Catégorie
Les autres publications
DIAPORAMA
Les implantations
obstacles a la paix ?
| |||||||||||
|
Catégorie
Les autres publications
DIAPORAMA
Les implantations
obstacles a la paix ?
| |||||||||||
|
| |||||||||||
|
| ||||||||||||
|
Les textes du dossier
1967
Changement à la communication de la ligue arabe :
Le 3 février 1969, lors du Congrès national palestinien,
Rahman Abdul Rauf el-Qudwa Al Husseini alias Yasser Arafat
est nommé président du comité exécutif de l'OLP, en remplacement de Ahmed Shukairy appointé par la Ligue arabe .
Yasser Arafat revient de formation chez les nouveaux alliés du
panarabisme: lespays du bloc de l'Est
1969
Le conflit n'est plus présenté comme une lutte entre états, dans lequel les pays arabes , en refusant de reconnaître le droit à l'indépendance des juifs, avaient le mauvais rôle, Le conflit devient "lutte de libération nationale" d'un peuple "colonisé",
les palestiniens husseinistes,
par un état oppresseur, Israël.
il devient aussi symbole des luttes de l'extrême gauche
Le Palestinien symbole de l'oppression
Le 2 avril 1969 Arafat envoie deux représentants du Fatah à Barcelone
au premier sommet de l' Internationale néo-nazie
pour obtenir des financements, fournitures d'armes et des d'instructeurs militaires.
Ceux-ci sont issus des rangs des anciens officiers nazis, comme Eich Altern, alias Ali Bella, ancien dirigeant des Affaires Juives de la Gestapo pour la Galicie*.
*La Galicie est une région de Pologne où des centaines de milliers de juifs ont été assassinés par les nazis.
Le 28 mars 1970 un autre sommet de l'Internationale néo-nazie se tint à Paris,
ou l'ancien Belge JR Debbaudt.
met son parti inconditionnellement au service de l'OLP
Le 23 octobre 1970, le National Zeitung, journal nazi publié à Münich, publie l'annonce suivante:
"On recherche! de courageux camarades prêts à se joindre à nous, un groupe d'amis politiquement engagés, pour un voyage au Moyen-Orient comme correspondants de guerre, pour étudier la GUERRE DE LIBERATION des réfugiés palestiniens, afin de reconquérir leur pays. Si vous avez une expérience des tanks, présentez immédiatement vos candidatures. L'argent n'est pas un obstacle. Seuls comptent l'esprit de camaraderie et le courage personnel. Toute information sur l' OLP sera fournie sur demande."
Extraits du
National Zeitung,
Détournement de la métaphore du titre du Daily Express en déclaration de guerre
Les historiens nomment cette technique le "turnspeach", pour désigner précisément la stratégie rhétorique, devenue progressivement systématique chez les Nazis, qui consistait, comme lors de l'attaque de la Tchécoslovaquie, à prétendre que les Tchécoslovaques avaient attaqué l'Allemagne, avant même que ceux-ci aient pu avoir le temps matériel de diffuser un message concernant l'attaque de leur pays par l'Allemagne.
..
... Holocauste des palestiniens....toujours par le journal néo-nazi.
A partir de la fin des années 70, on perd la trace des liens néo-nazis/OLP , au profit des liens avec l'extrême gauche Cuba, et l'OLP mais il va rester certaines habitudes notamment de communication...
Cette dialectique, d'ex-nazis est aujourd'hui reprise par la presse mondiale se voulant progressiste.
1970 Septembre Noir
La coalition d'Arafat s'active pour provoquer un coup d'état et la chute de Hussein le roi de Jordanie.
Le roi fit alors le geste stupéfiant et sans précédent d'offrir de former un gouvernement avec Arafat, un gouvernement dans lequel le leader de l'OLP aurait été Premier Ministre.
Arafat répond par des attaques terroristes et en initie la mode.
détournement et destruction d'avions de lignes.
Le roi Hussein déclare la guerre aux forces d'Arafat ...
plus de 15000 palestiniens sont massacrés dans les camps.
L'assaut final des forces jordaniennes contre les forces d'Arafat fut si féroce que bien des combattants choisirent de se rendre aux Israéliens plutôt que de faire face à leurs frères arabes.
L'opinion mondiale resta muette.
Arafat s'enfuit en Syrie avec environ 2000 combattants, puis alla au Liban, où ils furent responsables du déclenchement d'une nouvelle et sanglante guerre civile inter-arabe....
Refus d'Arafat de devenir premier ministre
Et pour continuer son combat pour l'anéantissement
d'Israël... il embrase le Liban
Quelques leçons de Septembre Noir (1970)
Traduit par OCCAM
pour aschkel.info et lessakele
Tiré d'Al-Arabiya :
"La Jordanie et les Palestiniens ont tourné la page du clash sanglant de "Septembre Noir" qui a eu lieu il y a exactement 40 ans vendredi 17, mais l'inquiétude demeure en l'absence d'une paix régionale.
Les estimations du nombre de tués au cours des 10 mois de combat qui ont finalement vu l'armée jordanienne expulser les combattants palestiniens hors du pays se situent dans un large éventail, entre 2.000 et 30.000. Les Palestiniens ont revu le bilan à 3.000.
A la suite de la défaite arabe lors de la guerre des Six Jours en 1967, Yasser Arafat, devenu plus tard le chef de l'Organisation de Libération de la Palestine (OLP), avait vu en la Jordanie le lieu idéal de ses bases militaires pour environ 40.000 combattants, afin d'attaquer l'Etat juif voisin. Mais le pouvoir des groupes armés palestiniens s'est développé comme un Etat dans l'Etat.
Le 6 septembre 1970, les militants de gauche du Front Populaire pour la Libération de la Palestine (FPLP) détournèrent trois avions de ligne, dont deux ont atterri à Azraq, à l'est de la capitale Amman.
Trois jours plus tard un quatrième avion était détourné, avec 56 citoyens britanniques, américains et israéliens à bord. Le 17 septembre, le roi de Jordanie d'alors, Hussein, répliqua en ordonnant à son armée de 50.000 hommes d'expulser les combattants palestiniens hors du royaume.
Après 10 jours de bataille sanglante, pendant lesquels la Syrie était intervenue pour soutenir les Palestiniens, un cessez-le-feu fut signé au Caire. Mais les groupes armés palestiniens devaient rester en Jordanie, et les combats ne cessèrent pas jusqu'à ce que le premier ministre Wasfi al-Tel renvoya les combattants palestiniens hors du pays en juillet 1971. Tel fut assassiné quatre mois plus tard au Caire par quatre membres de l'organisation "Septembre Noir".
Les Jordaniens ont toutefois peu de regret à propos de la décision du roi, dans un pays où environ la moitié de la population de 6,2 millions d'habitants sont à présent d'origine palestinienne. "C'était non seulement inévitable mais aussi nécessaire. Si nous n'avions pas agi comme nous l'avons fait, cela aurait servi l'intérêt d'Israël en créant un Etat palestinien en Jordanie", déclare Adnan Abu Odeh, un confident d'origine palestinienne du roi Hussein, et ministre de l'information à l'époque des combats."
La Jordanie justifie aujourd'hui le fait d'avoir tué des milliers d'Arabes palestiniens pour leur propre bien - autrement, ils n'auraient eu aucune chance d'obtenir un Etat à eux. Cela fait parfaitement sens.
"L'analyste politique palestinien Hani al-Masri affirme qu'il y a maintenant une "relation privilégiée" entre les deux gouvernements et les deux peuples parce qu'il n'y a plus désormais de désir palestinien de s'emparer de la Jordanie."
De fait, il est vrai que le souhait des Arabes palestiniens de s'emparer de la Jordanie ne dura qu'un bref moment au début des années 1970.
Il reste néanmoins une question de base : pourquoi véritablement les Arabes palestiniens ne veulent pas qu'au moins une partie de la Jordanie soit une partie de leur nation aujourd'hui ? Avant le Mandat britannique, on l'appelait simplement "Palestine de l'Est". Si les Arabes palestiniens basent leur revendication nationale sur leur connexion historique à la Palestine, pourquoi renonceraient-ils volontairement à des pans entiers de leur terre historique ?
Cette question devient plus aiguë à la lumière de l'histoire de l'OLP. La charte d'origine de l'OLP depuis 1964 a une section des plus éclairantes : "Article 24 : Cette organisation n'exerce aucune souveraineté territoriale sur la Cisjordanie du royaume hashémite de Jordanie, sur la Bande de Gaza ou sur l'aire de Himmah." Pour n'importe quel observateur aujourd'hui, cela doit apparaître comme un énoncé incroyable. La charte originelle de l'OLP exclu explicitement la "Cisjordanie", Gaza (aussi bien que la partie du Mandat britannique sur la Palestine qui était envahie par la Syrie) - les territoires mêmes à propos desquels ils insistent maintenant pour qu'ils soient entièrement leur propriété !
Comment cela est-il possible ? Comment les Arabes palestiniens de 1964 pouvaient-ils n'avoir aucun désir quel qu'il soit de "libérer" ces territoires occupés à l'époque par la Jordanie, la Syrie et l'Egypte ? Comment la position de l'OLP en 1964 peut-elle s'accorder avec celle de l'OLP d'aujourd'hui, quand de prime abord elle semble avoir désiré le négatif de ce qu'elle demande maintenant ?
La réponse est que l'OLP a en réalité été remarquablement cohérente dans ses souhaits, de 1964 à nos jours : ils veulent tout territoire, quel qu'il soit, que les Juifs se trouvent contrôler (ou sont perçus comme tels) à un moment donné. Avant 1967, cela n'incluait pas la Palestine orientale, la "Cisjordanie", ou Gaza. A présent, il n'y a que la Palestine de l'Est qui n'est pas inclue. (Himmah est une minuscule bande de territoire au sud de la mer de Galilée qui se prolongeait jusqu'à la rive orientale en Jordanie, je crois que c'est une partie de la zone capturée par Israël sur la Syrie en 1967, et une zone que la Syrie réclame comme sienne.)
C'est la vérité historique que le monde refuse de prendre en compte. Le mouvement national palestinien n'a jamais eu quoi que ce soit approchant le désir de construire une nation sur le territoire connu pendant des millénaires comme la "Palestine". Depuis qu'il est né aux débuts du 20ème siècle, il a toujours été fondamentalement un mouvement négatif censé priver les Juifs de leurs propres aspirations nationales et d'auto-détermination - et non censé obtenir l'indépendance pour son propre peuple. C'est la seule manière de comprendre pourquoi il n'y pas un seul Arabe palestinien qui souhaite revendiquer aujourd'hui la zone d'Himmah qui est aussi réclamée par la Syrie, ou revendiquer leur part historique de la rive orientale en Jordanie. C'est pourquoi ils étaient aussi silencieux sur leurs aspirations nationales avant 1967 - lorsque les nations arabes étaient encore assurées de détruire et de se partager entre elles Israël, et que ce but s'accordait parfaitement avec leur but propre. C'est pourquoi aucun de leurs leaders ne souhaite faire de compromis territorial ou sur Jérusalem-Est - dont ils ont joyeusement accueilli le contrôle par la Jordanie et qu'ils ignoraient avant 1967 sans un seul rappel qu'il s'agissait d'une "terre sacrée palestinienne". C'est pourquoi même les Arabes palestiniens "modérés" refusent de publier une carte de l'Etat de Palestine qui n'inclue pas tout Israël. C'est la raison pour laquelle aujourd'hui les Arabes palestiniens, par une large majorité, déclarent que le conflit ne cessera jamais tant qu'Israël n'est pas détruit.
Et c'est pourquoi tout "accord de paix" est condamné à échouer. Les aspirations de base des Arabes palestiniens ne seront pas satisfaites même par une pleine souveraineté en Cisjordanie et à Gaza. Toute paix serait temporaire et éthérée. La prochaine étape pour la destruction ultime d'Israël commencerait au moment même de la cérémonie à la Maison Blanche annonçant la fin du conflit.
Peut-être que Salam Fayyad, dont l'histoire est dénuée de liens terroristes, serait heureux avec un Etat en "Cisjordanie" et à Gaza uniquement - mais il ne représente pas le Fatah, le Hamas ou tout autre faction majeure, sans même mentionner la majorité des Arabes palestiniens vivant en dehors des territoires. Peut-être que quelques autres Arabes palestiniens ultra-modérés accepteraient un accord de paix et renonceraient à revendiquer Israël même. Des signes écrasants, toutefois, montrent qu'ils sont les marginaux, non le courant dominant. Ce n'est pas une exagération de dire que des générations d'Arabes palestiniens ont été élevées sous le régime de la vengeance et de la haine. Faire reposer les espoirs de paix sur les voeux pieux selon lesquels la plupart des Arabes palestiniens seraient à l'image des quelques modérés, c'est une garantie qu'encore plus de sang sera versé à l'avenir."
L’Irak et le véritable conflit du Moyen-Orient
Titre original : Iraq and The Real Middle East Conflict
Avec l’aimable autorisation de Yeru Aharoni
Directeur des Publications/Rédacteur en chef du
Global Research in International Affairs (GLORIA) Center
Interdisciplinary Center
Par Barry Rubin
Adaptation de Marc Brzustowski
pour lessakele.et aschkel.info
http://rubinreports.blogspot.com/2010/08/iraq-and-real-middle-east-conflict.html
Aymenn Jawad est un jeune écrivain arabe talentueux qui démontre bien dans quel sens analyser les politiques régionales. Son article court, à propos des politiques irakiennes et de la façon dont elles s’adaptent au conflit entre le bloc nationalo-islamiste Iran-Syrie-Turquie et les régimes arabes, rend les enjeux parfaitement limpides. Lecture recommandée.
Fondamentalement, il démontre comment l’Arabie Saoudite et l’Iran sont en compétition pour imposer leur influence en Irak, de la même façon que les Saoudiens se confrontaient à l’Iran et la Syrie au Liban, mais y ont renoncé comme étant une cause perdue. Pendant ce temps, les Etats-Unis et l’Europe agissent en ignorant cette lutte de titans dans la région, dont l’issue déterminera son avenir. Le problème central n’est pas israélo-palestinien ni même, dans un certain sens, le programme nucléaire iranien [en tant que tel]. C’est celui d’un conflit massif entre les deux blocs.
L’un des deux se compose de l’Iran, de la Syrie, du régime turc, du Hamas, du Hezbollah et des insurgés irakiens. L’autre est constitué de tous les régimes arabes, sauf la Syrie et la coalition libanaise du 14 mars. Il existe aussi des forces, comme le Qatar, qui jouent sur les deux tableaux au gré des circonstances.
Les révolutionnaires sont dotés d’une idéologie islamiste et, à la fois, d’un soutien financier et terroriste de la part de Téhéran et Damas. Les relativement « modérés » – ceux dont les intérêts sont, d’une certaine façon, parallèles à ceux d’Israël et, la plupart du temps, à ceux de l’Occident- comptent sur le soutien occidental. Pauvres « modérés » qui dépendent de tels patrons aussi peu fiables!
L’Occident continue largement de percevoir la région en termes désuets de conflit arabo-israéliens, alors même que se déroule sous ses yeux une lutte à mort entre Arabes et entre Musulmans. Il est, souvent, plus préoccupé de négocier ou de s’excuser face aux Radicaux qu’il n’aide les relativement modérés contre eux.
© 2010 aschkel.info
Articles associés
La plupart des analystes politiques israéliens (honnêtes), même ceux qui sont favorables à de larges concessions israéliennes en faveur des Palestiniens, sont sans doute d’accord sur un point: il n’est pas certain du tout que les Palestiniens, une fois leurs exigences actuelles satisfaites, acceptent de déclarer un jour que leur conflit actuel avec Israël est définitivement clos, et qu’il n’y aura plus d’autres revendications futures. Le Premier ministre Binyamin Netanyahou a bien fait – mais saurait-il s’y tenir ? – de mettre comme l’une des conditions d’un accord, un engagement palestinien sur la fin définitive du conflit.
Or cette condition est catégoriquement rejetée par les Palestiniens – tout comme celle d’Israël comme patrie du peuple juif – pour une raison très simple, et volontairement ignorée par la communauté internationale: le conflit israélo-palestinien n’a pas débuté en 1967, avec la soi-disant « occupation » de la Judée-Samarie, mais il perdure depuis plus d’un siècle, par l’opposition arabe à une quelconque souveraineté juive sur une terre déclarée musulmane.
On a souvent trop tendance à oublier la haine et la violence antijuives qui ont régné en Eretz Israël dès avant la création de l’Etat d’Israël. L’un des nombreux exemples est l’année 1929, qui restera à jamais marquée d’une pierre noire dans l’histoire du Yishouv.
Tout a commencé le 23 août 1929, lorsque les Juifs demandèrent aux autorités britanniques – ô sacrilège – d’élargir quelque peu la petite esplanade qui se trouvait alors devant le Mur des Lamentations et d’y installer quelques bancs, afin de permettre aux fidèles de plus en plus nombreux de venir prier. Dès ce jour, les chefs religieux musulmans appelèrent à la révolte au motif « que les Sionistes veulent porter atteinte aux lieux saints de l’Islam », argument qui revient régulièrement encore à l’heure actuelle.
Le 23 août 1929, des Juifs décidèrent de manifester devant le Kotel pour revendiquer leur droit le plus naturel d’y prier et d’en être les propriétaires. Soudain, des hordes d’Arabes surgirent, munies de barres de fer et de couteaux, et se mirent à attaquer des habitations juives de la Vieille Ville. Les émeutes arabes de Jérusalem s’étendirent rapidement à d’autres endroits du pays, notamment à Hevron, où eut lieu un terrible massacre: 66 Juifs, dont des femmes des enfants et des vieillards. Durant ces jours de peur et de violences, 130 Juifs furent en tout tués par des Arabes.
Les villes de Tel-Aviv et de Haïfa réussirent à repousser les assaillants terroristes grâce à la présence plus nombreuse de combattants de la « Hagana ». C’est d’ailleurs de cette époque que surgirent des voix au sein du mouvement de résistance, qui préconisèrent de ne plus « rester les bras croisés face au terrorisme arabe ou de ne plus se contenter uniquement de répondre aux agressions, mais qu’il fallait installer la crainte et la dissuasion dans le camp ennemi ». C’est ainsi que naquirent progressivement l’Irgoun et le Leh’i.
Les événements de l’année 1929 marquèrent un tournant dans l’hostilité anti-juive de la part des Arabes de Palestine, notamment dans l’intensification de la violence aveugle, et dans l’apparition de l’élément religieux musulman comme opposition au retour souverain des Juifs sur leur terre.
Au moment où débute ce nouveau round de négociations entre Israéliens et Palestiniens, avec le cortège de pressions qui vont être exercées sur Israël par la Communauté internationale, il est bon se souvenir de ces événements qui sont encore d’une douloureuse actualité, et de se rappeler quelle est la réelle nature du conflit qui nous oppose aux Arabes de Palestine.
par Shraga Blum .israel7
Nous remercions CICAD pour ce petit manuel
Retrouvez tous les articles et dossiers sur les mythes et réalités
du Proche-Orient en cliquant sur la bannière
A diffuser
Traduction Occam
Sous-titrage . Aschkel.info
pour le centre MAOZ-ISRAEL, aschkel.info et lessakele.
Les autres vidéos
Voir aussi le diaporama
Les implantations
obstacles a la paix ?
03/08/2010
Rejeter les allégations sur les « racines coloniales » d’Israël
Dore GOLD
Source : Le CAPE de Jérusalem
Lire tous les articles
Par Gideon - .Lion-Ardent.
Qui sont ces Palestiniens?
Qui sont ces gens qui prétendent être les propriétaires de la terre sainte?
Quelle est leur histoire?
D'ou viennent-ils?
Comment sont-ils arrivés jusqu’au pays qu’ils appellent Palestine?
On affirme sur les ondes de radios officielles que les Palestiniens vivent en Eréts depuis des centaines, si ce n’est des milliers d’années.
Pourtant et curieusement, dés qu’on leurs demandes de démontrer historiquement, l’ancienneté de leurs présences ici la plupart des chaînes et des sociétés de presse sont incapables de trouver des traces remontant au delà du début du 20ème siècle.
Sur le site Internet de la CNN chaîne qui a consacré des heures et des heures à la détresse des Palestiniens, on peut lire un dossier spécial sur le conflit au Moyen-Orient qui s’appelle "Le combat pour la paix". Une page de ce dossier, "Les terres à travers les différentes époque" nous promet un exposé, une étude détaillée sur la région, avec carte à l’appui. Surprise ou pas, la plus ancienne carte que vous y trouverez date de 1917; Le site Internet de la CBS comporte-lui un dossier intitulé "Le combat pour la paix au Moyen-Orient". L’histoire n’y débute qu’en 1897.Sur le site de la NBC, le dossier qui nous intéresse porte le nom de Recherche de la paix, et la date de départ de l’historique du sujet remonte à 1916.Enfin le site de la BBC n’a pas réussi à remonter plus loin que 1948.
Mais la preuve inéluctable que nous recherchons se trouve dans le site de l’autorité palestinienne. Le site ne désemplit pas de termes tels que "Occupation israélienne transgression, des droits de l’homme par Israël, les juifs se comportent en vrais nazis ! Le choix des expressions telles que colons, Jérusalem occupée, implantations juives, apartheid". Etc. Témoigne de la volonté d’attacher aux Fils d’Israël une image d’étrangers sur leur terre ; mais il n’est pas très riche en renseignements sur le peuple palestinien. Le seul article historique s’intitule "le peuple palestinien / grande époque du 20eme siècle" et il prouve bien qu’avant 1900 il n’avait jamais été question de peuple palestinien.
Alors que la presse électronique n’a aucun détail sur le peuple palestinien, les écrits historiques tels que par exemple, les livres, Sedé Yaacov de Schmouel Katz et De tout temps de John Peters ont depuis longtemps fait le point sur l’histoire de la région. Sur la base de témoignages de gens qui sont venus visiter le pays, la Terre d’Israël était presque vide d’habitants jusqu’au début du siècle (Ce qui est bien loin de la thèse selon laquelle les Palestiniens se trouveraient ici depuis des centaines, si ce n’est des milliers d’années!)
Alphonse de Lamartine vint en visite dans la région en 1835 Dans son livre Souvenirs d’Orient, il écrivit : "A l’extérieur des portes de Jérusalem, nous n’avons pas rencontré âme qui vive et nous n’avons entendu aucune voix humaine", cette description fut confirmée par l’écrivain américain Mark Twain qui vint en visite en Erets en 1867. Dans son livre Les promeneurs incrédules, il écrivit: "On ne peut trouver de mots pour décrire la désolation qui règne ici Même l’imagination la plus féconde ne pourrait la peupler de vie et d’animation. Nous sommes parvenus à Tabor et nous n’avons rencontré aucune âme qui vive sur notre chemin". Le consul britannique de Palestine rapportait en 1857 que "Cette terre est en majeure partie vide d’habitants; Par conséquent, le recours le plus urgent est de la peupler d’habitants."
En fait, le recensement officiel réalisé par les pouvoirs ottomans en 1882, affirme qu’il n’y avait alors en Erets Israël que 141 000 musulmans arabes et non arabes : Une hausse de 450 % en 40 ans seulement; En 1938, il atteint plus d’un million (hausse de 800 % en 56 ans seulement) La population augmenta particulièrement dans les régions qui étaient peuplées par les Juifs.
D’ou sont donc venus tous ces Arabes?
L’explication donnée par les Arabes est la forte natalité. Ils prétendent qu’en 1944 par exemple, la croissance naturelle de la population (le nombre des naissances moins le nombre des défunts) chez les Arabes en Erets Israël atteignait le chiffre extraordinaire de 334 pour 1000 Ce chiffre est trois fois plus grand qu’en Syrie ou au Liban à la même époque, presque quatre fois plus grand qu’en Egypte qui est un des pays ou l’évolution de la croissance naturelle est considérée comme l’une des plus importantes au monde
Toutes les données pointent vers les pays arabes voisins : le Liban, la Syrie, l’Egypte et la Jordanie ; En 1922, le gouvernement britannique du Sinaï précisait que "l’émigration clandestine ne se faisait pas qu’à partir du Sinaï, mais également à partir de la Jordanie et de la Syrie" Un rapport effectué avec le soutien du mandat britannique en 1930 précisait que "les listes de chômeurs ne comptaient que des réfugiés venant de Jordanie" et que "l’immigration Alya clandestine à partir de la Syrie et de la frontière nord de la Palestine était conséquente" Les arabes eux-mêmes témoignaient de ce phénomène. Par exemple, le gouverneur de la région syrienne, annonçait en 1934 que plus de 30 000 réfugiés syriens s’apprêtaient à s’installer en Erets Israël Churchill lui même avait prêté attention à ce phénomène, à l’époque ou il fut mêlé au mandat britannique, dans ses premières années. En 1939, il déclarait : "Non seulement ces réfugiés ne sont pas poursuivis, mais ils parviennent à pénétrer à l’intérieur du pays." Les Juifs ne les repoussèrent pas et, de plus, ils furent dés le départ la cause de l’affluence des arabes en Erets. La nouvelle entreprise sioniste et le développement agricole avaient créé de l’emploi, tout comme la construction, L’industrie israélienne alimente la majeure partie des revenus des arabes d’Israël de nos jours.
Malcolm Macdonald, une des personnes qui participèrent à l’écriture du livre blanc britannique en 1939 et qui oeuvra pour limiter le nombre des réfugiés Juifs de l’époque a reconnu avec réticence que s’il n’y avait pas eu de présence Juive, la population arabe n’aurait même pas atteint la moitié de ce qu’elle représente.
Aujourd’hui à la suite de la dernière Intifada, alors que les Arabes des "territoires" âgés de moins de 35 ans ne sont plus autorisés à pénétrer à l’intérieur du territoire d’avant 1967, le chômage chez les Arabes a augmenté de 40 % et la plupart des habitants sont donc forcés d’avoir recours à l’aide européenne pour survivre.
Mais les Arabes d’avant la création de l’Etat ne sont pas les seuls à avoir menti en prétendant être nés en Erets.
Il est prouvé qu’un grand nombre de personnalités importantes chez ceux qui se font appeler "Palestiniens" ne sont absolument pas originaires du pays. Le professeur Edouard Sayd, professeur en littérature dans une université réputée et important propagandiste palestinien a toujours prétendu être né à Jérusalem. Or, un article paru dans le Commentary Magazine en 1999 divulgua que Sayd était originaire du Caire, ce que Sayd s’est trouvé forcé de confirmer par la suite. Mais pourquoi nous attarder sur Sayd?
Le chef de l’autorité palestinienne lui même, qui s’est proclamé "Chef du peuple palestinien" Yasser Arafat a toujours affirmé qu’il était né en "Palestine" alors que selon son biographe attitré, Yasser Arafat est né au Caire le 24 août 1929 et y a grandi. Afin de maintenir, l’effet de ce coefficient essentiel qu’est, leur soi-disant origine sur cette terre les responsables de la propagande arabe durent réécrire l’histoire et pour cela ils durent également avoir recours à une nouvelle géographie.
Durant 2000 ans, la région aride du centre du pays fut appelée judée-samarie, ce qui est prouvé par toutes les cartes du pays depuis le Moyen-Âge. Mais Depuis que ce territoire a été occupé par la Jordanie en 1948, il a reçu la nouvelle appellation de"Cisjordanie" ou "Bande ouest" (Textuellement de l’hébreu.) A-t-on une seule fois demandé, à la Jordanie depuis 1948 de restituer ces territoires aux Palestiniens. La vérité est que la Palestine est un mythe. Les journalistes qui commentent les événements de la région ne sont nullement gênés d’employer ce terme alors que ce territoire ne peut être appelé "ouest" que par rapport a la Jordanie, étant situé à l’est d’Israël. Tout le monde continue donc de se servir du terme jordanien pour parler de ce territoire. Le terme "Palestinien" témoigne de la désinformation malhonnête de l’histoire afin de prouver que les racines de leur soi-disant peuple proviennent de cette terre. Des arabes ont même adopté des noms de la tribu cananéenne antique, Plichtim disparus depuis presque 3000 ans.
Il n’existe aucun lien entre ce "chéveth" (tribu) antique et les Arabes de l’époque moderne. Mais qui donc fait la différence? Ne se rattachant à aucun relevé historique, Arafat raconter que "Jésus, ébéniste Juif de Galilée était en fait palestinien". C’est pourquoi, Arafat se rendait chaque année à Bethléem à l’occasion de la "Fête de la Nativité" et répéter chaque fois que " Jésus fut le premier palestinien". Malgré le témoignage apporté par l’histoire, la presse a réussi à ancrer l’idée qu’il existe un peuple palestinien.
Un sondage effectué dernièrement auprès de citoyens français démontra que la plupart des français sont convaincus à tort bien sur qu’avant la création de l’Etat d’Israël, il y avait à sa place un Etat palestinien indépendant.
Au cours de toute l’histoire, il n’y a jamais eu d’Etat palestinien indépendant dans la région géographique que les "Palestiniens" "appellent Palestine". Le dernier Etat indépendant qui exista dans la région avant la création de l’Etat d’Israël fut l’Etat antique de Judée, il y a 2000 ans.
Les "palestiniens" sont un mythe, la question essentielle reste pourquoi? Pour quelles raisons ont-ils décidé d’inventer un peuple?
La réponse est que le mythe du peuple palestinien sert à justifier l’occupation arabe d’Erets Israël. Ce sont des spoliateurs, et falsificateurs de l’histoire.
Doit-on parler de réfugiés ou d’échange de population?
C’est chiffres (qui n’incluent pas, bien évidemment, les descendants des réfugiés) 800.000 juifs vivant dans les pays arabes ont été contraints à l’exil!
Mais les réfugiés ne restèrent pas longtemps des réfugiés. Il furent intégrés pour la plus grande majorité en Israël qu’attendent les autres pays arabes ils disposent de 21 Etats souverains (plus que n’importe quelle nation dans le monde) en particulier la Jordanie terre déjà donnée aux palestiniens. Ils règnent sur un territoire 800 fois plus grand que la terre d’Israël ! Mais il semblerait que cela ne suffise pas et c’est pourquoi ils éprouvent le besoin de voler aux Juifs le seul et unique Etat dont ils disposent, un des plus petits Etats du monde.
Malheureusement, trop de gens qui ne connaissent pas l’histoire de cette région, entre autre une grande partie de la presse internationale, sont trop heureux de se proposer de les aider.
Même les enfants israéliens ne sont pas à l’abri de ce mythe. Dans les livres d’histoire, pour exemple le livre d’Eyal Navé, "l’histoire du 20ème siècle", qui est utilisé dans les lycées, y compris des lycées religieux et y compris des lycées Juifs de judée-samarie, l’idée mythologique du "peuple palestinien" est inculquée dans l’esprit des élèves comme une réalité. Il est regrettable de constater que même la presse pro- israélienne, fortement influencée par ses collègues gauchistes, se sert du nom imaginaire de "palestinien" dans ses reportages. Cela revient à dire "ces gens, qui n’ont pas droit à un Etat, on droit à un Etat".
Nous devons trouver le terme adéquat pour définir de façon exacte la véritable nature de ces arabes qui habitent en Erets Israël. Les termes appropriés sont "Arabes de Judée –Samarie". Il est intéressant de remarquer que la Torah elle-même fait allusion à un conflit entre Israël et un peuple imaginaire: "Eux, M’ont irrité et contrarié par des dieux inexistants et par leurs vaines idoles. Moi Je les irriterai par un peuple inexistant et par une nation indigne" Devarim /Deutéronome 32,21.
Ne faut-il pas être aveugle ou de mauvaise foi pour ne pas reconnaître que les rêves d’un nouveau Moyen –Orient se sont totalement effondrés lorsque les troupes d’assassins, des hordes sauvages d’arabes de Palestine tirent tuent se font exploser, au milieu de bébés, d’enfants, et d’habitants juifs d’Erets Israël. Israël est pour la paix, mais refuse le sacrifice de ses citoyens. Notre méfiance à l’égard du chef de l’autorité palestinienne est légitime et justifiée. Le temps du mépris est révolu Israël retrouve sa terre, après deux mille ans d’exil et de souffrances. Aucun conquérant de notre terre qu’il soit croisé, islamique ou issu d’autres peuples, ne peut se prévaloir d’une quelconque antériorité ou du moindre titre de propriété sur la terre d’Israël.
Les pierres et le sol du Golan, de la Judée de la Samarie et de Jérusalem regorgent de vestiges hébreux. Chaque arpent de terre porte les traces de destructions précédentes qui, pendant des siècles ont interdit l’accès aux Lieux saints juifs et parfois ceux des chrétiens Pourtant ceux-là même qui sont revenus après deux mille ans sur cette terre ravagée et qui l’on construite, ont inscrit dans leur déclaration d’indépendance le droit à la liberté d’accès aux lieux saints de toutes les religions.
Qui d’entre nous n’a pas était un jour frappé par l’outrance des commentaires suscités par les médias et du détournement des mots pour qualifier Israël? Clouant au pilori d’une part l’Etat d’Israël, et d’autre part les Juifs. Les accusations formulées par les médias à l’égard d’Israël ne sont ils pas injustes et excessives, ainsi les opérations menée par Tsahal après les attentas commis par les terroristes palestiniens sont toujours montée en épingle et condamnée de façon tonitruante, les nécessités sécuritaires d’Israël sont rarement comprises et le terrorisme palestinien légitimé, des lors Israël est perçu comme un occupant et les palestiniens comme des résistants, (n’est ce pas une façon de se décharger du poids de la Shoah en faisant d’Israël le nouvel Etat nazi?, L’Etat d’Israël serait en quelque sorte le juif des nations banni est persécuté, rejeté par le reste du monde), ceci démontre naturellement une incapacité intellectuelle à saisir l’histoire juive et de vouloir délégitimé l’idée nationale du peuple juif et de sa fidélité au cadastre de la Bible.
Par conséquent on assiste, a une recrudescence brutale et virulente en France de l’anti-judaïsme, dont l’occident chrétien fut le berceau et l’idéologie vichyste, un exemple auquel l’islamisme conquérant vient aujourd’hui se calquer Une France antisémite cela ne signifierait pas pour autant une politique d’Etat antisémite mais un passé qui ne passe pas Cette vision alimentée par des faits incontestable d’agressions dont la violence et la fréquence constituent une véritable mutation dans l’histoire des juifs de France depuis 1945 rend La situation des juifs en France difficile des lors on ne peut reprocher aux juifs qui se réfugient dans la solidarité communautaire de rompre avec l’universalisme et d’avoir pour solution le retour a Sion.