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20 mars 2010 6 20 /03 /mars /2010 19:58


L'Hymne de la gauche antisioniste 
(bien sûr : à prendre au second degré)



The Grand Marching Song of the Anti-Zionist Left
Par Steven Plaut
Envoyé par Hanna

SUR : http://zioncon.blogspot.com/ 
Adaptation francaise : Galila sur sionisme.xooit.com






Nous sommes des antisionistes progressistes, humanistes , socialement avancés, épris de liberté et d’égalitarisme ! Ici nous vous présentons notre Hymne . tout comme John Philip Sousa.Tous ensemble: Nous croyons en un gouvernement éclairé et progressiste. 

Et c'est pourquoi nous soutenons le fascisme arabe. 

Nous croyons en la paix. 
Et c'est pourquoi nous soutenons toute agression militaire contre Israël. 

Nous croyons en la démocratie. 
Et c'est pourquoi nous pensons que Israël est le seul pays du Moyen-Orient qui doit être détruit. 

Nous croyons en la liberté. 
Et c'est pourquoi nous appuyons la Syrie et l’Iran, Et bien sûr le Hamas. 

Nous croyons en la liberté d’expression et de la presse. 
Et c'est pourquoi nous soutenons l'Autorité palestinienne. 

Nous croyons à l'autodétermination et l’identite-propre à chacun .
Sauf pour les Juifs. 

Nous nous opposons à la violence. 
Et c'est pourquoi nous soutenons la terreur palestinienne. 

Nous croyons en la dignité humaine. 
Et c'est pourquoi nous applaudissons quand les Arabes font exploser les femmes et enfants juifs. 

Nous croyons aux droits de l'homme. 
Et pour cette raison, nous soutenons les atrocités arabes. 

Nous croyons en la fraternité et en la confraternité des nations. 
C'est pourquoi Israël doivent être dé-sionisé et transformé en un clone du Rwanda.

Nous defendons le droit de vote. 
C'est pourquoi nous applaudissons la Libye , le Soudan, l’Iran, et la Syrie à exiger que Israël soit détruit . 

Nous croyons en la liberté de mouvement. 
Sauf pour les Juifs. 

Nous favorisons l'égalité. 
Comme en Syrie, en Iran et en Libye. 

Nous privilégeons les droits des minorités. 
Mais pas pour les Juifs , les Kurdes, les Soudanais du Sud, coptes ou tout autre groupe politiquement incorrect. 

Nous croyons en la liberté. 
Mais ne cela ne nous dérange pas que l'esclavage existe encore au Soudan, en Arabie Saoudite et ailleurs parmi les Arabes. 

Nous croyons en la presse libre. 
Et c'est pourquoi nous soutenons la censure emise par l'OLP et le Hamas. 

Nous croyons en la liberté de toute pratique religieuse
Mais seulement pour les Musulmans. 

Nous croyons aux préférences d'action positive pour ceux qui ont souffert de la discrimination passée.
Mais pas pour les Juifs. 

Nous croyons au progrès et la culture. 
Et c'est pourquoi nous soutenons le Jihad et les pogroms. 

Nous croyons à l'égalitarisme. 
Et c'est pourquoi nous soutenons les requêtes de nettoyage ethnique au Moyen-Orient pour en chasser les Juifs. 

Nous aimons les enfants et les êtres vivants. 
Et c'est pourquoi nous nous félicitons les kamikazes. 

Nous détestons que les gens blâment les victimes. 
C'est pourquoi tous le terrorisme est "la faute aux Juifs ". 

Nous croyons en l'éducation. 
Tant que nous n'aurons jamais à lire dans tous les livres. 

Nous croyons dans le multiculturalisme. 
Tant que personne n'aura jamais à apprendre le respect pour les Juifs ou l'Occident ou l’ Amerique 

Nous croyons au progrès. 
Et ainsi, nous célébrons la barbarie et la sauvagerie. 

Nous croyons au progrès. 
Tant que les pays arabes ne seront jamais invités à aller au-delà du 12ème siècle. 

Nous croyons en la démocratie. 
Mais pas pour les Arabes. 

Nous croyons à la prospérité. 
Et c'est pourquoi nous appuyons la féodalité arabe et kleptocratie. 

Nous croyons à l'égalité citoyenne. 
Aussi longtemps que Israël n'imposera pas ses arabes le service national .

Nous croyons à la liberté d'expression. 
Ce qui explique pourquoi les gens qui ne sont pas d'accord avec nous doivent être censurés. 

Nous croyons que les droits de l'homme des Arabes doivent être protégés. 
Mais pas dans les pays arabes. 

Nous sommes bouleversés par l'analphabétisme. 
Et c'est pour cela que nous la pratiquons. 

Nous croyons en l'égalité des femmes, 
Mais pas chez les Arabes. 

Nous nous opposons à la torture, 
A l’exception de celle employée par l’Autorite Palestinienne ou autre pression arabe progressiste similaire 



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19 mars 2010 5 19 /03 /mars /2010 11:30

aldoMM


Transmis par Aldo-Michel Mungo


pour lessakele et aschkel.info


Mon ami Anthony Bochon fait la chasse aux amis des génocidaires de gauche oubliés !

 

La carte blanche « Les Belges qui ont soutenu les Khmers rouges doivent sortir de leur silence» parue en page 19 du journal Le Soir de jeudi 18 mars est également disponible en ligne :

 

http://www.lesoir.be/forum/cartes_blanches/2010-03-18/les-belges-qui-ont-soutenu-les-khmers-rouges-doivent-sortir-de-leur-silence-759341.shtml

 

Droits de l'homme et oeillères idéologiques

 

Le cas du massacre du peuple cambodgien par ses dirigeants khmers rouges entre 1975 et 1979 demeure à ce jour une des atrocités du XXe siècle dont l'ampleur et les motivations idéologiques restent méconnues du grand public européen. Plongé dans une guerre civile jusqu'au début des années nonante, le Cambodge n'a guère pu livrer à la justice internationale les auteurs de cette élimination systématique d'un peuple, au nom d'une idéologie prônant l'émergence d'un Homme nouveau. Et pour cause, la qualification de génocide reste discutée, au grand dam des familles des victimes. Cette impasse juridique n'a pas empêché la création de tribunaux ad hoc qui, depuis plusieurs années, permettent au peuple cambodgien de traduire en justice une partie de leurs bourreaux. Le procès actuellement en cours de Duch, chef de la prison S-21, montre que, à des degrés divers, les responsabilités de ces crimes contre l'Humanité n'ont pas encore été toutes clairement établies.

 

Ce travail progressif en faveur d'une justice rendue au nom des droits de l'Homme ne peut camoufler la complaisance avérée de nombreux intellectuels occidentaux dans les années septante en faveur du Kampuchéa démocratique. C'est en effet, faut-il le dire, le nom que les Khmers Rouges avaient attribué à leur pays dès leur prise du pouvoir en avril 1975. Transformé en véritable camp de concentration à ciel ouvert, ce pays fut visité par plusieurs délégations dont celle de l'Association Belgique-Kampuchéa. Présidée par le professeur François Rigaux - depuis membre de l'Académie royale de Belgique - cette a.s.b.l. avait publié au retour d'un séjour effectué en 1978 à l'invitation de Pol Pot un bulletin dithyrambique sur la société et la famille au Kampuchéa. Il fut résumé lors d'une conférence de presse tenue le 14 septembre 1978. L'Histoire nous confirmait cependant cinq mois plus tard que le modèle familial khmer rouge reposait sur la dénonciation des parents par leurs enfants et que la société pratiquait l'assassinat de toutes les personnes soupçonnées d'être des intellectuels.

 

A la chute du totalitarisme khmer rouge, ces amicales essaimées en France, Etats-Unis ou Suède sont tombées dans l'oubli. La révélation au monde entier des horreurs du gouvernement de Pol Pot a amené progressivement d'anciens membres de ces associations à faire leur examen de conscience. Le dernier en date est l'ancien militant suédois Gunnar Bergstrom. Il a présenté ses excuses au peuple cambodgien en novembre 2008, lors d'un retour au Cambodge qu'il avait découvert en 1978 pendant un voyage similaire à celui des militants belges. S'exprimant sur le processus mental qui l'a amené à cautionner un régime totalitaire, il a répondu : "Quand l'idéologie prend le pas sur la vérité, voilà ce qui arrive...". Les oillères idéologiques ont empêché des personnes comme Gunnar Bergstrom d'admettre sur le moment l'horreur du régime tellement adulé. Malgré que les délégations étrangères en visite au Kampuchéa dans le cadre de programmes « organisés » aient pu ignorer une grande partie des crimes, des témoignages comme ceux de Gunnar Bergstrom démontrent qu'il n'était pas possible, en 1977 ou 1978, de voir ce pays comme la société du respect de la dignité et de l'intégrité humaine. Les villes kampuchéennes n'étaient plus que des villes fantômes. Elles étaient vides car vidées de leurs habitants qui, depuis 1975, étaient forcés de travailler dans les rizières, les fameux « Killing fields ». Le bulletin belge de 1978 présente la déportation des populations citadines dans les campagnes comme une nouvelle répartition des travailleurs, sans y voir une quelconque violation des droits de l'Homme ! Ce même bulletin ne s'émeut pas plus du travail des enfants et dépeint les réfugiés - on devrait dire rescapés - comme des citadins réactionnaires, alors que des milliers de témoignages concordaient en un seul et même cri de détresse et d'appel désespéré à l'humanité tout entière.

 

Les oeillères idéologiques sont incompatibles avec un engagement en faveur des droits humains et rendent ceux qui ne peuvent s'en départir responsables, par leur vision déformée, de ne pas avoir profité de ces voyages en délégation pour dénoncer au monde entier les atrocités du régime khmer rouge. À la même époque, le journaliste français Jean Lacouture avait pourtant déjà admis s'être trompé quant à la nature du régime du Kampuchéa démocratique. Il lui suffisait - à lui du moins mais pas à d'autres - de prêter foi aux flots grossissants de témoignages de survivants, sans qu'il n'ait besoin de se rendre sur place pour vérifier leurs dires. Ces récits attestant la violence du régime de Pol Pot furent malheureusement discrédités à cause de l'engagement de ces intellectuels occidentaux dépeignant un Kampuchéa pastoral, agreste mais somme toute idyllique ! Ce fut là une non-assistance à un peuple en danger.

Les anciens membres de l'AssociationBelgique-Kampuchéa n'ont, au contraire d'homologues étrangers, jamais exprimé le moindre regret sur cet aveuglement idéologique - pour ne pas dire plus. Par un véritable pied-de-nez à la raison et à l'humanisme, son ancien président François Rigaux est depuis estimé comme un expert des droits de l'Homme et couvert de tous les honneurs académiques et nationaux. Etre un brillant intellectuel n'excuse en rien des agissements inadmissibles.

Le retour sur la complicité idéologique avec le régime khmer rouge est un impératif. Le combat en faveur des droits de l'Homme ne peut en effet souffrir d'une quelconque vision tronquée par des lunettes idéologiques. Ceci est d'autant plus vrai à l'heure où le respect effectif de ces droits est virtuel dans plusieurs endroits du monde. L'exemple des associations occidentales d'amitié avec les Khmers rouges et leurs excursions au Kampuchéa « paradisiaque » doit servir de mise en garde à tous les intellectuels « engagés ». Lorsque la soumission des individus à un dogme amène les témoins de violations des droits fondamentaux à ne pas les dénoncer, c'est là une abstention coupable qui ne peut être passée sous silence, même plus de trente ans après les faits. Jamais il n'y a eu d'explications publiques, juste un silence assourdissant de complaisance.

 

Anthony BOCHON

 

Etudiant en dernière année de droit à l'Université libre de Bruxelles et étudiant en baccalauréat supplémentaire en Histoire aux Facultés universitaires Saint-Louis

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18 mars 2010 4 18 /03 /mars /2010 22:35
Pour aschkel.info et lessakele 



grumberg




Ashton à Gaza et le kassam qui a tué
par Jean-Patrick Grumberg 






Quand Israël bombarde les lances missiles qui tirent sur sa population, Catherine Ashton dénonce la violence des israéliens. Quand c'est le Hamas qui bombarde, elle condamne "toutes sortes de violences".

La dialectique est perverse.

Étant à quelques encablures du tir de la rocket Qassam qui a tué ce malheureux travailleur agricole de 30 ans, elle ne pouvait pas rester silencieuse ni fermer les yeux devant ce crime contre l'humanité - viser délibérément des civils. Alors elle a trouvé les mots habiles et vicieux pour éviter de nommer expressément Hamas, et pire encore, elle a trouvé le moyen d'inclure Israël dans sa condamnation.

"Toutes sortes de violences" ? Le tir s'est produit presque sous ses yeux, elle sait bien qu'Israël n'a commis aucune violence.

Il y a des gens qui excusent les terroristes palestiniens, en expliquant que ce sont les actes d'un peuple désespéré. Ces mêmes gens refuseraient de monter a bord d'un avion d'une compagnie qui annoncerait ne plus vouloir faire de contrôle de sécurité.

Ceux qui dénoncent les contrôles draconiens d'Israël à sa frontière avec Gaza trouvent ces mêmes contrôles tout naturel avant de monter dans un avion. 


Jean Patrick Grumberg

logoaschkel.info
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18 mars 2010 4 18 /03 /mars /2010 09:12
La marche des brigades Rouges-Verts

Par Caroline B. Glick - Jewish World Review | Adaptation française de Sentinelle 5770

 

desinfos

jeudi 18 mars 2010



L’alliance Rouges-Verts est en marche. Mercredi dernier, le Parlement Européen contrôlé par la Gauche a adopté à Strasbourg une résolution appuyant le Rapport Goldstone. Ce rapport, rappelons-le, refuse à Israël le droit à l’autodéfense en prétendant que les actions d’Israël pour se défendre contre l’agression palestinienne illégale au cours de l’opération ‘Plomb Durci’, étaient des crimes de guerre.

La résolution a fait plus qu’accepter les déclarations sans fondement du rapport Goldstone. Elle a tenté de réduire au silence ceux qui essaient de faire payer le prix de sa complicité avec le jihad de la fraction Rouge dans l’alliance Rouges Verts. La résolution « exprime sa préoccupation quant aux pressions exercées sur les ONG impliquées dans la préparation du rapport Goldstone et dans le suivi des enquêtes, et appelle les autorités de tous côtés de s’abstenir de toutes mesures de restriction des activités de ces organisations ».

Cette déclaration a été insérée pour défendre les organisations israéliennes soutenues par l’UE – associées de manière écrasante avec le ‘New Israel Fund’ d’extrême Gauche – qui ont tenu un rôle capital dans la fourniture à Richard Goldstone et ses associés de fausses allégations d’actions illégales de Tsahal. Ces organisations – et le ‘New Israel Fund’ – ont été légitimement investiguées en Israël après que leur rôle dans la compilation du Rapport Goldstone ait été révélé en janvier par l’organisation étudiante israélienne ‘Im Tirzu’.

Israël n’est pas la seule cible de l’alliance Rouges-Verts. Ses activités s’étendent à travers le monde. Parfois, comme dans le Rapport Goldstone, la Gauche mène la charge. Parfois, comme dans le cas de l’agression par des missiles du Hamas contre Israël qui a précédé ‘Plomb Durci’, les jihadistes prennent l’initiative. En général, les jihadistes sont motivés par des attaques contre des non musulmans du fait de leur croyance religieuse qui veut que l’islam domine le monde. Et en général, la justification par la Gauche de l’agression jihadiste provient de leur foi néo-marxiste qui veut que l’Etat-nation libéral soit la racine de tout mal. Que la Gauche reconnaisse qu’en cas de succès, sa collusion avec les jihadistes conduira à la destruction de la liberté humaine est sujet à débat. Mais que la Gauche comprenne ou non les conséquences de ses actes, elle a joué un rôle clé en se faisant complice de cet objectif.

Dans la nuit de dimanche dernier au Nigeria, les jihadistes ont mené la charge. Avec la collaboration apparente de l’armée nigériane dominée par les musulmans, des gangs musulmans ont pénétré principalement dans trois villages chrétiens à côté de la ville de Jos et ont tué des civils innocents, dont des enfants, avec des machettes, des haches et des poignards.

Selon des témoins oculaires, certaines victimes ont été scalpées et beaucoup ont été violées. La plupart ont été amputées des mains et des pieds, et nourrissons et enfants ont été massacrés.

Le massacre était prémédité. Selon les porte-parole du gouvernement, des résidents musulmans ont été dénoncés deux jours avant l’attaque. De même, pour être sûrs que leurs victimes étaient des Chrétiens, les jihadistes leur parlaient en Fulani, langue locale parlée par les musulmans. Si les victimes répondaient en Fulani, elles étaient sauves. Sinon elles étaient frappées à mort. On aurait pu s’attendre à ce que le massacre de dimanche fasse la Une des journaux dans le monde. Mais ça n’a pas eu lieu. En fait, ce fut à peine mentionné.

Cette maigre couverture reçue sur ces évènements barbares a été accueillie dans l’obscurité et le vague. Des commentateurs et journalistes ont aussi caché l’identité des agresseurs et des victimes, dépeignant la boucherie des jihadistes sous les traits d’une « violence sectaire ». Ils ont aussi cherché à masquer sa signification en déclarant que les gangs musulmans ont décapité des nourrissons en réponse à des disputes de propriétés tribales.

Jessica Olien du journal ‘the Atlantic’, ne s’est pas contentée de faire ces déclarations, mais a nié les dimensions de l’atrocité en écrivant : « A noter que la police n’a confirmé que 109 morts ».

Après avoir minimisé le nombre de morts, Olien a tourné ses flèches littéraires contre les victimes en déclarant qu’elles avaient vu venir. Comme elle le dit : « Il est difficile de ne pas comparer l’attaque de la fin de semaine avec celle de janvier pendant laquelle 150 personnes de la même communauté musulmane ont été tuées brutalement. L’attaque du 7 mars a suscité une attention internationale bien plus considérable que l’incident précédent ».

Ah, c’est injuste. L’atrocité trop rapportée décrit injustement comme victimes les Chrétiens assassinés. Mais Olien sait mieux. Les musulmans ne faisaient que se venger des attaques endurées. Apparemment Olien tuerait aussi des bébés si elle était à leur place.

Hélas pour Olien et sa justification érudite de la barbarie, il est loin d’être sûr que les victimes de la barbarie de janvier fussent des musulmans. Ecrivant dans le ‘Times’ britannique de jeudi dernier, la baronne Caroline Cox a déclaré que les premières victimes du massacre de janvier étaient des chrétiens, pas des musulmans.

Selon Cox, des témoins oculaires des évènements de janvier « ont indiqué que les tueries ont commence quand de jeunes musulmans ont attaqué des chrétiens un dimanche, en chemin vers l’église. Des musulmans ont aussi été tués quand les agressés ont répliqué à l’attaque ».

Cox a poursuivi en disant que l’attaque de dimanche suivait un modèle désormais familier. Des attaques « sont initiées par des extrémistes bien armés, scandant des slogans militants, attaquant et tuant des chrétiens et d’autres citoyens non musulmans en détruisant des foyers et des lieux de prières ».

Lors des premières étapes des attaques, les militants emportent des cadavres vers des mosquées, où ils sont photographiés et publiés dans les media, pour créer l’impression que ce sont des victimes musulmanes.

Les media internationaux ne sont que trop désireux d’accepter pour argent comptant ces fausses accusations de victimisation musulmane aux mains de leurs vraies victimes. Et de même pour leurs camarades gauchistes dans les cercles dirigeants internationaux.

A la suite du massacre de dimanche dernier, la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton et le Secrétaire Général de l’ONU Ban Ki Moon ont tous deux émis des déclarations ne faisant pas la distinction entre les victimes et les agresseurs. Tous deux ont appelé les « deux parties à agir avec retenue ».

Selon la volonté apparente de la Gauche de masquer la nature des attaques de janvier puis de minimiser le massacre de dimanche, nous avons là un exemple de facilitation gauchiste de la violence islamiste. Au Nigeria bien sûr, les jihadistes sont les principaux acteurs et la Gauche leur simple compagne.

En Israël les rôles sont généralement inversés. Ici, c’est la Gauche qui mène les jihadistes par la main. Prenez la campagne de la Gauche contre les droits de propriété juive à Jérusalem. Dans le quartier Sheikh Jarrah / Shim’on le Saint de Jérusalem, des immeubles détenus par des Juifs ont été saisis par la Jordanie en 1948 après la conquête jordanienne de la cité. Au cours de la décennie écoulée, les propriétaires juifs ont œuvré par voie de justice pour affirmer leurs droits sur leurs immeubles et expulser les squatters arabes qu s’en étaient emparés.

Jugement après jugement ont confirmé leurs droits de propriétés. Et bien sûr, il y a plus d’une décennie, les squatters ont obtenu un arrangement selon lequel ils reconnaissaient les droits de propriété des détenteurs et ceux-ci ont donné leur accord pour laisser ceux-là demeurer aussi longtemps qu’ils payaient leur loyer. Mais quand les squatters ont cessé de payer le loyer, la Gauche les a poussés à refuser l’évacuation les locaux et à tenter de relancer le litige sur l’ancien arrangement. Finalement, le dossier remonta à la Cour Suprême qui reconnut aussi les droits des propriétaires juifs et ordonna à la police d’appliquer leur jugement et d’expulser les squatters illégaux.

La police expulsa les squatters le mois dernier, des résidents juifs s’y installèrent, suivant un contrat avec les propriétaires légaux des immeubles. Depuis qu’ils se sont installés, les Juifs ont été sujets à des attaques permanentes de la part de leurs voisins arabes. Ils ont été frappés et menacés de mort.

Dans le même temps, la Gauche a transformé le dossier des squatters arabes illégaux en une cause fameuse. La semaine dernière, des milliers de gauchistes ont tenu une manifestation antisémite à l’extérieur de l’ensemble d’immeubles, exigeant que les Juifs soient chassés de leurs foyers. L’argument, bien sûr, est qu’autoriser des Juifs à exercer leurs droits de propriété légale en résidant paisiblement dans un quartier à prédominance arabe est une « provocation » inacceptable. Les squatters arabes tentant de voler la propriété, d’autre part, sont des « victimes ».

Plutôt que de décrire les protestataires comme des antisémites entretenant la violence contre des Juifs commettant le seul le crime de vivre légalement là où l’ont choisi, les media locaux et internationaux ont dépeint les manifestants comme « activistes pacifistes », et « activistes des droits de l’homme ». En tournant la réalité à l’envers et se faisant les champions de la cause des jihadistes contre les droits de l’homme de leurs victimes, les manifestants gauchistes sont adulés par leurs camarades dans les media et les chancelleries du monde occidental. Le Département d’Etat a dit qu’il était « inacceptable » que des Juifs s’installent dans leurs foyers.

De même, l’ONU s’est précipitée pour accepter la prétention de la Gauche que les droits de l’homme exigent le déni des « droits de propriétés des Juifs du fait de leur ethnicité. Leur chef du processus de paix, Richard Miron a dit : « Je déplore profondément les actions totalement inacceptables d’Israël suite auxquelles les forces de sécurité israéliennes ont évincé des familles de réfugiés palestiniens… pour permettre à des colons juifs de prendre possession de leurs propriétés ».

C’est par un commentaire déprimant aujourd’hui que les porte-parole des démocraties et supposés champions des droits de l’homme déclarent publiquement qu’assurer aux Juifs une protection équitable selon la loi serait une contrainte inacceptable pour leurs voisins intolérants. Mais la notion que des Juifs disposent d’un droit égal d’acheter et de posséder une propriété dans des zones de Jérusalem d’où ils furent illégalement victimes d’un nettoyage ethnique par les Jordaniens en 1948 est désormais une grande cause pour la Gauche. Et on ne peut que présumer que les jihadistes vont bientôt aller de l’avant – à la satisfaction de leurs camarades gauchistes – contre les Juifs innocents de Jérusalem.

Cela nous amène aux évènements qui ont entouré la visite du vice président Joseph Biden en Israël récemment. Le premier jour de sa visite, suivant une décision de routine, le Comité de planification et de construction de Jérusalem approuva des projets de construction de 1.600 logements dans le quartier de Ramat Schlomo à Jérusalem. Ramat Schlomo est un quartier avec plus de 20.000 résidents situé entre les quartiers encore plus peuplés de Ramot et de Sanhedriya. Selon une perspective israélienne, c’est sans plus de controverse que Yad Eliyahu à Tel Aviv ou Hadar à Haïfa

Mais pas selon la perspective des Rouges. Quelques instants seulement après que la décision a été annoncée, la Gauche l’utilisa comme preuve de la vénalité d’Israël. Pour avoir approuvé la construction de nouvelles maisons dans sa capitale, le gouvernement a été condamné à plusieurs reprises. Les Palestiniens et la Ligue arabe ont pris le train en marche. Et maintenant, du fait de l’attaque de la Gauche anti-Israël, toute personne assassinée à Jérusalem – ou partout ailleurs pour cette raison – sera négligée comme le produit d’une colère musulmane pleinement justifiée.

En observant l’accusation de la Gauche, menée dans ce cas par les media israéliens écumant de rage, Biden changea vivement d’avis. L’homme qui était venu en Israël pour une offensive de charme ne pouvait plus cacher la vérité sur les véritables sympathies du gouvernement Obama. Après avoir déclaré son amour et sa fidélité immortels pour Israël quelques heures seulement auparavant, Biden changea de registre et accusa Israël de « saper » les perspectives de paix.

Mercredi matin en se référant à sa condamnation de la décision d’Israël de construire des foyers dans sa capitale, Biden déclara : « Parfois, seul un ami peut livrer la plus dure des vérités ». Et au moins dans ce cas, il a raison.

Ainsi, dans l’esprit de cette disposition, on doit dire : quand ceux qui prétendent soutenir la paix et les droits de l’homme joignent leurs forces avec l’alliance Rouges-Verts, ce qu’ils soutiennent vraiment c’est l’intolérance, la violence, le meurtre et en définitive, la destruction de la liberté humaine. Que la Gauche reconnaisse la signification de ses actes ou non, il est temps qu’elle soit tenue responsable de l’apologie du jihad alors que les jihadistes sont en faveur de son exécution.


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http://www.jewishworldreview.com/03...

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10 mars 2010 3 10 /03 /mars /2010 17:35
Rappelons que Kadhafi mène un "Jihad" contre la petite Suisse... Pendant ce temps, Ahmadinedjad les insulte, à propos du 11 septembre et de leur présence en Afghanistan...
Mouammar Kadhafi (AFP)


diplomatie 09:54
Excuses américaines au Colonel Kadhafi qui crie victoire
ATS


letemps






Le porte-parole du département d’Etat, Philip Crowley . (AFP)
Le porte-parole du département d’Etat, Philip Crowley . (AFP)

Le porte-parole du département d’Etat avait ironisé sur l’appel au jihad contre la Suisse du numéro un libyen; Tripoli exigeant des excuses, sous peine de représailles, Washington s’est exécuté

Les Etats-Unis ont exprimé mardi leurs «regrets» pour avoir ironisé sur l’appel au jihad du numéro un libyen Mouammar Kadhafi contre la Suisse. Ils ont annoncé qu’un diplomate américain de haut rang allait se rendre à Tripoli pour des consultations.

«Je regrette que mes commentaires soient devenus un obstacle à l’amélioration de nos relations bilatérales», a déclaré le porte-parole du département d’Etat, Philip Crowley, ajoutant que Jeffrey Feltman, secrétaire d’Etat adjoint pour le Proche-Orient, se rendrait à Tripoli.

«Je comprends que mon commentaire personnel a été perçu comme une attaque personnelle contre le président» libyen, a-t-il dit. «Ces commentaires ne sont pas le reflet de la politique américaine et ne visaient pas à être offensants. Je présente mes excuses s’ils ont été pris dans ce sens», a-t-il ajouté.

«J’aurais dû m’en tenir à notre préoccupation concernant le terme de jihad, qui a par la suite été clarifié par le gouvernement libyen», a déclaré M. Crowley à la presse.

Le ministère libyen des affaires étrangères avait convoqué mercredi dernier la chargée d’affaires de l’ambassade américaine à Tripoli pour lui adresser sa protestation. Tripoli exigeait «des explications et des excuses» de Washington et prévoyait des «répercussions négatives sur les relations économiques et politiques entre les deux pays» si aucune mesure n’était prise.

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Le lendemain, la Compagnie nationale libyenne de pétrole avait mis en garde les compagnies pétrolières américaines des «répercussions» que pourrait provoquer ces propos.

Le porte-parole du département d’Etat avait dit en riant le 26 février que l’appel à la guerre sainte contre la Suisse lui rappelait la diatribe insolite et interminable du dirigeant libyen à la tribune de l’ONU en septembre: «Beaucoup de mots, beaucoup de papier volant un peu partout, et pas forcément beaucoup de sens».

Le 23 septembre 2009, le colonel Kadhafi avait profité de la tribune des Nations unies à New York pour prononcer un discours-fleuve de 95 minutes (contre 15 prévues) où redites, improvisations et bizarreries avaient été légion.



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9 mars 2010 2 09 /03 /mars /2010 07:02



Les cent cons de Provence
L. Messika & P. Lefebvre
© Primo, 05-03-2010
 
Les syndicats d’enseignants ne désarment pas. Et ils appliquent à la lettre la règle selon laquelle « moins on est nombreux, plus il faut faire de bruit ».

Ces groupuscules sont d’autant plus libres d’agir qu’ils ne s’embarrassent pas des règles démocratiques : les décisions sont prises à l’unanimité des deux pelés présents et s’il y a un tondu, il a intérêt à être d’accord ou à se taire.

Syndicats d’enseignants (sections locales) comme associations (UJFP) sont entre les mains de quelques activistes pathologiquement haineux qui en assurent la présidence, le secrétariat et la trésorerie.

Le monde associatif connaît cela par cœur depuis des années. Quelques-uns agissent, les autres les suivent, souvent à distance respectueuse, distance dite de « de sécurité », comme celle prônée par la sécurité routière. 

Cela ne les empêchent pas de profiter de miettes de notoriété : en matière d’agitation creuse, il n’y a pas de petits bénéfices !

C’est un vieil adage dans le militantisme, qu’il soit politique, associatif ou syndical. « Si ceux qui me précèdent commettent un écart ou se font flasher la main dans le sac, je dois pouvoir m’arrêter avant d’être éclaboussé ».

Cependant, cette distance n’empêche nullement de pouvoir courir à la remorque du succès quand celui-ci pointe le bout de son nez. C'est une habitude bien française depuis 1945 que d’entrer en résistance dès que le Débarquement allié a réussi.

Dire « J’en suis » fait courir le risque d’être confronté à la réalité. Le vrai bonheur, c’est de dire « j’y étais ». Satisfaction personnelle à ne pas négliger en ces temps de morosité économique, affective et idéologique.

Pressions pré-électorales

Le nec plus ultra est de faire parvenir à un élu une revendication associative à quelques semaines d’élections locales.

Les syndicats d’enseignants du secondaire sont particulièrement actifs en cette période féconde. Les lycées sont en effet de la compétence des Régions, du moins jusqu’à la prochaine réforme des collectivités territoriales.

Fin 2009, un voyage a été organisé par le Conseil Régional de Provence Côte d’Azur (plus connu sous le nom de PACA) dans la ville de Haïfa, en Israël, ville jumelée avec Marseille.

Durant cette visite, des accords de jumelage ont été signés entre les lycées régionaux de PACA et des établissements de Haïfa.

Fureur de quelques syndicats d’enseignants, d’autant plus actifs qu’ils sont minoritaires, et de la fantomatique UJFP (Union Juive Française pour la Paix) qui ne ménage pas les efforts de ses quelques militants pour promouvoir la destruction de l’Etat d’Israël.

L’interpellation de Michel Vauzelles par les comparses ne tarde pas. Les arguments fallacieux sont automatiquement dégainés : dès lors qu’il s’agit d’Israël, il faut faire figurer les termes consacrés par les manuels de propagande, nazis avant-hier, lepénistes hier, uniondesjuifspourlapaix (grâce à la disparition d’Israël) aujourd’hui. 

Parmi ces termes cons-sacrés, « cosmopolitisme » a perdu la cote au profit de « communautaire ». « Bolchevique » a cédé la place à l’incontournable « occupation ». « Clientélisme » résiste bien, « massacre et carnage » se maintiennent et un nouveau venu, « Rapport-Goldstone », est un outsider prometteur. 

Exemple : les antisioMistes de l’UJFP s’indignent avec un professionnalisme irréprochable et reprochent au président de la Région PACA « l’utilisation d’une politique qui joue le clientélisme communautaire sioniste tout en prônant par ailleurs la laïcité et qui accepte que le CRIF l’embarque dans un voyage promotionnel d’Israël ».

Ce n’est pas fini : les allumés du bulbe s’interrogent « sur le choix de la Région de favoriser des accords de coopération avec un pays condamné dans le rapport Goldstone pour crimes de guerre pour un carnage perpétré il y a à peine un an à Gaza ».

Certes, le rapport Goldstone n’a pour l’instant aucune valeur puisque même l’ONU ne parvient pas à se mettre d’accord sur sa validité. Mais qu’importe le réel pourvu qu’ils aient l’ivresse !

Même ce fumeux rapport ne fait pas totalement l’impasse sur le fait que des crimes de guerre auraient été également perpétrés par le Hamas, qui a courageusement planqué ses combattants et ses dépôts de munitions dans les écoles, les lycées, les mosquées et les hôpitaux. 

Mais l’union des juifs pour une paix nauséabonde a, une fois pour toutes, formulé la règle de son jeu : tout ce que fait Israël est criminel, tout ce que font les ennemis d’Israël (quels qu’ils soient) est excusable, voire glorieux.

Donc, de tout cela, pas un mot.

Dans cet esprit (si l’on ose dire !), les sinistres cyniques accusent le conseil Régional de « rester sourd à l’appel au boycott d’Israël de la part d’Israéliens et de la société civile palestinienne, notamment de Gaza, victime d’un blocus qui l’affame et qui empêche toute reconstruction ».

Comme si une collectivité territoriale devait se plier à une initiative privée, condamnée par toutes les lois européennes ! 

Comme si le blocus était uniquement du fait d’Israël.

Que les juifs pour la paix des cendres ignorent la géographie, cela n’a rien d’étonnant : ils font feu de tout bois pour abattre leur ennemi intime. De la part de syndicats d’enseignants, cet aveuglement pose question. 

En effet, ils semblent ignorer que Gaza possède également une frontière avec l’Egypte. Et que celle-ci est sur le point d’achever les travaux de son propre mur de séparation avec Gaza.

Quand on hait, on ne compte pas avec les faits : il n’y a pas de société civile à Gaza ? Inventons-la ! Dans les faits, ce territoire est sous le joug d’une faction islamiste pure et dure que ne renierait pas le taliban le plus borné. 

Les femmes sont battues, voilées, enfermées. Il n’y a aucune liberté de la presse. Les opposants politiques, membres du Fatah notamment, sont précipités du haut des bâtiments, leurs maisons sont détruites à l’explosif, leurs familles déchirées, leurs enfants enlevés et confiés à de « pieuses familles ».

Les chrétiens et les laïcs sont persécutés, les bâtiments de l’ONU réquisitionnés pour la propagande.

Les fonds internationaux et les bénéfices de la contrebande alimentent de riches familles qui bâtissent, avec ce béton qui manque si cruellement pour la reconstruction du ghetto-à-ciel-ouvert, de somptueuses villas sur les collines autour de Gaza.

Quand les régionales approchent, tout est bon.

Victoire provencale ? 

Syndicats enseignants et UJFP ont présenté une motion qu'ils qualifient déjà de 'victoire provencale'. Ils ont choisi pour l'annoncer le site de leur vitrine légale - canal historique, le site de la CAPJPO ou encore Europalestine, un temps fréquenté par l'innéfable Dieudonné, grand ami de Le Pen et d'Ahmadinejad. 

Le résultat du militantisme effréné des anti-israéliens serait, selon eux, globalement positif. Le jumelage scolaire avec les écoles de Haïfa serait annulé. Haifa est pourtant l’une des villes israéliennes qui comptent le plus d’Arabes et celle où l’entente entre toutes les communautés devrait être un exemple pour les banlieues françaises.

Primo a demandé des explications au rectorat de la région. De plus amples renseignements seront peut-être bientôt disponibles. Mais il semblerait qu'à la manière de Tartarin, autre figure du Sud, les 'cent cons' se soient vantés un peu trop vite et que la dite victoire n'existe pour l'instant que dans leurs esprits enfiévrés.

Les premières victimes de ce boycott syndical contre Haïfa seraient les élèves israéliens, donc Juifs et Arabes, qui ne pourront profiter des apports de la laïcité à la française. L’Education Nationale montre là son souci permanent de faire rayonner les lumières...

Ce n’est pas grave sur le plan scolaire.

Le système israélien d’éducation ne fait aucune différence entre les deux communautés. Il se passera facilement du savoir livresque des professeurs français lobotomisés à qui le réflexe haineux fait office de réflexion.

Le taux de réussite et d’excellence dans les écoles et universités israéliennes est infiniment supérieur à celui de la France.

Les écoliers français, qui auraient pu apprendre ce que sont réellement les contraintes et les avantages du « vivre ensemble » dans un pays aux multiples communautés, rateront une occasion de plus de s’instruire.

Ce qui se passera ensuite dans les banlieues de Marseille, de Vitrolles ou de Gardanne profitera au Front National qui s’est trouvé là de bien piètres soutiens.

L’exception française n’est plus ce qu’elle était : les professeurs espagnols, eux, commencent le lavage des cerveaux bien avant le lycée. Ils ont fait écrire par des enfants de 5 ans des lettres au gouvernement israélien, l'accusant de meurtre – pour de l’argent, les arguments nationaux-socialistes sont toujours en usage - et de génocide. 

Au fait, la ville de Marseille est également jumelée avec une grande ville chinoise, Shangaï.

Aucun syndicat enseignant n’a jusqu’ici protesté contre cette initiative de rapprochement avec l’une des plus mortelles dictatures qui soient. Le fait est qu’il n’y a pas beaucoup de juifs en Chine.

En revanche, tout est bon pour taper sur Israël et le morceau de bravoure ci-après en est une illustration savoureuse, qui devrait valoir à ses auteurs la médaille d’or de la connerie et de la mauvaise foi :

« L’UJFP souhaite que la coopération internationale de la Région (...) soutienne la campagne internationale de BDS (Boycott-Désinvestissement-Sanctions) afin de libérer Gaza et la Cisjordanie du joug israélien et d’obliger le gouvernement israélien à suivre les résolutions internationales de l’ONU ».

« Libérer Gaza du joug israélien » ! On se demandait à quoi s’occupaient les paroliers des discours de Staline depuis le décès du petit père des peuples, on sait maintenant où ils ont été recyclés. 

Ils doivent être trop encroûtés dans leurs habitudes pour tenir compte du fait que les Israéliens ont quitté Gaza depuis l’été 2005 : qu’est-ce que cinq ans à l’échelon de l’Humanité ? 

Quant au respect des résolutions de l’ONU par Israël, c’est une rengaine qui a cours dans les officines extrêmes, droite et gauche confondues. (Lire sur Primo-info).

Mentez sur tout, disait l'autre, il en restera toujours quelque chose


L. Messika & P. Lefebvre
© Primo, 05-03-2010
primo-info.
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5 mars 2010 5 05 /03 /mars /2010 07:26
Pacifistes de toutes les époques...
Liliane Messika
© Primo, 01-03-2010

 
Pacifistes de toutes les époques... unis contre les Juifs

L’engagement militant en faveur de la paix ne date pas de Génération Palestine : il y a près de 70 ans, des pacifistes sincères organisaient déjà des réunions publiques pour évoquer leur souhait d’une harmonie reconquise entre tous les hommes de bonne volonté.

L’objectivité est un concept élastique

En exclusivité sur Primo, l’affiche qu’on aurait pu retrouver chez un brocanteur, invitant les Martiens à assister à une table ronde :

France-Allemagne, terres de paix
Table ronde organisée le 4 mars 1942 à la station spatiale Mars über Seine
Sous l’égide du Mouvement de la Paix du Reich

Avec les interventions de :
Heinrich Himmler, Reichsführer SS, le cardinal Baudrillart, recteur de l'Institut catholique de Paris 
(1), le colonel Helmut Knochen, chef de la Gestapo en France, Son Excellence Otto Abetz, ambassadeur du Reich en France, Jacques Doriot, fondateur du PPF, le Parti populaire français (2), une délégation de femmes allemandes, Adolf Eichmann, responsable des affaires juives au sein du département IV de la Sipo-SD et Marcel Déat, directeur du RNP, le Rassemblement national populaire (3) et membre du bureau national du Mouvement de la Paix du Reich.

Aux esprits chagrins qui se plaindraient de ce que les deux pays ne soient pas équitablement représentés, on fera remarquer la présence de trois Français, dont un ecclésiastique, ce qui devrait leur clouer le bec.

Leur paix commence où s’arrête la vie des autres

Certes, la louable initiative du Mouvement de la Paix du Reich n’a pas donné les résultats escomptés par ses adhérents : ils espéraient une Paix Juste et Durable. 

Pour satisfaire cette définition, il convient qu’une seule des deux parties survive au conflit (pas de risque qu’il recommence, donc) et que le survivant soit le gentil, pas le méchant, en l’occurrence l’Allemagne.

Le XXIe siècle peut s’enorgueillir de l’existence d’un digne descendant du Mouvement de la Paix du Reich. Par modestie, le jeunot n’a gardé du sigle que les trois premiers mots et il invite les Parisiens à une table ronde intitulée : Israël-Palestine, terres de paix

 


Sur cette affiche, la Kalachnikoff portée par la colombe a été, par erreur, remplacée par un rameau d’olivier

 

Les héritiers du Führer

Les intervenants de cette table ronde, organisée le 4 mars 2010 à Paris, sont aussi représentatifs des deux parties que l’étaient ceux pressentis pour 1942 : la déléguée de la Palestine en France, une délégation de femmes palestiniennes, le président de la plateforme ONG Palestine et France-Palestine, le président de Génération Palestine, une membre du bureau national du Mouvement de la Paix. 

Pas d’Israélien mais un Juif, identifié comme tel (président de l’Union Juive pour la Paix) et dont l’organisation, par le plus grand des hasards, se révèle violemment anti-israélienne. 

Et l’ecclésiastique ? 

Il est là. C’est un Monseigneur qui s’est toujours illustré dans la défense des Palestiniens et les accusations les plus violentes contre Israël. 

Au point de nier que les chrétiens sont persécutés par le Hamas : s’ils fuient les Territoires palestiniens, d’après lui, c’est à cause de l’occupation israélienne (celle qui s’est achevée à Gaza depuis l’été 2005). 

Il doit considérer ses coreligionnaires comme de vrais cons puisque pour mieux fuir les Israéliens, c’est en Israël qu’ils émigrent quand ils quittent les territoires de l’Autorité palestinienne ! 

L’important c’est la cohérence idéologique. 

L’évêque pousse la sienne jusqu’à défendre le frère d’armes de Le Pen, Dieudonné, pour qui il dit avoir de l’amitié : « Il est courageux, intelligent ». 

« Ils ont des yeux et ils ne voient pas ». Dommage que Monseigneur n’ait aucun lien avec le jeune rabbin qui prononçait ces paroles il y a deux millénaires !

 

1) Il avait accordé une interview au journal collaborationniste "le Cri du peuple", dans laquelle il parlait avec enthousiasme des jeunes Français partis combattre aux côtés des Allemands sur le front de l'Est.

2) Ce parti pro-allemand comptait 100 000 adhérents à la veille de la guerre et s’exprimait dans un journal : L'Émancipation nationale.

3) Créé en février 1941, ce parti rassemblait des collaborateurs de diverses tendances.



Liliane Messika
© Primo, 01-03-2010
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3 mars 2010 3 03 /03 /mars /2010 08:02


Un mot du Quebec, sur l'excellent blog de Jacques Brassard







LES ZARTISTES EN FURIE CONTRE ISRAËL
Ah! Ces chers zartistes-québécois-de-gauche, comme ils sont prévisibles! Comme leur indignation est univoque! Invariable! Éminemment sélective! Si Israël venait à disparaitre (comme le souhaite si ardemment le Nabot Sympathique de Téhéran), comment nos zartistes-de-gauche, si sensibles à la misère humaine, pourraient-ils se scandaliser et mettre leurs pauvres cœurs à nu? Mais, heureusement, pour nourrir leur compassion, il y a les Palestiniens opprimés, massacrés, affamés, enfermés…et, pour stimuler leur indignation, il y a les Juifs oppresseurs, massacreurs, affameurs et geôliers! Oui mais, me diront certains, que fait-on des Tibétains, des Soudanais, des tamouls, des Congolais, des Coréens du Nord, des Birmans, des Zimbabwéens, des Coptes, des Chrétiens d’Irak et du Pakistan, tous persécutés, brimés, assassinés? Menus fretins! Nos zartistes ne doivent quand même se laisser distraire par ces cohortes de geignards!



Leur tâche, leur mission, c’est de défendre les Palestiniens, victimes par excellence de toute la galaxie, et surtout ceux de Gaza. Ils sont donc 500 à avoir signé une lettre ouverte pour exprimer leur solidarité envers les Palestiniens maltraités par les « Juifs-sans-cœur-et-sans-âme», appeler au boycottage des produits israéliens et réclamer des sanctions contre l’État hébreu. 



J’ai parcouru la liste des 500. Ce sont presque tous des zartistes inconnus. Sauf quelques-uns. Tel Richard Desjardins, par exemple. Ce qui n’est guère surprenant, le Gourou de l’Abitibi étant un gauchiste, écolo-pacifiste, alter-mondialiste, anti-américain, pro-palestinien et antisioniste bien connu. Mais ce qui m’a attristé, c’est de voir le nom de Gilles Vigneault parmi les pétitionnaires. Désolant! 



Comment Gilles Vigneault peut-il ignorer que les habitants de Gaza ne sont d’aucune façon soumis «à une pénurie chronique d’électricité, de carburant, de nourriture et d’autres produits de base»? Même pendant l’opération militaire Plomb Durci contre les terroristes du Hamas, l’approvisionnement de la bande de Gaza n’a jamais vraiment été interrompu. 



Comment Gilles Vigneault peut-il affirmer qu’Israël a transformé Gaza en une gigantesque prison? A-t-il oublié que l’armée israélienne a quitté Gaza depuis 2005? Et que si les Palestiniens de la bande de Gaza sont en prison, c’est celle-là même mise en place par les extrémistes fanatiques du Hamas qui leur imposent une tyrannie sanguinaire toute imprégnée d’un antisémitisme tellement haineux qu’on s’étonne que des zartistes si épris de liberté, tels les 500 pétitionnaires, ne s’en soient pas aperçus? 



Gilles Vigneault est-il conscient qu’il profère un horrible mensonge et qu’il fait preuve d’une effrayante malhonnêteté intellectuelle quand il proclame qu’Israël a instauré «un système institutionnalisé de racisme et de ségrégation qui ressemble à l’apartheid sud-africain»? C’est là une accusation tellement ignoble et tellement crapuleuse que seule la diabolisation d’Israël peut expliquer sa présence contagieuse dans les milieux culturels, médiatiques, politiques et intellectuels en Occident. «Israël, écrit Pierre-André Taguieff, incarne l’Occident pour les anti-occidentaux, l’impérialisme pour les anti-impérialistes, les infidèles pour les islamistes, le racisme pour les pro-Palestiniens etc. Il cumule les stéréotypes négatifs. Il est perçu comme l’État en trop, qui devrait disparaître pour que les hommes soient délivrés du mal.» 



Comment, pourtant, Israël peut-il imposer l’apartheid dans la bande de Gaza? Il n’y exerce aucune autorité! Sur son territoire, cependant, il n’y a aucune politique à connotation raciste, aucun système discriminatoire. L’État d’Israël est un État démocratique où les arabo-musulmans sont des citoyens à part entière, jouissant de tous les droits fondamentaux et de toutes les libertés et qui sont représentés à la Knesset, le parlement israélien. 



Mais, hurlent les antisionistes, il y a le Mur! La clôture de sécurité! Quelle horreur! Quelle ignominie! Même le Pape s’en est affligé. Avant de s’étrangler d’indignation, il faudrait peut-être se poser cette question toute simple : pourquoi cette clôture? Benoit XVI, lors de son voyage au Proche-Orient, a cru bon de ne pas évoquer cette question, pourtant essentielle. La réponse est tout aussi simple que la question. Avant le «mur d’apartheid israélien», comme le désignent les belles âmes pétitionnaires, les terroristes franchissaient facilement la frontière, bardés d’explosifs, et allaient se faire sauter sur les terrasses des cafés, dans les bus, dans les cafétérias d’universités, sur les places publiques, au beau milieu des marchés achalandés. Après la construction de la clôture (car c’est davantage une clôture qu’un mur), l’objectif poursuivi a été largement atteint : le niveau de sécurité, pour les civils israéliens, s’est considérablement accru. Il est vrai que les terroristes ont alors privilégié les roquettes lancées à l’aveuglette sur les villes israéliennes. Ce qui a obligé l’État hébreu à recourir à d’autres moyens de protection : sirènes et abris. 

Par ailleurs, comment se fait-il que la clôture de sécurité d’Israël soit devenue le «Mur de la honte » par excellence? Parce que c’est loin d’être le seul. Il en existe bien d’autres, des murs de séparation : entre les États-Unis et le Mexique; entre le Maroc et le Sahara; entre l’Inde et le Pakistan; entre le Botswana et le Zimbabwe; entre l’Arabie saoudite et le Yémen; à Chypre; en Irlande; entre la Thaïlande et la Malaisie. Alors, pourquoi l’indignation de la go-gauche occidentale est-elle exclusivement concentrée sur le «monstrueux mur israélien»? Parce que ce sont des Juifs qui l’ont érigé pour se protéger du terrorisme islamiste. Et parce que la go-gauche occidentale est antisioniste et antisémite. 



Cher Gilles Vigneault, si Gaza est un enfer aujourd’hui, sachez que c’est le fruit pourri de la culture de la haine et de la violence dans laquelle marine la population palestinienne depuis des lunes. La jeunesse palestinienne est endoctrinée, fanatisée, elle carbure à l’exécration du Juif et elle voue un culte pathologique à la terreur islamiste. Et sachez que c’est le Hamas et les autres hordes islamistes qui sont l’unique responsable de l’enfermement des Palestiniens dans la bande de Gaza. 



En signant cette pétition, vous vous comportez en idiot utile (pour reprendre l’expression de Lénine), «idiot», parce que vous ne prenez pas la mesure exacte de la nature fondamentalement totalitaire, obscurantiste, terroriste, barbare, liberticide du nazislamisme du Hamas; «utile», parce que vous devenez un rouage de la machine de propagande et de désinformation des islamo-fascistes du Califat de Gaza. Déplorable et pathétique de la part d’un grand poète comme vous. 







 
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15 février 2010 1 15 /02 /février /2010 16:58

DIMANCHE 14 FÉVRIER 2010 - Philosemitisme Blog.

La collaboration d'Amnesty International avec des jihadistes ternit sa réputation


Le dossier des ONG


> Ces ONG aux pratiques scandaleuses, qui n'ont qu'un but délégitimer l'Etat d'Israël 
 
On connaît l'obsession d'Amnesty International (et également d'Oxfam, de Human Rights Watch, de Christian Aid etc) contre Israël. NGO Monitor et de nombreux sites anglophones dénoncent régulièrement, preuves à l'appui, cet incroyable acharnement contre Israël. Et ça ne date pas d'hier : Amnesty International a abandonné les Juifs à la conférence de Durban.

Or Amnesty est également épinglée pour ses associations avec des jihadistes. Un des hauts cadres d'Amnesty, Gita Sahgal, s'est elevée contre les liens que l'ONG de défense des droits de l'homme entretien avec un ancien prisonnier de GuantanamoMoazzam Begg et Cageprisoners, l'association "jihadiste" qu'il dirige. Or Moazzam Begg serait le "supporter de plus célèbre des Talibans en Grande-Bretagne". 

L'affaire prend de telles proportions que le 
Sunday Times lui a consacré un éditorial : "Amnesty International is ‘damaged’ by Taliban link" (La réputation d'Amnesty International est 'endommagée' en raison de ses liens avec les Talibans"). La réaction d'Amnesty à cette tribune ne se fit pas attendre - quelques heures après la publication de l'éditorial, Mme Sahgal fut purement et simplement suspendue de ses fonctions. Elle n'est pourtant pas la seule à avoir tiré la sonnette d'alarme -Sam Zarifi, directeur de la zone Asie Pacifique l'a également fait.

On attend que les médias francophones (français, belges et suisses) nous parlent de cette affaire. Pour le moment on n'a rien vu rien entendu. 

"A senior official at Amnesty International has accused the charity of putting the human rights of Al-Qaeda terror suspects above those of their victims.  Gita Sahgal, head of the gender unit at Amnesty’s international secretariat, believes that collaborating with Moazzam Begg, a former British inmate at Guantanamo Bay, "fundamentally damages" the organisation’s reputation. 

In an email sent to Amnesty’s top bosses, she suggests the charity has mistakenly allied itself with Begg and his “jihadi” group, Cageprisoners, out of fear of being branded racist and Islamophobic.

Sahgal describes Begg as "Britain’s most famous supporter of the Taliban". He has championed the rights of jailed Al-Qaeda members and hate preachers, including Anwar al-Awlaki, the alleged spiritual mentor of the Christmas Day Detroit plane bomber. [...]

Begg, 42, from Birmingham, was held at Guantanamo for three years until 2005 under suspicion of links to Al-Qaeda, which he denies. Prior to his arrest, Begg lived with his family in Kabul and praised the Taliban in his memoirs as "better than anything Afghanistan has had in 20 years". After his release Begg became the figurehead for Cageprisoners, which describes itself as "a human rights organisation that exists solely to raise awareness of the plight of prisoners ... held as part of the War On Terror".

Among the Muslim inmates it highlights are 
Khalid Sheikh Mohammed, alleged mastermind of the 9/11 attacks, Abu Hamza, the hook-handed cleric facing extradition from Britain to America on terror charges, and Abu Qatada, a preacher described as Osama Bin Laden’s "European ambassador"."

Lire également l'article du Professeur 
Tom Gallagher de l'Université de Bradford Amnesty’s Flight from Universalism et A Letter from Denis MacShane MP to Kate Allen of Amnesty.

Israël aide Haïti - Amnesty International accuse Israël : un timing parfait
Amnesty International et Omar Barghouti - soif de diffamation d'Israël 
Nouvelles accusations contre Israël de l'ONG européenne Amnesty International (rapport sur l'eau) 
NGO Monitor: l'ONG européenne Amnesty International est systématiquement contre Israël 
Amnesty International a abandonné les Juifs à la Conférence de Durban
L'ONG européenne Amnesty Internationale attaque Israël ... à nouveau
Retrait d'Amnesty International du concert de Leonard Cohen en Israël
Amnesty’s obsession with Israel
European NGO Amnesty International: relentless and disproportionate focus on Israeli "violations"
Amnesty International: Abolishing Israel's Right to Self Defense
Amnesty International invite les détracteurs d'Israël Kathleen et Bill Christison 


LUNDI 15 FÉVRIER 2010

Gita Sahgal ou la conscience étouffée par Amnesty International
Au risque de nous répéter nous rappelons, hélas une fois de plus, l'acharnement d'Amnesty International contre Israël (voir les liens ci-dessous).  Ses accusations sont relayés telles quelles et sans la moindre critique ou mise en perspective par les médias et les associations anti-israéliennes.  C'est la raison pour laquelle cette affaire qui bouleverse la Grande-Bretagne nous intéresse tout particulièrement.  Elle permet de comprendre le fonctionnement et les méthodes de la puissante ONG - tellement puissante que les avocats invoquent un conflit d'intérêts lorsqu'ils sont sollicités par une collaboratrice mise à pied pour avoir dénoncé publiquement, après l'avoir fait en interne, les liens d'Amnesty avec un islamiste radical. Maintenant, celle-ci craint pour sa sécurité.  On aurait aimé voir un plus grand soutien à Gita Sahgal de la part des cadres d'Amnesty, mais entre l'idéal et les intérêts bien concrets il y a un abîme. 

Source: The Sunday Times (The conscience stifled by Amnesty)
Traduction d'un extrait de l'article de Margarette Driscoll 

"Dire que la semaine passée a été difficile pour Gita Sahgal serait un euphémisme. Elle craint pour sa propre sécurité et celle de sa famille. Elle a - temporairement du moins - perdu son emploi et a constaté qu'il est presque impossible de trouver quelqu'un pour la défendre dans une conflit potentiel de droit du travail. Elle a pourtant téléphoné aux avocats de défense des droits de l'homme qu'elle connaît, qui ont tous refusé de l'aider invoquant un conflit d'intérêts. "Alors qu'on prétend que nous devons défendre tout le monde, peu importe les fait commis, il paraît que si vous êtes laïque, athée, une femme britannique d'origine asiatique, pour nos cabinets de droits de civil vous ne méritez pas d'être défendue", dit-elle avec ironie.

Il ne se trouve donc personne dans le monde de la défense des droits de l'homme qui veut croiser le fer avec Amnesty - ce n'est pas une surprise pour personne et encore moins pour Gita Sahgal. "Je connais la nature de ce que j'affronte", affirme-t-elle. "Je n'ai pas fait ce que j'ai fait à la légère."

Elle est fougueuse et impénitente et ne manque pas de soutiens : nous la rencontrons, par exemple, dans un bureau prêté par un ami de la famille de 
Peter Benenson, l'avocat qui a fondé Amnesty en 1961. Elle a eu de nombreux messages privés d'anciens collègues. "Les gens sont choqués", dit-elle. "Il ya beaucoup d'inquiétude dans l'organisation et c'est très encourageant.""
 
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14 février 2010 7 14 /02 /février /2010 08:28

Stratégie du déni (du nucléaire iranien) d’Obama, reprise par Kouchner


Dessin politique Iran ayatollah israël



PAR ARIé
En psychananalyse, le déni est le refus d’admettre une réalité qui est perçue comme traumatisante. On le constate le plus fréquemment dans les cas de psychose. Freud définit le psychotique comme »coupé en deux », une partie du Moi dénie la réalité, qui saute aux yeux pour toute personne censée, et l’autre moitié l’accepte

Le passage des troubles mentaux à la politique est quasiment automatique. La dernière trouvaille d’Obama est de dénier à l’Iran la capacité de passer de 20% enrichissement uranium à 90, voir 100%. Mais non, ils bluffent, c’est du bidon, ces arrièrés de Perses sont tout juste bons à enrichir leur uranium de 20 %, à des fins médicales, leurs déclarations tonitruantes sont destinées à des fins politiques mais non scientifiques,

Aussitôt dit par l’Administratiopn de la Maison Blanche, aussitôt répété par Bernard Kouchner : « Non l’Iran n’est pas cap. d’enrichir son uranium à un niveau militaire »

Pas mal comme stratégie, car le refus de la réalité n’entraine pas la nécessité de s’y confronter.

A poker aussi, on peut estimer que l’adversaire bluffe. Non, il n’a pas de bonnes cartes, alors je mets tapis ou alors je paye pour voir. On y peut y perdre sa culotte. Mais ça ne prête à conséquences que pour soi.

L’avantage de cette stratégie du déni c’est qu’elle permet de ne rien faire. Sachant que je conteste à l’Iran les capacités de produire des bombes nucléaires, je n’ai pas trop à m’en préoccuper, ni à imposer des sanctions à des vantards, dont le seul péché est précisément la vantardise

Le problème, c’est qu’en politique, prendre le risque de sous estimer l’adversaire peut être lourd de conséquences, pour le plus grand nombre. Et s’il avait une bonne main, et s’il ne bluffait pas ? Alors, aux larmes citoyens !

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