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23 juin 2010 3 23 /06 /juin /2010 21:59

 

 

BRUIT DE BOTTES

 

 

Attention : à lire avec précaution : difficile de déterminer dans quel sens travaille et pour qui IslamTime?
Reportage : Des avions de l’armée de l’air israélienne ont atterri sur une base saoudienne


Islam Times dévoile qu’un ou des avions de guerre israéliens ont déchargé de l’équipement militaire dans ce pays islamique, en prévision d’une frappe éventuelle en Iran.

 

Photo: Oren Agmon

Dudi Cohen

 

http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-3909732,00.html

 

Adaptation : Marc Brzustowski

Pour lessakele et aschkel.info

 

Publié le: 

23.06. 10, 17:25 / Israel News

 

 

 

 Au moins un avion cargo de l’armée de l’air israélienne aurait atterri durant le week-end dernier sur une base militaire d’Arabie Saoudite et déchargé une vaste quantité de matériel militaire, selon un reportage publié, ce mercredi par le site islamique Islam Times.

Le reportage, dont on peut questionner la crédibilité, prétend que ces équipements ont été déchargés sur une base proche de la ville de Tabuk, dans la région nord-ouest du pays, en prévision d’une frappe éventuelle en Iran.

 Ce reportage controversé a également été repris et publié par l’Agence de presse iranienne Fars, sous le titre : “Activité militaire suspecte du Régime sioniste en Arabie Saoudite”.

 

Selon ce reportage, Tsahal a construit une base militaire à approximativement 9 km (5.5 miles) de Tabuk, et lorsque les avions israéliens ont atterri, les 18 et 19 juin, tous les vols civils ont été annulés sur l’aéroport local.

L’un des passagers de Tabuk a remarqué que les civils à l’aéroport n’ont obtenu aucune explication concernant l’annulation des vols, mais qu’ils ont été remboursés par les autorités saoudiennes et hébergés dans des hôtels proches.

 

Plus loin, le reportage poursuit en affirmant que les relations secrètes entre Israël et l’Arabie Saoudite sont devenues le sujet principal des conversations parmi les habitants de la ville.

 

Un autre article, publié il y a deux semaines, prétendait que l’Arabie Saoudite testait ses systèmes de défense anti-missiles, dans le but de permettre aux avions de Tsahal de traverser son espace aérien pour aller bombarder les installations nucléaires en Iran.

 

 

 

Des members de la sécurité présents dans le Golfe Persique ont confié au Times Magazine basé à Londres que Ryiad avait donné son feu vert à Israël pour voler à travers un couloir aérien étroit dans le nord du pays, de façon à écourter le temps de trajet en direction de la République islamique.

 

Selon le Times, Ryiad a procédé à des tests afin d’être sûr que les systèmes ne s’activent pas si des avions israéliens étaient détectés, de façon à garantir que les jets d’Heyl Ha’avir ne soient pas interceptés par  les missiles de la défense saoudienne. Après que l’avion ait quitté la zone en question, le système reprendra son activité normale. 

 

 

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23 juin 2010 3 23 /06 /juin /2010 21:49

 

 

 

BRUIT DE BOTTES

 

L'Iran mobilise dans le nord du pays

 

 

          Warning !

LES SOURCES DE RENSEIGNEMENT DE DEBKAfile  notent trois autres développements qui semblent démentir que l'état d'alerte iranien soit réellement fondé : 


1.  
Un certain renforcement (limité) des forces américaines et israéliennes a eu lieu en Azerbaïdjan. Ni Washington, ni Jérusalem n'ont jamais reconnu une présence militaire dans ce pays frontalier de l'Iran. Mais des sources du renseignement occidental affirment que tous deux gardent un oeil vigilant sur les faits et gestes à l'intérieur de l'Iran, grâce à des bases de surveillance électronique installées dans ce pays. 

2.  L'Iran sent utile de faire de l'agitation pour répliquer à certaines mesures américaines. L'arrivée du groupe de combat de l'USS Harry Truman dans le Golfe Persique et la Mer d'Arabie, ainsi que ses manoeuvres de guerre avec la France et Israël, qui comportaient des exercices grandeur nature contre des cibles considérées comme iraniennes. 

3. L'exécution d'Abdelmalik Rigi, chef de l'organisation rebelle baloutche sunnite(comprenant les Iraniens Baloutches), le 20 juin avait une vocation dissuasive à l'intention des autres minorités. Au lieu de quoi, elles se montrent plus rétives que jamais. Plusieurs mouvements insurrectionnels azéris opèrent dans l'Azerbaïdjan iranien, en coordination avec leurs frères ethniques, à travers la frontière. Téhéran a décidé un renfort substantiel dans la province quisert de baromètre contre d'éventuels bouleversements. 


 

Des sources militaires à Téhéran ont indiqué que le gouvernement iranien faisait acheminer depuis quelques jours des troupes et du matériel militaire dans le nord-ouest du pays, dans la région de la Mer Caspienne. De longs convois de chars, de matériel d’artillerie, de batteries de D.C.A et d’unités d’infanterie ont été aperçus sur les routes qui mènent vers la frontière de l’Iran avec l’Azerbaïdjan. Ces forces militaires auraient même été déclarées « en état de guerre ».
Selon l’un des hauts-responsables des Gardiens de la Révolution, le Brigadier-Général Mehdi Moini, il s’agirait de « faire face à une attaque de forces conjointes américaines et israéliennes basées en Azerbaïdjan, qui se prépareraient à lancer une offensive contre des installations nucléaires sur le territoire iranien ». L’officier supérieur a ajouté « que certains pays européens compliquaient la situation en fomentant des troubles ethniques dans ces régions de la frontière nord de l’Iran afin de déstabiliser toute la région ».
Il est à noter qu’il s’agit de la première fois que les Iraniens parlent d’un risque d’attaque précis et géographiquement localisé de la part de troupes américaines et israéliennes, et envoient massivement des troupes vers cette zone. D’autres sources de renseignement indiquent qu’Israël a récemment envoyé un grand nombre de chasseurs-bombardiers vers des bases en Azerbaïdjan, via la Géorgie, pour épauler des forces américaines déjà stationnées dans ce pays d’Asie centrale.
Pour le moment, les autorités azéries n’ont pas encore réagi à ces informations en provenance d’Iran, ni à la concentration de forces iraniennes à la frontière sud du pays, qui est longue de plusieurs centaines de kilomètres.
Mardi, Ouzi Arad, Directeur du Conseil de la Sécurité Nationale et proche conseiller de Binyamin Netanyahou, a déclaré « que les sanctions décrétées récemment par l’ONU à l’encontre de l’Iran étaient loin d’être efficientes pour stopper le programme nucléaire iranien, et qu’il faudrait tôt ou tard opter pour une action militaire préventive».
Si ces informations étaient confirmées, cela laisserait à supposer que l’Azerbaïdjan remplacerait la Turquie voisine comme l’une des bases de lancement d’une offensive militaire contre le pays des Mollahs.


 

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23 juin 2010 3 23 /06 /juin /2010 05:56
L'Iran multiplie les incursions contre les Kurdes en Irak 
En décembre 2009, des rebelles du PJAK, le Parti pour une Vie libre au Kurdistan, s'entraînent dans les monts Qandil.
En décembre 2009, des rebelles du PJAK, le Parti pour une Vie libre au Kurdistan, s'entraînent dans les monts Qandil. Crédits photo : AP

Les victimes collatérales du conflit indépendantiste kurde situé au carrefour de l'Irak, de l'Iran et de la Turquie se chiffrent par milliers.

 


 

Perchée à plus de deux mille mètres d'altitude dans les monts du Qandil, la route qui mène du Kurdistan irakien à l'Iran, traditionnellement connue pour son trafic de contrebande, est désormais ponctuée de camps de réfugiés installés à l'improviste. Situé à une trentaine de kilomètres de la frontière entre les deux pays, le village de Zharawa se démarque du paysage par ses dizaines de tentes de fortune, accueillant des familles qui ont fui les combats entre l'armée iranienne et les rebelles du PJAK, le Parti pour une Vie libre au Kurdistan.

«Nous étions habitués aux tirs des soldats iraniens, mais la situation est devenue trop dangereuse pour rester», explique Ronak, assise en tailleur au chevet de Kani, sa fillette âgée de trois ans, souffrant de déshydratation aiguë. «Nous avons tout perdu», résume-t-elle, désespérée.

Les victimes collatérales du conflit indépendantiste kurde situé au carrefour de l'Irak, de l'Iran et de la Turquie se chiffrent par milliers. Derniers exemples en date, quatre membres d'une même famille qui ont trouvé la mort lors du bombardement de leur maison, dans la nuit de samedi à dimanche, par les Forces armées turques (TSK). Si, depuis près de trois décennies, la Turquie mène une lutte sans merci contre les quelque quatre mille rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) retranchés dans les monts du Qandil, la synchronisation des combats semble aujourd'hui démontrer que l'Iran a décidé de soutenir son nouvel allié régional dans l'anéantissement de la rébellion kurde.

 

Menace de riposte 

 

«L'Iran est un pays doté d'une vieille tradition diplomatique et se sert de la Turquie dans ses propres intérêts. Mais, dans le cas où les négociations concernant le nucléaire iranien échoueraient, cette alliance ne ferait pas long feu», estime Ahmet Deniz, le porte-parole du PKK. Depuis plus d'un mois, le regain des incursions terrestres et aériennes des deux plus puissantes armées de la région dans le nord de l'Irak, perçues comme la dernière illustration du rapprochement entre Ankara et Téhéran amorcé sur le dossier nucléaire iranien, inquiète. Il assombrit l'avenir du pays, en pleine crise politique depuis les élections législatives du 7 mars.

Le Gouvernement régional kurde (KRG), responsable du contrôle des frontières du nord de l'Irak avec l'Iran et la Turquie - et à la tête de la région la plus stable du pays -, peine à faire entendre ses appels au calme et au respect de la souveraineté territoriale. Téhéran et Ankara, qui l'accusent de fermer les yeux sur la présence du PJAK et du PKK, ne reconnaissent que Bagdad comme unique interlocuteur sur la question. Une situation d'autant plus difficile à gérer que le vide politique né des difficultés à former le nouveau gouvernement irakien persiste.

Mais, au-delà de ce qui pourrait s'apparenter à une crise diplomatique, les Kurdes soupçonnent l'Iran de vouloir les mettre au pas afin d'ouvrir la voie à l'Alliance nationale chiite, désormais à quelques sièges à peine de la majorité parlementaire.

Alors que les tractations entre les différentes formations politiques continuent, Téhéran voit d'un très mauvais œil un éventuel rapprochement entre la liste du Block irakien d'Iyad Allaoui et l'Alliance kurde, qui permettrait un retour sur la scène politique des sunnites à la tête d'un gouvernement soutenu par les États-Unis. Samedi 19 juin à Bagdad, lors d'une conférence de presse commune avec le général américain Michael Barbero, directeur adjoint des opérations interarmées, le chef d'état-major irakien, Babekir Zebari, s'est voulu menaçant : «Si les Forces iraniennes traversent à nouveau la frontière au Kurdistan, nous répondront à ces attaques afin de défendre la région.»

Un bras de fer dangereux, à quelques semaines du retrait total des troupes de combat américaines prévu fin août.

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22 juin 2010 2 22 /06 /juin /2010 22:08

 

(cliquez sur le titre, pour plus de détail en anglais). 

 Adaptation succincte par Gad pour lessakele et aschkel.info 
   
Dans 16 des 22 pays compris dans l'enquête du Pew Global Attitudes 2010, les enquêtés disent préférer une frappe militaire à la perspective d'un Iran nucléaire.
    
Aux Etats-Unis, 66% optent pour une frappe nucléaire, contre 24% qui objectent.
    
En Egypte, 55% soutiennent une frappe nucléaire sur l'Iran, comparés à 16% seulement qui s'y opposent. En Jordanie, les personnes en faveur d'un frappesur l'Iransont 53% /contre 20% contre.
    
Il n'y a qu'en Turquie qu'une majorité de répondants disent qu'elles s'accommoderaient d'un Iran nucléaire, contre ceux préférant une action militaire. 

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22 juin 2010 2 22 /06 /juin /2010 17:14

 

 

Le navire qui devait déjà être en route, a été retardé selon les officiels iraniens par manque de coopération internationale

 

L'Iran va envoyer un navire humanitaire à Gaza dimanche prochain (officiel)
  2010-06-22 22:12:36  xinhua
Le porte-parole de la Société iranienne du Croissant Rouge, Abdorra'uf Adibzadeh, a annoncé mardi que l'Iran envisage d'envoyer un navire transportant de l'aide humanitaire dans la bande de Gaza dimanche prochain.

Le navire transportera 1.100 tonnes d'aide humanitaire, dont 50 tonnes de médicaments, a indiqué Adibzadeh, ajoutant que l'aide devrait parvenir à Gaza dans 14 jours.

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Ramin Mehmanparast, a indiqué mardi que l'Iran est entré en contact avec le gouvernement égyptien et attend la réponse du Caire pour un itinéraire devant faciliter l'acheminement de l'aide.

Mehmanparast a précisé lors d'un point de presse que l'Iran a contacté le gouvernement égyptien afin que ce dernier prenne des dispositions pour faciliter l'acheminement des cargaisons à "la population appauvrie de Gaza", soulignant que tout effort pour l'ouverture d'une voie d'acheminement serait "appréciée par les nations", a indiqué le reportage.

Les officiels iraniens ont toujours utilisé une rhétorique violente pour condamner le siège israélien sur Gaza, demandant la levée totale du blocus et la réouverture de tous les points de passage vers Gaza afin que l'aide humanitaire puisse être acheminée dans le territoire.

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21 juin 2010 1 21 /06 /juin /2010 18:46

 

 

L'Iran interdit l'accès à ses installations
Lundi 21 juin 2010 

guysen.com

 

 

rouler-dans-la-farine-copie-1.jpg

 

 


L'Iran a décidé d'interdire l'accès de ses installations nucléaires à deux experts de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) accusés d'avoir donné de "fausses informations" sur son programme, a indiqué lundi le chef du nucléaire iranien Ali Akbar Salehi.
 
"Nous avons donné la semaine dernière à l'AIEA le nom de deux inspecteurs qui n'ont plus le droit de venir en Iran car ils ont divulgué le contenu du rapport (de l'Agence) avant qu'il ne soit annoncé officiellement et ont fourni de fausses informations", a déclaré M. Salehi, chef de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique (OIEA), cité par Isna.
 
Il n'a pas révélé le nom des deux inspecteurs, ni leur nationalité.
"Lors de la dernière réunion du conseil des gouverneurs de l'AIEA (ndlr: le 7 juin), le rapport de deux inspecteurs de l'agence était incorrect et nous avons protesté. Le rapport était totalement erroné", a affirmé M. Salehi.
 
"Selon la clause de sauvegarde (ndlr: du Traité de non prolifération nucléaire - TNP), nous avons demandé à ce qu'ils ne viennent plus en Iran et que l'agence présente deux autres inspecteurs" pour les remplacer, a ajouté M. Salehi.
 
Téhéran avait déjà protesté officiellement auprès de l'AIEA contre son dernier rapport en affirmant notamment qu'une information sur la disparition d'un équipement nucléaire clé d'une usine à Téhéran étaient "erronée".
 
"Nous avons déclaré à de nombreuses reprises que nous respectons nos engagements internationaux. Nous ne voulons rien de plus et nous ne renoncerons pas à nos droits", a affirmé M. Salehi.
 
Le rapport de l'AIEA, divulgué une semaine avant la réunion du conseil des gouverneurs, affirmait également que l'agence de l'ONU restait "inquiète" quant à la véritable nature du programme iranien, évoquant "la possible existence d'activités secrètes, passée ou présentes, liées au nucléaire, impliquant des organisations proches de l'armée".
 
"L'Iran est un cas particulier parce qu'il comprend, parmi d'autres choses, des éléments liés à une éventuelle dimension militaire de son programme nucléaire", avait ensuite souligné le directeur général de l'agence onusienne Yukiya Amano devant les 35 gouverneurs de l'AIEA.

G.I.N avec Agences

 

 

 

 

 

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20 juin 2010 7 20 /06 /juin /2010 01:26

 

Réponse de Téhéran

 

L'UE "va être confrontée à une réponse ferme et adéquate de l'Iran si elle poursuit sa politique de sanctions"....

"La politique de sanctions envers l'Iran sur son programme nucléaire n'aidera pas à résoudre les conflits mais va entraîner des dommages pour les entreprises européennes"lemonde.fr

Iran : les sanctions n'empêcheront pas Téhéran de poursuivre son programme
Les sanctions contre l'Iran ajoutées par l'Union européenne à celles de l'ONU n'empêcheront pas Téhéran de poursuivre son programme nucléaire, a affirmé un responsable iranien samedi.

actualite-israel

 

 

 

 

Le président français, Nicolas Sarkozy, en visite en Russie pour la signature d’accords économiques, a déclaré samedi à son homologue Dmitri Medvedev,  que son pays était prêt à entamer des négociations avec l’Iran au sujet de son programme nucléaire. Les contacts seront fondés sur un accord de remplacement signé entre l’Iran, le Brésil et la Turquie. Cet accord, d’après les autorités du régime islamiste, consiste à essayer de faire accepter aux grandes puissances le principe d’un échange d’uranium qui serait effectué en Turquie.

L’Iran remettrait ainsi 1200 kg d’uranium faiblement enrichi, à 3.5%, et recevrait en échange 120kg d’uranium enrichi à 20%, officiellement pour son réacteur de recherche médicale basé à Téhéran. Le président français fait appel aux sociétés représentées au Conseil de sécurité de l’Onu pour qu’elles s’associent aux négociations.

Cette déclaration suit de trois jours à peine la décision prise par l’Union Européenne, France comprise, d’intensifier les sanctions économiques contre l’Iran, et d’interdire la coopération et le soutien économique aux sociétés industrielles et pétrolières iraniennes. Or, pour Sarkozy, les sanctions ont été décidées dans un objectif bien précis: «Ces sanctions ont été prises non pas pour punir l’Iran mais pour convaincre ses dirigeants de reprendre le chemin des négociations.» Pour Sarkozy, les discussions pourraient commencer «sans délai» à Vienne, au siège de l’AIEA.

Sarkozy a tenu le raisonnement suivant: «Maintenant que nous avons les sanctions, il nous manque le dialogue. Il ne nous faut pas trancher entre les sanctions et le dialogue. Bien au contraire, c’est grâce aux sanctions que nous pourrons arriver au dialogue».

Fort de cette devise, le président français a l’intention d’associer à sa démarche l’ensemble du forum des Six, en entraînant, en plus de la France qu’il représente,  les États-Unis, l’Angleterre, le Russie, la Chine et l’Allemagne, pour traiter avec l’Iran de l’ensemble de son dossier nucléaire.


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19 juin 2010 6 19 /06 /juin /2010 20:23

 

 

 

Shavouah tov le koulam


Et pour bien commencer la semaine, dans la série des bonnes nouvelles....


 

 

 

L'Iran est capable de lancer des "centaines" de missiles contre l'Europe, selon les Etats-Unis

Publié le 18 juin 2010 - 

http://www.rnw.nl/afrique/bulletin/liran-est-capable-de-lancer-des-centaines-de-missiles-contre-leurope-selon-les-etats-unis

L'Iran est capable de lancer une attaque contre l'Europe au moyen de "dizaines ou même de centaines" de missiles, ce qui a conduit les Etats-Unis a revoir son système de défense antimissile, a assuré jeudi le secrétaire américain à la Défense, Robert Gates.

La Maison Blanche avait décidé en septembre de troquer un projet de bouclier antimissile en Europe centré sur une menace de tirs de missiles iraniens de longue portée, pour un système protégeant plutôt les alliés de l'Otan de tirs balistiques de courte et moyenne portée.

"Un des éléments (fourni par) les renseignements qui a contribué à la décision (de changer de système de défense antimissile) a été de prendre conscience que si l'Iran devait lancer une attaque de missiles contre l'Europe, il ne s'agirait pas de seulement un ou deux missiles ou même d'une poignée", a dit M. Gates lors d'une audition au Sénat.

"Il s'agirait plutôt d'une salve, dans laquelle on aurait potentiellement affaire à des dizaines ou même des centaines de missiles", a-t-il assuré, ajoutant qu'il soutenait le nouveau projet "capable de protéger nos troupes, nos bases, nos installations et nos alliés en Europe".

M. Gates et la chef de la diplomatie américaine, Hillary Clinton, ont tenté jeudi de convaincre le Sénat que le nouveau traité START de désarmement nucléaire n'affaiblirait pas les plans de défense antimissile des Etats-Unis.

Le nouveau traité START prévoit d'importantes réductions des arsenaux nucléaires des Etats-Unis et de la Russie. Mais cette dernière a dit se réserver le droit de se retirer du traité si Washington poursuit le déploiement de systèmes antimissile en Europe de l'Est d'une manière qui ne conviendrait pas à Moscou.

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18 juin 2010 5 18 /06 /juin /2010 03:58
Ahmadinejad donne des leçons de démocratie aux Etats-Unis 
Editorial de la semaine du 18/06/2010
Par Mathias Inbar pour Guysen International News - Vendredi 18 juin 2010 à 01:27

Nouvelles déclarations et nouvelles provocations. Mais cette fois, le président iranien ne s'en prend ni à Israël, ni à la communauté internationale, mais à son homologue américain. Selon Mahmoud Ahmadinejad, Barack Obama serait aujourd'hui à la tête de la plus violente des dictatures jamais infligée au peuple américain. Il convient alors de s'arrêter un instant sur le sens étymologique du terme dictature, puis d'expliquer sa définition. 

 Le terme de dictature est emprunté au vocabulaire politique de la République romaine. En cas de crise sérieuse, on y créait un « dictateur », magistrat investi de pouvoirs quasi absolus pour une durée limitée (six mois en principe). Il s'agissait ensuite de revenir à une organisation normale des pouvoirs publics 
 
Deux mille ans plus tard, voici la définition que propose l'Encyclopædia Universalis. 
 
 « La dictature est un régime politique autoritaire, établi et maintenu par la violence, à caractère exceptionnel et illégitime. Elle surgit dans des crises sociales très graves, où elle sert soit à précipiter l'évolution en cours (dictatures révolutionnaires), soit à l'empêcher ou à la freiner (dictatures conservatrices). Il s'agit en général d'un régime très personnel ; mais l'armée ou le parti unique peuvent servir de base à des dictatures institutionnelles. » 
 
Revenons donc aux propos de Mahamoud Ahmadinejad. Selon lui, le président américain est à la tête d'un parti politique à la pensée unique,  élu de manière illégitime, et  servant  de son pouvoir de manière arbitraire. 
 
Le chef de l'exécutif iranien est, d'ailleurs, tellement sûr de son fait qu'il n'hésite à nous faire partager son opinion.  
 
« Les Américains ne sont pas libres d'exprimer leurs opinions (...) ne sont pas libres de manifester et nombre d'entre eux vivent dans la pauvreté. M. le président, si vous vous inquiétez pour les nations, il faudrait que vous pensiez en premier lieu à votre propre peuple. Désormais, l'une des exigences du peuple iranien est de libérer la nation américaine du gouvernement américain oppressif et non démocratique » 
  
Et la foule de reprendre en coeur « Mort à l'Amérique ! » 
 
Au moment de prendre notre plume, nous nous sommes posés la question de savoir s'il fallait de facto retranscrire le dernier discours de Mahmoud Ahmadinejad. S'il fallait offrir une nouvelle tribune à ces propos dénués de sens, intolérants, haineux, et hargneux. 
 
La question est posée... A vous de juger.

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17 juin 2010 4 17 /06 /juin /2010 22:54

 

Par Aschkel

 

Pour Aschkel.info et Lessakele

 

Source http://english.farsnews.com/newstext.php?nn=8903270757

 

 

 

 

Téhéran  ne  tolérerera pas l'inspection de ses bateaux 

TEHERAN (FNA) - L'Iran ne tolérerat pas une inspection de ses navires en haute mer, sous le prétexte de la nouvelle résolution du Conseil de sécurité contre le pacifique du pays le programme nucléaire,  a déclaré jeudi un haut législateur iranien. 



Iran exercera des représailles pour tout contrôle  de ses navires en haute mer, a déclaré le rapporteur national du Parlement de la sécurité et la politique étrangère de la Commission Kazzem Jalali, aux journalistes en marge d'une session ouverte du Parlement. 


"Ceux qui inspecteraient les navires iraniens, doivent mesurer les conséquences de leurs actes à compter de ce moment , at-il ajouté. 

"La République islamique d'Iran doit faire valoir ses droits", a déclaré M. Jalali, soulignant que l'Iran jouit de nombreux avantages notamment celui d'être un pays puissant, ainsi que la possession de la voie navigable stratégique du détroit de Hormuz dans la région du golfe Persique. 

"Un de ces droits est que l'un des points les plus sensibles du monde, le détroit d'Ormuz dans le Golfe Persique, appartient à l'Iran", a déclaré le député. 

Il a souligné que Téhéran ne tolérerait pas l'inspection de ses navires par d'autres pays sous le prétexte d'une nouvelle résolution adoptée par le Conseil de sécurité des Nations Unies contre l'Iran pour ses activités nucléaires pacifiques. 

Sous de fortes pressions exercées par les États-Unis et le régime sioniste, la Résolution 1929 a été adoptée le 9 Juin par un vote de 12 voix pour, deux contre (Brésil, Turquie), et une abstention (Liban). 

Il a exhorté les autres pays d'inspecter "les navires en haute mer avec le consentement de l'État du pavillon». 

La résolution a également appelé tous les États à coopérer à ces inspections. 

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