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19 août 2010 4 19 /08 /août /2010 08:46

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Résumé par Aschkel

pour aschkel.info et lessakele.

 

VIDEO

      

La dernière brigade de combat américaine a commencé à quitter l'Irak jeudi et l'Administration Obama a prévu de doubler le nombre de gardes de sécurité privés  dans le pays pour combler le vide.

Barack Obama a imposé une date limite à la fin  du mois pour le retrait - et "The Last Patrol» la dernière patrouille , qui comprenait des membres de la 4e brigade Stryker , a traversé la frontière au Koweït dans les premières heures de jeudi, heure locale .

La sortie très médiatisée des soldats Stryker jeudi ne met pas totalement fin à la mission de combat car il ya encore 2.600 troupes de combat en Irak . Ils sont censés sortir dans les prochains jours.

Environ 50.000 soldats resteront en Irak jusqu'à la fin de l'année prochaine pour former les forces irakiennes et après le 31 août la mission en Irak ne sera plus connu sous le nom Opération Liberté mais sera appelée Opération New Dawn.

Quand la dernière  troupe militaire partira à la fin de 2011, l'administration Obama prévoit de doubler le nombre de gardes de sécurité privés en Irak ( jusqu'à 7000 )- Ce que Le New York Times a rapporté mercredi, citant l'Administration sans citer le nom des fonctionnaires.

Ces mesures du  département d'Etat américain  visent à protéger les civils toujours exposés aux insurgés d'Al-Qaïda  et AUX milices liées soutenues par l'Iran.

Des sociétés employées par le Département d'Etat permettront de former la police irakienne. 

http://www.wfsb.com/video/24682072/index.html

 

 

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18 août 2010 3 18 /08 /août /2010 09:29

 

 

 

 

Netanyahu adresse un message à la Turquie : Vous n’êtes pas irremplaçables / Eli Berdenstein – Maariv

 

Le Premier ministre Netanyahu et son épouse ont entamé hier une visite importante en Grèce dont un des objectifs est de signifier à Ankara qu’Israël a la possibilité de remplacer son allié turc, y compris dans le domaine du tourisme.

C’est un emploi du temps chargé qui attend les Netanyahu : Entre une réunion de travail et la signature d’accords confidentiels avec le Premier ministre Papandréou puis une rencontre avec la communauté juive, ils se rendront sur l’île de Paros, un haut lieu du tourisme.

Du point de vue des Grecs, l’objectif principal de la visite sur l’île est de profiter de la crise entre Israël et la Turquie pour faire venir en Grèce des centaines de milliers de touristes israéliens. Dès cette année, près de 250 000 Israéliens devraient se rendre en Grèce, contre 100 000 environ les années précédentes.

Ce matin, M. Netanyahu et son épouse embarqueront sur un navire lance-missiles acheté par la Grèce à Israël. A bord, ils retrouveront le Premier ministre Papandréou et son épouse. Ensemble, ils navigueront vers l’île de Paros où les attendra le ministre grec de la Défense.

 

Obama à Erdogan : Du calme / TzahYoked – Maariv

La tension de plus en plus vive entre Israël et la Turquie et les propos très durs du Premier ministre Erdogan à l’encontre d’Israël ont conduit la Maison Blanche à prendre une mesure sévère vis-à-vis de la Turquie en à menacer de ne plus lui vendre d’armes si elle ne change pas d’attitude vis-à-vis d’Israël. C’est ce qu’affirme le Financial Times.

Le porte-parole de la Maison Blanche, Bill Burton, a confirmé que le président Obama et le Premier ministre Erdogan se sont entretenus au téléphone mais a démenti toute menace de la part du président américain : « Il n’y a pas d’ultimatum. Le président et M. Erdogan ont évoqué l’Iran et la flottille. Il n’y a eu aucun ultimatum », a-t-il déclaré.

Quoi qu’il en soit, ces affirmations du Financial Times font suite à une série de déclarations qu’ont faites récemment de hauts responsables américains qui ont fait part de leur mécontentement face à l’attitude de M. Erdogan.

 

ISRAËL-PALESTINIENS

Le terroriste abattu avait participé à l’accrochage dans lequel avait été tué Eliraz Péretz / Yossi Yehoshua et Yaron Sasson – Yediot Aharonot

 

Un soldat a été légèrement blessé et deux terroristes ont été tués hier soir dans un accrochage le long de la clôture frontalière, dans le sud de la bande de Gaza. L’un des terroristes tués avait été impliqué en mars dernier dans l’incident au cours duquel le commandant Eliraz Péretz et le sergent-chef Ilan Sabiatovsky avaient trouvé la mort.

C’est vers 19 h 30 qu’une patrouille du régiment Guivati a localisé les deux terroristes qui tentaient de poser une charge explosive, non loin du kibboutz Nirim. Les soldats ont ouvert le feu et ont abattu les deux terroristes, membres du Jihad islamique. Immédiatement après, les soldats ont essuyé des tirs venant d’une autre direction et un soldat a été légèrement blessé.

Au commandement militaire de la région sud on souligne que l’incident d’hier s’ajoute à une série de tentatives d’attentat qui ont été faites au cours des derniers mois. Dans les localités proches de la bande de Gaza on affirme que cet événement prouve à nouveau que la situation est loin d’être tranquille et que l’Etat n’a pas le droit de réduire les aides à la région.

Suite à cet accrochage, plusieurs roquettes Qassam ont été tirées vers la région d’Eshkol. Deux d’entre elles ont atterri dans des zones inhabitées sans faire de victime ni de dégât. Selon les responsables militaires, il s’agit là d’un incident isolé qui ne présage pas d’une escalade.


INTERIEUR

L’organisation Im Tirtzou à l’université Ben-Gourion : Licenciez les enseignants gauchistes ou nous ferons fuir des donateurs / Or Kashti – Haaretz

L’organisation Im Tirtzou menace la présidente de l’université Ben-Gourion, Rivka Carmi, de s’adresser à des donateurs en Israël et à l’étranger pour qu’ils cessent de financer l’université si elle ne met pas fin à la « dérive antisioniste » au département de politique et de gouvernance.

Ces dons, ont écrit les dirigeants d’Im Tirtzou à Mme Carmi, « seront remis à l’université une fois qu’il aura été prouvé que la dérive dans le choix du corps enseignant et dans le contenu des programmes d’enseignement a été corrigée ». Im Tirtzou menace aussi de « recommander aux étudiants en sciences politiques d’éviter l’université ». L’organisation a accordé à Mme Carmi trente jours, qui expireront demain, pour satisfaire à ses revendications ».

L’université Ben-Gourion n’a jusqu’ici pas réagi à la lettre des dirigeants d’Im Tirtzou, mais hier le comité des dirigeants d’universités a publié une réaction dans laquelle il affirme : « Aucune université en Israël n’a à prouver à qui que ce soit l’amour de la patrie de ses enseignants »./
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17 août 2010 2 17 /08 /août /2010 13:16

 

 

Précisions sur la Corée

ICI

 

Par opex360

Depuis le naufrage de la corvette sud-coréenne Cheonan, en mars dernier, dont la responsabilité a été attibuée à la Corée du Nord, les démonstrations de force se succèdent en mer Jaune.

Ainsi, après avoir mené des exercices militaires conjoints de grande ampleur avec les forces américaines le 25 juillet, l’armée sud-coréenne a récidivé quelques jours plus tard en organisant les plus grandes manoeuvres navales de son histoire, avec la mobilisation de 29 bâtiments de guerre, 50 avions de combat et 4.500 soldats.

Cette fois, ce sont une autre série d’exercices militaires qui est au programme. Prévus pour durer pendant de 10 jours, ils impliquent à nouveau l’armée américaine, qui y prend part avec 30.000 hommes, lesquels viennent s’ajouter à 56.000 soldats sud-coréens.

Ces manoeuvres, appelées « Ulchi Freedom Guardian », en référence à un général sud-coréen, mobilisent l’USS George Washington, l’imposant porte-avions de l’US Navy. Et contrairement aux exercices de la fin juillet, il pourrait naviguer en mer Jaune, ce qu’il n’avait pas fait la dernière fois afin de ne pas irriter Pékin, qui voit toujours d’un mauvais oeil le déploiement d’importantes forces américaines non loin de ses frontières.

Selon le président sud-coréen Lee Myung-Bak, cette nouvelle démonstration de force est un « exercice pour la paix et la dissuasion ». Son objectif est d’améliorer l’interopérabilité entre les forces sud-coréennes et américaines et à contrer d’éventuelles attaques de Pyongyang faisant appel à des armes nucléaires, des missiles et des sous-marins.

Dans le même temps, un vaste exercice anti-terroriste a été programmé, afin de préparer la tenue du prochain sommet du G20, qui doit avoir lieu en novembre prochain. Pour l’occasion, 400.000 fonctionnaires sud-coréens sont mobilisés.

Comme à chaque manoeuvre militaire sud-coréenne, Pyongyang agite le chiffon rouge. Il était ainsi question de « représailles militaires » en juillet, puis de « riposte physique vigoureuses » au début du mois. Et il ne s’était rien passé. Cette fois, la Corée du Nord a fait savoir qu’elle était « prête avec son arsenal à balayer tous les ennemis (…) voués à être brûlés jusqu’à la mort » et a promis à son voisin du sud ainsi qu’aux Etats-Unis de leur infliger « la plus sévère punition jamais infligée à quiconque dans le monde. »

Toutefois, même si ces menaces restent sans effet, la Corée du Nord détient un équipage de marins-pêcheurs sud-coréens depuis la semaine dernière. Et Séoul suspecte le Nord d’avoir intentionnellement mouillé 130 mines dans des rivières, avant d’avoir procédé à des tirs d’artillerie en Mer Jaune.

Techniquement, les deux pays sont encore en guerre puisqu’il n’ont jamais signé de traité de paix depuis la guerre qui les a opposés de 1950 à 1953 et que Pyongyang a dénoncé, l’an passé, l’armistice qui avait mis fin aux hostilités. La situation est donc tendue mais aucun des deux pays n’a intérêt à se lancer dans une nouvelle guerre.

Quant à la forte présence militaire américaine dans la région, il faut la voir dans le cadre de la rivalité qui oppose Pékin à Washington. En effet, la Chine développe ses capacités navales car son commerce extérieur dépend à 90% des voies maritimes. A ce titre, l’armée chinoise a augmenté sa puissance de feu, avec la mise en service prochaine, au sein de son second corps d’artillerie, d’un missile balistique anti-navire (ASBM), le Dong Feng 21D, capable de couler un porte-avions.

Et le voisinage de la VIIe Flotte de l’US Navy ne lui plaît pas du tout, d’autant plus que les Etats-Unis continuent de soutenir Taïwan – deux frégates de la classe Perry devraient lui être prochainement vendues – alors que Pékin continue de la considérer comme une province rebelle.

Depuis quelques temps, les Etats-Unis avancent leurs pions en Asie. Le récent rapprochement avec le Vietnam, qui s’est vu proposer une accord de coopération nucléaire en est un exemple. Par ailleurs, Washington cherche à contrecarrer les ambitions de Pékin sur une vaste zone située en mer du Chine du Sud, qui a la particularité d’être riche en pétrole et en gaz.

Pour la Chine, cette zone, qui s’étend à plus de 1.000 kilomètres de ses côtes et qui comprend notamment les îles Spratley et Paracel, fait partie de ses eaux territoriales. Seulement, elle est également revendiquée par Taïwan et d’autres Etats, tels que le Vietnam, le sultanat de Bruneï, la Malaisie, les Philippines et Singapour) et pour les Etats-Unis, les prétentions chinoises sont illégales.

Ces bisbilles territoriales expliquent donc en partie les démonstrations de force navales américaines dans la région, lesquelles sont perçues par Pékin comme étant des tentatives de réduire son espace vital.

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16 août 2010 1 16 /08 /août /2010 05:10

 

 

 

David Petraeus juge le retrait américain prématuré en Afghanistan
Par Aaron Bassan - Dimanche 15 août 2010 

Guysen International News


© AFP/Archives Shah Marai

Le commandant des forces américaines et internationales en Afghanistan David Petraeus se réserve le droit de dire à Barack Obama qu'un retrait du pays à partir de juillet 2011, comme prévu par le président américain, serait prématuré, selon une interview diffusée dimanche.
 
 
Interrogé par la chaîne NBC pour savoir s'il pourrait juger que le processus de retrait ne peut pas débuter à cette date, le général a dit: "certainement, oui".
Observant qu'il "ne considérait pas (cette date comme) contraignante", le général a ajouté que lors de ses entretiens début juillet avec le président Obama dans le Bureau ovale, celui-ci lui avait "clairement indiqué que ce qu'il attend de moi, ce sont mes meilleurs conseils militaires".
"Nous avons eu une bonne discussion sur cela et je pense que le président a été très clair en expliquant qu'il s'agissait (le retrait, ndlr) d'un processus, pas d'un événement, et que cela dépendra des conditions" sur le terrain, a poursuivi le haut gradé.
M. Obama a été vivement critiqué par l'opposition républicaine pour avoir fixé une date au début de retrait américain qui selon eux ne peut que conforter l'ennemi.
Prenant la défense de M. Obama, le général Petraeus a expliqué que le président avait avancé cette date pour donner "un sens d'une urgence accrue" pour faire des progrès.
En décembre 2009, le président Obama avait annoncé sa nouvelle stratégie militaire dans ce pays, avec l'envoi de 30.000 troupes américaines supplémentaires pour porter leur total à près de 100.000, dans le but de briser l'élan des talibans. Il avait alors avancé cette date de juillet 2011 pour le début du retrait.
Les remarques du général Petraeus interviennent au moment où le soutien du public américain pour l'engagement des Etats-Unis en Afghanistan est au plus bas et alors que le nombre de soldats tués a atteint le nombre mensuel record de 66 en juillet.
Selon un sondage de l'institut Gallup et du quotidien USA Today publié début août, 62% des Américains estiment que la situation en Afghanistan est "assez" ou "très mauvaise", contre 34% d'un avis contraire.
En outre 41% des personnes interrogées pensent que l'entrée en guerre en Afghanistan après les attaques du 11 septembre 2001 a été "une erreur", alors qu'ils étaient 28% fin 2008.
Le général Petraeus a reconnu dimanche que les progrès accomplis en Afghanistan étaient lents, les décrivant comme une série de "hauts et de bas" dans les efforts pour conquérir les territoires contrôlés par les talibans, créant de "petites poches de progrès" qui, a-t-il espéré vont s'étendre.
Il a présenté l'engagement américain et international comme indispensable pour contrer Al-Qaïda et les extrémistes, laissant le temps au gouvernement du président afghan Hamid Karzaï de renforcer son autorité.
Le haut gradé américain, qui a pris le commandement de la coalition internationale en Afghanistan le 4 juillet, en remplacement du général Stanley McChrystal, écarté après ses critiques contre l'administration américaine, a affirmé entretenir de bonnes relations avec M. Karzaï avec lequel il a dit parler en moyenne "une fois par jour".
"Il y a une grande unité concernant l'effort civil et militaire", avec le président afghan, a affirmé M. Petraeus sans évoquer les problèmes de corruption persistants.
Le général Petraeus a aussi fustigé la publication annoncée par Wikileaks de nouveaux documents militaires confidentiels sur le conflit afghan qu'il a jugé "extrêmement malencontreuse".
Enfin, il a indiqué que le chef du réseau Al-Qaïda Oussama ben Laden était sans doute caché dans "une région montagneuse très très isolée" de l'Afghanistan ou du Pakistan, soulignant que sa capture était toujours souhaitée.

G.I.N avec agences

 

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14 août 2010 6 14 /08 /août /2010 23:19

 

 

L’Irak appréhende le retrait militaire américain

13 août 2010 –

opex360

« Le président Obama ne peut pas nous quitter ainsi. Il laisse l’Irak aux loups. Quand on fait une erreur, il faut la rattraper, il ne faut pas laisser l’Irak mourir ». Celui qui a prononcé ces mots, rapportés par le quotidien britannique The Guardian, n’est autre que Tarik Aziz, l’ancien ministre de Saddam Hussein, actuellement en détention pour « crime contre l’humanité ».

Le fait est, conformément à l’accord signé à la fin de l’année 2008 par Washington et Bagdad, les troupes américaines déployées en Irak ne compteront plus que 50.000 hommes et leur mission de combat prendra fin le 31 août prochain. Ce calendrier a été une nouvelle fois confirmé par la Maison Blanche la semaine passée et il est donc hors de question de le remettre en cause.

Mieux même : après le retrait définitif, prévu après 2011, seulement une centaine de militaires américains seront présents en Irak. Ils devraient être essentiellement affectés à un « bureau de coopération pour la sécurité », qui sera créé au sein de l’ambassade des Etats-Unis à Bagdad.

« Nous allons faire en Irak ce que nous faisons dans de nombreux pays du monde avec lesquels nous avons une relation dans le domaine de la sécurité qui comprend la vente d’équipements (militaire) américains ou l’entraînement de leurs force » a ainsi expliqué Anthony Blinken, le conseiller pour la sécurité nationale du vice-président Joe Biden.

Seulement voilà, la situation en Irak est actuellement très délicate. Le pays peine à trouver un nouveau gouvernement après les élections législatives organisées en mars dernier et les attentats reprennent de plus belle. Le risque le plus immédiat est de voir les groupes terroristes relancer les tensions communautaires à la faveur de cette impasse politique.

En effet, et selon les statistiques irakiennes, le nombre de victimes d’attaques terroristes a augmenté significativement en juillet dernier, pour atteindre un niveau jamais atteint depuis deux ans, avec 535 morts, dont 396 civils, et 1.043 blessés.

Ces chiffres ont cependant été contestés par l’armée américaine, qui les a jugés « excessifs ». Elle a en effet réfuté « le fait qu’il y a eu 535 tués en juillet » et estimé « incorrect de dire qu’il s’agit du mois le plus sanglant depuis 2008″. Et de présenter ses propres chiffres : il n’y aurait ainsi eu « que 222 tués (dont 161 civils) et 782 blessés par des opérations ennemies ».

Reste que le début du mois d’août semble accréditer les statistiques irakiennes puisque plus de 100 personnes ont péri dans des attaques terroristes, dont une a visé, le week-end dernier, la ville à majorité chiite de Bassorah, jusque là relativement épargnée par les attentats (43 tués et 185 blessés).

« Je ne dis pas que la situation sécuritaire s’est détériorée, mais il y a des failles ici et là de temps en temps. En tout cas, les groupes armés ne seront pas capables de faire revenir l’Irak en arriére » a toutefois estimé Nouri al-Maliki, le Premier ministre irakien.

Mais la question de savoir ce qu’il se passera une fois l’armée américaine partie d’Irak se pose. Par exemple, les tensions au sujet de la région pétrolifère de Kirkouk, revendiquée par les Kurdes, est actuellement sous contrôle, grâce à la présence militaire américaine, qui agit conjointement avec les forces irakiennes et les peshmergas kurdes. Qu’en sera-t-il après 2011?

« A ce stade, le retrait se passe bien, parce qu’ils sont toujours là » a ainsi déclaré au journal britannique The Daily Telegraph, le lieutenant général Babakir Zebari, le chef d’état-major de l’armée irakienne, au sujet des militaires américains.

« Mais les problèmes commenceront après 2011, les hommes politiques doivent trouver d’autres moyens de combler le vide après 2011″ a-t-il poursuivi. « Si l’on me pose la question du retrait, je dirai aux hommes politiques que l’armée américaine doit rester jusqu’à ce que l’armée irakienne soit prête en 2020″ a encore estimé le général irakien.

Le fait est, les militaires irakiens manquent encore de moyens et comptent encore sur ceux de leurs homologues américains. Ainsi, seulement 11 chars Abrams M1A1 sur les 140 commandés ont été à ce jour livrés à l’Irak. Et encore, ces exemplaires n’ont été reçus que le 7 août… Normalement, la totalité de la commande devrait être honorée d’ici à 2011.

Autre exemple : Bagdad souhaite acquérir des Mirage F1 français. Mais là encore, les choses traînent et aucun accord n’a été trouvé pour l’instant. Enfin, la qualité des équipements militaires attendus par les militaires irakiens peut être sujette à caution. En 2008, l’Irak a fait le choix pour le moins étonnant de commander 20 avions d’entraînement de type Utva – Lasta95, alors encore au stade de prototype et développé par une industrie aéronautique serbe déliquescente, alors que d’autres appareils de la même catégorie étaient disponibles sur le marché, tels que le Pilatus et le Tucano, les deux pouvant d’ailleurs être utilisés dans des opérations de contre-insurrection.

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10 août 2010 2 10 /08 /août /2010 04:44

 

 

 

La Corée du Nord a tiré 110 coups d'artillerie en mer Jaune

La Corée du Sud considère les tirs comme... (Photo: AP)

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La Corée du Sud considère les tirs comme faisant partie d'un exercice militaire mené par la Corée du Nord.

PHOTO: AP

 

Hyung-Jin Kim
Associated Press
Séoul-cyberpresse

La Corée du Nord a tiré lundi quelque 110 coups d'artillerie près de sa frontière maritime disputée avec la Corée du Sud en mer Jaune, a déclaré l'armée sud-coréenne.

Les tirs surviennent peu de temps après la fin d'un exercice naval sud-coréen de cinq jours que la Corée du Nord a dit considérer comme une répétition en vue d'une agression, en promettant de se venger. Le mois dernier, les forces sud-coréennes et américaines ont mené des manoeuvres militaires de grande envergure au large de la péninsule coréenne.

Tous les obus d'artillerie sont tombés dans les eaux nord-coréennes, sans causer de dommages à la Corée du Sud, a déclaré un chef d'état-major sud-coréen sous le couvert de l'anonymat.

La Corée du Sud considère les tirs comme faisant partie d'un exercice militaire mené par la Corée du Nord et garde son armée prête à faire face à une autre provocation éventuelle, a dit le chef d'état-major.

Les tirs étaient une manière pour la Corée du Nord de dire à son voisin du Sud qu'elle répondra aux exercices militaires par d'autres exercices militaires, a expliqué Yang Moo-jin, professeur d'études nord-coréennes à l'université de Séoul.

Selon M. Yang, les tirs d'artillerie avaient aussi pour but de mettre en lumière l'instabilité dans la péninsule coréenne afin de presser les États-Unis de lancer des négociations sur la signature d'un traité de paix pour mettre fin officiellement à la guerre de Corée de 1950-53. Le conflit a pris fin par un armistice et la péninsule demeure techniquement en état de guerre.

La Corée du Nord cherche depuis longtemps à conclure un traité de paix et à établir des relations diplomatiques avec Washington afin de s'assurer que les États-Unis, qui maintiennent 28 500 soldats en Corée du Sud, n'envahiront pas son territoire et ne chercheront pas à renverser le gouvernement de Kim Jong-il. Les États-Unis ont plusieurs fois répété qu'ils n'avaient pas l'intention d'attaquer la Corée du Nord.
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9 août 2010 1 09 /08 /août /2010 20:02

 

Merci Annie

 

Petition contre JCALL

 

         Communique de  Presse .       
  
  
MORIEL . NATANYA .
organise au COLLEGE ACADEMIQUE DE NETANYA . 
une conference exceptionnelle des Professeurs 
Shmuel TRIGANO  et Rapahel DRAI . 
THEME    LA PORTEE DE LA PETITION  RAISON GARDER . ...
                                  
MARDI 17.AOUT . 20h 30.   
College Académique  NATANYA .
PLACES LIMITEES  
INFO > 050 9418 890 . 050 750 78 96  .  
                               
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4 août 2010 3 04 /08 /août /2010 11:52

 

Le no man’s land au centre du Sinaï /

Smadar Péri, Yossi Yehoshua et Itamar Eichner – Yediot Aharonot

 

 

Aucun responsable israélien ou jordanien n’a pris au sérieux les démentis formels des hauts responsables égyptiens qui affirmaient hier que les roquettes qui ont touché Eilat et Aqaba n’ont pas été tirées à partir du Sinaï. Les Egyptiens ont même suggéré un autre scénario selon lequel les roquettes auraient été tirées à partir d’un bateau naviguant en mer Rouge.

Malgré ces démentis, Tsahal est convaincu que les roquettes n’ont pu être tirées qu’à partir du territoire égyptien, de la péninsule du Sinaï. Des responsables politiques estiment que c’est le Hamas, et non les organisations du Jihad mondial, qui est à l’origine des tirs. Ces responsables font le lien entre les tirs d’hier et celui de la roquette Grad qui s’est abattue vendredi à Ashkelon et ils affirment qu’il s’agit dans les deux cas d’une tentative du Hamas de torpiller les pourparlers directs.

Le gouverneur du nord du Sinaï a fait savoir que les forces égyptiennes ont effectué hier, pendant trois heures et demie, des recherches entre Taba et Nuweiba pour tenter de localiser les terroristes ou retrouver les traces des lance-roquettes. Il n’a pas expliqué cependant pourquoi les Egyptiens effectuent leurs recherches le long de la côte et non dans la zone montagneuse où se cachent les cellules qui ont commis les précédents attentats à Taba, Nuweiba et Sharm el-Sheikh et sont semble-t-il à l’origine des tirs de roquettes vers Eilat et Aqaba il y a trois mois.

Que les tirs d’hier aient été effectués par des membres du Hamas venus de Gaza, comme l’estiment des responsables israéliens, ou par une organisation affiliée au Jihad mondial, il est très difficile d’opérer dans cette zone montagneuse sans l’aide de membres des tribus bédouines locales qui connaissent la topographie de la région bien mieux que l’armée égyptienne.

Le Premier ministre Netanyahu s’est entretenu hier au téléphone avec le président égyptien, Hosni Moubarak, et avec le roi Abdallah de Jordanie. « Cette attaque lâche contre des civils israéliens et jordaniens innocents a été commise par des terroristes qui veulent nuire au processus de paix », a déclaré M. Netanyahu.

 

 

Zigzag pour une commission / Eli Berdenstein – Maariv

Israël a annoncé hier qu’il collaborerait avec le panel international au mandat restreint que le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon, veut mettre en place pour enquêter sur les événements de la flottille. Le Premier ministre Netanyahu a fait part à M. Ban de la décision lors d’un entretien téléphonique que les deux hommes ont eu au terme de la réunion des ministres du « Forum des sept » qui a approuvé cette décision. Un représentant israélien et un représentant turc siègeront au sein de ce panel. C’est la première fois qu’Israël collabore avec un panel international chargé d’examiner l’action de l’armée israélienne et des responsables politiques israéliens.

La décision du Premier ministre Netanyahu serait le résultat de pressions des Etats-Unis et du secrétaire général des Nations-Unies qui réclamait une réponse cette semaine-ci. Au départ, Netanyahu ne voulait pas d’une enquête des Nations-Unies mais il a compris en fin de compte qu’en acceptant ce panel restreint, il évitait des conséquences plus néfastes pour Israël.

En échange de cette réponse positive d’Israël, Ban Ki-Moon aurait promis à Binyamin Netanyahu qu’il annulerait la commission d’enquête mise en place par le Conseil des droits de l’homme de Genève qui est considéré comme très défavorable à Israël.

De même, Ban Ki-Moon aurait promis de s’opposer à d’autres mesures qui risquent d’accroître la pression exercée sur Israël et de l’isoler au sein des Nations-Unies. Dans un communiqué publié hier, l’ambassadrice des Etats-Unis aux Nations-Unies, Susan Rice, a dit espérer que ce nouveau panel « rendra inutile toute enquête internationale parallèle », faisant allusion à la commission d’enquête du Conseil des droits de l’homme.

L’annonce officielle de la composition du panel interviendra dans les prochains jours, contrairement à la demande d’Israël qui souhaitait attendre la fin des travaux de la commission Tirkel. Toutefois, à la demande d’Israël, le panel ne commencera pas son travail avant que la commission Tirkel et la commission mise en place par la Turquie ne finissent le leur. Le secrétaire général de l’ONU a également accepté que le panel ne puisse pas convoquer de témoins, a fortiori des soldats israéliens, mais qu’il se contente de lire les rapports des commissions et, si nécessaire, adresse des questions supplémentaires. Ce mandat restreint a été accepté aussi par le gouvernement turc.

Le panel sera présidé par l’ancien Premier ministre néo-zélandais, Geoffrey Palmer, et son adjoint sera le président colombien sortant, Alvaro Uribe. Il semble que les Turcs veuillent nommer comme représentant un ancien diplomate de haut rang. En Israël, plusieurs candidats ont été évoqués, l’un d’entre eux étant Shlomo Avineri qui a été directeur général du ministère des Affaires étrangères de 1975 à 1977.

« Israël n’a rien à cacher. Au contraire. L’intérêt national de l’Etat d’Israël est de faire en sorte que la vérité factuelle de tous les événements de la flottille soit révélée au monde et c’est exactement ce que nous faisons », a déclaré le Premier ministre au terme de son entretien avec Ban Ki-Moon./.

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30 juillet 2010 5 30 /07 /juillet /2010 06:15
En Inde, Cameron met en garde le Pakistan
David Cameron passe en revue la garde nationale indienne lors de sa reception au palais présidentiel de New Delhi.
David Cameron passe en revue la garde nationale indienne lors de sa reception au palais présidentiel de New Delhi.
Reuters / B Mathur
Par RFI

En voyage officiel en Inde, le Premier ministre britannique n’a pas manqué d’évoquer le Pakistan, allant jusqu’à appeler Islamabad à « cesser l’exportation du terrorisme », après les révélations du site Wikileaks. Au cours de cette visite de 48 heures, David Cameron, venu en ami renforcer les échanges commerciaux avec l'ancien joyau de l'Empire britannique a réussi une opération séduction.

Avec notre correspondant à BombayMouhssine Ennaimi

Que ce soit dans le Times of India, ou sur NDTV, une des chaînes nationales d'information en continu, on est plutôt satisfait des déclarations de David Cameron.

Le Premier ministre britannique a d'une part demandé au Pakistan de faire encore plus d'efforts, d’autre part de cesser d'exporter le terrorisme dans les pays voisins, que ce soit en Afghanistan ou en Inde. David Cameron a aussi ajouté que les camps de militants extrémistes au Pakistan doivent être fermés.

David Cameron a également insisté sur le fait que l'Angleterre ne se lancerait pas dans une médiation concernant la région du Kashmir. Le Pakistan souhaite une intervention étrangère sur la question, mais l'Inde y est elle totalement opposée. Sur ces deux questions donc, David Cameron a rassuré l'Inde. Opération séduction réussie !

Il est vrai que le Premier ministre britannique est venu avant tout chercher des points de croissance. Londres veut resserrer et développer ses partenariats économiques avec l'Inde. Un premier contrat de 800 millions de dollars portant sur la défense a déjà été signé. 

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25 juillet 2010 7 25 /07 /juillet /2010 05:52

Merci à DO pour le lien

 

 

AZNAR

 

 

Aznar’s Remarks at House of Commons

 

 

 

 

http://www.friendsofisraelinitiative.org/article.php?c=60

 

Adapté par Aschkel

pour aschkel.info et lessakele 

 

 

 

Je voudrais d'abord remercier l'honorable député Robert Halfon, ainsi qu' Alan Mendoza et tous les gens de la Société Henry Jackson.

 

Je vous remercie de rendre  cet événement possible. Je ne peux  imaginer un meilleur endroit pour lancer l'Initiative des amis d'Israël que la Chambre des communes, le berceau de la démocratie moderne.

 

Chers amis,

 

Nous sommes ici aujourd'hui, Marcello Pera, Andrew Roberts et moi-même, parce que le 31 mai, nous nous sommes réunis avec d'autres amis, tels que l'ancien président du Pérou, Alejandro Toledo, ancien ambassadeur américain à l'ONU, John Bolton, l'investisseur français Robert Agostinelli; la représentante du parlement italien, Fiamma Nerestein; l'ancien Ministre espagnol Carlos Bustelo, le théologien catholique George Weigel, et Lord Trimble (même si je dois préciser que Lord Trimble, pour avoir été nommé à la commission d'enquête sur l'incident de la flottille, a dû cesser ses activités avec nous jusqu'à ce que son travail se termine. Son absence a été comblée par la venue de Lord Weidenfeld); nous sommes tous rassemblés pour lancer ce nouveau projet qui est vital.

 

 

Chacun d'entre nous a été et reste motivé par une profonde préoccupation :  la densité et la vitesse de la campagne menée de  délégitimation de l'État d'Israël, contre son droit à exister, et contre son droit d'agir en légitime défense.

 

 

Nous avons tous cru qu'il était nécessaire  de se lever et dire, assez c'est assez, que les modes de discours sur Israël qui sont basés sur l'irrationel et l'émotion sont tout simplement inacceptables, et qu'ils doivent être remplacés par des discours de  raison et de décence.

 

 

 

Nous venons de différents continents, et avons tous des expériences personnelles différentes, et l'élément-clé, je crois, est que, nous sommes tous des non-Israéliens et surtout  des non-Juifs. Nous sommes, tout simplement, des citoyens concernés, des démocrates concernés.

 

 

Pourquoi un tel groupe de personnes disparates avait-il envie de défendre Israël, en sachant que nous serions automatiquement stigmatisés comme des agents sionistes, comme des conspirateurs néo-conservateurs, ou quelque chose de pire?

 

 

La réponse est très simple, (je suis sûr que Marcello et Andrew vous en parleront  plus tard): parce que nous vivons dans un monde où perdre nos repères moraux,  perdre notre identité, et perdre la foi dans nos sociétés démocratiques, ne peuvent qu'apporter notre propre destruction.

 

 

Nous sommes habitués à voir à la télé, et parfois de plus près, les impératifs et les conséquences de, permettez-moi de les appeler ainsi, des guerres dures (hard wars). Mais par delà ces conflits comme celui qui est mené en Afghanistan, il ya autre chose  qui se passe, permettez-moi de l'appeler une guerre en douceur (soft war). J'entends par là une attaque contre nos valeurs fondamentales, sur notre mode de vie.

 

 

Pour tous les membres fondateurs de l'initiative des  Amis d'Israël , Israël est un pays démocratique et  occidental, qui est au devant d'une lutte civilisationnelle.

 

 

Israël est fermement ancré dans l'Ouest parce que nous partageons les mêmes racines,  valeurs,  intérêts et ambitions, aussi parce que nous partageons un système politique ouvert, la même économie axée sur la prospérité, et les même objectifs fondamentaux : ceux de vivre en paix.

 

 

Vous pourrez voir dans notre première déclaration, dont les copies sont à votre disposition près de la porte, pourquoi nous pensons ce que nous pensons et pourquoi nous faisons ce que nous faisons.

 

 

Mais pourquoi maintenant, pourriez-vous vous demander ?

 

 

 

 

 

 

Essentiellement parce que le monde connaît actuellement des changements profonds et rapides qui ont des conséquences durables pour nous tous. Nous voyons un Iran enhardi, se doter d'armes nucléaires, nous voyons les alliés traditionnels de l'Ouest s'affirmer d'une manière qui n'est pas toujours bénigne ou implicite, comme la Turquie, par exemple, nous voyons une Europe axée sur la survie économique  qui ne tient pas compte des sujets existentiels comme la hausse de l'islam politique dans nos sociétés, et nous voyons les États-Unis d'Amérique qui envoie des signaux tels qu'ils ne mettent plus autant l'accent, comme auparavant sur leur position de leader du monde libre, et encore moins sur leur statut de gendarme du monde.

 

 

Et il ya beaucoup d'autres tendances de nivellement qui pointent vers l 'ouest de plus en plus affaibli.

 

Nous devons nous renforcer. Il ya plusieurs façons de le faire sur une base nationale.Mais nous, en tant que groupe mondial, nous avons estimé que notre meilleure contribution serait de renforcer la position internationale d'Israël. Parce que le plus grand nombre d'entre nous en était venu à la conclusion qu'Israël pouvait être le maillon le plus faible. Les critiques d' Israël peuvent évoluer dans le temps vers un isolement d'Israël, et un Israël isolé peut devenir un État paria. 

 

 

C'est pourquoi nous pensons que mettre un terme à ce processus d'érosion des droits d'Israël n'est pas seulement important, mais essentiel : Pour Israël, bien sûr, mais pour tous les pays occidentaux. Comme je l'ai écrit dans un récent éditorial du Times, «si Israël tombe , nous tomberons tous".

 

 

Permettez-moi de conclure en disant encore une chose. Nous ne prétendons pas servir ou agir comme une force de réaction rapide chaque fois qu'Israël se trouve en situation de crise. Nous n'aurions jamais à nous reposer un moment si cela était notre objectif ..

 

 

Notre objectif est d'être proactif et constructif. Nous aspirons a ce qu' Israël soit considéré comme un pays normal, avec toutes les vertus et, oui, tous les défauts d'une société démocratique normale. Nous voulons faire que cet objectif soit durable au fil du temps, car Israël est généralement représenté de façon très négative. Nous voulons, et nous avons besoin, d'ouvrir un espace pour discuter en Israël et dans la région d'une manière plus rationnelle.

 

 

Il faudra beaucoup d'efforts, de temps, ainsi que de l'argent. Mais nous croyons que nous verrons des résultats. On ne gagne pas les guerres en adoptant une posture purement défensive. On ne gagne pas des guerres non plus simplement en mettant l'accent sur la crise particulière du moment.

 

 

Nous avons décidé de commencer à bouger avec notre initiative, car nous avons tous partagé un sentiment d'urgence. Ce n'était pas une décision facile, je dois l'avouer. Et il suffit de se rappeler que le jour même ou nous nous sommes rencontrés pour la première fois, Israël a été soumis à l'une des  condamnations internationales les plus sévère, après qu'il se soit défendu contre une flottille qui a été délibérément conçue comme une arme de  provocation massive..

 

 

Nous sommes ici pour être efficaces sur nos valeurs et nos objectifs. Nous ne sommes pas ici parce que nous voulons être aimés. Néanmoins, j'ai été encouragé par le soutien que nous avons déjà obtenu. Dans les premiers jours de la mise en ligne de notre mission sur le web, nous avons reçu des milliers de signatures qui nous soutiennent, et soutiennent notre initiative en général.

 

 

Avec votre aide et votre bonne volonté, nous réussirons. Je recommande cette nouvelle initiative à vous tous.

 

 

Merci beaucoup

 

 

José María Aznar a été Premier ministre d'Espagne de 1996 à 2004 

 

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