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13 octobre 2009 2 13 /10 /octobre /2009 10:01
 
C'est à Bruxelles, à Paris, .........En Europe Quoi !


La fraude des mots

Isaac Franco
© Primo, 12-10-2009
 
http://www.primo-info.eu/ 
 

En Belgique, les manifestations de "jeunes" dans les quartiers sensibles de Bruxelles et l'organisation d'"Assises de l'interculturalité" sont le prétexte à des manifestations anti-israéliennes et revendications islamistes.

C’est une scène que chacun d’entre nous a déjà vue au cinéma.

Un homme séquestre une poignée de malheureux qu’il menace d’exécuter si les forces de l’ordre ne satisfont pas à ses conditions.

Le bras de fer commence, la tension monte et, très vite, c’est l’impasse.

Apparaît alors l’incontournable flic bourru à la dégaine désenchantée, le négociateur. Sa tâche ? Engager le dialogue avec le preneur d’otages, sonder sa résistance, découvrir ses faiblesses et l’amener à libérer ses proies sans verser le sang. 

Dans notre beau pays qui défile sans honte depuis le 11 janvier dernier et néglige les représentants élus d’une communauté juive sacrifiée sur l’autel de la cohésion nationale et de l’électoralisme, le dialogue interculturel, c’est un peu le même principe.

Sauf que le négociateur n’a pas ici les traits creusés de ce flic renfrogné, mais ceux lisses et avenants des brahmanes de la nouvelle religion du penser-correct, ces professionnels du « bien vivre ensemble » et du « débat sociétal » recrutés dans le monde politique, les universités, les médias et les ONG pour convaincre, non le preneur d’otages de se rendre à la raison, mais les otages d’accepter, le sourire aux lèvres en prime, de la perdre.

Une armée d’experts au discours savamment truffé des mots sucrés de tolérance, métissage et fraternité contribue ainsi à installer insidieusement dans nos rues et dans nos têtes une autre culture de l’exclusion qui, au nom des droits de l’homme, cautionne les nouveaux anathèmes et expose notre société aux dangers d’un nouvel obscurantisme. 

Platon déjà ne disait-il pas que la perversion de la Cité commence par la fraude des mots ?

Des rues et des têtes où règne désormais la peur qui, chaque jour un peu plus, questionne la prééminence de cette conquête, la liberté, sans laquelle la paix civile n’est que le visage outrageusement maquillé de la résignation et de la capitulation.

N’est-ce donc pas au nom de cette paix civile au rabais que des agents de police de notre bonne ville de Bruxelles sont désormais commandés, pendant le jeûne du Ramadan surtout, de faire profil bas, de ne dresser aucun procès-verbal et de ne procéder à aucune interpellation pour ne pas provoquer la colère des sauvageons dans nos quartiers sensibles ?

Les lois les plus élémentaires impunément bafouées, les propriétés privées saccagées ou incendiées, les pompiers caillassés, les policiers humiliés et les journalistes si frileux pour rendre compte de ces délits gravement attentatoires à l’ordre public témoignent de ce que notre société ne pourra s’accommoder longtemps des Tables de la Loi de cet illusoire « bien vivre ensemble » qu’en se retranchant volontairementun morceau vital de sa propre chair – que dis-je ? Un organe vital de ses entrailles. (*)

Dans un an, dans un siècle, réveillée de sa narcose, cette Europe sentira une douleur que rien ne pourra adoucir et l’incapacité de se lever et de marcher, de rester debout. (*) 

Mais aujourd’hui, la lâcheté s’appelle prudence, la fuite retraite stratégique, la résignation se déguise en dignité, l’homme rossé ne crie plus parce qu’il s’imagine qu’on cessera de lui cogner dessus s’il ne crie pas. (*)

N’est-ce pas à cette sacralisation du dialogue avec des interlocuteurs qui l’instrumentalisent impudemment qu’on doit d’endurer des femmes ensevelies sous un linceul dans l’espace public ?

N’est-ce pas pour satisfaire à ce verbiage fumeux d’ingénieur appliqué à une sociologie de comptoir, un salmigondis de portes ouvertes et de ponts jetés au nom du respect dû aux autres cultures en dépit du mépris que certaines d’entre elles nourrissent pour celle de leur pays d’accueil, qu’on tolère à Anvers des milices privées contrôlant le travail de la police ?

Ne consentons-nous pas ainsi à un apartheid social et culturel au bénéfice d’une minorité nombreuse et intimidante, quand toutes les autres qui l’ont précédée auront, elles, été tenues de s’intégrer sans ménagement et sans égard pour leurs identités et leurs particularismes d’origine ?

Ne risquons-nous pas de radicaliser la large majorité silencieuse frustrée par l’anathème qui frappe désormais tout citoyen interrogeant, perplexe, son avenir dans une telle société multiculturelle où certaines communautés ne seraient pas dûment instruites de tous leurs devoirs ?

Alors, parce que c’est à l’appel de ceux-là mêmes qui font la promotion de ce « bien vivre ensemble » qu’on a défilé un 11 janvier de honteuse mémoire et parce que les yeux et les oreilles du monde aveuglent les yeux vivants et assourdissent les oreilles attentives des hommes, (…) il faut mettre les Juifs en garde !

Il y a un point à partir duquel leur fidélité ridicule et obstinée envers les bandits (…) des pays dont ils sont les hôtes, éveillera de la méfiance envers eux-mêmes. (*)


Bruxelles, Octobre 2009


(*) « Une heure avant la fin du monde », extraits de textes tirés de Joseph Roth. Werke. vol. 2 et 3, Das journalistische Werk 1924-1939

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12 octobre 2009 1 12 /10 /octobre /2009 12:02
 Lettre à Golda Meir, 
Israël, le Hamas et les Nations

Eric-Simon Hanoune (Comité Directeur de SIONA) pour le CRIF. Adaptation Yerouchalmi
http://yerouchalmi.web.officelive.com/default.aspx
.
         Votre enfant, le petit Etat d’Israël, vous pouvez en être fière, 
lui qui est devenu un des champions dans tant de matières : agriculture, médecine, High-Tech… mais aussi démocratie ! Pourtant, certains estiment qu’il mérite l’exclusion, au banc des nations qui l’accusent de massacre, de crime de guerre... 
   Alors, je repense à certaines de vos réflexions qui prennent aujourd’hui tout leur sens !


La haine dont vous parliez, Golda, n’a jamais tari.
   
Depuis son retrait complet de Gaza, Israël a remis le destin de ce territoire à l’Autorité Palestinienne. Pourtant, les tirs de roquettes sur le sud d’Israël et ses civils ont augmenté de façon exponentielle, faisant retomber la paix que laissaient espérer tant le désengagement que les milliards d’euros alloués à Gaza qui ne sont allés ni dans la construction d’écoles, ni dans le développement, mais dans l’achat d’armes, la construction de tunnels destinés à les acheminer… La stratégie des radicaux du Hamas a consisté à harceler quotidiennement Israël en envoyant des Kassam sur les civils israéliens.
   
Durant 8 ans, Israël s’est refusée à  intervenir alors que le harcèlement du Hamas n’a jamais cessé (y compris le kidnapping maffieux du franco-israélien Guilad Shalit) avec des armes d’Iran ou de Russie qui peuvent atteindre des villes comme Ashkelon, Beersheva ou Ashdod.  Le cessez-le-feu de juin 2008 fut violé par le Hamas. 
   
Après 8 ans de tirs incessants sur ses civils, Israël a lancé il y a un an l’opération « plomb durci » contre cette organisation terroriste pour faire cesser les tirs et empêcher l’approvisionnement en armes. 
Bien sûr l’armée israélienne cible d'abord les terroristes, les caches d’armes, les tunnels !
Bien sûr les tracts pleuvent et les appels téléphoniques retentissent pour exhorter les civils à quitter les lieux bombardés !
Mais, inévitablement, des civils ont été tués et
 trop de civils sont les victimes de ce conflit. 
   
Le Hamas en est la vraie cause, du fait de sa stratégie ignoble : 
faire le maximum de victimes civiles pour remonter l'opinion contre Israël. 

   
Comment lui pardonner ses méthodes odieuses de boucliers humains et ses tirs de roquettes depuis même les habitations ou les écoles ? Comment lui pardonner sa transformation des mosquées en arsenaux militaires ? Bref, comment pardonner la prise en otage du peuple palestinien par une poignée de fanatiques illuminés ?
Vous disiez «je préfère les reproches aux condoléances»

Golda, Israël estimant que 5.000 roquettes sur son territoire et 8 années de retenue suffisaient, a décidé d’opter pour les reproches plutôt que pour les condoléances.
   Des manifestations ont lieu un peu partout, pas pour soutenir Israël contre le terrorisme,
mais pour dénoncer Tsahal !! Les islamistes sont dans la rue, drapeaux du Hamas ou du Hezbollah au poing, aux côtés de communistes, d’alternatifs, de verts... "Israël est l’assassin". L’étoile de David est ornée d’une croix gammée, sans se soucier de l’étiologie du mal, sans réaliser que le Hamas reste le pire ennemis du peuple palestinien.
   
Quelle Nation accepterait de recevoir 1 seul missile sans réagir ? Quel chef d’Etat pourrait faire l’impasse sur la sécurité des personnes et des biens ? Pourquoi la lutte contre le terrorisme n’est-elle plus une cause juste ? 
   
Pourquoi ces mêmes manifestants étaient-ils absents  : 
- lorsque des milliers de musulmans étaient massacrés en Tchétchénie par les russes, 
- par les algériens en Algérie, par les irakiens en Irak, 
- quand une centaine de palestiniens du Fatah se faisaient liquider par ceux du Hamas… 
Il est vrai qu’aujourd’hui le fort c’est le juif, rôle insupportable pour beaucoup !
 
"Le pessimisme, luxe qu'un juif ne peut se permettre"
 
Je ne suis, hélas, pas convaincu qu'ici vous disiez vrai : 
   - Comment croire en une paix avec un Hamas dont la charte vise l’éradication d’Israël 
   - Dont la charte vise un état islamique soucieux d’appliquer la charia ? 
   - Comment espérer un jour meilleur lorsque les enfants de Palestine sont «piqués» à la martyrologie dès leur jeune âge et apprennent la haine du juif dans leurs livres scolaires? 
   - Comment choisir l’optimisme lorsque si peu de voix se font entendre pour soutenir Israël dans sa lutte contre le terrorisme ?
          
Chère Golda, je vais vous laisser, non sans vous demander, vous qui n’avez jamais cédé au pessimisme, de prier de là où vous êtes pour les enfants palestiniens, de prier pour les enfants israéliens, de prier pour que ni les uns, ni les autres ne grandissent dans la haine.3. Lettre à Golda Meir, 
Israël, le Hamas et les Nations

Eric-Simon Hanoune (Comité Directeur de SIONA) pour le CRIF. Adaptation Yerouchalmi
.
         Votre enfant, le petit Etat d’Israël, vous pouvez en être fière, 
lui qui est devenu un des champions dans tant de matières : agriculture, médecine, High-Tech… mais aussi démocratie ! Pourtant, certains estiment qu’il mérite l’exclusion, au banc des nations qui l’accusent de massacre, de crime de guerre... 
   Alors, je repense à certaines de vos réflexions qui prennent aujourd’hui tout leur sens !


La haine dont vous parliez, Golda, n’a jamais tari.
   

Depuis son retrait complet de Gaza, Israël a remis le destin de ce territoire à l’Autorité Palestinienne. 
Pourtant, les tirs de roquettes sur le sud d’Israël et ses civils ont augmenté de façon exponentielle, faisant retomber la paix que laissaient espérer tant le désengagement que les milliards d’euros alloués à Gaza qui ne sont allés ni dans la construction d’écoles, ni dans le développement, mais dans l’achat d’armes, la construction de tunnels destinés à les acheminer… La stratégie des radicaux du Hamas a consisté à harceler quotidiennement Israël en envoyant des Kassam sur les civils israéliens.
   
Durant 8 ans, Israël s’est refusée à  intervenir alors que le harcèlement du Hamas n’a jamais cessé (y compris le kidnapping maffieux du franco-israélien Guilad Shalit) avec des armes d’Iran ou de Russie qui peuvent atteindre des villes comme Ashkelon, Beersheva ou Ashdod.  Le cessez-le-feu de juin 2008 fut violé par le Hamas. 
   
Après 8 ans de tirs incessants sur ses civils, Israël a lancé il y a un an l’opération « plomb durci » contre cette organisation terroriste pour faire cesser les tirs et empêcher l’approvisionnement en armes. 
Bien sûr l’armée israélienne cible d'abord les terroristes, les caches d’armes, les tunnels !
Bien sûr les tracts pleuvent et les appels téléphoniques retentissent pour exhorter les civils à quitter les lieux bombardés !
Mais, inévitablement, des civils ont été tués et
 trop de civils sont les victimes de ce conflit. 
   
Le Hamas en est la vraie cause, du fait de sa stratégie ignoble : 
faire le maximum de victimes civiles pour remonter l'opinion contre Israël. 

   

Comment lui pardonner ses méthodes odieuses
 de boucliers humains et ses tirs de roquettes depuis même les habitations ou les écoles ? Comment lui pardonner sa transformation des mosquées en arsenaux militaires ? Bref, comment pardonner la prise en otage du peuple palestinien par une poignée de fanatiques illuminés ?
Vous disiez «je préfère les reproches aux condoléances»



Golda, Israël estimant que 5.000 roquettes sur son territoire et 8 années de retenue suffisaient, a décidé d’opter pour les reproches plutôt que pour les condoléances.
   Des manifestations ont lieu un peu partout, pas pour soutenir Israël contre le terrorisme,
mais pour dénoncer Tsahal !! Les islamistes sont dans la rue, drapeaux du Hamas ou du Hezbollah au poing, aux côtés de communistes, d’alternatifs, de verts... "Israël est l’assassin". L’étoile de David est ornée d’une croix gammée, sans se soucier de l’étiologie du mal, sans réaliser que le Hamas reste le pire ennemis du peuple palestinien.
   

Quelle Nation accepterait de recevoir 1 seul missile sans réagir ?
 Quel chef d’Etat pourrait faire l’impasse sur la sécurité des personnes et des biens ? Pourquoi la lutte contre le terrorisme n’est-elle plus une cause juste ? 
   

Pourquoi ces mêmes manifestants étaient-ils absents
  : 
- lorsque des milliers de musulmans étaient massacrés en Tchétchénie par les russes, 
- par les algériens en Algérie, par les irakiens en Irak, 
- quand une centaine de palestiniens du Fatah se faisaient liquider par ceux du Hamas… 
Il est vrai qu’aujourd’hui le fort c’est le juif, rôle insupportable pour beaucoup !
 


"Le pessimisme, luxe qu'un juif ne peut se permettre"
 
Je ne suis, hélas, pas convaincu qu'ici vous disiez vrai : 
   - Comment croire en une paix avec un Hamas dont la charte vise l’éradication d’Israël 
   - Dont la charte vise un état islamique soucieux d’appliquer la charia ? 
   - Comment espérer un jour meilleur lorsque les enfants de Palestine sont «piqués» à la martyrologie dès leur jeune âge et apprennent la haine du juif dans leurs livres scolaires? 
   - Comment choisir l’optimisme lorsque si peu de voix se font entendre pour soutenir Israël dans sa lutte contre le terrorisme ?
          

Chère Golda, je vais vous laisser, non sans vous demander, vous qui n’avez jamais cédé au pessimisme, de prier de là où vous êtes pour les enfants palestiniens, de prier pour les enfants israéliens, de prier pour que ni les uns, ni les autres ne grandissent dans la haine.
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11 octobre 2009 7 11 /10 /octobre /2009 12:15

Arrestation de deux islamistes présumés dans l'Isère, suite :

Al-Qaïda: Le Cern infiltré?


http://www.lejdd.fr/Societe/Justice/Actualite/Al-Qaida-Le-Cern-infiltre-140851/

L'une des deux personnes présumées proches d'Al-Qaïda arrêtées jeudi à Vienne (Isère) poursuivait des travaux au Centre de recherche nucléaire de Genève (Cern), a-t-on appris vendredi de source judiciaire.

 


L'enquête sur les deux terroristes présumés arrêtés jeudi à Vienne (Isère) avance. L'une des deux personnes, supposées proches d'Al-Qaïda, poursuivait des travaux au Centre de recherche nucléaire de Genève (Cern), a-t-on appris vendredi de source judiciaire. Selon le Figaro.fr, qui cite un expert de l'antiterrorisme français, le suspect -un Français d'origine algérienne âgé de 32 ans- travaillait comme chercheur dans l'organisation européenne pour la recherche nucléaire -qui gère notamment le Grand collisionneur de hadrons (LHC)-, et "aurait renseigné Al-Qaïda sur des sites à frapper dans l'Hexagone".


Dans un communiqué, le Cern précise que l'homme "n'était pas employé" par le centre de recherche et qu'il "poursuivait ses recherches dans le cadre d'un contrat avec un institut extérieur". "Durant son travail, il n'a jamais été en contact avec quelque élément qui pourrait être utilisé à des fins terroristes", ajoute le communiqué. "Aucune des recherches menées au Cern n'a d'application militaire potentielle."


Pas de projets d'attentats établis


Selon la source judiciaire, qui confirme une information du Figaro.fr, le suspect, interpellé avec son frère, était bien en contact avec des personnes proches d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), la branche nord-africaine de la nébuleuse islamiste. Mais, à ce stade de l'enquête, les policiers de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) n'ont pas mis en évidence l'existence de projets d'attentats "clairement établis", dit-on de même source.


De son côté, le parquet de Paris s'est montré prudent sur l'éventuelle préparation d'attentats. "L'une des deux personnes gardées à vue, le frère aîné, un ingénieur de 32 ans, présente un profil intéressant", a expliqué un porte-parole du parquet. "Les enquêteurs agissant sur commission rogatoire ont noté qu'il utilisait beaucoup internet et il y a de nombreux échanges de courriels qui font actuellement l'objet d'une exploitation", a-t-il ajouté.

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11 octobre 2009 7 11 /10 /octobre /2009 09:46
Exploitation du rapport Goldstone
Par JPOST.FR
09.10.09






http://fr.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1254861906797&pagename=JFrench%2FJPArticle%2FShowFull


"Le Hamas tenterait de tirer un cynique avantage du rapport onusien accusant Israël de possibles crimes de guerre au cours de l'opération de décembre dernier à Gaza, cherchant à s'attirer les faveurs de ses partisans", a déclaré Riad Malki, en charge des Affaires étrangères de l'AP à l'ONU jeudi.


Riad Malki, ministre des Affaires étrangères de l'AP.
Photo: AP , JPost

L'Autorité palestinienne avait initialement fait pression sur le Conseil de sécurité pour qu'il considère l'utilisation "disproportionnée" de la force par Israël et son échec dans la protection de civils palestiniens au cours de l'opération "Plomb durci".


Le rapport met également en accusation certains groupes armés palestiniens de possibles crimes de guerre.


La semaine dernière, le leadership palestinien a finalement décidé de reculer devant la présentation du rapport au Conseil de sécurité, sous la pression des États-Unis, provoquant de rudes critiques et des protestations violentes en interne.


"Cette crise prouve que la volonté du Hamas est d'exploiter et de tirer profit du rapport Goldstone, au lieu de se prendre une position de principe forte" a déclaré Malki.


Mercredi, le leadership palestinien avait changé son fusil d'épaule en soutenant fermement le report du vote d'une résolution qui aurait porté le sujet du rapport devant l'assemblée générale des Nations unies, le conseil de sécurité et même éventuellement la Cour pénale internationale- un geste qui ferait courir un risque d'inculpation à plusieurs responsables israéliens pour leurs actions à Gaza.


Malki a déclaré que le leadership palestinien apportait son soutien à "toutes les recommandations" contenues dans le rapport onusien sur Gaza.


Les 575 pages du rapport Goldstone accusent Israël d'avoir fait usage d'une force disproportionnée et d'avoir échoué dans la protection des civils. Il accuse également le Hamas de "crimes de guerre" pour ses missiles lancés vers le sud d'Israël.

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8 octobre 2009 4 08 /10 /octobre /2009 23:09

Et Ben !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Pas Bravo !

Grosse déception et colère difficilement contenue au ministère israélien des Affaires étrangères après l’information diffusée par l’AFP selon laquelle l’Union européenne va prochainement signer un accord sur la reprise de la coopération avec la Syrie, après des années d’interruption. Un tel accord avait déjà failli être signé en 2004, mais les Pays-Bas y avaient mis leur veto.

 Cette fois-ci, les Pays-Bas, pour retirer leur veto, ont exigé une promesse de la part de Bachar El-Assad d’améliorer la situation des Droits de l’Homme en Syrie. Mais au mois de septembre, le ministre syrien des Affaires étrangères, Walid Mouallem, avait déclaré « que son pays n’accepterait pas un accord assorti de conditions politiques ». A ce moment, la Présidence suédoise de l’Union, toujours soucieuse de ménager les pays arabes, a trouvé une formule de compromis : « L’accord sera signé, mais l’Union européenne se réserve le droit de suspendre l’accord en cas d’atteinte aux Droit de l’Homme en Syrie »….

Cet accord de coopération, qui doit être signé le 26 octobre au Luxembourg, prévoit de nombreux avantages accordés à la Syrie sur le plan des relations commerciales avec les pays de l’Union européenne, ainsi que la signature de nombreux projets de coopération. Jusqu’à présent, seules la Libye et la Syrie ne disposaient pas d’accords d’association avec l’UE parmi tous les pays du pourtour méditerranéen.

Damas doit notamment cette énorme faveur au gouvernement français, qui a exercé de lourdes pressions sur ses homologues européens, Paris voulant remercier Damas du rôle joué par la Syrie dans la libération de Clotilde Reiss, qui avait été arrêtée et incarcérée à Téhéran au mois d’août pour « espionnage ».

En Israël, on réagit avec consternation : « Comment l’Union européenne peut-elle à ce point faire semblant d’ignorer ce qui se passe en Syrie, et quel jeu joue ce pays sur le plan international ? Il s’agit d’une manifestation de plus du double langage européen ! », déclare un responsable au ministère des Affaires étrangères. Israël a adressé plusieurs réclamations à l’Union européenne au sujet de cet accord en préparation, mais dès le mois de juillet, lorsqu’il s’est avéré que les choses étaient fixées, Israël a abandonné la partie. L’incompréhension en Israël est d’autant plus grande que ce rapprochement de l’Union européenne avec un pays comme la Syrie, considérée il y a peu encore comme un Etat-terroriste, va de pair avec un refroidissement des relations avec d’Israël. Depuis plusieurs mois, des responsables européens menacent Israël de geler voire remettre en cause les accords de coopération entre l’UE et Israël ainsi que les clauses commerciales privilégiées, si Israël n’obéit pas aux injonctions européennes concernant le processus de ‘paix’ avec les Palestiniens.

L’annonce de cette faveur accordée à un pays tel que la Syrie sonne d’autant plus mal que l’Union européenne a annoncé ce même jour, par la voix de sa présidence suédoise, que le Rapport Goldstone, qui accuse Israël d’avoir commis des crimes de guerre, « est honnête et digne d’intérêt ».

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8 octobre 2009 4 08 /10 /octobre /2009 10:21

 7 octobre 2009 16:19 | Updated Oct 7, 2009 17:53

 


“Les Etats-Unis sont liés à la disparition d’un expert nucléaire”


By ASSOCIATED PRESS

Traduction : Marc Brzustowski

 

 

 

Titre original : 'US linked to vanishing of nuke expert'
http://www.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1254861891444&pagename=JPost%2FJPArticle%2FPrinter

 

 

 

Le Ministre des Affaires Etrangères Iranien a accusé les Etats-Unis, Mercredi, d’être impliqués dans la disparition d’un scientifique nucléaire iranien en Arabie Saoudite, plus tôt cette année.


 http://clabedan.typepad.com/photos/uncategorized/irannucleairebouchehr2713.jpg

Photo: Bushehr.



Les autorités iraniennes ont déclaré que le scientifique Sahram Amiri s’est évanoui dans la nature, durant un pélerinage au Royaume Saoudien, à la fin du mois de mai. Ses proches, cités dans les médias iraniens, ont prétendu qu’Amiri procédait à des recherches sur les usages médicaux des technologies nucléaires pour une université de Téhéran.


Sa disparition est survenue plusieurs mois avant les révélations sur un second centre d’enrichissement de l’uranium que l’Iran a construit près de la cité de Qom, faisant monter les spéculations selon lesquelles Amiri aurait pu offrir des informations sur ce point à l’Occident, ou sur d’autres aspects du programme nucléaire. Le Bureau de Téhéran a rapporté qu’Amiri travaillait dans les installations de Qom, bien que ses proches affirment qu’il n’était pas impliqué dans les avancées du programme nucléaire au-delà de ses propres recherches.


Les Etats-Unis et plusieurs de ses alliés ont accusé l’Iran de chercher à développer secrètement des armes nucléaires, ce que nie l’Iran, prétendant que son programme n’a pour but que de produire de l’électricité.


Le Ministre des Affaires étrangères Manouchehr Mottaki prétend qu’Amiri aurait été arrêté et accuse les Etats-Unis d’avoir joué un rôle dans cette affaire.


Selon l’agence de presse semi-officielle Fars, Manouchehr Mottaki a déclaré mercredi : “Nous avons obtenu des documents concernant l’implication américaine dans la disparition de Shahram Amiri. Nous tenons l’Arabie Saoudite pour responsable de la situation de Shahram Amiri et considérons que les Etats-Unis sont impliqués dans son arrestation.»

 

Le porte-parole du Ministère des Affaires Etrangères, Hassan Qashqavi a ajouté cette semaine que l’Iran avait exigé de l’Arabie Saoudite des informations sur les tenants et aboutissants du dossier Amiri, mais n’avait reçu aucune réponse.

 

Le journal arabe Asharq al-Awsat, propriété d’hommes d’affaires saoudiens, a publié la semaine dernière, que Mottaki avait formulé une plainte officielle en direction du chef de l’ONU, Ban Ki-Moon sur les disparitions d’Amiri et de trois autres Iraniens durant les dernières années, dont il pouvait craindre que plusieurs d’entre eux aient fourni des informations sur le nucléaire à l’Occident. Qashqavi a nié, cette semaine, que la plainte ait pu faire mention du problème nucléaire.


Le mois dernier, l’Iran a révélé qu’il construisait une nouvelle installation pour l’enrichissement d’uranium à l’extérieur de Qom, confortant les accusations américaines et européennes qu’il dissimulait les réelles finalités du projet. Téhéran a nié avoir cherché à tromper les observateurs nucléaires de l’ONU, prétendant avoir révélé l’existence du site plus tôt que requis selon ses engagements auprès de l’Agence. L’Agence a exprimé son désaccord avec ces allégations.



L’Iran a pris date pour l’ouverture de négociations avec les Etats-Unis et d’autres puissances mondiales, la semaine dernière, à propos de son programme nucléaire et a donné son accord pour permettre aux inspecteurs de l’ONU de visiter l’installation de Qom, le 25 octobre. Il a également été discuté la proposition d’envoyer de l’uranium enrichi à l’étranger pour un enrichissement ultérieur à utiliser dans un réacteur de recherche à Téhéran.


 

L’équipe de Jérusalem Post.com a contribué à la rédaction de cet article.

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8 octobre 2009 4 08 /10 /octobre /2009 03:40


Par JPOST.FR 
07.10.09

http://fr.jpost.com/

Les Etats-Unis seraient en train d'accélérer leurs projets en vue d'une éventuelle attaque sur l'Iran, selon un rapport de la chaîne d'informations ABC.

L'usine d'enrichissement d'uranium de Natanz, en Iran. 
PHOTO: AP , JPOST

La chaîne cite notamment une récente décision du Pentagone visant à financer la construction "d'une bombe anti-bunkers" baptisée "Massive Ordnance Penetrator" (MOP), dont l'utilisation était initialement prévue en Irak et en Afghanistan.

La requête 2009 du Pentagone a été approuvée la semaine dernière.

"Le Département fait face à un 'besoin opérationnel urgent' (UON - Urgent Operational Need) et doit frapper fort plusieurs cibles situées dans des zones hautement menaçantes. Le MOP est une arme de premier choix dans ce cas", expliquait le Pentagone. Selon ABC, les départements qui ont demandé le MOP sont responsables des questions nord-coréenne et iranienne.

Le rapport précise, par ailleurs, que cette arme serait "idéale" pour une frappe sur l'usine d'enrichissement d'uranium de Natanz, ainsi que celle de Qom.

La société de défense McDonnel Douglas aurait touché 51,9 millions de dollars pour construire quatre nouveaux MOP.

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7 octobre 2009 3 07 /10 /octobre /2009 12:08


Par ABE SELIG 
07.10.09
http://fr.jpost.com/



La récente vague de violence dans la capitale et, plus précisément, les tensions constantes sur le Mont du Temple pourraient êtr
e à l'origine d'une troisième Intifada, selon un représentant officiel du Fatah, Hatem Abdel Kader.

Affrontements au point de passage de Kalendia. 
PHOTO: AP , JPOST

"La situation est très délicate", ajoute l'ancien ministre de l'Autorité palestinienne (AP) chargé de Jérusalem.

Plusieurs représentants de la branche Nord du Mouvement islamique en Israël - dont le leader, Sheikh Raed Salah - ont manifesté cette semaine contre les "récentes actions israéliennes". Depuis, Salah a été arrêté. Il avait notamment appelé les Musulmans à devenir des "martyrs", si nécessaire, pour défendre la mosquée Al-Aksa. Le tribunal d'instance de Jérusalem a banni Salah de la capitale pour une durée de 30 jours.

Une décision saluée par le ministre de la Sécurité intérieure, Itzhak Aharonovitch : "Je soutiens entièrement la police. Nous continuerons de faire appliquer la loi sans compromis."

Abdel Kader, arrêté dimanche pour incitation à la violence et banni de la Vieille Ville pour 15 jours, a reproché la dernière vague de violences à la police israélienne. "Les décisions israéliennes ont été, jusqu'à présent, très dangereuses", a-t-il dit. "Et s'ils ne veulent pas que la situation empire, ils devraient céder. Sinon, nous avons bien peur de voir éclater une troisième Intifada."

Les violences ont débuté dimanche dernier, lorsqu'une centaine de Musulmans ont jeté des pierres en direction des pèlerins juifs venus se recueillir au Mur occidental à l'occasion de la traditionnelle bénédiction des Cohanim (birkat haCohanim). Ils venaient de se voir interdire l'accès au Mont du Temple pour les prières matinales à la mosquée Al-Aksa.

Depuis, les forces de sécurité ont décidé de fermer l'accès aux lieux, suite à l'appel de certains Musulmans à "venir défendre le mont".

Alors que la police est parvenue à maintenir un calme relatif dans la Vieille Ville, les violences se poursuivent dans plusieurs quartiers de Jérusalem-Est, dont Silwan, Ras al-Amud, Issawia et le camp de réfugiés de Shouafat.

Le Shin Bet (service de sécurité intérieure) et la police des frontières se préparaient, mardi, à voir les manifestations s'étendre à d'autres parties du pays, et notamment en Judée-Samarie. "Nous ne craignons pas une troisième Intifada mais des manifestations massives dans la région", précise une source de la défense.

Yaakov Lappin et Yaakov Katz ont contribué à la rédaction de cet article.

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7 octobre 2009 3 07 /10 /octobre /2009 09:48
Aucun compromis avec Ahmadinejad!

L'opposition iranienne ne soutient plus aujourd'hui le régime sur la question du nucléaire. Elle demande l'arrêt de toute négociation et la rupture avec la dictature.


Pas de nucléaire militaire pour l'Iran pourrait être le titre d'une longue saga concernant les relations passionnelles entretenues entre l'Iran et l'Occident depuis 2005, année où l'Iran a repris l'enrichissement d'uranium. Clamant son droit légitime à l'utilisation de l'énergie nucléaire à des fins civiles, tout en dissimulant à l'AIEA (Agence internationale de l'énergie atomique) une partie de son programme en la matière, Ahmadinejad n'a cessé de défier la communauté internationale.

S'inspirant autant de Dallas que des plus belles pages du Prince de Machiavel, le scénario de la saga a pourtant radicalement changé depuis 4 mois, sans que tous les protagonistes semblent en avoir pris la mesure. Depuis le 12 juin dernier (confiscation des résultats des élections présidentielles), la question du nucléaire est devenue une façon pour chaque camp, à l'étranger comme en Iran, de se positionner face au président iranien.

A chaque nouvelle découverte de sites susceptibles de contribuer à la fabrication de l'arme atomique, la communauté internationale tremble d'un frisson d'effroi et pousse des cris courroucés, sans obtenir pour autant plus de garanties. Les contestataires iraniens, qui ont défié depuis juin le pouvoir dans la rue, réclament l'arrêt de tout type de négociation avec Ahmadinejad et prônent un renversement pur et simple du président. Et si la question du nucléaire militaire était devenue un arbre qui cache une forêt de logiques politiques complexes, et parfois cyniques, bien au delà de la seule question de la possession de l'arme atomique?

L'Iran est la grande puissance de la région. Les Etats-Unis ne s'y étaient d'ailleurs pas trompés lorsqu'en pleine guerre Iran-Irak (1980-1988) et alors qu'ils avaient penché pour la cause de l'Irak, ils avaient pris le risque de soutenir de façon occulte le régime de Khomeyni en lui procurant les armes nécessaires pour continuer le combat (les relations diplomatiques étant pourtant rompues avec l'Iran depuis 1980). L'Irangate fut peut-être l'un des plus grands scandales politiques et l'un des plus rocambolesques fiascos médiatiques qu'ont connu les Etats-Unis, mais il témoignait cependant d'une politique à long terme de Washington pour préserver son influence sur une zone dont l'Iran est la pièce maîtresse.

Depuis, malgré des affichages différents, les Etats-Unis n'ont en fait jamais changé de conception d'ensemble. Et si G. W. Bush avait fini par s'enfermer dans une rhétorique d'affrontement, dès  son investiture, le jeune président Obama pouvait donner des gages au dialogue et faire la part belle à la négociation, plus qu'à la menace d'affrontement avec l'Iran. Début juin, est venu le temps de l'espérance, lorsque les grandes manifestations de soutient au candidat réformateur Mir Hossein Moussaviont subitement repeint de vert tout l'Iran. Mais le happy end n'a pas eu lieu. Et depuis, à couvert, chaque grande puissance tente toujours de conserver les meilleures relations possibles avec l'un des parias les plus provocateurs de la planète, pour se préserver zone d'influence politique et marché économique. Ouvertement, chacune exige l'arrêt d'un programme nucléaire dont les finalités semblent pour le moins douteuses. Mais le scénario se répète.

Maintenir une politique de concession n'a cependant plus le même sens depuis le 12 juin 2009. C'est qu'avec les élections tronquées, la donne a changé. Certes, l'embargo américain qui affaiblit le pays depuis 1995, et qui a été condamné en Iran, a pesé sur la population iranienne, d'ailleurs bien plus que sur ses dirigeants. Du petit commerçant du bazar qui n'a pas accès aux devises au voyageur dont les déplacements par avion, surtout sur les vols intérieurs, sont moins sûrs depuis qu'Iran Air n'a plus accès aux pièces de rechange, l'embargo a eu des conséquences, et les menaces de sanctions risquent de les aggraver.

Si les Iraniens ont été par le passé prêts à supporter les conséquences de choix qui les valorisent en tant que nation, le contexte a changé. La question du nucléaire, qui semblait jusqu'à cet été bénéficier d'un consensus relativement fort au sein de la population, même parmi les opposants au Ahmadinejad du premier mandat présidentiel (2005-2009), n'a plus le même statut à l'intérieur.

L'opposition s'est radicalisée et nombre de manifestants refusent désormais tout point soutenu par le président, même sur cette question hier encore si capable de faire vibrer la fibre nationale, au-delà de tous les clivages politiques. Si les leaders réformateurs restent prudents sur la question, les contestataires comprennent mal la politique de négociation des grandes puissances face à un président hautement contesté dans son pays.

Lors de la journée de Qods (Jérusalem) le 18 septembre, ils ont été des milliers à braver les milices d'Ahmadinejad montées sur des motos et armées de câbles. La police, elle, est restée autant que possible en retrait dans ses tâches de répression. Les manifestants, arborant tous la couleur verte (du hejab, en passant par des banderoles, bracelets, chapelets, pantalons ou... chaussures !) en soutien à Mir Hossein Mussavi ont demandé la démission d' «Ahmadinejad le tyran» et scandé «A mort la Russie», où ont été formés les miliciens du président quelques semaines avant les élections du 12 juin. L'opposition iranienne ne demande plus de négociation mais une rupture; les slogans ne réclament plus un recomptage des voix ou de nouvelles élections, mais le renversement du président, et l'arrêt de tout dialogue avec lui, tant au niveau interne qu'international.

La politique de la négociation sur le dossier nucléaire devrait être appréciée aussi suivant le contexte politique post-électoral, en prenant en compte les demandes de la société civile, qui incarne l'avenir de l'Iran. A trop accepter les promesses d'Ahmadinejad, c'est Ahmadinejad que l'Occident risque d'accepter dans le concert des nations, hypothèse peut-être aussi dangereuse que celle de la possession de l'arme nucléaire.

Paul Chami

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7 octobre 2009 3 07 /10 /octobre /2009 06:45
Appel à la fermeté

http://fr.jpost.com/

Les ministres montent au créneau. A la suite des révoltes arabes à Jérusalem, le vice-Premier ministre Silvan Shalom ainsi que le ministre des Infrastructures, Uzi Landau, appellent à la fermeté : rendre illégal le Mouvement islamique, accusé d'inciter les foules à la violence.

Uzi Landau. 
PHOTO: ARIEL JEROZOLIMSKI , JPOST

"Le leader de la branche nord du mouvement, Sheikh Raed Salah, devrait être derrière les barreaux, tout comme son bras-droit Kamal Khatib. Je vais soulever cette question durant la prochaine réunion du cabinet ministériel " a déclaré Shalom à la radio israélienne.

De son côté, le ministre de l'Intérieur Eli Yishai a de nouveau souligné que Jérusalem était "la capitale éternelle et indivisible du peuple juif".

La police ne doit plus être seule en première ligne. Les ministres appellent à l'intervention du système judiciaire. L'Autorité palestinienne est également la cible des attaques. Pour Shalom, Ramallah a sa part de responsabilité car elle compte, à travers les émeutes, renforcer sa présence sur le Mont du Temple.

Face à cette escalade, la seule issue est la fermeté. Pour le vice-Premier ministre, Israël doit venir à bout des émeutes dans la Vieille Vielle. Dans le cas contraire, son inaction sera perçue comme une preuve de faiblesse.

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