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4 juin 2009 4 04 /06 /juin /2009 14:28
ET PENDANT CE TEMPS EN DOUCE....

mardi 5 mai 2009, par radinrue.com

Le soulèvement, la mutinerie, d’une base militaire en Géorgie a été maté par les forces militaires géorgiennes ( voir photos ). Le président géorgien Saakachvili se trouve dorénavant sur place. Il a été d’ailleurs un des acteurs du dialogue établit avec les mutins. Il affirme que la base militaire est redevenu paisible. Le commandant de la garnison a été mis aux arrêts, des soldats sont interrogés.


www.radinrue.com le 5 mai 2009 16h18, par ► Jéremie Falters,

►► Pour le Ministère de l’Intérieur géorgien il n’y a pas de doute, on a tenté de renverser et tuer le présdient Saakachvili dit-on, c’est une tentative de véritable putch soutenue par Moscou. Le président pour sa part a signifié que la situation est désormais sous contrôle.

Dans la base militaire de Muchrovani, plusieurs centaines de militaires ont pris part à ce soulèvement. Ils refusaient de répondre aux ordres, par ailleurs dans cette révolte ils ont été rejoint par des civils, déclarait se matin le Ministre de la Défense Nationale David Sicharulidze, c’est ce dernier qui a menné les négociations depuis tôt ce matin avec les mutins, plus tard il a été rejoint par le président en personne.

Le gouvernement géorgien a déclaré que “la mutinerie a été organisé par un ancien responsable des forces spéciales, qui a bénéficié d’une aide Russe.” (…) "« La rébellion bénéficiait de l’engrangement de la Russie, c’est d’elle que les mutins recevaient de l’argent »." poursuit le Ministère des Affaires Intérieures géorgien,« le but des rebelles est de nuire aux manœuvres de l’OTAN et une tentative militaire de coup d’état », affirmait encore le ministre de l’intérieur sur la chaîne de télévision Rustavi2.

Le responsable des mutins, Mamuka Gorgichvili, peu avant son arrestation s’était adressé à des journalistes russes d’Interfax expliquant que le but de la mutinerie traduisait le fait qu’il ne pouvait "regarder sans réagir le processus de déliquescence du pays et l’affrontement vers lequel il courait".

En tous les cas, le président géorgien est sortit plus fort de cette nouvelle provocation. L’opposition sera imédiatement accusé de déstabilisation nationale.

Dmitri Rogozine, représentant russe à Bruxelles auprès de l’OTAN a commenté l’évènement de faits qui étaient "juste une illustration de la crise politique et économique globale qui résulte de la présidence de Saakachvili". Les propos acerbes du russe Rogozine démontrent de plus la haine latente que voue la Russie à la Géorgie : pour "l’Otan il aurait été aussi rude de faire des manoeuvres dans un asile de fous, qu’en Géorgie".

L’Otan, dont un millier de soldats d’une douzaine de pays membres participeront durant un mois à une simulation de "réponse de crise" dans une ancienne base aérienne russe à l’est de Tbilissi, s’est refusée à tout commentaire sur les événements de mardi.

radinrue.com

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4 juin 2009 4 04 /06 /juin /2009 06:39

Tov, je ne suis vraiment pas une fan de Barak, mais je lui attribue quand même un bon point !

(Il en faut 10 pour faire une image)


En Clair, Barak dit à Barak CHEKET !!!!





Réduire l'intensité des déclarations publiques

Le ministre israélien de la Défense, Ehud Barak, qui se trouve à Washington, a appelé l'administration américaine à "baisser le volume" de ses prises de position, déclarations, et fuites d'informations vers la presse, de façon qu'il soit possible de parler des "choses essentielles".

Lors d'une conférence de presse donné mercredi après-midi, le ministre israélien a affirmé à nouveau que l'exigence américaine de cesser toute activité en Judée-Samarie, était "illogique". 

"Il convient d'agir de façon équilibrée, être connecté à la vie, et il est impossible de s'attendre à ce que des choses illogiques puissent s'accomplir" a encore déclaré Ehud Barak, pour qui le dialogue doit se dérouler sérieusement et selon les règles de la bienséance. 


Source : http://www.israel-infos.net/article.php?id=3981
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3 juin 2009 3 03 /06 /juin /2009 17:29

 

Donc ça fait 57 de la ligue arabe + La future "palestine" + Gaza + Les US d'Obama =.....

J'ai envie d'être nulle en calcul ! 
lefigaro.fr
02/06/2009

A quelques jours de sa venue en Normandie pour les commémorations du Débarquement, Barack Obama donnait sa première interview à un média français, où il évoque le Moyen-Orient et rend un hommage appuyé à Nicolas Sarkozy.



 

Son implication au Moyen-Orient. Pour Barack Obama, qui doit prononcer jeudi au Caire un important discours de réconciliation avec le monde musulman, «les Etats-Unis et le monde occidental doivent apprendre à mieux connaître l'islam. D'ailleurs, si l'on compte le nombre d'Américains musulmans, on voit que les Etats-Unis sont l'un des plus grands pays musulmans de la planète», ose-t-il dans une interview à Canal +, la première accordée à un média français. Avant d'ajouter : «Ce que j'essaye de faire, c'est de créer un meilleur dialogue pour que le monde musulman puisse mieux comprendre comment les Etats-Unis, mais plus généralement le monde occidental, conçoivent certains problèmes difficiles, tels que le terrorisme ou la démocratie».

Son rapport à l'islam. «Quelle que soit leur confession, ce sont ceux qui construisent et non pas ceux qui détruisent qui laissent derrière eux un héritage durable», estime le président américain. «Je pense qu'il y a un véritable conflit actuellement entre ceux qui soutiennent que l'islam est irréconciliable avec la vie moderne et ceux qui pensent qu'au contraire l'islam a toujours su évoluer en même temps que le progrès».

Son «excellente» relation avec Nicolas Sarkozy. Barack Obama reconnaît avoir «une excellente relation» avec son homologue français. Les deux hommes s'étaient déjà vus début avril lors du G20 de Londres, puis à Strasbourg pour le sommet de l'Otan. Une dernière entrevue dont le locataire de la Maison Blanche assure garder «un excellent souvenir». «Je suis persuadé que nous aurons des entretiens bilatéraux extrêmement productifs lors de cette prochaine rencontre (...) Le président Sarkozy a fait preuve de grand courage dans certaines des décisions qu'il a été amené à prendre», a poursuivi celui qui doit s'entretenir avec Nicolas Sarkozy avant de participer aux cérémonies commémoratives à Caen et à Colleville-sur-Mer.

Son amour pour la France. Concentré, le président américain estime que «la France est l'un des pays les importants de la planète, sa parole est décisive». Puis il poursuit, tout sourire : «Du reste, les Américains aiment tout ce qui est français», citant pêle-mêle «la cuisine», «le vin», «Paris» ou encore «la Provence», où il avait séjourné lorsqu'il était étudiant. Pour son retour en France, Barack Obama précise qu'il sera accompagné de sa femme Michelle lors de son séjour en Normandie. «Hélas, mon français est déplorable», a reconnu Obama. «J'ai fait du français au lycée, mais j'ai tout oublié. Mais je crois que Michelle parle un peu le français».

» Le D-DAY du grand-père d'Obama

 

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3 juin 2009 3 03 /06 /juin /2009 16:23

Si c'est vrai, je n'ai qu'une chose à dire : BOGUED !!!!



On sait par expérience que la présence de Juifs ou à fortiori d’Israéliens dans l’entourage d’un Président américain n’est pas forcément de bon augure pour Israël. Le réflexe de « Juif de Cour » est encore très présent chez beaucoup d’entre eux, et leur attitude envers Israël est souvent dictée par leur désir d’obtenir un satisfecit de la part de leurs « employeurs », avec un diplôme de « bon juif » à la clé.  


De manière inhabituellement ouverte, le Premier ministre Binyamin Netanyahou a fait clairement comprendre mardi à ses proches « que l’Administration américaine a pour objectif de faire tomber le gouvernement Netanyahou » et que « la cheville ouvrière de cette tentative n’est autre que Rahm Emmanuel, le Secrétaire Général de la Maison Blanche, qui oeuvrerait en coulisses ».


Toujours selon Netanyahou, qui connaît bien les rouages de l’Administration US et qui a « ses oreilles » là-bas, c’est Emmanuel qui conseillerait à Barack Obama de ne rien concéder à Israël dans le dossier de la construction juive en Judée-Samarie et à Jérusalem, et de poursuivre les fortes pressions exercées sur le gouvernement Netanyahou.  

La déclaration sous anonymat d’un haut responsable américain, selon laquelle « Netanyahou constituerait un obstacle pour Washington » ne peut que confirmer cette crainte.  

Même si sur le plan politique interne, la coalition de Binyamin Netanyahou semble stable, il est visible à l’œil nu que la Maison Blanche aurait préféré un autre gouvernement, plus docile, dirigé par exemple par Tsipi Livni. Ce phénomène s’était ressenti de manière identique en 1996 lors de l’élection du même Binyamin Netanyahou, alors que l’Administration Clinton avait ouvertement et sans discrétion aucune opté pour Shimon Pérès.  


Les retombées de tels desseins ne se verront peut-être pas dans l’immédiat, car les Etats-Unis ne peuvent pas aujourd’hui s’immiscer de manière grossière dans la politique intérieure israélienne en pleine législature, mais il est certain que Barack Obama, « judicieusement » conseillé par Rahm Emmanuel, fera tout pour mettre des obstacles sur le chemin d’une éventuelle réélection de Netanyahou lors de prochaines élections, en tentant de le discréditer aux yeux de l’électorat israélien.  

Pour cela, les outils politiques, diplomatiques et surtout économiques sont nombreux dans la besace du Président américain.
[06/03/2009 17:00]

Source Actu.co.il 
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2 juin 2009 2 02 /06 /juin /2009 21:22

[Mardi 06/02/2009 16:52]

 


Le chef de la diplomatie israélienne Avigdor Lieberman a effectué, en début de semaine, une mission officielle en Russie. Il a été reçu mardi par son homologue Sergueï Lavrov pour discuter essentiellement des moyens de faire face au programme nucléaire de l’Iran. 

Toutefois, comme on s’en doute, les deux hommes ont également évoqué le conflit au Proche-Orient et dans ce contexte, Lavrov a parlé avec son hôte de sa rencontre avec le chef du “bureau politique” du Hamas, Khaled Mashaal. Il a rappelé que lors de leurs discussions, il avait dit à Mashaal que “le Hamas devait créer les conditions permettant la levée du siège imposé à Gaza”. “Nous adressons simultanément des messages au Hamas et à Abou Mazen, pour les exhorter à coopérer”, a-t-il encore souligné.

Lors de la conférence de presse qu’ils ont tenue après leur entretien, Lieberman et Lavrov ont déclaré que les relations entre Israël et la Russie s’étaient nettement améliorées depuis la fin du régime soviétique. Pour Lieberman, elles auraient à présent atteint leur apogée, depuis que les deux pays ont rétabli leurs relations diplomatiques, il y a dix huit ans.

Lavrov a tenu à indiquer pour sa part que la Russie déployait de nombreux efforts, avec l’Allemagne et les autres puissances membres du Conseil de Sécurité de l’Onu, en vue d’écarter le danger du nucléaire iranien. Toutefois, il n’a pas précisé si la Russie avait pris des mesures contre le régime de Téhéran.

Lavrov a ajouté qu’il attendait des résultats positifs des pourparlers que mènent actuellement les six puissances avec l’Iran. “Nos propositions adressées à l’Iran sont connues, a-t-il affirmé, nous espérons à présent recevoir une réponse constructive de la part des autorités iraniennes”.

Lavrov s’est même dit optimiste quant aux chances de parvenir à un réel dialogue avec Téhéran. Il a ajouté qu’il fallait prendre en compte également les positions de la nouvelle administration américaine qui cherche à résoudre la question du nucléaire iranien.

Le ministre Lieberman a été reçu par ailleurs par le président russe Dmitri Medvedev. Au cours de leur conversation, Lieberman a déclaré à son interlocuteur qu’Israël considérait la Russie comme un “partenaire essentiel” dans les efforts déployés pour régler le conflit avec les Palestiniens et les Etats hostiles à Israël.  Lieberman doit également avoir un entretien avec Vladimir Poutine.

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2 juin 2009 2 02 /06 /juin /2009 05:59

OUF ! Aumoins un !

[Lundi 06/01/2009 20:16]

 


Le chef du gouvernement canadien Stephen Harper semble être proche de la communauté juive de son pays. Et c’est sans doute grâce à ces relations privilégiées qu’il a été invité, dimanche soir, à prendre la parole lors de la soirée annuelle du “Spirit of Hope” organisée à Toronto par les Amis du Centre Simon Wiesenthal.

Après avoir été accueilli chaleureusement par l’assistance, il a reçu des mains du président des Amis du centre, Avi Benlolo, le prix du leadership international Simon Wiesenthal. Ce dernier a d’ailleurs salué l’action de Stephen Harper contre la haine des Juifs et ses positions courageuses en faveur d’Israël.

Dans le discours qu’il a ensuite prononcé, Harper s’est dit “particulièrement touché” par cette distinction et a rappelé que Simon Wiesenthal avait défendu les principes de liberté, de justice et des droits de la personne”. Il a ajouté qu’il s’inspirait de l’exemple qu’il avait donné pour œuvrer en vue d’écarter les dangers de l’antisémitisme et de la haine.

Il a par ailleurs indiqué qu’il comptait mettre prochainement au point un nouveau  dispositif pour aider les victimes d’actes de terrorisme ou d’antisémitisme. Exprimant ensuite sa solidarité avec l’Etat juif, Harper a déclaré: “Nous continuerons à nous tenir aux côtés d’Israël, dans sa lutte contre le mal”. Et d’ajouter: “Le gouvernement canadien ne renoncera pas à cette action même  s’il doit perdre pour cela un peu de sa popularité”. Il faisait bien sûr allusion aux critiques acerbes qui lui étaient adressées par des groupes islamiques du pays.

Le Premier ministre canadien a également rappelé que son pays avait été le premier à se retirer de la conférence de Durban II, organisée à Genève, que Harper avait qualifiée de “conférence de la haine”.

Et puis, il a précisé que son gouvernement avait également été le premier à suspendre ses relations avec les Palestiniens lorsque le Hamas était venu au pouvoir et a vivement condamné l’attitude de l’Iran, du Hamas et du Hezbollah. Sur le plan interne, il a indiqué qu’il avait donné l’ordre aux forces de sécurité canadiennes de renforcer la surveillance autour des institutions juives et des synagogues du pays.

par Claire Dana-Picard

Actu.co.il

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31 mai 2009 7 31 /05 /mai /2009 20:38





[Dimanche 05/31/2009 21:19]

 


La parade annuelle en faveur d’Israël se déroule actuellement à New York, dimanche 31 mai, pour la cinquième année consécutive. Les organisateurs ont annoncé la participation de plus de 100 000 personnes lors d’une manifestation qui célèbre notamment les 100 ans de Tel Aviv. En tête du cortège, le maire la ville, Michael Bloomberg, le vice-ministre des Affaires étrangères israélien, Danny Ayalon et le maire de Tel Aviv et les parents du soldat captif, Noam et Aviva Shalit.

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31 mai 2009 7 31 /05 /mai /2009 15:35

[Dimanche 05/31/2009 14:05]

 


Plus personne nen doute aujourd‘hui, l’Administration Obama et son chef en tête ont décidé de faire plier Israël dans le dossier palestinien. Trop de petites phrases, attitudes, langage de corps, communiqués ou déclarations officielles sont là pour attester que le président Obama veut faire ce que les gauches américaines et israéliennes, le monde arabe et l’Union Européenne attendent de lui: un net rééquilibrage de la politique américaine au Proche-Orient. Les déclarations entousiastes de la délégation palestinienne après sa visite à Washington sont là pour indiquer que l’hôte de la Maison Blanche est prêt à un virage historique dans l’attitude traditionnellement pro-israélienne des Etats-Unis. Et c’est à tel point visible que des journalistes en font cas dans leurs colonnes. C’est le cas de Charles Krauthammer, dans “Fox News”, qui critique l’accueil plus que chaleureux fait à Abou Mazen – accolade et embrassade à la clé. “Abou-Mazen n’est qu’une fiction”, écrit Krauthammer “il ne règne même pas sur le centre ville de Ramallah”. Jim Hugland, l’une des grandes plumes du Washington Post, s’adresse directement au Président Obama: “Il n’est pas admissible de se saisir du dossier des implantations comme outil pour s’attirer l’amour des pays arabes (…) Vous ne pourrez pas imposer une paix américaine au Proche-Orient. Celle-ci devra émerger des populations elles-mêmes. (…) Si vous voulez exercer des pressions, faites-le au moins sur les deux parties en présence “. Même son de cloche au “New York Times”: “Obama doit également fixer des objectifs précis à Abou Mazen aux Palestiniens”.

 

Mais une autre chose est claire également: dans l’élaboration de cette nouvelle politique, des éléments israéliens, tant au sein de l’Administration américaine que dans la gauche israélienne ont une part non négligeable voire décisive, ce qui est un phénomène autant inacceptable qu’inquiétant. La nomination de Rahm Emmanuel au poste stratégique de Secrétaire Général de la Maison Blanche a peut-être entraîné des accès (excès) de fierté chez nombre de Juifs et d’Israéliens, mais il s’avère aujourd’hui que ce fils de combattant de l’Irgoun est devenu l’une des chevilles ouvrières de la politique américaine au Proche-Orient, et qu’il encourage fortement les pressions exercées sur Binyamin Netanyahou notamment sur l’arrêt de toute contruction juive en Judée-Samarie.

 

L’ancien Président de Meretz, Dr. Yossi Beilin avoue ouvertement, que “des délégués de l’Initiative de Genève se sont rendus aux Etats-Unis lors de la campagne électorale et après l’élection de Barack Obama, et ont eu des entretiens approfondis avec des responsables démocrates dans le domaine des Affaires Etrangères”. Beilin n’est pas peu fier de constater “que les positions d’Obama et de Hillary Clinton sont très proches des points défendus par l’Initiative de Genève”, qui on le sait, est le plan le plus à gauche qui n’ait jamais été élaboré depuis 40 ans.

 

Au Likoud, mais aussi à Kadima, on grince des dents face au constat que des “éléments de gauche et d’extrême-gauche israéliens ont brieffé l’administration américaine avant la visite officielle de Binyamin Netanyahou à Washington”. Le Président de la Knesset, Reouven Rivline se dit “scandalisé que l’Administration américaine exige l’arrêt de la contruction même à Ariel et Maaleh Adoumim”. “L’intervention active et militante à l’étranger d’organisations israéliennes de gauche constitue une menace à terme pour les intérêts vitaux d’Israël” estime Rivline, précisant aussi que “si c’est Shalom Akhshav ou l’Initiative de Genève qui donnent le ton général des discussions, il y a de quoi s’inquièter”.

 

Réaction plus furieuse encore chez Ofir Akounis, responsable du team de riposte au Likoud: “C’est inacceptable. Depuis les années 1980, les organisations israéliennes d’extrême gauche parcourent les Etats-Unis et l’Europe afin d’infléchir les politiques dans un sens défavorable à Israël”. “Israël poursuivre sa politique en matière de contruction en Judée-Samarie, et veillera à répondre aux besoins dus à la croissance naturelle de la population”, précise-t-il. A Kadima aussi certaines voix se font entendre: “Il faut expliquer à ces associations et mouvements de gauche, qu’Israël possède un gouvernement qui est seul habilité à mener des négociations et prendre des décisions” s’exclame Yoël Hasson, tout en attribuant “à l’absence de programme clair de la part du gouvernement actuel la porte ouverte aux pressions des pays étrangers”.

 

Jamais depuis longtemps l’influence néfaste et dangereuse des cercles de l’extrême gauche israélienne n’aura été aussi forte, sans malheureusement rencontrer de barrages politiques ou judiciaires de la part des autorités israéliennes.

 

Il s’agit-là de l’une des variantes d’un phénomène “vieux comme le monde”, par lequel certains Juifs en mal d’identité pratiquaient délation contre leurs frères et servilité envers les autorités non juives locales ou étrangères, espérant ainsi quelque reconnaissance de la part des puissants du moment.

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27 mai 2009 3 27 /05 /mai /2009 15:28


De mon ami Mar LEV

>>C.Ra'hamin une réponse a ton commentaires de ce matin en quelque sorte....

http://aschkel.over-blog.com/article-31899292-6.html#anchorComment 

commentaire n°3



Dans mon imaginaire que je reconnais comme peut-être par trop pessimiste, j'ai un tant soit peu tendance à faire un parallèle entre Pyongyang et Ahmadinejad, entre Corée du Nord et Iran.

Aurais-je raison ? N'est-ce que le fait de mon imagination par laquelle je vois deux états en passe d'accessibilité au rang des puissances nucléaires ?

Me tromperais-je de par mon impression d'états ne tenant aucun compte des pays voisins, des condamnations et décisions internationales ?

Oserais-je penser que les sanctions prévues par le Conseil de sécurité de l'ONU n'ont aucune conséquence, incidence sur les décisions des dirigeants de ces deux états ?

M'avancerais-je même à considérer que les tentatives de rapprochement, de mains tendues, de discussions à outrance ( près de six années de discussions entre les deux Corées, la Chine, les Etats-Unis, la Russie et le Japon n'ont aucunement persuadé la Corée du Nord de renoncer au nucléaire) n'ont aucun impact sur des dirigeants despotes ?

J'ose espérer que l'avenir proche me donnera tort mais l'ombre de nouveaux conflits semble recouvrir de plus en plus ces contrées dont les populations n'en n'auraient certes aucun besoin !



Corée du Nord, Iran, Israël et l'ONU...

 

Dans une quinzaine de jours l'Iran va connaitre l'effervescence de nouvelles élections présidentielles avec pas moins de 230 candidats inscrits...

Ne nous leurrons pas, et si jusqu'à présent et ces dernières années nous nous étions habitués aux déclarations volontairement extrémistes pour ne pas dire haineuses d'Ahmadinejad, la réelle course à ce trône va se jouer principalement entre quatre candidats.

Ainsi, si Ahmadinejad ne rêve que de se succéder à lui-même, d'autres comme Mohsen Rezaï, ancien chef des Gardiens de la Révolution islamique, n'apporterait à mon avis que très peu de changements quant aux relations avec l'occident quant au désir de tout bonnement rayer Israël de la mappemonde.

D'autres comme Hossein Moussavi qui se définit comme " un réformateur attaché aux principes de la Révolution islamique de 1979" semblerait avoir l'appui de l'ancien président Khatami et se déclarerait comme un défenseur de la liberté d'expression et de pensée désirant oeuvrer pour une amélioration des relations Iran-monde. J'avoue ne pas avoir totalement compris comment peut-on réformer les principes de la Révolution islamique, mais bon, rendons-lui cela.

Le candidat qui semblerait le plus axé à une réelle ouverture vers l'occident est Mehdi Karoubi, considéré comme candidat réformateur et modéré et demandant des élections libres sans aucune intervention des Gardiens de la Révolution, de-même qu'il a su critiquer ouvertement Ahmadinejad pour ses propos négationnistes de la Shoah .

Les sondages actuels montrent une majorité évidente à...Ahmadinejad ! Est-ce du fait de ses déclarations anti-israéliennes, de ses remises en cause de la Shoah qu'il a qualifié de mythe, de sa redistribution de l'argent du pétrole vers les classes populaires ???

Quoiqu'il en soit l'idée d'une nouvelle orientation politique iranienne semble encore faire partie d'une utopie...l'ombre de l'arme nucléaire plane indubitablement sur la région, sur Israël...

Mais le pessimisme n'a pas de raison d'être de rigueur alors que les instances internationales veillent et savent réagir contre de nouvelles\anciennes menaces, n'est-ce pas ?..

Ainsi si l'on se réfère au cas d'un cousin peut-être pas si éloigné que cela d'Ahmadinejad : j'ai nommé Pyongyang, comment ne pas s'enorgueillir des instances internationales face à cette menace Nord-Coréenne ?

Pendant presque six années de rencontres "des six" ( Chine, Etats Unis, Russie, Japon ainsi que les deux Corées) afin de convaincre le dirigeant de la Corée du Nord de renoncer à ses désirs de nucléaire, le résultat est celui que nous connaissons tous : un deuxième essai nucléaire !..

Certes le Conseil de sécurité de l'ONU prépare une résolution de nouvelles sanctions (mais qui, aux dires de diplomates, demande du temps...) contre Pyongyang alors que celui-ci n'hésite nullement à déclarer que "les impérialistes américains et les traîtres de la Corée du Sud ont poussé la péninsule coréenne à l'état de guerre"...

Y a-t-il justification à ce parallélisme que je fais ci-dessus alors que Barak Obama joue la politique de la main tendue vers l'Iran d'Ahmadinejad ? Peut-on légitimer un nouveau relationnel vers l'Iran considérant qu'Ahmadinejad n'est pas Pyongyang ? Les essais nucléaires nord-coréens face au manque évident de contre-attaque internationale laissent-ils prévoir une situation future proche similaire quant à l'Iran ?

Le monde parait se présenter comme totalement démuni contre l'extrémisme, la folie, le terrorisme...Ne serait-il pas temps de prendre sérieusement le taureau par les cornes avant qu'il ne soit trop tard ?? 


Marc Lev : le blog
http://marclev.canalblog.com 


 

 

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24 mai 2009 7 24 /05 /mai /2009 14:29
 
Par Yvan Eisenbach pour Guysen International News
Dimanche 24 mai 2009 à 11:00
 

La Russie et la Jordanie ont signé vendredi 22 mai un accord de coopération nucléaire sur 10 ans. Celui-ci comprend la construction de centrales nucléaires, de stations de désalinisation, de complexes de recherche et des centres d’entrainement personnel dans le Royaume hachémite.

Cet accord a été signé à Moscou entre Sergueï Kiriyenko, à la tête de la ‘Rosatom nuclear corporation’ de Russie, et le chef de la Commission sur l’énergie atomique jordanienne, Khaled Toukan.« La signature de cet accord est le commencement d’une coopération stratégique de premier plan entre nos deux pays. Nous avons l’intention de collaborer dans la construction de centrales nucléaires… et nous avons l’intention de construire quatre centrales en Jordanie dans les décennies à venir » a déclaré S. Kiriyenko.

K. Toukan pour sa part a expliqué que « nous avons commencé des négociations sur différents domaines de coopération, mais le plus important d’entre eux est la construction d’une centrale nucléaire pour la production d’électricité et d’une station de désalinisation ».
 
Avec ces projets, la Jordanie se rajoute à la longue liste des pays de la région qui ont annoncé récemment leurs intentions de construire des centrales nucléaires à buts civils.
 
Il y a bien évidemment l’Iran, dont la centrale de Bushehr doit être opérationnelle cet été, ainsi que la Syrie, sur qui pèsent de forts soupçons, mais aussi les Emirats Arabes Unis, qui ont l’intention d’ouvrir leur première centrale nucléaire en 2015.
 
L’Algérie souhaite se nucléariser également, et espère ouvrir sa première centrale en 2020. L’Egypte d’Hosni Moubarak, pays modéré et allié d’Israël, a rejoint la mouvance et a aussi annoncé qu’elle souhaitait construire une centrale nucléaire.
 
La Russie joue un rôle grandissant dans la région en matière de savoir faire nucléaire. Elle est le premier partenaire de l’Iran dans ce domaine actuellement. La Russie espère accroître son influence diplomatique également, n’hésitant pas à emprunter des chemins de traverse.
 
Ainsi samedi 23 mai, le ministre des Affaires étrangères russe, Sergueï Lavrov, a expliqué être « certain qu’il est nécessaire » de maintenir des contacts avec l’organisation terroriste du Hamas, organisation largement soutenue par l’Iran également.
 
S. Lavrov se trouvait en Syrie pour une conférence des ministres des Affaires étrangères organisée par l’Organisation de la Conférence Islamique. Au cours de son bref voyage à Damas, il a rencontré le chef politique du Hamas en exil, Khaled Mechaal, qui vit aujourd’hui dans la capitale syrienne.
 
Le ministre russe a aussi rencontré des officiels syriens. Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères russes, Andreï Nesterenko, avait déclaré au préalable jeudi 21 mai que Moscou « s’efforce de renforcer et de développer le dialogue politique ainsi que la coopération mutuelle avec la Syrie ».
 
Pour rappel, la Syrie est aussi l’un des grands soutiens du Hamas dans la région. À l’heure actuelle, la Russie est le seul membre du Quartet pour la paix au Proche-Orient - réunissant la Russie, l’ONU, l’UE et les USA - qui ne boycotte pas le Hamas. Dernière étape de sa visite au Proche Orient, Sergueï Lavrov se rendra lundi 25 mai au Liban, pays dans lequel se trouve les islamo-terroristes du Hezbollah.
 
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