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31 mai 2010 1 31 /05 /mai /2010 04:10

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Call...girls à l’Ambassade. (parabole)

Réaction de notre Ami Jacques Sayag

Pour aschkel.info et lessakele.

 

 

 

On les appelle, elles viennent. Pour faire valoir celui qu’elles accompagnent, croyant très certainement valoir elles-mêmes davantage que le prix qu’on leur accorde.

 

Elles s’affublent de vêtements à la mode, de strass, et du cosmétique vulgaire de leur beauté éphémère. Elles assistent au festin, minaudant ici et là vers ceux qu’elles imaginent conquérir pour une partie à venir. Mais d’avenir, elles n’en ont que dans leurs rêves. Puisque le client n’attend rien d’elles qu’un frétillement évocateur, un déhanchement susceptible de tourner la tête à la galerie.

 

Au bout de la nuit, le payeur n’a que faire de leur morale, de leurs raisons, de ce qu’elles redeviennent le matin venu. Il a payé, il veut son dû.

 

Parfois, certaines d’entre elles, celles qui ont des lettres comme on dit, interviennent dans la conversation. Et comme elles savent parfaitement tenir le rôle qui leur a été dévolu, elles se contentent d’un ridicule psittacisme de salon auquel chacun acquiesce afin de ne pas se sentir en reste à leurs yeux.

 

Plaire, plaire à tout prix, à n’importe quel prix, est leur véritable profession. Rien d’étonnant, dès lors, qu’avant d’être déposée au pied de leur immeuble, elles corrigent le regret d’exercer ce métier par une profession...de foi.

 

Voilà pourquoi les femmes fidèles ne sautent jamais le pas. Ne se prostituent pas. Pour elles, se donner sur commande, ou au plus offrant, au plus fort, ou au plus beau, ne justifie le viol d’aucun principe.

 

La Call girl a un besoin irrépressible d’une forme funeste de reconnaissance. C’est de ce vertige, plus que d’argent, qu’elle nourrit ses fantasmes.

 

Cependant, souvent, le drame vient de ce qu’une simple oeillade décochée par la belle au hasard de la soirée soit interprétée par un quidam en mal d’amour comme le commencement d’une grande histoire. Il se sent prêt à quitter sa femme, son pays et son chien, pour suivre celle qui ne se souviendra même plus de lui une fois la fête terminée.

 

Le client, quant à lui, qui n’attend rien que son butin, se frotte royalement les mains devant le spectacle. Il est ravi de voir que celle qu’il a engagée pour quelques heures, puisse à ce point inciter son concurrent ou son confrère à se compromettre. La fille devient sa complice. Et elle le sait.

 

Ce qui est plus grave, et tragique, c’est que la Call girl travaille à crédit. Soit par naïveté, soit dans le sombre espoir de récolter capital et intérêts au moment de l’arrivée du bon cheval. Parce que le crédit est un pari sur l’inconnu.

 

Beaucoup, beaucoup plus grave, et carrément catastrophique, c’est la Call girl qui répond aux appels par plaisir ou par conviction. La conviction d’une Call girl ne vaut guère davantage que celle de son employeur. Les gains sont différents, c’est tout : puisqu’elle a tout à perdre. Dont sa dignité !

 

Surtout le lundi...dans une ambassade.

 

Jacques Sayag

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26 mai 2010 3 26 /05 /mai /2010 12:25

Les opérations spéciales de reconnaissance U.S sont un avertissement à l’Iran

 

Par Marc Brzustowski

pour lessakele et aschkel.info 

 

[Source : HERB KEINON, 'Recon for attack a warning to Iran' http://www.jpost.com/IranianThreat/News/Article.aspx?id=176483]

 

 

reconaissance USECOUTER ICI


05/26/2010 

 

Un responsable israélien : la décision américaine d’autoriser des vols de reconnaissance pourrait présager d'une attaque.

  

Selon Herb Keinon, du Jérusalem Post, Washington aurait franchi un seuil supplémentaire, dans son attitude à l’encontre du projet nucléaire iranien, en rendant publique son autorisation d’opérations spéciales de reconnaissance dans la région.

Cette décision mettrait un terme aux erreurs de communication en direction de l’Iran dues à des informations contradictoires entre l’Administration et le Pentagone. Robert Gates avait, notamment,  déclaré, en janvier dernier, que les Etats-Unis n’avaient préparé aucun plan de rechange en cas d’échec des négociations.


Ce nouveau ton américain, plus offensif, coïncide avec une tentative officielle de réconciliation entre Washington et Jérusalem.

En Israël, on a perçu les rapports faisant mention de cette autorisation par le Pentagone de missions de reconnaissance sur l’Iran comme constituant les premières indications publiques de préparations concrètes en vue d’une éventuelle opération militaire américaine contre l’Iran.

Face aux manœuvres dilatoires de Téhéran, Washington s’impatiente et hausse le ton.


Le NewYork Times rapportait mardi que le Général David Petraeus, le Haut-Commandant américain pour le Moyen-Orient, avait ordonné une
 extension de l’activité militaire clandestine dans la région. Selon ce reportage, « les responsables ont déclaré que cet ordre autorisait également les opérations de reconnaissance susceptibles de jalonner la voie pour d’éventuelles frappes militaires en Iran, en cas de brusque escalade des tensions au sujet de ses ambitions nucléaires.


Rappelons, quand même, que, jusqu’à présent, y compris au Pentagone, on jugeait hautement dangereux un tel « aventurisme ». A preuve, les déclarations du même Robert Gates, y voyant autant et même plus d’inconvénients que d’avantages stratégiques. Ou encore les provocations des Anti-Israéliens, comme Zbigniew Brzezinski, appelant la DCA américaine à descendre d’éventuels avions israéliens qui s’y risqueraient seuls. En tout cas, à interdire à Heyl Ha'avir les espaces aériens contrôlés par les troupes US.

L’article (du NYT) poursuivait en détaillant cette directive de 7 pages qui "semble autoriser des opérations spéciales en Iran, plus probablement pour fournir des renseignements sur le programme nucléaire du pays ou identifier des groupes dissidents, qui pourraient être des ressources utiles pour une future offensive militaire".

Bien qu’il soit évident que le Pentagone dispose de plans devant parer à toute éventualité, un responsable israélien a confié que c’était « la première fois que le grand public entendait parler de préparations concrètes de ces activités militaires ».

Jusqu’à présent, toute la charge incombait à Israël, comme confiné à un rôle de boute-feu, tandis que l’Administration Obama se réservait le beau rôle de conciliateur des civilisations et d’empêcheur de probables « apocalypses ».

Ce responsable expliquait qu’il s’agissait, selon lui, d’une fuite organisée, et d’une tentative destinée à envoyer un message clair aux Iraniens, que toutes les options étaient, vraiment, sur la table –comme les Américains le répètent depuis des mois-.

Ils le répètent, le font contredire quelques temps plus tard, par un autre expert, etc., laissant un temps infini pour d‘éventuelles négociations de se mettre réellement en place. Force est de constater, que de provocations iraniennes en menaces ou manœuvres de diversion, le partenaire est aux « abonnés absents ».

Et même s’il ne s’agissait pas d’une fuite délibérée, ajoute ce responsable, l’impression que ferait cette information sur Téhéran serait exactement la même! ».


C’est,  également, ce mardi que le Premier Ministre Benjamin Netanyahou a affirmé devant la Knesset que
 l’arrangement proposé la semaine dernière par la Turquie et le Brésil , selon lequel l’Iran devait transférer 1200 kilos d’uranium faiblement enrichi à l’étranger, était « une ruse iranienne parfaitement transparente " destinée à détourner l’attention internationale des sanctions.

S’adressant aux députés rassemblés, Netanyahou a exposé que l’arrangement, qui n’a reçu que des réponses mitigées de la part des membres du Conseil de Sécurité de l’Onu, et en particulier de la part des Etats-Unis, aurait alors laissé suffisamment d’uranium en possession de l’Iran pour lui permettre de produire une arme nucléaire…

 

"Cette proposition garantit également à l’Iran le droit de conserver, à leur retour, les quantités (d’uranium) transférées à la Turquie en n’importe quel endroit de son territoire», a ajouté le Premier Ministre en remerciant Washington d’avoir décidé d’accélérer le mouvement en vue d’un quatrième round de sanctions au Conseil de Sécurité.

Quoi qu’il en soit, Netanyahou a précisé que, bien qu’importantes sur le plan symbolique, "Je pense que nous savons tous que ces sanctions ne stopperont pas l’Iran".

Il a ajouté que des "mesures plus efficaces étaient en préparation actuellement au sein du Congrès Américain. Elles affecteront, entre autres choses, le secteur de l’énergie, les importations, les exportations et d’autres secteurs. Les Etats-Unis seront en mesure de faire passer ces sanctions, soit en dehors du Conseil de Sécurité, soit de façon conjointe avec lui ».

"Téhéran doit comprendre que la Communauté internationale est déterminée à l’empêcher d'acquérir des armes nucléaires », a affirmé Netanyahou.

En conclusion, on peut avancer que le diagnostic commence seulement à être partagé, entre Jérusalem et Washington, sur la façon dont Téhéran gère la crise, en conservant l’initiative et toute sa capacité de nuisance. Obama a, actuellement, besoin, de se montrer plus décisif et déterminé à conserver le leadership et ne plus se laisser dicter son agenda stratégique par l’Iran.

Devait-on laisser traîner cette option en laissant du champ à l’Iran pour faire la démonstration de son refus obstiné de toute négociation sérieuse ? Ou la force dissuasive de l’option militaire explicite aurait-elle augmenté les chances de voir progresser de concert les différents volets de pression, économique et diplomatique, pour convaincre Téhéran d’y renoncer ?

Est-ce, finalement, Obama, qui, à l’approche des élections de mi-mandat, se retrouve, malgré ses intentions initiales, sous la pression du Congrès et du Pentagone, que l’Amérique agisse, avec ou sans l’accord de principe du Conseil de Sécurité ?

L’heure décisive se rapproche dangereusement…  

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26 mai 2010 3 26 /05 /mai /2010 06:34
La Corée du Nord rompt tout contact avec sa voisine du Sud

La Corée du Nord annonce qu'elle rompt tous ses contacts avec Séoul et brandit la menace d'une intervention militaire au cas où les Sud-Coréens continueraient de faire des incursions dans ses eaux territoriales au large de la côte ouest de la péninsule.Lire la suite l'article

Les communications entre les deux Etats sont également interrompues et le personnel sud-coréen travaillant dans la zone industrielle de Kaesong, coentreprise Nord-Sud en territoire nord-coréen, va être expulsé, a fait savoir Pyongyang.

"La Commission pour la réunification pacifique de la Corée (...) annonce officiellement que désormais, elle applique la mesure inflexible d'un gel total des relations intercoréennes, qu'elle dénonce totalement l'accord de non agression entre le Nord et le Sud et interrompt complètement la coopération intercoréenne", écrit l'agence de presse officielle nord-coréenne KCNA.

Cette rhétorique de guerre de plus en plus marquée ajoute à la tension qui s'est fortement accrue dans la péninsule depuis le naufrage en mars de la corvette sud-coréenne Cheonan, imputé à une torpille lancée par un sous-marin de poche nord-coréen.

"Si les intrusions des Sud-Coréens dans nos eaux territoriales se poursuivent, la Corée du Nord mettra en oeuvre des procédures militaires concrètes pour défendre ses eaux, comme elle l'a déjà fait savoir, et le Sud sera tenu entièrement responsable de toutes les conséquences qui en découleront", a déclaré un haut responsable nord-coréen, cité par KCNA.

Cette guerre de communiqués - par laquelle le Nord assimile le gouvernement du Sud à des "bandits militaires, saisis par une fièvre belliciste" - a éclaté après la publication la semaine dernière d'un rapport d'enquêteurs internationaux qui accuse Pyongyang d'avoir torpillé la corvette Cheonan, incident qui a fait 46 morts parmi l'équipage.

Lundi, le président sud-coréen, Lee Myung-bak, a suspendu les relations commerciales avec Pyongyang et empêché les navires marchands du Nord de croiser dans les eaux du Sud. Séoul compte en outre porter l'affaire devant le Conseil de sécurité de l'Onu.

UNE DÉPÊCHE AFFOLE LES MARCHÉS

A Pékin, la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a déclaré que les Etats-Unis feraient en sorte avec la Chine qu'une riposte efficace et appropriée soit apportée au naufrage de la corvette sud-coréenne.

"Les Etats-Unis et la Chine ont pour objectif commun la paix et la stabilité de la péninsule coréenne", a-t-elle déclaré dans la capitale chinoise, où responsables américains et chinois tiennent pendant deux jours une réunion dite de "dialogue stratégique et économique".

Hillary Clinton est attendue mercredi à Séoul.

La Russie, qui comme la Chine et les Etats-Unis dispose d'un droit de veto au Conseil de sécurité des Nations unies, a appelé à la retenue. Le président Dmitri Medvedev a invité les deux Corées à "empêcher une nouvelle escalade de la situation dans la péninsule".

Les marchés financiers, très nerveux, ont chuté après publication d'une dépêche de l'agence de presse sud-coréenne Yonhap selon laquelle le dirigeant nord-coréen Kim Jong-il avait ordonné à ses forces armées de se mettre sur le pied de guerre.

Même s'il est apparu par la suite que la dépêche nord-coréenne initiale, citée par Yonhap, se bornait à indiquer que le Nord riposterait en cas d'attaque, l'indice Kospi de la Bourse de Séoul a clôturé en baisse de 2,8%.

L'armée de Corée du Nord compte un million de soldats, soit l'une des plus grandes forces au monde, mais son équipement est en grande partie obsolète.

Les analystes estiment que Pyongyang ne se risquerait pas à un conflit contre la Corée du Sud et les Etats-Unis, lesquels disposent de 28.000 soldats dans la péninsule. Séoul ne souhaite pas davantage l'ouverture d'hostilités, qui feraient fuir les investisseurs de la quatrième économie d'Asie.

Avec les rédactions de Séoul et Pékin, Gregory Schwartz et Eric Faye pour le service français, édité par Gilles Trequesser.



Crise entre les deux Corées: Hillary Clinton est arrivée à Séoul

La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton est arrivée mercredi à Séoul pour s'entretenir avec les leaders sud-coréens, alors que la tension est particulièrement vive avec la Corée du Nord.Lire la suite l'article


Une enquête internationale a conclu la semaine dernière qu'un sous-marin nord-coréen avait tiré la torpille à l'origine du naufrage de la corvette "Cheochan" et de la mort de 46 de ses marins le 26 mars, près de la frontière maritime contestée en mer Jaune. Pyongyang nie toute implication et a menacé, fidèle à sa rhétorique belliqueuse, d'une "guerre totale" en cas de représailles.Hillary Clinton devrait rester quelques heures à Séoul. Elle arrive de 
Chine où elle a eu des entretiens sur ce même sujet avec les autorités chinoises.

Pyongyang a décidé mardi de rompre toute relation ou communication avec Séoul et d'expulser des officiels sud-coréens d'une zone industrielle.

Pyongyang a fait savoir qu'il n'entendait pas reprendre les relations tant que le président sud-coréen Lee Myung-bak serait en poste. La Corée du Nord a également précisé que les bateaux et avions sud-coréens ne pourraient plus circuler dans ses eaux territoriales et son espace aérien.

Les mesures de rétorsion annoncées mardi par Pyongyang répondent à celles prises lundi par Séoul: la Corée du Sud a suspendu les échanges commerciaux avec le Nord, interdit ses eaux aux cargos nord-coréens, repris la propagande sonore à la frontière et compte demander au Conseil de sécurité des Nations unies de prendre de nouvelles sanctions contre le Nord.

Les Etats-Unis soutiennent totalement Séoul et prévoient de grandes manoeuvres militaires au large de la péninsule coréenne, selon la Maison Blanche. Plus de 28.000 soldats américains sont basés en Corée du Sud.

Pour le président sud-coréen Lee Myung-bak, l'attaque du "Cheochan" marque "un tournant" dans l'histoire récente de la péninsule, toujours techniquement en guerre dans la mesure où le conflit de 1950-53 s'est terminé par une simple trêve. Aucun traité de paix n'a été signé depuis. AP

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25 mai 2010 2 25 /05 /mai /2010 06:18
Dangereuse escalade entre les Corées
mardi 25 mai 2010

Corvette Cheonan

Séoul interrompt le commerce avec le Nord communiste,après le torpillage d'une corvette qui a tué 46 marins.

Le président sud-coréen Lee Myung-bak avait prévenu. Il ferait « payer le prix »du naufrage du Cheonan, une corvette qui avait coulé avec ses 46 marins, le 26 mars, au large de la péninsule, s'il s'avérait que le régime communiste de Kim Jong-il était mêlé à l'incident. On y est. Hier, Séoul a annoncé des mesures de rétorsion, après qu'une enquête internationale a conclu au tir d'une torpille nord-coréenne.

 

Lors d'une allocution télévisée, Lee a exigé des « excuses immédiates » et ordonné la saisine du Conseil de sécurité des Nations unies. Les échanges commerciaux entre les Corées sont rompus. Les navires du Nord interdits dans les eaux du Sud. Enfin, de puissants haut-parleurs vont reprendre la propagande anticommuniste le long de la ligne de cessez-le-feu de 1953.

 

Cela prêterait à sourire si le régime de Pyongyang n'avait pas menacé de « guerre totale » en cas de sanctions. Hier, l'agence officielle KCNA annonçait que les soldats du Nord tireraient sur les haut-parleurs s'ils étaient remis en service.

Pression américaine

Les États-Unis, eux, ne sourient pas. Hier, Obama a jugé « totalement appropriées »les mesures annoncées par Lee, qui reste très pondéré, alors que l'on pouvait redouter une surenchère nationaliste à l'approche d'élections, le 2 juin. Le président américain a ordonné aux troupes US d'aider Séoul à « dissuader une nouvelle agression ». Des exercices maritimes conjoints sont prévus.

En visite en Chine, Hillary Clinton a affirmé que les États-Unis « cherchent à éviter l'escalade » et elle a pressé Hu Jintao, allié et protecteur de Kim Jong-il, de ne pas s'opposer à une condamnation du régime du Nord en Conseil de sécurité.


ouest-france

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22 mai 2010 6 22 /05 /mai /2010 21:16

Merci Mohamed et Bravo

 

 

Alors qu'"Ahmadinejad atomisé" est en librairie depuis le 20 mai, le succès de "Ben Laden dévoilé" se poursuit à l'étranger. La BD vient d'être traduite en néerlandais, espagnol, allemand et en danois.

Décidémment, Ben Laden ne connaît vraiment plus de frontières.

Merci aux lecteurs de leur fidélité et leur confiance.

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22 mai 2010 6 22 /05 /mai /2010 20:07

Par l'excellent Jacques Sayag

Pour aschkel.info et lessakele

 

 

JCall : Ils sont venus, ils sont tous là...

 

Vous connaissez la chanson. Non, pas le temps des cerises, mais celui des moulins à vent, celui qui voit refleurir la nostalgie des bavardages de salons. Il y a, dans cette joyeuse ribambelle de pétitionnaires, un grand nombre de signatures sur lesquelles il sert à peu de choses  de s’appesantir trop longuement.

 

On aura peu de mal à reconnaître, au hasard de l’alphabet, les noms de ceux qui ne ratent jamais une bonne occasion de swinguer sur l’air qu’on leur joue. Ils se font simplement valoir comme ils peuvent en faisant mine d’avoir de la suite dans les idées, alors que d’idées, ils n’en ont point. Ou, du moins, croient-ils que ce serait dans la mode dont ils ont été, jusque là, exclus, qu’ils vont retrouver le panache qu’ils sont seuls, depuis toujours, à se reconnaître.

 

Cela porte un nom : l’opportunisme. Sauf si l’on a meilleure définition de l’activité hautement téméraire de ceux qui se prennent pour des ténors de la pensée parce qu’ils hurlent avec les loups.

 

L’aréopage ne manque pas de gracieuses figures. Tel un Patrick Klugman, par exemple, qui doit en vouloir à la terre entière de ne pas citer ad libitum sa fameuse “belle phrase (PK dixit) : je suis un sioniste pro-palestinien”...le voilà certainement ravi, à présent, de se pavaner en compagnie de pro-palestiniens pas sionistes du tout.

 

Tels ces “responsables media”, comme ils se titrent eux-mêmes, qui ont fait de Judaïques FM une radio pro-israélienne sous conditions suspensives.

 

Ou enfin tel ou telle philosophe qui imagine, depuis plus de trente ans, qu’il n’est pas inutile, d’un point de vue purement esthétique probablement, de passer à la postérité sur le dos de l’âne bâté d’une ex-avant-garde.

 

Ils font ce qu’ils peuvent pour que le monde sache qu’ils pouvaient. Les voilà bouffis de satisfaction : le monde sait enfin qu’ils ont un sens très aigu de la....solidarité promotionnelle !

 

Je ne les soupçonne, et ne les accuse donc encore moins, de traîtrise ou de reniement. Ni de naïveté, cela va de soi. Je les trouve simplement pitoyables ; pitoyables de croire, derrière les Ray Ban de leur humanisme de pacotille, que c’est au Café de Flore que la “raison” prend ses quartiers alors que ce serait à Tel-Aviv ou Jerusalem qu’elle souffrirait  d’une irrémissible maladie non seulement chronique mais aussi anachronique, selon eux.

 

Leur ardeur à vouloir le bonheur et la paix pour le Peuple d’Israël eût été bien mieux explicité dans un appel, lancé de toute la force de leur génie, demandant l’exclusion des instances internationales d’un pays comme l’Iran que son Président prépare en camp retranché des pires crimes.

 

Mais non, ces gens n’ont rien à prouver. Ils savent que l’on sait qu’ils ne rechignent jamais à déguster le bon falafel de juillet parmi le bon peuple en promenade sur Dizengoff. Certains y retournent même plusieurs fois l’an à la rencontre d’amis ou de proches dont la plupart serait même d’accord, paraît-il, avec leur “Appel à la raison”.

 

Oui, mais il y a un mais. Ces proches amis n’auraient jamais eu l’idée d’écrire ce texte ni de lui donner ce titre. Peut-être auraient-ils commencé ainsi : “ohé ! ohé ! nous sommes de ce côté du pont..” et auraient attendu la réponse.

Longtemps ? Allez savoir...

 

Quoi qu’il en soit, ces fulgurants crépusculaires, avec en tête de leur peloton un Elie Barnavi qui fait figure de DJ d’Agitprop, trouveront au moins grâce aux yeux de tous les Regis Debray de la planète qui n’en demandaient pas tant pour se garaudiser, tranquillement et à peine en sourdine.

 

Souvenez-vous, Roger Garaudy...qui, avec une perverse maestria, est passé du communisme à l’antisionisme eczémateux, avant d’atterrir dans le négationnisme commercial.

 

Ce que JCall ne voit pas (ne sait pas? ne comprend pas ?) c’est qu’il vient de faire la courte-échelle à une forme plus présentable d’un nouveau négationnisme. Quoi qu’il en dise.

 

Jacques Sayag

 

 

Petition contre JCALL

 

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20 mai 2010 4 20 /05 /mai /2010 05:48

 

Par Melba le 18 mai 2010

de bivouac

 

 

L’idée de planter le drapeau de l’islam sur les ruines de ce qu’ils ont détruit en tuant 3000 personnes leur plait visiblement énormément.  

Alors que la construction d’une mosquée de 13 étages à deux pâtés de maisons de Ground Zero suscite la controverse (lire), Fox News rapporte que le projet de bâtir une deuxième mosquée à proximité du site consacré new-yorkais, est déjà à un stade avancé.

La mosquée Masjid a déjà levé 8,5 millions de dollars et cherche à obtenir 2,5 millions supplémentaires avant d’entamer la construction. Bien que l’emplacement final n’ait pas encore été fixé sur Ground Zero, les donateurs ont été assurés que la construction se fera très près de l’endroit où 3000 personnes ont été tuées lors des attaques terroristes du 11 Septembre.

En fait, le site qui appelle aux dons (ICI) annonce hardiment qu’ils prévoient de “créer la« Maison d’Allah “à côté du World Trade Center. “Aidez-nous à hisser le drapeau de «LA ILLAH Illa Allah» dans le centre de Manhattan. ” est écrit sur le site. 

Une source a déclaré que les promoteurs du projet envisagent un bâtiment haut de cinq étages, au 23 Park Place, plus près de Ground Zero que la mosquée de 13 étages du projet de l’organisation Cordoba. Mais une recherche sur le dossier indique que le 23 Park Place est un bâtiment privé et que l’immeuble n’a pas changé de propriétaires depuis 2008.

Contrairement à la mega-mosquée Cordoba House de 100 millions de dollars , la mosquée Masjid sera plus petite - et ne sera pas complètement nouvelle dans le quartier. Depuis 1970, elle se trouvait au 12 Warren Street, à environ quatre pâtés de maisons au nord du World Trade Center, dans un local net mais industrielle qui abritait autrefois un atelier d’imprimerie. Elle a perdu son bail en 2008, lorsque l’immeuble a été vendu, la mosquée a été expulsée du deuxième étage de l’immeuble, le 25 mai de cette année. Depuis, elle s’est déplacée dans espace exigu en sous-sol dans un bâtiment voisin, au 20 Warren Street.

Le vendredi soir dans la mosquée, qui est fréquentée par des vendeurs de rue et des chauffeurs de taxi, est tellement bondée que les fidèles débordent sur les trottoirs de la rue pour prier, ce qui a fini par devenir un événement communautaire.

Source : Fox News via Atlasshrugs Traduction Bivouac-id.

 

Le SIOA (Stop Islamisation of America) mène la resistance et organise une grande manifestation à New York le 6 juin prochain contre le projet de la méga-mosquée (ici). Une des fondatrices du SIOA, Pamela Geller, faisait justement remarquer que les musulmans qui réclament sans cesse qu’on montre plus de respect pour leur sensibilité, devraient commencer par respecter celle des familles des victimes du 11 septembre et renoncer d’eux même à  leur projet de mosquées.

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20 mai 2010 4 20 /05 /mai /2010 05:09
Crash polonais : l'équipage pas seul dans le cockpit

 

Par Pierre Avril pour lefigaro.fr
19/05/2010 | Mise à jour : 22:50
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Le crash du Tupolev Tu-154 qui transportait entre autres le président polonais, près de l'aéroport de Smolensk

Les premières conclusions de l'enquête sur l'accident de l'avion présidentiel ont été publiées. 

Les autorités russes sont officiellement dédouanées de toute responsabilité dans l'accident d'avion qui a causé la mort, le 10 avril dernier à Smolensk, du président polonais Lech Kaczynski, de son épouse et de 94 autres passagers. C'est ce qui ressort des premières conclusions de l'enquête commune sur les causes du crash, communiquées mercredi à Moscou. Elles sont censées faire taire les rumeurs relatives à la fameuse «théorie du complot», laissant en revanche à la classe politique polonaise, le soin de gérer une autre polémique sécuritaire, un mois avant l'élection présidentielle.

Selon les experts russes et polonais chargés de l'investigation, le petit aérodrome de Smolensk était parfaitement équipé pour accueillir l'avion présidentiel. En revanche, ce matin-là, le brouillard était épais et l'équipage insuffisamment formé. Surtout, quelques dizaines de minutes avant la catastrophe, deux passagers étaient présents dans le cockpit. Selon l'agence polonaise PAP, l'un était le commandant en chef de l'armée de l'air, Andrzej Blasik, identifiable à sa voix, enregistrée dans la boîte noire. L'autre voix devra être prochainement analysée par les enquêteurs polonais. «Ni un acte terroriste, ni une explosion ni un incendie ne sont à l'origine de la tragédie», a confirmé la chef du comité d'enquête, Tatiana Anodina.

 

Une question lourde de polémiques 

 

À plusieurs reprises durant le vol, l'équipage avait été averti par la tour de contrôle des mauvaises conditions météo sévissant à Smolensk. La visibilité, évaluée à 400 mètres était insuffisante pour faire atterrir l'avion, avaient prévenu les aiguilleurs russes. Quelques minutes avant le crash, les pilotes d'un autre avion militaire polonais - qui avaient atterri à Smolensk une heure et demi avant le Tupolev présidentiel - avaient adressé la même mise en garde à leurs compatriotes. Celle-ci a été ignorée. Les généraux de l'état-major polonais, présents à bord, auraient-ils forcé l'équipage du Tupolev Tu-154 à atterrir ? Voici désormais la question, lourde de polémiques, à laquelle devra répondre Varsovie. Toute mise en cause du président défunt ou de son entourage est susceptible de faire dérailler la campagne présidentielle, pour laquelle le frère jumeau, Jaroslaw, est candidat au nom du parti Droit et justice (PIS). Opposés aux libéraux, qui ont opéré un rapprochement avec Moscou, les supporters du PIS sont les premiers à relayer la théorie du «complot russe».

La présence étrangère dans le cockpit «a eu lieu de 16 à 20 minutes avant l'impact avec le sol. Je ne pense pas que cela ait influencé de manière décisive le cours des événements», a prudemment déclaré le représentant polonais du comité d'enquête, Edmund Klich. Il a ajouté que le Tupolev Tu-154 étant un appareil militaire, les règles de l'aviation civile interdisant cet accès aux passagers ne s'appliquaient pas. Lech Kaczynski, qui depuis a été enterré en grande pompe à Cracovie, s'était vu reprocher d'avoir tenté, durant la guerre russo-géorgienne d'août 2008, de forcer un commandant de bord à se poser à Tbilissi, la capitale géorgienne…

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20 mai 2010 4 20 /05 /mai /2010 05:01

 

 

 

Thaïlande : couvre-feu dans une grande partie du pays, chaos à Bangkok
Les chars de l'armée sont entrés dans le camp retranché des «chemises rouges» ce mercredi matin à Bangkok. Au moins sept personnes ont été tuées.

leparisien.fr

 

AFP Manan Vatsyayana


Bangkok est en flammes. L'assaut de l'armée mercredi matin sur un camp retranché des «chemises rouges» a fait au moins sept morts (dont un journaliste italien) et 58 blessés, dont deux journalistes, un Néerlandais et un Canadien. Pour se venger, les contestataires, dont les leaders se sont rendus, ont mis le feu à une trentaine de bâtiments : la  de Bangkok, des banques et plusieurs centres commerciaux dont l'immense Central World et ses boutiques de luxe.

 
Les locaux d'une chaîne de télévision ont également été incendiés, où une centaine d'employés, d'abord pris au piège, ont finalement pu être évacués sains et saufs.

 

Couvre-feu dans 23 provinces et à Bangkok

Le  a reconnu que certaines parties de la ville n'étaient pas totalement sous contrôle, alors que l'armée annonçait qu'elle allait «s'occuper de ceux qui provoquent des troubles». 900 soldats et policiers devaient escorter les pompiers pour leur permettre d'éteindre les incendies. «Cette nuit sera une nouvelle nuit de souffrances», a déclaré un porte-parole du gouvernement. Toutes les chaînes de télévisions sont désormais alimentées de programmes sous contrôle.

Une unité d'élite de la police a été autorisée à tirer à vue sur d'éventuels pillards ou émeutiers. Par ailleurs, le gouvernement a annoncé qu'un couvre-feu a été imposé, à partir de mercredi soir, dans 23 provinces du pays (sur 76) en plus de Bangkok.

Les violences ont également gagné le nord-est du pays, dont sont originaires bon nombre de «chemises rouges». Des milliers de manifestants ont ainsi  le siège du gouvernement de la province d'Udon Thani, selon le gouverneur Amnat Pagarat, qui a assuré que l'armée avait repris le contrôle.

Pourtant les des «chemises rouges» se sont rendues et ont demandé aux manifestants de se disperser, après l'assaut donné ce mercredi matin par l'armée dans leur camp retranché à Bangkok. Depuis deux jours, Bangkok se préparait à cet assaut final.

Une vidéo de l'assaut de l'armée

 

La guérilla perdure depuis la mi-mars

La guérilla perdure depuis la mi-mars, date du début des manifestations des «chemises rouges» qui réclament le départ du Premier ministre et de nouvelles élections. Ces derniers ont réussi à occuper plusieurs quartiers stratégiques avant que le gouvernement ne déclare l'état d'urgence à Bangkok, le 7 avril. Trois jours plus tard débutaient les affrontements violents entre manifestants et militaires. En quatre jours du 14 au 17 mai, au moins 39 personnes ont été tuées et 300 autres blessées.


 

 

 

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19 mai 2010 3 19 /05 /mai /2010 20:26

Par Khaled Asmar - Beyrouth

France-Iran : en additionnant une hypocrisie, deux diplomaties, trois prisonniers et quatre pays, on obtient le suicide

Des révélations embarrassantes. La France achète la paix au prix fort. Mais elle sera provisoire

mercredi 19 mai 2010 - 12h39, par Khaled Asmar - Beyrouth

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Pour voir la télévision "Al Arabiya", qui passe le reportage de son correspondant à Paris, Hussein Fayyad, dans tous ses journaux de ce mercredi 19 mai 2010, il faut avoir les nerfs solides pour éviter l’infarctus. Car, "Al Arabiya" dit tout haut ce que tout le monde pensait tout bas : la France se suicide à feu doux.

En effet, « Al Arabiya » affirme ce matin que « la France et l’Iran ont négocié à Damas la libération de Clotilde Reiss contre celles de l’ingénieur iranien Majid Kakavand et de l’assassin de l’ex-Premier ministre iranien Chapour Bakhtiar, Ali Vakili Rad, libéré et expulsé hier vers Téhéran ».

Pour obtenir la libération de Reiss, qui serait un agent de la DGSE selon un ancien officier des Renseignements extérieurs français interrogé aussi par « Al Arabiya » - information que l’intéressée dément formellement -, la France a rejeté la demande de Washington, pourtant le principal allié de Paris dans le monde, d’extrader Kakavand pour être jugé aux Etats-Unis pour son rôle présumé dans le trafic de matériel sensible au profit des Gardiens de la Révolution et du programme nucléaire iranien.

Mais le ridicule, qui, cette fois-ci, peut tuer, ne s’arrête pas là. « Al Arabiya » affirme en effet que l’accord qu’aurait négocié à Damas Claude Guéant, le secrétaire général de l’Elysée, avec des représentants des ministères iraniens de la Défense et des Affaires étrangères, porterait, outre l’échange de prisonniers, la livraison par Paris d’hélicoptères et de pièces de rechange pour les Mirages iraniens.

Ces révélations - qui peuvent en appeler d’autres - sont du moins embarrassantes pour Paris qui aura trahi une nouvelle fois ses alliés occidentaux, lesquels visent à accentuer les pressions sur l’Iran pour l’empêcher d’accéder à l’arme nucléaire. Une nouvelle trahison qui fait suite à l’ouverture unilatérale en direction de la Syrie, effectuée en juillet 2008 par le président Sarkozy, à la demande du Qatar, le riche émirat du Golfe, proche de l’Iran et de la Syrie, et qui « achète littéralement la France » sous couvert d’investissements.

Cet épisode démontre d’abord une hypocrisie française, développée par deux diplomaties, celle, officielle, menée par le Quai d’Orsay, et l’autre, officieuse, conduite par l’Elysée. A cette hypocrisie et aux deux diplomaties, viennent s’ajouter trois prisonniers : une française et deux iraniens, et quatre pays : la France, la Syrie, l’Iran et le Qatar. Un mélange qui confirme une dangereuse instabilité de la politique française et qui conduira, à terme, au suicide de la France, le pays qui ne pourra plus se faire respecter et qui démontre encore une fois ses capacités à avaler les couleuvres.

Le plus grave est que la politique de l’Elysée serait motivée par le souci sécuritaire, pour les Français de l’étranger, mais aussi en France. Ainsi, pour que ses troupes déployées en Afghanistan et au Liban notamment, soient épargnées par les mouvements terroristes financés et armés par Téhéran et Damas, Paris aura payé très cher, notamment de sa crédibilité sur la scène internationale. A cet égard, il convient de noter les propos de Nacer Kandil, un ancien député libanais très proche de la Syrie, qui a menacé, aujourd’hui, Bernard Kouchner, Javier Solana et Terje Roed-Larsen, de leur réserver un accueil digne de leur politique, « s’ils continuaient à évoquer les relations syro-libanaises et la question de la frontière. Car leur politique sert les intérêts d’Israël ». Dans des termes similaires, le même Nacer Kandil, avec d’autres agents syriens, avaient menacé Rafic Hariri quelques semaines avant son assassinat ! Une nouvelle façon syrienne d’intimider la France, après l’avoir extorqué dans le dossier iranien.

Sur le plan intérieur, des sources proches des services de renseignements français ne cachent plus leurs inquiétudes quant à l’infiltration iranienne en France, par l’intermédiaire du Hezbollah libanais et par d’autres mouvements islamistes exploités par Téhéran. A défaut de les démanteler, Paris aurait opté pour acheter leur neutralité. Mais pour combien de temps ?

Khaled Asmar

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