Iran en chiffres: 10 nouveaux sites d'enrichissement d'uranium
http://www.theisraelproject.org/site/c.hsJPK0PIJpH/b.672581/k.DB67/The_Israel_Project__For_Freedom_
Security_and_Peace.htm
Le président Barack Obama a récemment prévenu que le temps pour l'Iran "s'épuise" pour se joindre aux négociations internationales autour de son programme nucléaire.[1] La République islamique,principal Etat au monde à sponsoriser le terrorisme, déçoit la communauté internationale sur ses activités nucléaires depuis près d'une décennie, incitant le Premier ministre britannique Gordon Brown à déclaré que "la communauté internationale n'a aujourd'hui pas d'autre choix que de fixer des limites" en ce qui concerne les ambitions nucléaires iraniennes.[2]
Ci-dessous, vous trouverez des chiffres et des faits relatifs aux violations nucléaires, au parrainage du terrorisme et aux affaires intérieures et internationales de l'Iran.
Activité nucléaire
· 10 : Nouvelles usines d’enrichissement d’uranium que l’Iran s'apprête à construire[3]
• 5 412 : Centrifugeuses iraniennes opérationnelles pour l’enrichissement d’uranium depuis le mois de février 2009. 125 centrifugeuses supplémentaires ont été mises en place mais ne sont pas actuellement utilisées. [4]
• 2, 75 kilogrammes : Quantité d'uranium légèrement enrichi (ULE) que l'Iran aurait produit quotidiennement depuis le 5 juin 2009. A ce régime, l'Iran disposerait de suffisamment d'uranium à échelon d'armes pour créer deux armes nucléaires d'ici février 2010. Si toutes les 7 052 centrifugeuses signalées étaient utilisées, les armes pourraient être développées d'ici mi-décembre 2009. [5]
• 4 : Résolutions du Conseil de Sécurité de l'ONU (CSNU) qui somment l'Iran de mettre fin à son programme d'enrichissement duranium et auxquelles l'Iran s’oppose : résolutions 1696, 1737, 1747 et1803 du CSNU.[6]
• 3 000 : Nombre de centrifugeuses que les inspecteurs de l'AIEA ont confirmées que l'usine nucléaire de Qom, autrefois secrète, était capable de stocker; assez pour produire de la matière pour des armes nucléaires mais inadaptées pour la production de combustible à des fins civils.[7]
• Environ 6 : Pays — y compris l'Arabie Saoudite, l'Egypte et la Turquie – poursuivraient également une technologie nucléaire si le programme nucléaire iranien continue à se développer, incitant une course à l'armement au Proche-Orient et déstabilisant l'ensemble de la région. [8]
Terrorisme
• 900 : Agents du Hamas formés par l'Iran.[9]
• 3 000 : Agents du Hezbollah formés par l'Iran.[10]
• 20 millions de dollars - 30 millions de dollars : Financement annuel de l'Iran pour le Hamas. L'Iran a donné 50 millions de dollars supplémentaires à la suite de la victoire du Hamas aux élections palestiniennes de 2006. [11]
• 200 millions de dollars : Financement annuel de l’Iran pour le Hezbollah. L'Iran a également donné 300 millions de dollars supplémentaires à la suite de la guerre défensive d'Israël contre le Hezbollah en 2006.[12]
• 2 millions de dollars : Financement annuel de l’Iran pour le Jihad islamique palestinien.[13]
• 29 morts et 242 blessés : Lors du bombardement de l'ambassade d'Israël à Buenos Aires en Argentine, en 1992. En février 2008, un juge américain a statué que le Hezbollah et l'Iran étaient responsables du bombardement. Le juge a dédommagé la famille de David Ben Rafael, une des victimes de l'attentat né aux États-Unis, de 63 millions de dollars en dommages et intérêts.[14]
• 85 morts et 300 blessés : Lors du bombardement du centre juif AMIA à Buenos Aires, en 1994. En Octobre 2006, des procureurs argentins ont accusé le Hezbollah d'avoir exécuté le bombardement et le gouvernement iranien d'avoir ordonné au Hezbollah de le faire. [15]
• 7 : Iraniens accusés du bombardement du centre juif AMIA, y compris l'ancien président iranien Akbar Hashemi Rafsanjani. Le commandant du Hezbollah libanais Imad Mughniyeh, tué en février 2008, avait également été accusé du bombardement. Les accusations ont été proférées par des procureurs argentins en octobre 2006 et Interpol a délivré des mandats d'arrêts internationaux contre six des individus qui ont été accusés en mars 2007, mais pas contre Akbar Hashemi Rafsanjani.[16]
• 70 000 : Terroristes suicidaires en Iran qui se sont portés volontaires pour attaquer Israël.[17]
• 500 : Tonnes d'armes perfectionnées saisies le 3 novembre par la marine israélienne dans un navire iranien à destination du Hezbollah, au Sud Liban.[18] Les armes saisies incluent 9 000 bombes pour mortiers, 2 000 roquettes Katioucha, 3 000 cartouches d'armes sans recul, 20 000 grenades et plus d'un demi-million de cartouches de munitions d'armes légères.[19]
• 60 kilomètres : Distance que peuvent atteindre les roquettes financées par l'Iran et données au Hamas. Si elles étaient tirées de Gaza, les roquettes pourraient frapper Tel-Aviv.[20]
• 200 : Roquettes Katioucha type Grad 122mm, fournies par l'Iran et tirées par le Hamas sur des villes israéliennes pendant l'Opération Plomb Durci, l'opération défensive israélienne à Gaza.[21] L'Iran a également fourni au Hamas des obus de mortiers standards 120mm fabriqués en Iran, dont des douzaines ont été tirés sur Israël pendant l'opération défensive, du 27 décembre 2008 au 18 janvier 2009.[22]
• 40 pays et 5 continents : Régions dans lesquelles le Hezbollah est actif.[23]
• 1 248 : Nombre de jours que le Hamas, soutenu par l'Iran, détient le prisonnier Gilad Shalit depuis son enlèvement, le 25 juin 2006, au cours d'un raid transfrontalier non provoqué.[24]
Affaires intérieures : crime et châtiment
• 6.0 : Le classement de Freedom House, qui examine le statut de la liberté en Iran (7.0 étant le plus bas et 1.0 le plus élevé).[25]
• 39 : Délinquants sexuels sur des enfants ont été exécutés en Iran depuis 1990, selon Amnesty International ; le dernier cas d'exécution remonte à janvier 2009. [26]
• Environ 381 : Personnes ont été exécutées en Iran en 2008.[27]
• Environ 20 personnes ont été tuées et plus de 1 000 personnes arrêtées au cours des affrontements entre la police et les manifestants qui ont suivi la réélection frauduleuse du président iranien Mahmoud Ahmadinejad.[28]
Affaires internationales
• 20 : Langues dans lesquelles les programmes radiophoniques et télévisés sont diffusés par la société de radiodiffusion de la République islamique d'Iran et le Service Mondial contrôlés par le gouvernement.[29]
• 400 employés et 26 correspondants qui travaillent pour Press TV, un réseau d'informations iranien financé par le gouvernement iranien.[30]
• 10 – 30 : Pourcentage des revenus que les résidents de Maicao, Colombie, ont donné au Hezbollah.[31]
• 1 : Vol par semaine entre la capitale iranienne, Téhéran, et Caracas, la capitale du Venezuela.[32]
Investissements internationaux considérables en Iran [33]
1. BNP Paribas, France
2. ING, Pays-Bas
3. Royal Dutch Shell plc, Pays-Bas
4. China National Petroleum Company (Compagnie pétrolière nationale chinoise), Chine
5. Gazprom, Russie
6. Lukoil, Russie
7. Essar Oil, Inde
8. Hyundai, Corée du Sud
9. Siemens, Allemagne
10. Nokia, Finlande
11. Mitsubishi, Japon
12. HSBC, Londres
13. Volvo, Suède
[Mercredi 02/12/2009 22:41]