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19 mai 2009 2 19 /05 /mai /2009 15:54
 

http://www.jewishvirtuallibrary.org/jsource/myths/MythsandfactsFrench.pdf

 


 

 

2) D.où vient le nom « Palestine » ?

On considère généralement que le terme "Palestine" provient du nom des Philistins, un peuple égéen qui, au XIIe siècle av. J.C., s.est établi le long de la plaine côtière méditerranéenne de ce qui est maintenant Israël et la bande de Gaza. Au deuxième siècle après J.C., après avoir écrasé la dernière révolte juive, les Romains ont appliqué le nom Palaestina à la Judée (la partie sud de ce qui est maintenant nommé Cisjordanie) pour minimiser l’identification des Juifs avec la terre d’Israël. Le mot arabe « Filastin » est dérivé de ce nom latin.3

Les Douze Tribus d’Israël ont formé la première monarchie constitutionnelle en Palestine approximativement 1000 ans avant J.C. Le deuxième roi d.Israël, David, a été le premier à faire de Jérusalem la capitale nationale. Bien que la Palestine ait été ultérieurement divisée en deux royaumes distincts, l’indépendance juive sous la monarchie a duré plus de 400 ans. Pour mémoire, la République française a un peu plus de 200 ans, ce qui est approximativement l.âge des Etats-Unis.4

Quand les Juifs ont commencé à immigrer en Palestine en grand nombre en 1882, moins de 250,000 Arabes vivaient dans ce pays et la majorité d’entre eux était arrivée dans les décennies précédentes. « La grande majorité de la population arabe de ces dernières décennies était composée de nouveaux venus . soit des immigrés récents ou des descendants de gens qui avaient immigré en Palestine durant les 70 années précédentes. »5

La Palestine n.a jamais été un pays exclusivement arabe, bien que l’arabe soit progressivement devenu la langue de la plus grande partie de la population après les invasions musulmanes du VIIe siècle.

Aucun état indépendant arabe ou palestinien n.a jamais existé en Palestine. Quand un célèbre historien arabe américain, le Professeur Philippe Hitti, professeur à l.Université Princeton, a témoigné contre la partition devant le Comité anglo-américain en 1946, il a déclaré que: « l.histoire ne connaît aucune entité telle que ’Palestine’, absolument aucune »En fait, la Palestine n.est jamais mentionnée explicitement dans le Coran, où elle est plutôt désignée comme "la terre sainte" (al Arad - al - Muqaddash).7

Avant la partition, les Arabes de Palestine ne se considéraient pas comme un groupe à l.identité distincte. Lorsque le premier Congrès d’Associations musulmanes et chrétiennes s.est réuni à Jérusalem en février 1919 pour choisir des représentants palestiniens à la Conférence de la paix à Paris, il a adopté la résolution suivante :

« Nous considérons la Palestine comme une partie de la Syrie arabe, dont elle n.avait jamais été séparée. Nous sommes liés à elle par des liens nationaux, religieux, linguistiques, naturels, économiques et géographiques. »8

En 1937, un chef arabe local, Auni Bey Abdul-Hadi, déclara à la Commission Peel, celle qui suggéra ultérieurement la partition de la Palestine : « Il n.existe aucun pays [tel que Palestine] ! La ’Palestine’ est un terme inventé par les sionistes ! Il n’y a aucune Palestine dans la Bible. Notre pays a formé pendant des siècles une partie de la Syrie. »9

Le représentant du Haut Comité arabe aux Nations Unies a soumis en mai 1947 une déclaration à l’Assemblée Générale selon laquelle « la Palestine faisait partie de la province de Syrie » et précisant que « politiquement, les Arabes de Palestine n’étaient pas indépendants dans ce sens qu.ils ne constituaient pas une entité politique distincte ». Quelques années après, Ahmed Shuqeiri, qui allait devenir, plus tard, président de l’OLP, déclara au Conseil de Sécurité: « Il est de notoriété publique que la Palestine n’est rien d.autre que la Syrie du sud. »10

Le nationalisme arabe palestinien est dans une large mesure un phénomène postérieur à la première guerre mondiale qui n’est devenu un mouvement politique important qu’après la Guerre de six jours en 1967 et la conquête par Israël de la Rive Ouest du Jourdain, appelée Cisjordanie.

 

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2 New York Times(18 novembre 1981).

3 Yehoshua Porath, The Emergence of the Palestinian-Arab National Movement, 1918-1929,(London: Frank Cass, 1974), p. 4.

4 Max Dimont, Jews, God and History, (NY: Signet, 1962), pp. 49-53.

5 Carl Voss, The Palestine Problem Today, Israel and Its Neighbors, (MA: Beacon Press, 1953), p. 13.

6 Cité dans leJerusalem Jerusalem Post, (2 novembre 1991).

7 La citation du Coran est: "Entre, mon peuple, dans la terre sainte qu’Allah t’a attribuée. Ne lui tourne pas ton dos, afin que tu ne sois pas renvoyé comme un perdant" (5,21). Cf Porath (74), p.2 & 6n p.311.

8 Yehoshua Porath, Palestinian Arab National Movement: From Riots to Rebellion: 1929-1939, vol. 2, (London: Frank Cass and Co., Ltd., 1977), pp. 81-82.

9 Cité dans le Jerusalem Post, (2 novembre 1991).

 

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19 mai 2009 2 19 /05 /mai /2009 15:49

 

Voici quelques faits parmi tant d'autres, documentés de façon incontestable par l'ensemble des historiens de bonne foi.

 

 

Jérusalem et nation

 

 

 

1.       Israël est devenu une nation en 1312 avant J.C, soit 2000 ans avant même la naissance de l'Islam.

 

2.     Jamais aucune entité géographique et politique indépendante, aucun pays, ne s'est intitulée Palestine au cours de l'histoire. Par extension aucun peuple ne s'est jamais appelé Palestinien.

 

3.     Les Arabes de la région du Moyen Orient dénommée Palestinien n'ont commencé à s'identifier comme faisant partie d'un peuple palestinien que dans la 2e moitié du 20e siècle.

 

4.     Depuis la conquête juive de 1272 avant J.C, les juifs ont établi leur nation sur cette terre et la nation juive y a prospèré pendant 1000 ans, avec Jérusalem comme capitale.

 

5.     La présence juive sur la terre d'Israël a été constante et ininterrompue pendant 3300 ans.

 

6.     Jérusalem n'a jamais été la capitale d'aucun état arabe ou musulman.

 

7.     Même lorsque les Jordaniens occupaient Jérusalem, ils n'ont jamais envisagé d'en faire leur capitale.

 

8.     Durant la souveraineté jordanienne sur Jérusalem (19 ans), jamais un homme d'État arabe ne l'a visitée.

 

9.     Jérusalem est mentionnée plus de 700 fois dans le TANA'H, le livre saint du judaïsme.

 

10.  Jérusalem n'est pas mentionnée une seule fois dans le Coran.

 

11.   Jérusalem fut fondée par le Roi David

 

12.  Jamais Mahomet n'a visité Jérusalem.

 

13.  Les juifs du monde entier prient en se tournant vers Jérusalem.

 

14.  Les musulmans pour prier tournent le dos à Jérusalem.

 

 

Les réfugiés juifs et arabes

 

1         Pendant la guerre israélo-arabe de 1948, les Arabes ont été encouragés à fuir Israël par les leaders arabes et en particulier le grand Mufti de Jérusalem, allié d'Hitler et son hôte à Berlin pendant la guerre 39-45

 

2       Les appels radio du Mufti annonçaient clairement le massacre de tous les juifs se trouvant en Israël lors de l'invasion imminente par les armées arabes, ainsi que celui des Arabes qui auraient refusé de fuir et seraient considérés comme collaborateurs.

 

3       Il est honnête de rappeler que certains Arabes, qui en ont eu connaissance, ont également fui suite au massacre de 300 personnes dans le village de Deir Yassin perpétré en représailles par le groupe Stern suite à l'assassinat de plusieurs des leurs par des éléments du village.

 

4       70% des Arabes ont ainsi quitte Israël sans avoir jamais vu un soldat juif ou entendu parler de Deir Yassin.

 

5       450.000 Arabes sont réputés avoir ainsi fui Israël en 1948.

 

6       Subséquemment, 650.000 juifs ont été contraints de fuir les pays arabes, à la suite de brutalités, de persécutions, d'exactions et de pogromes, faits largement occultés par les bonnes âmes si promptes à prendre fait et cause pour les réfugiés arabes.

 

7       Ce nombre doit être porte à 1.000.000 si on y ajoute les juifs d'Algérie, de Tunisie et du Maroc.

 

8       Les juifs vivaient dans ces pays parfois depuis 2000 ans et y possédaient des richesses dont ils ont été intégralement spoliés. Il est largement prouvé que les juifs étaient le véritable moteur économique des pays arabes jusqu'à leur expulsion.

 

9       Parler exclusivement du problème des Réfugiés palestiniens est une distorsion intentionnelle et pernicieuse de l'histoire destinée à masquer le problème des Réfugiés au sens large, qui doit inclure les Réfugiés juifs et le problème des compensations faramineuses qu'ils sont en droit de réclamer.

 

10    Mais un Réfugié juif a probablement moins de droits qu'un Réfugié arabe, dans l'esprit des bonnes âmes qui vilipendent Israël.

 

11     Les réfugiés arabes ont été intentionnellement parqués dans des camps par leurs frères arabes ans les pays dans lesquels ils avaient fui, afin de servir d'arme politique.

 

12    Ils n'ont jamais été intégrés dans leurs pays d'accueil malgré l'immensité des territoires arabes non utilisés et les fabuleuses richesses dérivées des revenus pétroliers dont ils disposaient et disposent encore.

 

13    Sur les 1.00.000.000 réfugiés dans le monde depuis la 2e guerre mondiale, le groupe des réfugiés dit Palestinien est le seul qui n'ait jamais été absorbé par les siens.

              

14    Les réfugiés juifs, rescapés des camps de la mort hitlériens dans un premier temps, puis de plus de cent autres pays ont été intégralement absorbés en Israël, un pays plus petit que l'état du New Jersey, couvrant 0,8% de la région dite du Moyen-Orient ou dans d'autres pays d'accueil, ou ils se sont intégrés en participant au développement de leur nouvelle nation.

 

 

Protection et droit religieux

 

1         Lors de la domination jordanienne sur Jérusalem, l'intégralité des lieux saints juifs a été profané et détruit. 58 synagogues, pour certaines d'une valeur architecturale et sacrée inestimable ont ainsi été anéanties.

 

2       Les tombes juives arrachées des cimetières ont été utilisées pour paver les routes et construire les urinoirs publics. (Cimetière du Mont des Oliviers entre autres)

 

3       Témoin de cette ignominie, l'ONU est curieusement restée silencieuse, elle si prompte à condamner Israël en toute occasion. La vérité ne fut connue qu'en 1967 après la guerre des 6 jours.

 

4       Les juifs ont été interdits d'accès à leurs lieux de culte les plus sacrés en territoire arabe et en particulier à Jérusalem. Politique d'apartheid, largement entérinée par l'ONU présente dans la ville.

 

5       Sous la juridiction Israélienne, tous les lieux de cultes, musulmans ou chrétiens ont été préservés, protégés et sont totalement libres d'accès pour toutes les religions.

 

6       Sur les 175 résolutions votées par le Conseil de Sécurité de l'ONU avant 1990, 97 l'ont été contre Israël…

 

7       Sur les 690 résolutions votées par l'Assemblée générale des Nations Unies avant 1990, 429 l'ont été contre Israël...

 

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Malgré 2000 ans de persécution et l’horreur de la Shoah, le monde n’a pas changé et l’État d’Israël est devenu le « juif » du monde.

 

Les temps actuels sont aussi incertains et dangereux pour le peuple Juif que par les époques passées.

 

La vérité et la cause de la paix sont des valeurs universelles que nous devons tous partager.

 

Juifs ou non-Juifs, quelle importance ? L’analyse objective et le courage intellectuel n’ont pas de religion.

 

Tout le monde doit être informé avant de se faire une opinion honnête, non partisane, juste et historiquement correcte.

 

source : http://www.armagh-qc.com
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19 mai 2009 2 19 /05 /mai /2009 14:58

[Mercredi 05/13/2009 18:49]

 


A une époque où il est de bon ton de remettre constamment en question la légitimité juive en Israël, la découverte d’un ouvrage historique capital sur cette question, écrit au XVII ème siècle, apporte un nouvel éclairage de la plus haute importance.

 

 

“Voyage en Palestine“, est le titre d’une œuvre écrite en 1695, par Hadrian Reland (ou Relandi), cartographe, géographe, philologue et professeur de philosophie hollandais. Le sous-titre de l’ouvrage, rédigé en Latin, s’intitule : “Monumentis Veteribus Illustrata”, édité en 1714 aux Editions Brodelet.

Cette belle histoire commence de façon quasi anecdotique, dans un rayon d’une librairie de Budapest, qui renferme des antiquités littéraires, dont une partie concerne le judaïsme : d’anciennes reliques, usées par le temps mais de grande valeur historique (et monétaire), parfois manuscrites, probablement dérobées, issues d’anciennes synagogues. Cette pièce peut aujourd’hui être consultée à l’Université de Haïfa.

L’auteur de cet ouvrage, l’un des premiers orientalistes, connaissait les langues, hébraïque, arabe et  grecque (ancien).

En 1695, Relandi (ou Reland) est envoyé en voyage d’études en Israël, en Palestine d’alors, pour un objectif bien spécifique : recenser plus de 2500 lieux (villes et villages) apparaissant dans le texte du Tanah (Bible) ou de la Michna, dans leur appellation originelle. A chaque fois, Reland y mentionne le nom hébraïque tel qu’il apparaît dans le texte et le verset exact auquel il se réfère. Reland y fait également figurer son équivalent en Latin-Romain ou Grec ancien.

Outre ce remarquable travail linguistique, l’auteur opère surtout un recensement de l’époque, pour chaque localité visitée : d’abord une considération d’ordre général spécifiant que la terre d’Israël d’alors est pratiquement déserte, très peu peuplée. La majorité de ses habitants se concentre alors dans les villes de Jérusalem, Acco (Acre), Tsfat (Safed), Yafo (Jaffa), Tveria (Tibériade) et Aza (Gaza). Surtout, le constat établi par le géographe conclut à une présence dominante de Juifs sur cette terre, quelques Chrétiens et très peu de Musulmans, dont la plupart étaient des Bédouins.

Quelques remarques extraites de cette passionnante étude :

  • Aucune localité d’alors ne propose de nom ou de source arabe
  • La grande majorité de ses villes ou villages possède un nom hébreu, quelques-uns en Grec ou Latin-Romain
  • Pratiquement aucune ville qui possède aujourd’hui un nom en arabe n’en possédait à l’époque : ni Haïfa, ni Yafo, ni Naplouse (Shehem), Gaza ou Djénine.
  • Aucune trace dans les recherches de Reland de sources historiques ou philologiques établies aux noms arabes, plus tardifs, de Ramallah, Al Halil (Hébron) ou Al Qods (Jérusalem)
  • En 1696, Ramallah s’appelle “Beteïlé” (du nom hébreu “Bet El”), Hévron s’appelle … Hévron et Méarat Hamahpéla (Caveau des Patriarches) : Al Halil, du nom donné à Avraham Avinou en arabe.
  • La plupart des villes étaient composées de Juifs, à l’exception de Naplouse (Shehem) qui comptait 120 personnes issues d’une même famille musulmane, les “Natashe”, ainsi que 70 Samaritains
  • A Nazareth, en Galilée, une ville entièrement Chrétienne : 700 Chrétiens
  • A Jérusalem, plus de 5000 habitants, dont la plus grande majorité est juive, et quelques Chrétiens. Reland n’évoque que quelques familles bédouines musulmanes isolées, composées d’ouvriers temporaires saisonniers, dans les domaines de l’agriculture ou de la construction.
  • A Gaza, près de 550 personnes, 50% de Juifs et 50% de Chrétiens. Les Juifs étaient essentiellement spécialisés dans l’agriculture : la vigne, les olives et le blé (Goush Katif). Les Chrétiens s’occupant davantage de commerce et transport des différents produits de la région 
  • Tibériade et Safed étaient de localités juives. On sait surtout que la pêche du Lac de Tibériade constituait le principal emploi de l’époque.
  • Une ville comme Oum El Fahem par exemple était complètement chrétienne : 10 familles

 

L’une des conclusions qui découle de ces recherches est la contradiction définitive et rédhibitoire apportée aux arguments arabes, à savoir l’affirmation d’une légitimité palestinienne ou même d’un “peuple palestinien”.

On en veut pour preuve le fait même qu’un nom latin, celui de “Palestine”, ait été repris à son compte par le camp arabe…

Source :
 
http://www.actu.co.il/2009/05/palestina-un-ouvrage-historique-essentiel/ 

 

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19 mai 2009 2 19 /05 /mai /2009 14:41


Juifs

 

En tant que critique arabe-américain de Yasser Arafat et des objectifs-bidon « palestiniens » le plus visible, je reçois beaucoup de courrier haineux et plus que ma part de menaces de mort.

La plupart de ces attaques – au moins celles qui se donnent la peine d’aller au-delà des insultes et de l'obscénité – disent seulement que je ne comprends pas ces pauvres Arabes qui ont été déplacés, chassés de leurs maisons et transformés en réfugiés par les Israéliens, ni n'ai de compassion pour eux.

 

Permettez-moi d'affirmer clairement et simplement ceci : les Juifs en Israël n'ont pris la terre de personne.

 

Quand Mark Twain visita la Terre sainte au XIXe siècle, il fut très déçu. Il ne vit pratiquement personne. Il la décrivit comme une vaste terre de désolation. Le pays que nous connaissons aujourd'hui sous le nom d'Israël était pratiquement désert. Au début du XXe siècle, cela commença à changer. Des Juifs venus du monde entier se mirent à revenir dans leur patrie ancestrale, la Terre promise que Moïse et Josué avaient conquise, des millénaires auparavant, ainsi que le croient chrétiens et Juifs, sous les ordres directs de Dieu. Cela ne veut pas dire qu'il n’y ait pas toujours eu une forte présence juive sur cette terre, en particulier dans et autour de Jérusalem.

En 1854, selon le compte-rendu publié dans le New York Tribune, les Juifs représentaient les deux tiers de la population de cette ville sainte. Quelle est la source de cette statistique ? Un journaliste, envoyé spécial au Moyen-Orient pour le Tribune. Il s'appelait Karl Marx, oui ce Karl Marx là.

 

Un guide de la Palestine et de la Syrie, publié en 1906 par Karl Baedeker, illustre ce fait : alors même que l'Empire ottoman musulman régnait sur la région, la population musulmane de Jérusalem était minime. Ce livre estime la population totale de la ville à 60.000 habitants, dont 7.000 musulmans, 13.000 chrétiens et 40.000 juifs. « Le nombre de Juifs s'est considérablement accru durant les dernières décennies, malgré l'interdiction d'immigrer ou de posséder des terres qui leur est faite », déclare ce livre. Bien que les Juifs y soient persécutés, ils venaient quand même à Jérusalem et y représentaient la vaste majorité de la population, déjà en 1906. Et bien que les musulmans proclament aujourd'hui Jérusalem comme la troisième ville sainte de l'Islam, quand la ville était sous régime musulman, ils ne lui manifestaient que très peu d'intérêt.

 

Lorsque les Juifs vinrent, drainant les marécages et faisant fleurir les déserts, un phénomène intéressant se produisit. Les Arabes suivirent. Je ne les en blâme point. Ils avaient de bonnes raisons de venir. Ils y trouvaient des emplois. Ils venaient pour la prospérité. Ils venaient pour la liberté. Et ils vinrent nombreux.

 

Winston Churchill observa en 1939 : « Ainsi, loin d'y être persécutés, les Arabes sont arrivés en masse dans ce pays, s'y sont multipliés jusqu'à ce que leur population augmente même plus que les communautés juives de par le monde n'avaient pu mobiliser de Juifs ». Puis arriva 1948 et la grande partition. Les Nations Unies proposèrent la création de deux États dans la région, l'un juif, l'autre arabe. Les Juifs l'acceptèrent avec gratitude. Les Arabes la rejetèrent férocement et déclarèrent la guerre.

 

Les leaders arabes demandèrent aux Arabes de quitter la zone pour ne pas être pris dans les échanges de tirs. Ils pourraient revenir dans leurs maisons, leur dit-on, après qu'Israël soit écrasé et les Juifs détruits. Le résultat ne fut pas celui qu'ils escomptaient. Selon les estimations les plus courantes, plusieurs centaines de milliers d'Arabes furent déplacés du fait de cette guerre, mais non par une agression israélienne, non par un accaparement des propriétés foncières par les Juifs, non par un expansionnisme israélien. En réalité, il existe de nombreux documents historiques montrant que les Juifs ont instamment demandé aux Arabes de rester et de vivre avec eux en paix. Mais, tragiquement, ces derniers choisirent de partir.

 

54 ans plus tard, les enfants et petits-enfants de ces réfugiés vivent encore beaucoup trop souvent dans des camps de réfugiés, et ce, non du fait de l’intransigeance israélienne, mais parce qu'ils ont été abusivement utilisés comme outil politique par les puissances arabes. Ces pauvres malheureux auraient pu être installés en une semaine par les riches États arabes pétroliers, qui contrôlent 99,9% de la totalité des territoires du Moyen-Orient, mais ils sont gardés comme de véritables prisonniers, remplis de haine envers la mauvaise cible, les Juifs, et utilisés comme arme en tant que martyrs-suicide par les détenteurs arabes du pouvoir.

 

Telle est la véritable histoire moderne du conflit arabo-israélien. Jamais les Juifs n'ont arraché les familles arabes de leurs foyers. Quand la terre avait un détenteur, ils en achetaient les titres de propriété largement excessifs, pour pouvoir avoir un lieu où vivre à l’abri des persécutions qu’ils avaient subies partout dans le monde.

 

Dire que les Israéliens ont déplacé qui que ce soit est un énorme et flagrant mensonge d'une longue série de mensonges et de mythes qui ont amené le monde au point où il est prêt à commettre, encore une fois, une autre grande injustice envers les Juifs.

 

Joseph Farah

 

 

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