Le correspondant de France 2 à Gaza, Talal, qui a filmé la scène (…) travaille en toute confiance pour notre chaîne depuis 1988. Charles Enderlin Pour moi, l’image correspondait à la réalité de la situation non seulement à Gaza, mais aussi en Cisjordanie. L’armée israélienne ripostait au soulèvement palestinien par l’utilisation massive de tirs à balles réelles. (…) Du 29 septembre à la fin octobre 2000, 118 Palestiniens sont morts, parmi eux 33 avaient moins de 18 ans. Onze Israéliens ont été tués, tous adultes. (…) J’ai coupé les images de l’agonie de l’enfant. C’était trop insupportable. L’histoire était racontée, l’information donnée, ça n’aurait rien ajouté. Quant au moment où le gamin reçoit des balles, il n’a même pas été filmé. Charles Enderlin En répondant à Denis Jeambar et à Daniel Leconte dans le Figaro du 23 janvier 2005 que « l’image correspondait à la réalité de la situation, non seulement à Gaza, mais en Cisjordanie », alors que la diffusion d’un reportage s’entend comme le témoignage de ce que le journaliste a vu et entendu, Charles Enderlin a reconnu que le film qui a fait le tour du monde en entrainant des violences sans précédent dans toute la région ne correspondait peut-être pas au commentaire qu’il avait donné. Laurence Trébucq (Présidente de la Cour d’appel de Paris, le 21 mai dernier) La tâche sacrée des journalistes musulmans est, d’une part, de protéger la Umma des « dangers imminents », et donc, à cette fin, de « censurer tous les matériaux » et, d’autre part, « de combattre le sionisme et sa politique colonialiste de création d’implantations, ainsi que son anéantissement impitoyable du peuple palestinien ». Charte des médias islamiques de grande diffusion (Jakarta, 1980)
Il s’agit de formes d’expression artistique, mais tout cela sert à exprimer la vérité… Nous n’oublions jamais nos principes journalistiques les plus élevés auxquels nous nous sommes engagés, de dire la vérité et rien que la vérité. Haut responsable de la Télévision de l’Autorité palestinienne
Je suis venu au journalisme afin de poursuivre la lutte en faveur de mon peuple.Talal Abu Rahma (lors de la réception d’un prix, au Maroc, en 2001, pour sa vidéo sur al-Dura)
L’image de Mohammed et Jamal Al-Dura se cachant derrière un fût de béton, dans le vain espoir d’échapper aux balles des soldats israéliens, est devenue le symbole de la cruauté et de la brutalité d’Israël et a donné de Tsahal l’image d’une armée assoiffée de sang, et agissant selon des normes illégitimes. Les 55 secondes diffusées par France 2, la chaîne [nationale] de télévision française, au terme desquelles le journaliste, Charles Enderlin, déclara : « Mohammed est mort », ont ouvert « les vannes d’un énorme déluge de désirs de vengeance », pour reprendre les termes de Amos Arel et Avi Isacharoff, dans leur livre « La septième guerre ». Reuven Pedatzur
Nous ne voulons pas la guerre. Nous souhaitons que le calme et la paix pour notre peuple. Mais si une bataille nous est imposée, nous sommes prêts avec tous nos effectifs et équipements pour affronter n’importe quelle guerre sioniste, tout crime et toute attaque indépendamment de l’échelle. (…) L’ennemi développe ses armes et utilise des armes interdites au niveau international contre nous. Par conséquent, nous avons le droit d’utiliser toute arme que nous jugeons appropriée et nous avons le droit de faire entrer dans Gaza toute arme que nous considérons comme approprié à la bataille en cours avec l’occupation.Abu Ubaida Izz el-Deen (porte-parole des Brigades al-Qassam, branche armée du Hamas, décembre 2009) Le Hamas continuera de rejeter l’occupation et de refuser de reconnaître la légitimité de l’entité sioniste. La priorité reste de construire et de développer la résistance. (…) La pression, le siège, les tentations, les portes ouvertes ou les canaux de communication ne berneront pas le Hamas, qui n’acceptera aucun compromis sur les droits. Le Hamas ne sera séduit que par la restitution de la terre. (…) Le Gaza triomphant est aujourd’hui encore blessé. Ses maisons sont toujours détruites. Il est toujours assiégé et ses frontières restent closes. (…) Aujourd’hui, nous ne cherchons pas la guerre (avec Israël) mais si la guerre s’impose à nous, nous combattrons farouchement. Khaled Mechaal (leader du Hamas, 1er anniversaire de la fin du conflit de Gaza, Damas, le 23 janvier 2010) Après les articles, reportages et films à charge, voici la conspiration du silence!
Fusillade de « 45 minutes » (« au moins 400 balles ») produisant 8 trous dans le mur et aucun impact dans les corps du père et du fils et pas la moindre goutte de sang sur le sol, enfant qui lève le bras et jette un coup d’œil en direction de la caméra après avoir été déclaré mort, enfant enterré arrivé à l’hôpital Shifa à 10 h du matin pour des tirs ayant eu lieu qu’à 14 h et Mohammed évacué après 15 h, photo d’un enfant touché par balles à la jambe droite alors que l’enfant de l’hôpital Shifa avait été atteint à la jambe gauche, visages analysés comme différents par un spécialiste de l’identification biométrique, père exhibant des cicatrices de blessures au couteau datant de six ans auparavant …
A l’heure où même pour parler du bilan du président américain ou de l’épuration « ethnique » des chrétiens en terres d’islam, il faut blâmer Israël …
Où, après un rapport notoirement partial sur l’offensive de Gaza d’il y a un an, le Machin s’apprête à recommander la saisine de la Cour pénale Internationale pour de prétendus crimes de guerre …
Et où, après de fantaisistes accusations de viols de jeunes Palestiniennes par la fille du patron du Nouvel Observateur et sans compter une flopée régulière de documenteurs, un journaliste suédois a récemment dénoncé un prétendu trafic d’organes de l’armée israélienne …
Retour, avec le journaliste d’Haaretz Reuven Pedatzur, sur l’une des plus grandes victoires de la propagande palestinienne (jusqu’aux timbres et noms de rues dans tout le monde arabe), pour donner de l’armée israélienne l’image d’un « conquérant cruel tueur d’enfants« , à savoir la campagne de désinformation sur la prétendue mort du petit Mohammed al Doura.
Mais surtout sur ce qui a rendu tout cela possible, à savoir, au-delà de l’évidente carence de l’information israélienne et malgré la sortie de plusieurs documentaires et enquêtes critiques, le long silence complice (qui veut, contre l’indéboulonnable correspondant de France 2 dont on pprendra seulement plus tard qu’il n’était même pas sur place, jouer les conspirationnistes à la Meyssan?) tant de la Télévision d’Etat française et son fraichement emmédaillé correspondant Charles Enderlin que de l’ensemble de la profession …
Mohammed n’est pas mort (Israel’s worst PR failure)
Reuven Pedatzur
Haaretz
Traduction française : Menahem Macina pour debriefing.org
lundi 25 janvier 2010
L’image de Mohammed et Jamal Al-Dura se cachant derrière un fût de béton, dans le vain espoir d’échapper aux balles des soldats israéliens, est devenue le symbole de la cruauté et de la brutalité d’Israël et a donné de Tsahal l’image d’une armée assoiffée de sang, et agissant selon des normes illégitimes. Les 55 secondes diffusées par France 2, la chaîne [nationale] de télévision française, au terme desquelles le journaliste, Charles Enderlin, déclara : « Mohammed est mort », ont ouvert « les vannes d’un énorme déluge de désirs de vengeance », pour reprendre les termes de Amos Arel et Avi Isacharoff, dans leur livre « La septième guerre ».
Mohammed Al-Dura devint un martyr, le symbole de la lutte du peuple palestinien contre le conquérant cruel. Des timbres à l’effigie du père et du fils furent imprimés dans tout le monde arabe, et le nom de l’enfant fut donné à des rues. L’affaire Mohammed Al-Dura est une formidable victoire de la propagande palestinienne. Mais il s’avère qu’elle est aussi la plus grande et la plus incompréhensible carence de l’information israélienne. Carence, du fait qu’il y a suffisamment de preuves montrant que le récit de la mort de l’enfant n’a été qu’une mise en scène réalisée avec un art consommé par les Palestiniens.
Ce qui est inquiétant, dans toute cette affaire, c’est l’indifférence dont a fait preuve l’Israël officiel à l’égard des témoignages et des enquêtes qui se sont accumulés aussitôt après l’événement. Le documentaire de la journaliste allemande, Esther Shapira, et l’enquête effectuée par l’homme d’affaires français, Philippe Karsenty, font naître le soupçon que le caméraman qui a réalisé le film transmis à France 2, a concocté l’histoire en concertation avec beaucoup de gens. Le témoignage du caméraman est rempli de contradictions. Il raconte que « les soldats ont tiré de sang-froid sur le père et son fils durant 45 minutes ». Or, si les soldats de Tsahal voulaient vraiment atteindre, « de sans froid », Mohammed et son père, ils auraient pu les éliminer en moins d’une minute. A la question portant sur le nombre de balles tirées dans leur direction, Abu Rahmah a répondu : « au moins quatre cents ». Sur les lieux, on peut voir clairement qu’il n’y a que huit trous dans le mur [auquel étaient adossés Mohammed et son père].
Karsenty a obtenu les rushes réalisés par Abu Rahmah et, lors de la projection des dix secondes filmées après que Enderlin ait déclaré : « Mohammed est mort », on voit l’enfant lever le bras et jeter un coup d’œil en direction de la caméra. Dans aucune des prises de vues du film on ne voit d’impacts de balles dans les corps du père et du fils, alors même que le père affirme avoir été lui-même atteint de douze balles et son fils de trois. On n’a pas trouvé la moindre goutte de sang sur le lieu de l’événement.
Les funérailles de Mohammed Al-Dura ont rassemblé une foule de gens. Toutefois, au témoignage du médecin qui l’a réceptionné, l’enfant qui a été enterré était arrivé à l’hôpital Shifa à dix heures du matin. Les tirs au Carrefour de Netzarim n’ont eu lieu qu’à 14 heures et Mohammed a été évacué après 15 heures. Sur la photo qu’exhibe le médecin pathologiste de Gaza, on voit, certes, un enfant touché par des balles, mais ses blessures ne sont pas celles qu’a évoquées Jamal [le père de Mohammed]. Alors que le père témoigne que Mohammed a été atteint à la jambe droite, l’enfant de l’hôpital Shifa a été atteint à la jambe gauche. Un spécialiste de l’identification biométrique a comparé la photo de l’enfant inhumé avec celle de l’enfant du Carrefour de Netzarim, et il est arrivé à la conclusion qu’il s’agit de deux enfants différents.
Jamal affirme que 12 balles ont percé son corps et exhibe publiquement les cicatrices de ses bras. Mais Shapira a pu rencontrer le docteur Yehouda David, lequel témoigne qu’il a opéré Jamal six ans avant l’événement de Netzarim, et que les cicatrices que l’homme a montrées sont la conséquence de blessures au couteau.
Et malgré tout cela, l’Israël officiel garde le silence. Pour une raison difficilement compréhensible, une occasion en or de mettre en doute la fiabilité de la version palestinienne concernant l’un des événements marquants de l’histoire du conflit, a été perdue. Tsahal se rend plus d’une fois coupable d’utilisation excessive de la force militaire, causant ainsi la mort de gens innocents. Mais quand il s’avère que, dans le cas des Al-Dura, les soldats de Tsahal n’ont pas tiré sur un enfant et son père, tant les responsables de l’information de Tsahal que le ministère des Affaires étrangères se taisent. De la sorte, Israël abandonne le champ de la communication aux Palestiniens, qui en font un usage sophistiqué, en profitant de la coopération des chaînes de télévision favorables à la cause palestinienne, comme c’est le cas de France 2.
Et voilà ce qui a été écrit par le Monde Diplomatique et le Nouvel Obs
La légion d’honneur pour Charles Enderlin: Retour sur l’affaire « Mohamed Al Durah »
Dominique Vidal (Monde diplomatique)
le Post
le 03/08/2009
Acharnement contre Charles Enderlin
Le 30 septembre 2000, deuxième jour de la seconde Intifada, Talal Abu-Rahmeh, qui travaille pour France 2, se trouve au carrefour de Netzarim, au centre de la bande de Gaza. Soudain, une fusillade éclate entre combattants palestiniens et soldats israéliens : la caméra saisit la mort d’un enfant dans les bras de son père.
Via les chaînes d’information continue, des millions de téléspectateurs assistent ainsi à l’agonie du petit Mohamed Al-Dura. Des images qui symbolisent — pour l’opinion arabe, musulmane et internationale — la violence de la répression contre le soulèvement palestinien.
Pour briser cette « icône », les inconditionnels d’Israël polémiquent d’abord sur l’origine des balles meurtrières. Dans son commentaire, Charles Enderlin, le correspondant permanent de France 2, penchait pour l’hypothèse de tirs israéliens — qu’un porte-parole de l’armée n’exclura d’ailleurs pas. Eux s’efforcent, expertise balistique à l’appui, d’incriminer les Palestiniens. Avec l’entrée en scène de la Metula News Agency (MENA), l’affaire bascule. Arguant de la prétendue absence de quelques minutes de « rushes » du reportage, en fait entièrement disponible, cette officine basée en Israël prétend qu’il s’agirait d’une… mise en scène. Heureusement pour elle, le ridicule ne tue pas.
Pourquoi un journaliste franco-israélien aussi respecté que Charles Enderlin se serait-il prêté à pareille tromperie ? Outre Mohamed Al-Dura et son père, des centaines de soldats israéliens et de tireurs palestiniens auraient-ils participé à cette supercherie, sous les yeux de nombreux journalistes israéliens et étrangers ? Survivant, l’enfant aurait-il échappé à l’armée d’occupation, ses légendaires services secrets et ses dizaines de milliers de collaborateurs ? Non seulement nos propagandistes ne répondent pas à ces questions, mais ils font mine d’ignorer que 985 autres enfants palestiniens ont perdu la vie depuis la fin septembre 2000…
La fable d’un « jeu de rôles » n’a pas une once de crédibilité. Le tribunal correctionnel de Paris, en octobre dernier, avait donc logiquement donné raison à Charles Enderlin contre l’un de ses diffamateurs, M. Philippe Karsenty. La Cour d’appel vient pourtant de décider, le 26 mai 2008, que les propos tenus par ce dernier portaient « incontestablement atteinte à l’honneur et à la réputation des professionnels de l’information », mais a admis sa « bonne foi » et estimé qu’il avait « exercé son droit de libre critique » et « n’a pas dépassé les limites de la liberté d’expression ».
Sans avoir, il est vrai, jugé sur le fond, la justice a délivré ainsi un étrange « permis de diffamer ». Certes, aucun terrorisme intellectuel ne musellera les intellectuels et journalistes honnêtes qui, connaisseurs du dossier et habitués du terrain, informent l’opinion sur la colonisation et la répression israéliennes. Victimes, avant Charles Enderlin, de ce genre d’attaques, Daniel Mermet, Edgar Morin, Esther Benbassa et tant d’autres ont tenu bon. Mais ces campagnes scandaleuses pourraient intimider ceux qui, moins compétents et moins déterminés, seront tentés d’« arrondir les angles » plutôt que risquer d’être, à leur tour, ciblés.
Sans parler de l’évolution de la politique proche-orientale de la France, sous la présidence de M. Jacques Chirac à partir de 2005 et a fortiori avec le nouvel hôte de l’Elysée. On sent déjà, depuis, les effets de cette « prudence ». Une nouvelle preuve : durant la semaine tragique vécue par Gaza fin février-début mars, certains médias ont beaucoup plus parlé des quatorze victimes israéliennes des Qassam (en sept ans) que des cent quinze Palestiniens tués par Tsahal (en cinq jours).
APPEL
Pour Charles Enderlin
NOUVELOBS.COM
02.10.2008
Sept ans. Voilà sept ans qu’une campagne obstinée et haineuse s’efforce de salir la dignité professionnelle de notre confrère Charles Enderlin, correspondant de France 2 à Jerusalem. Voilà sept ans que les mêmes individus tentent de présenter comme une « supercherie » et une « série de scènes jouées » , son reportage montrant la mort de Mohammed al-Doura, 12 ans, tué par des tirs venus de la position israélienne, le 30 septembre 2000, dans la bande de Gaza, lors d’un affrontement entre l’armée israélienne et des éléments armés palestiniens.
Le 19 octobre 2006, le tribunal correctionnel de Paris avait jugé le principal animateur de cette campagne, Philippe Karsenty, coupable de diffamation.
L’arrêt rendu le 21 mai par la cour d’appel de Paris, saisie par Philippe Karsenty reconnaît que les propos tenus par ce dernier portaient « incontestablement atteinte à l’honneur et à la réputation des professionnels de l’information » mais admet, curieusement, la « bonne foi » de Philippe Karsenty qui « a exercé son droit de libre critique » et « n’a pas dépassé les limites de la liberté d’expression ». Cet arrêt qui relaxe Philippe Karsenty nous surprend et nous inquiète.
Il nous surprend, car il accorde la même crédibilité à un journaliste connu pour le sérieux et la rigueur de son travail, qui fait son métier dans des conditions parfois difficiles et à ses détracteurs, engagés dans une campagne de négation et de discrédit, qui ignorent tout des réalités du terrain et n’ont aucune expérience du journalisme dans une zone de conflit.
Il nous inquiète, car il laisse entendre qu’il existerait désormais à l’encontre des journalistes une « permission de diffamer » qui permettrait à chacun, au nom de la « bonne foi », du « droit de libre critique » et de la « liberté d’expression » de porter atteinte impunément « à l’honneur et à la réputation des professionnels de l’information ».
Au moment où la liberté d’action des journalistes est l’objet d’attaques répétées, nous rappelons notre attachement à ce principe fondamental, pilier de la démocratie et nous renouvelons à Charles Enderlin notre soutien et notre solidarité.
Paris, 27 mai 2008
Pour soutenir cet appel, envoyez vos coordonnées par mail en cliquant ici
La liste des signataires est mise à jour une fois par semaine le vendredi.
Les premiers signataires
Journalistes
Christophe Airaud (France2), Rachid Alik (Liberté), Claude Angeli (Le Canard Enchaîné), Carine Azzopardi (France 3), Farid Aïchoune (Le Nouvel Observateur), Gilles Anquetil (Le Nouvel Observateur), Hervé Algalarrondo (Le Nouvel Observateur), Guillaume Arvault (journaliste), Josette Alia (Le Nouvel Observateur), Jacqueline Ansart (Journaliste), Marie Andrieu (Le Courrier de l’Atlas), Max Armanet (Libération), Association du Prix Albert Londres, Claude Askolovitch (Le Nouvel Observateur), Florence Aubenas (Le Nouvel Observateur), Laurent Abadjian (Téléram), Nicolas Ancelin (GEO Magazine), Paul Aubriat (journaliste), Pierre Abramovici (journaliste), Jean-Claude Allanic (ex-médiateur France 2), Kristian Autain (Grand Reporter France 2), Mehdi Alami (juriste et journaliste reporter), Kamel Azzouz (RTBF), Malika Abdelaziz (journaliste-coopération), Annie Anas (La vie du rail), Eric Biesse (JRI pigiste), Xavier Baron (AFP), Alexandre Boussageon (Le Nouvel Observateur), Christine 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Oumouhand (journaliste), Didier Pillet (Président directeur général du groupe La Provence), Claude Perdriel (Le Nouvel Observateur), Daniel Pasche (retraité TSR), Dominique Pradalié (France 2), David Peressetchensky, Frabrice Puchault (France 2), Jordan Pouille (Médiapart), Julien Paolacci (Canal Plus), Jean-Marc Pillas (TF1), Pierre Prier (Le Figaro), Rafaele Pelleau (Le Nouvel Observateur), Maurice Padioux (ancien grand reporter, ancien rédacteur en chef du Républicain Lorrain), Philippe Perrot (RFO), Yann Perrier (France 3), Virginie Plaut (BFM TV), Jackie Poggioli (Journaliste FR3 Corse), Patrick Perotto (Grand Reporter à L’Est Républicain), Lama Peyroles (ex-grand reporter et journaliste AFP, INA, RMC), Sylvie Puech (journaliste), Claire Pecheux (RTBF), Michel Pauss (RTBF), Audrey Pulvar (France 3), François Pommies (ex-journaliste), Odile Quirot (Le Nouvel Observateur), Yves Quemener (France3), Jean-Marie Quemener, Meron Rapoport (Haaretz), Jean-Paul Rustan (Le Figaro), Emilie Raffoul (Canal Plus), Jonathan Randal (Washington Post), Lois Rousse (Photographe), Philippe Rochot (France 2), Marie-Elisabeth Rouchy (Le Nouvel Observateur), Pascal Roger-Praud (Journaliste), Stéphane Renard (Journaliste indépendant), Gilles Rabine (France 2), Sibylle Rizk (Le Commerce du Levant / Liban), Bruno Roger-Petit (Europe1/sport), Jean Rabinovici (Journaliste honoraire), Marie-France Rémond (Le Nouvel Observateur), Audrey Racine (journaliste-présentatrice Medi 1 Sat Maroc), Jean-Paul Rustan (Le Figaro), Francine Raymond (France 3), Vincent Rea (journaliste indépendant), Yoann Robic (Agence de presse IDE), Christine Ruol (RTBF), Jean Roquecave, Paul Reb dit PAUL (dessinateur-journaliste), Philomé Robert (France 24), Simone Reumont (RTBF), René-Paul Savignan (Photographe), Amira Souilem (Etudiante à l’Ecole de journalisme de Science Po), Alexendra Sasower (journaliste), Ben Salama (France3), Claude Soula (Le Nouvel Observateur), Gérard Saint-Paul (France 24), Marie-Christine Simonet (Journaliste), Isabelle Staes (France 2), Georges Servat (Le Courrier de l’Unesco), Patrick Saint Paul (Le Figaro), Samah Soula (France 2), Anne Sogno (Le Nouvel Observateur), Eric Scherer (AFP), Claire Servajean (France Inter), Christophe Sabatier (France 24), Carole Sandrel (journaliste-écrivain), Daniel Salvatore Schiffer (écrivain et journaliste), François Schlosser (Le Nouvel Observateur), Georges Sassine (Al-Balad), SCAM (Société civile des auteurs multimédia), Société des Journalistes de France 2, Syndicat SNJ-CGT de France Télévisions, Jean-Luc Slama (journaliste), Squalli Salma (Tv 2M Maroc), Arnaud Saint-Maxent (France Guyane), Maurice Szafran (Marianne), Matthias Second (France 2), Pierre Sorgue (GEO Magazine), Patrick Seale (Journaliste), Séverine Stéfanesco (France 5), Olivier Siou (France 2), Gilles Schneider (Radio France), Wala’a Said Kadim, Jean-Pierre Séguéla (France 3), Julie Safar (Chef-Monteuse, ex France 2), Clément Saccomani (photographe indépendant), Anne Suply (journaliste), Radia Sadani (RTBF), Hadjira SAKER (journaliste Al Hayat Newspaper), Ghila Sroka (journaliste, éditrice Tribune Juive Canada), Malak Mustapha Sahioni (journaliste), Hugues Serraf (rédacteur en chef Internet de L’argus de l’automobile), Pierre Siankowski (Les inrockuptibles), Ludovic Tomas l’Humanité), Julien Trillat, Marcel Trillat (Journaliste), Michel Turin (Journaliste), Natacha Tatu (Le Nouvel Observateur), Olivier Touron (journaliste), Patrice Trapier (Le Journal du dimanche), Michel Vuez (Journaliste honoraire AFP), Nathalie Talboom-Cabréra (Journaliste Mai Juin Productions), Jean-Marie Tricaud (M6), Chantal Tolley (animatrice radio), Jean-Marc Turine (producteur radio), Jean-Marie Trimbour (journaliste retraité), Catherine Tardrew (Parisien-Aujourd’hui), Killian Tribouillard (Le Mensuel du Golfe du Morbihan), André Urbain (RTBF), Dominique Vittupier (Le Nouvel Observateur), Jean-Louis Validire (Le Figaro), Michel Valio-Cavaglione (France2), Nicolas Valode (TAC Presse), Michel Vagner (L’Est Républicain), René Vigié (journaliste honoraire), Olivier Vanlangendonck (journaliste), Agnès Voiret (France 3), Sylvie Véran (Le Nouvel Observateur), Martine Vanbreuseghem, Michel Visart (RTBF), Fabien Van Eeckhaut (RTBF), Gérald Vandenberghe (RTBF), Alain Vaessen ( président Société des Journalistes RTBF), Philippe Vannini (Aligre FM 93.1), Pierre Weill (France Inter), Frédéric Wittner (France Info), Franck Weill Rabaud (RFI), Wiaz (Le Nouvel Observateur), Youcef Tahar (Journaliste), Monique Younès (RTL), Alexandre Wajnberg (journaliste scientifique), Willy Vandervorst (RTBF), Catherine Zimmermann (réalisatrice radio), Laurent Zecchini (Le Monde), Zinou Zebar (Photojournaliste), Nicolas Zomersztajn (Regards)
Personnalités
Benjamin Abtan (Ancien président de l’Union des Etudiants Juifs de France), Jacques Attali (écrivain), Jean-Christophe Attias (Directeur d’études à l’EPHE Sorbonne), Marie-Louise Abramovici (présidente du Collectif Européen Contre l’Extrême Droite et le Fascisme « C.E.C.E.D.E.F. »), Yves Aubin de la Messuzière (ancien Ambassadeur, chercheur associé à Science.Po), Michel Adam, ancien Ambassadeur de Belgique et son épouse, Janine Adam, André Burgière (Historien), Hervé Bourges (Ancien président de TF1, de France Télévisions et du CSA), Avraham Burg (ancien président de la Knesset), Evelyne Burgière-Pujeau (sociologue), Annette Becker (historienne), Olivier Bétourné (éditeur), Pascal Boniface (directeur de l’IRIS), Martine Billard (Député de Paris), Mathilde Boudou (Avocate au Barreau de Paris), , Esther Benbassa (Directrice d’Etudes à l’EPHE Sorbonne), Robert Bret (Sénateur des Bouches-du-Rhône), Jean-Pierre Becker (comédien), Catherine Becker (DG d’une société de communication internationale), Jean-Yves Camus (chercheur à l’IRIS), Philippe Cohen-Grillet (France-Soir), Monique Cerisier ben Guiga (Sénatrice des Français établis hors de France), Monique Combescure (Directeur de recherche au CNRS en physique théorique, lauréate du prix Irène Joliot Curie 2007, femme scientifique de l’année), Alain Combescure (Professeur des universités INSA Lyon), Régis Debray (Ecrivain, directeur de la revue Medium), Guy Dutron (Ecrivain), Marilyne FERRE (Secrétaire du C.E.C.E.D.E.F.), Salomé Franck (réalisateur du film « Un mur à Jérusalem »), Alexandre Faro (Avocat au Barreau de Paris), Anne Grauwels (co-présidente de l’Union des Progressistes Juifs de Belgique), Alfred Grosser (Professeur), Marcel Gotlib (dessinateur BD), Nadia Ghalem (journaliste et écrivaine), Véronique de Keyser (Députée européenne PSE/Belgique), Théo Klein (Avocat, ancien président du CRIF), Michel Kichka (caricaturiste TV1 Israël), Jack Lang (Député), Lucien Lazare (historien), Jacques Le Goff (Historien), Roger Halimi (médecin), Jean-Claude Lefort (Député honoraire), Jean-François Leroy (Directeur de Visa pour l’Image), Serge Moati (réalisateur), Noël Mamère (Député), Erik Orséna (Académicien), André-Louis Perinetti (Président d’Honneur de l’Institut International du Théâtre/UNESCO), Olivier Roy (directeur d’études à l’EHESS), Elisabeth Roudinesco (psychanalyste, historienne), Paul Rozenberg (producteur), Hélène Sielka (écrivain), David Susskind (président d’honneur du Centre Communautaire Laïc Juif de Bruxelles), Simone Susskind (Présidente de Actions in the Mediterranean), Michèle Szwarcburt (Présidente du Centre Communautaire Laïc Juif à Bruxelles), Shlomo Sand (professeur Université Tel Aviv), Hubert Vedrine, (ancien ministre des affaires étrangères), André Vignau (écrivain), Guillaume Weill-Raynal (avocat), Henri Wajnblum (co-président de l’Union des Progressistes Juifs de Belgique), Mirjam Zomrsztajn (directrice du Centre Communautaire Laïc Juif de Bruxelles)
[Mercredi 27/01/2010 22:14]