faire la paix, l'autorité palestinienne excelle dans l'art de faire de la propagande


Photo UPJF

L’Autorité palestinienne veut mobiliser la Chrétienté contre Israël !

[Samedi 13/03/2010 23:09]

 

Dans le cadre de sa propagande tous azimuts contre Israël, l’Autorité palestinienne va prochainement organiser à Bet-Leh’em un Congrès Théologique sous le titre aguicheur de « Jésus au Check Point ». Ce qui est intéressant également, c’est que l’initiative en revient à … Salam Fayyad, le « modéré parmi les modérés », le « chouchou » de l’Occident, le « Ben Gourion palestinien » selon Shimon Pérès, et qui récemment brûlait en place publique des produits israéliens qui avaient le tort d’avoir été fabriqués par des entreprises israéliennes qui ont des antennes en Judée-Samarie.

C’est Fayyad lui-même qui inaugurera ce Congrès qui a pour but de sensibiliser et mobiliser les Chrétiens du monde « sur les obstacles imposés par Israël à des gens paisibles qui veulent simplement pouvoir aller et venir librement ».

Le choix de cette période pour une campagne de propagande en direction de la Chrétienté n’est pas fortuit. L’approche des fêtes chrétiennes de Noël ou de Pâques a toujours été exploitée par les Palestiniens pour utiliser les symboles chrétiens et faire des comparaisons des plus fantaisistes entre la vie de Jésus et le sort du « peuple » palestinien. On se souvient avec quelle habilité Yasser Arafat avait joué de cette corde, notamment lorsqu’il fit mettre et filmer un keffieh sur son siège vide à l’Eglise de la Nativité de Beth Leh’em, après que les Israéliens lui ont interdit de sortir de la Moukataa pour aller à la Messe de Minuit. Ces images avaient fait le tout du monde le soir du 24 décembre. Une autre fois, il avait déclaré aux caméras que « si Jésus revenait, il serait certainement un lanceur de pierres palestinien contre les tanks israéliens ». Il y a trois ans, à l’approche de la fête de Noël, l’Autorité palestinienne avait repris cette image, en disant cette fois « que si Jésus revenait, les Israéliens l’arrêteraient à l’un de leurs barrages de contrôle, et l’empêcheraient d’aller assister aux cérémonies religieuses chrétiennes à Beit Leh’em ». Soit dit en passant, « s’il revenait », c’est à n’en pas douter dans une synagogue qu’il irait, ne sachant pas ce qu’est une église… !

Les terroristes palestiniens avaient également tenté à deux reprises de mobiliser le monde chrétien en leur faveur : en tirant pendant des jours sur le quartier de Gilo (Jérusalem) depuis le village arabe chrétien de Beit Jallah (souvent contre l’avis des habitants), espérant que les répliques israéliennes tuent des Chrétiens, et également lors du fameux siège par Tsahal de l’Eglise de la Nativité à Bet Leh’em, dans laquelle s’étaient enfermés des dizaines de terroristes recherchés qui avaient pris en otage le personnel religieux de l’Eglise.

Le choix de Bet Leh’em pour un tel « Congrès théologique » est également stratégique pour l’Autorité palestinienne, qui veut faire oublier que la population chrétienne de la ville, jadis très majoritaire, est en passe de disparaître du fait de la fuite de nombreuses familles devant l’hégémonie musulmane, depuis qu’Israël a abandonné le contrôle de la ville à l’AP. Violences, vols, racket et diverses menaces sont régulièrement exercés par les « policiers » d’Abou Mazen sur les commerçants chrétiens de la ville, qui préfèrent quitter pour l’Europe ou les Etats-Unis avec leurs familles.

par Shraga Blum
actu.co.il 

 
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12 mars 2010 5 12 /03 /mars /2010 12:46




        
non boycott israel
Et non au Mythe de
      l'Apartheid




Merci à DEG pour l'envoi de cet article



Sur le site de l’Institut 
Hudson, 9 mars 2010

Texte anglais original: For Israel’s Arabs It Is Not Apartheid

Traduction française : D.E.G., pour debriefing.org



Pas d’apartheid pour les Arabes d’Israël,
Khaled Abu Toameh


Un député arabe du Parlement israélien [Knesset] qui fait le long voyage pour se rendre aux États-Unis et au Canada dans le but de dire aux étudiants et professeurs d’université qu’Israël est un État d’apartheid, n’est pas seulement un hypocrite et un menteur, mais il cause également des dommages énormes aux intérêts de ses propres électeurs arabes et de tous les électeurs.

Si Israël est un Etat d’apartheid, que fait cet Arabe à la Knesset ? Est-ce que l’apartheid ne signifie-t-il pas justement que quelqu’un comme ce député de la Knesset ne serait pas autorisé à se présenter aux élections ?

Heureusement, les citoyens arabes peuvent fréquenter les mêmes plages, les mêmes restaurants et les mêmes centres commerciaux que les Juifs dans cet « Etat d’apartheid ». En outre, ils peuvent se présenter à n’importe quelle élection et même avoir un ministre au gouvernement (Ghaleb Majadlah), pour la première fois.

Dans cet « Etat d’apartheid », la communauté arabe a une presse libre que de nombreux Palestiniens de Cisjordanie et de la bande de Gaza leur envient. Ironie de situation : un journal arabe de Nazareth ou de Haïfa sous législation israélienne bénéficie de plus de liberté que les médias contrôlés par le Hamas et le Fatah, ou par la plupart des dictatures arabes corrompues.

Autre ironie : ce membre du Parlement qui se plaint de l’apartheid jouit de plus de privilèges que la plupart des Juifs et des Arabes en Israël. En tant que parlementaire, il a le droit de faire beaucoup de choses qu’un citoyen ordinaire ne peut pas faire, essentiellement grâce à l’immunité dont il bénéficie en tant que représentant élu.

Son immunité parlementaire lui permet de pénétrer dans des zones où les simples citoyens juifs et Arabes ne peuvent accéder. Ce membre de la Knesset peut se rendre, par exemple, dans les territoires contrôlés par l’Autorité Palestinienne, alors qu’ils sont interdits aux simples citoyens israéliens depuis de nombreuses années.

Ce membre de la Knesset peut aussi parfois même contrevenir à la loi en visitant des pays hostiles comme la Syrie et le Liban et tenir des réunions publiques avec les dirigeants du Hamas et du Hezbollah [1].

Il est vrai que la communauté arabe d’Israël a longtemps été confrontée à des problèmes réels, qui doivent être traités d’urgence. Le principal problème est et demeure la discrimination par l’Establishment en particulier quand il s’agit de l’emploi, des infrastructures et de l’allocation des fonds publics et des terres.

Néanmoins, les citoyens arabes ne luttent pas pour la séparation d’Israël. Ils se battent plutôt pour l’intégration, l’égalité, de meilleurs services et un meilleur traitement. Les citoyens arabes sont heureux de vivre en Israël, où ils ont toujours eu une moyenne de 10 députés [2] à la Knesset.

En dénonçant Israël comme un Etat d’apartheid, ce membre du parlement, qui s’est envolé pour l’Amérique du Nord, aide effectivement ceux qui essayent d’éviter le vrai problème : la discrimination. En se focalisant sur la question de l’apartheid, il détourne l’attention du problème réel et trahi les intérêts de son propre peuple.

Les citoyens arabes d’Israël préféreraient voir leurs députés siéger au parlement et lutter pour l’égalité et de meilleurs services pour le secteur arabe plutôt que de les voir participer à la « Semaine de l’Apartheid d’Israël » dans une université d’Ottawa ou de Toronto.

Il est difficile de comprendre comment la participation d’un député arabe de la Knesset à la  « Semaine de l’Apartheid d’Israël » sur un campus universitaire aux États-Unis ou au Canada, aide la cause des 1,4 millions de citoyens arabes d’Israël. En fait, cela pourrait être dommageable aux citoyens arabes et à leur combat contre la discrimination.

La présence de ce député arabe israélien sur ces campus joue en faveur des israéliens qui accusent les citoyens arabes (la majorité d’entre eux restant loyale à l’État) d’être « une cinquième colonne » et un « ennemi de l’intérieur ». Plus les Juifs auront peur de leurs concitoyens arabes, plus ces derniers vont souffrir.

La meilleure façon de contredire les extrémistes comme ce député, est d’offrir aux citoyens arabes des services et des droits égaux. Bien sûr, Israël n’est pas un Etat d’apartheid. Mais Israël doit se réveiller et commencer à s’attaquer sérieusement au problème de la minorité arabe avant qu’il ne soit trop tard.

 

Khaled Abu Toameh


Institut Hudson, New York 


[1] C’est déjà arrivé plusieurs fois.


[2] 10 députés sur 120 membres de la Knesset, ce qui correspondrait à 48 députés arabes (sur 577) à L’Assemblée Nationale en France !

 

© Debriefing

 

Mis en ligne le 11 mars 2010, par Menahem Macina, sur le site debriefing.org



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12 mars 2010 5 12 /03 /mars /2010 05:51
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non boycott israel
Et non au Mythe
de l'Apartheid

Pour une vraie semaine d’éducation sur l’apartheid 
Par Alan M. Dershowitz
Jerusalem Post 07 mars 2010
 
 
Adaptation française de Sentinelle 5770
 
Chaque année à peu près à cette époque, des étudiants islamiques radicaux – soutenus par des professeurs anti-Israël radicaux – montent un évènement qu’ils appellent « Semaine d’Apartheid d’Israël ». Pendant cette semaine, ils tentent de persuader des étudiants sur les campus à travers le monde de disqualifier Israël comme un régime d’apartheid. La plupart des étudiants semblent ignorer les rodomontades de ces extrémistes, mais certains naïfs semblent les prendre au sérieux. Quelques étudiants pro-Israël et juifs disent qu’ils sont intimidés quand ils essaient de répondre à ces contrevérités. Etant fortement opposé à toute censure, ma solution est de combattre ce mauvais discours par un bon discours, aux mensonges par la vérité et à la mauvaise pratique éducative par l’éducation réelle.

Dans ce sens, je soutiens une “Semaine d’Education sur l’Apartheid au Moyen-Orient” à organiser dans les universités à travers le monde. Elle serait fondée sur le principe du « pire d’abord » selon les droits de l’homme universellement acceptés. En d’autres termes, les pires formes d’apartheid pratiquées par des nations et des entités du Moyen-Orient seraient étudiées et présentées d’abord. Puis les pratiques d’apartheid d’autres pays seraient étudiées selon l’ordre de gravité et d’impact sur les minorités vulnérables.
Selon ce principe, le premier pays étudié serait l’Arabie saoudite. Ce royaume tyrannique pratique l’apartheid à l’extrême selon le sexe, reléguant les femmes à un statut extrêmement bas. En fait, un imam saoudien important a récemment publié une fatwa déclarant que celui qui défend des femmes travaillant à côté d’hommes ou met en péril l’apartheid absolu entre les sexes mérite l’exécution.
Les Saoudiens pratiquent aussi l’apartheid fondé sur l’orientation sexuelle, exécutant et emprisonnant les homosexuels et lesbiennes saoudiens. Enfin, l’Arabie saoudite pratique ouvertement l’apartheid religieux. Il existe des routes spéciales pour « Musulmans seulement ». Elle fait de la discrimination contre les Chrétiens, leur refusant le droit de pratiquer ouvertement leur religion. Et il est inutile de dire qu’elle n’autorise pas les Juifs à vivre en Arabie saoudite, de posséder une propriété ou même (à quelques exceptions) d’entrer dans le pays. Voilà pour l’apartheid au plus haut niveau.  
La deuxième entité sur toute liste d’apartheid serait le Hamas, le gouvernement de facto de la bande de Gaza. Le Hamas discrimine aussi ouvertement contre les femmes, les homosexuels et les Chrétiens. Il ne permet aucune contestation, aucune liberté d’expression et aucune liberté de religion.
Chacun des pays du Moyen-Orient pratique ces formes d’apartheid à un degré ou à un autre. Considérez la nation les plus « libérale » et pro américaine de la région, à savoir la Jordanie. Le royaume de Jordanie, dont le roi lui-même admet que ce n’est pas une démocratie, possède une loi dans son code interdisant aux Juifs de devenir citoyens ou de posséder de la terre. Malgré les efforts de sa reine progressiste, les femmes sont toujours soumises de fait dans presque tous les aspects de la vie jordanienne.
L’Iran, bien sûr, ne pratique aucune discrimination contre les homosexuels, parce que son président a assuré qu’il n’y a pas d’homosexuels en Iran. Au Pakistan, des Sikhs ont été exécutés pour avoir refusé de se convertir à l’Islam, et à travers le Moyen-Orient, des crimes d’honneur contre les femmes sont pratiqués, souvent avec le clin d’œil complice des autorités religieuses et laïques.
Chaque pays musulman au Moyen-Orient possède une seule religion établie, à savoir l’Islam, et n’a aucune prétention à permettre l’égalité religieuse aux membres des autres religions. Voilà une brève revue de certaines, mais certainement pas toutes, pratiques d’apartheid au Moyen-Orient.
Maintenant tournons-nous vers Israël. L’Etat juif d’Israël, laïque, reconnaît pleinement les doits des Chrétiens et des Musulmans et interdit toute discrimination fondée sur la religion (exceptée contre les Juifs conservateurs et réformés, mais ceci est une autre histoire !). Les citoyens musulmans et chrétiens d’Israël (qui sont plus d'un million) ont le droit de vote et des élus à la Knesset, dont certains s’opposent au droit à l’existence d’Israël. Il y a un Arabe membre de la Cour Suprême, un Arabe membre du gouvernement et nombre d’Arabes israéliens occupant des positions importantes dans les affaires, les universités et la vie culturelle de la nation.

Il y a deux ans, j’assistais à un concert du YMCA où Daniel Barenboïm dirigeait un orchestre mêlant musiciens israéliens et palestiniens. L’auditoire était composé d’Israéliens et de Palestiniens, et l’homme assis à côté de moi était un Arabe israélien – le ministre de la culture de l’Etat d’Israël.  Quelqu’un peut-il imaginer que ce type de concert ait eu lieu dans l’Afrique du Sud de l’apartheid, ou dans l’apartheid d’Arabie saoudite ?
Il y a une liberté totale d’expression en Israël et elle est vigoureusement utilisée par les Musulmans, les Chrétiens ainsi que les Juifs. Et Israël est une démocratie vibrante.
Ce qui est vrai d’Israël même, y compris les régions arabes israéliennes, n’est pas vrai des territoires occupés. Israël a mis fin à l’occupation de la bande de Gaza il y a sept ans, pour n’obtenir que des attaques de roquettes du Hamas. Israël maintient son occupation de la Rive Occidentale uniquement parce que les Palestiniens ont refusé une offre généreuse d’Etat sur 97% de la Rive Occidentale, avec sa capitale à Jérusalem et 35 milliards de $ de compensation pour les réfugiés. S’ils avaient accepté cette offre du président Bill Clinton et du Premier ministre Ehud Barak, il existerait aujourd’hui un Etat palestinien sur la Rive Occidentale. Il n’y aurait pas de barrière de séparation. Il n’y aurait pas de routes réservées aux citoyens israéliens (Juifs, Arabes et Chrétiens). Et il n’y aurait pas d’implantations civiles.
Je me suis longtemps opposé aux implantations civiles sur la Rive Occidentale, comme beaucoup, peut-être la plupart des Israéliens le font. Mais appeler l’occupation continue, du fait du refus des Palestiniens d’accepter une solution à deux Etats « apartheid », est faire mauvais usage de ce mot. Comme ceux d’entre nous qui ont combattu dans la vraie lutte contre l’apartheid le comprendront, il n’y a aucune comparaison entre ce qui est arrivé en Afrique du Sud et ce qui se produit maintenant sur la Rive Occidentale. Comme le Représentant au Congrès John Connyors , qui aida à établir le rassemblement noir au Congrès, l’a bien formulé : « Appliquer le mot ‘apartheid’ à Israël ne sert pas la cause de la paix, et son usage contre le Peuple juif en particulier, dont les membres ont été victimes de la pire espèce de discrimination, discrimination aboutissant à la mort, est injurieux et faux ».
 
La « Semaine de l’Apartheid d’Israël » en cours dans les universités à travers le monde, en se focalisant seulement sur les imperfections de la seule démocratie du Moyen-Orient, est soigneusement conçue pour couvrir des problèmes infiniment plus sérieux d’apartheid réel dans les nations arabes et musulmanes. La question est pourquoi tant d’étudiants s’identifient avec des régimes qui dénigrent les femmes, les homosexuels, les non musulmans, les contestataires, les défenseurs de l’environnement et les avocats des droits de l’homme, tout en diabolisant un régime démocratique qui accorde des droits égaux aux femmes (le juge à la Cour Suprême et la Présidente du Parlement d’Israël sont des femmes), aux homosexuels (il y a des généraux ouvertement homosexuels dans l’armée israélienne, aux non juifs (Musulmans et Chrétiens occupent de hautes fonctions  en Israël) et aux contestataires (pratiquement tous les Israéliens contestent quelque chose).
Israël a le meilleur niveau en matière d’environnement au Moyen-Orient, il exporte plus de technologie pour la préservation de la vie que tout autre pays dans la région et il a sacrifié davantage pour la paix que tout autre pays au Moyen-Orient. Pourtant sur beaucoup de campus de collèges universitaires, Israël l’égalitaire est un paria, alors que le Hamas terroriste, sexiste, homophobe, antisémite est un champion. Il y a quelque chose de vraiment insensé dans ce tableau.

Lutter contre le boycott
Par HAVIV RETTIG GUR
11.03.10

Dans les prochains jours, doit se tenir la première réunion d'un groupe d'universitaires et de militants qui œuvrent pour une réponse agressive à la campagne internationale de "boycott, désinvestissement et sanctions" (BDS) à l'encontre d'Israël.

 

En France, des opérations de lutte contre le boycott des produits d'Israël.
Photo: Alain Azria , JPost

Le groupe, créé par le professeur d'histoire de l'Université McGill, Troy Gil, et l'analyste politique américano-israélien Mitchell Bard, vise à élaborer des recommandations concrètes aux principaux groupes juifs et au gouvernement israélien, pour lutter contre ce qu'il qualifie de "lutte acharnée, politique, économique, culturelle et idéologique contre l'existence même d'Israël".

Présidé par Troy et Bard, il a élaboré une première ébauche de ce qui est devenu un document de 14 pages qui appelle à un "nouveau plan d'action" dans la lutte contre la délégitimisation d'Israël sur les campus et dans les médias du monde entier.

"Le monde juif a besoin aujourd'hui de davantage de coordination, d'un partage des méthodes d'action, de plus de leadership dans la lutte contre l'antisémitisme. Les militants sur le terrain se sentent seuls", rapporte le document. "Ceux qui obtiennent des résultats positifs ne partagent pas leurs tactiques et stratégies. Les moins expérimentés gaspillent un temps précieux en ressources et en bonne volonté", poursuit-il.

"Mettre fin aux divisions de la communauté juive"

Selon le document de travail, "la critique de la politique israélienne ne peut être particulièrement utile". Et de marquer la différence entre la critique légitime et la "diabolisation". De fait, la nouvelle campagne aspire à "mettre fin à certaines divisions au sein de la communauté juive". Les moyens : ériger une grande tente sioniste, et y inviter les militants de la gauche israélienne, "qui défendent malgré tout l'existence d'Israël".

Parmi les recommandations spécifiques du document, une campagne pour l'adoption des lois contre le boycott et les campagnes de désinvestissement dans les pays concernés, la mise en place de "meilleures méthodes" pour lutter contre le mouvement BDS. Les ambitions se diversifient : création de réseaux pour rassembler et échanger les informations des organisateurs du mouvement, embauche de juristes locaux et d'universitaires dans différents pays pour mener des campagnes contre l'activisme BDS dans leurs localités, et "poursuite des stratégies de la satire - en particulier sur Internet". 


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12 mars 2010 5 12 /03 /mars /2010 05:33

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non boycott israel
Et non au Mythe
de l'Apartheid

Réponse à ceux qui accusent Israël d’apartheid
,
10 mars 2010, Analyse



Il est fréquent d’entendre qu’il faudrait, sur le plan international, réserver à Israël le même traitement que celui appliqué à l’Afrique du Sud lors de l’apartheid, c’est-à-dire instaurer un système de boycott généralisé à l’encontre de l’État d’Israël. Cette semaine a d’ailleurs été qualifiée, à l’initiative d’associations musulmanes et d’extrême gauche, de « semaine de l’apartheid » sur plusieurs campus européens et américains, sans compter bien évidemment la propagande dans les pays arabes.




Un parlementaire saoudien a même estimé son pays plus éclairé que l’État d’Israël. Bien évidemment, cela n’engage que lui.

L’enjeu est simple : forcer l’État d’Israël, par l’intermédiaire d’une forte campagne de boycott, de reconnaître des droits aux Palestiniens. L’accusation est récurrente sur le plan médiatique ; elle a même été une nouvelle fois proférée par un professeur de droit israélien, Barak Medina, pour dénoncer le projet de construction de route décidé il y a deux mois visant à désengorger la circulation à Jérusalem aux alentours de Guivat Tsarfatit.


Nous voudrions donc montrer que, juridiquement, cette accusation est non seulement infondée mais pernicieuse. Elle illustre parfaitement la mauvaise foi d’une argumentation en faveur d’un État binational qui ne veut pas s’afficher en tant que tel.
Sens de l’accusation de crime d’apartheid

Il faut, pour cerner le sens de cette notion, se référer à la définition qu’en donne la convention internationale sur l’élimination et la répression du crime d’apartheid. Nous nous proposons donc de commenter ce texte de façon à montrer qu’en aucune manière cette accusation ne peut concerner Israël. Que l’on ne nous accuse pas de juridisme puisque l’argumentation sur le sujet se veut précisément conforme à la règle de droit. Il est donc normal de rappeler ce que disent exactement les textes.

« Aux fins de la présente convention, l'expression “crime d'apartheid”, qui englobe les politiques et pratiques semblables de ségrégation et de discrimination raciales, telles qu'elles sont pratiquées en Afrique australe, désigne les actes inhumains indiqués ci-après, commis en vue d'instituer ou d'entretenir la domination d'un groupe racial d'êtres humains sur n'importe quel autre groupe racial d'êtres humains et d'opprimer systématiquement celui-ci. »

Autrement dit, il n’y a apartheid qu’à travers la formalisation d’une théorie de l’inégalité des races qui aboutit à distinguer une race supérieure d’une race inférieure. Sauf à soutenir l’existence d’une race juive et d’une race palestinienne, on mesure rapidement l’incongruité de l’accusation.

Dans ce cadre, pour qu’un fait soit constitutif d’apartheid, il est indispensable de démontrer que l’action de ses auteurs s’inscrit dans une perspective raciale. C’est un élément récurrent de l’incrimination quel que soit le comportement visé. Il est donc plus facile de crier à l’apartheid que de véritablement en démontrer l’existence.

Il s’agit de ne pas confondre les distinctions établies par l’État, la critique que l’on peut formuler de ces distinctions en invoquant le principe de non-discrimination et l’accusation de pratiquer l’apartheid. Dans le cas présent, l’ambiguïté provient de la critique systématique des distinctions entre Palestiniens et Israéliens comme constitutives de discriminations. Pour autant, si ces distinctions ne sont pas établies, on ne voit pas l’intérêt des négociations en faveur d’un État palestinien. La chose est d’autant plus piquante que, sauf erreur de notre part, les Israéliens n’ont pas le droit de circuler dans les territoires relevant de l’autorité palestinienne alors que la réciproque n’est pas vraie.

Il convient donc de bien mesurer la portée de l’accusation de crime d’apartheid.
Portée de l’accusation de crime d’apartheid


Cette accusation s’inscrit plus largement dans une nouvelle stratégie de délégitimation de l’État d’Israël. On rappellera en effet que, conformément à l’article 7 du statut de la Cour pénale internationale, l’apartheid relève de la catégorie des crimes contre l’humanité - on entend par « crime contre l’humanité » l’un quelconque des actes ci-après lorsqu’il est commis dans le cadre d’une attaque généralisée ou systématique lancée contre toute population civile et en connaissance de cette attaque…


On mesure bien à la lecture du premier alinéa de l’article 7 qu’une simple mesure de construction de route ne peut générer une politique d’apartheid. D’une part, manque la dimension raciale de la politique critiquée ; d’autre part, manque également le cadre dans lequel se pratiquerait une telle politique (une attaque généralisée ou systématique) !

Bref, confondre la situation israélienne avec l’ancienne réalité sud-africaine procède d’une comparaison abusive totalement infondée que la logique du débat démocratique conduit à rejeter sans aucune hésitation. Mais qui a dit que les critiques d’Israël étaient animés par des sentiments démocratiques ?

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11 mars 2010 4 11 /03 /mars /2010 17:08




   

  



Merci à HANNA 

LE DOSSIER 



Traduction et adaptation par HANNA pour sionisme.xooit.com de Labeling Israel as an "apartheid state" is the embodiment of the new anti-Semitism that seeks to deny the Jewish people the right of equality and self-determination among the nations.



L’étiquetage d’Israël comme étant un Etat "d’apartheid"est l’incarnation de la nouvelle législation antisémite qui cherche à nier au peuple juif le droit à l’égalité et l’autodétermination des nations.

La résolution 1975 de l’ONU assimilant le sionisme au racisme est le coup de feu pour démembrer Israël, dans la guerre politique menée aux travers de ce que les dirigeants palestiniens appellent "la stratégie sud-africaine". Le processus s’est poursuivi, notamment à la Conférence de Durban de 2001, contre le racisme et dans la campagne de propagande qui tente sous l’étiquette anti-israélienne de freiner la lutte contre le terrorisme, en désignant le mur de séparation comme étant un "mur de" l’apartheid.

 

Le 24 août, Ha’aretz a rapporté que le professeur sud-africain, John Dugard, rapporteur spécial des Nations Unies sur la situation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens, a déclaré à l’assemblée générale des Nations unies qu’il existait un "régime d’apartheid" dans les territoires "pire que celui qui existait en Afrique du Sud".

Bien que la comparaison entre Israël et le régime d’apartheid qui a gouverné l’Afrique du Sud soit entièrement fictive. Les efforts aux fins de diabolisation, sont propulsés par la répétition et le renforcement de cette analogie. La tentative à vouloir montrer Israël comme illégitime et comme un "Etat d’apartheid" est l’incarnation de la nouvelle législation antisémite, qui cherche à nier au peuple juif le droit à l’égalité et à l’autodétermination des nations.

 

La stratégie sud-africaine n’est pas simplement basée sur la rhétorique, c’est aussi, les appels au boycott universitaire, qui ont lieu de manière courante en Europe et ailleurs, en brandissant des pancartes lors de manifestation afin de briser l’image d’Israël.

Il existe un vaste réseau d’acteurs puissants et non-gouvernementaux (ONG). Telles que Human Rights Watch, Ammesty, Christian Aid, des palestiniens et leurs alliés arabes et israéliens, qui sont les principaux canaux de diffusion de gros mensonges de crimes "de guerre" et "d’apartheid". De même, la répétition de la rhétorique de la diabolisation par des responsables palestiniens et arabes, dans les médias contribue à impulser cette stratégie.

 

 

Leur objectif à long terme est d’utiliser l’ONU pour imposer des sanctions économiques contre Israël, en élargissant le boycott arabe vers une grande partie du monde.

D’une résolution de l'ONU d'imposer des sanctions, en citant le rejet israélien de l'avis consultatif de la CIJ.

Les mesures économiques ont contribué à la chute du régime de l’apartheid, en Afrique du Sud- C’est l’attrait de cette approche- L’exploitation récente de l’ONU pour mettre en accusation Israël concernant la construction d’une barrière de sécurité, a été suivi de pseudos sanctions juridiques, émanant de la Cour internationale de Justice, qui sont des éléments importants pour arriver à leur finalité. Suivant l’ordre du jour, il y aura l’introduction d’une résolution de l’ONU afin d’imposer des sanctions, en citant le rejet israélien de l’avis consultatif de la CIJ.

 

 

En réalité, l’analogie et la rhétorique sont absurdes, et ils avilissent les chefs politiques du régime d’apartheid d’Afrique du Sud, par rapport aux victimes noires.Le sionisme et la renaissance de la souveraineté nationale dans la patrie juive, ne sont pas les manifestations du colonialisme européen, contrairement à ce qui a été créé à Johannesburg et Pretoria, par les colons blancs (Afrikaners, Anglais et autres). Tandis que l’exploitation des Noirs se faisait dans des conditions d’esclavage, sous l’apartheid, en revanche, les Palestiniens sont tributaires de l’emploi israélien en raison de leur corruption interne et ses échecs économiques. Israël ne bénéficie pas de la main-d’œuvre palestinienne bon marché et non qualifiée- en vérité, la dépendance des Palestiniens est d’une manière un flux pour les deux sociétés.

 

De même, alors que l’apartheid sud-africain, était basé sur la négation de la souveraineté pour la population noire, les Israéliens ont accepté la "solution à deux Etats" et le plan de partage de l’ONU, dès le début de 1947. Les citoyens arabes d’Israël ont les mêmes droits démocratiques que les Israéliens, y compris la représentation parlementaire totale et la liberté d’expression- en contraste avec les Noirs sous l’apartheid ou les minorités dans la plupart des pays arabes-

 

 

Les revendications politisées clamant qu’Israël est un pays "d’apartheid" tend à fausser les données historiques des faits réels, tout en dénigrant les souffrances des victimes sud-africaines noires.

Par contre, le racisme et la négation de la caractéristique de la légitimité de l’apartheid sont effectivement applicables aux arabes et islamistes, qui se traduisent par le rejet des droits des Juifs. Au Moyen-Orient, et ainsi qu'ailleurs dans le monde, les Juifs sont une infime minorité opprimée, luttant pour préserver leur identité culturelle pour survivre dans un environnement hostile et violent.  Ces faits sont politiquement incorrects et incompatibles avec la diabolisation d’Israël.

 

 

La propagande "Sionisme est l’apartheid", est aussi utilisée pour justifier les attentats terroristes palestiniens, ainsi que les efforts visant à nier aux Israéliens le droit fondamental de légitime défense pour ne pas être, par exemple, victimes dans un bus d’un attentat à la bombe.

En effet, l’emploi acharné de l’expression "mur de l’apartheid" par les propagandistes palestiniens, dont le Dr Hanan Ashrawi, représentant à l’ONU, Nasser Al-Kidwa ainsi que des ONG telles que B’Tselem, Mossawa, Adallah, ISM, cherchent à continuer à exposer les Israéliens à des attaques terroristes.

 

 

En criant rageusement "apartheid" à toute occasion, les dirigeants de cette campagne ont réussi à enterrer des données démontrant que cette barrière de sécurité a sauvé de nombreux Israéliens. La politique immorale, du double langage d’aujourd’hui, la protection des Israéliens du terrorisme (mur de sécurité) est devenue  "l’apartheid".

Dans le même temps, s’il existe des différences légitimes sur la sagesse de politique des implantations israéliennes dans les zones gagnées en 1967 à la suite de l’agression arabe, ces différences sont sans rapport avec les rhétoriques politisées"d’apartheid".

Les disputes ethniques nationales, l’occupation et les charges de discrimination contre des minorités font parties aussi des conflits en Irlande du Nord, Chypre, Kosovo et Bosnie, au Sri Lanka, entre l’Inde et le Pakistan, etc… Seule la campagne de diabolisation est opérante à l’encontre d’Israël.

 

De toute évidence, la stratégie sud-africaine qui consiste à propulser la guerre politique contre Israël a de nombreuses faiblesses. Par exemple, face à une campagne de désinvestissement du campus de Columbia, le président de l’université, Lee Bollinger, appelle la comparaison d’Israël à l’apartheid d’Afrique du Sud de"grotesque et humiliante".

Il est nécessaire d’exposer le grand mensonge du centre de la campagne de l’apartheid.

Au-delà d’exposer l’absurdité des accusations portées contre Israël, il est temps de mettre en avant le racisme arabe et islamique- Comme indiqué au Soudan et ailleurs- Dans la lutte politique comme sur le champ de bataille militaire, la meilleure défense est une bonne attaque.

NDLR : Rappel le dossier complet sur Israël n'est pas un pays d'apartheid

Par Administrateurs - Publié Dans : annonce - Communauté : L'Equipe J.A.G - TOP NEWS - 


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10 mars 2010 3 10 /03 /mars /2010 08:26
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Quelques exemples parmi tant d'autres !!!

Le saccage archéologique  des fondations du Mont du Temple par le WAQF, ou  
Près de Nazareth, la tombe de Rabbane Chim'one Ben Gamliel profanée - Vidéo,
ou encore L’Irak efface le passé juif de la tombe d’Ezéchiel, sans parler des cimetières dont les pierres tombales sont utilisées à la construction par exemple en Algérie.

La liste est tellement longue....a donner la nausée...




Comment le monde arabe respecte les lieux saints juifs

  03 mars 2010, Israël






Le tollé d'indignation soulevé dans le monde arabe, par la récente décision du gouvernement Nétanyaou d'inclure le Caveau des Patriarches à Hévron et le Tombeau de Ra'hel, à Bethléem, dans la liste des sites historiques laisse songeur. En effet comment les mêmes qui s'empressent de condamner Israël et s'insurgent contre " la profanation des lieux saints de l'Islam " ont, dans le passé, cautionné une profanation massive de lieux parmi les plus saints du judaïsme ? Un rappel historique indispensable pour défendre la cause d'Israël auprès des nations. 


Rabbi Youdan Ben Simon dit : " Il existe trois lieux que les nations du monde ne peuvent s'approprier en accusant Israël de les avoir volés : le Caveau des patriarches, le Bet Hamikdach (le Temple) et le Tombeau de Yossef (Midrach Béréchit Raba). 
Jamais ces paroles de nos Sages n'auront semblé plus d'actualité qu'aujourd'hui, alors que le gouvernement israélien réaffirme officiellement le lien historique qui relie le peuple juif avec son patrimoine et avec ses lieux saints, suscitant ainsi la colère des nations et en particulier d'un monde arabe qui pourtant s'est distingué dans la profanation de sites chers à l'histoire du peuple juif : . 
" Cette décision s’inscrit dans la vieille tradition politique sioniste visant à annexer et à judaïser les territoires palestiniens "a déclaré le Premier ministre du Hamas. Pour le leader du Hamas à Gaza, Israël chercherait donc à judaïser le Caveau des Patriarches !
Il faut avoir une certaine dose de toupet pour oser ainsi falsifier l'histoire, surtout lorsque l'on appartient à une nation arabe qui dans un passé récent s'est distinguée par sa violence et par son profond mépris pour les lieux saints du judaïsme. Comme le prouvent les exemples suivants : 


Le tombeau de Yossef à Che'hem

Selon la tradition talmudique, le tombeau de Yossef Hatsaddik se trouve à Che'hem (Naplouse), dans les territoires placés, depuis les accords d'Oslo, sous l'administration de l'Autorité palestinienne. Selon ces accords, le tombeau devait rester sous la responsabilité de Tsahal et était considéré comme une enclave israélienne au milieu des territoires palestiniens. Mais dès 1996, le tombeau de Yossef est attaqué par des Palestiniens et une unité de Tsahal dépêchée sur place est prise au piège. Six soldats meurent durant les combats. 
Le 1er octobre 2000, un garde-frontière, Madhat Youssouf, est grièvement blessé durant une nouvelle attaque palestinienne. Il agonise puis succombe à ses blessures avant que les Palestiniens n'autorisent l'accès du site aux équipes médicales israéliennes. Tsahal abandonne le tombeau après que l'Autorité palestinienne a pris l'engagement de respecter la sainteté du site. Mais quelques jours plus tard, le 7 octobre 2000, le tombeau de Yossef est incendié par les émeutiers palestiniens. Il sera ensuite transformé en dépotoir par les Palestiniens. Par la suite, Tsahal a repris le contrôle de Naplouse et en décembre 2009, il permet à une entreprise de rénovation israélienne de se rendre sur place pour réparer les dégâts. 

La synagogue d'Avraham Avinou


La synagogue Avraham Avinou a été construite au 16e siècle en plein cœur de Hébron par un groupe de Juifs expulsés d'Espagne. Le nom de cette synagogue est tiré d'une légende selon laquelle le jour de Kippour, alors qu'il n'y avait que neuf Juifs dans la ville des Patriarches, un inconnu arriva dans la synagogue et participa aux prières, permettant ainsi de réunir un minyane. À la sortie de Kippour, cet homme disparut mais le rav de la communauté fit alors un rêve dans lequel cet homme lui affirmait qu'il était Avraham Avinou. 
Durant le massacre de 1929, au cours duquel 66 Juifs de Hébron furent assassinés, les Arabes de la ville détruisirent la synagogue et la transformèrent en toilettes publiques, dépotoir et étable. 
Ce n'est qu'en 1967, avec le retour des Juifs dans la ville des Patriarches, que la synagogue d'Avraham Avinou fut restaurée. 

Le cimetière de Har Hazeitim (Mont des Oliviers)


Le cimetière du Mont des Oliviers date de l'époque du Premier Temple. D'emblée, il fut considéré comme détenant une sainteté particulière puisque, selon le midrach, les personnes qui y sont enterrées seront les premières à ressusciter lors de la résurrection des morts. 
La première profanation recensée de ce cimetière date de 1782. C'est à cette date que des rabbanim ont accusé les Arabes de Jérusalem de détruire les stèles et de labourer le terrain. Quant aux habitants du village de Silwan, qui jouxte le mont des Oliviers, ils avaient pris l'habitude d'exiger des sommes énormes des endeuillés venus enterrer leur proche dans le cimetière en échange de la protection de la tombe. En 1949, lorsque la partie Est de Jérusalem passa sous contrôle des Jordaniens, le cimetière fut massivement profané et les pierres tombales servirent à daller la route reliant Jérusalem à Jéricho. L'État d'Israël déposa alors une plainte officielle à l'Assemblée de l'ONU. Sans être entendu. Durant les années 50, l'armée jordanienne utilisa le marbre des stèles pour la construction de bases militaires et pour le dallage des toilettes de ses soldats ! Le gravier qui a servi à la construction de l'hôtel Intercontinental, sur le mont des Oliviers, a été produit par le broyage des stèles du cimetière ! Par ailleurs, la route qui mène à l'hôtel a été construite sur les tombeaux et lorsque les Jordaniens ont agrandi la route qui mène vers Jéricho, ils ont détruit six rangées de tombes et dispersé les ossements de toutes parts. 
Aujourd'hui encore, le cimetière est victime de vandalisme et d'actes fréquents de profanation, et des troupeaux y paissent quotidiennement. Ainsi, il y a quelques jours, le tombeau de l'Admour de Lélov a été incendié et ce, alors qu'il y a trois mois, la matséva de ce même tombeau avait été détruite à coups de marteau ! 

Les écuries du roi Salomon. 

C'est le nom donné à une salle souterraine d'une superficie d'environ un demi hectare et qui est située dans le coin sud-est du Mont du Temple. Cette salle a été construite à l'origine par le roi Hérode qui voulait ainsi consolider l'esplanade du mont du Temple. À l'époque des Croisés, cette salle servit d'écurie puis fut abandonnée et se remplit peu à peu de terre et de détritus. À l'extrémité sud-est de la salle, on trouve une petite chambre que les Chrétiens appellent le '' berceau de J.C. '' et dont l'un des murs appartient au '' Kotel Hadromi '', le mur méridional du Mont du Temple. 
En juin 1995, l'Autorité israélienne des antiquités permit l'ouverture d'une partie de cette salle et sa transformation en lieu de prière musulman. Mais lors des travaux d'aménagement qu'il orchestra, le Waqf musulman pris soin de faire disparaître tout vestige archéologique pouvant lier le peuple juif au mont du Temple, causant ainsi de graves dégâts sur place.. En entreprenant la construction de cette mosquée, les Islamistes ont voulu réécrire l'histoire et dénier à Israël le droit de revendiquer une quelconque souveraineté sur le Mont du Temple. 

Les synagogues du Gouch Katif


Été 2005. Les 8 000 habitants juifs du Goush Katif sont expulsés par Tsahal de leurs maisons. Mais le gouvernement Sharon qui a su faire montre de fermeté dans le respect de ses mesures hésite au sujet du sort des synagogues des villages du Goush. Des rabbanim tentent de convaincre Ariel Sharon de déplacer ces lieux saints en dehors de la bande de Gaza, d'autres personnes lui conseillent de les détruire de crainte que les Palestiniens ne s'en chargent eux-mêmes. Le rav Yossef Chalom Eliachiv donna son aval au maintien des synagogues, mais uniquement après que les Palestiniens ont pris l'engagement solennel de les préserver. Mais Tsahal n'était pas encore sorti de la bande de Gaza que quatre synagogues, celles de Morag, Netsarim, Nevé Dekalim et Kfar Darom furent profanées et brûlées. Plus tard, toutes les synagogues du Goush furent soit détruites, soit transformées en étables, en poulaillers ou en dépotoirs. En réaction à ces actes outrageants, le Président de l'Autorité palestinienne, Abou Mazen, se transforma en spécialiste des lieux saints juifs puisqu'il affirma que ces Baté Knesset avaient perdu leur sainteté puisque les Juifs avaient quitté les lieux.... 


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8 mars 2010 1 08 /03 /mars /2010 09:44

 

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Israël - Question clé des lieux saints

4400510629_8b29656f25.jpg__“L'esplanade des Mosquées est le troisième lieu saint de l'islam, après La Mecque et Médine. Les juifs l'appellent le mont du Temple, qui est considéré comme le site le plus sacré du judaïsme” écrit L’Orient-Le Jour du 06 mars. 


Ne discutons pas des raisons historiquement objectives qui font de l’esplanade des Mosquées le “troisième lieu saint de l’islam, après La Mecque et Médine” en rappelant à ceux qui ne le sauraient encore que le nom de Jérusalem, qu’il soit sous sa forme arabe d’Al Qods ou pas, ne figure nulle part dans le Coran.

 

Laissons à ceux que l’étude de la troisième religion monothéiste intéresse le soin de vérifier, par eux-mêmes, que c’est seulement à la suite de la bataille d’Al Yarmouque en l’an 633 qu’une partie de ce territoire du nord, la Syrie d’aujourd’hui, passa sous domination islamique. C’est-à-dire 1 an après la mort de Mahomet.
 

Il est vrai aussi que,s’il est possible que ce dernier projetait de l’atteindre un jour, ce n’est qu’en 638 que le calife Omar reçut les clefs de la ville de la main de ses habitants que le Prophète lui-même nommait “al-mourabitoune”, c’est-à-dire les résistants. Ce sera bien longtemps après la disparition de Mahomet que les savants musulmans supputeront sur la situation du lieu d’où le Prophète monta au ciel, dans un rêve, sur sa jument ailée Al Bourak.
 

Nous n’épiloguerons pas davantage sur les raisons pour lesquelles le Prophète Mahomet en personne changea de qibla (direction de la prière), en ne se tournant plus vers Aelia (le nom de Jérusalem à cette époque), mais vers La Mecque. Peut-être était-ce parce que la sainteté originelle de Jérusalem ne correspondait plus au nouvel objet de la mission qu’il s’était fixée? Ou encore qu’il avait décidé de rompre sa filiation spirituelle pour exercer un pouvoir moins...intemporel ?
 

Quoi qu’il en soit, ni les Juifs ni les Chrétiens n’ont jamais cherché à contrarier le choix de l’Islam quant à son troisième lieu saint. 
 

Cette mise au point étant faite, venons-en à ce qui est inquiétant dans la formulation de L’Orient-Le Jour, quotidien libanais qui n’a aucune leçon de langue française à recevoir et a toujours soigneusement pesé ses mots.


Ce journal, et c’est un euphémisme, ne peut être suspecté de quelque proximité que ce soit à l’islamisme, même lorsqu’il s’oppose radicalement à l’existence de l’Etat Juif. Il n’empêche.
 

Ecrire que ce sont les Juifs qui “l’appellent le Mont du Temple”et qu’il est “considéré” comme “le site le plus sacré du judaïsme” c’est se faire l’écho d’une rhétorique dont l’ambiguïté n’a d’autre dessein que de pervertir un débat religieux déjà fort agité.
 

Les Juifs “l’appellent le Mont du Temple” parce que le Temple fut une réalité historique, le lieu de convergence de la foi juive, et que Jérusalem fut de tous temps la seule et unique capitale des différents Royaumes juifs. 
 

Faut-il rappeler que les Juifs, eux, n’ont jamais changé de “qibla” ? Sinon que l’on nous dise où était ce Temple et à quelle réalité géographique “Les Templiers” chrétiens renvoyaient l’origine de leur dénomination. Quel est le Temple que Pline l’ancien vit de ses propres yeux? Sans parler de Titus dont tous les historiens s’accordent à reconnaître qu’il ne se contenta pas de détruire une “considération” juive.
 

Pourquoi écrire qu’il est un lieu “considéré”? serait-ce parce que d’autres nations auraient maintenant en réserve un lieu encore plus sacré à proposer à ce Peuple sans imagination ?
 

A moins de conclure confortablement, avec Shlomo Sand, que l’origine du Peuple Juif remonte à une apparition d’extra-terrestres à la fin du Moyen-âge, il n’est pas utile de “considérer” ce qui “est”.
 

Nous touchons là au fond du débat, au fond et à la limite extrême du problème qui, il est vrai, doit prendre en compte toutes les susceptibilités ; et ce ne sont pas les jets de pierre de l’entrée du Shabbat sur des Juifs en prière qui présagent d’un prochain rapprochement sur cette question religieuse dont on peut redouter les pires conséquences.
 

Ces musulmans manipulés, mais aussi ceux qui se cachent derrière eux, devront bien un jour ou l’autre se poser la question à laquelle pourrait, aussi, répondre le quotidien libanais:
 

est-ce que nier que Jérusalem est réellement LE lieu le plus saint du Judaïsme ce n’est pas nier le Texte sur lequel repose cette affirmation et donc se nier soi-même ? On ne peut à la fois se réclamer d’Abraham et des prophètes de l’Ancien Testament et, dans un même souffle, réfuter l’ensemble du corpus qui en a institué la figure.
 

A moins de décider que l’argument d’une razzia qui date de 1350 ans se soit  transformé en loi éternelle et ainsi donner raison à ceux qui, en Israël, ne veulent pas lâcher le moindre pouce d’une terre pour laquelle ils se sont battus.

M.S

 
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6 mars 2010 6 06 /03 /mars /2010 18:29
Israël va bientôt annoncer son opinion sur l’affaire Al-Doura.
 
Mis à jour: 05/mars/2010 15:50
Daniel Seaman, directeur du bureau de presse du gouvernement israélien, lors de la conférence organisée par l'ORT à Bruxelles, jeudi 4 mars 2010.
Photo: Doron Chmiel





Enfin ! ce qui forcément aidera à la dure bataille qu'à mené notre ami Philippe Karsenty.

Israël annoncera bientôt son opinion sur l'affaire d'Al-Doura, ce reportage controversé diffusé par la chaîne de télévision France 2 sur la mort d’un d'un garçon de 12 ans pendant le deuxième intifada en septembre 2000, a indiqué Daniel Seaman, directeur du bureau de presse du gouvernement israélien (GPO). 


Selon le reportage, l’armée israélienne a délibérément tiré sur le jeune garçon Mohammed al-Doura au cours d’un tir croisé avec des Palestiniens armés.
 
"L'état de l'Israël a effectué ces deux derniers mois une enquête très approfondie sur cette affaire. Nous sommes actuellement occupés à formuler nos conclusions et nous ferons connaître la position du gouvernement israélien", a-t-il déclaré à Bruxelles au cours d’une conférence à Bruxelles organisée par l’ORT sur le sujet de la "manipulation des médias dans le conflit du Moyen-Orient".
 
En tant que responsable du GPO, Daniel Seaman travaille avec des centaines de médias étrangers qui couvrent les événements en Israël.
 
"Nous ne voulons pas que l’on pense que nous ayons une opinion préconçue au sujet de cette affaire mais nous voulons trouver la vérité. Si Israël croit qu'il doit être blâmé, il prendra ses responsabilités, sinon ce sera la recherche honnête de la vérité," a-t-il dit, rappelant que le gouvernement israélien a maintenu le silence à ce sujet depuis plusieurs années.
 
"Nous donnerons notre avis sur ce qui s'est produit", a-t-il ajouté, refusant de spéculer sur les conclusions de l’enquête.
 
Il a cependant dit soutenir ceux qui remettent en cause le reportage de France 2 "parce qu'il y a assez de preuves indépendantes qui au moins soulignent la nécessité de réévaluer le reportage".
 
Le directeur du site français Média Ratings, Philippe Karsenty, a mis en doute la fiabilité du reportage diffusé par France 2 et réalisé par Charles Enderlin, son correspondant en Israël. Les téléspectateurs ont pu assister à la mort "en direct" de l’enfant palestinien le 30 septembre 2000.
 
Le reporter de France 2 a prétendu que l’enfant et son père avaient été atteints par des balles israéliennes : si le père a survécu à ses blessures, son fils en serait mort.
 
Karsenty a présenté notamment un rapport balistique et des images filmées provenant d’autres sources qui selon lui démontrent que la mort de Mohammed Al-Doura dans les bras de son père avait été "mis en scène".
 
La direction de France 2 soutient son correspondant et le cameraman palestinien qui a filmé la scène.
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6 mars 2010 6 06 /03 /mars /2010 18:16




Avocat




L’arme ultime contre le boycott.

[Mercredi 03/03/2010 15:00]

 

On se souvient de ces images consternantes de groupuscules antisémites et islamistes venus faire du grabuge dans les grandes surfaces en France et en Belgique. Sous le regard effaré des consommateurs et l’impuissance des employés, ces sections d’assaut antisionistes s’introduisaient de façon tonitruante pour confisquer les produits israéliens des étalages et les détruire . Leur objectif consistait à dissuader les chaines de distributions d’exposer des marchandises en provenance d’Israël.

On craignait pour les exportations israéliennes et surtout pour les produits de l’agroalimentaire très présents sur les marchés européens.

 Agrexco est la coopérative de distribution des fruits et des légumes d’Israël à l’étranger. C’est donc dans cette compagnie, où l’inquiétude était à son comble, qu’on s’est mobilisé pour trouver la parade au boycott. On déplore souvent le fait qu’il n’y ait que peu d’avocats sachant défendre l’image de marque de l’Etat juif. C’est au pied de la lettre que les gens d’Agrexco ont compris cela. Cette coopérative israélienne inonde l’Europe d’avocats de première qualité qui plaident avec brio le cas israélien dans les assiettes des consommateurs européens.

Le Wall Street Journal rapporte que les exportations d’avocats représentent un tiers des exportations de fruits en Europe. Pour cette saison on s’attend à une augmentation de 50 pour cent (?!) des ventes d’avocats israéliens. Pendant l’année 2009, alors que les appels au boycott ont fait beaucoup de bruit, les exportations d’Agrexco en Europe ont augmenté de 12 pour cent, un plébiscite incontestable des consommateurs européens pour les produits agricoles israéliens.

 Alors probablement, contrairement à l’atmosphère induite par les médias européens, le consommateur européen est beaucoup moins enclin à écouter les vociférations antisémites d’appel au boycott d’Israël. L’éducation à la consommation intelligente et la tendance aux produits naturels de qualité le menant tout naturellement aux produits du terroir israélien dont la réputation n’est plus à refaire. La sympathie pour le peuple d’Israel n’est peut-être pas étrangère non plus dans les choix du consommateur européen.

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