Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
6 août 2009 4 06 /08 /août /2009 15:16
Par JPOST.FR 
06.08.09


L'établissement sécuritaire a adressé de vives critiques à l'UNRWA (Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine). Leurs déclarations surviennent après que Tsahal a fait savoir, mercredi, que le Hamas avait saisi trois ambulances livrées à l'agence internationale il y a deux semaines.

Un membre armé du Hamas. 
PHOTO: AP , JPOST


D'après l'armée, juste après l'arrivée des véhicules dans la bande de Gaza à travers le point de passage de Kerem Shalom, des membres armés du mouvement islamiste en auraient pris le contrôle. Tsahal insiste sur le fait que l'UNRWA a manqué de rendre l'incident public.

"Quand Israël dévie légèrement des procédures habituelles à Gaza, le monde entier est aux aboies mais quand l'UNRWA n'annonce même pas que ses ambulances se font voler, le monde dort", ajoute une source militaire.

D'autres rappellent à quel point le pouvoir hégémonique du Hamas dans l'enclave palestinienne reste une source de problèmes pour l'agence internationale. Le directeur général de l'agence aurait même reçu des menaces de mort à plusieurs reprises, le forçant à fuir Gaza, selon d'autres sources de l'armée.

Le porte-parole de l'UNRWA, Chris Gunness, dément. "Cette histoire est complètement fausse. La crédibilité de ces sources s'enfonce tellement qu'il est impressionnant qu'un journaliste puisse en croire un seul mot."

"D'autant plus que les informations concernant la fuite du directeur de l'UNRWA à Gaza, John Ging, ont été niées à plusieurs reprises par les représentants des Nations unies. Le secrétaire général en personne avait réfuté ces rumeurs."

En février déjà, le Hamas avait dérobé 200 tonnes de matériel humanitaire dont des couvertures, de la farine et du riz. L'UNRWA avait alors décidé de suspendre toutes formes de livraisons jusqu'à ce que les denrées volées soient rendues. Quelques jours plus tard, le Hamas rendait les camions à l'organisation internationale.

 
Partager cet article
Repost0
6 août 2009 4 06 /08 /août /2009 11:48

Revue de la presse israélienne du service de Presse de l’ambassade de France en Israël

mercredi 5 août 2009



/ Avi Issacharof – Haaretz 
Le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas (Abou Mazen), a déclaré hier, en ouverture du sixième congrès du Fatah à Bethléem, que la « résistance », c’est-à-dire la lutte armée contre Israël, « est un droit légitime du peuple palestinien ». « Il ne faut pas que le terrorisme entache notre lutte légitime », a-t-il toutefois ajouté.

L’événement central de ce congrès du Fatah, le premier depuis vingt ans, seront les élections générales aux différentes instances de l’organisation. Dans son discours, qui a duré près de deux heures, Abou Mazen a ajouté que les Palestiniens doivent poursuivre les négociations tant que subsistera « le moindre espoir ». Il s’en est violemment pris à Israël, affirmant que le gouvernement israélien ne pourra faire plier l’opinion publique en prenant des mesures économiques au lieu d’avancer dans le processus de paix. Abou Mazen a également pris pour cible les responsables du Hamas, qu’il a qualifié de « princes des ténèbres », à cause de leur refus de laisser les représentants du Fatah quitter la bande de Gaza.

Interrogé par un journaliste sur l’affichage dans la salle d’une photo représentant un enfant tenant un fusil, Jibril Rajub, un des hauts responsables du Fatah, a répondu que le mouvement n’a pas abandonné et n’abandonnera jamais la lutte armée contre Israël. Selon lui, cette lutte violente fait partie des moyens dont dispose l’Autorité palestinienne face à Israël et elle n’est pas à exclure.

Plus de deux mille délégués participent à l’événement et ils voteront demain aux élections internes. Etaient également présents hier des représentants de pays étrangers, dont un représentant chinois qui s’est exprimé devant l’assemblée.

La direction du Fatah a trouvé une solution à l’absence des délégués de la bande de Gaza. Nabil Shaath, un des organisateurs du congrès, a expliqué au Haaretz que des places ont été réservées aux délégués de Gaza de telle sorte qu’un tiers des membres de du comité central et un tiers des membres du conseil révolutionnaire seront de la bande de Gaza. Selon lui, les délégués de Gaza participeront au vote par internet.




NOVLANGUE DE BETHLE'HEM : LA SECURITE C'EST LE TERRORRISME

http://lessakele.over-blog.fr/article-34594105.html


Les futurs "martyrs" de la Cause palestinienne sont en train de prendre leurs quartiers auprès des 72 vierges. La conférence du Fatah à Bethléhem se transforme, peu à peu, en tribune pour la relance de la guerre terroriste. Celle-ci peut, selon les statuts définitifs et résolutions qui seront adoptés en conclusion, être interprétée comme :

- "tactique" pour obtenir de nouveaux gains sur la scène internationale ;

- ou ne pas dévier de sa route, édictée dans ses articles fondamentaux (articles 12,13, 17, 19), et réaffirmer que la "lutte armée" est bien et restera la stratégie fondamentale adoptée par le Fatah, corps de doctrine du gouvernement de l'Autorité Palestinienne, ayant pour objectif historique la "libération de toute la Palestine et l'anéantissement de l'Etat" sioniste", économiquement, politiquement, militairement et culturellement" (art. 12 : notons bien l'ordre dans lequel la destruction d'Israël est programmée par le Fatah et tâchons de le rapporter à une simple échelle de réalisme. Dans tous les cas de figure, ce projet est d'abord et avant tout, un projet d'auto-destruction sur tous les plans de celui "d'Etat Palestinien". Lequel préfère ne jamais exister que de cohabiter). Ou alors faudrait-il que le Fatah renonce à sa propre base idéologique, sans laquelle il n'a plus de raison d'être.


Or, jusqu'à présent, la quasi-totalité des orateurs de ce meeting jihadiste sous l'égide de la communauté internationale, reprennent de forts accents déjà connus par le passé d'Arafat : "Jihad! Jihad! Jihad!".


La "solution" évoquée par Mahmoud Abbas, pour une lutte "populaire" faite de "manifestations" de type Nil'in contre la barrière de sécurité, pourrait servir de prétexte pour dégénérer en Intifada, à condition de quelques snipers disséminés dans la foule, ajustant leurs tirs derrière des femmes et des enfants, déjà désignés comme "Shahids", martyrs, dans le lot des "dix mille" proposés ici au grand sacrifice.


Notons qu'Arafat en proposait 1 million et que la part d'annihilation de population palestinienne nécessaire à un remake des précédents échecs, a, précautionneusement, été revue à la baisse. En contre-partie, aucun membre éminent de cette honorable société maffiosie ne propose réellement de s'asseoir et de discuter. Sauf par diversion tactique, de façon à accroître la popularité internationale de la cause, jusqu'au prochain embrasement... 


Ici, quelques extraits, émanant de la bouche de celui qu'Abbas aurait chargé de la "sécurité", qui prône ni plus ni moins que de lancer des milliers de martyrs contre les Juifs pour la conquête de Jérusalem.


Il n'y a strictement aucune différence dans les positions du Hamas et du Fatah : c'est une bonne nouvelle pour eux, ils pourraient finalement trouver à s'accorder, plutôt que de lancer des sous-Jihad locaux sans lendemain et très vite écrasés... Et qu'on en finisse une bonne fois pour toutes avec ces mascarades jihadistes.

 

Partager cet article
Repost0
6 août 2009 4 06 /08 /août /2009 11:27
Les roquettes du Hezbollah sont des pièces maîtresses de l’échiquier politique irano-israélien

Richard Beeston - The Times | Marc Brzustowski : traduction

jeudi 6 août 2009


Il n’existe pas de meilleur endroit pour comprendre la stratégie iranienne que le Parc Laleh au centre de Téhéran, où les jeunes aussi bien que les anciens passent des après-midi entières à s’adonner à un art antique de combat. Les échecs ont contribué, durant des siècles, à aiguiser la mentalité perse et permettent d’expliquer de quelle façon l’actuel régime ourdit ses prochains coups afin de devenir une superpuissance.


D’ici les deux ou trois prochaines années, tout au plus, l’Iran sera en mesure de fabriquer sa première arme nucléaire, obtenant alors sa place de membre du club fermé de l’élite de la planète et s’affichant à égalité avec Israël, en tant que forces dominantes au Moyen-Orient.

Si les efforts diplomatiques pour stopper Téhéran échouent, alors il ne reste plus pour lui qu’un obstacle – la menace ouverte par Israël de détruire les sites nucléaires de Téhéran avant qu’il ne puisse parvenir à la bombe atomique.

Israël a parfaitement la détermination politique et la force militaire pour exécuter une attaque contre les installations nucléaires iraniennes. L’échelle (de cette attaque) peut bien se situer au-delà de tout ce que les forces aériennes israéliennes ont tenté jusqu’à présent, cependant, les forces conventionnelles iraniennes sont périmées et ses lignes de défense restent faibles. On tient pour acquis que les états arabes, dont l’espace aérien devrait être parcouru par les bombardiers et chasseurs israéliens pour atteindre l’Iran, coopéreraient secrètement à une mission visant à amoindrir la menace perse.

C’est bien pourquoi Téhéran investit aussi lourdement dans le Hezbollah, son bras armé libanais. La milice musulmane chi’ite a reconstruit et renforcé son arsenal depuis la guerre sanglante qu’elle a menée contre les Israéliens en 2006. Elle a amassé des dizaines de milliers de roquettes et de missiles capables de bombarder la moitié du pays.

Les planificateurs israéliens ne mettent pas en doute que dès qu’ils prendraient la décision fatidique d’attaquer l’Iran, ils provoqueront de facto des représailles massives sur une échelle sans précédent. Les zones les plus densément peuplées du pays, incluant Tel Aviv, Haïfa et le seul aéroport international d’Israël, l’aéroport Ben Gurion, tomberaient instantanément sous le feu du Hezbollah.

Israël est en capacité de prendre "la reine" de l’Iran (sur l’échiquier). Mais, dans la manœuvre, il pourrait aussi se mettre lui-même en échec.


 

Partager cet article
Repost0
6 août 2009 4 06 /08 /août /2009 11:25






Des ambulances utilisées par des terroristes palestiniens, que ce soit pour transporter des armes ou pour y cacher des hommes recherchés, il n’y a là rien de bien nouveau. On sait aussi que si les forces de sécurité israéliennes « osent » effectuer des fouilles dans ce type de véhicules, elles essuient immédiatement les critiques indignées d’associations pour les droits de l’homme qui se disent outrées qu’on puisse contrôler un transport de blessés. 

A présent, une nouvelle affaire vient d’être révélée par Galei Tsahal, la radio de l’armée, concernant cette fois l’UNRWA, agence de l’Onu pour les réfugiés palestiniens. Tsahal a été informé que trois ambulances toutes neuves transférées il y a quinze jours dans la bande de Gaza par l’organisation, ont été confisquées dès leur arrivée par le Hamas. 

Alors qu’elles venaient de franchir le point de contrôle de Kerem Shalom, plusieurs terroristes armés du Hamas se sont présentés sur les lieux, ont fait sortir de force les chauffeurs et s’en sont appropriés. Ce qui est important de souligner, comme le fait Galei Tsahal, c’est que cet incident n’a pas été rapporté par l’UNRWA qui préfère visiblement garder le silence. 

Des responsables de Tsahal ont émis de vives critiques contre l’organisation onusienne, lui reprochant son « double langage » avec le Hamas et son attitude nettement hostile à l’encontre d’Israël. Et de préciser : »Lorsqu’Israël dévie quelque peu des normes fixées dans la bande de Gaza, des voix s’élèvent immédiatement dans le monde entier. Mais lorsque l’UNRWA n’indique pas que le Hamas est un élément nuisible à Gaza, personne n’ose ouvrir la bouche ». 

Toutefois, d’autres responsables ont tenu à souligner que l’UNRWA se trouvait en grandes difficultés depuis que le Hamas était devenu le maître à Gaza. Le directeur de l’organisation aurait reçu récemment des menaces de mort et selon certaines rumeurs, il aurait même quitté précipitamment la région. De son côté, le porte-parole de l’UNRWA a indiqué qu’il ignorait tout de l’incident des ambulances et qu’il comptait à présent vérifier l’information.

par Claire Dana-Picard
actu.co.il 

Partager cet article
Repost0
5 août 2009 3 05 /08 /août /2009 11:46

Et dire que les habitants du village dont Israel à la charge nous supplient de ne pas les abandonner aux mains des nazislamistes du 'Hezbollah


Par HERB KEINON 
05.08.09
jpost



Le cabinet de sécurité compte évoquer le sort de la ville de Ghajar, cette semaine. Le ministre des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman, doit officialiser ses pensées sur le meilleur moyen de résoudre le problème du village, à cheval sur la frontière israélo-libanaise.

Barrière de sécurité dans la ville de Ghajar. 
PHOTO: AP , JPOST



Chargé par le Premier ministre, Binyamin Netanyahou, d'examiner le dossier, Lieberman appelle, dans un premier temps, à la construction d'une barrière physique sur la frontière - internationalement reconnue et qui divise la ville en deux. Ensuite, dans une seconde phase, la partie nord de la ville passerait sous le contrôle de la FINUL (Force intérimaire des Nations unies au Liban).

Plus tôt cette année, Israël avait affirmé sa volonté de négocier avec les Nations unies au sujet d'un possible retrait de Ghajar. Une recommandation positive de la part d'un fonctionnaire d'Etat tel que Lieberman à ce sujet serait une première pour Israël.

Quand Tsahal s'était retiré du Liban en mai 2000, l'ONU avait déterminé que la frontière passerait au milieu de Ghajar. Depuis la fin de la seconde guerre du Liban, Israël maintient une présence militaire dans le nord de la ville.

Quelque 1500 habitants vivent dans le nord alors qu'entre 500 et 700 résident au sud, du côté israélien.

Un retrait israélien serait en accord avec la résolution numéro 1701 du conseil de sécurité de l'ONU qui avait mis fin aux combats en 2006. Les Etats-Unis, l'Europe et l'ONU préconisent un tel geste afin de renforcer les forces modérées à l'intérieur du pays du Cèdre.

 
Partager cet article
Repost0
5 août 2009 3 05 /08 /août /2009 11:42
JERUSALEM POST

L'actuelle stabilité du Nord est "en danger", selon le vice-commandant en chef de la région nord, Alon Friedman.


Des partisans du Hezbollah défilent à Beyrouth. 

PHOTO: AP , JPOST


Des enregistrements de surveillance à la frontière, obtenus par le quotidien britanniqueThe Times, montrent des membres du Hezbollah en train de récupérer roquettes et autres minutions depuis la supposée cache d'armes détruite le mois dernier au Sud Liban.

L'ambassadrice d'Israël aux Nations unies, Gabriela Shalev, a confirmé au Conseil de sécurité, la semaine dernière, que les explosions de juillet avaient révélé une "réalité volatile" et reflété la présence iranienne dans tout le Proche-Orient.

Selon les dernières estimations, le Hezbollah aurait accumulé jusqu'à 40 000 roquettes. Par ailleurs, le vice-ministre des Affaires étrangères, Danny Ayalon, a déclaré aux journalistes duTimes que le "Hezbollah a non seulement remplacé son arsenal mais l'a même perfectionné. Ils se vantent de pouvoir désormais frapper Tel-Aviv".

Naïm Qassem, numéro 2 du mouvement chiite, a annoncé de son côté que "le Hezbollah est aujourd'hui en bien meilleur état qu'en juillet 2006. Et si les Israéliens pensent qu'ils peuvent causer beaucoup de dommages, qu'ils sachent que nous en sommes également capables".

 
Partager cet article
Repost0
5 août 2009 3 05 /08 /août /2009 11:14






L’Iran constitue toujours pour l’Occident, et plus particulièrement pour Israël, une menace sérieuse qui se précise encore avec l’intronisation, pour un second mandat, du président Mahmoud Ahmadinejad. Mis à part les dangers de son programme nucléaire, l’Iran, comme on le sait, soutient les organisations terroristes du Proche-Orient et apporte notamment une aide importante au Hezbollah, au Liban.

Ahmadinejad aurait obtenu la majorité des voix lors des dernières élections qui ont eu lieu il y a deux mois dans son pays mais l’opposition a contesté immédiatement les résultats du scrutin et a organisé des manifestations violentes qui ont été durement réprimées par les forces locales.

 A présent, après avoir fait taire les voix appelant à la révolte, Ahmadinejad a donc été confirmé à son poste mercredi matin, lors d’une cérémonie solennelle qui s’est tenue à Téhéran. Des centaines de policiers ont été déployés autour du parlement afin d’empêcher la tenue de manifestations sur les lieux et ont dispersé avec des gaz lacrymogènes la foule des protestataires qui se sont rassemblés plus loin pour exprimer leur réprobation. 

Il faut tout de même souligner que des dizaines de députés ont refusé d’assister à la cérémonie pour marquer leur désapprobation. Selon des sites internet réformistes, ils n’étaient que 242 à être présents sur un total de 290. 

Dans le monde, même si certains chefs d’Etat ont décidé de ne pas envoyer de félicitations à Ahmadinejad pour sa réélection, comme la chancelière allemande Angela Merkel, le président français Nicolas Sarkozy ou le président américain Barack Obama, l’Iran est doté d’un président considéré comme « légitime » et dont il faudra tenir compte à l’avenir. 

Les Etats-Unis ont tenu à préciser ce point par l’intermédiaire du porte-parole de la Maison Blanche Robert Gibbs. Interrogé mardi sur la question, il a répondu : « Il s’est agi d’une décision et d’un débat en cours en Iran, de la part d’Iraniens. Il est le dirigeant élu ». 

La Grande Bretagne a pour sa part envoyé l’adjoint de son ambassadeur à la cérémonie d’intronisation, ce qui a d’ailleurs suscité la réaction de son opposition qui estimait qu’il fallait boycotter l’événement. 

C’est le chef du système juridique iranien, l’ayatollah Seyyed Mahmoud Hashemi Shahroudi, qui a ouvert la séance avant de faire prêter serment au président. Dans le discours qu’il a ensuite prononcé, Ahmadinejad a appelé la population à « serrer les rangs » et, réagissant à la réticence de certains chefs d’Etat à le congratuler, a déclaré que « personne en Iran n’attendait les félicitations de qui que ce soit ».

 

par Claire Dana-Picard
ACTU.CO.IL


 

Partager cet article
Repost0
4 août 2009 2 04 /08 /août /2009 21:53


Par YAAKOV KATZ 
04.08.09
www.jpost.com





Des Palestiniens de Gaza attendent un bus pour Le Caire. 
PHOTO: AP , JPOST


Cinquante Palestiniens censés se rendre en Israël depuis la bande de Gaza, mardi, ont été refoulés par les forces de sécurité du Hamas. La majorité des migrants devaient essentiellement obtenir des soins médicaux de l'autre côté de la frontière.

Plusieurs membres du mouvement islamiste ont barré la route de la jonction Beit Hameches - à l'ouest du point de passage d'Erez - et bloqué le passage des Palestiniens.

De source officielle israélienne, le Hamas visait surtout à empêcher le passage de membres du Fatah, qui se seraient déguisés et qui prévoyaient de se rendre à l'assemblée générale du parti à Bethléem mardi. Reclus dans la bande de Gaza, près de 200 délégués du Fatah seront absents de la conférence.

Les forces de sécurité ont ordonné aux personnes présentes à Beit Hameches de se rendre au ministère de l'Intérieur de Gaza-ville pour faire renouveler leurs permis de circulation.

Il est probable que le Hamas accepte finalement de laisser passer les Palestiniens, une fois que l'état de santé de ces derniers aura été vérifié.

Partager cet article
Repost0
4 août 2009 2 04 /08 /août /2009 20:21


Chez Mohammed SIFAOUI

http://www.mohamed-sifaoui.com/article-34539145.html






Dans une vidéo diffusée ce lundi matin sur des sites islamistes par Al-Sahab, les propagandistes d'Al-Qaïda, Aymen Al-Zawahiri, le numéro 2 de l’organisation terroriste, menace la France en des termes à peine voilés, en affirmant que celle-ci va « payer » en raison des débats qui ont lieu dans la société sur le foulard et le niqab.
Ayman Al-Zawahiri qualifie la France de pays qui entretient depuis plusieurs siècles sa « haine envers l'islam »... Dans un passage, situé au début du message, et ignoré par les grands médias, il s’en prend à la laïcité française, rappelle les positions de Paris sur le voile et cite le récent discours du président Nicolas Sarkozy devant les deux chambres du Parlement au cours duquel il avait abordé la question du « voile intégral ». Pour alimenter cette haine de la France, Al-Zawahiri instrumentalisera l’Histoire en revenant sur la période coloniale et en qualifiant la France d’alliée du sionisme et des Juifs, et ce, selon ses dires, « depuis Napoléon ». 

Le numéro 2 d’Al-Qaïda conclura ce propos en menaçant : « La France paiera pour tous ses crimes si Dieu le veut ».  

Dans cette intervention, un entretien d’une heure et demie avec un intervieweur qu’on ne voit pas à l’écran, Al-Zawahiri fait une sorte de tour d’horizon de la galaxie jihadiste. Il évoquera les pays arabo-musulmans, le conflit au Proche-Orient, l’Iran et les États-Unis, pour ne citer qu’eux. À ce sujet, il affirmera que les actions terroristes ne cesseront pas tant que les « terres musulmanes seront occupées par les croisés » et tant que l’occident continuera à soutenir les régimes arabes. Il exige, en outre, la libération de tous les islamistes détenus à travers le monde.  

D’un autre côté, il fustige Barack Obama, tout en menaçant les États-Unis et le qualifie de « menteur » et de « criminel » en réaction à son discours du Caire. Enfin, le numéro 2 d’Al-Qaïda critique l’Iran et surtout le Hezbollah qui « n’a tiré aucun missile sur Israël durant la guerre sur Gaza ».

Certaines informations postées sur les forums djihadistes laissent entendre qu’Oussama Ben Laden s’exprimera prochainement, probablement à la veille du 11 septembre prochain.

Al Qaïda : « Israël est un Etat criminel »


Un des membres important de l’organisation terroriste Al-Qaïda, Ayman Al Zaouari, a appelé « à rayer Israël de la carte du monde ». Selon cette même source « Israël serait un Etat criminel envers les musulmans ». Dans cette enregistrement, Al-Zaouari s’en prend au Président américain Barack Obama qu’il accuse de vouloir faire du futur Etat Palestinien « un bureau de renseignement de la C.I.A ».

Jonathan Serrero-Actu.co.il

Partager cet article
Repost0
4 août 2009 2 04 /08 /août /2009 19:54







James Hider, Richard Beeston à Tel Aviv et Michael Evans, journaliste expert des questions de Défense |
Traduction : Marc Brzustowski pour
Lessakele et Aschkel.Blog




 

mardi 4 août 2009



Des sources du renseignement occidental ont déclaré au Times (GB) que l’Iran a perfectionné la technologie pour créer et faire exploser une tête nucléaire et n’attend simplement qu’un mot de la part du Guide Suprême, l’Ayatollah Ali Khamenei, pour fabriquer sa première bombe.


Les sources ont expliqué que l’Iran avait complété un programme de recherche visant à créer de l’uranium enrichi durant l’été 2003 et qu’il lui était devenu possible de fabriquer une bombe dans l’année suivant l’ordre de son guide suprême.

Ayatollah Ali Khamenei

Il y a deux ans, une estimation des renseignements nationaux américains avait conclu que l’Iran avait mis fin à ses recherché d’armes nucléaires en 2003, à cause de la menace que représentait l’invasion américaine en Irak. Mais les sources du renseignement ont expliqué au Times que Téhéran avait stoppé ses recherches parce qu’il avait atteint son but – trouver un modus operandi pour faire exploser une tête nucléaire pouvant être lancée sur ses missiles Shahab-3 de longue portée.

Ils ont dit que, si l’Ayatollah Khamenei approuvait la construction d’un engin nucléaire, cela ne prendrait que six mois pour enrichir suffisamment d’uranium et encore six autres mois pour assembler la tête nucléaire. Le Ministère de la Défense iranien a lancé un département de recherche nucléaire secret depuis des années, employant des centaines de scientifiques, de chercheurs et de métallurgistes dans le cadre d’un programme d’une valeur de plusieurs milliards de $ pour développer la technologie nucléaire à côté (sous couvert) du programme nucléaire civil.

“Le point crucial (en 2003) était le manqué de matériaux fissiles, aussi était-il mieux de le ralentir », indique la source. « Nous pensons que le Guide lui-même l’a alors décidé(de stopper le programme), juste après les résultats concluants ».

Les scientifiques iraniens ont essayé de maîtriser une méthode de détonation d’une bombe connu sous le nom de « système d’initiation multipoints »- enveloppant de l’uranium hautement enrichi par des explosifs puissants et les faisant ensuite exploser. Les sources ajoutent que le Ministère de la Défense iranien a utilisé une agence interne secrète appelée Amad (« approvisionnement » en persan), dirigé par Mohsin Fakhri Zadeh, un professeur de physique et membre éminent du Conseil des Gardiens de la Révolution.

Le système fonctionne en créant une série de rainures explosives sur un hémisphère de métal couvrant l’uranium, qui relie les explosifs emplissant les trous insérés sur une couche de puissants explosifs enveloppant l’uranium. En déclenchant les explosifs à chaque pôle en même temps, la méthode assure un impact simultané autour de la sphère pour atteindre une densité critique.

“Si le Guide Suprême prend la décision (de construire une bombe), nous évaluons qu’il leur reste à enrichir de l’uranium appauvri en uranium hautement enrichi sur le site de Natanz, ce qui pourrait prendre six mois, dépendant du nombre de centrifugeuses (qui sont) opérationnelles. Nous ne savons pas si la décision a déjà été prise » a précisé les sources de renseignement, ajoutant que l’Iran aurait bien pu créer des installations plus petites et secrètes que celles existant dans le bunker hautement surveillé de Natanz pour développer des matériaux pour sa première bombe. Les inspecteurs de l’agence internationale à l’énergie atomique ont seulement maintenu leur surveillance sur les matériaux fissiles produits sur les sites observés et pas sur le nombre de centrifugeuses que l’Iran a construit.

Washington a laissé jusqu’au mois prochain à l’Iran pour ouvrir des pourparlers afin de résoudre la crise nucléaire, bien que les espoirs de toute implication constructive ont diminué depuis la répression du régime contre les protestataires réformistes après les élections présidentielles controversées de juin.

Ehud Barak, le Ministre de la Défense israélien, a répété la semaine dernière qu’une frappe militaire contre les installations nucléaires iraniennes était toujours une option, au cas où les discussions échoueraient. Les responsables israéliens estiment qu’un raid sur Natanz et une installation nucléaire à Arak, dans le centre de l’Iran, pourrait repousser le programme nucléaire de l’Iran de deux à trois ans.

Un responsable israélien a déclaré que l’Iran avait dépensé des milliards de dollars depuis au moins trois décennies dans un projet-maître en deux temps visant à fabriquer une bombe nucléaire. Il a expliqué que l’Iran avait enrichi 1, 010 kg d’uranium à 3.9 %, qui suffirait pour (produire) 30 kg d’uranium hautement enrichi à 95%. Environ 30 kg sont nécessaires pour fabriquer une bombe.

Des sources au Bureau des Affaires étrangères et du Commonwealth ont expliqué que les services de renseignements britanniques sont coutumiers de l’information secrète concernant les expériences iraniennes. Bien que les agences britanniquesne disposent pas de leur propres « preuves indépendantes » que l’Iran ait testé avec succès les composants explosifs d’une tête nucléaire, ils affirment qu’iln’y a pas de raison de douter de cette évaluation.

Si le dirigeant iranien décide effectivement de fabriquer une bombe, il aura deux choix possibles, d’après les sources de renseignement. L’un consisterait à adopter l’approche à haut risque d’expulser les inspecteurs internationaux et de se lancer dans une course contre la montre pour compléter la première bombe iranienne, alors que le pays tomberait sous le coup de sanctions internationales, voire de frappes aériennes dans la crise qui s’en suivrait. L’autre serait de développer secrètement les matériaux que nécessite la constitution d’un arsenal dans des installations secrètes en plein désert.

La semaine dernière, Durant une série de visites américaines de haut niveau en Israël, les responsables ont divulgué les projets de Washington d’augmenter les sanctions sur l’Iran, si Téhéran refusait les discussions. Robert Gates, le Secrétaire de la Défense et le Général James Jones, le conseiller pour la sécurité nationale ont rppelé que l’Iran avait jusqu’à la fin du mois prochain, lorsque l’assemblée générale e l’Onu doit se réunir, pour faire un pas positif dans le sens de son implication.

Si Téhéran échoue à répondre, Washington se donnera pour but de constituer une coalition international ferme pour imposer des sanctions sévères axées sur les produits pétroliers – un secteur sur laquelle l’Iran est particulièrement vulnérable, parce qu’il doit envoyer tout son (pétrole) brut à l’étranger pour y être raffiné.

Les experts pensent que les troubles de l’été rendront l’Iran particulièrement vulnérable aux sanctions. Elles impacteront également le Conseil des Gardiens de la Révolution, qui finance ses opérations en gérant un vaste conglomérat de compagnies internationales, plutôt que de dépendre directement des coffres de l’Etat.

Partager cet article
Repost0

Traducteur/translator

 

 

France  ISREAL  English

Recherche

logo-lien-aschkel-copie-1.jpg

 

France  ISREAL  English
Traduire la page:
By
retour à l'acueil

------------------------------------- 

 

Communication and Information

 

Vous souhaitez 

- proposer un article ?
 - communiquer une info ?

Contactez la rédaction

bOITE-a-mail.jpg

-------------------------------

 

Nous remercions par avance tous ceux

qui soutiendront le site Aschkel.info

par un don

icone paypal

Paiement sécurisé


Consultez les dossiers

Archives

Mon livre d'or

 

 Livre_dor

 


 

Visites depuis la création du site


visitors counter

Catégories