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11 juillet 2009 6 11 /07 /juillet /2009 21:40

Shavouah Tov

Et moi je le condamne a se faire dévorer par la vermine et par la suite à se faire bruler par les flammes éternelles de l'enfer.

Quand a la pute, et a ses amis barbares qu'ils soient maudits à jamais 


ILAN, nous t'aimons tu es notre ange !!!


[Samedi 07/11/2009 21:17]


Selon europe1.fr : “Un verdict sans surprise. Youssouf Fofana a été condamné vendredi à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d’une peine de sûreté incompressible de 22 ans pour l’enlèvement, la séquestration et l’assassinat du jeune Ilan Halimi. La cour d’assises des mineurs de Paris a suivi les réquisitions de l’avocat général.

Le verdict a été rendu après un peu moins de deux journées et demie de délibéré, mettant un point final à un procès qui s’est ouvert le 29 avril à à huis clos car deux accusés étaient mineurs au moment des faits.

Vingt-quatre des 26 autres accusés ont été condamnés à des peines allant de 18 ans de réclusion à six mois de prison avec sursis. Deux accusés sont acquittés.

Parmi les 27 accusés, Youssouf Fofana était le seul à répondre de l’assassinat du jeune Juif enlevé, séquestré puis torturé trois semaines dans une cité HLM de Bagneux, dans les Hauts-de-Seine le 20 janvier 2006.

Les deux complices jugés les plus actifs, Samir Aït Abdelmalek, 30 ans, et Jean-Christophe Soumbou, 23 ans, ont écopé respectivement de 15 et 18 ans de réclusion. L’avocat général Philippe Bilger avait réclamé 20 ans. La jeune fille qui avait servi d’appât, mineure au moment des faits et aujourd’hui âgée de 21 ans, a été condamnée à neuf ans de prison.

L’avocat général avait dénoncé “une bande qui a œuvré pour le pire”, recherchant “de l’argent à n’importe quel prix”, selon une source judiciaire ayant assisté au réquisitoire. D’après l’accusation, l’enlèvement devait cibler des juifs, supposés être “bourrés de thunes”.

A l’inverse de Fofana, la plupart des accusés ont exprimé des excuses ou des regrets face à la famille d’Ilan siégeant sur le banc des parties civiles. L’accusé principal a de son côté multiplié les provocations, lançant ses chaussures sur les parties civiles, récusant deux avocats ou refusant que deux autres plaident pour lui.

L’avocat de la famille d’Ilan Halimi a demandé à la ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, de susciter un appel du parquet général concernant les sanctions prononcées contre les 26 coaccusés de Youssouf Fofana, qu’il juge trop faibles”.

par IsraelValley

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9 juillet 2009 4 09 /07 /juillet /2009 17:46

Ce sont les Jihadistes qui risque d'avoir du fil a retordre avec ce monstre placide !

[Jeudi 07/09/2009 15:12]

 


La Chine refait parler d’elle avec la tension entre les communautés Hans et Ouïgours, bien malgré elle car, privilégiant la discrétion, elle préfère que les projecteurs ne soient jamais braqués vers elle. Tandis que les Américains et les Anglais s’épuisent sur les champs de bataille d’Irak, que les troupes européennes pacifient l’Afghanistan et que les commandos secrets français recherchent Ben Laden à la frontière du Pakistan, les Chinois tissent tranquillement leurs filets pour enserrer le monde occidental dans leur piège économique. Ils agissent dans l’ombre pour consolider leurs positions stratégiques dans les régions du monde où ils étaient jusqu’alors absents.

Le continent africain, en dépit des troubles qui le ravagent de manière permanente, a en premier été choisi comme terrain de prédilection pour une implantation locale à la manière des premiers « impérialistes ». La Chine y trouve les matières premières énergétiques et minières indispensables à sa croissance et, pour cela contrairement à ses prédécesseurs, elle ne pose aucune condition politique à son partenariat avec les Africains ni à son soutien diplomatique à l’ONU. Par opposition aux Occidentaux, elle sait se montrer discrète et fermer les yeux sur les évènements dramatiques car elle privilégie ses intérêts immédiats à une stratégie globale stérile. L’exemple du Darfour est flagrant puisqu’elle garantit ses approvisionnements pétroliers sans se préoccuper des massacres qui s’y déroulent.

Echanges Africains

L’essor industriel et économique chinois passe par un développement des échanges avec l’Afrique et il connaît une croissance exponentielle puisque la Chine est le deuxième client du Gabon après les U.S.A, le deuxième fournisseur du Bénin, le cinquième de l’Afrique du Sud et le sixième de l’Algérie. Les entreprises du bâtiment n’hésitent pas à concurrencer les plus grands Français tels Dumez et Bouygues. Ses réserves illimitées de devises découlant de la crise américaine lui permettent d’investir de manière significative à l’étranger en se positionnant comme le cinquième pays après les USA, l’Allemagne, l’Angleterre et la France. Ces investissements ont pour but essentiel de lui assurer ainsi un approvisionnement régulier en matières premières.

Sa technique originale d’approche est fondée sur le fait qu’elle ne pose aucun problème politique aux Africains en les laissant libres de leur vote, de leur choix et de leur régime politique sans ingérence dans leurs affaires intérieures. Par son attitude réservée, elle évite de donner des leçons de démocratie et ne propose jamais d’implanter une présence militaire sauf lorsqu’il s’agit d’une opération de maintien de la paix comme au Libéria par exemple. Quand la Chine offre ses services, les coûts du savoir-faire chinois et de la main-d’œuvre de coopération sont plus incitatifs avec des taux de crédit les plus attractifs du monde. En finançant directement les infrastructures de fournitures de matières premières, elle a acquis le rang de quatrième pays importateur de pétrole du monde.

Toutefois, l’euphorie de l’investissement à outrance ne masque nullement les problèmes économiques auxquels doit faire face la Chine en dépit d’une croissance à deux chiffres. La hausse continue des prix agricoles pourrait en fait se retourner contre la Chine. Malgré son premier rang dans la production de blé et de riz, la production stagne en Chine qui reste dépendante des Etats-Unis, du Canada de l’Australie et de l’Argentine.

Ouvertures occidentales

La Chine n’ignore pas cette dépendance alimentaire et c’est pourquoi elle ne néglige pas les autres marchés car sa croissance nécessite l’ouverture des marchés occidentaux à ses industries pour compenser ses importations de nourriture. Sa méthode originale consiste à favoriser l’expatriation de ses pions à travers tous les pays qui peuvent lui ouvrir des marchés juteux. Les frontières ont été ouvertes et sous couvert, soit disant, d’émigration illégale, elle inonde les terres européennes d’éclaireurs chargés de préparer les bases d’un commerce lucratif avec elle. En France par exemple, le textile du Sentier est entièrement tombé entre les mains chinoises et les boutiques des juifs polonais puis nord-africains se transforment progressivement en annexe de Shanghai et de Pékin. En toute légalité, l’Europe se laisse inonder par toutes les marchandises de fabrication chinoise qui détruisent les tissus industriels locaux. Le développement d’une maroquinerie de qualité n’a pas fini de concurrencer sérieusement les meilleures entreprises européennes. De même, en attaquant de front les industries de la chaussure italienne et portugaise, les Chinois ont entraîné les dépôts de bilan de nombreux commerces de gros qui ne résistent plus aux prix cassés du pays du levant.

La France perd ainsi des pans entiers de sa petite industrie sans réactivité de la part des autorités et avec une passivité coupable de l’Europe entière. La vente des Airbus justifie cette pénétration dans un marché d’ordinaire confié à de petites entreprises qui avaient l’initiative de la majorité des créations d’emplois. Le chômage européen augmente car le développement de la petite industrie s’effiloche sans que l’on cherche une parade technique à des agissements sournois intervenant pourtant en plein jour. Mais le plus étonnant s’inscrit dans le développement d’activités dans un domaine où les chinois n’avaient pas vocation à l’être et où leur expertise n’était pas reconnue. De nombreuses brasseries parisiennes des meilleurs quartiers de Paris sont rachetées à prix d’or aux Auvergnats et aux Aveyronnais laissant bien entendre que les Chinois se refusent à être cantonnés dans le domaine réservé de brasseurs de main-d’œuvre à bon marché.

Coffre-fort mondial

Leur puissance financière est étonnante au point de susciter des rumeurs quant à la masse et à l’origine des fonds puis à l’objectif recherché en noyautant tout un secteur où ils ne sont pas habituellement présents. Le frein éventuel de leur expansion en Occident pouvait être le catalogue de lois sociales rigides auxquelles ils ne sont certainement pas rodés mais ils s’avèrent être des experts pour trouver des parades à de tels obstacles. Ils font preuve de génie dans l’art de contourner les législations draconiennes. Certes ils souffrent des distances géographiques de leur continent avec l’Europe qui augmentent les délais de livraison et renchérit les coûts de livraison. Par ailleurs, ils ne peuvent pas implanter d’usines de fabrication de confection ou de montage de circuits électroniques dans des pays où les salaires sont loin des réalités chinoises. Mais le génie chinois trouve toujours la parade pour satisfaire une clientèle de plus en plus nombreuse avide de bas prix.

Le dernier avatar requiert notre admiration. La Chine s’inquiète des nouveaux pays pauvres européens entrés au sein de l’Europe et pouvant lui faire ombrage tels la Pologne ou la Roumanie. Des immenses tankers déclassés, réformés du transport de pétrole et voués à un démantèlement dans un port du Bengladesh, ont été rachetés à bas prix par des entrepreneurs chinois qui les ont retapés, reconditionnés, transformés et réadaptés en usines flottantes équipées des meilleures machines industrielles. Mouillant aux larges des côtes italiennes et bientôt françaises, dans des eaux internationales soumises uniquement aux lois chinoises, les tankers abritent une escouade d’ouvriers aux salaires dérisoires et aux horaires frisant l’esclavage. La Chine peut alors satisfaire en quelques jours la demande des industriels européens heureux de trouver des prix compétitifs et des délais de livraison exceptionnels puisqu’il suffit d’une simple navette entre l’usine sur eau et le port le plus proche pour livrer les marchandises.

L’Europe, impassible, observe la situation pendant qu’on lui vole des milliers d’emploi au moment où la crise se généralise. Les fourmis chinoises, quant à elles, développent leurs activités sans que personne ne semble s’inquiéter de ce nouveau type de concurrence économique. Mais les risques politiques internes liés à certaines régions du pays en proie à la contestation tendent à perturber le déroulement discret de la mainmise progressive sur le monde occidental.

par Jacques BENILLOUCHE
Jacques BENILLOUCHE, d’origine tunisienne, est arrivé en France en 1961. Scientifique de formation, il a longtemps milité à l’UEJF en tant que président du comité de Paris puis à la fédération sioniste de France. Il a fait ses premières armes de journaliste dès 1963 à l’Information d’Israël, le seul quotidien de langue française de l’époque, avec ses articles hebdomadaires où sa liberté éditoriale avait déjà été remarquée. Tout en présidant le groupe informatique ANASSY qui était le premier importateur du high-tech israélien (Elbit, IIS, Boss), il a continué, grâce à son expertise sur le Mossad, à proposer ses chroniques à différents médias sous le pseudonyme de Yaacov Ben Avraham puis à l’Enjeu, l’Impact et Jérusalem Post. Installé en Israël depuis 2007, il collabore actuellement au site d’informations Slate.fr fondé par Jean-Marie Colombani en couvrant Israël et une partie du Proche-Orient.

Actu.co.il 

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9 juillet 2009 4 09 /07 /juillet /2009 11:59
Communiqué par Thérèse Drihen-Dvir



Par Yossi Blum Halévy* – Paru sur Aroutz 7, traduit par Méir Ben-Hayoun
http://hmeir.blogspot.com/2009/06/malheur-au-monde-libre-davoir-obama.html
 



Le discours du Président des Etats Unis d'Amérique Obama au Caire le 4 juin 2009 sera voué à l'opprobre éternel. En cette journée-ci, le monde a vu le dirigeant de la seule super puissance, le leader des nations éprises de liberté, de paix et de coexistence prononcer un discours qui n'était qu'abdication, flagornerie, soumission et servilité à la force montante du Djihad islamique mondial. La grandeur américaine ne sera plus qu'un souvenir. La nation qui a vu des présidents héroïques, épris de liberté, de paix, de droits de l'homme et de démocratie tels Theodore Roosevelt, Woodrow Wilson, Franklin D. Roosevelt, Harry Truman, Eisenhower, J.F. Kennedy et Ronald Reagan a vu stupéfaite son nouveau président renouer avec l'esprit défaitiste de Munich 1938. L'Amérique tétanisée voit son président recycler l'attitude de Chamberlain qui brandissait le document "la paix en son temps" de sinistre mémoire, portant la signature de Hitler.

Les dirigeants du monde libre ont plié genou l'un après l'autre devant l'islamisme. Ils ont accepté ses moeurs vestimentaires, ses foulards. Ils se sont délectés de la "finesse de son antique tradition". Il se sont prosternés en lui baisant la main. Ils ont loué et magnifié "sa grandeur d'âme", "l'humanité du Coran", ses contributions à la science, son intégration dans l'économie, dans la vie sociale et dans la science aux Etats-Unis et dans le monde.

Pas un mot critique ni la moindre allusion sur cette religion aux centaines de millions de fidèles qui canonise la mort pour la guerre sainte et pour le Djihad mondial, qui prône le prosélytisme et l'intolérance la plus radicale envers ceux qui n'y croient pas. Une religion qui ne peut vivre dans la coexistence avec d'autres confessions. Une religion dont la conception sociale méprise les valeurs de l'Occident, la démocratie, l'égalité des sexes et les droits de l'Homme. Une religion dont les fidèles sont prêts à assassiner ou à se faire tuer et où on peut assassiner pour des vétilles de questions d'honneur ou pour des expressions de libre créativité, de satires et de critiques artistiques.

Tout en dénonçant à juste titre l'époque abomindable de l'esclavage aux Etats Unis, Obama aurait bien été avisé de mentionner également la part des Arabes dans la traite des Noirs qui a vidé l'Afrique de ses habitants et a été la cause de l'extermination de millions d'êtres humains péris dans les déserts, dans les jungles et dans les navires qui les acheminaient vers le continent américain.

Ce discours du président américain donne l'impression que l'Humanité revient aux terrifiantes journées de la 
fin des années 30, lorsque les Nazis réalisèrent toutes leurs aspirations criminelles résumées dans le slogan "territoires contre la paix" - la "paix maintenant" en échange des Sudètes d'abord et ensuite de la Tchécoslovaquie toute entière - la paix pour l'Anschluss avec l'Autriche, la paix pour la violation des accords de Versailles et l'armement effréné de l'Allemagne qui causa un carnage d'ampleur sans précédent; la paix pour l'abandon du peuple juif en Allemagne puis dans toute l'Europe; la paix du Traité Molotov-Von Ribbentrop pour avaler la Pologne, une paix de soumission à l'axe du mal nazi-italien-japonais, une paix de honte qui mena à une absence de paix, à la Shoah et à un désastre planétaire sans précédent où furent exterminés 6 millions de Juifs et 44 millions de personnes de diverses nations.






La face de la génération de notre temps est celle d'un chien - à la tête basse, qui frétille de la queue, qui aboie et attend une caresse et les encouragements d'un Occident hédoniste inondé d'immigrants arabes dominateurs , et de l'islam qui s'éveille dans un Tiers monde où le terrorisme global trouve refuge et caution religieuse.




En ces journées noires il y a 70 ans, au milieu de cette tragédie, des hommes d'état courageux se sont dressés, des dirigeants comme Churchill, Roosevelt et De Gaulle. Des dirigeants qui ne se sont pas laissés tenter par la popularité facile. En Grande Bretagne, suite à l'effondrement de toute l'Europe, Churchill prononça son fameux discours lors des terribles journées du blitzkrieg, alors que l'Allemagne se préparait à envahir les îles britanniques. "Nous combattrons dans les champs et sur les plages, nous combattrons dans les montagnes, nous combattrons dans les collines et nous n'abdiquerons jamais." Un an plus tard, le 8 décembre 1941, le président Roosevelt prononça au Congrès le discours de déclaration de guerre à l'Allemagne et au Japon après l'offensive japonaise sur Pearl-Harbor: "Ce jour qui sera gravé dans les mémoires pour toujours est le jour où toute l'Amérique se met en marche pour défendre les valeurs de liberté et de démocratie et ne cessera point de combattre jusqu'à l'anéantissement sans condition de l'agressivité criminelle des tyrans."

Pourrait-on imaginer ce qu'aurait pu être le destin de l'Humanité si la politique de ces distingués dirigeants avait été inspirée par le défaitisme du discours d'Obama? Le désintérêt pour la vérité historique, la corrélation sotte avec laquelle Obama a lié le souvenir de la Shoah avec le sort du peuple palestinien qui s'est attiré sur lui-même le malheur, après que les pays arabes avaient tenté en 1948 d'exterminer l'Etat d'Israel et d'en jeter ses habitants à la mer.

Malheur au monde libre dont Obama est le dirigeant!

D'où provient cette effronterie d'un président, aussi illustre soit-il, de décréter en opposition flagrante aux données historiques de culture universelle que les territoires de Judée-Samarie et de Gaza sont des territoires occupés et que les implantations sont illégales? Quel droit lui confère d'exiger l'inacceptable gel de toute construction et développement naturel dans les localités de Judée-Samarie et à Jérusalem en violation à toute moralité, à la justice et la loi?




Sur la même lancée, Obama accepte sans rechigner le potentiel nucléaire de l'Iran "pour des besoins non militaires" alors qu'il exige qu'Israel se conforme aux exigences de la charte de non prolifération des armes atomiques. Les intentions de la nouvelle administration américaine d'instaurer le dialogue avec l'Iran surviennent avec en arrière fond l'échec américain en Iraq, parallèlement à la campagne militaire qui s'embourbe en Afghanistan et dont l'objectif était d'empêcher les Talibans et Al Qaeda de prendre contrôle du Pakistan et de son arsenal nucléaire. Les Etats-Unis veulent évacuer leurs troupes d'Iraq jusqu'en 2010 et y laisser un régime pro-occidental. Obama ferait mieux de se rafraichir la mémoire et de se souvenir du traité de paix signé par Kissinger en 1972 à Paris avec la République nord vietnamienne dans l'espoir que le régime sud-vietnamien pouvait prendre les affaires en main sur le terrain évacué par les Américains. Malgré l'armement massif et leur soutien économique, les Etats-Unis n'ont pas réussi à maintenir le régime corrompu du Sud-Vietnam. Peu après leu retrait, le Sud-Vietnam ainsi que sa capitale Saïgon tombèrent entre les mains des Communistes. Quelque chose de semblable risque d'arriver en Iraq après que l'Iran et la Syrie y prennent le contrôle par le truchement de la majorité chiite. Dans cet effet domino, tomberont ensuite la Jordanie et les Etats du Golfe persique sur lesquels l'Iran a l'intention de s'imposer après la prise de contrôle du Liban par les force pro-iraniennes et pro-syriennes.

Le discours d'Obama annonce une ère de ténèbres pour l'Humanité toute entière, une ère de transition où l'esprit de liberté du nouveau gouvernement américain s'est islamisé et tente de s'imposer au peuple américain qui est un ami authentique du peuple d'Israel. La nation américaine est éprise de la Bible et des valeurs morales communes avec Israel dans une Alliance non écrite.


L'administration Obama a capitulé à la loi du glaive de Mahomet et à l'esprit d'intolérance envers les "infidèles chrétiens et juifs". Nous avons entendu les diatribes du Président Obama sur le "peuple palestinien, Chrétiens et Musulmans, humilié par opprimé par l'occupation israélienne". Selon lui, Israel doit céder des territoires de sa patrie reconnus comme le foyer national du peuple juif par le traité de San Remo en 1920 et par le Mandat de la Société des Nations en 1922, que la Grande-Bretagne s'était engagée à appliquer.

Deux Etats, un juif et un arabe, ont été proclamés en violations aux termes du Mandat de la Société des Nations déjà en 1924. Avec l'indépendance du Royaume hachémite de Jordanie, les Arabes de la Terre d'Israel (qui s'étend jusqu'en Jordanie) avaient reçu 75 pour cent des territoires destinés au Foyer national juif. La revendication d'Obama, "deux Etats pour deux nations" n'est que le début de l'érosion de l'Etat d'Israel pour en faire un Etat de tous ses citoyens dans les frontières de l'armistice de 1949, tout en annexant les frontières de la partition de 1947 à la Grande Palestine pour arriver à l'extermination de l'Etat juif dans les frontières d'Auschwitz.

En ce jour, Obama a déclaré la guerre au peuple juif, au sionisme et à l'Etat d'Israel et nous lui disons: Yes, we can too! Nous aussi, nous pouvons préserver notre patrie de sainteté quelque en soit le prix et nous ne nous soumettrons pas à tes diktats!

En ce jour, il faut exiger du Premier Ministre et du Ministre des Affaires étrangères de déclarer haut et fort devant toute l'Humanité que nous ne permettrons jamais de transformer un quelconque territoire de notre Terre historique en un Etat arabe terroriste.

Les constructions, la vie, le culte et la culture juive se poursuivront à Maon, à Penei Hever, à Hebron, au Goush Etzion, à Bet-El, à Ofra, à Gabaon, à Kedoumim et à Jérusalem et nous retournerons très prochainement, avec l'aide de l'Eternel, au Goush Katif dans la Bande de Gaza, à Kadim, à Homesh et à Sa-Nour.

Hors d'ici le livre blanc d'Obama, hors d'ici la soumission des collaborateurs et des partis politiques de la Feuille de route. A la guerre comme à la guerre pour notre Peuple et pour notre Terre – nous ne cèderons sur rien!





Yossi Blum Halévy a publié une importante recherche sur la Guerre de Yom Kippour dans son livre "Hitkadshout". Il a lui-même combattu dans le Régiment 55 de parachutistes qui libéra Jérusalem en 1967 et qui traversa le Canal de Suez pour encercler la 3ème armée égyptienne en 1973.

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8 juillet 2009 3 08 /07 /juillet /2009 05:26

Si, si ils ont en un, se pencher sur une maison sise sur un terrain de quelques m2, qui met en danger la paix dans le monde, alors celui-là même est en ébullition, pour votre gouverne Monsieur Saint Bama, les arabes qui depuis 60 ans n'en n'ont cure des "palestiniens et de leur pseudo cause et état" serrent d'avantage les fesses avec le félé de Nabot et sa bombinette !


Revue de la presse israélienne du service de Presse de l’ambassade de France en Israël

mardi 7 juillet 2009

Shimon Shifer, Orly Azoulay, Itamar Eichner et Smadar Péri – Yediot Aharonot 
Il y a quelques jours, le Premier ministre Binyamin Netanyahu a posé la question suivante à des membres de la Chambre des représentants américaine : « dites-moi, savez-vous quel est le plan de l’administration américaine ? » Netanyahu, semble-il, a besoin de réponses car, selon lui, « il ne sais pas et ne comprends pas ce qu’ils veulent ».

En effet, ces derniers jours, Netanyahu a émis de forts doutes quant aux chances que l’administration américaine parvienne à obtenir des gestes envers Israël de la part des pays arabes, comme par exemple la possibilité pour les avions israéliens de traverser les espaces aériens arabes. Netanyahu craint que le plan américain ne soit pas réalisable et que tout ce que les Américains cherchent soit de « se chamailler » avec lui. « Disposent-ils réellement d’un plan, avec un début et une fin ? Où veulent-ils en arriver ? » s’est-il interrogé lors de l’entretien avec les membres de la Chambre des représentants.

Toutefois, il semblerait que l’administration américaine suive un plan conçu d’avance qui, à en croire les déclarations américaines, a bien un début et une fin. Un responsable proche des contacts entre Israël et l’émissaire américain pour le Proche-Orient, George Mitchell, soutient que les Etats-Unis rejettent la condition israélienne préalable à l’ouverture des négociations, celle de la reconnaissance du caractère juif d’Israël. Lors de leur entretien fixé pour la semaine prochaine, Mitchell devrait souligner au Premier ministre Netanyahu que les Etats-Unis n’obtiendront des gestes de normalisation envers Israël de la part des pays arabes que si Israël procède tout d’abord à un gel de la colonisation (…)

Hier, lors de son entretien avec Mitchell, à Londres, Barak a promis à ce dernier qu’Israël démantèlerait 23 colonies sauvages « en l’espace de plusieurs semaines ou de mois, pas d’années ». Mitchell a quant à lui réitéré la position américaine, selon laquelle il faut démanteler toutes les colonies illégales (sauvages) dont le nombre, selon les données de l’ONU, dépasserait celui qu’a présenté Barak. Pour sa part, Barak s’est engagé que tant qu’il resterait à son poste de ministre de la Défense, Israël ne construirait pas dans les colonies hormis ce qui relève de la croissance naturelle, mais Mitchell lui a répondu que l’administration américaine s’attend à un gel total de toute construction dans les colonies. « Dans cet entretien, nous avons marqué un avancement », a déclaré Barak à l’issue de la rencontre, avant d’ajouter qu’ « il reste quand-même du chemin à fa ! ire ». « Nous préparons le terrain pour le lancement d’une grande initiative de paix », a-t-il enfin annoncé.

Mitchell devrait revenir dans la région la semaine prochaine pour s’entretenir avec le Premier ministre Netanyahu et avec le président de l’Autorité Palestinienne, Mahmud Abbas. Il leur exposera les principes de l’initiative de paix globale que les Etats-Unis envisagent de lancer, initiative qui prévoit l’ouverture de négociations israélo-syriennes et israélo-libanaises parallèlement au volet israélo-palestinien.

En effet, lors de sa visite en Israël la semaine prochaine, Mitchell devrait s’entretenir avec Netanyahu non seulement de la question palestinienne mais également de la reprise des canaux syrien et libanais. Hier, Barak et Mitchell ont convenu que les efforts de relancer ces négociations se feront dans le cadre d’une conférence internationale. 
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5 juillet 2009 7 05 /07 /juillet /2009 06:39
LES DEUX FERONT LA PAIRE !!!

Vu la super prestation de Benoit lors de son dernier voyage !!!

Qu'ils parlent plutôt du sort de ces pauvres chrétiens en pays arabo-musulmans

Mais quel 'houspani ce Hussein !!!!



ROME, 3 juil 2009 (AFP) - Obama croit que le pape partagera son "approche" sur le Proche-Orient

Le président américain Barack Obama s'est dit "impatient de discuter" avec le pape Benoît XVI de la politique américaine au Proche-Orient, se disant convaincu qu'il "partagera son approche", dans une interview vendredi au quotidien des évêques italiens Avvenire.

Au Proche-Orient, "ce que les Etats-Unis peuvent faire, sans imposer la solution, c'est mettre un miroir devant chacune des deux parties pour leur montrer les conséquences de leurs actions", a expliqué M. Obama qui doit rencontrer Benoît XVI le 10 juillet à l'issue du sommet du G8 à L'Aquila, dans les Abruzzes, au centre de l'Italie.

"C'est un thème sur lequel je suis impatient de discuter avec le Saint-Père, je crois qu'il partagera mon approche", affirme le chef de l'exécutif américain dans cette interview.

"D'un côté, ce n'est pas seulement la faute d'Israël. Les Palestiniens ont la responsabilité d'arrêter les violences et les pays arabes de la région doivent comprendre que si Israël est appelé à prendre des décisions politiques très difficiles, l'Etat hébreu a besoin de sécurité comme n'importe quel pays", estime M. Obama.

Le chef de la Maison Blanche ajoute enfin: "J'espère qu'avec le Saint-Père nous serons capables de trouver des thèmes sur lesquels nous aurons une collaboration durable: de la paix au Moyen-Orient à la lutte contre la pauvreté, du changement climatique à l'immigration. Tous ces domaines dans lesquels le pape a assumé un leadership extraordinaire".

Sur le droit à l'avortement qui l'oppose frontalement à l'Eglise catholique, Barack Obama indique "je sais qu'il y a des points pour lesquels le conflit ne peut être résolu" .

"Ma position personnelle est qu'on doit combiner une solide éducation morale et sexuelle à la disponibilité des contraceptifs", affirme le président américain qui regrette que le thème de l'avortement ait "enseveli" dans son pays l'autre partie de la doctrine catholique "comme la lutte contre la pauvreté, le bien-être des enfants, la peine de mort (...) qui m'inspirent continuellement et qui ont un fort impact sur mon épouse".

 Source : http://www.la-croix.com

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3 juillet 2009 5 03 /07 /juillet /2009 05:52
Suite a l'article diffusé ce matin TANT QU'IL Y AURA DU PETROLE 
http://aschkel.over-blog.com/article-33386378.html


François m'adresse cet article. Merci à toi

Ainsi que ce lien :



http://www.radiobfm.com/edito/info/35829/les-petroliers-se-preparent-pour-le-grand-appel-doffres-irakien/


Ca fait un peu faites le boulot, je passe à la caisse après !



Sur BFM

François Fillon en Irak en quête de nouveaux marchés
"par Julien Ponthus

BAGDAD (Reuters) - Cinq mois après Nicolas Sarkozy, François Fillon s'est rendu en Irak jeudi dans l'espoir de renforcer la coopération commerciale avec un pays qui entame sa reconstruction après six ans de guerre.

L'une des priorités de cette visite-éclair de huit heures était d'obtenir un engagement politique du gouvernement irakien pour conclure un accord de protection des investissements français en Irak.
François Fillon, accompagné de la ministre de l'Economie, Christine Lagarde, a rencontré son homologue irakien, Nouri al Maliki, à la résidence du Premier ministre à Bagdad.

Le Premier ministre français devait ensuite se rendre à Souleimaniye, dans le Kurdistan irakien, pour s'y entretenir avec le chef de l'Etat Jalal Talabani, qui effectuera une visite officielle en France en novembre prochain.
La reconstruction de ce pays de 30 millions d'habitants, troisième réserve de pétrole du monde derrière l'Arabie Saoudite et l'Iran, est potentiellement source d'importants contrats pour les pays occidentaux.
François Fillon, dont la visite avait été tenue secrète jusqu'au dernier moment, rencontre les dirigeants irakiens près de cinq mois après Nicolas Sarkozy qui leur avait proposé une "collaboration sans limite" lors d'une visite le 10 février.

Outre la présidente du Medef, Laurence Parisot, le chef du gouvernement français est accompagné de nombreux patrons français, dont Christophe de Margerie (Total), Louis Gallois (EADS), Henri Lachmann (Schneider) et Jean-Louis Chaussade, directeur général de Suez Environnement.
La délégation française circulait sous haute sécurité dans un convoi d'une trentaine de véhicules blindés.
En Irak, "nous ne vendons pas. Pourquoi nous ne retrouverions pas la place qui était la nôtre dans le passé ?", s'est interrogé François Fillon lors d'une conférence de presse commune avec Nouri al Maliki.
"NOUVELLE PHASE"

François Fillon a dit que la France, qui s'était opposée sous la présidence de Jacques Chirac à l'intervention militaire alliée contre le régime de Saddam Hussein au printemps 2003, mettrait tout en oeuvre pour que l'Irak retrouve "sa pleine place dans la communauté internationale".
Il a notamment évoqué l'appui de Paris à la candidature irakienne à l'Organisation mondiale du commerce (OMC).
Pour Nouri al Maliki, les relations franco-irakiennes "entrent dans une nouvelle phase". "Nous ne partons pas de zéro. Nous reprenons une histoire longue de coopération", a-t-il dit.
Outre l'étoffement de la mission économique de l'ambassade de France, le Premier ministre français a annoncé l'envoi d'un attaché militaire à Bagdad.

Un accord a également été signé sur la formation d'ingénieurs dans le secteur routier, a-t-on précisé dans la délégation française.
"Dans le 'business', il n'y a pas de secret, il faut être présent, présent, présent", a déclaré Laurence Parisot.
Louis Gallois a précisé qu'EADS souhaitait vendre ses Airbus à la compagnie aérienne Iraqi Airways et ainsi briser le monopole de son concurrent Boeing.

Paris et Bagdad ont signé en mars un accord validant la vente par la filiale Eurocopter d'EADS de 24 hélicoptères militaires EC635 à l'Irak pour 360 millions d'euros, premier contrat d'armement entre les deux pays depuis 1990 et l'invasion du Koweït, à l'origine de la première guerre du Golfe.
De son côté, Aéroports de Paris est intéressé par le projet de construction d'un aéroport à 150 km de Bagdad.
Mardi, le premier grand appel d'offre des Irakiens depuis l'invasion américaine pour l'exploitation de six de ses champs pétroliers et de deux gisements de gaz n'a pas rencontré le succès escompté, la rémunération proposée par Bagdad ayant découragé les investisseurs.
La visite du Premier ministre français intervient deux jours après le retrait des unités de combat américaines des centres urbains irakiens - un "succès dans le processus d'un Irak souverain et démocratique", a estimé François Fillon.

"Personne ne doit craindre le relèvement de l'Irak. Un Irak fort et réconcilié avec lui-même est un gage de paix pour toute la région", a-t-il souligné.
Jeudi matin, alors que son avion sécurisé se posait à Bagdad, une bombe a explosé au passage d'une patrouille de l'armée irakienne dans la capitale. Ce premier attentat depuis le repli américain a fait un mort et dix blessés.

Édité par Sophie Louet" 

 
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28 juin 2009 7 28 /06 /juin /2009 20:03


21:23  Venezuela : le président Hugo Chavez a mis son armée sur le pied de guerre à la suite du coup d'Etat qui a eu lieu au Honduras et a menacé d'une riposte militaire au cas où son ambassadeur aurait été attaqué ou enlevé.


Coup d’état au Honduras

Le président du Honduras, Manuel Zelaya, a été arrêté, dimanche à l'aube par des membres de sa propre armée. Il se trouverait, actuellement, sur une base militaire près de la capitale du pays. Barack Obama a exprimé "son inquiétude, tout conflit peut se résoudre par les voies de la paix" a déclaré le Président des Etats-Unis.
[06/28/2009 18:41]




Le ministère des affaires étrangères a publié un communiqué "mettant en garde tous les israéliens présent en Honduras, il faut éviter tous les rassemblements populaires et les artères des grandes villes". L'armée hondurienne a pris en otage son président Manuel Zelaya.
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28 juin 2009 7 28 /06 /juin /2009 05:50
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Yonit MOZES | 15 Juin 2009

Une interview à comparer librement avec les actes et prises de positions du nouveau président aujourd’hui.

[ Interview de Barack Obama dans Atlantic.com ]
 
Jeffrey Goldberg : Je suis curieux de vous entendre sur l’idée sioniste. Pensez-vous qu’elle a la justice de son
côté ?
 
Barack Obama : Vous savez, quand je pense à l’idée sioniste, je pense à la façon dont mes sentiments envers Israël ont été forgés quand j’étais un jeune homme – un enfant, en fait.
 
Quand j’avais 11-12 ans, j’avais un moniteur de colonies qui était un Juif américain. Il avait passé du temps en Israël et pendant les deux semaines de cette colonie il m’a fait partager ses idées sur le retour vers la terre promise et ce que cela avait signifié pour ceux qui avaient souffert de l’Holocauste, et il a parlé de l’idée de préserver sa culture quand on a enraciné au fond de soi l’idée de revenir dans la terre promise.
 
Il y avait quelque chose de si puissant et de si attirant pour moi, peut-être parce que j’étais un enfant qui ne s’est jamais entièrement senti enraciné. Cela a fait partie de mon éducation, de voyager et de connaître l’importance des valeurs et de la culture mais de vouloir aussi un endroit à moi. Telle est donc le premier souvenir qui remonte quand je pense à Israël.
 
Et puis cela se mélange avec une grande affinité avec l’idée de justice sociale qui fait partie, dès le début, du mouvement sioniste et le Kibboutz, et l’idée que non seulement on a trouvé un endroit à soi mais aussi que l’on a l’occasion de recommencer à zéro et de réparer les souffrances du passé. Je trouvais cela très attirant.
 
Q : Vous avez parlé du rôle des Juifs dans le développement de votre pensée.
 
B. Obama : J’ai toujours dit en plaisantant que ma formation intellectuelle s’est faite au travers d’universitaires et d’écrivains juifs, et cela bien que je ne le sache pas à l’époque.
 
Que ce soient des théologiens ou Philip Roth qui m’a aidé à forger ma sensibilité, ou des écrivains populaires comme Leon Uris [l’auteur d’ « Exodus »].
 
Donc quand je suis devenu plus conscient politiquement, mon point de départ, quand je pense au Moyen-Orient, est cette immense attachement émotionnel et cette sympathie envers Israël, conscient de son histoire, conscient des difficultés et de la douleur et de la souffrance que le peuple juif a subi, mais aussi conscient que l’incroyable occasion qui se présente quand un peuple rentre finalement vers un pays et est capable d’essayer de prendre le meilleur de ses tradition et de lui-même. Et évidemment cela est en grande résonance avec l’expérience Afro-américaine.
 
Une des choses les plus décevantes […] c’est la fin de ce que je pense être l’affinité naturelle entre la communauté afro-américaine et la communauté juive, chose qui avait été profondément comprise par les leaders juifs et noirs au début du mouvement des droits civiques mais qui s’est brouillée pour toute une série de raisons sur lesquelles vous et moi n’avons pas besoin de revenir.
 
 
Q : Pensez-vous que la justice est toujours du côté d’Israël ?
 
 
B. Obama : Je pense que l’idée d’un Etat juif en sécurité est fondamentalement juste et nécessaire, étant données non seulement l’histoire du monde mais la persistance de l’antisémitisme, la vulnérabilité potentielle que le peuple juif pourrait encore connaître.
 
Je sais que certains diront que, d’une certaine manière, l’Amérique est devenue un refuge pour le peuple juif, mais si vous avez connu l’Holocauste, cela ne vous donne pas le même sentiment de confiance et de sécurité que l’idée que les Juifs peuvent s’occuper d’eux-mêmes quelles que soient les circonstances. Cela en fait une idée fondamentalement juste.
 
Cela ne vaut pas dire que je suis d’accord avec tout ce que fait l’Etat d’Israël, parce qu’il a un gouvernement, des hommes politiques et, en tant qu’homme politique, je suis profondément conscient du fait que nous sommes des créatures imparfaites et que nous n’agissons pas toujours avec le sens de la justice en permanence présent à l’esprit.
 
Mais l’idée fondamentale d’Israël et la nécessité de préserver un Etat juif en sécurité est, je crois, une idée juste et elle devrait être soutenue ici aux Etats-Unis et à travers le monde.
 
Q.- Pour en venir à la question "kishke", la question de l’attachement viscéral : l’idée que si les Juifs savent que vous les aimez, alors vous pouvez dire tout ce vous voulez à propos d’Israël, mais si l’on ne vous connaît pas –Jim Baker, Zbigniew Brzezinski – alors tout devient suspect. Il semble que dans certains endroits, en Floride et ailleurs, il y ait le sentiment que vous ne ressentez pas les choses de la même façon qu’un sénateur de Sénateur [Hillary Clinton est sénatrice de New York].
 
B. Obama : Je trouve cela vraiment très intéressant. Je pense que l’idée d’Israël et la réalité d’Israël sont importantes pour moi personnellement. Parce que cela entre en résonance avec ma propre histoire de déracinement, avec l’histoire afro-américaine de l’exode, cela décrit comment, dans l’histoire, on a réussi à surmonter de grandes difficultés et on a, avec courage et engagement, réussi à faire sortir la démocratie et la prospérité d’une terre aride.
 
L’une des choses que j’ai aimé en Israël, quand j’y suis allé, c’est que ce pays est une métaphore de la renaissance. Ce que j’aime aussi à propos d’Israël c’est le fait que les gens discutent de ces questions là et qu’ils se posent des questions morales.
Parfois je suis attaqué dans la presse qui dit que je réfléchi trop. Mon équipe me taquine parfois à propos de mes angoisses sur des questions morales. Je pense que j’ai appris, en partie dans la pensée juive, que nos actions portent à conséquences et qu’elles ont de l’importance et que nous devons respecter des impératifs moraux.
 
Si vous regardez mes écrits et mon histoire, vous verrez que mon engagement pour Israël et le peuple juif n’est pas de surface et qu’il est plus qu’une simple manœuvre politicienne.
 
Quant à la question des « tripes », j’ai d’ardents partisans parmi mes amis juifs à Chicago. Je ne pense pas que les gens ont remarqué avec quelle vigueur ils me défendent et à quel point ils occupent une place centrale dans mon succès, parce qu’ils me connaissent depuis suffisamment longtemps pour savoir ce que j’ai dans les « tripes ».
 
Pendant l’épisode Wright [le pasteur, ami d’Obama, qui a tenu des propos incendiaires], ils n’ont pas flanché une minute, parce qu’ils me connaissent et me font confiance et ils m’ont vu agir dans des situations politiques difficiles.
 
 
L’ironie de tout cela est qu’au tout début de ma vie politique à Chicago, certains, dans la communauté noire, m’attaquaient parce que j’étais trop proche des Juifs.
 
Quand je me suis présenté contre Bobby Ruch au Congrès, la perception des gens était que j’étais Hyde Park [quartier résidentiel « bobo » de Chicago, situé près de l’Université], que j’avais tous ces amis juifs. Quand j’ai commencé dans la politique, les deux organisateurs de ma campagne à Chicago étaient juifs et j’ai été attaqué pour cela.
 
Donc j’ai été coincé [littéralement « dans un trou de renard »] avec mes amis juifs, et je trouve curieux de voir aujourd’hui questionner, au niveau national, mon engagement [envers les Juifs],
 
Q.- Pourquoi, à voire avis, Ahmed Yousef du Hamas a-t-il dit ce qu’il a dit à votre sujet [conseiller du Hamas, Yousef, a déclaré : « nous aimons bien Obama, nous espérons qu’il va gagner »] ?
 
B. Obama :Ma position au sujet du Hamas n’est peut être distinguée de celles d’Hillary Clinton ou de John McCain.
 
J’ai dit qu’il s’agissait d’une organisation terroriste et je l’ai condamnée à plusieurs reprises.
 
J’ai dit à plusieurs reprises, et je pense ce que je dis : puisqu’ils sont une organisation terroriste, nous ne devons pas traiter avec eux tant qu’ils ne reconnaîtront pas Israël, tant qu’ils ne renonceront pas au terrorisme et tant qu’ils ne respecteront pas les accords passés.
 
Q.- Cela vous a-t-il embarrassé ?
 
B .Obama : Cela ne m’a pas embarrassé. Je pense que ce qui arrive là est dû aux mêmes raisons que celles pour lesquelles il y a une certaine suspicion à mon égard dans la communauté juive.
 
Ecoutez, nous ne donnons pas tellement dans la nuance en politique, surtout quand il s’agit du Moyen-Orient. Nous voyons les choses en noir et blanc, pas en gris.
 
Je peux imaginer qu’il y en a dans le monde arabe qui se disent : « Voici un homme qui a vécu dans un pays musulman, son deuxième prénom est Hussein, il a l’air plus réaliste, il a appelé à discuter avec des gens, alors il ne va pas se lancer dans le même genre de diplomatie « à la cow-boy » que George Bush », et c’est ce qui leur donne de l’espoir. Je crois que cette perception est tout à fait légitime, tant que mon soutien inébranlable à la sécurité d’Israël reste clair pour eux.
 
Lorsque j’ai visité Ramallah, j’ai rencontré un groupe d’étudiants palestiniens et je leur ai dit, entre autre, la chose suivante : « Ecoutez, les gars, je vous comprends, et je comprends que vous avez besoin d’un pays qui marche, mais sachez que si vous vous attendez à ce que l’Amérique se distancie d’Israël, vous rêvez. Puisque mon attachement, notre attachement à la sécurité d’Israël est non négociable ». Je l’ai dit devant des auditoires qui, s'ils avaient des doutes quant à ma position, n’auraient pas manqué de les exprimer.
 
Lorsqu’Israël a envahi le Liban il y a deux ans, j’étais en Afrique du Sud. Évidemment, ce n’est pas les Etats-Unis, et on y entend plus de commentaires critiques sur les actions d’Israël, alors on m’a posé des questions là-dessus lors d’une conférence de presse, et là, comme pendant tout l’été, j’ai été catégorique sur le droit d’Israël de se défendre.
 
J’ai dit qu’il n’y a pas un seul Etat sur terre qui se laisserait faire s’il avait deux soldats kidnappés.
 
Alors je me réjouis que le monde arabe réalise que je suis prêt à ouvrir un dialogue et prêt à abandonner la politique unilatéraliste de George Bush, mais ce serait une erreur de penser que je suis moins déterminé lorsqu’il s’agit de combattre le terrorisme, de protéger la sécurité d’Israël ou d’assurer la force et la fermeté de l’alliance. Vous ne verrez en aucun cas notre attachement à la sécurité d’Israël se relâcher sous ma présidence.
 
Q.- Que pensez-vous de l’idée de Jimmy Carter selon laquelle Israël ressemble à un pays d’apartheid ?
 
B. Obama : Je rejette catégoriquement une telle caractérisation.
 
Israël est une démocratie vivante, la seule au Moyen Orient. Israël et les Palestiniens ont sans aucun doute des problèmes difficiles à régler afin de réaliser l’objectif d’avoir deux états qui vivraient côte à côte, dans la paix et la sécurité, mais injecter le terme d’« apartheid » dans la discussion ne sert pas cet objectif. C’est émotionnellement chargé, historiquement inadapté, et ce n’est pas ce que je crois.
 
Q.- Pensez-vous qu’Israël soit un boulet pour la réputation de l’Amérique à l’étranger ?
 
B. Obama : Non, non, non. Mais je pense que cette blessure permanente, cette plaie permanente, infecte toute notre politique étrangère.
 
Le non règlement de ce problème fournit un prétexte aux militants jihadistes antiaméricains pour perpétrer des actions inexcusables, et c’est donc de notre intérêt national de le régler, et je crois également que c’est de l’intérêt sécuritaire d’Israël parce que je crois que le statu quo est intenable.
 
Je suis absolument convaincu de cela et une partie des tensions qui peuvent exister entre moi et quelques éléments les plus « faucons » de la communauté juive américaine provient du fait que je ne vais pas adhérer aveuglément à toutes les positions les plus « faucons » juste parce que ce serait plus sûr politiquement.
 
Je veux régler ce problème, et donc mon job, en tant qu’ami d’Israël, est en partie de présenter un miroir et dire la vérité et dire que si Israël construit des implantations sans se soucier des effets que cela a sur le processus de paix, alors nous serons enlisés dans le même statu quo dans lequel nous sommes enlisés depuis des décennies, et que cela n’enlèvera pas la menace existentielle.
 
L’idée qu’une société active, qui réussi et qui connaît une croissance économique incroyable et une vitalité culturelle incroyable est toujours tourmentée par l’idée que tout cela peut s’arrêter n’importe quand, et bien, vous savez, je ne sais pas ce que cela fait ressentir, mais je peux mobiliser mon imagination pour le comprendre. Je ne voudrais pas élever mes enfants dans de telles circonstances. Je veux m’assurer que les citoyens d’Israël, quand ils embrassent leurs enfants et les mettent dans un bus, ne ressentent pas plus cette menace existentielle que n’importe quels parents quand ils quittent leurs enfants des yeux. Alors se pose la question : est-ce que la politique d’implantation conduit à réduire cela sur la durée ou est-ce qu’elle rend la situation pire ? C’est cette question que l’on doit se poser.
 
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27 juin 2009 6 27 /06 /juin /2009 21:26

Elliot : Bush et Sharon s’étaient mis d’accord au sujet de la croissance naturelle

[Vendredi 06/26/2009 14:45]

 


“Malgré les démentis de l’administration Obama, il y a eu des accords entre Israël et les Etats-Unis au sujet de la croissance naturelle en Judée Samarie”, a affirmé Elliot Abrams, l’ancien conseiller national américain de sécurité pour les affaires du Proche-Orient et d’Afrique du Nord du gouvernement Bush.

Dans un article publié jeudi dans le journal new-yorkais “Wall Street Journal”, Abrams a contredit les déclarations de l’administration Obama, et plus particulièrement celles de la secrétaire d’Etat. Il y a quelques semaines, Hillary Clinton a prétendu que l’administration actuelle n’avait reçu de la précédente aucun document témoignant d’un accord écrit ou oral entre les deux pays au sujet de la possibilité de construire dans les localités de Judée Samarie existantes pour répondre aux besoins de la croissance naturelle.

Le différend entre Jérusalem et Washington sur la construction dans les localités de Judée Samarie n’a pas encore été résolu. Même l’Italie et la France ont appelé Netanyahou à geler toute expansion des implantations, exigence répétée vendredi matin par les ministres des Affaires étrangères du G8, réunis à Trieste en Italie.

Abrams, en sa qualité de chef du département chargé des affaires du Proche-Orient, a dirigé entre autres les négociations avec Israël sur les implantations. C’est la deuxième fois qu’il contredit en public les déclarations de l’administration Obama depuis l’émergence du malentendu entre Washington et Jérusalem.

“Au sujet des implantations, nous nous étions mis d’accord sur des principes permettant la poursuite d’une certaine croissance. Ariel Sharon a clairement souligné lors de son important discours politique de décembre 2003 qu’Israël respecterait tous ses engagements au sujet de la construction en Judée Samarie : qu’il n’y ait pas de construction au-delà des lignes actuelles, qu’il n’y ait pas de confiscation de terrains pour la construction, qu’il n’y ait pas d’avantages incitant les Israéliens à s’installer en Judée Samarie et qu’il n’y ait pas de construction de nouvelles localités”, a précisé Abrams.

“Sharon n’a pas inventé ces quatre principes. Ils découlent des discussions avec les représentants de l’administration américaine à Akaba en juin 2003″, a ajouté Abrams en faisant allusion aux propose de Clinton selon lesquels “en examinant l’histoire de l’administration Bush, nous ne voyons pas d’accord applicable à ce sujet ni officiel ni oral.”

“Cette déclaration n’est pas exacte. Non seulement il y a eux des accords, mais en outre le Premier ministre israélien s’est fondé sur ces derniers lorsqu’il a adopté une nouvelle politique douloureuse, qui a provoqué la chute de son gouvernement : l’expulsion des citoyens israéliens des localités de la bande de Gaza et de quatre et de quatre points de peuplements de Judée Samarie.”

Et d’ajouter : “Malgré tout ce qu’a dit Madame Clinton, il y a eu un accord. Sharon voulait sortir du cul de sac, se retirer de Gaza et éliminer les colonies”.

par Yael Ancri

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26 juin 2009 5 26 /06 /juin /2009 05:24

Ben voyons !

[Jeudi 06/25/2009 22:02]

 


Comme il l’avait indiqué peu après son investiture, le Président Barack Obama s’active sur tous les fronts dans les différents dossiers du Proche-Orient. Cette fois-ci, il s’agit de révélations sur un plan de règlement entre Israël et la Syrie, ou plus exactement sur la manière de retirer à Israël la souveraineté sur le Plateau du Golan. Malgré son implication dans le terrorisme, son alliance stratégique avec l’Iran et son rôle ambigu au Liban, la Syrie n’est plus considérée par la nouvelle administration américaine comme un « pays infréquentable ». A en juger, la décision américaine de faire revenir son ambassadeur en Syrie, ainsi que la toute récente visite de l’émissaire George Mitchell. Les Etats-Unis, avec l’aide la Turquie, aimeraient « faire avancer » le volet israélo-syrien, interrompu depuis l’Opération « Plomb Durci ». A Washington, on explique ce nouveau virage stratégique par le fait que « seule une implication de la Syrie dans un processus diplomatique pourra faire avancer la réconciliation inter-palestinienne, sans laquelle aucun progrès n’est possible dans le dossier israélo-palestinien ». Le président Hosni Moubarak, qui a vivement conseillé aux Américains d’assouplir leur position vis-à-vis de la Syrie, veut à tout prix que les factions terroristes palestiniennes arrivent à un accord d’ici le 7 juillet date butoir qu’il s’est fixé. Et pour le moment, le plus grand obstacle à cette « grande réconciliation » est le n°1 du Hamas, Khaled Meshaal…qui siège à Damas.

Par ailleurs, certains spécialistes américains de géopolitique considèrent que la crise actuelle qui secoue l’Iran est une aubaine pour tenter d’éloigner Damas de la sphère d’influence de Téhéran.

Selon les éléments qui ont été révélés, le plan Obama n’entrerait pas pour le moment dans les détails concernant la normalisation des relations entre Israël et la Syrie. Par contre concernant le Golan, que réclame Damas comme condition sine qua non de toute avancée, la Maison Blanche prévoit le retrait d’Israël du Plateau, sa démilitarisation et sa transformation, en tout cas sur une partie de sa surface, en réserve naturelle protégée», surnommée « Parc de la Paix », et dont l’accès serait ouvert en journée aux touristes syriens comme israéliens (qui pique-niqueraient ensemble dans la fraternité et la bonne humeur…). Cette zone qui inclurait une partie du Golan mais aussi une petite partie de la Vallée du Jourdain, jusqu’à la rive nord-est du Lac de Tibériade, et ainsi, selon les Américains « les Syriens pourraient aussi tremper leurs pieds dans ce Lac »… !!!! Toute cette zone serait soumise à une supervision internationale et principalement américaine, et les dizaines de localités juives seraient démantelées sur plusieurs années, selon un calendrier fixée ne commun entre Israël et la Syrie. Ce plan n’évoque que très vaguement la « normalisation » des relations entre la Syrie et Israël (un détail…), et exigerait que la Syrie cesse son aide au Hezbollah et au Hamas, en même temps qu’elle se détacherait progressivement de l’Iran…

par Shraga Blum

Actu.co.il

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