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5 avril 2011 2 05 /04 /avril /2011 06:58

 

 

Hezbollah - "nous sommes capables dans les cinq minutes de mettre en péril la région" selon le Chef exécutif de la milice terroriste

 

 

Hezbollah : "la gorge d’Israël est serrée entre les mains du’Hezbollah" 

Par Faramarz DADRAS

Intervenant pour le site  © 2011 aschkel.info 

 Sur le site du Ministère israélien des affaires étrangères en langue persane

http://www.hamdami.com/MFAFA

F.DADRAS

 


 

Chercheur et expert du renseignement

 

Ancien officier du service renseignement de la garde impériale de l’armée d’Iran, chercheur et expert du renseignement, fondateur et le directeur du site Internet de www.farhangiran.com en langue persane, auteur et traducteur des nombreux articles et études sur la question Iranienne et consultant auprès des medias.


 
5 avril 2011
"Nous avons pris Israël par la gorge et nous la serrons  autant que nous le voulons". Ce sont les propos du Seyed Hachem Safieldin, le chef du conseil d’exécutif de Hezbollah Libanais, dans un discours officiel au Liban, devant le séminaire d’enseignants religieux venus de la ville Qom, la ville sainte  des Chiites en Iran.
Nous avons été négligents et critiquables envers l’histoire de Chiisme. Depuis des années les sciences de la famille du prophète et les trésors de philosophie des clergés nous ont été cachés par l'oppression des dirigeants. Imam Khomeiny nous a apporté ces trésors. Nous sommes capables dans cinq minutes, si nous le décidions, de mettre en péril la région. Ajoute,  Seyed Hachem Safieldin.
Hachem Safieldin continu son discours, par une scène de propagande Nazie. À l’avenir, si a lieu une nouvelle guerre, l’Islam sera vainqueur, nous n’avons pas peur de l’ennemi, mais nous avons la peur de nos négligences, car nous somme préoccupés par la déroute de nos jeunes du bon chemin.
Hachem Safieldin ajoute : Aujourd’hui la voix du Chiisme et ses idéologies est entendue et compte dans le monde grâce aux clergés, l’ennemi est déçu de la guerre armée contre nous et tente de résister par les moyens d’une guerre souple.
Safieldin,  affirme que de nombreux Palestiniens se sont convertis  au Chiisme et que devant les questions qu'ils se posent ils ont trouvé dans le Coran un verset indiquant  que « le Hezbollah est vainqueur » A noter que dans le verset 56 Sourate " d’Al Maeda " le Coran parle de « Celui qui  se soumettra aux commandements de D' et son prophète et de ses croyants, le parti de D' est(sera) vainqueur » 'Hezbollah veut dire parti de D'
Ironie du sort, depuis la révolution Islamique en Iran et jusqu’à présent de nombreux Iraniens se sont convertis et se convertissent au Zoroastrisme, Christianisme et autres croyances ou simplement  sont devenus  athées.    
Hachem Seifeldin, parle de Seyed Hassan Nasrallah, le chef de Hezbollah Libanais, comme le symbole  des séminaires de Qom et Nadjaf, respectivement en Iran et l’Irak. Selon Seifeldin, Nassarallah, c'est celui qui a le dernier mot  dans le monde Arabe. Il ajoute, nos forces ne se limitent pas dans nos équipements et nos missiles, nous inspirons la force de D', nous menaçons l’ennemi sans avoir peur.
Hachem Seifeldin, ne manque pas de culot et dit : l’état d'esprit de l’homme est préoccupé par de nombreuses questions, et seuls les savants du Chiisme sont capables de les résoudre. 
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5 avril 2011 2 05 /04 /avril /2011 05:12


 

L'Iran met en garde contre l'annexion du Bahreïn par L'Arabie Saoudite

 

DEBKAfile Reportage exclusif April 4, 2011, 2:14 PM (GMT+02:00)

 

Adapté par Marc Brzustowski

 

Pour © 2011 lessakele  

 

http://www.debka.com/article/20817/

 

Les tanks saoudiens au Bahreïn

 

L’accord trouvé entre le roi d’Arabie Saoudite Abdallah et le monarque bahreïni, Hamad ben Issa Al-Khalifa, au sujet de l’annexion virtuelle de l’île pétrolière par Riyad, a tellement mis Téhéran en colère que des affrontements armés irano-saoudiens, pouvant éventuellement déboucher sur une guerre de grande ampleur, pourraient devenir inévitables, estiment les sources du Golfe et iraniennes de Debkafile. L’Irak, dirigé par les Chi’ites, pourrait soutenir Téhéran, dans l'explosion du premier baril de poudre chi’ite-sunnite allumé par la vague d’agitation qui secoue le monde arabe – par contraste avec la discorde intérieure qui fait rage en Libye et au Yémen.

 

Au cours de la 3ème semaine de mars, Debkafile a révélé que le roi Hamad a donné son accord à la prise de contrôle, par Riyad, de la défense du Bahreïn, et de ses affaires extérieures, financières et intérieures. Les deux monarques ont confirmé le fils du Roi saoudien, le Prince Mutaïb, comme Commandant des forces saoudiennes et du Conseil de Coopération du Golfe, invitées à entrer dans le petit royaume pour mâter le soulèvement conduit par les Chi’ites, et ils se sont mis d’accord sur le fait que l’Arabie Saoudite commencerait bientôt à construire une grande base navale sur l’île qui fait face aux côtes iraniennes.

 

L’accord entre les monarques saoudien et bahreïni, est apparu pour la première fois, dans le n° 487 de Debka-Net-Hebdomadaire du 25 mars. Il révélait alors que le roi Hamad avait permis que son royaume devienne, de facto, la 14ème province d’Arabie Saoudite, dans le but d’endiguer le soulèvement chi’ite contre lui et son impact, frappant à la prochaine porte des deux millions de Chi’ites résidant en Arabie Saoudite.


Ni Riyad ni Manama n’ont rendu ce pacte public. La province bahreïnie d’Arabie Saoudite différera des 13 autres provinces en cela qu’elle ne sera pas gouvernée par un prince saoudien comme les autres, mais par un membre de la famille royale Al-Khalifa, qui jouira de privilèges égaux  à ceux de ses pairs saoudiens.

 

Nos sources rapportent que, lors de rencontres à huis-clos avec des princes saoudiens de premier rang, le Roi Abdallah a expliqué l’importance fondamentale de cette étape pour la sécurité nationale du royaume. Il a fait mention du fait que l’Iran et son supplétif, le Hezbollah, manipulaient activement l’opposition chi’ite à Manama, comme représentant la première phase visant à fomenter un soulèvement chi’ite contre le trône saoudien.

 

Le 21 mars, Riyad a résolu d’étendre les termes de référence de l’intervention militaire des Saoudiens et de l’armée du Golfe, requise à la demande du roi Hamad. Au lieu de seulement veiller à sauvegarder le Palais royal et les installations stratégiques contre le déchaînement des manifestants, rapportent nos sources, il a été décidé d’étendre la mission à la défense des frontières du Bahreïn contre toute attaque extérieure – c’est-à-dire, venant d’Iran ou d’Irak.


A cette fin, les renforts de troupe saoudiens n’ont cessé d’affluer au Bahreïn, depuis la dernière semaine de mars, comprenant des unités blindées et une grande diversité de missiles. Les sources militaires de Debkafile estiment que quelques 11 000 paires de bottes saoudiennes et des Emirats Arabes Unis ont frappé le sol du Bahreïn depuis lors.

 

Quatre jours plus tard, le 25 mars, Manama a annoncé que des avions au décollage d’Irak ou du Liban ne seraient plus autorisés à atterrir dans le Royaume, de façon à couper la voie principale utilisée par l’Iran et le Hezbollah pour déployer des agents de renseignement et des instructeurs militaires pour aider et former l’opposition chi’ite.

 

La seconde étape militaire importante mise en place, à présent, est le transfert des unités de la flotte saoudienne depuis le Golfe d’Oman et la Mer Morte vers la zone militaire du port de Bahreïn, où la Vè flotte militaire américaine tient ses quartiers-généraux et fait amarrer ses navires. C’est une installation provisoire, servant aux Saoudiens, jusqu’à ce qu’ils terminent la construction d’un port à Manama pour y parquer leur principal centre de commandement naval du Golfe arabo-persique, afin de répliquer aux installations en expansion sur le rivage opposé, appartenant aux unités d’assaut des commandos marine et de la flotte des Gardiens de la révolution iranienne.

 

Le 31 mars, la commission des affaires étrangères et de la sécurité du parlement iranien a fermement condamné les nouvelles mesures militaires saoudiennes : “L’Arabie Saoudite sait mieux que n’importe quel autre pays que jouer avec le feu dans la région sensible du Golfe Persique n’est pas dans son intérêt », disait la déclaration.

 

Depuis lors, les media iraniens n’ont pas cessé de dénoncer les actions saoudiennes au Bahreïn, les comparant à la conquête du Koweit par Saddam Hussein en 1990, qui a déclenché la première Guerre du Golfe contre l’Irak. Riyad a même été accusé d’accepter le soutien clandestin des Etats-Unis et d’Israël.

 

Puis, samedi 2 avril, le Premier Ministre d’Irak, Nouri al-Maliki a mis son grain de sel en injuriant la politique américaine au Moyen-Orient comme discriminant entre les mouvements populaires en ballotage contre les différents régimes arabes dictatoriaux. « Quelle que soit la décision prise concernant la Libye, elle devrait être appliquée à tout gouvernement qui réprime son peuple  d’une main de fer et tire dessus », a-t-il déclaré.

 

Dimanche 3 avril, les récriminations et les menaces venant de Téhéran et Bagdad ont poussé le Conseil de Coopération du Golfe à tenir une rencontre exceptionnelle des Ministres des affaires étrangères. Il a voté une résolution qui « condamne sévèrement l’ingérence iranienne dans les affaires internes du Bahreïn, en violation de tous les accords internationaux ».

 

On n’avait jamais entendu un langage aussi tranchant de la part des dirigeants du CCG. On peut l’attribuer, selon nos sources du Golfe, à la résolution inflexible du roi saoudien Abdallah de défier Téhéran de plein fouet sur tout problème affectant la sécurité de la région du Golfe, au point de faire intervenir l’armée saoudien si nécessaire – même au risque de précipiter une confrontation armée entre l’Arabie Saoudite et l’Iran.

 

La République islamique s’est sentie confrontée à son premier défi franc et direct, dénué d’absurdité dans ses répliques : s’il plie devant l’activisme militaire saoudien, les communautés chi’ites à travers la région devront en conclure que l’Iran est, à la fois, incapable et, pas plus, n’a la volonté suffisante pour se tenir aux côtés d’une révolte arabe-chi’ite contre les régimes sunnites – que ce soit au Bahreïn, dans d’autres émirats du Golfe ou au Yémen et même au Liban.

 

Le Premier Ministre irakien al Maliki est confronté au même dilemme, scruté par les chi’ites d’Irak, qui considèrent leurs coreligionnaires bahreïnis comme étant partie intégrante de leurs tribus et de leurs clans.

 

Il est considéré comme acquis par l’Arabie Saoudite, les capitales du Golfe et les observateurs occidentaux des armées et du renseignement, que Téhéran a été repoussé dans ses cordes, à partir desquelles il ne peut pas se permettre de battre en retraite face à son engagement prédominant de parrainer les chi’ites bahreïnis. On s’attend, par conséquent, à ce que les Iraniens lancent, très prochainement, leurs réseaux chi’ites du Bahreïn dans des actions terroristes contre des cibles militaires saoudiennes. Riyad se prépare déjà activement à ces attaques – et pas seulement au Bahreïn, mais dans d’autres états du CCG, incluant l’Arabie Saoudite elle-même. Elles ne se dérouleront pas sans représailles ; d’où les prédictions extrêmes parmi les observateurs chevronnés, que des hostilités armées entre l’Iran chi’ite et l’Arabie Saoudite sunnite peuvent, à un certain point, être devenues inévitables. 

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4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 09:59

 

Dossier Menace iranienne

 

Iran - L'iran détourne l'attention du monde en mettant le chaos partout et poursuit son objectif nucléaire

 

 

 

Par Yéochoua Sultan

 

Le général américain Jim Jones a déclaré: «L’Iran parvient à agir sous la surveillance des radars. On n’entend pas beaucoup parler du nucléaire iranien. Nous devrions pourtant nous en inquiéter. Un Iran nucléaire ouvrira la course à l’armement nucléaire dans l’ensemble du Moyen-Orient et il n’hésitera pas à fournir ses émissaires en armes nucléaires.» C’est ce qu’a déclaré l’ex-conseiller du président américain, dans un entretien accordé à la chaîne CNN. Il trouve étonnant que les yeux du monde libre ne semblent s’intéresser qu’aux mouvements de protestation et aux renversements des régimes en place dans les différentes dictatures du monde arabe.

Il a été pendant deux ans le conseiller du président américain Barack Obama, et il a déclaré que les missiles iraniens projetaient une ombre immense sur toute la région, du Yémen à l’Egypte, et de la Tunisie à la Libye. «Nous n’avons pas le droit de détourner notre attention, et je suis persuadé que l’Administration ne la détourne pas. Pendant que tout le monde s’occupe d’autres affaires, vous pouvez être sûrs que l’Iran est en train de tenter de jouer un rôle dans chacun des Etats dans lesquels il y a des difficultés.»

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2 avril 2011 6 02 /04 /avril /2011 18:34

 

Dossier Menace iranienne

 

 

Koweït : huit réseaux iraniens d’espionnage et de sabotages démantelés.

 

Par Faramarz DADRAS

 

Intervenant pour le site  © 2011  aschkel.info 

Sur le site du Ministère israélien des affaires étrangères en langue persane

http://www.hamdami.com/MFAFA
F.DADRAS

 


 

Chercheur et expert du renseignement

 

Ancien officier du service renseignement de la garde impériale de l’armée d’Iran, chercheur et expert du renseignement, fondateur et le directeur du site Internet de www.farhangiran.com en langue persane, auteur et traducteur des nombreux articles et études sur la question Iranienne et consultant auprès des medias.


 

 

Précédent article : Koweït/Iran : Les Yeux et les oreilles des Ayatollahs. 5 hommes condamnés pour espionnage à la solde de l’Iran.

 

Selon les informations du journal Koweïtien AlQabas, le réseau d'espionnage du régime islamique récemment jugé devant la justice Koweïtienne, est en vérité un des huit réseaux démantelés par les Koweïtiens depuis l’an dernier.

 

La même source affirme que, les membres de deux réseaux parmi les huit, ont reçus des entraînements militaires et formation de terrorisme dont la manipulation des explosifs. Certains membres de ces réseaux ont reçus leurs formations en Iran et dans les pays voisins dans la région.

 

Un certain Ali Zahrani, attaché touristique de l’ambassade de la République Islamique au Koweït a dirigé ces réseaux. Zahrani est un officier du renseignement des Gardiens de la révolution et est responsable de la section du renseignement du Golfe Persique, et était basé à Koweït.

 

Ali Zahrani et trois membres de l’ambassade d’Iran ont quittés le Koweït en décembre 2009, après le démantèlement de ces réseaux d’espionnage.

 

Zahrani a réussit à recruter pour ses réseaux d’espionnage un officier Koweïtien de haut rang, et de nombreux libanais, syriens et " Badoins "(la population sans identité, considérés comme "résidents illégaux" depuis l’indépendance du Koweït qui travaille toujours dans l’armée et la police Koweïtienne en attendant d’acquérir la nationalité du pays) .

 

L’Iran a investi des sommes colossales pour le fonctionnement de ses réseaux d’espionnage et de sabotages dans les pays du Golfe Persique.

Les autorités Koweïtiennes sont préoccupées par les éventuelles failles dans leurs système informatique et fuites d’informations sensibles de l’armée et de leur service sécurité.

 

L’Iran a toujours envoyé ses agents de renseignement sous une couverture de diplomates. Selon les experts du renseignement, plus de 80 % des cadres des représentations diplomatiques de la République Islamique sont du personnel des Pasdaran, autrement dit des Gardiens de la Révolution, du ministère iranien du renseignement et de la sécurité.

  

Le Cheikh Mohammad Al Sabah, le ministre Koweïtien des affaires étrangères a rappelé  son ambassadeur à Téhéran et est prêt à expulser quelques autres diplomates Iraniens.     

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 08:43

 

 

 

 

Koweït/Iran : Les Yeux et les oreilles des Ayatollahs. 5 hommes condamnés pour espionnage à la solde de l’Iran.

Par Faramarz DADRAS

 

Intervenant pour le site  © 2011 aschkel.info 

 Sur le site du Ministère israélien des affaires étrangères en langue persane

http://www.hamdami.com/MFAFA

29 mars 2011

 

F.DADRAS

 


 

Chercheur et expert du renseignement

 

Ancien officier du service renseignement de la garde impériale de l’armée d’Iran, chercheur et expert du renseignement, fondateur et le directeur du site Internet de www.farhangiran.com en langue persane, auteur et traducteur des nombreux articles et études sur la question Iranienne et consultant auprès des medias.


 


Selon l’information d’Alarabiya , un tribunal Koweïtien a prononcé aujourd’hui des peines capitales et à perpétuité à l’encontre de cinq hommes pour espionnage à la solde des Gardiens de la Révolution de la République Islamique.

 

Deux Iraniens et un  Koweïtien, sont condamnés à mort et deux autres ressortissants Syrien et Dominicain sont condamnés à perpétuité. La justice Koweïtienne annonce que les condamnés à mort sont des militaires de l’armée Koweïtienne. Selon la même source un autre Iranien et une Iranienne dont la fille d’un condamné à mort, ont été relâchés, par manque de preuves.

  

L’affaire remonte au mois de mai 2010. A cette époque, le service Koweïtien de la sécurité annonce l’arrestation d’un réseau d’espionnage des Gardiens de la Révolution au Koweït. Les membres de ce réseau sont accusés de récolter des informations sensibles sur les bases militaires et sur les forces armées américaines basées à Koweït. L’Iran nie toute accusation.

  

Les Yeux et les oreilles des Ayatollahs.

Cinq cents ans avant l'ère commune, Darius le grand empereur des achéménides, afin de pouvoir gérer son vaste empire, a eu l’idée de créer deux forces redoutables.

Une armée guerrière d’"immortels", dont le nombre était de dix mille hommes d'élite. (Cette armée ne pouvait aller en deçà des 10.000 recrues).

 

L’autre force étant constituée d’espions, nommés " les yeux et les oreilles du roi des rois "  ils étaient  partout et suivaient le moindre des gestes. Ceci était la première organisation structurée d’espionnage Iranien.

 

" Sun Zi " le célèbre général Chinois, auteur de l'art de la guerre, six cents ans avant l'ère commune, a dit : Une armée sans agents secrets, est comme un homme sans yeux et sans oreilles.

Deux mille cinq cents ans plus tard, lorsque l'Ayatollah Khomeiny a pris le pouvoir en Iran, il a crée le corps des Gardiens de la révolution islamique, renforçant ainsi les structures d’"intelligence" et d'espionnage.

 

Le but initial a été d'employer ces forces pour réprimer et éliminer les opposants du régime islamique et les contre-révolutionnaires, mais bientôt le champ d’action de ces forces ira au-delà des frontières de l'Iran.

 

Les espions des Ayatollahs en Europe et aux Ētats Unis

Actuellement sur le sol Américain dix Iraniens sont détenus, et accusés de préparer et d'envoyer des armes et du matériel électronique à double usage civil et militaire en Iran. Ces marchandises figurent sur la liste des sanctions contre l’Iran.

 

Le six mai 2010, la Cour d'appel de Paris, a rejeté la demande d'extradition de Majid Kakavand un iranien, vers les Etats-Unis. Le lendemain, après quatorze mois de détention en France, Kakavand quitte la France vers l'Iran avec un vol direct !!!??.

 

Celui-ci a été poursuivi par un tribunal en Californie pour achat et envoi d'appareils et composants électroniques à double usage civil et militaire vers l'Iran.

 

Le 28 avril 2010 le " BND " service sécurité intérieur d’Allemagne, a annoncé avoir le souci de suivre l'activité de l'Iran et de certains pays, qui veulent obtenir la technologie à double usage. Dans ce but deux iraniens ont été arrêtés par la police allemande.

 

La présence des espions Iraniens dans les pays du Golf Persique.

En août 2009, au Yémen quatre hommes ont été arrêtés et accusés d’espionnage et sabotage pour le compte de l’Iran. Le procureur Yéménite a demandé pour eux la peine maximale.

 

Depuis le mois de mars 2010, jusqu'à ce jour, deux réseaux d'espionnage dans les pays de Bahreïn et du Koweït ont été démantelés.

 

Le 22 mars 2010, un des ministres du gouvernement de Bahreïn a été démis de ses fonctions par le roi. Il a été accusé de blanchiment d'argent en faveur des gardiens de la révolution islamique en Iran.

 

Le premier mai 2010, le journal koweïtien d’Al-Qabas a annoncé l’arrestation de sept personnes accusées d'espionnage pour le compte de l'Iran, ce nombre a été rehaussé  de onze. Selon Al-Qabas, le réseau d'espionnage, avait en sa possession un système de télécommunication de pointe, des documents confidentiels et deux cent cinquante mille dollars en espèces.

 

Les détenus ont avoué leur rôle dans le  recrutement de nouveaux espions, afin de coopérer avec le réseau de renseignement Iranien. Ils voyageaient sous couvert de traitement médical, ou de pèlerinage en Iran. Le nationalisme iranien et les croyances chiites, se sont que des outils employés par le régime islamique dans ces pays pour recruter les espions.

 

Au Koweït, les services de renseignements Iraniens utilisent le point faible des Koweïtiens, dont les " Badons " la population sans identité, une minorité de 350.000 personnes, qui depuis l'indépendance du pays en 1961, sont considérés comme  "résidents illégaux".

 

Avant 1991 au Koweït, la majorité de cette population a servi dans  l'armée et la force de police du pays, en espérant obtenir la nationalité, mais à cette date beaucoup d'entre eux ont été démis de leurs fonctions après la découverte d’un complot d’assassinat contre le souverain Koweïtien.

 

Après la révolution islamique en Iran, un grand nombre d'Iraniens s’installèrent dans les pays du Golf persique et les Émirats arabes unis. En 2008, avant la crise économique mondiale, 8000 sociétés iraniennes ont été enregistrées dans ces pays, la majorité de ces sociétés sont la propriété d’éléments des gardiens de la révolution et des services secrets iraniens.

 

Les pays du sud du Golf Persique notamment les Émirats arabes unis, sont la plaque tournante de l'économie iranienne et le champ d’action des espions des États-Unis, d’Israël et de l'Iran. Les réseaux de renseignement et d'espionnage des Ayatollahs sont répandus partout dans le monde, notamment dans les pays de la région du Golf Persique, ses  réseaux "actifs" et " dormants " se sont construits au cours de la trentaine d'année du pouvoir Islamique en Iran.

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27 mars 2011 7 27 /03 /mars /2011 20:46

 

Argentine - surtout faire des affaires avec l'Iran !

guysen

 

Relire cette superbe étude

>Les vents de la guerre au Levant et au Moyen-Orient (3/3) Les cas Hariri et AMIA

>LE SOUTIEN DE L'IRAN AU TERRORISME INTERNATIONAL


 

Bilan

Argentine - 

prédicence Calors Menem (d'origine syrienne) inculpé pour entrave à la justice

- les attentats - 84  et 29 morts  - 230 blessés et 300 blessés - 

l'un des principaux coupable est Ahmed VAHIDI, ministre de la défence du régime des Mollah

Sympa Madame Kirchner pour faire des affaires non ?


 

Pour renouer des liens commerciaux importants, les Argentins ont fait savoir à la République islamique qu'ils étaient prêts à oublier les attaques commises contre Israël. 

Au cours de pourparlers secrets avec l'Iran, l'Argentine a précisé qu'elle suspendrait ses enquêtes sur les attaques iraniennes contre l'ambassade israélienne et le centre juif dans les années 1990 à Buenos Aires afin d'accroître les échanges avec le pays. 

L'hebdomadaire argentin, Perfil, a rapporté que les négociations de samedi visaient à augmenter le volume des échanges entre l'Argentine et l'Iran. Actuellement, il est estimé à 1,2 milliard de dollars par an.

Selon le rapport le gouvernement de Cristina Kirchner a offert de suspendre l'enquête sur l'attaque sur les attentats, soupçonnés d'avoir été orchestrés par l'Iran. 

Plus tard une note diplomatique entre le ministre iranien des Affaires étrangèress et le président Mahmoud Ahmadinejad a été révélée. Dans celle-ci le ministre affirmait que "l'Argentine ne s'intéressait plus à résoudre le mystère des deux attaques et préférait améliorer ses relations avec l'Iran". 

L'hebdomadaire a également indiqué que le ministre argentin des Affaires étrangères, Hector Timerman, avait demandé au président syrien Bashar el-Assad et à son ministre des Affaires étrangères de relayer l'offre de Téhéran. 

En septembre, Mme Kirchner avait affirmé aux Nations-Unies que l'Argentine poursuivrait l'enquête et qu'elle exigeait que l'Iran sanctionne les responsables de l'attaque. 

Dans l'attentat sur l'ambassade en 1992, 29 personnes avaient été tuées et 242 blessées. L'attaque contre le centre AMIA de la communauté juive en 1994 avait fait 85 morts et plus de 300 blessés. En dépit du fait qu'Israël et les Etats-Unis aient participé à l'enquête, aucun suspect n'avait été arrêté. 

Le ministre iranien de la Défense,  Ahmad Vahidi, tout comme quatre autres Iraniens, sont recherchés par Interpol en raison de leur responsabilité dans l'attaque.
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27 mars 2011 7 27 /03 /mars /2011 20:07

 

bann-oeil-de-l-epervier.jpg   Dossier Menace iranienne

 

Tags - iranTerrorisme_Nazislamisme_Djihad_mondial_terrorisme_palestinienhamas, hezbolah

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terrorism-info

 

 

L’an dernier, deux nouvelles tentatives iraniennes d'expédier des armes ont été dévoilées. Leurs destinations étaient le Hezbollah (Août 2010) et la Gambie, (Juillet 2010). Les expéditions, camouflées comme des cargaisons "innocentes", ont été envoyées par voie maritime en utilisant des compagnies maritimes civiles, en violation flagrante des sanctions internationales imposées à l'Iran.

Le fait d'expédier des armes aux organisations terroristes,aux groupes d'opposition et à des éléments subversifs, aussi bien qu'à la Syrie, est un facteur important dans la stratégie de l'Iran pour accroître son hégémonie régionale, sa domination et son influence islamique autour du globe.

Selon nous, l'Iran et ses alliés du camp extrémiste ont l'intention de continuer les expéditions en employant la falsification et la dissimulation.


Quelques articles associés

L’Iran et le surarmement du Hezbollah contre Israël - Jacques Neriah

13 conteneurs de missiles iraniens de l'Iran très probablement destiné à Gaza ont été intercepté au Nigeria

Trafic d'armes iranien : une traque sans fin

Le navire pour le 'Hezbollah contenait plusieurs centaines de tonnes d'armes lourdes

Les armes du Francop - Images de l'armée israelienne

Exlusif photos des armes iraniennes saisies par l'armée israélienne sur le Victoria

Victoria -Liste des armes - l'Iran et la Syrie directement mis en cause. Preuve du bien-fondé du blocus maritime israélien le long de la bande de Gaza (mise à jour)

Reportage : La Turquie découvre des armes dans un avion iranien

 


1. L’an dernier, l'Iran a tenté à deux reprises d'expédier des armes par voie maritime à une organisation terroriste (Hezbollah au Liban en Août 2010) et à un pays d'Afrique Occidentale (Gambie en Juillet 2010).

2. Ces deux tentatives témoignent de la stratégie de l'Iran consistant à expédier des armes par voie maritime, aérienne et terrestre à des organisations terroristes, des groupes d'opposition et des éléments subversifs, aussi bien qu'aux pays qui tombent sous la sphère d'influence de Téhéran. Les expéditions sont organisées par la direction iranienne, et mises en oeuvre par le mécanisme secret de la Force Quds des Gardes de la Révolution. La Force Quds est utilisée en tant qu’élément principal pour l'exportation pratique de la révolution iranienne au-delà des frontières de l'Iran.

3. Le fait d'expédier des armes aux organisations terroristes, aux groupes d'opposition et à des éléments subversifs, aussi bien qu'à des pays étrangers, est un facteur important dans la stratégie iranienne, qui lutte pour son hégémonie régionale et sa domination islamique dans divers foyers du Moyen-Orient (Liban, bande de Gaza, Irak, pays arabes modérés) et au-delà (Afrique de l'Est et Occidentale, Amérique Latine, Asie Centrale, etc.). Ses objectifs sont de renforcer le régime islamique de Téhéran, d'assurer son existence et sa survie, de dissuader et de défier ceux que l'Iran perçoit comme ses ennemis, particulièrement les États-Unis et Israël, et de modifier l'équilibre stratégique mondial.

4. Dans sa sphère régionale d’influence, l'Iran fournit des quantités massivesd'armes au Hezbollah au Liban (principalement par la Syrie) ainsi qu’au Hamas et au Jihad Islamique Palestinien dans la bande de Gaza (principalement par le Soudan). Cela permet aux organisations terroristes de s'équiper de matériels militaires qui menacent les centres de population du Nord et du Sud de l'État Israël aussi bien qu'aux forces prooccidentales au Liban. La plupart des armes sont destinées aux forces chi'ites et mêmes sunnites, qui provoquent des confrontations et mènent des activités subversives au Liban, en Irak, au Yémen, au Bahreïn et en Afghanistan.

5. Pour l'Iran, le continent africain est un centre important d'opérations, combinant subversion et diplomatie. L'Iran cherche à établir son pouvoir dans des pays comme le Soudan (considéré comme un canal de soutien aux organisations terroristes de la bande de Gaza) et l'Erythrée (qui se trouve le long de la Mer Rouge), augmentant en même temps sa participation dans des pays d'Afrique Occidentale et Orientale.

6. En agissant conformément à sa politique africaine, l'Iran tente d'exploiter ce qu'il considère comme la faiblesse des régimes locaux et leur empressement à recevoir de l'aide.1 Le fait d'expédier des armes à divers clients, comme des organisations terroristes, des éléments subversifs et des pays variés, s'inscrit dans le cadre d'un "forfait" iranien plus vaste incluant également un soutien financier, éducationnel et logistique. Cette politique est mise en oeuvre dans le cadre d'une structure d'alliances et d'accords de coopération militaire, aussi bien que dans les secteurs technologiques, agricoles, financiers, économiques et politiques.

7. En expédiant des armes, l'Iran viole une série de résolutions du Conseil de Sécurité de l'ONU, dont la Résolution 1747, qui interdit à l'Iran d'exporter des armes. L'utilisation par l'Iran de compagnies maritimes internationales et de ports européens pour exporter des armes est une violation méthodique et flagrante des lois de navigation internationales et un danger véritable pour les bateaux et les ports impliqués.

8. Cette étude examine les méthodes utilisées par l'Iran pour expédier des armes, et donne deux exemples spécifiques d'expéditions d'armes par voie maritime saisies pendant la deuxième moitié de 2010, une au Hezbollah via l'Italie (Août) et l'autre à la Gambie via le Nigéria (Juillet). L'Annexe fournit des exemples de la décennie passée de l'utilisation par l'Iran des couloirs maritimes et aériens ainsi que des routes terrestres. Selon nous, l'Iran et ses alliés du camp extrémiste ont l'intention de continuer leurs expéditions d'armes.

 

Suite de l'étude -  Trafic d'armes iranien Trafic d'armes iranien

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26 mars 2011 6 26 /03 /mars /2011 21:17

 


L'Iran envoie ses milices bassidji massacrer le peuple syrien

adapté par Israël Boccara

pour © 2011 www.aschkel.info

 

http://www.iba.org.il/arabil/?entity=722357&type=1&topic=196 

et http://www.bangawelat.com/news/file-today/2605-2011-03-21-12-00-49.html

lire aussi : >Syrie - Bachar Al Assad massacre son peuple - Vidéo

Tags : SyrielBachar Al AssadIran, menace iranienne

L'Iran s'efforce d'empêcher l'effondrement du régime de son allié syrien, et lui épargner la vague de "révolutions" en cours dans le monde arabe. Le régime de téhéran envoie des bassidjis de la garde révolutionnaire iranienne pour soutenir les forces de sécurité syriennes et éviter le renversement du régime de Bachar Al Assad qui vit des heures difficiles depuis le 15 mai.

Selon certains témoignages sur la situation à Deraa (Syrie) des groupes attaquent les manifestants et parlent la langue persane.

Une centaine de syriens ont manifesté à Dubaï scandant des slogans , exigeant la chute du régime syrien, contre le 'hezbollah et contre l'Iran.

Entres autres slogans….

"La terre, la terre, Bachar, la Syrie est libre"

"Nous n'avons pas peur, nous n'avons pas peur, aujourd'hui nous n'avons pas peur"

"Israël est plus clément, et n'a pas fait ce qu'à fait ce régime" [NDLR - ???]

"Un traitre qui tue son propre peuple"

"Non à l'Iran, non au 'Hezbollah!"

Ils ont accusé le régime syrien d'utiliser des éléments du parti de D' :le 'Hezbollah, soutenu par l'Iran de tuer les manifestants syriens près de la Jordanie.

Un témoin de cette région rapporte que des groupes parlent la langue persane et attaquent les manifestants, il y a un grand nombre de morts.

D'après les sources de Beyrouth observer, 2 avions iraniens sont arrivés à Damas le 19 mars.

L'un de la société iranienne Mahan d'Ispahan arrivé à 00.05 le 19, et l'autre, de la société NIOC de Téhéran à 21.46.

Ces deux avions transportaient des membres de la milice iranienne des bassidjis. D'autres seraient arrivés dans les fameux bateaux iraniens ayant accosté au port de Lattaquié

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 13:46

 

 

 

L'Iran recrute des volontaires pour des attentats-suicides contre les intérêts saoudiens dans le monde entier

Cet article est de Reza Kahlili, auteur du livre A Time to Betray . 

postedeveille

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Les dirigeants iraniens sont furieux contre l'intervention de l'Arabie Saoudite à Bahreïn et ce qu'ils appellent les crimes contre les chiites de ce pays. Ils ont ouvertement mis sur pied des centres de recrutement de volontaires pour des attentats suicides contre les intérêts de l’Arabie saoudite dans le monde entier.

Iran-martyrsPlusieurs grands ayatollahs d’Iran ont émis une fatwa exhortant les musulmans de secourir leurs frères chiites de Bahreïn qui sont victimes de crimes horribles par leur gouvernement en collaboration avec les forces armées saoudiennes. Ils ont en outre souligné que les Bahreïnis sont entièrement justifiés de réclamer leur liberté et leur juste part de l’État.  
 

Shia-News, un site lié à l'ayatollah Mesbah Yazdi (une chiite duodécimain radical et une figure influente de la répression des Iraniens lors du soulèvement consécutif aux présidentielles frauduleuses de 2009), enregistre les candidats prêts à commettre des attentats suicides contre les intérêts de l'Arabie dans le monde entier. Des centaines de volontaires sont déjà inscrits. Des rapports de l'intérieur de l'Iran indiquent qu'une alerte a été transmise à la Force Qods du Corps des Gardiens de la Révolution partout dans le monde les avisant de se préparer à des attaques contre des établissements saoudiens. [...]

Depuis la révolution iranienne, la mission des ayatollahs a consisté à exporter leur idéologie à travers le monde. Leurs agents ont infiltré les chiites de Bahreïn et ont incité la majorité chiite à renverser le gouvernement sunnite, lequel a des liens étroits avec les États-Unis, notamment en accueillant le quartier général de la Cinquième flotte de l’US Navy.  

Les ayatollahs qui crient au scandale pour l'action de l'Arabie Saoudite à Bahreïn n'ont pas dit un mot contre leur propre régime islamique coupable du viol, de  la torture et de l’assassinat de milliers de jeunes Iraniens et Iraniennes qui se sont soulevés pour réclamer la liberté et la démocratie. Des groupes de défense des droits humains ont rapporté qu’en un seul mois, l’Iran a exécuté plus de cent personnes. Le massacre se poursuit sur une base quotidienne : la cour suprême iranienne a récemment intensifié les exécutions en rendant le processus plus « expéditif ».  

La guerre par procuration entre l'Iran et l'Arabie saoudite ne fait que commencer : il faut s’attendre à voir beaucoup d’autres conflits de ce genre au Moyen-Orient déborder sur la scène mondiale.

Source :  Iran Orders Attacks on Saudi Interests Worldwide, par Reza Kahlili, Pajamas Media, 21 mars 2011. Traduction partielle


Iran : Les Gardiens de la révolution veulent des armes nucléaires capables de frapper l'Europe

C'est ce que révèle un Iranien qui a trahi son pays natal pour le sauver.

Reza Kahlili est le pseudonyme d’un ancien espion de la CIA qui demande l’anonymat pour raisons de sécurité. A Time to Betray (Un temps pour trahir), le livre qu’il a écrit sur sa double vie en tant qu’agent de la CIA chez les Gardiens de la révolution en Iran, a été publié par Simon & Schuster le 6 avril dernier.

 


__________________________________________

Le laisser-faire de l’Occident le tuera, par Reza Kahlili

La semaine dernière, Behzad Soltani - adjoint au directeur de l’organisation de l’énergie atomique en Iran - a annoncé que l’Iran aura rejoint d’ici un mois le club des puissances nucléaires mondiales. Il a par ailleurs affirmé qu’aucun pays ne pourrait même envisager d’attaquer l’Iran une fois que le pays serait membre du club. [...]

Le pays dispose à Ispahan d’une usine capable de produire, annuellement, 10 tonnes de combustible nucléaire et assez de plutonium pour deux armes nucléaires. L’usine d’eau lourde d’Arak - construite en violation du traité de non-prolifération - est presque terminée, alors que l’Occident estimait que ce ne serait pas avant 2015. Cette usine permettra de produire des quantités significatives de plutonium de niveau militaire. Il en est de même de la centrale nucléaire de Bushehr, qui doit démarrer l’été prochain avec l’aide de la Russie.

L’objectif des Gardiens de la révolution est de parvenir à disposer d’un missile à tête nucléaire capable de frapper n’importe où en Europe.

Au même moment, les Gardiens de la révolution font progresser de manière significative le système de missiles du pays, ces travaux étant dissimulés dans le cadre du projet spatial dans lequel ils se sont lancés avec la Corée du nord. Le missile Shahab-3 peut emporter une tête nucléaire et il est actuellement capable d’atteindre Tel Aviv, Riyad, les bases américaines en Irak et le quartier général de la cinquième flotte à Bahrein.

L’objectif des Gardiens de la révolution est de parvenir à disposer d’un missile à tête nucléaire capable de frapper n’importe où en Europe. [...]

Si nous n’agissons pas, les générations futures ne nous le pardonneront jamais.

Tout récemment encore, le Secrétaire à la défense Robert Gates a mis en garde la Maison blanche devant l’absence de plan pour contrer les ambitions nucléaires iraniennes. Si tel est véritablement le cas, notre situation est terrible. On ne peut qu’espérer que le président Obama saura exercer le leadership requis pour permettre au monde de faire face à ce danger grave et croissant. Ce que nous ferons aujourd’hui pourrait sauver des millions de vies et influer pendant des décennies sur la manière dont nos enfants vivront.

Si nous n’agissons pas, les générations futures ne nous le pardonneront jamais.

Source : West’s Complacency Will Bring About Its Demise, par Reza Kahlili, Pajamas Media, 8 mai 2010 Traduction d'extraits par Poste de veille (merci à mon traducteur)

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22 mars 2011 2 22 /03 /mars /2011 10:21

 

Dossier Menace iranienne

 

La Turquie vient d'arraisonner un avion iranien et y a découvert des armes, des lanceurs de missiles, des mortiers, des fusils et des explosifs….. Pour quand "une bombe sale" ?

 

A lire 

>Reportage : La Turquie découvre des armes dans un avion iranien


Bombarder l'Iran ?

Par Alan M. Dershowitz, avocat international

FrontPageMagazine.com – 18/03/2011

Titre original: Israël et les réacteurs nucléaires de l'Iran

Traduit par Albert Soued,  http://soued.chez.com  pour www.nuitdorient.com

 

Les tentatives récentes de l'Iran pour expédier des armes au Hamas à Gaza sont des actes de guerre commis par le gouvernement Iranien contre le gouvernement Israélien. La marine israélienne a saisi un bateau rempli d'armes qui ont pour but de tuer des civils israéliens, et les armes venaient d'Iran. Sous la Loi Internationale, ce n'est pas le 1er acte de guerre de l'Iran qui aurait justifié une réponse militaire d'Israël. L'Iran a déjà expédié nombre de cargaisons d'armes anti-personnel au Hamas et au Hezbollah. De plus, en 1992, les dirigeants iraniens ont conçu et autorisé l'attaque meurtrière contre l'ambassade d'Israël à Buenos Aires. Menée par des agents iraniens, cette attaque était déjà un acte de guerre contre Israël, l'ambassade faisant partie du territoire souverain du pays.

En dehors de ceci, le gouvernement iranien a publiquement clamé à plusieurs reprises qu'Israël devait être rayé de la carte, une déclaration de guerre contre ce pays.

 

Selon la loi internationale, ces actes de guerre – appelés "casus belli" – justifient pleinement une riposte armée. Même la charte de l'Onu autorise une réponse unilatérale à une attaque armée. Fournir des armes à un ennemi déclaré, soumis à un embargo, a toujours été considéré dans l'histoire comme un acte de guerre, selon les lois de la guerre; d'autant plus que les fournisseurs de ces armes ont pour objectif qu'elles soient utilisées contre des civils. Il en est de même du dynamitage d'une ambassade.

 

Deux autres évènements récents renforcent le droit d'Israël d'utiliser les moyens militaires pour empêcher l'Iran de continuer à armer ses ennemis. Le désastre au Japon montre l'extraordinaire danger présenté par des radiations atomiques. Si quelqu'un pouvait encore douter des effets dévastateurs d'"une bombe sale", à la fois physiquement et psychologiquement, ces doutes s'estompent, avec ce que vivent les Japonais. Si l'Iran poursuit son programme nucléaire, un prochain bateau vers Gaza pourrait contenir une bombe sale, et Israël pourrait ne pas l'intercepter. Si une bombe sale explosait, elle causerait d'énormes dommages aux civils en Israël et dans la région.

 

De même, le récent massacre d'une famille à Itamar, incluant 3 jeunes enfants, montre les moyens utilisés par les ennemis d'Israël contre des civils, en violation totale des lois de la guerre. L'Iran a armé des tueurs de bébés, et le Hamas les a félicités.

Chaque pays a le droit de protéger ses citoyens et de prévenir des massacres, notamment les armes de destruction massive qu'envoie l'Iran. Ce dernier pays n'a aucun moyen légal pour protester contre une attaque chirurgicale contre ses implantations nucléaires, fabriquant des armes destinées à être utilisées pour atteindre l'objectif publiquement déclaré de l'Iran, rayer Israël de la carte et tuer des millions de citoyens.

 

Les dirigeants iraniens ont maintes fois déclaré publiquement qu'une guerre nucléaire, tuant des millions de Juifs et de Musulmans était "acceptable" pour eux, parce qu'éliminant Israël, mais causant quelques dommages à l'Islam.

Une nation suicidaire ne peut être dissuadée par des menaces de représailles. La seule option réaliste est une attaque préventive, comme celle menée contre le réacteur nucléaire d'Irak en 1981. Cette attaque chirurgicale a sauvé nombre de vies, à un coût relativement faible. Rappelons que l'Iran avait déjà essayé de détruire la capacité nucléaire de l'Irak, sans succès. Israël a le droit de faire ce que l'Iran a essayé de faire contre l'Irak  -- empêcher un ennemi mortel de développer des moyens de destruction massive contre ses citoyens.

 

Ceci ne veut pas dire qu'Israël doive attaquer maintenant les réacteurs nucléaires de l'Iran. Avoir le droit de le faire ne signifie pas qu'il ne faille pas choisir le moment opportun. Les lois de la guerre ne supposent pas des ripostes immédiates. La nation attaquée peut surseoir à la contre attaque, sans que son droit ne faiblisse. L'option militaire ne peut être que le dernier recours, après que tous les autres aient échoué.

Il est possible que d'autres moyens puissent définitivement mettre l'Iran hors d'état de nuire. Les sanctions économiques ne parviendront pas à dissuader les zélotes de l'idéologie de l'apocalypse de mettre fin à leur programme nucléaire. Une combinaison de différents moyens peu ralentir ce programme, jusqu'au point de rendre une intervention militaire moins urgente.

Sous aucun prétexte, on ne doit renoncer à l'option militaire et Israël doit conserver sa capacité d'exercer son droit fondamental d'une auto-défense préventive. Si cela est possible, ce pays pourrait ne pas agir seul, et si nécessaire, il doit le faire seul. Tout le monde espère qu'on n'en arrivera pas là, mais l'espérance n'est pas une politique.

Comme l'a averti George Washington lors de l'inauguration de son 2ème mandat:

"Se préparer à la guerre est le moyen le plus efficace pour préserver la paix !"

 

 

Israel and Iran’s Nuclear Reactors

 

By Alan M. Dershowitz

FrontPageMagazine.com - Mar 18th, 2011

 

Iran’s recent attempt to ship arms to Hamas in Gaza is an act of war committed by the Iranian government against the Israeli government.  The Israeli Navy seized the ship, loaded with weapons designed to kill Israeli civilians, and traced the weapons back to Iran.  Nor is this the first act of war that would justify a military response by Israel under international law.  Iran has sent other boatloads of anti personnel weapons to Hamas and Hezbollah.  In addition, back in 1992, the Iranian leaders planned and authorized a deadly attack on Israel’s embassy in Argentina.  That bombing, which was carried out by Iranian agents, constituted a direct armed attack on the state of Israel, since its embassy is part of its sovereign territory.  Moreover, the Iranian government has publicly declared war on Israel by calling for it “to be wiped off the map.”

Under international law, these acts of war—known as Casus Belli—fully justify an Israeli armed response.  Even the UN Charter authorizes a unilateral response to an armed attack.  Providing weapons to a declared enemy in the face of an embargo has historically been deemed an armed attack under the law of war, especially when those providing the weapons intend for them to be used against the enemy’s civilians.  So too is the bombing of an embassy.

Two other recent events enhance Israel’s right use military means to prevent Iran from continuing to arm Israel’s enemies.  The recent disaster in Japan has shown the world theextraordinary dangers posed by nuclear radiation.  If anybody ever doubted the power of a dirty bomb to devastate a nation, both physically and psychologically, those doubts have been eliminated by what is now going on in Japan.  If Iran were to develop nuclear weapons, the next ship destined to Gaza might contain a nuclear dirty bomb and Israel might not intercept that one.  A dirty bomb detonated in tiny Israel would cause incalculable damage to civilian life.

Moreover, the recent killings in Itamar of a family including three children, demonstrate how weapons are used by Israel’s enemies against civilians in violation of the laws of war.  Even babies are targeted by those armed by Iran.  Hamas praised the murders.

Ishas the right to prevent its civilians from being murdered by Iranian weapons, especially weapons of mass destruction.  Iran would have no legal standing to protest a surgical attack on its nuclear facilities that are designing weapons that could be used to achieve Iran’s declared goal of wiping Israel off the map and killing millions of its citizens.  The leaders of Iran have publicly declared that a nuclear exchange, killing millions of Jews and Muslims, would be acceptable to them because it would destroy Israel while only damaging Islam.  A suicide nation cannot be deterred by the threat of retaliation.  Israel’s only realistic option may be a preventive military strike of the kind it conducted against Iraq’s nuclear reactor in 1981.  That surgical attack may have saved countless lives at the cost of one single casualty.  By the way, Iran too tried to destroy Iraq’s nuclear reactor, but failed.  Certainly Israel has the right to do what Iran itself tried to do—namely prevent a lethal enemy from developing weapons capable of mass murder of its citizens.

This is not to say that Israel should attack Iran’s nuclear reactors now.  That is has the right to do so does not mean that it should not wait for a more opportune time.   The law of war does not require an immediate military response to an armed attack.  The nation attacked can postpone its counterattack without waiving its right.  The military option should always be a last resort after all other efforts have failed.  It may well be that efforts to permanently disable Iran’s nuclear computers will succeed.  Although it is unlikely that economic sanctions will ever persuade Iran’s ideological zealots to end their nuclear weapons program, a combination of quasi military, tough economic and diplomatic sanctions may slow it down to a point where the military option can be postponed.  But under no circumstances should the military option ever be taken off the table.  Israel must preserve its ability to exercise its fundamental right of preventive self defense.  If possible, it should act together with other allies.  But if necessary, it has the right to act alone to protect its citizens.  Nearly everybody hopes that it won’t come to that, but hope is not a policy.  As GeorgeWashington cautioned in his second inaugural address, “To be prepared for war is one of the most effectual means of preserving peace.”

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