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2 décembre 2009 3 02 /12 /décembre /2009 14:42
Une résolution européenne de plus

http://victor-perez.blogspot.com/

Les 
Ministres des Affaires étrangères européens vont le 7 décembre prochain se réunir à Bruxelles pour débattre, une fois de plus, du processus de paix entre les Israéliens et les ‘’Palestiniens’’.

Selon quelques autorités averties, sous la pression de la présidence de la 
Suède sera débattue et prise une résolution appelant au partage de Jérusalem et définissant la partie EST comme capitale de la ‘’Palestine’’. Une décision de l’Europe qui, à ce jour, n’a toujours pas reconnu la partie OUEST comme capitale de l’état juif. Etat pourtant constitué et souverain depuis l’an 1948. Une solution ayant peu de chance de plaire aux Israéliens donc, et que tout observateur objectif ne concevra que comme partiale et frein à toute reprise de ces négociations. Les ‘’Palestiniens’’ obtenant concessions sur concessions internationales sans rien céder en échange, on voit mal la raison d’un changement de tactique de leur part.

Mais là n’est pas le plus cocasse de cette résolution à venir. Aux dires d’observateurs introduits, les 
Ministres de l’UE appelleront, au terme de leur réunion, « (…) à reprendre immédiatement les négociations (…) » dont l’objectif sera « (…) un Etat palestinien indépendant, démocratique, viable et possédant une continuité territoriale incluant la Cisjordanie, la bande de Gaza et Jérusalem-est pour capitale ».

Objectif théorique qui s’apparente à de la politique politicienne aux intérêts pétroliers et financiers bien compris. Objectif qui nuit gravement à 
Israël par son manque de précisions quant aux exigences israéliennes minimales. Tel un état de ‘’Palestine’’ démilitarisé, ou encore la reconnaissance de son caractère juif assurant ainsi une fin de non recevoir à l’exigence d’un droit de retour de ‘’réfugiés’’ en son sein.

Toutefois, si la réalité permet d’envisager la souveraineté de cet état à naître et sa viabilité, encore faut il que les ‘’Palestiniens’’ cessent de compter sur les subsides étrangers pour assurer leur indépendance nationale. Ce qui n’est pas gagné d’avance.

En ce qui concerne les négociations, 
Benjamin Netanyahou et son gouvernement sont prêts, depuis leurs installations aux manettes de l’état d’Israël, à s’asseoir à cette table et à y faire des compromis. Mahmoud Abbas, en revanche, n’y voit aucun intérêt sauf à être contraint d’accepter les exigences de la partie israélienne ou, à contrario par son intransigeance, de dévoiler à l’opinion mondiale l’objectif caché des ‘’Palestiniens’’ et, à travers eux, de la Ouma.

Quid en revanche de la démocratie ? Qui pourrait croire que l’organisation du 
Hamas, pour l’exemple de cette démonstration, respectera le choix des électeurs ? Acceptera la liberté d’opinion ? Ou celle de croire ou non en une religion ? Ou autre babiole du même genre qui fait le plaisir des démocraties ?

Quid de cette continuité territoriale entre la 
Judée, la Samarie et la bande de Gaza ? Faut-il croire qu’Israël sera, lui, un état sectionné en son milieu par un couloir pour satisfaire cette continuité ? Ou, faut-il comme le bons sens non européen l’exige, imaginer le creusement d’un tunnel qui permettrait aux deux états une continuité territoriale ?

Au vu de la réaction israélienne à ce projet de résolution européenne, nul doute que cette dernière sera réduite à n’être qu’un vœu pieux de plus réduit à rejoindre ceux que l’opinion mondiale a déjà oublié.
L’Union Européenne gagnerait en prestige à s’abstenir de défendre l’indéfendable et à noircir Israël parce que l’air du temps l’y oblige.
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2 décembre 2009 3 02 /12 /décembre /2009 14:31
B'Tselem grassement financé par l'Europe
Par BRIAN BLONDY 
02.12.09
http://fr.jpost.com/  

Nous en parlions déjà dans cet article en début Octobre.

Quand les fonds européens financent les offensives judiciaires des

ONG anti israéliennes

http://www.aschkel.info/article-36913975.html 

L'organisme d'extrême gauche B'Tselem est l'ONG (organisation non gouvernementale) israélienne qui reçoit le financement le plus important des gouvernements européens. En effet, d'après un nouveau rapport publié par NGO Monitor et l'Institut pour les stratégies sionistes, 16 ONG ont reçu un total de 31,5 millions de shekels, sous la forme de financements européens entre 2006 et 2009.

Illustration. 
PHOTO: JPOST

B'Tselem, HaMoked et Yesh Din ont chacune reçu au moins 8,5 millions de shekels. En tête, B'Tselem a reçu plus de 12 millions de shekels durant cette période.

"Depuis plus d'une décennie, les gouvernements européens manipulent la politique israélienne et promeuvent sa diabolisation en finançant un petit groupe d'organisations non gouvernementales", a expliqué Gerald Steinberg, président de NGO Monitor, lors d'une conférence à la Knesset consacrée mardi à l'impact et à la transparence de gouvernements européens.

Intitulé "Le cheval de Troie - L'impact du financement du gouvernement européen sur les ONG israéliennes", le rapport fournit une analyse détaillée des activités de plus de 20 ONG israéliennes qui ont reçu un financement de l'Europe. Le rapport examine le programme politique de ces groupes et la manière dont ils ont influencé la politique israélienne et le débat public, ainsi que leur utilisation du système juridique.

"Les ONG évoquées participent très activement aux débats internationaux et nationaux sur des questions comme le statut et le sort de Jérusalem, les territoires disputés en Judée-Samarie et les actions de Tsahal. Elles publient des déclarations et des rapports (…), organisent des manifestations, parlent aux groupes d'étudiants et aux unités de l'armée ou encore utilisent les tribunaux pour promouvoir leurs propres programmes politiques", explique le rapport.

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1 décembre 2009 2 01 /12 /décembre /2009 18:56

Proche-Orient : La France s’oppose à la position suédoise




Jérusalem-Est : La suède fait pression 
http://www.aschkel.info/article-l-ue-jerusalem-capitale-de-la-palestine--40365256.html

[Mardi 01/12/2009 16:59]

 

















Le ministère israélien des Affaires Etrangères a commencé à déployer tous ses efforts afin de convaincre les amis d’Israël en Europe que le texte de résolution proposé par la Suède, et qui doit être soumis le 7 décembre prochain au vote des membres de l’UE à Bruxelles, est « inacceptable et dangereux ». Certains résultats se sont déjà fait ressentir. La représentation française à Bruxelles a fait savoir qu’elle « émettait de nombreuses réticences par rapport au projet de résolution élaboré par la présidence suédoise concernant le Proche-Orient ». Les Français ont introduit pas moins de cinquante propositions d’amendements au texte, notamment sur la question de Jérusalem et de l’intention affichée par Stockholm de faire reconnaître unilatéralement Jérusalem-Est comme « capitale de la Palestine » par l’Union Européenne. Non pas que la France ne soit pas d’accord sur le fond, précise-t-on au Quai d’Orsay, mais on estime « que le tracé des frontières doit se définir par la négociation entre les deux parties et non de manière unilatérale par des pays tiers ». Les réserves françaises se manifestent également sur le ton général du texte, que Paris estime « déséquilibré et trop négatif envers Israël ». Dans son argumentaire, le ministère israélien des Affaires Etrangères insiste sur le fait « qu’en agissant de la sorte, l’Union Européenne supprime toutes ses chances de jouer un rôle positif dans la région » et s’agissant de la Suède en particulier, Israël n’est pas tendre : au lieu de d’exiger tout d’Israël et de critiquer l’Etat juif, les Suédois feraient mieux de faire pression sur les Palestiniens pour qu’ils retournent à la table des négociations, car en attendant leur attitude aboutit au résultat strictement inverse ». A Jérusalem, on pense que les Italiens, les Allemands et les Britanniques suivront la France et pousseront la Suède a proposer un texte beaucoup plus équilibré, tout en étant conscient qu’il ne s’agit finalement que d’un texte de plus qui n’aura aucune valeur juridique ni même politique.

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1 décembre 2009 2 01 /12 /décembre /2009 15:45

Vote suisse : la réaction musulmane se met en marche !

[Mardi 01/12/2009 14:16]

 

Il n’est pas faux de dire que les résultats des élections en Suisse quant à l’interdiction des minarets, ont provoqué une onde de choc qui se répand bien au-delà des frontières de la « tranquille » Helvétie. Si les caricatures de Mahomet par quelques journalistes dans des journaux danois avaient soulevé le monde musulman de manière insensée en 2005, que dire de l’expression de toute une population, qui pour la première fois sur le continent européen était appelée à s’exprimer par les urnes sur un sujet aussi délicat que la présence dans le paysage de symboles aussi visibles que des minarets. Et qui a répondu « Stop » !!

Dès l’annonce des résultats, les opposants à cette initiative d’interdiction – politiques comme religieux – ont compris que le peuple avait fait un choix osé qui entraînerait une vague de réactions de la part d’une religion qui ne tolère aucune critique ni aucun frein dans sa marche vers la conquête de nouveaux espaces. Tels des minoritaires dans un pays d’accueil, qui fixent leur attitude en fonction du groupe majoritaire, les réflexions entendues étaient du style « Que vont dire les pays musulmans ?», « de quoi avons-nous l’air ? », ou « que va-t-il nous arriver maintenant ? », oubliant que dans une démocrate, le peuple est souverain et que les élections sont là pour permettre aux citoyens d’exprimer leur opinion, fut-elle à contre-courant du « politiquement correct ».

Il faut rappeler aussi, car c’est un élément qui a été minorisé durant la campagne, que l’enjeu du scrutin n’était absolument pas la liberté religieuse en tant que telle, même si cela a été brandi par les autorités politiques et religieuses du pays, et même si les tenants de l’initiative et leurs électeurs, en leur for intérieur, ne verraient pas d’un mauvais œil la disparition pure et simple des mosquées en Suisse. Dans son libellé, l’initiative ne portait pas sur la présence de lieux de culte musulmans, mais sur le point spécifique des minarets, qui, en dehors de l’aspect esthétique discutable dans le paysage suisse, sont perçus par beaucoup comme les symboles phalliques d’une prise progressive de pouvoir dans un espace donné. Historiquement d’ailleurs, le minaret n’est absolument pas une obligation religieuse de l’Islam. Les 57% de Suisses qui ont voté en faveur de l’interdiction n’avaient pas uniquement en tête l’exemple suisse, mais en déposant leur bulletin dans l’urne, ils ont amalgamé dans leur esprit une situation mondiale et plus spécifiquement européenne d’intrusion progressive d’une religion qui n’a pas encore accepté certaines règles de la démocratie et des droits de l’homme, et qui, il faut le dire, ne démontre pas à travers le monde sa propension à la paix, à la coexistence pacifique et au respect des civilisations majoritaires. L’affaire Kadhafi et des deux otages suisses toujours détenus en Libye a sûrement aussi joué un rôle dans le choix de nombreux citoyens, tout heureux de pouvoir manifester leur mécontentement et leurs craintes dans les isoloirs.

La réaction du monde musulman ne s’est évidemment pas fait attendre. « Attaque contre l’Islam » et « violation de la liberté religieuse », ont déjà fait apparition dans les slogans brandis par des responsables musulmans, et quantité d’organisations de Défense des Droits de l’Homme. Le Sheikh Ibrahim Mogra, secrétaire-général assistant du Conseil des Musulmans de Grande-Bretagne, et Imam à Leicester, n’y est pas allé de main morte : « Ce vote indique que le fascisme et l’extrême-droite sont en constante progression en Suisse. Tous les Européens qui aspirent à la diversité religieuse sur leur continent devraient commencer à s’inquiéter, s’ils veulent que la coexistence pacifique entre religions se poursuive. La présence au cœur de l’Europe d’un pays dont la majorité de la population se montre aussi hostile à l’Islam est indigne ». Selon Migra, ces élections pourraient « libérer les sentiments antimusulmans présents dans d’autres pays européens ».

Plus loin encore, en Egypte, le Mufti Ali Gomaa, a dénoncé ces résultats, les qualifiant « d’insulte au monde musulman et de provocation », tout en appelant les Musulmans « à garder la tête froide et ne pas sortir dans les rues ».

Un article dans le journal qatari A-Raya considère ce vote comme « la pire gifle infligée aux Musulmans, et de plus, à l’occasion de leur fête de l’Aïd Al-Adha ». « Ceci indique » selon le journal, « une progression du racisme en Europe alors que les rues arabes et musulmanes montrent de plus en plus de compréhension pour le respect de la liberté religieuse des populations minoritaires, et favorisent la tolérance et la connaissance de l’autre »…!!

Aux Etats-Unis, le Conseil des Relations Américo-musulmanes (C.A.I.R.), demande au Président Barack Obama de profiter de sa visite à l’Académie Militaire de West Point pour « dénoncer publiquement cette décision comme étant une violation de la liberté religieuse et du Droit international ».

Le journaliste belge Claude Moniquet, fondateur et directeur de l’ESISC (Europeean Strategy Intelligence and Security Council), estime que « la Suisse risque de subir des réactions hostiles à l’intérieur telles que des menaces terroristes de la part de petits groupes, mais aussi à l’étranger dans le domaine des intérêts suisses en Afrique du Nord, dans les pays du Golfe ou d’autres régions arabes et musulmanes ». « Une période de turbulence va probablement commencer pour la Suisse ! », prévient Moniquet, tout en estimant « qu’il n’est pas certain que les pays arabes et musulmans retirent leurs avoir des banques helvétiques ». « Ces pays peuvent exprimer leur colère ou leur déception, mais si leur intérêt financier exige que leurs fonds restent dans les banques suisses, leur protestation restera au stade verbal ».

Moniquet confirme « qu’il existe en Europe un réel problème avec l’Islam », mais reste sceptique sur les effets bénéfiques d’une interdiction des minarets.

L’initiative proposée par la droite dure suisse n’a peut-être pas été des plus judicieuses, et le vote de la population dénote d’un réel et récurrent problème des Suisses avec « ce qui est différent ». Mais il ne faudrait pas cependant sous estimer le message exprimé « en laboratoire » par ces quelques millions d’Européens de culture, face à des mouvements civilisationnels majeurs et inquiétants envers lesquels des populations entières du Vieux Continent semblent ne plus avoir de prise.

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1 décembre 2009 2 01 /12 /décembre /2009 10:33
Par HERB KEINON 
01.12.09
http://fr.jpost.com/ 



Alors qu'Israël fait de visibles efforts pour reprendre les pourparlers de paix avec les Palestiniens, la Suède appelle à reconnaître Jérusalem-Est comme capitale d'un futur Etat palestinien.

Vue de la Vieille Ville de Jérusalem. 
PHOTO: ARIEL JEROZOLIMSKI , JPOST

Cette volonté, d'après le ministère des Affaires étrangères, entrave la médiation européenne entre Israël et les Palestiniens.

D'après le quotidien israélien Haaretz, les Suédois feraient pression pour ouvrir la discussion de la résolution, lors de la réunion mensuelle des ministères européens, qui se tiendra la semaine prochaine à Bruxelles.

Mais, comme le souligne un haut responsable de la diplomatie israélienne, le plus affolant d'un point de vue israélien, est le déni de la reconnaissance de Jérusalem-Ouest en tant que capitale de l'Etat d'Israël. "Cela perturbe l'équilibre", ajoute l'officiel. Et de préciser que la Suède est actuellement détentrice de la présidence rotative de l'Union Européenne.

Le ministre suédois des Affaires Etrangères, Carl Blidt, ne s'est pas rendu une seule fois sur le territoire israélien depuis sa prise de fonctions en juillet. Sa visite prévue en septembre avait été annulée suite à l'article publié dans le quotidien Aftonbladet, qui accusait les soldats israéliens de trafic d'organes palestiniens.

Quant à lui, le ministère des Affaires Etrangères d'Avigdor Lieberman perd patience. D'après lui, après les efforts significatifs réalisés par Israël, les "Européens devraient plutôt faire pression sur les Palestiniens pour un retour à la table des négociations. Ce genre de geste mené par la Suède ne fait que mener à une situation opposée".




L’UE: Jérusalem capitale de la « Palestine » ?

[Mardi 01/12/2009 11:05]

 


Et stockholm capitale de quoi ?

L’ambassade de Suède réagit en Israël

L'ambassade de Suède en Israël a commenté l'information selon laquelle Stockholm s'apprêtait à proclamer Jérusalem Est comme capitale de l'Etat palestinien. Elle a précisé que si une décision était prise à ce sujet, elle refléterait les positions des 27 Etats de l'UE et pas seulement celles de la Suède ou d'un autre Etat.


Les efforts déployés par le Premier ministre Binyamin Netanyahou, prêt à geler totalement la construction dans les localités juives de Judée-Samarie, n’ont apparemment pas changé grand-chose à la politique de l’Union européenne. En effet, les ministres des Affaires étrangères de l’UE s’apprêteraient, la semaine prochaine, à se déclarer publiquement en faveur du partage de Jérusalem afin qu’une partie de la ville devienne la « capitale de l’Etat palestinien » tandis que  l’autre resterait celle d’Israël.

L’esquisse de cette proposition a été réalisée par la Suède, qui assume en ce moment la présidence tournante de l’UE. Le quotidien Haaretz, qui est en possession du document, indique qu’il laisse entendre également que « les Européens reconnaitront, le moment venu, la déclaration de l’Indépendance palestinienne unilatérale ».

Israël, de son côté, tenterait de freiner ce processus à l’aide d’une campagne diplomatique mais selon les estimations, ses chances de réussite seraient plutôt faibles.

Pour être plus précis, indiquons que les ministres européens ont prévu de se réunir à Bruxelles le 7 décembre prochain pour « débattre du processus de paix ». A l’issue des discussions, qui doivent durer deux jours, une déclaration officielle sera publiée sur la nouvelle politique adoptée par l’UE.

En prévision de cette déclaration, souligne encore Haaretz, la Suède aurait pros l’initiative de soumettre une proposition appelant au partage de Jérusalem et présentant la ville comme étant « la capitale d’Israël et de Palestine ». Cette démarche est à souligner parce que c’est la première fois que l’Union européenne propose officiellement une « solution possible à l’une des questions du conflit dans le cadre d’un règlement permanent avec les Palestiniens ».

Dans le texte préparé par la Suède, il est notamment indiqué que l’UE « est inquiète du gel du processus de paix » et « appelle à la relance immédiate des pourparlers entre Israël et l’Autorité palestinienne ».  L’objectif de cette nouvelle initiative est bien précisé: « Un Etat palestinien indépendant et démocratique, viable et disposant d’une continuité territoriale comprenant la Cisjordanie, la bande de Gaza et l’Est de Jérusalem, qui constituera sa capitale ».

La décision en faveur du gel de la construction juive en Judée-Samarie, prise  tout récemment par le cabinet ministériel israélien, n’occuperait qu’une place mineure dans le texte de l’UE. Les ministres européens indiquent juste qu’ils espèrent voir dans ce geste « un nouveau pas favorisant la reprise des négociations ».  

Les diplomates israéliens, en poste en Europe, suivent depuis des semaines toutes ces démarches. L’ambassadeur d’Israël au sein des institutions de l’UE à Bruxelles, Ran Curiel, a envoyé plusieurs messages à Jérusalem la semaine dernière pour dénoncer l’attitude de la Suède, « qui entraine l’Union européenne vers un affrontement avec Israël ». Et au ministère des Affaires étrangères, on confirme que « la Suède adopte une ligne anti-israélienne virulente qui fait que l’Europe ne peut plus prétendre jouer un rôle dans le processus de paix, comme en 2005″.

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1 décembre 2009 2 01 /12 /décembre /2009 10:24

Démocratie versus baïonnette musulmane 

Par Daniel Greenfield
http://sultanknish.blogspot.com/2009/11/democracy-vs-muslim-bayonet.html

Adaptation : Danielle Elinor Guez


Les médias sont remplis d'indignation aujourd'hui à cause de la décision des électeurs suisses d'empêcher la construction de nouveaux minarets par les musulmans vivants en Suisse qui sont en nombre croissant. Ce vote, qui a suscité l'opposition du Gouvernement suisse et des Eglises catholiques et protestantes, démontre une fois de plus que la démocratie populiste est le seul obstacle réel à une prise de pouvoir islamiste. Mais en même temps, ces réactions trahissent une grande hypocrisie.


Emporté par l'indignation suscitée par ce mauvais traitement envers les musulmans, quelqu’un peut supposer que les pays musulmans sont un havre de liberté religieuse. Mais, en fait, la législation de la dhimmitude comprend l’interdiction de construire des synagogues et des églises plus hautes que les mosquées. Ceci se voit encore dans les églises d’Europe qui étaient auparavant situées dans des territoires sous contrôle musulman, comme l'église de Sveti Spas en Macédoine, qui est en grande partie souterraine pour éviter de contrevenir aux règles islamiques tout en offrant un espace intérieur élevé. Le même phénomène peut être observé dans les nombreux sous-sols des synagogues construites au Moyen-Orient*.


Il est ironique de constater que les Suisses ont seulement fait passer une loi qui traite les musulmans de la même manière que les musulmans traitent les non musulmans à travers le Moyen-Orient. En outre, un grand nombre des réfugiés musulmans provenant de [l’ex] Yougoslavie qui ont gonflé les cantons suisses et désirent remplir le pays de minarets et de cris de vautours perçants d'imams radicaux appelant les fidèles à la prière, ont des parents restés au pays qui sont occupés à brûler toutes les églises qu'ils peuvent trouver. Naturellement ces mêmes défenseurs des droits de l'homme s’en fichent, mais sont terriblement préoccupés parce que les musulmans suisses devront se débrouiller avec à peine quatre minarets. De la même façon, les élites européennes s'agitent chaque fois qu'un Arabe palestinien doit attendre cinq minutes supplémentaires à un poste frontière pour qu’on vérifie qu’il ne porte pas une ceinture explosive, mais ne sont absolument pas intéressées par les bombes incendiaires musulmanes dirigées contre les églises appartenant à la minorité décroissante des chrétiens arabes de la région.


Tandis que les musulmans ont l'habitude de recourir à des émeutes et au terrorisme quand ils n'obtiennent pas ce qu'ils veulent à Jérusalem, non seulement il n'y a pas de synagogues ou d'église à la Mecque mais les non musulmans ne sont même pas autorisés à y pénétrer. Et s’il n’y a pas de non musulmans à la Mecque, alors qu'elle était auparavant une des villes avec la plus grande diversité religieuse du Moyen-Orient, c'est parce qu'ils ont tous étés massacrés par les disciples de Mahomet. Le nettoyage ethnique musulman et la persécution des minorités religieuses sont les raisons pour lesquelles il y a si peu de non musulmans au Moyen-Orient. La seule exception est l'État d'Israël, pays démocratique non arabe et non musulman, au milieu du Moyen-Orient, qui a dû faire face à des tentatives répétées de génocide au cours de son histoire.


Les militants des droits de l'homme qui s'agitent sur l'interdiction des minarets suisses devraient se demander combien de nouvelles églises et de nouvelles synagogues ont été construites au Moyen-Orient au cours des 20 dernières années, par opposition à l'augmentation du nombre des nouvelles mosquées érigées en Europe. Alors que la proportion des musulmans continue d'augmenter en Europe, la proportion des juifs et des chrétiens dans les pays musulmans continue à diminuer. S'ils voulaient vraiment protéger la liberté religieuse, ils devraient s'agiter autant à propos du traitement des non musulmans dans les pays musulmans, y compris la mort de milliers de travailleurs immigrés à Doubaï, le ghetto établi pour les juifs du Yémen, la persécution des chrétiens coptes en Égypte ou le statut de seconde classe des zoroastriens en Iran. Mais en fait, la liberté religieuse ne semble avoir de sens que lorsqu'elle concerne la liberté de culte des musulmans.


La question qui se pose est bien :  pourquoi les pays non musulmans devraient-ils octroyer des droits et des privilèges aux musulmans que les musulmans ne sont pas disposés à accorder aux non musulmans ? Pourquoi la France et l'Allemagne devraient-elles respecter la Burka pendant que des écolières chrétiennes sont fouettées au Soudan pour avoir porté des jupes arrivant au genou. Pourquoi les pays chrétiens et juif doivent-ils garantir des droits égaux aux musulmans alors que les pays musulmans traitent leurs chrétiens et leurs juifs comme des citoyens de seconde classe ? Pourquoi est-ce que les travailleurs immigrés musulmans ont-ils des droits en Allemagne alors que les travailleurs immigrés asiatiques à Doubaï sont traités comme du bétail ? Pourquoi les musulmans devraient-ils avoir des mosquées à Jérusalem et à Rome alors qu'aucun non musulman ne peut entrer à la Mecque depuis le nettoyage ethnique originel de Mahomet dans la région ? Pourquoi les musulmans pourraient-ils construire leurs minarets en Suisse pendant que des églises sont brûlées en [ex] Yougoslavie ? Enfin, et surtout, si les non musulmans ne peuvent pas bénéficier de la paix et de l'égalité dans les pays musulmans, alors pourquoi les musulmans devraient-ils s'attendre à bénéficier de la paix et de l'égalité en Europe, en Australie, en Amérique du Nord et en Israël ?


Si on répond brièvement on peut dire qu'il n'y a pas une raison unique. « Noblesse oblige » peut inciter les Premières Nations du monde à offrir l'égalité des droits aux musulmans, mais ces droits se trouvent érodés par la démographie musulmane en croissance. À cause de l'accroissement des populations musulmanes, les juifs sont devenus, une nouvelle fois, une minorité persécutée en Europe. Et les Européens de souche sont en train de suivre le même chemin. Le paradoxe de l'octroi de l'égalité des droits à ceux dont la religion les empêche d'accepter le postulat libéral d'égalité entre les hommes, finira par miner et détruire toute notion d'égalité pour tous.

 

Les musulmans ont toujours rejeté le principe d'égalité des hommes comme l'antithèse des valeurs et des enseignements du Coran. Quand un pays tend à légaliser la Charia, la première victime en est le principe d'égalité entre les hommes, que ça soit l'égalité entre les sexes ou entre les musulmans et les infidèles. Ainsi, des Républiques autrefois dédiées à la liberté et à l'égalité sont en train de mourir à cause des milliers de concessions faites progressivement, les unes après les autres, tout en réduisant la contestation au silence et elles finiront par tendre le cou au couteau tranchant de la loi islamique.


Lorsque le maire de Londres, Boris Johnson demande aux non musulmans de jeûner pendant le Ramadan afin de mieux comprendre les musulmans, est-ce que des musulmans ou tout autre personne ont appelé à jeûner le jour de Kippour ou pendant le Carême afin de mieux comprendre les catholiques ou les juifs ? Mais Johnson est passé d'un examen rationnel du Coran et de l'islam, lorsqu'il disait en 2006 :

 

« A tout lecteur non musulman du Coran, l'islamophobie, la peur de l'islam, semble une réaction naturelle et en fait, c'est exactement ce que le texte est destiné à provoquer. En jugeant uniquement sur ses saintes écritures, pour ne rien dire de ce qui est prêché dans les mosquées, l'islam est la religion la plus vicieusement sectaire de toutes les religions dans son insensibilité envers les incroyants. Comme l'a déclaré le meurtrier de Théo Van Gogh à la mère de sa victime, cette semaine dans un tribunal hollandais, il ne pouvait pas se préoccuper d'elle ni éprouver pour elle de la compassion parce qu'elle n'était pas musulmane ».

... à chanter les louanges de l'islam. C'est effectivement devenu le prix à payer pour le pouvoir politique dans le « Premier Monde » dont l'ordre du jour est de s'incliner devant la Mecque, de prétendre que le Coran n'est pas un texte génocidaire, et que le terrorisme islamique est une sorte d'accident déconcertant qui n'a absolument rien à voir avec l'islam, à part la similitude fortuite dans les noms.


Cela n'a rien à voir avec la morale et tout à voir avec la politique, avec l'argent saoudien et les immigrants musulmans qui créent leurs propres ghettos maussades et agressifs, et réagissent à toute offense réelle ou imaginaire avec une violence hideuse. Pour l'islam, il n'y a pas d'amour en dehors des tours d'ivoire de quelques universités et bureaux, mais il y a beaucoup de peur.


Et la plupart du temps, c'est sur le peuple qu'on peut compter pour défier la suprématie islamique. Pendant que les politiciens s’agenouillent face à la Mecque, il existe encore de nombreux citoyens qui comprennent la valeur de la civilisation et sentent combien la montée en puissance de l'islam menace leurs valeurs et leurs familles. Les Suisses, pour qui la démocratie n'est pas seulement un vain mot utilisé par les politiciens de gauche pour conspuer leur adversaire, comme cela tend à exister dans tout le Premier Monde, ont maintes fois contrarié les objectifs intégrationnistes de leurs dirigeants politiques par leurs votes.


Et donc les électeurs suisses ont parlé et les minarets chancellent. Bien sûr, les élites politiques se précipitent déjà pour réparer les dégâts. Le Gouvernement Suisse a publié un communiqué de presse en arabe bien que la plupart de ses habitants musulmans ne lisent pas l'arabe. On parle d'une action intentée par la Cour suprême ou bien alors de faire intervenir la Cour Européenne des Droits de l'Homme. De toutes façons, cette éphémère flambée de démocratie doit être écartée au nom de ce qu'on appelle euphémiquement « les droits de l'homme » mais qui masquent en réalité le pouvoir islamique.


Quand le Premier ministre islamiste Tayip Erdogan proclame que « les mosquées sont nos casernes, les coupôles nos casques, les minarets nos baïonnettes et les fidèles (musulmans) nos soldats » une guerre culturelle est lancée que seuls les aveugles peuvent ignorer. L'entrée de la Turquie programmée par elle-même dans l'Union Européenne [doit se faire] en parallèle aux baïonnettes et aux soldats se répandant à travers l'Europe. Les électeurs suisses ont décidé qu'il ne voulait plus de baïonnettes musulmanes dans leur pays, on les en remercie beaucoup. Si un référendum honnête était organisé sur le sujet dans n'importe quel pays du Premier Monde, les résultats seraient sensiblement les mêmes. Et tous les politiciens au pouvoir qui s'inclinent devant la Mecque et chantent les louanges de l'islam le savent aussi.


Et si les musulmans se sentent lésés, alors peut-être qu’il est temps d'avoir un débat rationnel sur les droits et les responsabilités. Et peut-être que lorsqu'il y aura des églises et des synagogues à la Mecque, alors il pourra aussi y avoir des minarets en Suisse. Lorsque les synagogues européennes n'auront plus besoin d'être entourées de grands murs et lorsque les églises n'auront plus besoin de vigiles contre les pyromanes, peut-être qu’alors, à ce moment-là, personne n’essaiera plus d’entraver la croissance démographique musulmane. Pour le moment de rudes musulmans exigent à la pointe d'une baïonnette ce qu'ils ne sont pas disposés à accorder aux autres. Et au vu d'une telle intolérance et hostilité dogmatiques, tout discours sur l'Egalité transforme la démocratie en un pacte suicidaire.



**ndt : la synagogue de Prague Alt Neu Schul en est un autre exemple, en terre chrétienne cette fois

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30 novembre 2009 1 30 /11 /novembre /2009 04:33
Lettre d'Italie par Angelo Pezzana qui dirige l'excellent site :

www.informazionecorretta.com

Adaptation : Danielle Elinor Guez


http://www.rights.no/publisher/publisher.asp?id=59&tekstid=2980


Angelo Pezzana, né en 1940, est un journaliste, écrivain et activiste politique qui vit à Turin en Italie. Ses livres incluent Dentro & Fuori, une autobiographie publiée en 1995, et Quest’anno a Gerusalemme (cette année à Jérusalem), une histoire de l'immigration des Juifs d'Italie en Israël, publié en 1996. Il contribue régulièrement au journal milanaisLibero et est rédacteur en chef du site informazionecorretta.com qui analyse quotidiennement les articles des médias italiens sur Israël et le Moyen-Orient. Dans l'essai suivant, écrit en exclusivité pour rights.no [une organisation norvégienne], il donne un aperçu critique de la situation actuelle de l'Italie vis-à-vis de l'islam, de l'immigration, et d'Israël. 


Je vais commencer par une bonne nouvelle : l'Italie au moins, est un pays européen dont les médias d'information (cela inclus les journaux aussi bien que les stations de télévision privées et publiques) ne sont pas entièrement hostiles à Israël. Cependant, il y a un manque généralisé de compréhension du problème de l’immigration. Les Italiens ont très peu conscience de ce qui se passe et les médias ont tendance à éviter de parler du sujet soigneusement scellé, à savoir ce qui s'est déjà produit dans d'autres pays européens où des villes entières ou des quartiers sont sous contrôle musulman. En évitant généralement cette question, les médias d'information ont allègrement réussi à laisser dans l’ignorance la majorité des Italiens qui ignore l'augmentation constante de la population immigrée, plutôt concentrée dans les quartiers périphériques. (Il est par ailleurs impossible de déterminer le nombre d'immigrés étant donné le nombre important de clandestins).


Certes, une poignée de journaux du centre-droit présentent une image relativement objective de la réalité de l'immigration. Mais ce n’est vraiment pas le cas de la majorité des médias d'information qui, dans leur orientation politique vont de la gauche modérée à l'extrême gauche. C’est également vrai pour les journaux catholiques qui abordent le problème de l'immigration et de l'immigration musulmane en particulier, exclusivement dans une perspective de développement humain et social. Ils ont la même approche pour le terrorisme musulman dont les auteurs, en Italie trouvent leur inspiration dans les mosquées. La plus célèbre de ces mosquées est Viale Jenner à Milan qui, bien qu’elle soit souvent l’objet d’enquêtes de police, continue néanmoins ses activités avec le même rythme. Pendant ce temps, le public voit généralement les revendications des musulmans en Italie à travers le prisme des droits civils et n'a donc pas d'objection à la construction de mosquées, même par des groupes dont on a prouvé les liens avec le terrorisme international. Les gens peuvent avoir appris une chose ou deux à partir d'un livre comme celui de Walter Laqueur, The Last Days of Europe, qui prédit à quoi ressemblera l'Europe dans les décennies à venir et propose des prévisions détaillées sur les changements à venir dans chaque pays en 2025 et 2050. Mais, quand le livre a été publié en traduction italienne, les journaux n'en ont pas fait écho.


En Italie, les défenseurs de l'immigration – qui ne tiennent pas compte de ses conséquences – sont non seulement les militants d'extrême gauche (qui ne sont pas très nombreux), mais aussi les organisations locales liées à l'Église catholique et qui soutiennent tout ce qui est anti-occidental et anti-israélien. Sur l’ensemble du territoire italien, les paroisses catholiques en partenariat avec des O.N.G. catholiques et d'extrême gauche accueillent régulièrement des réunions et conférences dont le seul but est de servir la propagande pro-palestinienne ; les orateurs invités lors de ces événements comprennent souvent des intellectuels israéliens, des journalistes, des professeurs, et des écrivains du genre de ceux qui parcourent le monde pour vilipender Israël. Ils sont peu nombreux, mais féroces. Qui peut mieux délégitimer Israël qu'un Israélien ?


Le Centre-droit, qui gouverne actuellement, pourrait adopter une approche raisonnable du problème de l'immigration, mais les éléments catholiques dans le gouvernement sont peu disposés à affronter ces problèmes avec une approche laïque (si l'on peut dire). Il faut reconnaître, cependant, que la politique étrangère du gouvernement Berlusconi est fortement pro-américaine et pro-Israelienne, même si le Premier ministre entretient des relations cordiales avec beaucoup de dirigeants non démocrates comme Kadhafi, Poutine et Erdogan. Dans l'ensemble, le gouvernement actuel est probablement aussi bon que nous pourrions l'espérer d’un gouvernement dans ces circonstances qui sont que l’Italie est aux prises avec une tradition non laïque qui a partagé le pouvoir politique entre deux forces, l’une catholique et l’autre communiste. Il est depuis longtemps commun de parler en fait de «deux Eglises», la blanche et la rouge.

 

http://blog.snafu.de/managerex/files/2009/04/don-camillo-e-peppone1.jpg

 


Dans les années 90, après une enquête minutieuse faite par le pouvoir judiciaire, qui, en Italie, est étroitement lié (à son plus haut niveau, en tout cas) à l'ancien Parti communiste, tous les autres partis du pays ont été décimés par une série de procès. A la fin, seul le Parti communiste était encore debout - bien qu'il ait changé de nom après la chute de l'URSS. C'est cet état de fait qui a poussé Silvio Berlusconi à entrer en politique et à créer un parti, Forza Italia, dont la victoire électorale a empêché la gauche d'arriver au pouvoir. Avant cela, M. Berlusconi avait été le chef d'entreprise qui avait brisé le monopole de la télévision d'Etat (financée par des redevances obligatoire), en fournissant des services de télévision libres et privés. Depuis, M. Berlusconi a été régulièrement accusé par le pouvoir judiciaire de tous les crimes imaginables mais il a réussi à survivre jusqu'à présent. Dans notre démocratie - qui, malgré tous ses défauts, garantit la liberté - les citoyens ont voté pour Berlusconi en 2001, mais aussi pour le Centre-gauche en 2006. En 2008 Berlusconi été ramené au pouvoir par un libre choix.

 

http://kamizole.blog.lemonde.fr/files/2009/05/silvio-berlusconi-veronica-lario.1241557111.jpg


En Israël, Berlusconi est considéré comme le meilleur Premier ministre que l'Italie ait jamais eu. Ce verdict est évidemment basé sur sa politique au Moyen-Orient, qui est très attentive aux intérêts nationaux de l'Etat juif et très dure contre le terrorisme. C’est à la suite d'une proposition du Ministre italien des Affaires Etrangères Franco Frattini que le Hamas a été déclaré une organisation terroriste par l'Union européenne. L'Italie a maintenu des liens commerciaux avec l'Iran, mais l'attitude du gouvernement italien à l'égard de ce pays est tout sauf amicale.

 


Vient ensuite le Vatican, qui partage avec l'islam une profonde opposition à la modernité. En décembre dernier, à l'ONU, le Vatican a rejoint les pays musulmans en votant contre une résolution voulant interdire la peine capitale pour les homosexuels – ce qui est, bien sûr, en vigueur dans de nombreux pays arabes. En effet, l'Eglise - qui s'oppose à l'avortement, interdit toute forme de contrôle des naissances, condamne les homosexuels considérés comme des pécheurs et interdit l'usage de préservatifs à titre préventif contre le SIDA - s'entend plutôt bien avec les Etats théocratiques du monde musulman et a la nostalgie de l'époque où elle aussi exerçait un pouvoir temporel.


L'Italie est, en bref, un pays riche en ressources et en possibilités. Mais elle reste sous l'influence des deux courants catholique et communiste, qui ont toujours empêché le développement d'une société plus laïque et plus ouverte et ont restreint Berlusconi et ses partisans dans leur capacité à traiter plus efficacement les défis de l'immigration, de l'islam et de la haine d'Israël.

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29 novembre 2009 7 29 /11 /novembre /2009 13:51


http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/0/04/Al_Andalus.gif

Cartoline da Eurabia, di Ugo Volli
Carte postale d'Eurabia de Ugo Volli

Spagna-Eurabia, modesti consigli per esserlo veramente
Espagne-Eurabia, quelques modestes conseils pour y arriver vraiment

Adapté par Danielle Elinor Guez



Chers amis, la presse italienne
 [et française !] ne parle malheureusement pas des choses importantes ou bien ne vous respecte pas suffisamment. En voici un exemple : l'autre jour un député du Parti Socialiste espagnol au pouvoir, José Antonio Perez Tapias a proposé « un dédommagement pour les quelques 300 000  morisques héritiers du grand Califat de Grenade, chassés d'Espagne par l'édit de 1609 par le roi catholique Philip III. Le député, originaire lui-même de Grenade, a proposé pour ceux-ci une « reconnaissance institutionnelle » et « une indemnisation ». Wikipédia explique que le nom de « morisques », « moriscos » en espagnol et « mouriscos » en portugais fait référence aux musulmans de Al Andalous qui ont été contraints de se convertir au christianisme entre l'année 1492, année de la reconquête, et 1526. Le nom a également été utilisé avec une connotation péjorative pour leurs descendants jusqu'à l'expulsion définitive des musulmans décrétée entre 1609 et 1614.


Bon, je ne vais pas tomber dans le piège de comparer le sort des malheureux morisques avec celui des juifs expulsés du même pays pour les mêmes raisons mais avec beaucoup plus de précipitation et en masse en 1492 ni avec celui des Marranes (gentil épithète attribué par les Espagnols aux juifs convertis qui signifie porcs, le mot exact étant Anoussim) ; les Marranes ayant été souvent et volontiers brûlés en place publique pour avoir accompli un acte rappelant leur foi ancestrale dans ce que les Espagnols appellent à juste titre «autos de fe », autodafés, actes de foi.


Que les Espagnols se souviennent des Morisques et non pas des Juifs est conforme aux résultats des sondages qui montrent que la population espagnole est la plus antisémite d'Europe : alors qu'il n'y a presque pas de juifs dans le pays, presque 50 % des Espagnols pensent que les juifs ont trop de pouvoir etc. etc. L'Espagne dans sa cohérence est toujours du côté des Palestiniens contre « l'entité sioniste ». Les musulmans sont au contraire suffisamment nombreux pour avoir récemment créé le premier parti musulman islamiste en Europe qui a de grandes chances d'obtenir quelques mandats aux prochaines élections.


Le fait est que la proposition de l'honorable Tapias est trop modeste. Que signifie « reconnaissance institutionnelle » et « réparation » ? C'est trop peu, c'est trop tard. Pour remédier aux méfaits de Philip III, il est nécessaire d'appliquer les mêmes critères exigés avec justesse par les Palestiniens pour l'entité sioniste, avec le soutien espagnol plus ou moins explicite : le droit au retour des réfugiés. Malheureusement, au XVe siècle l'URNWA n'existait pas, cette institution spéciale de l'ONU qui a pour tâche de maintenir intact le statut de réfugiés pendant des générations et des générations en entravant leur intégration pour que le problème ne soit jamais résolu et que la lutte continue. Donc les quelque trois cent mille Morisques ainsi que leurs descendants se sont honteusement intégrés dans les sociétés arabes. Dommage. Mais pourtant on peut y remédier. Il suffit d’admettre autant d’Arabes en Espagne en leur donnant la nationalité espagnole ; il est probable qu'à cause d'au moins un ancêtre ils soient tous des réfugiés car en fait ils peuvent tous avoir un ancêtre morisque. Combien faut-il en admettre ? Le compte est vite fait.


Admettons qu'avec son rythme de croissance démographique la population double tous les 50 ans. Ils étaient trois cent mille en 1609, six cent mille en 1659, un million deux en 1709, quatre millions huit en 1809, vingt millions en 1909, quatre vingt millions en 2009. L'Espagne a le devoir moral d'importer quelques quatre vingt millions d'Arabes au plus vite sur son territoire sans compter les compensations et la reconnaissance. Vous dites que cela signifie détruire l'Espagne, lui enlever son identité ? Et bien ce qui est juste est juste, l'Espagne n’existera plus (déjà nous commençons à l'appeler « entité bourbonienne ») et nous assisterons au retour glorieux d'El Andalous, le royaume de Grenade détruit par les chrétiens colonialistes barbares. Hourra, hourra, Eurabia retrouvera ses plus belles perles. Bienvenue en Eurabia, El Andalous .


P.S. et si vraiment ils refusent de faire leur devoir ces Espagnols qui critiquent si justement le colonialisme sioniste au point d'avoir engagé des poursuites contre des officiers de l'armée israélienne pour leurs crimes de guerre horribles, s'ils hésitent et ont peur de perdre leur proie précieuse, s'ils manquent de morale, pourquoi ne pas faire au moins un petit geste dans la bonne direction ? Le programme minimum serait celui-ci : premièrement de suspendre toute construction dans les colonies qui sont construites au sud des Pyrénées. S'ils veulent la paix, il leur est interdit de construire le moindre poulailler à Barcelone ni même une cabine téléphonique à Madrid. Alors peut-être que les réfugiés entameront des pourparlers avec eux - avec la médiation de la Turquie naturellement et la bénédiction d'Obama. Mais bien sûr, la première condition est de détruire les murs de la honte et l'apartheid terrible qui séparent de la mère patrie arabe et africaine, Ceuta et Melilla, ces villes marocaines occupées par les troupes espagnoles il y a quelques siècles. Et aussi parce qu’ils [les murs] n’empêchent pas les attentats suicides, que les Arabes d'Espagne sont d’ailleurs capables de fabriquer sur place comme on l'a vu, mais repoussent de modestes immigrés. J'espère que bientôt le bon Tapias proposera l'innovation des frontières ouvertes ; en y pensant bien, s'ils détruisent le mur de la honte à Ceuta et assurent une liaison régulière, il n'y aura pas besoin de réintroduire les réfugiés… ils reviendront d'eux-mêmes.

 

http://static.blip.tv/Draxtordespres-BluesAlAndalus181.png

P.P.S. sachez que ce sujet nous concerne également, nous les Italiens ; il faudrait aussi rendre la Sicile ; elle a fait partie pendant quelques siècles du Dar el Islam,  la maison de la paix ? Et bien ce qui a appartenu une fois à l'Islam est à lui pour toujours...


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12 novembre 2009 4 12 /11 /novembre /2009 15:38

Encore cette Suède !!!!

Mais de quoi je me mêle.

Et MALMÖ, vous savez la gentille petite cité tranquille sans émeutes, il n'y a rien a faire la-bàs ? 

  


Les petits gestes et paroles politiques ont souvent plus d’impact que les déclarations fracassantes.

C’est notamment le cas pour le Proche Orient, où l’Union Européenne veut faire pression sur Israël et contourner de fait la souveraineté d’Israël sur Jérusalem, dans le but d’imposer sa conception « d’une capitale pour deux Etats ».

Le ministère israélien des Affaires Etrangères est en train de mener une campagne auprès des ambassadeurs des pays de l’UE en Israël, mais aussi en Europe même, après que les dirigeants de la Suède – qui préside actuellement l’Union Européenne – aient commencé à utiliser officiellement l’expression de « Jérusalem, capitale d’Israël et de la Palestine » dans leurs documents.

Selon l’un de ses hauts responsables, « le ministère israélien des Affaires Etrangères a envoyé un message à toutes ses ambassades en Europe, leur demandant d’agir de manière très ferme afin de stopper cette initiative suédoise avant qu’elle ne devienne irréversible ».

Selon le journal « Haaretz », qui a obtenu l’une de ces lettres, des diplomates suédois mais aussi de plus en plus de documents diplomatiques officiels diffusés par la Suède mentionnent maintenant Jérusalem comme capitale de deux Etats. Certains pays européens affirment que ce grave changement de terminologie a été fait avec leur consentement, mais les Suédois prétendent de leur côté avoir obtenu l’assentiment de la quasi-totalité des membres de l’Union, lors de discussions confidentielles initiées par Stockholm sur ce sujet.


Le ministère israélien des Affaires Etrangères était au courant depuis un certain temps des intentions de la Suède, mais a voulu attendre avant de réagir, pour savoir s’il s’agissait d’une tentative limitée à la Suède ou si cette nouvelle offensive contre Israël bénéficierait de l’accord des autres pays de l’UE. Au vu des résultats, il a été décidé de mener une campagne dans chacun des pays européens, par le biais des représentations diplomatiques israéliennes. Parallèlement, le directeur-adjoint du Département « Europe de l’Ouest » au ministère des Affaires Etrangères, Naor Gil’on, a convoqué les ambassadeurs des 27 pays de l’Union Européenne, afin qu’ils fassent part à leurs gouvernements respectifs « du fort mécontentement israélien face à cette initiative ». Gil’on leur a expliqué « que seules les négociations entre Israël et les Palestiniens seront de nature à définir le futur statut de Jérusalem, et que les tentatives extérieures de forcer une solution sont contre-productives et malvenues».


L’un des diplomates présents a souligné que « cette position adoptée par la Suède était en fait depuis longtemps sur le papier dans les documents internes à l’Union, et que l’officialisation devait se faire un jour ou l’autre ». Mais il aussi reconnu que « l’un des messages les plus clairs qui ressortait des paroles de Naor Gil’on, était qu’en ce faisant, la Suède disqualifiait désormais encore davantage l’Union Européenne dans sa volonté d’être un d’acteur équilibré au Proche Orient ». Lors de son intervention devant les ambassadeurs, Gil’on se demandait même « si la Suède n’avait pas pris là une décision qui contournait les institutions européennes ».


Ce nouvel épisode ne pourra qu’attiser encore plus la colère du gouvernement israélien envers les autorités suédoises, qui ne manquent pas une occasion de manifester leur animosité envers l’Etat hébreu. Suite à ce froid entre les deux pays, le ministre suédois des Affaires Etrangères, Karl Bildt ne s’est pas rendu une seule fois en Israël depuis la prise de fonction de la Suède comme Présidente tournante de l’Union Européenne. A Jérusalem, on espère (illusions ?) que la Présidence espagnole qui début au mois de janvier entraînera une embellie dans les relations agitées entre Israël et un continent européen prisonnier de ses intérêts économiques et commerciaux dans le monde arabe mais aussi de son importance population immigrée musulmane.

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12 novembre 2009 4 12 /11 /novembre /2009 12:19
Les Britanniques peuvent-ils décider qui est Juif ?!
 
9 Nov. 2009
Shmuley Boteach , THE JERUSALEM POST
 
 
Adaptation française de Sentinelle 5770
 
Qu’en un bref instant une affaire aussi choquante survienne est à peine croyable. Cette affaire parue dans le ‘New York Times’ dimanche passé, rapporte la façon dont une école juive privée à Londres s’est vue ordonner d’admettre un enfant dont la mère avait eu une conversion non orthodoxe après un procès intenté par les parents. Je n’entrerai pas dans l’amère division entre les Juifs orthodoxes et libéraux d’Angleterre. C’était une bataille dont j’ai été témoin et pour laquelle j’ai travaillé dur au rapprochement à travers des livres et des réunions publiques innombrables depuis 11 ans que je vis au Royaume Uni. 
 
Aussi je ne répondrai pas aux questions très pressantes sur le statut juif déterminé par la conversion. Je suis un Juif passionnément orthodoxe également passionné par l’unité juive. Nos divisions doivent vraiment être traitées et guéries, mais cette histoire choquante soulève une préoccupation égale pour les orthodoxes comme pour les non orthodoxes.
 
Ce qui dépasse l’imagination, c’est la façon dont une cour britannique, qui a rendu un jugement contre l’école, a déclaré que la tradition antique de la communauté juive de se prononcer sur la judéité est fondée ethniquement, discriminatoire et donc illégale. « L’exigence pour l’admission d’un élève, que sa mère doit être juive, que ce soit de naissance ou par conversion, est un test d’ethnicité qui contrevient à la « Loi sur les relations entre les races », a déclaré la cour. Que les motifs soient « bénins ou malin, théologiques ou suprématistes, ne les rendent ni plus ni moins illégales ».
 
Dans un jugement stupéfiant, la cour a dit que si l’enfant pratique le judaïsme, alors il est juif. Mais fonder cela sur ses parents était une insistance illégale sur l’ethnicité plutôt que sur la foi. On peut tout de suite comprendre les implications pour les Juifs qui ne sont pas du tout observants. Sans doute, le gouvernement britannique ne les considèrerait pas comme Juifs.
 
Maintenant, mettons de côté un moment l’intrusion incroyable du gouvernement dans les affaires d’une religion et concentrons-nous sur la motivation de la cour. Si vous vivez en Grande Bretagne, vous devenez automatiquement un citoyen si vos parents sont britanniques. Même si vous ne vous comportez pas particulièrement en britannique, ou haïssez votre pays de naissance, la Grande Bretagne ne peut reprendre votre passeport. Et si vous êtes un Américain vivant à l’étranger, vos enfants acquièrent automatiquement la citoyenneté américaine. Je le sais bien parce que six de mes neuf enfants sont nés en Grande Bretagne. Et même si seulement l’un de leurs parents est Américain, et vit en Europe par-dessus le marché, ils deviennent automatiquement Américains. Même si vous n’avez jamais fêté le 4 juillet (1) ou jamais entendu parler d’Abraham Lincoln, vos enfants sont aussi Américains que George Washington lui-même.
 
Alors est-il vraiment si difficile à des juges britanniques de comprendre que la nationalité est transmise par un parent ?
 
Les Juifs sont d’abord et avant tout un Peuple et seulement secondairement une foi. Nous étions les enfants d’Abraham, Isaac et Jacob avant de recevoir la Torah au Mont Sinaï et de pratiquer les principes du judaïsme. La nationalité vient d’abord, et elle est totalement indépendante de toute forme de profession de foi. La judéité n’est pas quelque chose que l’on peut perdre, ni quelque chose à quoi on peut renoncer. En ce sens, le judaïsme est radicalement différent du christianisme, qui est un acte conscient d’affirmation. Alors qu’il ne peut exister des Chrétiens athées, il y a beaucoup de Juifs athées.
 
Je suis estomaqué qu’une cour britannique mette cela en question. Au cours de mes 11 années en Grande Bretagne, je n’ai jamais rien entendu d’aussi scandaleux. Ce jugement constitue une agression légale sur l’intégrité même de la religion juive pratiquée en Grande Bretagne, et c’est un tournant  dans l’histoire juive moderne. Et avec toutes les affaires récentes d’universités britanniques cherchant à interdire leurs homologues israéliennes dans les conférences et l’augmentation des incidents antisémites dans les îles britanniques, cela ne fera que conforter l’opinion mondiale de ce que la Grande Bretagne est un pays qui devient hostile aux Juifs.
 
Être un Peuple ne fait pas de nous un groupe ethniquement homogène. Il y a des Juifs noirs et des Juifs blancs, des ashkénazes et des sefardim. Les convertis de toute origine ethnique peuvent bien sûr se joindre à nous à tout moment. Mais ce faisant, ils n’adoptent pas une foi mais un Peuple. Ils ne deviennent pas simplement des pratiquants de la foi juive mais font partie de la famille juive. Un converti se transforme d’étranger en un frère ou une sœur juifs. Mais le processus doit bien sûr avoir des standards. Etre un citoyen britannique n’est pas un acte arbitraire. Il nécessite environ dix ans de résidence. De même, la naturalisation de ma femme australienne comme citoyenne américaine a nécessité beaucoup d’années de résidence, et elle a dû réussir un test de connaissances américaines.  
 
Imaginez seulement maintenant combien il serait absurde que les USA disent à la Grande Bretagne de modifier ses exigences de résidence, ou vice versa, et vous pouvez commencer à imaginer la chutzpa** des juges britanniques essayant de modifier les exigences d’identité d’une foi vieille de 3.500 ans qui est le précurseur du christianisme.
La semaine prochaine, mon organisation, « This World: The Values Network » (3), parrainera les personnalités juives de premier plan, dont le rabbin Adin Steinsaltz (4), Richard Joel, Président de la « Yeshiva University », Alan Dershowitz (5), Michael Steinhardt, et le président de AIPAC David Victor et Marianne Williamson (6).
 
L’une des principales valeurs de notre religion est la communauté et le sens de la nation. Pendant des milliers d’années à travers le monde, des Juifs ont toujours été attentifs à leurs frères. Vous pouvez vous trouver dans quelque ville, et sans considération du degré d’observance, vous serez invité(e) dans le foyer de quelqu’un pour le Sabbat et vous sentir en famille. A la lumière de cette mise en question juridique britannique scandaleuse à ce principe respecté dans tous les époques par le Peuple juif, nous ajouterons une session plénière pour expliquer la valeur juive toute particulière de l’identité et de la nation, en espérant que cela aidera la communauté juive britannique à savoir qu’elle ne est pas seule dans cette bataille.
 
Notes d traducteur :
 
(1) 4 juillet : Fête nationale des USA
(2) Chutzpa : insolence en Yiddish, avec une note d’humour
(3) « This World: The Values Network » : « Ce monde-ci : le réseau des valeurs mondiales »
(4) Rabbin Adin Steinsaltz : auteur d’une traduction monumentale récente du Talmud en français
(5) Alan Dershowitz, l’un des plus grands juristes et avocats américains, Pr. de droit à Harvard.
(6) Marianne Williamson : Pasteur de l’Eglise unifiée, conférencière, fondatrice de « Peace Alliance »
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