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12 juillet 2010 1 12 /07 /juillet /2010 06:20

 

 

 

Préparations trépidantes pour la visite historique d’Ahmadinedjad à Beyrouth


DEBKAfile  Reportage exclusif  11 Juillet 2010, 11:33 PM (GMT+02:00)

 

Adaptation : Marc Brzustowski


Pour © 2010 lessakele et  © 2010 aschkel.info

Titre original : Hectic preparations for historic Ahmadinejad visit to Beirut

http://www.debka.com/article/8906/


 

Ahmadinejad, prêt pour son premier séjour à quelques jets de pierre de la frontière avec Israël. 


Des préparations fiévreuses ont été mises sur le pied de guerre à Téhéran pour la première visite du Président Mahmoud Ahmadinedjad dans la capitale libanaise. En rapportant cela, les sources iraniennes de DEBKAfile définissent l’objectif de ce séjour comme un exercice confrontatif visant à avertir les USA et Israël que la complète instauration des nouvelles sanctions sévères de l’ONU, des Etats-Unis et de l’Europe provoqueront une guerre iranienne contre Israël, déclenchée depuis le Liban.

 

Les dirigeants iraniens se sont jetés sur ce projet durant leurs consultations marathon de la semaine dernière, pressés par le fait qu'ils réalisent que l’embargo américain sur l’essence et d’autres produits pétroliers raffinés étaient pour de vrai. Combiné au succès partiel de l’Adminsitration Obama dans la clôture du système bancaire et des marchés américains aux entreprises iraniennes et au consentement des Emirats Arabes Unis de fermer leurs ports au traffic iranien, les nouvelles mesures disposent du potentiel suffisant pour verrouiller une large portion de l’activité économique ordinaire de la République islamique.

 
La programmation du séjour d’Ahmadinedjad au Liban – probablement entre la fin juillet et le début août – est montée à grande vitesse, après que le Président syrien Bashar al Assad et le Cheikh Hamed Ben Khalif Al Tani dirigeant le Qatar (et qui a conçu et organisé l’accord de partage du pouvoir permettant la mise en place d’un gouvernement libanais de coalition en 2009) aient réagi positivement à l’idée d’un atterrissage de ce trio à Beyrouth, à bord du même avion ou dans le même convoi, à l’invitation du Président libanais Michel Suleiman.

 

Cette procédure a été conseillée pour protéger le Président iranien d’un possible attentat israélien contre sa vie, ainsi que celle d’Hassan Nasrallah, le dirigeant du Hezbollah, qui seraient à portée de main durant la réception de bienvenue organisée par le Président libanais.

 

Dimanche 11 juillet, DEBKAfile a rapporté que le Hezbollah avait amassé 20 000 hommes armés le long de la frontière avec Israël, pendant que les forces de défense israéliennes disposaient des rangées de tanks et des divisions blindées de l’autre côté de la frontière.

 

Les grandes lignes du protocole de la visite ont été élaborées par le député chi’ite libanais Nabih Beri et Alaedin Bouroujerdi, président du Majliss (parlement) des affaires étrangères et du comité de sécurité, qui se trouvait à Beyrouth, la semaine dernière, pour assister aux funérailles du dignitaire chi’ite, l’Ayattolah Hassan Fadlallah.

 
Il a été décidé d’utiliser cette occasion de la rencontre des dirigeants iranien, syrien, qatari et libanais pour tenir une conference de guerre, essentiellement afin d'intriguer de nouvelles tentatives pour ranimer le conflit arabo-israélien. Ils ont déjà décidé en principe de préparer le travail de terrain en vue de provoquer une crise à haute-tension susceptible d’éclater entre Israël et le Liban, à un moment ou un autre, en septembre ou octobre, au moment où Téhéran sera en mesure de jauger pleinement à quel point les nouvelles sanctions handicapent l’Iran.
 

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11 juillet 2010 7 11 /07 /juillet /2010 05:38

 

Donc, comme on le sait Samir Geagea dit ceci

"Ce n'est pas le gouvernement libanais qui prend la décision de défendre le Liban, car il y a des forces sur le terrain autres que l'armée libanaise dont on ignore les projets", a souligné le chef du parti chrétien des "Forces libanaises" Samir Geagea en référence au Hezbollah. 

lire la suite http://www.aschkel.info/article-les-decisions-militaires-au-liban-sont-controlees-par-le-hezbollah-49054390.html

 

Qui défendra qui contre qui ? le 'Hezbollah contre le 'Hezbollah ?

La Finul qui a laissé se réamer le 'Hezbollah

 

L’armée libanaise va protéger la Finul

9 juillet 2010 – 17:33

opex360.

Après plusieurs récents incidents qui ont impliqué la Force interimaire des Nations unies au Liban (Finul), et plus particulièrement celui au cours duquel une patrouille française a violemment été prise à partie près du village de Touline, la semaine passée, la France a fait savoir, le 7 juillet, qu’elle demanderait une « réunion spécifique » du Conseil de sécurité de l’ONU sur la situation libanaise « dans les meilleurs délais », afin que ce dernier ait l’occasion d’apporter son soutien aux casques bleus déployés dans le pays.

La veille, le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Koucher, avait rappelé, lors d’une visite à Paris du Premier ministre libanais, Saad Hariri, « la nécessité d’une application stricte de la résolution 1701 et du respect de la liberté de mouvement de la Finul », qui « est une une condition essentuelle du déploiement des opérations de maintien de la paix des Nations unies ».

Pour l’instant, les Etats-Unis, par la voie d’un porte-parole du déparement d’Etat (ndlr, la diplomatie américaine), ont réaffirmé leur soutien à la Finul. « Nous continuons d’appeler toutes les parties au Liban et alentour à respecter leurs obligations au terme de la résolution 1701 et de soutenir pleinement les efforts de la Finul et du gouvernement libanais à mettre en oeuvre ce qu’elle prévoit » a-t-il ainsi déclaré.

Pour autant, ce dernier a seulement indiqué avoir « pris acte » de « discussions initiales concernant une possible déclaration » du Conseil de sécurité sur « la liberté de mouvement » de la force des Nations unies au Liban, sans pour autant précisé si Washington soutenait l’initiative française d’organiser une « réunion spécifique » sur ce sujet.

En attendant, le chef de l’armée libanaise, Jean Kahwaji, a fait part au quotidien An Nahar, que la force des Nations unies serait placée sous la protection de ses troupes. « Nous nous engageons à 100% à protéger la Finul contre toute attaque (…) Nous garantissons aux pays qui ont envoyé leurs soldats pour nous aider que nous assurerons leur protection » a-t-il déclaré.

« Notre décision est de ne permettre à personne de les attaquer. L’armée libanaise est responsable (de la sécurité) dans le sud et nous devons aider la force internationale et assurer sa protection. C’est à quoi je m’engage » a-t-il insisté, tout en assurant que les incidents qui ont eu lieu la semaine passée, et dont certaines auraient été « clairement orchestrés » par le Hezbollah, de l’aveu de Michael Williams, l’envoyé de l’ONU au Liban, « ne se répéteront pas ».

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11 juillet 2010 7 11 /07 /juillet /2010 02:10
Exclusif : Un Iranien retourné comme agent américain : Téhéran attaquera Israël (et les pays du Golfe)
Titre original : Iranian turned US spy: Tehran will attack Israel
Adaptation : Marc Brzustowski
Pour © 2010 lessakele et  © 2010 aschkel.info

 

Voir notre Editorial du 6 mai 2010 : ICI

 


 

Un ancien membre des Gardiens de la Révolution qui relayait les opérations secrètes de ce corps à la CIAdepuis 10 ans déclare que l’Iran « commettra le plus horrible des attentats-suicide de l’histoire humaine s’iln’est pas arrêté avant ».

Dudi Cohen

 

Publié le: 

.10. 07.10, 20:59 / Israel News

 

 

 

Un ancien combattant du Corps des Gardiens de la Révolution Islamique (CGRI) enIran, devenu espion pour les Américains, a offert un regard d’une qualité rare de l’intérieur d’un pays les plus compliqués de tout le Moyen-Orient.

 

Lors d’une conférence qui s’est tenue  à l’Institut politique du Proche-Orient à Washington (Washington Institute for Near East Policy), ce vendredi 9 juillet, Reza Kahlili (pseudonyme) a estimé que l’Iran attaquera vraisemblablement  Israël, l’Europe et les Etats du Golfe Persique. Il en a appelé à une frappe préventive contre le Régime de Téhéran, mais qui ne soit pas dirigé contre le peuple iranien ou les infrastructures du pays.

 

 

 

Kahlili a accusé l’Administration Obama de naïveté. Selon lui, le Régime iranien perçoit les ouvertures américaines comme des signes de faiblesse, alors que le peuple iranien considère les efforts pour négocier avec le régime comme un acte de trahison à l’encontre de son combat pour la liberté.

 

Cliquez  ici  pour écouter le discours de Kahlili durant la conférence 

 

 

“C’est un régime messianique. Il ne devrait y avoir aucun doute là-dessus – ils sont sur le point de commettre le plus horrible attentat-suicide de toute l’histoire humaine. Ils attaqueront Israël, les Capitales européennes, et la région du Golfe Persique en même temps », a expliqué Kahlili, lors de l’une de ses premières apparitions en public, visant à faire la promotion de son nouvel ouvrage : « Un temps pour trahir : la double-vie étonnante d’un agent de la CIA au sein du Corps de Gardiens de la Révolution d’Iran ».

 

 

Kahlili a expliqué qu’il avait rejoint les Gardiens de la Révolution à la suite de la révolution islamique de 1979, mais s’est porté volontaire pour travailler pour la CIA, quand il a été profondément déçu par le Régime de Khomeiny après avoir été témoin d’actes de viols, de torture et de meurtre.

 

Kahlili est arrivé à cette conférence, porteur d’un masque chirurgical, de lunettes de soleil et d’une casquette de base-ball pour conserver son identité secrète. Par préoccupation pour sa propre sécurité, aussi bien que celle de sa famille en Iran, sa voix a aussi dû être déformée.

 

 

 

Durant 10 ans, sous le nom de code de : “Wally”, il a renseigné les services américains sur les opérations secrètes du CGRI, avant de s’envoler pour les Etats-Unis. A la suite des conséquences du 11/09, Kahlili a repris contact avec ses sources en Iran et a recommencé à fournir des renseignements à la CIA, selon le Washington Institute. 


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9 juillet 2010 5 09 /07 /juillet /2010 08:01

 

Par Georges Malbrunot

 

 

bahrein.jpg

 

«Stop à la torture !», «Non à la naturalisation des étrangers !», «Une famille régnante illégitime…» En ce vendredi matin, la police antiémeute n'a pas encore eu le temps d'effacer les slogans subversifs placardés durant la nuit par les chiites d'al-Diraz, à la périphérie de Manama, la capitale. Comme tous les week-ends, les forces de sécurité sont sur le qui-vive dans les zones chiites de Bahreïn, le seul pays du Golfe peuplé d'une majorité de chiites (70 %), mais gouverné par des sunnites. Autour de poubelles qui s'enflamment, policiers et jeunes en colère se font face. La violence reste contenue, mais pour combien de temps encore ?

«Comment pourrais-je être loyal envers un régime qui recrute des sunnites pakistanais pour nous réprimer ?» s'écrie Ali, un jeune d'al-Diraz, un de ces villages chiites défavorisés où, à quelques mois des élections législatives, et dans un con texte tendu par la menace nucléaire iranienne, les rancœurs alimentent le communautarisme. Soucieux de ne pas armer les chiites, le pouvoir, depuis quinze ans, fait massivement appel aux Balouches, Jordaniens et Irakiens dans les forces de sécurité et les services de renseignement. «Eux n'ont aucun complexe pour nous taper dessus», s'insurge Ali. Sa colère est d'autant plus forte que la nationalité leur est généralement accordée, une faveur rarissime dans les monarchies du golfe, dénoncée par les chiites bahreïniens comme une manœuvre pour inverser la courbe démographique.

Dans une péninsule arabique rigoriste et au sous-sol gorgé de pétrole, le discret royaume de Bahreïn fait figure d'exception. L'archipel n'a que ses banques pour assurer son développement. Alors que l'alcool coule à flots dans les bars fréquentés par des prostitués asiatiques, 37 Juifs vivent encore en bonne intelligence avec l'écrasante majorité musulmane d'un pays dirigé par un monarque éclairé(voir ci-dessous), Cheikh Hamad Ben Issa al-Khalifa, qui a nommé dix femmes dans l'une des deux chambres du Parlement. Mais ce fragile équilibre est remis en question par la frustration rampante d'une communauté qui regarde aussi du côté de l'Iran, «la mère patrie» des chiites à travers le monde.

«Ce n'est pas parce que vous trouverez des portraits de Khomeyni dans les maisons que nous sommes loyaux envers Téhéran», se défend Hussein, un retraité des télécommunications. «Mais on ne sait pas ce qui peut arriver, ajoute-t-il, si, demain, l'Iran est attaqué.» Dans son salon, des jeunes, assis par terre, égrènent leurs revendications : du travail dans la fonction publique, un meilleur accès à la propriété foncière et la libération des derniers prisonniers politiques. Habilement, le pouvoir a coopté quelques chiites au gouvernement, mais ces personnalités jouissent de peu de crédit auprès de la base. Depuis les dernières élections de 2006, à l'issue desquelles 17 chiites ont été élus à la seconde chambre du Parlement, la communauté est divisée entre une frange qui accepte de jouer le jeu des institutions et les jusqu'au-boutistes qui veulent un changement de régime. «Ils avaient cru au changement en 2006, mais, depuis, leur situation ne s'est guère améliorée», constate un diplomate.

 

Les autorités redoutent que certains jeunes désœuvrés soient une proie facile pour les agents iraniens, à l'œuvre auprès des communautés chiites du Golfe, comme l'a montré le démantèlement récent de plusieurs cellules chiites pro-iraniennes à Koweït. La tension est régulièrement alimentée par des déclarations de responsables iraniens qui revendiquent, ni plus ni moins, Bahreïn. Inquiets, les États-Unis ont décidé de doubler la superficie de leur base à Bah reïn, siège de la Ve flotte dans le golfe Persique, où la France dispose également d'un important centre d'écoutes.

«Comment voulez-vous qu'on puisse leur faire confiance, déclare à propos des chiites un fonctionnaire du ministère de l'Information. Ces gens-là remettent en cause la légitimité du régime.» «Faux, répond Ali, nous ne sommes pas partisans d'un recours à la violence. Mais, si on fait brûler des poubelles, c'est parce qu'on ne nous a jamais entendus.» Après le Liban et l'Irak, la majorité chiite de Bahreïn compte sur la démocratie pour arracher un partage du pouvoir. Aux législatives, prévues à l'automne, elle réclame une dose de proportionnelle et un juste découpage électoral. Son but : l'avènement d'une monarchie constitutionnelle sur le modèle britannique, avec la possibilité de remplacer le premier ministre, un cousin du roi, en place depuis près de quarante ans.

 


 

 

Cheikh al-Khalifa protège les derniers Juifs du royaume 

 

Ils ne sont plus qu'une quarantaine, mais les derniers Juifs de Bahreïn peuvent se vanter d'être protégés par le roi, cheikh Issa al-Khalifa. Ces dernières années, le monarque a multiplié les gestes en leur faveur. D'abord en nommant, en 2008, Houda Ezra Ebrahim Nonoo ambassadrice aux États-Unis. Mme Nonoo est ainsi devenue la première ambassadrice juive d'un pays arabe. Ensuite, cheikh al-Khalifa s'est rendu à Londres pour appeler les Juifs bahreïniens expatriés à revenir au pays. Puis il a nommé certains membres de leur communauté au Majlis al-Shoura, l'assemblée consultative qui siège aux côtés de la Chambre haute du Parlement. Descendants de Juifs irakiens ou iraniens, la plupart sont arrivés dans l'archipel en 1948, au moment de la création d'Israël. Ils disposent encore d'une synagogue. Si Bahreïn n'a pas de relations diplomatiques avec l'État hébreu, il ne boycotte plus depuis 2004 les entreprises étrangères commerçant avec Israël.

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8 juillet 2010 4 08 /07 /juillet /2010 18:59

 

 

 

Voir un précédent article du 27 juin : 
Le Mexique déjoue une tentative du hezbollah de constituer un réseau en Amérique du Sud.

Le groupe terroriste employait des nationaux mexicains, ayant des liens avec le Liban, de façon à prendre Israël et les occidentaux pour cible, d'après un article d'un journal Koweitien


Adaptation : Marc Brzustowski, 

 

 Pour © 2010 lessakele et  © 2010 aschkel.info

 

.

 

Le Mexique a déjoué une tentative du Hezbollah d’établir un réseau en Amérique du sud, d’après un article d’un journal koweitien, mardi 6 juillet.

Les agents du Hezbollah employaient des nationaux mexicains ayant des liens familiaux au Liban pour construire ce réseau, chargé de prendre pour cible Israël et d’autres pays occidentaux, toujours d’après le quotidien Al-Seyassah.

Selon le reportage, la police mexicaine a monté une operation de surveillance autour du dirigeant du groupe, Jamel Nasr, qui voyageait fréquemment au Liban pour recevoir ses informations et instructions de la part des commadnants du Hezbollah qui s’y trouvent. 




Hassan Nasrallah


Le dirigeant du Hezbollah Hassan Nasrallah.

Photo by: Reuters


La police a déclaré que Nasr  faisait de frequents séjours dans d’autres pays d’Amérique Latine, dont un passage de deux mois au Vénézuéla durant l’été 2008.

Nasr vivait à Tijuana, au Mexique, au moment de son arrestation, d’après le reportage.

Le reportage fait immédiatement suite à des alertes de la part des Etats-Unis, selon lesquelles le Hezbollah et son commanditaire l’Iran sont en train de renforcer leurs opérations dans la région.

En juin, une représentante au Congrès américain a écrit au Département de la Sécurité intérieure afin de le prévenir que le Hezbollah acroissait sa presence en Amérique centrale et du Sud.



Dans sa lettre, la représentante au Congrès Sue Myrick appelait les Etats-Unis à travailler plus étroitement avec les forces mexicaines, alors qu’on faisait part de renseignements selon lesquels le Hezbollah travaillait en conjonction avec les cartels de la drogue mexicains, sur la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis.

En 2009, un Commandant américain ayant pour tâche la supervisiondes intérêts militaires américains dans la région déclarait que le Hezbollah était impliqué dans les trafics de drogue en Colombie.

“ Nous avons observé… une augmentation de grande ampleur des activités réalisées par le gouvernement iranien dans la region”, l’Amiral James Stavridis avait-il dit devant le Comité des services de l’armée au Sénat.

“Ceci constitue une vraie preoccupation, principalement à cause des connexions entre le Gouvenement iranien, qui est un état commanditaire du terrorisme, et le Hezbollah”, avait-il dit.

En février, un Tribunal américain de Miami avait mis trois hommes en examen pour avoir levé des fonds pour le Hezbollah, que les Etats-Unis ont classé comme organisation terroriste.

On pense que le Hezbollah était derrière l’attentat à la bombe contre un centre culturel juif dans la capitale argentine, Benos-Aires, en 1994, lors duquel 85 personnes ont trouvé la mort. 



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8 juillet 2010 4 08 /07 /juillet /2010 06:08

 

Crise entre les Emirats Arabes Unis et l'Iran après les francs propos d'un diplomate émirati ?

 

 

 

Résumé

par Aschkel

pour aschkel.info  et  lessakele

http://www.washingtontimes.com/news/2010/jul/6/uae-ambassador-endorses-bombing-irans-nuclear-prog/

L'ambassadeur des Emirats arabes unis aux Etats-Unis Youssef Al Otaiba a publiquement prôné l'usage de la force militaire pour le règlement du problème nucléaire iranien, rapporte le Washington Times.

Le diplomate a préconisé avec une franchise inédite l'usage de la force militaire en cas d'inefficacité des sanctions économiques contre Téhéran, tout en comprenant que l'emploi de la force contre un Etat islamique, d'autant plus le plus proche voisin et partenaire commercial des les Emirats arabes unis, aurait de lourdes conséquences économiques (le chiffre d'affaires du commerce entre les deux pays se montant à 12 mds USD) et provoquerait des protestations massives dans le monde musulman.

 "Si vous me demandez si je veux vivre aux côtés d'un Iran nucléaire, je répondrai que nous ne pourrons pas coexister avec une telle puissance atomique. Nous sommes prêts à payer ce prix pour garantir la sécurité des Emirats", a expliqué M.Al Otaiba.

Celui-ci a averti que si l'administration du président Barack Obama ne parvenait pas à arrêter l'Iran, de nombreux pays arabes dans la région se détourneraient de Washington pour se rapprocher avec Téhéran. 


«Je pense qu'il faut analyser les coûts et les avantages,  malgré la grande quantité de commerce que nous faisons avec l'Iran (12 milliards de dollars/an) ... il y aura des conséquences, et un retour de bâton et il y aura des manifestations et des émeutes avec des gens qui ne verront que le fait qu'un pays musulman soit attaqué "


Al-Otaiba


Oteiba a fait ces déclarations, en réponse à une question dans une séance publique au magazine de l'Atlantique lors du Festival d'Aspen.

Nombreux diplomates arabes disent la même chose en privé a leurs homologues américains, mais jamais en public, ce qui n'a pas manqué de surprendre l'auditoire.


John Bolton ambassadeur US auprès des Nations unis pense que ces déclarations reflètent la majorité des opinions des gouvernements arabes sur la question.

L'inquiétude des gouvernements arabes vient  du fait de l'incapacité d'Obama d'être ferme sur cette question.



L'Iran n'a pas manqué de réagir a ces propos et menace.....d'abord ses citoyens de rendre au E.A.U

rappel :  Abou Dhabi a gélé les comptes de 41 banques iraniennes suite aux sanctions de l'ONU.

Abu Dhabi
Abou dhabi


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6 juillet 2010 2 06 /07 /juillet /2010 05:40

Nucléaire civil ou arme atomique. INFOgraphie

missiles-iraniens-copie-1.jpg

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2 juillet 2010 5 02 /07 /juillet /2010 07:15

 

Les nouvelles sanctions "frappent au coeur" de la capacité nucléaire de l'Iran (Obama)

 

      ... au portefeuille aurait été plus réaliste. D'autre part, on apprend que les Emirats Arabes Unis ont dénoncé à l'AIEA les tentatives répétées de l'Iran d'importer du matériel militaire nucléaire sensible depuis les ports de Dubaï. 40 entreprises liées au blanchiment d'argent en direction de Téhéran ont récemment été fermées dans cette zone des Emirats qui représente une véritable porte tournante pour les trafics.

Article associé : "La déclaration de la M.Blanche sur la décision d'Israël d'alléger le "blocus" ou comment Obama embrasse le 'Hamas

 

WASHINGTON, 1er juillet (Xinhua) -- Le président américain, Barack Obama, a déclaré jeudi que les nouvelles sanctions "frappent au coeur" de la capacité du gouvernement iranien de financer ou de développer son programme nucléaire, avant de promulguer un projet de loi de sanctions adopté par le Congrès contre Téhéran.

Le Congrès américain a approuvé le 24 juin dernier la loi imposant de nouvelles sanctions contre l'Iran.

"Nous montrons au gouvernement iranien que ses actes ont des conséquences", a souligné M. Obama dans un communiqué rendu public par la Maison Blanche, ajoutant que si l'Iran persiste, "la pression continuera à se renforcer, de même que son isolement".

"Il n'y aura pas de doute : les Etats-Unis et la communauté internationale sont déterminés à empêcher l'Iran d'acquérir des armes nucléaires", a souligné le président américain.

Les sanctions, décrites par M. Obama comme "les plus dures" adoptées par le Congrès, interdisent aux entreprises de fournir des produits pétroliers raffinés à l'Iran ou d'aider ce dernier à se doter de capacités de raffinage. Par ailleurs, la loi vise également les institutions financières internationales liées aux Gardiens de la révolution iraniens.

Ces mesures visent à réduire l'approvisionnement en essence de la République islamique, et à l'isoler du système financier international. L'Iran, bien qu'il soit l'un des plus importants producteurs pétroliers, dépend lourdement des importations des produits pétroliers raffinés tels que l'essence.

Dans le communiqué, M. Obama a accusé l'Iran d'être le seul pays signataire du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP) qui n'a pas convaincu l'AIEA que son programme nucléaire a des fins pacifiques.

"Jusqu'à aujourd'hui, l'Iran a choisi la voie du défi. C'est pourquoi nous avons bâti une coalition de pays plus large et plus soudée pour faire pression sur le gouvernement iranien", a-t-il ajouté.

Le 9 juin, le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté une résolution, imposant le quatrième cycle de sanctions contre l'Iran depuis 2006.

Le 16 juin, le secrétaire au Trésor américain, Timothy Geithner, a annoncé que le gouvernement américain projette d'élargir les sanctions contre plus d'individus et d'entreprises iraniens, y compris la Banque postale de l'Iran, et les Gardiens de la révolution iraniens, entre autres.

Cependant, M. Obama a affirmé que la porte de la diplomatie reste encore ouverte, exhortant l'Iran à respecter ses obligations internationales.

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1 juillet 2010 4 01 /07 /juillet /2010 18:03

 

 

 

 

Attaquer ou ne pas attaquer l'Iran?

Enquête auprès des opinions publiques

Par GUZANSKY YOEL 
01/07/2010 09:08 

 


http://www.jpost.com/Opinion/Op-EdContributors/Article.aspx?id=180081

 

Adaptation : Aschkel

 

pour lessakele et aschkel.info


Ceux qui pensaient que les pays musulmans manifestent un rejet absolu de l'option militaire devraient se pencher sur les résultats en Egypte, en Jordanie, au Liban et en Indonésie, d'un récent sondage sur la République islamique.

 

Attaquer ou ne pas attaquer l'Iran? 

Telle est la question - ou plutôt, l'une des questions - posées dans le cadre d'une enquête «Global Attitudes" réalisée par le Pew Research Institute à Washington. Et les résultats? 

Surprenant, surtout en ce qui concerne les attitudes envers l'Iran et son programme nucléaire.



L'enquête a effectué un sondage dans 22 pays, elle a été menée dans la langue maternelle des répondants, et inclus échantillon d'un grand nombre de personne respectivement. Huit sur 10 Allemands, sept sur 10 Français et six sur 10 Britanniques ont des opinions négatives sur l'Iran.


Même dans les pays musulmans, 66  % en Égypte, 63% en Jordanie et 60% au Liban ont une opinion négative de l'Iran.


Il est intéressant de noter qu'en Turquie, dont la direction semble se rapprocher de la République islamique, 58% ont une opinion négative sur l'état chiite. Cela peut s'expliquer par le fait que la plupart des Turcs sont sunnites.

En effet, les résultats du Liban démontrent 'importance de la faille entre chiites et sunnites effectivement - 80% de sunnites démontrent une position négative à l'égard de l'Iran, tandis que 95% des chiites en ont une vision positive.

Une nette majorité s'oppose  aussi à des armes nucléaires en Iran, 98% des personnes interrogées en Allemagne, 96% au Japon, 95% en France, 94% aux États-Unis et 90% en Grande-Bretagne ne veulent pas voir l’Iran disposer d’armes nucléaires.



66% en Egypte, 64% au Liban et 63% en Turquie ne veulent pas voir des armes nucléaires en Iran, certains d'entre eux y voient une menace sérieuse.

Les enquêtes sont problématiques.

Dans la capacité de ces outils à refléter l'opinion publique, on peut affirmer qu'elles reflètent "seulement" l'opinion publique .Mais, même dans des régimes non démocratiques, peut-être surtout chez eux, une enquête pourrait être la seule façon de savoir ce que pensent les gens.

Pourquoi est-il important de savoir quelles est la tendance de l'opinion mondiale concernant l'Iran? Parce que les réponses ont un impact considérable sur la réponse politique qui pourrait être adoptée vis-à-vis de l'aspirant-Etat nucléaire. Plus important encore, l'enquête montre que parmi ceux qui s'opposent au programme nucléaire de l'Iran, une majorité répond qu'elle est prête à envisager une action militaire pour l'empêcher de se procurer des armes nucléaires, contre ceux qui préfèrent éviter la confrontation.

Ceux qui pensaient que les pays musulmans manifestent un rejet absolu de cette option devraient se pencher sur les résultats en Egypte, Jordanie, Liban et Indonésie, où 55%, 53%, 44% et 39%, respectivement, disent que l'Iran devrait se voir refuser une capacité nucléaire même au prix d'une confrontation militaire.

Il semble que l'opinion mondiale soutient plus que jamais une attaque contre les installations nucléaires de l'Iran. En effet, 66% des Américains, 59% des français et pour moitié des Espagnols, Britanniques, Brésiliens ,Indiens et Allemands préfèrent un Iran sans armes nucléaires, même au prix d'un conflit.

Toutefois, il existe encore des opposants, même si leur nombre est plus faible: 41% en France, 39% en Allemagne, 37% au Royaume-Uni, 34% en Espagne et 24% aux États-Unis, qui peuvent faire valoir leur voix et peuvent avoir un impact important En outre, on peut affirmer que les questions étaient formulées avec l'idée que l'action militaire était d'empêcher l'Iran d'obtenir des armes nucléaires . Et si l'action militaire ne se révélait pas un succès? Il est difficile de savoir si l'enquête reflète l'opinion publique mondiale et quel impact, le cas échéant, il aurait  sur les décideurs. Il semble que la moitié de la population comprend que l'option militaire est un juste prix, mais que le prix d'un Iran nucléaire est plus élevé encore, et justifie peut-être l'option militaire.


L'Enquête fournit un aperçu des attitudes sur le sujet, et cela pourrait aider ceux qui envisagent toutes les options contre l'Iran de mieux comprendre dans quelle direction souffle le vent.



L'auteur est chercheur à l'Institut d'études de sécurité nationale à l’Université de Tel Aviv. Il s'est joint à l'INSS, à la suite de la présentation au bureau du Premier ministre de la coordination des travaux sur le défi du nucléaire iranien pour le Conseil de sécurité nationale. 

 

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1 juillet 2010 4 01 /07 /juillet /2010 05:30

 

 

 

Missiles Shahab 3 qui reposent sur les missiles nord coréens Nodong 1/a et Nodong 1/b

 

 

VOIR L'ANIMATION


 

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