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27 mai 2010 4 27 /05 /mai /2010 14:18

 

 

Une nouvelle excellente vidéo traduite et adaptée par Danilette :

 

http://www.aschkel.info et http://lessakele.over-blog.fr 

 

 

 

 

 

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26 mai 2010 3 26 /05 /mai /2010 20:24

 

pour aschkel.info et lessakele

 

 

Merci de m'avoir adressé ce courrier et Merci de diffuser largement ce message pour lui donner tout l’impact nécessaire.

Des occasions comme celles-ci ne se représentent pas si souvent.

 

 

 

 

From: Philippe Karsenty
Sent: Wednesday, May 26, 2010 12:55 PM
Subject: URGENT : l'ambassade de France en Israël contre l'Etat d'Israël . mais vous pouvez agir dès maintenant à Tel-Aviv !


l'ambassade de France en Israël contre l'Etat d'Israël . mais vous pouvez agir dès maintenant à Tel-Aviv !


Chers amis,

 

Cela fait maintenant près de 10 ans que France 2 a diffusé le reportage mensonger de Charles Enderlin sur la fausse mort du petit Mohamed al Doura.

Malgré leur défaite judiciaire et les preuves accumulées contre les mensonges de France 2, l’Etat français et sa diplomatie continuent à couvrir cette imposture médiatique.

Pour sa part, Bernard Kouchner a fait remettre la Légion d’Honneur à Charles Enderlin à l’été 2009.

Engagée dans une campagne contre l’Etat d’Israël, la diplomatie française continue son sabotage.

 

Ainsi, en début de semaine prochaine (les 30 et 31 mai et le 1er juin), le service culturel de l’ambassade de France à Tel-Aviv, en collaboration avec le quotidien Haaretz, organisera une conférence intitulée : « Démocratie : les nouveau défis ».

En lieu et place de forum démocratique, l’ambassade de France en Israël organise une réunion où de nombreux orateurs israéliens sont liés à l’extrême gauche israélienne, avec quelques rares individus pour faire illusion. Pour mémoire, cette tendance extrémiste ne représente quasiment rien en Israël tandis que le gouvernement actuel couvre plus de 70% de l’électorat.

Des intellectuels israéliens francophones renommés tels qu’Emmanuel Navon ou Michael Bar-Zvi ne sont pas conviés à ce forum ; tout comme certains milieux religieux qui représentent une partie importante de l’environnement intellectuel francophone israélien.

Du côté français, aucun intellectuel favorable aux positions majoritaires israéliennes n’est invité. Où sont les Trigano, Taguieff, Tarnero, Gurfinkiel ?

 

Pour observer l’orientation politique et l’ingérence française dans la politique israélienne, il suffit de s’attarder sur certains noms qui auront l’occasion de s’exprimer lors de ce colloque.

-        Il y aura bien sûr - à tout seigneur tout honneur - Charles Enderlin à qui on demandera de s’exprimer sur « la liberté et l’autocensure dans la presse ». Vraiment ?

-        Christophe Bigot, ambassadeur de France en Israël, qui a vu les preuves de la mise en scène al Doura mais qui a écrit la lettre attachée à ce message lorsque j’avais révélé ce qu’il avait vu (on notera que, dans sa lettre, il ne nie nullement le caractère mensonger du reportage de Charles Enderlin).

-        Pierre Assouline, qui affirme à qui veut l’entendre que « Charles Enderlin est un grand journaliste », est un des esprits « éclairés » conviés à ce forum.

-        Valérie Hoffenberg est la représentante spéciale du Président de la République au Proche-Orient. Pour mémoire, pendant plusieurs années, Valérie Hoffenberg a représenté l’American Jewish Committee en France. Durant cette période, elle a défendu Charles Enderlin et France 2 dans l’Affaire al Doura.

-        Raphy Walden est le gendre de Shimon Peres. Il est aussi son médecin personnel. Mais il s’est surtout récemment fait connaitre par son témoignage inconsistant pour soutenir Charles Enderlin et son faux reportage. Est-ce aussi pour cela que Bernard Kouchner lui a remis personnellement la Légion d’Honneur ? Décidément, diffamer Israël et soutenir ses diffamateurs est bien rétribué par la diplomatie française…

-        Last but not least, il y aura aussi l’incontournable BHL (Bernard-Henri Lévy pour les non-initiés) qui s’est récemment illustré en voulant dicter ses choix au peuple israélien par son « appel à la raison » JCallappel proprement ridicule de juifs de cour qui cherchent à maintenir leurs accès dans les médias français de plus en plus antisionistes, en sacrifiant à la vulgate en cours sur les bords de Seine. Mais BHL doit être rassuré, son « appel à la raison » a reçu le soutien de Leila Shahid, Pascal Boniface, Esther Benbassa (entre autres). Pour info, BHL a de nombreuses fois été sollicité pour prendre position sur l’Affaire al Doura. Il n’a jamais daigné s’y intéresser. On aurait pu espérer autre chose d’un auteur qui a eu beaucoup de succès en écrivant un livre romancé sur la mort de Daniel Pearl, journaliste juif américain qui avait été égorgé pour venger la fausse « mort » de Mohamed al Doura.

 

Restent quelques esprits sains, égarés et peut-être attirés par la lumière, ou dans le meilleur des cas désireux d’en découdre avec cette fange intellectuelle et affairiste, française et israélienne.

 

Mais pour une fois, vous pouvez changer le cours de choses car les débats se dérouleront devant un public qui pourra ensuite poser des questions.

 

Lors de toutes les présentations que j’ai eu l’occasion de donner en Israël et ailleurs, j’ai souvent eu à répondre à la même question : « Que pouvons-nous faire pour faire bouger les choses ? »

Eh bien voilà venu le moment d’agir, d’assister à ce forum et de vous faire entendre, poliment mais fermement sans vous laisser impressionner par la suffisance de ceux qui voudraient vous dicter vos choix, confortablement installés au Café de Flore à Saint Germain.

Inscrivez-vous à ce colloque, allez-y, interpelez les orateurs, pendant et entre les sessions.

-        Allez-y accompagné, ne vous-laissez pas intimider. La plupart de ces gens-là ne savent rien de plus que vous, leurs esprits sont juste plus malléables que le vôtre, et c’est pour cela qu’ils sont invités à s’exprimer par l’ambassade de France à Tel-Aviv.

-        Alors, à vos marques, prêts… inscrivez-vous : inscription gratuite mais obligatoire (ou par téléphone : 03 796 80 31)

 

N’hésitez pas à me faire des comptes rendus de ce qui sera passé.

Je diffuserai vos récits (en gardant votre anonymat si vous le souhaitez).

 

Merci de diffuser largement ce message pour lui donner tout l’impact nécessaire.

Des occasions comme celles-ci ne se représentent pas si souvent.

 

Amitiés, courage et à bientôt,


Philippe Karsenty


Mail et Téléphone de Philippe Karsenty adressez vous à aschkel.blog@gmail.com




Lettre Ambassadeur de France au J Post (2) Lettre Ambassadeur de France au J Post (2)


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25 mai 2010 2 25 /05 /mai /2010 17:22

 

Devant la désinformation et la manigance les faits ne mentent pas !

 

Lire les autres A Propos

A propos par Aschkel

 

 

 

Par Myriam Esther et Aschkel

Pour aschkel.info et lessakele

 

 

AIDE HUMANITAIRE DANS LA BANDE DE GAZA : BILAN DEPUIS 2009

Aperçu de la situation humanitaire dans la bande de Gaza, le 25 mai 2010



Source : Israel defence Force

http://idfspokesperson.com/
25 Mai 2010


 

 

Article associé : >La flotille pour Gaza : manipulation médiatique contre le peuple gazaoui et pour les terroristes qui l'oppriment

 

 

Depuis que le Hamas s'est emparé du pouvoir dans la bande de Gaza, il a institutionnalisé politiquement l'islam radical dans la bande de Gaza.

Le Hamas, soutenu et financé par l'Iran, refuse le droit d'Israël à exister et continue à renforcer ses stocks d'armes afin de continuer à attaquer la population civile israélienne.

Depuis 2010, 140 roquettes et de mortiers ont été tirés sur Israël depuis la bande de Gaza.

Le Hamas utilise tous les moyens disponibles pour faire passer des armes vers Gaza.

Qu'ils utilisent des tunnels de contrebande ou de bateaux de pêcheurs, le Hamas est constamment tenté d'introduire illégalement des missiles, des lanceurs, des fusils, des explosifs et des matériaux de construction pour les armes.

Les opérations de Tsahal dans la bande de Gaza, y compris la fermeture et les restrictions de passage maritime, résultent de la nécessité de maintenir la sécurité des citoyens d'Israël de la menace terroriste dans la bande de Gaza et d'empêcher la contrebande d'armes.

Le ministère de la Défense et l'armée israélienne de permettre le passage des marchandises et du matériel d'une manière systématique et fréquente, et de permettre le transfert de personnes à des fins médicales, religieuses, des raisons de bien-être des entreprises ou diplomatique.

Ce sommaire présente les faits et les chiffres qui illustrent les efforts d'Israël pour améliorer la situation humanitaire dans la bande de Gaza.

Produits alimentaires et vêtements:

La plupart des types d'aliments qui sont autorisés à pénétrer dans la bande,  sont transférés par le secteur privé ou par des organisations internationales.

Durant l'année 2009, 30.920 camions contenant 800.000 tonnes de fournitures ont été transférés dans la bande de Gaza. Cela comprenait des fruits et légumes, produits de viande, volaille et poisson, produits laitiers, le sucre, le riz et les légumineuses, de la farine et de la levure, de l'huile, et plus encore.

En outre, 10.871 têtes de bétail ont été transférés pour des fêtes musulmanes de Ramadan et de l'Aïd al-Adha.

Au premier trimestre de 2010 (Janvier-Mars), 94 500 tonnes de matériel ont été transférés par 3676  camions vers la bande soit :

48.000 tonnes de produits alimentaires,

40.000 tonnes de blé;

2760 tonnes de riz;

1987 tonnes de vêtements et chaussures;

553 tonnes de lait en poudre et aliments pour bébés.

En 2009,

572 camions contenant environ

5.000 tonnes de fournitures médicales entrés dans la bande.

 

Au premier trimestre de 2010 (Janvier-Mars)

1068 tonnes de médicaments et de matériel médical ont été transférés dans 152 camions.

 

En 2009, deux ascenseurs ont été transférés aux hôpitaux de Gaza, comme cela a été un système d'imagerie CT (à l'hôpital de la Croix-Rouge), et de l'équipement pour un appareil de mammographie (qui vérifie pour le cancer du sein).

Durant le premier trimestre de 2010, quatre camions avec des fournitures spéciales pour un projet de  "Al Qods" hôpital ont été transférés à la bande de Gaza, et 13 autres camions sont prévus.

En raison de craintes d'une épidémie de grippe porcine, trois hôpitaux israéliens ont été affectés à traiter les cas dans la bande de Gaza et de 44.500 vaccins ont été transférés dans la bande.
L'équipement pour les infrastructures civiles essentielles:

En 2009, Israël a transféré 41 camions de matériel pour l'entretien du réseau d'électricité, et l'État continue de fournir environ 60% de l'électricité de Gaza.

En 2009, plus de 105 millions de litres de carburant ont été transférés à l'usine électrique de Gaza et plus de 3,2 millions de litres de gaz ont été transférés pour les opérations de l'UNWRA.

En 2009 127 camions contenant plus de 3.000 tonnes d'hypochlorite sont entrés dans la bande de Gaza à des fins de purification de l'eau.

En outre, 48 camions de matériel pour l'amélioration des infrastructures d'assainissement a conduit à une réduction substantielle des niveaux de déchets, l'installation de Beit Lahya.

Dans le cadre des préparatifs pour l'hiver, 3.607 tonnes de verre a été transférée à la bande de Gaza.

Selon les rapports des Nations Unies, des fenêtres dans tous les établissements d'enseignement et de santé ont été réparés.

Au premier trimestre de 2010 Israël a transféré:
250 camions avec du matériel pour le camp d'été de l'UNWRA, y compris: arts et du matériel d'artisanat, piscines, jouets gonflables, machines à crème glacée, instruments de musique, vêtements, équipements sportifs, etc

Détruits cette semaine par des islamistes radicaux lire 

 Gaza: des hommes masqués incendient un camp d'été organisé par l'ONU)



Sept camions avec des équipements pour l'amélioration de la station de pompage, qui a été réalisée par l'UNWRA. 74 conteneurs vides pour l'UNRWA pour l'utilisation dans les classes et salles de bains

Certains types de matériaux comme le ciment et le fer, sont plus restreints.

Ces produits sont utilisés exvlusivement par le Hamas pour le développement de son arsenal, la construction de bunkers et de sites de lancement, et des roquettes et de mortiers .
Malgré le risque, le transfert de ces éléments est également autorisé sous surveillance, une fois qu'il a été autorisé, pour veiller à ce que ces matériaux ne soient uyilisés  qu'à des fins civiles.

Déjà dans le premier trimestre de 2010, 23 tonnes de fer et 25 tonnes de ciment ont été transférés à la bande de Gaza.
Mouvement des résidents dans et hors de la bande de Gaza

Malgré les dangers inhérents, Israël autorise les habitants de Gaza et les visiteurs a Voyager entre Gaza et Israël, de Gaza à la Judée - Samarie, et à l'étranger pour un traitement médical, les pèlerinages religieux, et les voyages d'affaires.

Lorsque cela est possible qu'Israël autorise  les activités diplomatiques ainsi que les échanges et le commerce avec la bande de Gaza.

Voici un certain nombre d'exemples à partir de 2009:

Les délégations de l'étranger:

21.200 militants d'organisations internationales de plus de 400 délégations diplomatiques ont été autorisés à entrer dans Gaza, et 2.200 Palestiniens employés par des organisations internationales ont reçu un  permis de sortie de la bande de Gaza.

L'éducation, les vacances et pèlerinages aux lieux saints:

147 permis ont été octroyés à des étudiants palestiniens pour des études universitaires à travers le monde.

Pendant les vacances de Noël à environ 400 permis ont été octroyés pour se rendre de Bethléem de Gaza ainsi que 100 permis de Voyage à l'étranger.

Business: 257 permis ont été octroyés à des hommes d'affaires de la bande de Gaza afin de faciliter les opérations commerciales.

Sports: Une autorisation spéciale a été accordée aux footballeurs de Gaza pour jouer en Judée et Samarie et  concourir dans des matchs internationaux à l'étranger.

Commerce

Israël a pris des mesures pour soutenir le commerce, le système bancaire et le marché financier déjà en place dans la bande de Gaza:

En 2009, 1,1 milliard de NIS (New israeli shekel) a été transféré à la bande de Gaza pour la poursuite des activités des organisations internationales et  payer les salaires des travailleurs de l'Autorité palestinienne.

40 millions de billets de banque endommagés ont été échangés pour de nouvelles coupures, et à la demande du Fonds monétaire palestinien, 282,5 millions de shekels ont été transférés à partir de Gaza des banques israéliennes.

En Février 2010, un accord a été conclu avec le Ministère Palestinien de l'Autorité nationale d'assurance pour garantir que les pensions ont atteint celles qui étaient auparavant versées par Israël.

Les fonds ont été déposés dans les banques en Judée - Samarie, tandis que l'Autorité palestinienne a été chargé de distribuer les fonds aux retraités dans la bande de Gaza.

Conclusion

L'Etat d'Israël cherche à atteindre la stabilité régionale et la protection de ses citoyens. Il n'est pas dans l'intérêt d'Israël de nuire à la population de Gaza et l'Etat fait tout son possible pour aider les efforts d'assistance, afin de ne pas nuire à la qualité de vie des habitants de Gaza.

Le Hamas, en poursuivant ses efforts pour la contrebande d'armes vers la bande de Gaza, nuit à la population de Gaza et sape le développement .

En dépit de ces menaces de sécurité actuelles , l'Armée Israélienne continue de permettre le transfert de marchandises, de matériaux de construction, et du matériel médical à Gaza.

 

Vous avez dit BLOCUS ?


******************************
***************************************


Overview of The Humanitarian Situation in the Gaza Strip 

SOURCE : ISRAEL DEFENCE FORCE 
25 MAY 2010 

http://idfspokesperson.com/



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25 mai 2010 2 25 /05 /mai /2010 13:58

 

 

 

Lire les autres A propos

A propos par Aschkel

 

 

par Aschkel

Pour aschkel.info et lessakele

A diffuser le plus largement possible !

 

Je n'ai pas besoin de vous traduire la vidéo qui suit, les images parlent d'elle-même, la Flotille de la Liberté de la soi-disant organisation Free Palestine s'apprête à lancer un coup médiatique pour servir ses propres intérêts politiques sur le dos des Gazaouis et dans le but de délégitimer ISRAEL.


En fait d'aide Humanitaire, il s'agirait plutôt pour ses organisateurs de rencontrer les mafieux qui dirige la bande et qui martyrisent leur propre peuple.

 

Gardez cela en mémoire quand vous lirez des articles dans la presse au sujet de cette soit disant "organisation humanitaire".


 

Avant un petit résumé voici la Vidéo envoyée par Jameel  

(Ames sensibles s'abstenir)

 

      Vidéo Sous-titrée par Danilette

 


 


 

 

 

 

 

Petit Résumé

 

En Janvier, le site Free Gaza a lancé le projet d'une flotille de navires qui arrive vers la fin de semaine vers bande de Gaza

 

A leur bord quelque 10.000 tonnes d'aide humanitaire et quelques 800 miltants "pro-palestiniens" et d'extrêmes gauche.

 

IMPRESSIONNANT NON ?

 

Sauf que pour la semaine dernière seulement, Israel a fourni 14.069 tonnes d'aide humanitaire par les points de passage à la la bande de Gaza.

 

Vous savez ce blocus(1) si cher a certains journalistes européens diffuseurs de sensationnel qui aiment faire des papiers manipulateurs pour leur lectorat ces même journalistes tel Alain Gresh (2) qui ont visiblement des problèmes avec la définition exacte du mot blocus (1)


En fait pendant que ces illuminés ('Hamas et leurs amis en Europe) tentaient de grapiller ces quelques 10.000 tonnes de frêt dans le même laps de temps, Israel a envoyé près de 230.000 tonnes d'aide a Gaza, sans compter les dizaines de milliers de tonnes de carburant. Aide qui compte un scanner CT, des ascenceurs, des matériaux de construction, et beaucoup d'autres produits et ceux dans un silence assourdissant des correspondants de presse. (Chiffres vérifiables auprès des ONG généralement peu tendres avec l'Etat Hébreu)

 

Jamais vous ne verrez ceci dans vos articles, car pour faire pleurer les chaumières il faut parler du blocus.

230.000 tonnes pour un blocus c'est peu vendeur.


Cette association est en fait contre l'aide humanitaire à Gaza et les droits à la liberté de ces même gazaouis qu'ils prétendent vouloir aider.En passant par le contrôle et en confortant la propagande du Hamas, ils enferment les Gazaouis sous la tutelle de ce groupe islamiste, sur la liste noire de tous les pays occidentaux. Ils souhaitent de la part des gazaouis une révolte violente et méprisent allègrement, par leur actions provocantes et stériles, la vie des habitants de la bande qui ont déjà assez à souffrir du régime de terreur imposé par le 'Hamas et autres terroristes (mise à sac des camps de vacances de l'UNRWA, incendie des cyber-cafés, traque des femmes non-voilées ou en Jean, interpellation des couples pour vérifier sui leurs badinages sont conformes à la Chari'a, exécution sommairedes opposants politiques, tortures à la mode des prisons d'Evin en Iran...).

 


Ils se définissent eux-même comme un groupe de résistance à l'occupation et ne s'en cachent pas, résistance a quoi ? La Bande Gaza est Judenrein depuis août 2005

Leur seul but est politique, souhaitent en découdre avec les Israéliens et faire les titre des journaux. 
Le gouvernement Israelien a proposé de faire acheminer leur marchandise comme celle acheminée chaque jour par des moyens terrestres et légaux et soutenus par toutes les infrastructures necessaires pour que l'aide arrive à bon port ce qu'à refusé tout net cette "organisation."

Voir la vidéo d'Ygal Palmor porte parole du Ministère des Affaires Etrangères
ICI

Gardez cela en mémoire quand vous lirez des articles dans la presse au sujet de cette soit disant "organisation humanitaire".

Israel a bien l'intention de réagir efficacement contre ces fauteurs de troubles qui agissent pour leur propre intérêts et non pour ceux des Gazaouis.




 

Que les gens qui veulent aider les Gazaouis, les aident a se débarasser de ces terroristes barbares que sont les sanguinaires du 'Hamas et affidés qui font régner la terreur et martyrise leur propre population.

 

 

Faites circuler..........

 

 

(1)Lire > les journalistes occidentaux n'ont toujours pas daigné

(2)Lire >La dernière perle de l'anti-israelien professionnel d'Alain Gresh du blog du Monde Diplomatique

 

Source : elderofziyon

 

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24 mai 2010 1 24 /05 /mai /2010 12:20

 

perez 

 

 

 

 

 

 

La Flotte de la honte

 

Neuf navires, sans compter les embarcations individuelles amies, transportant « 5000 tonnes de matériaux de reconstruction, des fournitures scolaires, du matériel médical ainsi que 800 personnes de 50 nationalités différentes », sous la bannière « Flotte de la liberté » se dirigent vers la bande de Gaza afin de soulager, selon l’objectif proclamé, le peuple gazaoui du ‘’sort qui est le leur’’.

 

Si l’on ne peut qu’applaudir à cette manifestation de sollicitude, on reste quand même sur sa faim lorsque l’on médite sur le sort de tous les peuples éparpillés sur la planète, totalement ignorés par cette « Flotte de la Liberté » et ses sponsors, et souffrant des guerres régionales, des régimes dictatoriaux, ou des privations de leurs droits élémentaires, comme celui à s’autodéterminer sur leur propre terre. Darfour,Zimbabwe ou Kurde pour ne citer que quelques exemples.

 

Seul, donc, le sort des ‘’Palestiniens’’ serait important aux yeux des organisateurs. Ainsi, le fait que les chrétiens de cette région soient spoliés, violés dans leurs droits de croyants et/ou assassinés, celui que les opposants politique au régime en place soient emprisonnés ou jetés du haut d’un immeuble, ou encore parmi tant d’autres celui qu’un otage croupisse depuis près de quatre années dans une cave sans droits humains ne laissent pas, peut-on croire de prime abord, insensibles les planificateurs de cette balade maritime !

 

Est-ce vraiment le cas ? Peut-on affirmer sans sourciller que la fin de ces atrocités coutumières commises par le Hamas sur le peuple gazaouis soit l’objectif  premier à atteindre par ces « 800 personnes de 50 nationalités différentes » naviguant sur les eaux de la Méditerranée ? Si tel était le cas, la défense des valeurs universelles et des droits de l’homme aurait contraint cette flottille à se diriger non pas vers le port réhabilité pour la circonstance de Gaza mais vers les ports d’Ashdod ou de Haïfa, enIsraël, afin que les autorités de ce pays fassent parvenir, au plus tôt, la cargaison aux véritables destinataires sans que les dirigeants criminels de cette bande de terre en tirent un quelconque profit.

                                                                                                                                                       

Là, évidemment, n’est pas l’objectif final de cette armada, mais plutôt celui d’un accueil chaleureux et politique de la « Flotte de la Liberté » par les dirigeants duHamas sous l’œil des caméras du monde entier ainsi que la réception de matériaux de constructions interdits par Israël aux fins de réduire au minimum les risques d’une reprise du conflit et donc de pertes humaines dans les deux camps.

 

Une interdiction louable lorsque l’on sait que le projet unique du Hamas est un état islamique du Jourdain à la Méditerranée prenant la place du seul refuge du peuple juif. Un dessein qui autorise chacun à qualifier en conséquence cette flotte de celle de la  « honte » et ses 800 voyageurs d’individus anti-israéliens et non pas de pro-‘’palestiniens’’ comme ils se présentent. Lorsque que l’on sait qu’être anti-israélien c’est être contre un état démocratique aux valeurs universelles mais surtout être hostile au peuple juif, on ne peut douter des réelles intentions de ceux qui participent directement ou indirectement à cette opération se révélant n’être qu’un acte médiatique et rien d’autre. Une opération appelant à une pression politique et diplomatique internationale sur l’état d’Israël afin qu’il lève le blocus interdisant au Hamas les moyens de sa haine mortelle à son égard.

                                                                                                         

Devant ce triste tableau, nul doute que la marine nationale israélienne arrêtera dans les eaux internationales, par la force si besoin, cette tentative de supporter cette organisation terroriste. De ‘’belles’’ images seront prises, des témoignages recueillis. Le tout diffusé sur des ondes et colonnes amis, toujours aux premiers postes du lynchage médiatique de cet état quelque soit ses faits et gestes. Même quand ils sont des plus logiques et rationnels.

 

Cette flotte qui affirme apporter un vent de liberté aux ‘’Palestiniens’’ de la bande de Gaza n’est en fait qu’un convoi sinistre soutenant des criminels n’ayant aucun sens commun des droits de l’homme et de la femme. Une Flotte de la honte pour les ‘’démocrates’’ qui la soutiennent, une Flotte au parfum mortuaire et funeste pour ceux subissant le joug du Hamas.

 

Bref ! Une flottille peu reluisante pour les véritables démocrates.

 

Victor PEREZ ©

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20 mai 2010 4 20 /05 /mai /2010 04:36

 

 

Par occam

pour  aschkel.info et lessakele

 

L'Equipe J.A.G - TOP NEWS - 

 

Suite des tribulations du Sieur Debray

>> Claude Lanzmann : « Debray ne comprend rien à Israël »

Avec Elkabbach 

>>Entretien Elkabbach avec R.Debray sur son livre "A un ami israélien"

 

 

 

 

Débat Régis Debray/Elie Barnavi chez Franz-Olivier Giesbert  -

 

Rassurez-vous, strictement aucun débat n'a eu lieu : les deux compères se sont contenté, sans craindre le ridicule, de s'envoyer continuellement des fleurs. Elie Barnavi (membre de Shalom Arshav et ex-membre du Meretz, extrême gauche israélienne représentant moins de 5%) trouve Régis Debray admirable, regrette uniquement que son livre risque d'accentuer le "recroquevillement sur soi" et la vile "défense apologétique" en Israël, et fustige les "amis d'Israël" qui défendent trop l'Etat hébreu - ces amis-là équivalant bien selon lui à des ennemis. A voir ces deux professionnels de l'indignation contre Israël se flatter sans se lasser (Asinus asinum fricat), et Giesbert tenter vainement de susciter un véritable débat, on oscille entre le rire et le mauvais goût dans l'estomac. Notons tout de même un unique point de désaccord pour déterminer, non pas s'il faut contraindre Israël, mais quel sera le pays qui pourra le plus efficacement"tordre le bras des Israéliens" : l'Europe ou les Etats-Unis ?

 

 

 

 

 



Debray à 3mn11 : "[J'essaie] de dire les choses qui nous gênent, parce que nous avons un terrible passé, nous avons le génocide, nous avons l'étoile jaune, cela créé une sorte d'inhibition que j'ai ressentie longtemps, je ne suis pas juif malheureusement et je me suis dit "mais Israël ça nous concerne tous" [...]. [...] Comme beaucoup d'Etats qui se sont créés, il y a eu au départ un déplacement de population [Debray n'est toujours pas au courant de la guerre déclenchée par les Arabes suite à la déclaration d'Indépendance, guerre qui a provoqué des fuites de population juives et arabes], il y a eu au départ un acte de force, et la question est de savoir si on maintient une politique de force ou pas, et je constate malheureusement que les derniers gouvernements israéliens maintiennent la surdité, la fermeture, la volonté de ne pas voir[pour rappel, les "derniers gouvernements israéliens" sont ceux qui ont effectué les retraits du Sud-Liban et de la Bande de Gaza, expulsant 8000 Juifs au risque d'une quasi-guerre civile en Israël], et c'est ce que je regrette [...]."
    
Elie Barnavi à 4mn36 : "Si Régis Debray avait osé écrire dans son livre ce qu'on lit dans la presse quotidienne en Israël, il serait traité d'antisémite, d'ennemi du peuple d'Israël, de son Dieu et j'en passe. [...] Alors qu'ici, si vous transposez ce débat [qui a cours en Israël] dans le contexte français, on va tout de suite aux extrêmes, et il va se greffer au débat israélo-israélien ou israélo-palestinien [...] de vieux complexes, une attitude de recroquevillement sur soi, de défense apologétique [...]. [Je veux] donner acte à Régis d'un livre courageux, ouvert, et tout compte fait empathique. [...] Je suis assez d'accord sur le diagnostic, c'est vrai que nous filons un mauvais coton, c'est vrai que l'Israël dans lequel j'ai grandi et l'Israël d'aujourd'hui, c'est pas du tout le même Israël. [...] C'est une société qui a peur, paradoxalement on était beaucoup moins ghettoïsé quand on était derrière les frontières [?] de 67 [...], et surtout on a une classe politique médiocre et autistique [...]."
    
Elie Barnavi à 7mn31 : "[Ce livre] est magnifiquement écrit, c'est le plus souvent juste alors qu'il regarde cela quand même de l'extérieur, il y a des compréhensions intimes. [...] Ce en quoi je ne suis pas d'accord, c'est extrêmement difficile de le dire comme ça, parce qu'il a une manière de présenter l'histoire qui n'est pas fausse, qui est vraie, mais où il manque des choses, où il va droit à ce que lui pense comme essentiel [...]."
    
Régis Debray à 10mn42 : "Elie [Barnavi], avec d'ailleurs beaucoup de courage, pense qu'il faut remettre aux Américains, aux Etats-Unis d'Amérique le soin de faire la paix coûte que coûte, y compris en tordant le bras [aux Israéliens]. [...] Là je pense que nous avons une différence, il faut sans doute une intervention extérieure, mais les Etats-Unis sont chevillés à l'Ancien Testament, c'est-à-dire au Dieu d'Israël, dans leur histoire même, les Etats-Unis sont un peuple croyant et qui croit dans le même Dieu qu'Israël et qui a des attaches historiques inconscientes profondes. Et l'Europe bien sûr ne peut rien faire, l'Europe est dans ses petits souliers à cause de la Shoah et de l'étoile jaune et d'un énorme complexe de culpabilité. [...] Un moment donné il faut sortir de la mémoire, [...] il ne faut pas non plus s'arrêter sur une position purement affective [...]."
    
Elie Barnavi à 13mn50 : "L'essentiel est le constat que nous avons en commun, que la politique d'Israël, à cause de sa faiblesse intrinsèque ou à cause de la médiocrité des hommes politiques peu importe, nous mène dans le mur [...]."
    
Régis Debray à 16mn59 : "Quand on voit des hommes comme Elie Barnavi, on se dit que non seulement le dialogue est possible, mais fructueux peut-être." [C'est là que j'ai beaucoup ri : appeler "dialogue" ce qui n'est que totale communion d'opinion, c'est ne pas connaître grand chose de la valeur d'un dialogue, et être vraiment, pour le coup,"autistique".]
    
Elie Barnavi : "[...] Si tous les ennemis d'Israël avaient cette facture-là, je serais le plus heureux des hommes. On a pas besoin d'ennemis, on a surtout pas besoin de certains amis [entendez, ceux qui défendent Israël sans soutenir qu'il "va dans le mur"], les deux se rejoignent et il y a une manière d'aimer Israël qui me paraît extrêmement dangereuse pour Israël lui-même [les affreux signataires de "Raison garder" comprendront le message]."
    
Franz-Olivier Giesbert à 18mn03 : "C'est un livre vraiment excellent, le style Debray ça existe." Puis Giesbert fait la promotion du livre de Jean-Claude Barreau"Tout ce que vous avez voulu savoir sur Israël sans oser le demander", qui selon son éditeur permet de faire "ouvrir les yeux sur la vraie nature d'Israël et les erreurs originelles du sionisme", sur le fait que "Israël est une colonisation de peuplement et que la paix est impossible sans la reconnaissance de ce fait historique", et enfin qu'il n'y a pas de peuple juif et donc que la loi du retour est raciste.

Merci Franz-Olivier Giesbert pour cette soirée de catéchisme politique à peine orienté !

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16 mai 2010 7 16 /05 /mai /2010 05:08

 

 

 

Article associé 

>>Vociférations palestinistes à Normale Sup - Raphaël Draï

 

 

Choses vues rue d'Ulm

Jacques Tarnero
© primo, 15-05-2010

Quelques chercheurs et professeurs se trouvaient rue d’Ulm, le temple du savoir français. Raphael Dray, professeur de Sciences politiques, intervenant à ce colloque, nous livrera lundi sa propre analyse de ce scandale. Jacques Tarnero, chercheur à la Cité des sciences et de l'industrie et réalisateur de documentaires, donne ici son témoignage.

Les faits qui suivent se sont déroulés hier, mercredi 12 mai à l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm.

Un cercle d’étudiants avait organisé en début d’après midi, une rencontre débat sur le thème du sionisme avec la participation de Yves Charles Zarka, professeur de philosophie à la Sorbonne, de monsieur Elhanan Yakira, israélien, professeur de philosophie à l’université hébraïque de Jérusalem et auteur du livre « post sionisme et post shoah » « essai sur la délégitimation d’Israël » et Raphaël Draï, professeur de philosophie du droit à l’Université d’Aix en Provence. 

Cette rencontre qui accueillait un professeur étranger avait bien évidement l’accord de la présidence de l’école normale supérieure. 

Sitôt prononcées, par Yves Charles Zarka, les quelques paroles d’introduction, des cris et des invectives ont fusé de la part d’une vingtaine de personnes sur la soixantaine présentes. « Et le mur ?! », «apartheid ! », « assassins » « fascistes ! », « nazis ! », « criminels de guerre, criminels contre l’humanité ! » 

 

Dès l’entrée dans l’école, le trottoir rue d’Ulm était maculé d’inscriptions « Palestine vaincra ». 

Il est évident que ce groupe n’était pas venu pour débattre mais pour saboter et insulter. Pour des étudiants de Normale sup, il était stupéfiant de constater leur difficulté à articuler une pensée aussi sommaire fut-elle, autrement que par des éructations, des slogans exprimés dans un français minimum. 

Non, des injures, des insultes et un comportement collectivement hystérique dès que le mot Israël était prononcé. 

Comme exemple de l’anti-israélisme pavlovien la séance fut certes cliniquement intéressante, le temps que ces énergumènes quittent la salle Dusane. Après le Hezbollah à la Sorbonne, voilà la proPalestine hystérique à Normale sup. 

Les organisateurs dirent au professeur israélien qui était leur invité, la honte que leur inspirait cette démonstration fasciste dans un lieu aussi prestigieux. 

Pauvre Ecole normale supérieure où un débat académique sur l’histoire et les composantes du sionisme ne peut se tenir dès lors que le nom Israël est prononcé. 

Il faut rappeler que pour le professeur émérite de philosophie de l’école Normale supérieure de la rue d’Ulm, Alain Badiou, le gourou de la nouvelle radicalité post moderne, le mot « juif » en tant que nom, en tant que substantif est d’un usage impropre. 

On comprend mieux le triomphe qui fut fait dans les mêmes lieux, à Shlomo Sand auteur du très fameux livre « comment le peuple juif fut inventé ». 

Pauvre Normale Sup, pauvre philosophie, pauvres étudiants. 

C’était hier, sous un ciel de mai plutôt gris, au sein du temple de la formation des élites intellectuelles de la France.


Jacques Tarnero© Primo, 15-05-2010

 

Affaire a suivre ......

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16 mai 2010 7 16 /05 /mai /2010 00:13

 

 

 

 

 

Le nouveau mouvement « Gauche Nationale », conjointement avec le parti « Meretz », le mouvement « Shalom Akhshav », les Verts, « Hashomer Hatzaïr », les partisans de l’Initiative de Genève et d’autres groupuscules, avait appelé à un grand rassemblement samedi soir à Kikar Tzion (Jérusalem). Les organisateurs annonçaient avec enthousiasme « le « retour des grandes manifestations de la gauche en faveur de la paix, comme dans les années 1980-1990 ». L’ancien député « Meretz », Mossi Raz, (« Shalom Akhshav »), promettait « qu’il s’agirait de la plus grande manifestation de gauche de toute la décennie à Jérusalem » ! Les affiches bleu-blanc collées dans les rues de la capitale indiquaient le slogan simpliste « Sionisme, oui ! Juifs en Judée-Samarie, non ! ». L’accent mis sur le rejet de ce secteur de la population avait d’ailleurs provoqué un accroc il y quelques jours, avec la défection du Mouvement des Kibboutzim, qui refusait que cette manifestation soit dirigée contre les pionniers de Judée-Samarie.

Samedi soir, cruelle déception pour les organisateurs, puisqu’à peine…2.000 personnes ont répondu à l’appel de la gauche, malgré la mobilisation et en dépit des transports assurés depuis les quatre coins du pays !!!

Prenant la parole, Mossi Raz a d’abord envoyé « ses salutations fraternelles aux militants de gauche arrêtés par la Police vendredi dans le quartier Shimon Hatzadik (« Sheikh Jarrah) », puis il a accusé les localités juives en Judée-Samarie « de mettre l’existence de l’Etat d’Israël en danger » ( !) L’écrivain Gadi Taub a ensuite demandé à Israël « de quitter immédiatement la Judée-Samarie ». « Notre sionisme n’est pas la Terre, mais la libération des hommes », a-t-il clamé, rajoutant « que le droit national des Juifs ne doit pas entraîner la violation des droits d’un autre peuple ». Intervenant ensuite, Dr. Tsvia Grinfeld, femme orthodoxe et membre de Meretz, a également attaqué les Juifs de Judée-Samarie, déclarant « que le Sionisme ne pouvait pas signifier le vol de terres ou la domination sur les faibles » (!!). Ninou Absdeza, ancienne candidate à la Knesset sur la liste « Kadima », représentait les partisans de l’Initiative de Genève. Elle est montée à la tribune et a déclaré : « Il faut choisir entre un Etat sans les localités juives de Judée-Samarie, ou ces dernières mais avec la fin de l’Etat ».

L’une des « vedettes » la soirée, la chanteuse Ahinoam Nini (« Noa »), a déclaré « qu’il fallait opter pour le dialogue à tout prix avec les Palestiniens, jusqu’à ce qu’il y ait la paix ». Et parlant de Jérusalem, elle souhaitait « qu’elle devienne une ville de paix, et la capitale de deux peuples »…

Clôturant la soirée (ratée), Eldad Yaniv, co-créateur de la « Gauche Nationale » a fait mine d’ignorer le peu de répondant à son appel : « Ce soir, le camp de la gauche se réveille et se redresse (…) Il faut mettre fin à l’occupation, avec accord ou sans accord. La gauche doit revenir aux valeurs sionistes pour faire barrage à la droite, qui elle est devenue post-sioniste, et qui souhaite un Etat binational dans lequel régnera un capitalisme sauvage ». (sic). Puis il s’est une nouvelle fois attaqué aux Juifs de Judée-Samarie, « qui détruisent des mosquées et déracinent des oliviers » !!!

Parmi les présents, Hilik Bar, conseiller municipal de Jérusalem sur la liste travailliste, qui disait « ne pas se reconnaître dans la plupart des slogans virulents entendus durant le rassemblement ». « Les organisateurs ont commis une erreur en concentrant leurs attaques sur les Juifs de Judée-Samarie », avouait-il, rajoutant « qu’au lieu de ramener la gauche vers le centre, voire le centre-droit, ces mouvements la font revenir vers les positions archaïques de la gauche dont l’Histoire a prouvé qu’elles étaient erronées ».

Après la manifestation, le député Michaël Ben-Ari (Ihoud Leoumi), qui n’y participait pas, a dénoncé « l’hypocrisie des organisateurs, qui manifestent sous le drapeau d’Israël, alors qu’il y a quelques semaines encore, Yariv Oppenheimer et ses amis de ‘Shalom Akhsh’av’ défilaient dans des manifestations où flottait le drapeau de l’OLP et où le drapeau d’Israël était conspué et interdit ».


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15 mai 2010 6 15 /05 /mai /2010 20:49

 

 

 

 

Par occam

 

 

Claude Lanzmann : « Debray ne comprend rien à Israël » -

Propos recueillis par Elisabeth Lévy (Le Point n°1965) - 

 

"Sur le fond, Debray est totalement dans l'air du temps, en phase complète avec la doxa, avec les lieux communs anti-israéliens qu'affectionnent les médias et les bons esprits, et il joue les mousquetaires". Un Lanzmann bien en verve et tout simplement réjouissant à lire.


Lire la suite ICI 

 

 

OCAAM1

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14 mai 2010 5 14 /05 /mai /2010 10:57

 

I . Les faits 
Ce 12 mai 2010 c’était la première fois que je franchissais le portail de l’Ecole Normale Supérieure , 45 rue d’Ulm à Paris . Même s’il me fallait presser le pas j’étais gagné par une forte émotion me souvenant de la photo fameuse prise en ce lieu prestigieux d’une certaine promotion où s’étaient retrouvés , sauf erreur de ma part , Bergson , Durkheim et Jaurès . Ce 12 mai j’avais été convié là , en compagnie de deux collègues , les professeurs Yves -Charles Zarka de Paris V et Elhanan Yakira de l’Université hébraïque de Jérusalem , à une table ronde portant sur le sionisme, organisée avec le complet accord de la Direction de l’établissement.

Un groupe d’élèves de la rue d’Ulm l’avaient souhaitée parce que jusqu’à présent seules les thèses unilatérale de Shlomo Sand sur « l’invention du peuple juif » y avaient eu cours. Pour ma part il s’agissait de participer à une table ronde de philosophie, de science politique et peut être aussi de droit international.Cependant l’étudiante qui voulut bien m’accueillir à l’entrée de l’Ecole me fit comprendre que dans l’amphi Dusane où cette table ronde était organisée un tout autre comité d’accueil se tenait prêt. Le temps de m’installer, et apercevant au fond deux rangées d’étudiants et d’étudiantes dont quelques uns, si j’ai bien vu, étaient en survêtement, je compris que la discussion à venir n’allait pas suivre les règles de l’éthique communicationnelle chère à Habermas. Comme, à mon corps défendant j’étais arrivé un peu en retard, je ne pris pas la parole le premier.Je devais traiter de la dimension religieuse dans la pensée sioniste et dans l’Etat d’Israël, thème que j’ai analysé par ailleurs dans de nombreux colloques de politologues et de juristes et auquel j’ai consacré des articles de caractère strictement universitaire.

A peine avais- je sortis mes notes et les avais disposées devant moi qu’aussitôt se déchaîna ce que je ne puis qualifier autrement qu’une sauvagerie verbale. Du fond de l’amphi et alors que je n’avais pas encore prononcé une seule phrase sur le sujet dont je devais traiter dans ce lieu dévolu à l’enseignement, les invectives, les injures, les insultes se mirent à pleuvoir : « Sionistes ! Nazis ! Fascistes ! Assassins d’enfants ! ». Je scrutai le rang d’où provenaient ces salves d’injures.A l’évidence les étudiants et les étudiantes qui les proféraient ne semblaient pas originaires du Moyen Orient exclusivement mais également de notre belle France. On tenta de rétablir ou plutôt d’établir le calme. Peine perdue. Ces étudiantes et ces étudiantes n’étaient pas venus pour débattre, pour argumenter, mais pour en découdre.

Plus d’une fois, nous mêmes, ou les organisateurs de la table ronde, en appelèrent à la raison,aux lois et us de l’Université, expliquant que chacun et chacune aurait l’occasion et le temps de s’exprimer.Les injures et les insultes redoublaient. Violer ces lois et ces usages faisait partie de la démonstration d’emprise sur le site . Le but de l’exercice était manifeste : nous faire quitter l’amphi. Mes collègues en appelèrent une fois de plus à la raison, au devoir commun, en un tel lieu, d’argumenter, quoi que l’on pense. Les vociférations reprenaient, plus fortes, à la limite extrême du passage à l’acte.

Devant un tel déchaînement de haine, pour ce qui me concerne j’avais intérieurement pris deux résolutions : expliquer aux vociférateurs que je n’étais pas venu participer à un meeting mais à une activité d’enseignement et à un débat de nature universitaire, que j’avais accepté volontiers de participer es qualités de professeur d’université à cette table ronde et que c’était à ce titre que je demandais instamment que la nature et la vocation du lieu où nous nous trouvions fussent respectés ; et en même temps j’étais résolu, quoi qu’il arrive, à ne pas quitter physiquement l’amphi avant l’heure prévue.

C’est alors qu’il ne fut donné d’entendre ceci que je soumets à mes éventuels lecteurs et lectrices : « Vous n’êtes pas professeur ! Vous êtes sioniste ! Vous êtes raciste ! Assassin d’enfants ! » Et le chœur de reprendre : « Gaza ! Check points ! Le mur ! Apartheid ! Goldstone ! Assassins ! Assassins ! » D’autres étudiants – du moins ceux qui n’étaient pas sidérés par cette violence plus violente qu’une tentative de lapidation - tentèrent une fois encore de rétablir les droits de la parole et ceux de la pensée . Les vociférations couvraient leur voix, avec les mêmes slogans granitiques.

Durant une improbable et brève intermittence des cris et insultes je m’approchas du micro et fit observer à l’assistance, par endroits tétanisée : « S’il y des fascistes, des racistes et des nazis ici, c’est sans doute au fond de l’amphi qu’ils se trouvent. Ils me rappellent le sort réservé dans l’entre- deux guerres au juriste Georges Scelle que des étudiants d’extrême- droite avaient littéralement interdit de cours.Mais nous ne sommes plus dans cette période. Ma consternation ne provient pas de votre attitude qui me paraît plutôt relever du secteur psychiatrique. Elle provient du lieu où nous sommes, auquel sont liés les noms de Bergson, de Durkheim, de Jaurès, d’Aron, de Sartre, pour ne citer qu’eux. Ce que vous faites ne me paraît pas dangereux pour les Juifs de France ni pour l’Etat d’Israël - ils en ont vu d’autres - mais pour la démocratie française.

Car, n’est- ce pas, nous sommes bien à l’Ecole Normale supérieure, rue d’Ulm, à Paris ? ». C’est alors que le groupe de vociférateurs et des vocifératrices déployant des drapeaux palestiniens se résolurent à quitter l’amphi Dussane où nous étions demeurés malgré leurs invectives ou même à cause d’elles, aux cris, décidément exutoires et exécutoires,d’« Israël assassin ! Palestine vaincra ». Je n’avais toujours pas prononcé le premier mot de ma communication. Nous étions arrivés à la moitié de l’horaire prévu. Dans le silence tordu qui suit les orages de grêle, nous essayâmes de nous exprimer et la parole universitaire, non sans mal, retrouva ses droits.

II. Les questions.

Depuis des décennies à présent, et particulièrement en Europe, le mot « sionisme » a été tellement stigmatisé qu’on éprouve d’immenses difficultés à vouloir en rétablir la signification précise, comme on le ferait dans n’importe quel séminaire d’histoires des idées politiques pour tout autre mouvement idéologique et politique : le communisme ou le gaullisme par exemple. Au delà de ses contenus objectifs ou de ses connotations subjectives, ce mot,véritable « shifter » mental, provoque des arcs de haine inouïs, quasiment électriques.

Certainement ceux qui se proclament « antisionistes » militants se défendent d’être antisémites. Cependant, dans un univers où les repères, disloqués, ont eux mêmes besoin d’être identifiés et reconstitués ce sont les conduites effectives qui valident ou non nos pétitions de principe. Il suffit de constater comme ce fut le cas rue d’Ulm ce qu’est le « comportement antisioniste » pour constater que par ses excès, par ses outrances, par l’impossibilité que la moindre parole y trouve la plus petite prise, il est bien homologue au comportement antijuif.

Dans l’amphi de la rue d’Ulm, face à ce déchaînement de violence ,tandis que la parole se dénaturait en éructations, devant la haine pure que suscitait le prononcé du simple mot « Israël », m’est revenu également à l’esprit le reportage que fit Joseph Kessel en 1932 d’un meeting du Parti hitlérien : « Le mot Jude était entendu par la foule avant même qu’il ne fût sorti de la bouche de l’orateur ». La tentation est grande de convoquer la psychanalyse, de diagnostiquer des mécanismes pathologiques de projection, de transfert d’une haine intime, sans doute héréditaire, non pas même sur un groupe humain censé l’incarner réellement, puisque ce groupe est parcouru de courants divers, souvent durement opposés, mais sur le simple nom qui désigne un tel groupe, pour le coaguler dans une haine incandescente et l’atomiser .

Car ce dont nous avons été les témoins rue d’Ulm, ce harcèlement destiné à vous faire rentrer les mots dans la gorge,se produit actuellement en France dans bien d’autres endroits : réunions publiques, supermarchés, inaugurations de sites ou de rues dés lors qu’y est mentionné d’une manière ou d’une autre l’Etat d’Israël. Dans l’amphi de l’ENS, les trois professeurs d’université qui devaient y intervenir furent amalgamés dans la même détestation horrifique et – verbalement - exterminatrice. Nous fumes accusés de nous être donné le mot pour déverser notre propagande au profit d’un Etat assassin et au détriment d’un peuple martyr.Pour ce qui me concerne, je voyais pour la première fois mon collègue Yakira,de surcroît homme de gauche, et ne savais strictement rien de ce qu’il allait dire au cas où il pourrait parler.

Tout cela est possible en France, dans notre régime républicain. Aux dires d’étudiants juifs, il est des universités où, sous l’emprise des groupes qui y propagent un pro –palestinisme virulent, les identifier d’une manière ou une autre comme attachés à l’existence de l’Etat d’Israël les y rendrait interdits de séjour. De pareilles actions de choc, sollicitant cette réactivité pavlovienne dont Tchakotine a donné une analyse désormais classique, visent toutes le même objectif : miner la légitimité de l’Etat d’Israël, lui ôter sa raison d’être, de sorte à justifier les entreprises de destruction qui le visent. A ce titre, même la solution dite « des deux Etats » reprise et promue par l’administration Obama, pétrie de bonnes intentions, paraît difficilement réalisable.Si cette coexistence implique a minima des conduites de bon voisinage, qui donc accepterait dans la vie courante d’avoir sur son pallier des voisins se comportant comme les vociférateurs haineux de la rue d’Ulm ?

De cette situation plus que préoccupante, je ne tiendrais pas cette génération idéologique pour directement responsable . Sans doute a t-elle besoin d’idéal et se raccroche t –elle à celui mis à sa portée. Les véritables responsables sont plutôt les philosophes, les libellistes, qui vouent à l’Etat d’Israël une haine non moins virulente mais qui, eux, sont en mesure de la couler en idées articulées , en mots savants, en pensée « clefs en main » , et cela d’Alain Badiou à Régis Debray. Le premier, virtuose du sophisme, semble tout à fait fâché avec la relation de cause à effet, ou avec le principe de contradiction. A ses yeux, si l’Etat d’Israël agit comme il croit devoir le faire c’est par pure malfaisance, par perversion congénitale. La raison d’être de cet Etat se trouverait dans la persécution de ses voisins et par là, pour l’exprimer dans ce style inimitable qu’affectionnent les penseurs ivres de leur propre phraséologie, elle se trouve, circulairement, dans la destruction … de sa propre raison d’être. Formulation up to date de l’antique malédiction : « Que son sang retombe sur nos têtes ».

Mais Alain Badiou, qui a longtemps labouré rue d’Ulm, est officiellement agnostique. Sur ce terrain là il vient hélas d’être rejoint par Régis Debray qui, lui non plus, se proclamant philosémite, ne fait symétriquement grâce de rien à l’Etat d’Israël, à son gouvernement et partant à sa population, selon un identique schéma de pensée qui se rapporte sans doute aux mêmes années et sources de formation.Son nouveau pamphlet n’appellerait que la compassion envers un intellectuel qui ayant commencé comme Guevara finit comme Garaudy si justement elle n’ensemençait à son tour le champ de haine que nous avons vu rue d’Ulm agité par un vent qui la propagera au dessus des murs de Normale Sup.

Une rue d’Ulm où je me suis retrouvé enfin à l’air libre, en me demandant si j’avais été présent, durant deux heures et demi, à l’ENS, haut lieu de formation des élites de la République, ou salle Wagram après une exhibition de mauvais catch . En retournant vers le métro Luxembourg, me revenait, lancinante, une des phrases que j’avais pu dire à l’intention de cet auditoire, en pensant à Theodor Herzl, à la commotion psychique et politique qui le mit en mouvement après avoir assisté à la dégradation du capitaine Dreyfus dans la cour de l’Ecole militaire assortie déjà des cris haineux qu’il entendit alors : « En entrant dans cet amphi je ne savais pas très bien comment l’on devient sioniste. Maintenant, je le comprends mieux ».

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