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8 juin 2010 2 08 /06 /juin /2010 16:43
ET SI ON SE SOUCIAIT VRAIMENT DES GAZAOUIS?

mardi, 08 juin 2010 - source : la vie sauve à condition d'éclairer

 

Un brin d'angélisme, mêlé à la reconnaissance du chantage mené contre Israel par le Hamas et ses partisans. Cet article s'efforce de démonter, en partie, les arcanes du coup monté de "free gaza". Les blagues les plus courtes sont les meilleures, dit-on. Mais ce n'est pas le point de vue de Teheran.

En dépit de la farce de la "flottille", l'Iran croit ne pas être en reste en envoyant sa propre flotte prendre position en Méditerrannée par le biais d'une autre feuille de vigne pseudo-humanitaire. Il suffit pour cela d'emboiter le pas à la Turquie, docile alliée, qui a déjà préparé le terrain miné pour Israel : prendre le risque d'une confrontation avec une puissance souveraine, et surtout porter le terrain du conflit sur son propre sol.

Derrière l'affaire de la flottille, se jouait le rôle de leadership de la doctrine anti-Israel que parraîne aujourd'hui Ankara et Teheran, à défaut du rôle historique du Caire et de Damas. Le Fatah, grand perdant de l'histoire, reste le premier à souhaiter voir l'ennemi sioniste infliger une défaite au mouvement islamiste que lui-même ne serait pas en mesure d'infliger.

Reste que la question essentielle de la reconnaissance d'Israel par le monde musulman passe au second plan, seule véritable chance de parvenir à la paix. Car on ne peut effectivement pas demander à un pays, quel qu'il soit, de se saborder au nom d'idéaux, slogans creux de puissances occidentales sur le déclin.

par Sacha Bergheim pour Aschkel et Lessakele

 

Au lieu d’offrir au monde leur mise en scène de flottille de la paix, les humains humanitaires devraient veiller à ne pas soutenir le Hamas dont la population de Gaza est l’otage. Nos bonnes fées pacifistes sont-elles les complices volontaires du Hamas et de son organisation sœur turque IHH à la tête de cette opération médiatique, ou sont-elles les idiots utiles de l’IHH ?

On aura la réponse en lisant une autre presse, celle qui révèle ce qui se cache derrière cette opération.


 

1) Le Hamas reconnait avoir pris la population de Gaza en otage

 

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source : MediArabe.info, un article de Khaled Asmar daté du jeudi 3 juin 2010

 

Selon Khaled Mechaal, le chef du bureau politique du Hamas basé à Damas "les retombées de l’opération ont atteint, voire dépassé, les objectifs qui lui avaient été fixés".

 

« Selon le quotidien koweïtien « Al Seyassah », Khaled Mechaal a exprimé, dans une lettre adressée aux dirigeants du Hamas à Gaza, « sa grande joie quant aux bénéfices engrangés par le mouvement islamiste grâce à la bonne coordination de la campagne médiatique pour dénoncer l’opération israélienne contre les navires humanitaires affrétés par des militants islamistes et pro-palestiniens, européens et arabes ».

Dans son message, Mechaal, exilé à Damas, demande aux dirigeants basés à Gaza d’insister sur le rôle turc et syrien dans cette opération, affirmant que « la coordination entre le bureau politique du Hamas, le ministère syrien des Affaires étrangères, et le cabinet du Premier ministre turc, a permis de financer la flottille et d’organiser le voyage vers Gaza ». Il a suggéré que les victimes de l’opération israélienne soient considérées comme des « martyrs de la cause palestinienne et que les noms de ces martyrs soient donnés aux rues de Gaza en guise de reconnaissance ».

Le quotidien koweïtien croit en outre savoir que le bureau politique du Hamas, à Damas, « a sciemment provoqué Israël, dans le cadre d’une campagne minutieusement préparée depuis longtemps », et ce, dans plusieurs objectifs :


1- d’abord, le Hamas entendait détourner l’attention de la population de Gaza et occulter, grâce à la flottille de la paix, la misère qu’il peine à contenir et pour faire oublier les scandales liés à la corruption du Hamas.


2- ensuite, Mechaal, en coordination avec Damas, Téhéran et Ankara, entendait à travers « l’opération humanitaire » et les accrochages voulus avec l’armée israélienne, empêcher la reprise des négociations de paix entre Tel-Aviv et l’Autorité palestinienne de Ramallah, sous l’égide des Etats-Unis, et mettre en échec les efforts de Georges Mitchell, l’émissaire de Barack Obama dans la région.


3- le bureau politique du Hamas, basé à Damas, cherchait à travers cette campagne et à travers la mobilisation politique, médiatique et populaire prévisible dans les pays arabes, à mettre un terme aux pressions des pays arabes modérés, lesquels exigent la conclusion de la réconciliation avec l’Autorité palestinienne (médiation de l’Egypte). Le Hamas cherchait également à contenir les critiques liées à sa participation à la guerre au Yémen et contre l’Arabie saoudite, à la demande de l’Iran et de la Syrie, en soutenant les rebelles zaïdites (Al-Houthi) de Saada.


4- enfin, le Hamas entendait exploiter ces événements pour obtenir des concessions israéliennes dans le dossier des prisonniers, estimant que l’Etat hébreu serait obligé de céder sur ce terrain pour améliorer son image particulièrement ternie par l’assaut de la marine contre la flottille.

Le quotidien conclut que « le Hamas est particulièrement satisfait de l’évolution de la situation » et espère profiter de quelques mois de répit grâce à ces événements pour se refaire une santé financière à travers les aides iraniennes, Téhéran étant sollicité pour augmenter le budget alloué au mouvement, et grâce à une campagne politique, diplomatique et médiatique coordonnée avec Damas et Ankara pour anéantir le processus de paix israélo-palestinien.

Cependant, en montrant sa « réjouissance », Khaled Mechaal se dévoile et atteste, une fois encore, que le cynisme syro-irano-turc est sans limite [cliquez ici pour lire « l’industrie de la mort est rentable pour le Hamas (7 janvier 2009) »]. Il reconnait avoir pris la population de Gaza en otage, et confirme l’exploitation de la misère à des fins politiques. Ce faisant, le Hamas sauve Israël, critiqué par le monde entier pour avoir utilisé une force disproportionnée contre des « pacifistes ». Dans ce cas, comment les militants pro-Hamas peuvent-ils encore justifier leurs appels aux manifestations en Europe, et particulièrement à Paris, dans les jours à venir ? »

 


 

2) Gaza : la misère des Palestiniens sert de carburant à la propagande du Hamas. Le gouvernement refuse l’aide humanitaire si elle passe par Ashdod

source : MediArabe.info

Selon la télévision « Al Arabiya », les Palestiniens de Gaza, qui dénoncent le blocus israélien qui les affame et qui se soulèvent contre l’attaque de la flottille de la paix, refusent aujourd’hui de recevoir la cargaison de cette flottille par voie terrestre, en transitant par le port d’Ashdod.

Suite ici


 

3) L’aide humanitaire seulement pour les partisans du Hamas

Dans un article du magazine allemand SPIEGEL ONLINE International, on lit :

 

“Les gens qui ne sont pas en cheville avec Hamas ne voient pas l’ombre des secours envoyés, ni vivres, ni argent.» dit Khadar. “Seuls les partisans du Hamas reçoivent des maison préfabriquées, du mobilier et du travail salarié. Nous ne recevons rien » se plaint Khadar.

Et la suite de l’article nous apprend que si la famille de Khadar ne reçoit rien, c’est que comme beaucoup de ses voisins, il soutient le Fatah, l’ennemi juré des islamistes radicaux. C’est pourquoi Khadar a peu d’espoir de voir une miette des 10 000 tonnes d’aide apportée par la flottille militante.

 


Un commentateur du Haaretz écrit qu’Israël est prisonnier du blocus qu'il impose à Gaza. Mais il semble finalement que ce blocus fait aussi le jeu du Hamas.

Mais pour moi comme pour tous ceux qui se soucient d'Israël, la question est de savoir comment mettre fin à ce blocus en garantissant la sécurité d’Israël.

Alors il faut être sérieux. On ne peut pas à la fois demander à Israël de mettre fin au blocus et laisser les mains libres au Hamas et à ses alliés.

Une chose est sûre, c’est que nos humains humanitaires se contrefichent de la sécurité d’Israël. Ou ils agissent comme si le Hamas n’existait pas, ou ils marchent avec lui, la main dans la main.

 

ALLEGRA

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7 juin 2010 1 07 /06 /juin /2010 21:50

 

 

en anglais http://www.mfa.gov.il/MFA

en hébreu http://www.mfa.gov.il/MFAheb

 

« Les yeux d’Israël en Iran sont en danger » / Yossi Yehoshoua, Arié Egozi & les agences de presse – Yediot Aharonot

Dans un article publié hier, le Sunday Times londonien écrit que si Israël s’efforce de rejeter les critiques qu’il essuie suite à l’incident à bord du Marmara, ses forces de sécurité sont très inquiètes pour d’autres raisons.

En effet, selon ce journal britannique, le ministère de la Défense israélien a appris que les Turcs envisageaient de fermer une installation des services de renseignements israéliens située sur le sol turc, non loin de la frontière iranienne.

Si cela se réalise, ont indiqué au journal des sources israéliennes bien informées, « Israël perdra ses yeux et ses oreilles qui visent les profondeurs de l’Iran ». Pour le Sunday Times, cela veut dire que le blocus défaillant de la bande de Gaza aura affaibli la défense israélienne face à une menace beaucoup plus importante, celle d’une bombe atomique iranienne.

Par ailleurs, la Turquie a annoncé que Tsahal ne pourrait plus participer à plusieurs exercices militaires effectués par l’armée turque en collaboration avec des armées étrangères.

L’armée de l’air israélienne souffre également suite à la tension entre les deux pays car elle doit chercher de nouveaux espaces aériens pour s’entrainer en remplacement de l’espace aérien turc. Une des alternatives envisagées serait la Roumanie.

L’envie de tuer dans les yeux / Amir Buhbut – Maariv

Nous avions l’habitude de les voir émerger de l’eau, portant leurs armes avec résolution et prenant d’assaut l’ennemi. Sur toutes les photos officielles gravées dans notre mémoire collective, les combattants du commando marin sont des jeunes costaux et motivés qui ne connaissent pas la peur. Mais hier, nous avons vu les héros du commando comme jamais auparavant. Sur les photos publiées par le quotidien turc populaire Hürriyet, on les voit battus et blessés– résultat d’une rencontre avec des mercenaires armés qui s’est achevée sur un incident diplomatique dont les échos se font toujours entendre, une semaine après.

Les photos qui ont été publiées hier par le quotidien à plus grand tirage de Turquie, intitulées « les pleurs des commandos », ont été prises au cours des premières minutes suivant la descente des soldats israéliens à bord du Marmara. On y voit les quatre premiers combattants arriver sur le bateau, après que leurs armes et leurs gilets aient été arrachés et qu’ils aient été pris en otage. Quelques instants plus tard, leurs camarades qui sont descendus sur le bateau dans un deuxième groupe sont parvenus à les sauver de leurs ravisseurs, alors qu’ils se trouvaient dans la soute du navire./.

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6 juin 2010 7 06 /06 /juin /2010 20:30

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recadrages.jpg 

 

Erdogan, Ahmadinejad, les deux compères : pour quel combat ?

Par Jacques SAYAG

Pour Aschkel.info et Lessakele

 

 

 

Pas si fous, les deux compères ; ils viennent, enfin, de comprendre que la pseudo-conscience européenne est toute prête à leur faire une haie d’honneur sous prétexte d’humanitarisme.

 

En appelant Israël à renoncer au blocus défensif sur Gaza, les gouvernements occidentaux savent pertinemment qu’ils participent à une entreprise d’annihilation de la souveraineté de l’Etat Juif.

 

Evidemment, puisque si la paix régionale avait été leur véritable souci, ils auraient employé bien d’autres moyens pour faire appliquer “leur” résolution 1701 qui enjoignait au gouvernement libanais de désarmer son Hezbollah.

 

Mais pourquoi perdre notre temps à répéter ce qu’il fait à quelqu’un qui sait ce qu’il fait ?

 

Il n’est pas dit, en revanche, que les occidentaux aient prévu que le piège se refermerait aussi promptement sur leurs grenouillages.

 

Comment réagiront-ils, en effet, si, lors de son prochain voyage à Ankara, Ahmadinejad encourageait son alter-ego Erdogan, à s’embarquer sur un navire brise-blocus en direction de Gaza et si, de surcroît, il lui promettait un accompagnement de la flotte de guerre de ses Pasdarans?

 

Les deux complices n’auraient aucune raison d’hésiter. Ils ont mûrement réfléchi au bénéfice d’opérations de ce genre, et il est pratiquement certain qu’ils s’étaient déjà mis d’accord pour tester l’opinion publique internationale, en sponsorisant la mascarade “humanitaire” qui vient de se dérouler.

 

L’intercession de la Turquie en faveur d’une approche plus fair-play du nucléaire iranien tombant au même moment que la mise à l’eau de ces folles croisières ne peut être une coïncidence que pour les autruches.

 

Et ce serait encore faire l’autruche que de ne pas comprendre que turcs et iraniens ont passé un pacte pervers en misant leur tapis sur l’improbable réaction violente de l’occident. L’occident a peur de tout, et ils le savent.

 

Ce qui manquait à leur barda en préparation, c’était un mouvement d’opinion qui condamnât non pas seulement le gouvernement israélien en tant que tel, mais la nature même de l’Etat qu’il représente. C’est chose faite : toutes les rues européennes s’excitent contre Israël, le sionisme et les Juifs.

 

De l’antisionisme primaire et plutôt idéologique, celui d’une gauche frustrée, nous voilà passés à un néga-sionisme qui, je l’écris parce que je le pense, annonce une période véritablement catastrophique. Pour tout le monde !

 

Il faut cesser de parler de délégitimation de l’Etat Juif : il s’agit ni plus ni moins que de nier à cet Etat le droit d’être. D’être tout simplement, et peu importe qu’il fût “légalement” reconnu au plan du Droit international. La haine ne s’embarrasse d’aucune Loi.

 

Israël est, sans aucun doute, à un tournant de son histoire. Et les semaines qui viennent pourraient très bien déterminer et son statut de Nation souveraine, et sa capacité à faire admettre à la “Communauté internationale” que c’est sa sécurité et sa pérennité qui sont en jeu. Ce ne sera pas facile.

 

Quoi qu’il en soit, il nous appartient de faire admettre, d’urgence, aux autruches que la peur du vertige ne les protégera ni du lit munichois où les fanatiques voudraient qu’elles se couchent, ni de l’horreur du réveil.

 

Jacques Sayag.

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6 juin 2010 7 06 /06 /juin /2010 18:24


"Un boycott serait illégal"
Par JONNY PAUL
06.06.10source : jpost

Un enseignant britannique de l'université israélienne d'Ariel a déclaré son intention d'entamer une action en justice contre le plus grand syndicat académique britannique, qui souhaite imposer un boycott contre l'établissement où il enseigne.


Photo: Site officiel de l'univeersité d'Ariel , JPost

La semaine dernière, l'University College Union (UCU) a voté, lors de sa conférence annuelle à Manchester, le lancement d'une "procédure d'enquête" associée au boycott du Centre Universitaire Ariel, situé en Samarie.

Le professeur Geoffrey Alderman, professeur de la faculté des Sciences sociales, et membre de l'UCU, s'est déclaré furieux contre la décision prise. Il a aussitôt menacé d'attaquer le syndicat en justice pour discrimination, s'il décide de poursuivre le boycott.

Si le syndicat encourage ses membres à ne pas inviter sur leurs campus un membre du collège Ariel ou à boycotter des conférences dispensées par un professeur du collège Ariel, ou encore à ignorer les publications qui en proviennent, alors Alderman cherchera un remède dans la législation britannique.

Pour Ronnie Fraser, directeur des Universitaires Amis d'Israël, un boycott est de toute manière illégal. La façon dont le syndicat propose de mener le boycott n'est "pas claire", étant donné que tout boycott d'universitaires israéliens est jugé discriminatoire.

Un porte-parole de l'UCU a déclaré vendredi que le syndicat était au courant de la position d'Alderman, mais n'a pas commenté.

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6 juin 2010 7 06 /06 /juin /2010 17:49

Netanyahou décline la proposition onusienne

[Dimanche 06/06/2010 16:31] source : israel7

Le Premier ministre, Benyamin Netanyahou, a fait savoir, lors du conseil des ministres, dimanche, qu’il rejetait la proposition de l’ONU, consistant à mettre en place une commission d’enquête internationale au sujet de l’échec de la tentative de forcer le blocus imposé sur les eaux territoriales du sud d’Israël par la Turquie.

«Etablir avec précision les faits est une responsabilité qu’il convient de traiter de la manière la plus équitable possible. Il convient de considérer prudemment le caractère de la vérification, tout en préservant les intérêts d’Israël et de Tsahal, a déclaré le Premier ministre.» Il a répété aux ministres les propos échangés avec le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, qui lui a suggéré d’accepter le principe d’une enquête internationale.

«Je lui ai fait part des connaissances que nous avons recueillies à propos de l’organisation turque IHH, dont les membres se sont attaqués aux soldats de Tsahal.» Les investigations, selon Ban Ki-moon, se pencheront sur l’attitude non seulement d’Israël mais également de la Turquie, pendant toute la durée de l’affaire de la flottille. Il a proposé qu’un élément neutre, selon lui, en la personne de l’ex Premier ministre néozélandais, Geoffrey Palmer, dirige la commission d’enquête, dont le pays vient d’interdire l’abattage rituel juif. De plus, le comité aurait été composé de participants israéliens, américains et turcs. Le but de cette démarche serait, selon Ki-moon, de réduire la tension entre Israël et la Turquie.

Les résultats devraient être établis dans les deux à trois mois. Par la même occasion, l’Union Européenne a décidé de se réunir pour débattre du blocus de Gaza. Le ministre espagnol des Affaires étrangères, Miguel Moratinos, a déclaré devant son parlement qu’il s’était déjà entretenu de cette question avec la ministre des Affaires étrangères de l’UE. Il soutient que l’objectif de la démarche est d’éviter qu’une affaire semblable ne se reproduise à l’avenir.

 par Yéochoua Sultan

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6 juin 2010 7 06 /06 /juin /2010 05:45

 

 

04/06/2010

 

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4 juin 2010 5 04 /06 /juin /2010 10:29

 

 

 

 

Les autres A Propos en cliquant

A propos par Aschkel 

 

Adapté par Aschkel 

pour Aschkel.info et Lessakele

 

 

Pas un mot !

(Il n'ya plus de juifs au Yémen ou juste une petite poignée........... violentés,spolliés, expulsés après une présence millénaire....)

article associés

La communauté juive du yemen, l'une des plus ancienne, n'est plus

La situation des juifs dans les pays arabo-musulmans ces dernières décennies


Lorsque les arabes décrètent un blocus, eux au moins savent bien faire les choses, un blocus est un blocus, pas comme les Israeliens qui organisent la livraison de milliers de tonnes de nourriture chaque semaine  et autres équipement pour Gaza.

Près de 3 semaines de blocus total au sud-yémen, pas d'eau, de nourriture, de médicaments, de fuel etc…, la malnutrition est là, les gens commencent à mourir de faim.

Le blocus concerne le sud Yémen particulièrement Radfan, Yaféa, Al Dhala, Al Melah? Al Habeelan, Al Shaib, Gahf, Lazarik, et les parties de Shabwah.

La route principale entre Aden et Al Dahlie est fermée, ceraines localités ont été bombardées aveuglement il y a 3 jours après que deux soldats de l'armée régulière aient été tués, les autorités accusant les éléments rebelles du mouvement pour l'indépendance du sud.

250.000 personnes déplacées ont fui cette guerre de Saada majoritairement des femmes et des enfants, une femme arrétée a un barrage militaire est morte pendant son accouchement.

 

Un journaliste américain a été expulsé la semaine dernière, il témoignait de cette guerre menée avec chars, blindés lourds et bombardements arbitraires contre un centre de "resistance du sud"

 

Evidemment le Yémen a condamné Israel pour avoir intercepté la "flotille" des  humanitaro-terroristes.

 

Mais les arabes qui tuent, et affament d'autres arabes, cela doit resté tu, caché, pas de flotille ou d'aide humanitaire a moins d'être massacré immédiatement sur place.

 

Les Yéménites du sud aimeraient bien être à la place des gazaouis dont les marchés regorgent de nourriture.


Source  http://elderofziyon.blogspot.com/2010/06/yemen-does-blockade-people-die-world.html

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3 juin 2010 4 03 /06 /juin /2010 10:20

 

 

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Turquie-Israël : ça va mal finir.

Par Jacques Sayag

pour Aschkel.info et Lessakele

 

 

Les claques turques à Israël n’en finissent pas de pleuvoir.

Et si le ministre des Affaires étrangères d’Ankara Ahmet Davutoglu ponctue ses insultes par un rappel que “la sécurité des diplomates et touristes israéliens, comme celle des Juifs turcs est l’honneur de notre nation”, ce n’est que pour retenir l’Etat hébreu par le col afin qu’il continue de résister, encore un peu, et sans vaciller, à ses coups de massue successifs.

 

Israël reste stoïque, certes, et ne cède pas aux violentes provocations turques...un peu comme pour nous laisser penser qu’il y a anguille sous roche, et que tout ne va pas aussi mal qu’il y paraît entre les deux alliés stratégiques de....naguère.

 

Ou bien, c’est qu’Israël s’attend à recevoir la claque de trop avant de répliquer.

 

Penser qu’Erdogan ne pourrait pas se permettre de franchir la ligne rouge à cause des prétentions européennes de son pays, ou de son rôle au sein de l’OTAN, c’est ne strictement rien comprendre à ce qui se déroule sous nos yeux depuis quelques mois.

 

Le turc ne veut pas d’Europe : il a choisi, c’est évident, de se désoccidentaliser au plus vite. Se tournant vers le monde arabo-islamique en se faisant le chantre de la cause des radicaux palestiniens avec autant de démagogie, il parie sur une position bien plus alléchante que celle qu’il pouvait espérer en glissant davantage vers l’Ouest.

 

Dans l’OTAN, Reccep Erdogan sait qu’il peut jouer les trouble-fête quand il veut. L’accord stupide sur le nucléaire iranien et son opposition systématique à toutes nouvelles sanctions contre le régime des Ayatollahs est un message clair à l’Occident tout entier, et pas seulement aux Américains. Il dit en substance qu’il ne faut pas compter sur les ottomans pour juguler la folie des grandeurs perse car il n’y va de l’intérêt ni des uns ni de l’autre pour l’instant.

 

Il devient donc patent qu’un tel jeu n’offre pratiquement aucune possibilité d’entente avec Israël. Au contraire : je persiste à croire que la Turquie de l’AKP cherche le conflit.

 

D’abord pour finir de museler les quelques militaires locaux qui s’opposent à la perspective islamique de leur gouvernement, et ensuite pour prendre le pas sur la Syrie et devenir le maître d’oeuvre incontournable de l’avenir de la région. Où les turcs ne manquent pas de ressources, si l’on peut s’exprimer ainsi.

 

La flottille n’est qu’un épiphénomène  magistralement orchestré, et je ne comprends pas que les stratèges israéliens, sachant qui sont les membres de l’IHH qui naviguaient vers eux, n’aient pas réagi différemment à la provocation. Avant même le départ du Mavi Marmara des côtes cypriotes, par exemple. Un sabotage n’est pas plus un casus belli qu’une autorisation d’embarquer délivrée aux suppôts d’Al-Qaïda en Turquie.

 

Cessons de nous cacher la réalité : le bras de fer a commencé, et c’est à celui, d’Israël ou de la Turquie, qui le perdra, qu’il reviendra de subir le Moyen-Orient de l’autre.

 

Dans ce contexte, il n’est pas très productif de continuer à finasser. Bien entendu, il ne faut pas perdre de vue que, jusque là, l’amitié turque présentait plus d’avantages que d’inconvénients et qu’en la perdant ce ne sont pas les avantages qui restent. Soit, mais sera-t-il stratégiquement supportable, dans un futur très proche, de servir de marchepied à un poids aussi lourd ? A un poids qui ne cherche qu’à écraser.

 

Il n’est pas utile d’entrer ici dans certains détails, mais Israël a aussi beaucoup d’atouts dans son jeu. Plus qu’on ne le croit. Il n’est donc pas dit qu’en poussant le bouchon encore plus loin, Erdogan soit indéfiniment à l’abri d’une réaction brutale de l’Etat Juif.

 

Gesticuler autant et s’agiter effrontément sous ses nouveaux clients, n’est pas forcément une marque d’idiotie : les turcs savent qu’une rupture des relations avec Israël n’est pas vraiment dans leur intérêt immédiat.

 

Alors que, pour Israël....mais c’est une autre histoire...

 

Jacques Sayag

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2 juin 2010 3 02 /06 /juin /2010 21:53

 

 

 

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Gaza : le rappel à la maison

Par Jacques Sayag 

pour Aschkel.info et Lessakele

 

“Entre la justice et ma mère, c’est encore ma mère que je choisis”. Chacun connaît ce mot d’Albert Camus qui signifiait seulement qu’il avait l’Algérie au ventre, et qu’il l’aimait passionnément.

 

Une chose est certaine, et maintenant indiscutable : ce n’est pas ce choix que Bernard-Henri Levy et ses amis de JCall auraient fait. Pour tout ce beau monde, Israël a encore commis une faute impardonnable en ne transigeant pas. Faute non pas seulement politique ou militaire, mais, tenez-vous bien, grosse et “stupide” faute médiatique.

 

C’est très moche, très très vilain, de ne pas brosser la presse mondiale dans le sens du poil. En termes d’image, ça fait désordre...c’est donc nécessairement une erreur de jugement.

 

La critique repose donc avant tout sur une approche Youtubienne ou Twitterique de la réalité du conflit. Et peu importe qu’il y ait, en l’occurrence, une mise à l’épreuve violente de la souveraineté israélienne par une bande organisée, voire téléguidée. Ce qu’il faut d’abord prendre en considération, selon ces promeneurs, ce sont les “retombées”, dans l’opinion mondiale, de la réaction des soldats de l’Etat Juif.

 

Opinion qui, dans sa grande majorité, serait plutôt encline à choisir son chien à sa belle-mère, sa voiture à son grand-père, et son week-end au ski à la justice évidemment. Sans parler de certains qui placeraient les petits israéliens loin derrière leurs Nike !

 

Les humanistes qui conseillent à l’Etat Hébreu de lâcher tout son lest, ou de faire le dos rond et d’accepter que le pays devienne un vrai buvard, n’ont aucun autre argument que celui de leur foi en un dialogue avec leur propre écho.

 

La flottille en question démontre finalement jusqu’où ils ont pris l’eau.

 

Bien sûr, les plus indécents expliqueront que “l’occupation” est source de tous les maux comme si, avant elle, la région avait été un Eden, comme si le retrait de Gaza n’avait pas vu naître une opposition à la paix avec Israël encore plus radicale.

 

D’autres, il faut les comprendre, doivent être gênés de se voir agglutinés, par la force des choses, à la troupe compacte des négateurs de l’Etat Juif. Je leur suggère de se désinscrire de JCall avant de devoir applaudir à un show BHL-Erdogan- Leila Shahid, où le premier, en levée de rideau, aura, une fois de plus prêté le flanc à une sale et funeste, mais objective, complicité.

 

Quant au gouvernement français, qui, par la voix de son Premier Ministre François Fillon, s’est pris dans une volée d’exigences à l’égard d’Israël, il serait temps de lui faire remarquer que l’on peut à la fois être citoyen français, habillé en civil et inscrit à une ONG en n’ayant aucune visée pacifique. Sinon pourquoi fait-il lui-même la chasse, sur son propre sol, à des présumés ceci ou cela dont aucun n’est encore passé à l’acte.

 

La grande nouvelle de ce coup sur l’eau, c’est qu’il n’y a décidément rien de nouveau à comprendre de la manière dont la soi-disant “communauté internationale” compte traiter dans un avenir proche un petit pays sans pétrole, sans main d’oeuvre bon marché, et surtout sans terrorisme d’exportation.

 

Plus rien à attendre, non plus, d’une Turquie dont la haineuse gesticulation semble se rompre contre le calcul incompréhensible d’un gouvernement israélien qui n’a pas encore intégré la dignité dans sa panoplie de dissuasion diplomatique.

 

Même avec peu d’amis, on ne doit fermer les yeux sur ceux qui nous trahissent. En peu de temps, ils finissent par nous vendre. Il ne manque pas à Israël de se justifier, il le fait à tout bout de champ ; il lui manque de se faire respecter. Ni par la force, ni dans la guerre, mais par l’affirmation haut et clair de sa souveraineté.

 

C’est le défaut de l’armure que la nef des fous voulait continuer de taillader.

 

Jacques Sayag

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1 juin 2010 2 01 /06 /juin /2010 19:40

 

 

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Gaza....comme du papier musique

Par Jacques Sayag

pour Aschkel.info et Lessakele

 

J’espère bien qu’il n’ait pas un seul ami d’Israël capable de se réjouir du drame qui vient de se dérouler aux larges des côtes gazaouies. Apprendre que des gens meurent sans s’en émouvoir est le propre de cultures rétrogrades et barbares qui nous sont étrangères.

 

Les israéliens ne sont pas montés sur leurs terrasses, que je sache, pour une danse du scalp avant l’apéritif !

 

D’ailleurs, il n’est pas impossible que ce soit de l’autre côté, du côté où l’on crie au crime, à la violation des lois élémentaires de l’humanité, que l’on y trouve quelque avantage : médiatique, politique, diplomatique et, même, pourquoi ne pas le dire, esthétique d’une certaine manière.

 

Une telle affirmation peut faire grincer les dents des bonnes âmes. Mais que voit-on d’autre, depuis, que le frénétique épanchement de la haine d’Israël d’un orchestre qui ne parvient jamais à masquer son désir le plus morbide de voir se créer, pour ses propres fins, de belles opportunités.

 

La flottille, avec ses “Allah Akbar” d’humanitaires d’une sobriété pour le moins tendancieuse, n’avait rien d’une croisière paisible décidée à rapprocher deux peuples qui se déchirent. Pourquoi le rappeler, chacun le sait.

 

Sous le prétexte fallacieux d’apporter à Gaza ce dont la ville regorge déjà, les  bateaux n’avaient aucune autre ambition que d’amener l’Etat Hébreu à réagir. “ Quelle que soit la réaction des sionistes, cette opération est déjà une victoire”, disait Ismaël Haniyeh voilà quelques heures à peine. Son “quelle que soit” prouve que la préparation de l’événement avait tenu compte de tous les développements possibles. Décidément, le martyre a quelque chose d’insane, et la conception que se font ces messieurs de la politique un goût de perversion.

 

Quant à la Turquie d’Erdogan, elle demeure la Turquie d’Erdogan. Faut-il encore s’étonner que ce premier ministre continue de sermonner Israël avec aussi peu de référence au souvenir d’une alliance stratégique que l’on imaginait immuable ? Quoi qu’il en soit, les pauvres Kurdes de ses montagnes sauront qu’ils peuvent maintenant faire appel à des convois humanitaires.

 

Gageons qu’Erdogan ne bougera pas, ne serait-ce que pour donner l’exemple. Lui qui condamne, vocifère, insulte Israël comme s’il avait à tenir quelque honteuse promesse d’alcôve.

 

Ne bougeront pas, non plus, c’est évident, les armées occidentales, qui, à des milliers de kilomètres de chez elles, font régner paix et démocratie au pays des taliban. Les mères, les enfants, et tous les paysans qui soutiennent, souvent sans la moindre arme en main, leurs frères dans l’Islam, pourront aussi demander une aide d’urgence.

 

Ni Ban Ki Moon, ni Ashton, et encore moins Bernard Kouchner, ne trouveront rien à redire si des dizaines de camions bravaient les barrages de nos soldats aux frontières afghanes.

 

C’est donc ce 31 mai 2010 que les nations, dans leur quasi unanimité, décrètent qu’entre deux pays qui se font la guerre il en ait toujours un que l’on doit ménager. Autant que ce ne soit pas celui des Juifs.

 

Dans un récent article, j’écrivais qu’il ne fallait pas se tromper : ce n’est pas à une délégitimation d’Israël à laquelle on assiste mais à l’émergence d’un nouveau type de négationnisme.

 

Si l’on veut bien reconnaître à Israël le “droit” à l’existence, on lui nie celui d’une souveraineté non-concertée. Le pays doit rendre des comptes à tout le monde et à n’importe qui même lorsqu’il s’agit de se défendre.

 

Hier c’était des juifs de Diaspora qui voulaient lui donner des leçons de morale, aujourd’hui  c’est la terre entière qui s’y met, voulant lui imposer d’ouvrir ses frontières et ses eaux à ceux qui appellent à sa disparition.

 

Rien ne dit que demain, on n’exigera pas du Peuple Israélien qu’il fabrique lui-même de la corde pour se prendre.

 

Jacques Sayag.

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