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6 octobre 2010 3 06 /10 /octobre /2010 12:19

 

 

 

 

 

 

 

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DIAPORAMA

Les implantations  
obstacles a la paix ? 

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Les implantations pourraient-elles inciter à la paix au

Proche-Orient ?,

Dr Mitchell Bard

(foreign policy analyst)

http://www.foxnews.com/opinion/2010/10/04/mitchell-bard-israel-palestinians-obama-george-mitchell-settlements-peace-talks/

 

 

Traduit par Par Fabien MIKOL

 pour aschkel.info  et  lessakele

 

"Avant même qu'Israël annonce le non-renouvellement du gel de 10 mois des constructions juives imposé en septembre 2009, les Palestiniens menaçaient de se retirer des pourparlers de paix tout juste recommencés, en insistant sur le fait que les constructions sont un obstacle à la paix. L'administration Obama a aussi répété ce canard, et George Mitchell fait à présent pression pour qu'Israël étende le moratoire. En fait, contrairement à la sagesse convenue, les constructions sont plutôt un stimulant pour la paix.
    Considérez cette vérité politiquement inconvenante : en 1977, Israël avait d'abord offert aux Palestiniens l'opportunité de se gouverner eux-mêmes d'une manière qui aurait inévitablement conduit à l'établissement d'un Etat palestinien, mais les Palestiniens ont rejeté ce plan d'autonomie hors de la table. Cela prendra encore 16 ans avant que les Palestiniens acceptent de seulement reconnaître l'Etat d'Israël. A ce stade, Israël leur avait de nouveau offert l'autonomie et, cette fois, les Palestiniens étaient prêts à négocier. Qu'est-ce qui avait changé ?
    En 1977, moins de 6.000 Juifs vivaient dans les territoires. Il aurait été relativement aisé d'en évacuer la plupart ou la totalité, et les Palestiniens auraient peu perdu du territoire qu'ils réclamaient de la Cisjordanie et de la Bande de Gaza. En 1993, toutefois, le nombre d'habitants juifs avait atteint plus de 120.000. Les communautés étaient éparpillées sur tout le territoire disputé, et il était difficile, sinon impossible, d'en évacuer les plus larges.
    Néanmoins, les Palestiniens n'étaient pas désireux d'abandonner leur lutte armée, même après qu'Israël s'était retiré de 80 % de la Bande de Gaza et d'environ la moitié de la Cisjordanie, avec la promesse d'échanger plus de territoires contre la paix. L'escalade du terrorisme palestinien contre les Israéliens a finalement tué le processus d'Oslo à la fin des années 1990. A ce moment, le nombre d'habitants juifs avait de nouveau augmenté pour atteindre presque 200.000.
    Après que Yasser Arafat a rejeté l'offre israélienne de Camp David en 2000 de se retirer de 97 % de la Cisjordanie, de la totalité de Gaza, de démanteler la plupart des implantations et d'établir un Etat palestinien avec Jérusalem-Est pour capitale, la majorité des Israéliens ne croyaient plus qu'il existait quoi que ce soit qu'ils puissent faire pour satisfaire les demandes palestiniennes. Ainsi que Freij l'avait prédit une décennie plus tôt, Israël avait créé des faits qui changaient les paramètres des négociations. "A la lumière des nouvelles réalités sur le terrain, incluant les concentrations déjà majeures de peuplement israélien", a dit George Bush en 2004, "il est irréaliste de s'attendre à ce que les résultats des négociations sur le statut final soient un retour total et complet aux lignes d'armistice de 1949".
    La dure réalité pour les Palestiniens est que plus longtemps ils attendent, plus grand est le territoire qu'ils risquent de perdre, et c'est par conséquent ce qui les pousse à négocier. Lorsque la population juive des territoires fut de près de 270.000, le Président palestinien Mahmoud Abbas décida de négocier avec le Premier ministre Ehoud Olmert, lequel lui a offert un marché similaire à celui qu'Arafat avait refusé. Abbas a eu aussi peu de vision à long terme, et rejeta l'opportunité qui lui était donnée de gagner l'indépendance pour son peuple.
    Certains Palestiniens restent convaincus que le temps est de leur côté. Certains pensent que la tendance démographique est en leur faveur, et qu'ils peuvent l'emporter sur Israël par le simple poids du nombre. D'autres croient que les Iraniens ou les Etats arabes fabriqueront des armes nucléaires leur permettant finalement d'avoir les capacités militaires de détruire Israël. Le seul facteur, toutefois, qui retient les Palestiniens de s'asseoir et d'attendre que la démographie et les bombes atomiques fassent leur travail, c'est la croissance des implantations qui les force à se demander s'il restera encore le territoire pour un Etat s'ils attendent trop longtemps.
    Vous penserez peut-être que les Palestiniens sont désormais plus soucieux d'atteindre un accord de paix ; néanmoins, il est possible qu'ils ne sentent pas suffisamment d'urgence à coexister à côté d'Israël parce que l'aire actuelle des implantations est vraiment petite - à peu près 2 % de la Cisjordanie. Mais si Abbas s'écarte des pourparlers avec Israël, les Palestiniens n'auront de nouveau personne d'autre à blâmer qu'eux-mêmes quand ils regarderont une carte et verront les communautés israéliennes germer sur le territoire et les implantations existantes s'étendre."

*          *          *
Dr. Mitchell Bard is the Director of AICE and the Jewish Virtual Library. His latest books are The Arab Lobby (Harper), Will Israel Survive? (Palgrave),  48 Hours of Kristallnacht: Night of Destruction/ Dawn of the Holocaust (Lyons Press).


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27 septembre 2010 1 27 /09 /septembre /2010 16:29

 

 

 

 

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La vente massive d'armes aux Saoudiens ne les protégera pas de l'Iran, mais minera les valeurs américaines, Mitchell Bard

Traduit par Par Fabien MIKOL

 pour aschkel.info  et  lessakele

 

http://www.foxnews.com/opinion/2010/09/23/mitchell-bard-saudia-arabia-arms-sale-lobby-american-security-stuart-levey/





"Le lobby arabe cherche maintenant à capitaliser sur les craintes d'une guerre contre l'Iran pour convaincre le Congrès d'approuver les ventes d'armes américaines à l'Arabie Saoudite les plus importantes de l'histoire. En fait, cette vente ne fera rien pour protéger les Saoudiens de l'Iran, et les récompensera pour s'être continuellement attaqué à nos valeurs et à nos intérêts.
    En quoi consiste le lobby arabe ? Il est conduit par les Saoudiens eux-mêmes et soutenu par les pro-arabes - des officiels des gouvernements actuel et passés qui pensent que les Etats-Unis doivent contenter les Saoudiens pour assurer le flux de pétrole -, les compagnies pétrolières qui profitent de cette relation et des contractuels de la défense qui y gagnent aussi de l'argent et qui disent au Pentagone que par là ils pourront baisser le prix unitaire des armes américaines et conserver la vitalité des chaînes de production.
    Le paradoxe est que nous vendons aux Saoudiens toutes ces armes sous prétexte que cela les aidera à se défendre eux-mêmes - et "notre" pétrole -, alors que l'histoire a justement démontré l'inverse. Malgré cet arsenal, les Saoudiens ne survivent que grâce au parapluie défensif américain. Nous l'avons dramatiquement constaté quand nous avons vendu aux Saoudiens nos armes les plus sophistiquées dans les années 1980, pour ensuite envoyer 500.000 soldats américains les sauver pendant la première guerre du Golfe.
    L'argument selon lequel les Saoudiens auraient besoin de 60 milliards en armement moderne pour se défendre contre l'Iran est particulièrement grotesque. Si l'administration Obama empêche l'Iran d'obtenir une arme nucléaire, alors l'Iran suscite moins de danger aux Saoudiens ; si l'Iran obtient la bombe, ces nouvelles armes ne seront d'aucune utilité.
    Alors que les Saoudiens soutiennent que la vente est nécessaire pour leur défense anti-iranienne, une part significative de ce marché d'armes est destinée à renforcer la garde du palais. Cela reflète l'inquiétude principale des Saoudiens : protéger la monarchie contre des opposants internes qui ne peuvent être combattus avec des avions et des hélicoptères.
    Encore plus ridicule est l'argument de l'administration selon lequel ces armes peuvent dissuader l'Iran sans poser de danger à Israël. Les promesses de l'administration pour satisfaire Israël en établissant des restrictions sur certains des équipements saoudiens sont aussi insignifiantes que les engagements passés qui par la suite avaient été abandonnés. Israël a néanmoins décidé de ne pas s'opposer activement à cette vente afin d'éviter un conflit avec Obama au moment où il espère que ce dernier agira contre l'Iran.
    La raison de s'opposer à cette vente est plus fondamentale : l'Arabie Saoudite sape nos valeurs et nos intérêts, et menace la sécurité américaine.
    Comment ce royaume sape-t-il nos valeurs ? L'Arabie Saoudite est une société autoritaire, l'une des plus intolérantes de la planète. Elle est coupable d'abus des droits humains en série, et pratique un apartheid sexiste envers les femmes. Elle a aussi une longue histoire de discrimination envers les citoyens américains, et promeut à travers le monde une version radicale de l'islam qui voit les non-musulmans comme des infidèles et décrit les Juifs comme des "singes" ainsi que les chrétiens comme des "porcs".
    Comment les Saoudiens sape-t-ils nos intérêts ? Le royaume, de manière routinière, a saboté les initiatives de paix américaines. Anwar Sadate avait dit à Jimmy Carter que le soutien saoudien était essentiel pour atteindre une paix au Moyen-Orient. Carter croyait que les Saoudiens soutenaient sa politique, et ils l'ont alors trahi en essayant de saboter le traité de paix israélo-égyptien et en tentant d'empêcher une paix plus globale.
    Rien que l'année dernière, les Saoudiens ont sapé la stratégie de paix du président Obama en rejetant sa requête de modifier le plan de paix arabe, ou d'effectuer des gestes de bonne volonté pour améliorer les relations avec Israël. Entre temps, les Saoudiens ont soutenu des groupes terroristes tels que le Hamas qui ont tué des Américains, affaibli le leadership palestinien modéré, et entravé les négociations pour une solution de deux Etats.
    Les Saoudiens sont aussi déterminés à frustrer notre volonté pour gagner une indépendance énergétique. Le prince Turki al-Faisal, l'ancien ambassadeur saoudien aux Etats-Unis, a dénigré cette idée comme "démagogique". Il a qualifié le discours sur l'indépendance énergétique comme une "posture politicienne en son pire aspect - un concept irréaliste, malavisé, et finalement nuisible tant envers les pays producteurs qu'envers les pays consommateurs". Pendant ce temps, les Saoudiens agissent comme des dealers, vendant le pétrole à un prix suffisamment élevé pour faire de l'argent et suffisamment bas pour entretenir l'addiction de leur clientèle et décourager l'investissement vers des sources alternatives d'énergie.
    Enfin, les Saoudiens menacent la sécurité américaine à travers leur soutien au terrorisme et à la propagation d'une vision islamique radicale dans les écoles qu'ils financent dans le monde, et qui élèvent une nouvelle génération d'extrémistes adhérant au djihad contre les incroyants. Le sous-secrétaire du Trésor spécialisé dans le financement des terroristes, Stuart Levey, a dit : "si je pouvais d'une certaine manière couper d'un claquement de doigts le financement venant d'un pays, ce serait l'Arabie Saoudite".
    Beaucoup objecteront que si nous ne vendons pas ces armes aux Saoudiens, d'autres le feront. La vérité est que les Saoudiens sont déjà en train d'en acheter à d'autres et continueront à le faire. La question est de savoir s'il est de notre intérêt de sécurité nationale de continuer à renforcer ce régime.
    Le lobby arabe défendra fortement l'idée que cette vente générera des emplois, ce qui est un argument puissant en une année électorale. Pourtant, les membres du Congrès devraient placer les intérêts de sécurité nationale avant les leurs, et examiner attentivement les mérites de ce marché."


*          *          *
Dr. Mitchell Bard is the Director of AICE and the Jewish Virtual Library. His latest books are The Arab Lobby (Harper), Will Israel Survive? (Palgrave),  48 Hours of Kristallnacht: Night of Destruction/ Dawn of the Holocaust (Lyons Press).

 

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24 septembre 2010 5 24 /09 /septembre /2010 12:16

 

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Mythes et réalités

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Will Israel Survive? 


                                                  MITCHELL G.BARD

http://www.jewishvirtuallibrary.org/

Traduit par Par Fabien MIKOL

 pour aschkel.info  et  lessakele



mf
MYTHE:
"Les dirigeants de l'Autorité Palestinienne sont mandatés par le peuple pour chercher la paix"
RÉALITÉ:
 
Le mandat de Mahmoud Abbas en tant que Président de l'A.Palestinienne a expiré en janvier 2009. Aucune élection n'a été tenue depuis que le Hamas s'est emparé violemment de la Bande de Gaza en 2007. Les prétentions de Salam Fayyad sont encore plus douteuses en tant que Premier Ministre. Son parti de la "Troisième Voie" n'a remporté que deux sièges aux élections de 2006, et n'en a plus aujourd'hui qu'un seul depuis que son autre membre, Hana Ashrawi, a désormais quitté le parti. Fayyad a été nommé à son poste après de lourdes pressions américaines et européennes, car il était vu par les nations occidentales comme un modéré et un réformateur (395). Même s'il a réalisé des progrès en rendant l'AP fiscalement responsable et en commençant à construire l'infrastructure d'un Etat, Fayyad est resté plus populaire à l'extérieur que parmi le peuple palestinien, ainsi que le reflète un récent sondage qui ne lui donne que 8% des votes en cas d'élection hypothétique d'un Président de l'Autorité Palestinienne (396).
    Abbas n'a même pas le soutien du corps gouvernemental de son propre parti. Le comité exécutif de l'OLP (lequel comprend lui-même 18 acteurs politiques non élus mais influents) s'était réuni pour approuver les négociations directes avec Israël. Seulement neuf membres du comité ont participé à la réunion, bien loin des 12 requis par la constitution de l'OLP pour approuver la démarche d'Abbas (397). De même, Abbas n'a obtenu aucune approbation publique des négociations de la part du Fatah, la faction dominante de l'OLP, et dont le conseil central est considéré avec suspicion par les Palestiniens du fait que l'élection de 2009 l'ait rempli de supporters d'Abbas (398).
    La légitimité des négociateurs de l'AP est encore plus affaiblie par le fait que le Hamas contrôle la Bande de Gaza, où vivent environ 40% des Palestiniens des Territoires. Le Hamas, de son côté, n'a pas fait secret de son opposition à tout compromis avec Israël ou à toute acceptation de son droit à exister.
    Ces questions de légitimité rendent difficile aux négociateurs israéliens la quête d'un compromis avec les Palestiniens, car ils doutent de la capacité de ces derniers à faire respecter cet éventuel accord. Mis à part ce problème du manque de soutien d'Abbas de la part de la population palestinienne, les Israéliens s'inquiètent aussi de son aptitude à remplir les engagements de tout accord qu'il pourrait signer. Il ne peut garantir la paix aussi longtemps qu'il n'aura aucun contrôle de la Bande de Gaza ; de plus, les attaques terroristes conduites en Cisjordanie pendant le sommet de Washington ont fait naître des doutes sur son contrôle des territoires sur lesquels son autorité est supposée s'exercer.
    Malgré ces inquiétudes à propos de la volonté et de la capacité d'Abbas à atteindre et à appliquer un accord, Israël négocie avec lui de bonne foi avec l'espoir qu'en trouvant un tel accord, le Président de l'Autorité Palestinienne pourrait gagner le soutien du peuple palestinien dont il manque actuellement.

 395Khaled Abu Toameh, "Abbas &Fayyad: Do They Have a Mandate?"Hudson NY, (August 24, 2010).

396Poll No.170, Palestinian Center for Public Opinion, (January 1, 2010).

397Khaled Abu Toameh, "Abbas &Fayyad: Do They Have a Mandate?"Hudson NY, (August 24, 2010).

398Khaled Abu Toameh, "Abbas &Fayyad: Do They Have a Mandate?"Hudson NY, (August 24, 2010).


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19 septembre 2010 7 19 /09 /septembre /2010 11:50

 

Les textes du dossier

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1967

Changement à la communication de la ligue arabe : 
Le 3 février 1969, lors du Congrès national palestinien, 
Rahman Abdul Rauf el-Qudwa Al Husseini alias Yasser Arafat

 
est nommé président du comité exécutif de l'OLP, en remplacement de Ahmed Shukairy appointé par la Ligue arabe . 
Yasser Arafat revient de formation chez les nouveaux alliés du 
panarabisme: lespays du bloc de l'Est

1969 

Le conflit n'est plus présenté comme une lutte entre états, dans lequel les pays arabes , en refusant de reconnaître le droit à l'indépendance des juifs, avaient le mauvais rôle, Le conflit devient "lutte de libération nationale" d'un peuple "colonisé", 
les palestiniens husseinistes, 
par un état oppresseur, Israël. 

 

il devient aussi symbole des luttes de l'extrême gauche 
Le Palestinien symbole de l'oppression

  
 Le 2 avril 1969 Arafat envoie deux représentants du Fatah   à Barcelone 
au premier sommet de l' Internationale néo-nazie 
pour obtenir des financements, fournitures d'armes et des d'instructeurs militaires. 
Ceux-ci sont issus des rangs des anciens officiers nazis, comme Eich Altern, alias Ali  Bella, ancien dirigeant des Affaires Juives de la Gestapo pour la Galicie*. 

*La Galicie est une région de Pologne où des centaines de milliers de juifs ont été assassinés par les nazis.

Le 28 mars 1970 un autre sommet de l'Internationale néo-nazie se tint à Paris, 
ou l'ancien Belge JR Debbaudt.
met son parti inconditionnellement au service de l'OLP

 

Le 23 octobre 1970, le National Zeitung, journal nazi publié à Münich, publie l'annonce suivante:

"On recherche! de courageux camarades prêts à se joindre à nous, un groupe d'amis politiquement engagés, pour un voyage au Moyen-Orient comme correspondants de guerre, pour étudier la GUERRE DE LIBERATION des réfugiés palestiniens, afin de reconquérir leur pays. Si vous avez une expérience des tanks, présentez immédiatement vos candidatures. L'argent n'est pas un obstacle. Seuls comptent l'esprit de camaraderie et le courage personnel. Toute information sur l' OLP sera fournie sur demande."

Extraits du 
National Zeitung,

Détournement de la métaphore du titre du Daily Express en déclaration de guerre

Les historiens nomment cette technique le "turnspeach", pour désigner précisément la stratégie rhétorique, devenue progressivement systématique chez les Nazis, qui consistait, comme lors de l'attaque de la Tchécoslovaquie, à prétendre que les Tchécoslovaques avaient attaqué l'Allemagne, avant même que ceux-ci aient pu avoir le temps matériel de diffuser un message concernant l'attaque de leur pays par l'Allemagne.

.. 

 ... Holocauste des palestiniens....toujours par le journal néo-nazi.

 

 

A partir de la fin des années 70, on perd la trace des liens néo-nazis/OLP , au profit des liens avec l'extrême gauche  Cuba, et l'OLP  mais il va rester certaines habitudes notamment de communication...

Cette dialectique, d'ex-nazis est aujourd'hui reprise par la presse mondiale se voulant progressiste. 

1970 Septembre Noir

 

La coalition d'Arafat s'active pour provoquer un coup d'état et la chute de Hussein le roi de Jordanie. 
Le roi fit alors le geste stupéfiant et sans précédent d'offrir de former un gouvernement avec Arafat, un gouvernement dans lequel le leader de l'OLP aurait été Premier Ministre.

Arafat répond par des attaques terroristes  et en initie la mode.

détournement et destruction d'avions de lignes.


Le roi Hussein déclare la guerre aux forces d'Arafat ...



plus de 15000 palestiniens sont massacrés dans les camps. 
L'assaut final des forces jordaniennes contre les forces d'Arafat fut si féroce que bien des combattants choisirent de se rendre aux Israéliens plutôt que de faire face à leurs frères arabes. 


L'opinion mondiale resta muette.


Arafat s'enfuit en Syrie  avec environ 2000 combattants, puis alla au Liban, où ils furent responsables du déclenchement d'une nouvelle et sanglante guerre civile inter-arabe....

Refus d'Arafat de devenir premier ministre 
Et pour continuer son combat pour l'anéantissement 
d'Israël... il embrase le Liban

 

Bann-Occam.jpg

 

 

 

Quelques leçons de Septembre Noir (1970)

Traduit par OCCAM

pour aschkel.info et lessakele

 

Tiré d'Al-Arabiya :


 

 

"La Jordanie et les Palestiniens ont tourné la page du clash sanglant de "Septembre Noir" qui a eu lieu il y a exactement 40 ans vendredi 17, mais l'inquiétude demeure en l'absence d'une paix régionale.

Les estimations du nombre de tués au cours des 10 mois de combat qui ont finalement vu l'armée jordanienne expulser les combattants palestiniens hors du pays se situent dans un large éventail, entre 2.000 et 30.000. Les Palestiniens ont revu le bilan à 3.000.
   

A la suite de la défaite arabe lors de la guerre des Six Jours en 1967, Yasser Arafat, devenu plus tard le chef de l'Organisation de Libération de la Palestine (OLP), avait vu en la Jordanie le lieu idéal de ses bases militaires pour environ 40.000 combattants, afin d'attaquer l'Etat juif voisin. Mais le pouvoir des groupes armés palestiniens s'est développé comme un Etat dans l'Etat.
   

Le 6 septembre 1970, les militants de gauche du Front Populaire pour la Libération de la Palestine (FPLP) détournèrent trois avions de ligne, dont deux ont atterri à Azraq, à l'est de la capitale Amman.

Trois jours plus tard un quatrième avion était détourné, avec 56 citoyens britanniques, américains et israéliens à bord. Le 17 septembre, le roi de Jordanie d'alors, Hussein, répliqua en ordonnant à son armée de 50.000 hommes d'expulser les combattants palestiniens hors du royaume.
   

Après 10 jours de bataille sanglante, pendant lesquels la Syrie était intervenue pour soutenir les Palestiniens, un cessez-le-feu fut signé au Caire. Mais les groupes armés palestiniens devaient rester en Jordanie, et les combats ne cessèrent pas jusqu'à ce que le premier ministre Wasfi al-Tel renvoya les combattants palestiniens hors du pays en juillet 1971. Tel fut assassiné quatre mois plus tard au Caire par quatre membres de l'organisation "Septembre Noir".
   

Les Jordaniens ont toutefois peu de regret à propos de la décision du roi, dans un pays où environ la moitié de la population de 6,2 millions d'habitants sont à présent d'origine palestinienne. "C'était non seulement inévitable mais aussi nécessaire. Si nous n'avions pas agi comme nous l'avons fait, cela aurait servi l'intérêt d'Israël en créant un Etat palestinien en Jordanie", déclare Adnan Abu Odeh, un confident d'origine palestinienne du roi Hussein, et ministre de l'information à l'époque des combats."
   

La Jordanie justifie aujourd'hui le fait d'avoir tué des milliers d'Arabes palestiniens pour leur propre bien - autrement, ils n'auraient eu aucune chance d'obtenir un Etat à eux. Cela fait parfaitement sens.
    "L'analyste politique palestinien Hani al-Masri affirme qu'il y a maintenant une "relation privilégiée" entre les deux gouvernements et les deux peuples parce qu'il n'y a plus désormais de désir palestinien de s'emparer de la Jordanie."
   

De fait, il est vrai que le souhait des Arabes palestiniens de s'emparer de la Jordanie ne dura qu'un bref moment au début des années 1970.
   

Il reste néanmoins une question de base : pourquoi véritablement les Arabes palestiniens ne veulent pas qu'au moins une partie de la Jordanie soit une partie de leur nation aujourd'hui ? Avant le Mandat britannique, on l'appelait simplement "Palestine de l'Est". Si les Arabes palestiniens basent leur revendication nationale sur leur connexion historique à la Palestine, pourquoi renonceraient-ils volontairement à des pans entiers de leur terre historique ?
   

Cette question devient plus aiguë à la lumière de l'histoire de l'OLP. La charte d'origine de l'OLP depuis 1964 a une section des plus éclairantes : "Article 24 : Cette organisation n'exerce aucune souveraineté territoriale sur la Cisjordanie du royaume hashémite de Jordanie, sur la Bande de Gaza ou sur l'aire de Himmah." Pour n'importe quel observateur aujourd'hui, cela doit apparaître comme un énoncé incroyable. La charte originelle de l'OLP exclu explicitement la "Cisjordanie", Gaza (aussi bien que la partie du Mandat britannique sur la Palestine qui était envahie par la Syrie) - les territoires mêmes à propos desquels ils insistent maintenant pour qu'ils soient entièrement leur propriété !
   

Comment cela est-il possible ? Comment les Arabes palestiniens de 1964 pouvaient-ils n'avoir aucun désir quel qu'il soit de "libérer" ces territoires occupés à l'époque par la Jordanie, la Syrie et l'Egypte ? Comment la position de l'OLP en 1964 peut-elle s'accorder avec celle de l'OLP d'aujourd'hui, quand de prime abord elle semble avoir désiré le négatif de ce qu'elle demande maintenant ?
   

La réponse est que l'OLP a en réalité été remarquablement cohérente dans ses souhaits, de 1964 à nos jours : ils veulent tout territoire, quel qu'il soit, que les Juifs se trouvent contrôler (ou sont perçus comme tels) à un moment donné. Avant 1967, cela n'incluait pas la Palestine orientale, la "Cisjordanie", ou Gaza. A présent, il n'y a que la Palestine de l'Est qui n'est pas inclue. (Himmah est une minuscule bande de territoire au sud de la mer de Galilée qui se prolongeait jusqu'à la rive orientale en Jordanie, je crois que c'est une partie de la zone capturée par Israël sur la Syrie en 1967, et une zone que la Syrie réclame comme sienne.)
   

C'est la vérité historique que le monde refuse de prendre en compte. Le mouvement national palestinien n'a jamais eu quoi que ce soit approchant le désir de construire une nation sur le territoire connu pendant des millénaires comme la "Palestine". Depuis qu'il est né aux débuts du 20ème siècle, il a toujours été fondamentalement un mouvement négatif censé priver les Juifs de leurs propres aspirations nationales et d'auto-détermination - et non censé obtenir l'indépendance pour son propre peuple. C'est la seule manière de comprendre pourquoi il n'y pas un seul Arabe palestinien qui souhaite revendiquer aujourd'hui la zone d'Himmah qui est aussi réclamée par la Syrie, ou revendiquer leur part historique de la rive orientale en Jordanie. C'est pourquoi ils étaient aussi silencieux sur leurs aspirations nationales avant 1967 - lorsque les nations arabes étaient encore assurées de détruire et de se partager entre elles Israël, et que ce but s'accordait parfaitement avec leur but propre. C'est pourquoi aucun de leurs leaders ne souhaite faire de compromis territorial ou sur Jérusalem-Est - dont ils ont joyeusement accueilli le contrôle par la Jordanie et qu'ils ignoraient avant 1967 sans un seul rappel qu'il s'agissait d'une "terre sacrée palestinienne". C'est pourquoi même les Arabes palestiniens "modérés" refusent de publier une carte de l'Etat de Palestine qui n'inclue pas tout Israël. C'est la raison pour laquelle aujourd'hui les Arabes palestiniens, par une large majorité, déclarent que le conflit ne cessera jamais tant qu'Israël n'est pas détruit.
   

Et c'est pourquoi tout "accord de paix" est condamné à échouer. Les aspirations de base des Arabes palestiniens ne seront pas satisfaites même par une pleine souveraineté en Cisjordanie et à Gaza. Toute paix serait temporaire et éthérée. La prochaine étape pour la destruction ultime d'Israël commencerait au moment même de la cérémonie à la Maison Blanche annonçant la fin du conflit.
   

Peut-être que Salam Fayyad, dont l'histoire est dénuée de liens terroristes, serait heureux avec un Etat en "Cisjordanie" et à Gaza uniquement - mais il ne représente pas le Fatah, le Hamas ou tout autre faction majeure, sans même mentionner la majorité des Arabes palestiniens vivant en dehors des territoires. Peut-être que quelques autres Arabes palestiniens ultra-modérés accepteraient un accord de paix et renonceraient à revendiquer Israël même. Des signes écrasants, toutefois, montrent qu'ils sont les marginaux, non le courant dominant. Ce n'est pas une exagération de dire que des générations d'Arabes palestiniens ont été élevées sous le régime de la vengeance et de la haine. Faire reposer les espoirs de paix sur les voeux pieux selon lesquels la plupart des Arabes palestiniens seraient à l'image des quelques modérés, c'est une garantie qu'encore plus de sang sera versé à l'avenir."

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26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 14:47

 

 

 

L’Irak et le véritable conflit du Moyen-Orient

 

 

IRAK.jpg

 

 


Titre original : Iraq and The Real Middle East Conflict

 

 

Avec l’aimable autorisation de Yeru Aharoni

Directeur des Publications/Rédacteur en chef du

Global Research in International Affairs (GLORIA) Center

Interdisciplinary Center


Par Barry Rubin

Adaptation de Marc Brzustowski

pour  lessakele.et aschkel.info

 

sunnites_chiites_turcoiran.jpg

 

 http://rubinreports.blogspot.com/2010/08/iraq-and-real-middle-east-conflict.html

 

Aymenn Jawad est un jeune écrivain arabe talentueux qui démontre bien dans quel sens analyser les politiques régionales. Son article court, à propos des politiques irakiennes et de la façon dont elles s’adaptent au conflit entre le bloc nationalo-islamiste Iran-Syrie-Turquie et les régimes arabes, rend les enjeux parfaitement limpides. Lecture recommandée.




Fondamentalement, il démontre comment l’Arabie Saoudite et l’Iran sont en compétition pour imposer leur influence en Irak, de la même façon que les Saoudiens se confrontaient à l’Iran et la Syrie au Liban, mais y ont renoncé comme étant une cause perdue. Pendant ce temps, les Etats-Unis et l’Europe agissent en ignorant cette lutte de titans dans la région, dont l’issue déterminera son avenir. Le problème central n’est pas israélo-palestinien ni même, dans un certain sens, le programme nucléaire iranien [en tant que tel]. C’est celui d’un conflit massif entre les deux blocs.

 

L’un des deux se compose de l’Iran, de la   Syrie, du régime turc, du Hamas, du Hezbollah et des insurgés irakiens. L’autre est constitué de tous les régimes arabes, sauf la Syrie et la coalition 
libanaise du 14 mars. Il existe aussi des forces, comme le Qatar, qui jouent sur les deux tableaux au gré des circonstances.

 

Les révolutionnaires sont dotés d’une idéologie islamiste  et, à la fois, d’un soutien financier et terroriste de la part de Téhéran et Damas. Les relativement « modérés » – ceux dont les intérêts sont, d’une certaine façon, parallèles à ceux d’Israël et, la plupart du temps, à ceux de l’Occident- comptent sur le soutien occidental. Pauvres « modérés » qui dépendent de tels patrons aussi peu fiables!



L’Occident continue largement de percevoir la région en termes désuets de conflit arabo-israéliens, alors même que se déroule sous ses yeux une lutte à mort entre Arabes et entre Musulmans. Il est, souvent, plus préoccupé de négocier ou de s’excuser face aux Radicaux qu’il n’aide les relativement modérés contre eux.

 

 © 2010 aschkel.info

 

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23 août 2010 1 23 /08 /août /2010 14:14

 

 

 

Fichier:Hebron 1929.jpg

 

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Le massacre des juifs par les arabes a Hebron en 1929 il y a 80 ans

Qu'est-ce qui a commencé - le terrorisme ou l'occupation ? 

 

La plupart des analystes politiques israéliens (honnêtes), même ceux qui sont favorables à de larges concessions israéliennes en faveur des Palestiniens, sont sans doute d’accord sur un point: il n’est pas certain du tout que les Palestiniens, une fois leurs exigences actuelles satisfaites, acceptent de déclarer un jour que leur conflit actuel avec Israël est définitivement clos, et qu’il n’y aura plus d’autres revendications futures. Le Premier ministre Binyamin Netanyahou a bien fait – mais saurait-il s’y tenir ? – de mettre comme l’une des conditions d’un accord, un engagement palestinien sur la fin définitive du conflit.

Or cette condition est catégoriquement rejetée par les Palestiniens – tout comme celle d’Israël comme patrie du peuple juif – pour une raison très simple, et volontairement ignorée par la communauté internationale: le conflit israélo-palestinien n’a pas débuté en 1967, avec la soi-disant « occupation » de la Judée-Samarie, mais il perdure depuis plus d’un siècle, par l’opposition arabe à une quelconque souveraineté juive sur une terre déclarée musulmane.

On a souvent trop tendance à oublier la haine et la violence antijuives qui ont régné en Eretz Israël dès avant la création de l’Etat d’Israël. L’un des nombreux exemples est l’année 1929, qui restera à jamais marquée d’une pierre noire dans l’histoire du Yishouv.

Tout a commencé le 23 août 1929, lorsque les Juifs demandèrent aux autorités britanniques – ô sacrilège – d’élargir quelque peu la petite esplanade qui se trouvait alors devant le Mur des Lamentations et d’y installer quelques bancs, afin de permettre aux fidèles de plus en plus nombreux de venir prier. Dès ce jour, les chefs religieux musulmans appelèrent à la révolte au motif « que les Sionistes veulent porter atteinte aux lieux saints de l’Islam », argument qui revient régulièrement encore à l’heure actuelle.

Le 23 août 1929, des Juifs décidèrent de manifester devant le Kotel pour revendiquer leur droit le plus naturel d’y prier et d’en être les propriétaires. Soudain, des hordes d’Arabes surgirent, munies de barres de fer et de couteaux, et se mirent à attaquer des habitations juives de la Vieille Ville. Les émeutes arabes de Jérusalem s’étendirent rapidement à d’autres endroits du pays, notamment à Hevron, où eut lieu un terrible massacre: 66 Juifs, dont des femmes des enfants et des vieillards. Durant ces jours de peur et de violences, 130 Juifs furent en tout tués par des Arabes.

Les villes de Tel-Aviv et de Haïfa réussirent à repousser les assaillants terroristes grâce à la présence plus nombreuse de combattants de la « Hagana ». C’est d’ailleurs de cette époque que surgirent des voix au sein du mouvement de résistance, qui préconisèrent de ne plus « rester les bras croisés face au terrorisme arabe ou de ne plus se contenter uniquement de répondre aux agressions, mais qu’il fallait installer la crainte et la dissuasion dans le camp ennemi ». C’est ainsi que naquirent progressivement l’Irgoun et le Leh’i.

Les événements de l’année 1929 marquèrent un tournant dans l’hostilité anti-juive de la part des Arabes de Palestine, notamment dans l’intensification de la violence aveugle, et dans l’apparition de l’élément religieux musulman comme opposition au retour souverain des Juifs sur leur terre.

Au moment où débute ce nouveau round de négociations entre Israéliens et Palestiniens, avec le cortège de pressions qui vont être exercées sur Israël par la Communauté internationale, il est bon se souvenir de ces événements qui sont encore d’une douloureuse actualité, et de se rappeler quelle est la réelle nature du conflit qui nous oppose aux Arabes de Palestine.

par Shraga Blum .israel7

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19 août 2010 4 19 /08 /août /2010 18:41

 

 

 

Nous remercions CICAD pour ce petit manuel

cicad

 

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DOSSIER MYTH

 

 

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16 août 2010 1 16 /08 /août /2010 18:08

 

Israel : La genèse du mythe des "colonies"  - Vidéo - 

 

A diffuser

 

Traduction Occam

Sous-titrage . Aschkel.info

pour le centre MAOZ-ISRAEL, aschkel.info et lessakele.

 

Les autres vidéos

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Voir aussi le diaporama 

Les implantations  
obstacles a la paix ? 

implantations-paix

 


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8 août 2010 7 08 /08 /août /2010 00:04

 

03/08/2010

 

Rejeter les allégations sur les « racines coloniales » d’Israël 
Dore GOLD




Il y a 35 ans, une conférence internationale sur le statut de la femme, tenue à Mexico City, a jeté les bases pour l’adoption par l’ONU d’une résolution infâme, jamais prononcée à ce jour à l’encontre d’Israël. 

Cette résolution, adoptée  le 18 novembre 1975, a défini le sionisme comme une forme de racisme. La campagne qui a conduit à cette résolution reposait essentiellement sur plusieurs décisions antérieures qui liaient le sionisme aux mouvements colonialistes. En 1973, l’Assemblée générale des Nations-Unies avait déjà condamné « l’alliance non- sanctifiée entre le colonialisme portugais, le racisme sud-africain, le sionisme et l’impérialisme sioniste ». A Mexico City, les participantes à la conférence de l'ONU ont appelé à « l’éradication de toute sorte de  colonialisme, de néo colonialisme, d’occupation étrangère, du sionisme et de l’apartheid. »

En 1991, l’Assemblée générale des Nations-Unies a abrogé la résolution assimilant le sionisme au racisme, mais la comparaison que l’ont fait entre sionisme et apartheid n'a pas cessé et elle est rabâchée par cet argument à ce jour. 

Comment Israël peut rejeter ses allégations abjectes? Lors d’un discours prononcé à Johannesburg en 2008, le député arabe israélien Azmi Bashara a révélé qu’il existe deux éléments dans les accusations qu’il propage dans le monde entier et qui lient Israël à l’apartheid : la ségrégation et le colonialisme.

En d’autres termes, afin de confronter ceux qui définissent Israël comme pays d’apartheid, il ne suffit pas de présenter au monde le fait qu’il n’y a pas de ségrégation  raciale en Israël ou que des députés arabes siègent à la Knesset (contrairement en Afrique du Sud de l’apartheid) ou que des Arabes israéliens et Palestiniens utilisent les mêmes hôpitaux avec les Juifs israéliens (alors que dans le régime de l’apartheid les Noirs n’étaient pas autorisés à séjourner dans les hôpitaux des Blancs). Aujourd’hui, donc, la force motrice de la vague anti-israélienne demeure le narratif colonialiste.

Rappelons quelques vérités historiques: le mandat britannique a proposé un Foyer national au peuple juif, qui a été appuyé par la Société des Nations. Les puissances européennes de l'époque n’ont pas créé des droits au peuple juif et ne lui n'ont pas accordé  a posteriori. Dans le document mandataire, les signataires soulignent « la reconnaissance du droit historique du peuple juif à la Palestine. » En d’autres termes, ce document reconnait le droit déjà existant et appelle à un « rétablissement » du Foyer national juif. En fait, les Juifs avaient déjà pris des mesures pour renforcer leur droit bien avant que les Britanniques et les Français n’aient démantelé l’empire ottoman.

Le peuple juif avait déjà rétabli la majorité qu’il possédait à Jérusalem en 1863. Les droits reconnus par le mandat et la Société des Nations en 1922 ont été préservés par l’organisme qui l’a hérité en 1945, les Nations-Unies, et ils ont été maintenus dans l’article 80 de la Charte des Nations-Unies sur les droits des Etats et des peuples.

L’argument que les racines colonialistes d’Israël proviennent du lien  mandataire britannique est une amère ironie, parce que la plupart des Etats arabes doivent leur création à l’occupation et la domination des puissances européennes. Avant la Première Guerre mondiale, des pays comme l’Irak, la Syrie, le Liban et la Jordanie ne figuraient pas sur la carte du globe, il n'existait à l'époque que des provinces de l’empire ottoman. Elles sont devenues des Etats suite à l’intervention européenne, comme ce fut le cas de l’Irak et de la Jordanie, où les Britanniques ont accordé le pouvoir au régime hachémite. Quant aux petits Emirats du Golfe, ils ont été créés à la suite des accords spéciaux signés par leurs dirigeants avec l’Inde britannique, dans les années 1880-1916. Ces accords ont inclus la reconnaissance britannique à la légitimité des familles arabes à gouverner dans les régions transformées en Etats comme le Koweït ; le Bahreïn et le Qatar. Un accord similaire signé en 1907 entre la Grande Bretagne et la famille Al-Saoud a jeté les bases à l’émergence de l’Arabie saoudite en 1932.

Enfin, au cours de la guerre d’indépendance d’Israël, les armées arabes ont bénéficié des armes, des formations et même du personnel des puissances coloniales. Au début de la guerre, la Légion arabe a lancé des opérations à Jérusalem avec l’aide d'officiers britanniques. L’espace aérien du Sinaï égyptien a été défendu, par la Royal Air Force, et en 1949 des incidents ont été enregistrés entre des avions israéliens et  la chasse britannique. Dire qu’Israël est le résultat du colonialisme signifie ignorance totale de l’histoire du Moyen-Orient du 20ème siècle. On a également ignoré le fait qu’à ses débuts, Israël a représenté une entité anti- colonialiste, qui a contribué à l’exclusion de l’Empire britannique et des Français du Moyen-Orient. 

Ces dernières années, les efforts visant à présenter Israël comme entité  colonialiste se sont amplifiés avec la contestation de tout lien historique entre le peuple juif et son pays. Pour cette raison, Arafat a nié que le Temple n’avait jamais existé à Jérusalem. Son entourage a adopté cette version et notamment Abou Mazen, lui-même. Lorsque Salam Fayyad  déclare en septembre 2008, devant l’Assemblée générale de l’ONU, l’importance religieuse de Jérusalem, il a mentionné le christianisme et l’Islam mais pas le judaïsme. A Washington, Abou Mazen a consenti que les Juifs figurent dans le Coran mais a nié le droit historique des Juifs à la terre d’Israël. Pour plusieurs porte-parole palestiniens il est important de nier les racines historiques du peuple juif afin d’appuyer leur argument selon lequel les Juifs ne sont arrivés que récemment en Palestine.

Ces fausses déclarations ne sont pas faites dans le but d'aboutir à une  vérité historique, mais font partie d'une campagne bien orchestrée qui a pour objectif de délégitimer l'Etat Israël. 

Durant les années 70, l’Union soviétique et ses alliées du tiers monde étaient derrière ses allégations. Actuellement, se sont des ONG et des universités occidentales. 

Ce narratif  anti-israélien cumule malheureusement une certaine popularité et contribue à nourrir la définition mensongère "qu'Israël est un Etat d’apartheid". Dans ce contexte, nous devons redoubler nos efforts et ressources pour lutter contre cette tendance et pour faire la lumière aux revendications historiques et à la reconnaissance et au respect de nos droits légitimes.

 

Source : Le CAPE de Jérusalem 

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12 juillet 2010 1 12 /07 /juillet /2010 05:38

 

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DOSSIER MYTH

 

 

 

 

 

Le mythe palestinien

palestine.jpgPar Gideon - .Lion-Ardent.


Qui sont ces Palestiniens?
Qui sont ces gens qui prétendent être les propriétaires de la terre sainte?
Quelle est leur histoire?
D'ou viennent-ils?
Comment sont-ils arrivés jusqu’au pays qu’ils appellent Palestine?
On affirme sur les ondes de radios officielles que les Palestiniens vivent en Eréts depuis des centaines, si ce n’est des milliers d’années.
Pourtant et curieusement, dés qu’on leurs demandes de démontrer historiquement, l’ancienneté de leurs présences ici la plupart des chaînes et des sociétés de presse sont incapables de trouver des traces remontant au delà du début du 20ème siècle.

arafat.gif



Sur le site Internet de la CNN chaîne qui a consacré des heures et des heures à la détresse des Palestiniens, on peut lire un dossier spécial sur le conflit au Moyen-Orient qui s’appelle "Le combat pour la paix". Une page de ce dossier, "Les terres à travers les différentes époque" nous promet un exposé, une étude détaillée sur la région, avec carte à l’appui. Surprise ou pas, la plus ancienne carte que vous y trouverez date de 1917; Le site Internet de la CBS comporte-lui un dossier intitulé "Le combat pour la paix au Moyen-Orient". L’histoire n’y débute qu’en 1897.Sur le site de la NBC, le dossier qui nous intéresse porte le nom de Recherche de la paix, et la date de départ de l’historique du sujet remonte à 1916.Enfin le site de la BBC n’a pas réussi à remonter plus loin que 1948.

Mais la preuve inéluctable que nous recherchons se trouve dans le site de l’autorité palestinienne. Le site ne désemplit pas de termes tels que "Occupation israélienne transgression, des droits de l’homme par Israël, les juifs se comportent en vrais nazis ! Le choix des expressions telles que colons, Jérusalem occupée, implantations juives, apartheid". Etc. Témoigne de la volonté d’attacher aux Fils d’Israël une image d’étrangers sur leur terre ; mais il n’est pas très riche en renseignements sur le peuple palestinien. Le seul article historique s’intitule "le peuple palestinien / grande époque du 20eme siècle" et il prouve bien qu’avant 1900 il n’avait jamais été question de peuple palestinien.

Alors que la presse électronique n’a aucun détail sur le peuple palestinien, les écrits historiques tels que par exemple, les livres, Sedé Yaacov de Schmouel Katz et De tout temps de John Peters ont depuis longtemps fait le point sur l’histoire de la région. Sur la base de témoignages de gens qui sont venus visiter le pays, la Terre d’Israël était presque vide d’habitants jusqu’au début du siècle (Ce qui est bien loin de la thèse selon laquelle les Palestiniens se trouveraient ici depuis des centaines, si ce n’est des milliers d’années!)

Alphonse de Lamartine vint en visite dans la région en 1835 Dans son livre Souvenirs d’Orient, il écrivit : "A l’extérieur des portes de Jérusalem, nous n’avons pas rencontré âme qui vive et nous n’avons entendu aucune voix humaine", cette description fut confirmée par l’écrivain américain Mark Twain qui vint en visite en Erets en 1867. Dans son livre Les promeneurs incrédules, il écrivit: "On ne peut trouver de mots pour décrire la désolation qui règne ici Même l’imagination la plus féconde ne pourrait la peupler de vie et d’animation. Nous sommes parvenus à Tabor et nous n’avons rencontré aucune âme qui vive sur notre chemin". Le consul britannique de Palestine rapportait en 1857 que "Cette terre est en majeure partie vide d’habitants; Par conséquent, le recours le plus urgent est de la peupler d’habitants."

En fait, le recensement officiel réalisé par les pouvoirs ottomans en 1882, affirme qu’il n’y avait alors en Erets Israël que 141 000 musulmans arabes et non arabes : Une hausse de 450 % en 40 ans seulement; En 1938, il atteint plus d’un million (hausse de 800 % en 56 ans seulement) La population augmenta particulièrement dans les régions qui étaient peuplées par les Juifs.

D’ou sont donc venus tous ces Arabes?

L’explication donnée par les Arabes est la forte natalité. Ils prétendent qu’en 1944 par exemple, la croissance naturelle de la population (le nombre des naissances moins le nombre des défunts) chez les Arabes en Erets Israël atteignait le chiffre extraordinaire de 334 pour 1000 Ce chiffre est trois fois plus grand qu’en Syrie ou au Liban à la même époque, presque quatre fois plus grand qu’en Egypte qui est un des pays ou l’évolution de la croissance naturelle est considérée comme l’une des plus importantes au monde

Toutes les données pointent vers les pays arabes voisins : le Liban, la Syrie, l’Egypte et la Jordanie ; En 1922, le gouvernement britannique du Sinaï précisait que "l’émigration clandestine ne se faisait pas qu’à partir du Sinaï, mais également à partir de la Jordanie et de la Syrie" Un rapport effectué avec le soutien du mandat britannique en 1930 précisait que "les listes de chômeurs ne comptaient que des réfugiés venant de Jordanie" et que "l’immigration Alya clandestine à partir de la Syrie et de la frontière nord de la Palestine était conséquente" Les arabes eux-mêmes témoignaient de ce phénomène. Par exemple, le gouverneur de la région syrienne, annonçait en 1934 que plus de 30 000 réfugiés syriens s’apprêtaient à s’installer en Erets Israël Churchill lui même avait prêté attention à ce phénomène, à l’époque ou il fut mêlé au mandat britannique, dans ses premières années. En 1939, il déclarait : "Non seulement ces réfugiés ne sont pas poursuivis, mais ils parviennent à pénétrer à l’intérieur du pays." Les Juifs ne les repoussèrent pas et, de plus, ils furent dés le départ la cause de l’affluence des arabes en Erets. La nouvelle entreprise sioniste et le développement agricole avaient créé de l’emploi, tout comme la construction, L’industrie israélienne alimente la majeure partie des revenus des arabes d’Israël de nos jours.

Malcolm Macdonald, une des personnes qui participèrent à l’écriture du livre blanc britannique en 1939 et qui oeuvra pour limiter le nombre des réfugiés Juifs de l’époque a reconnu avec réticence que s’il n’y avait pas eu de présence Juive, la population arabe n’aurait même pas atteint la moitié de ce qu’elle représente.

Aujourd’hui à la suite de la dernière Intifada, alors que les Arabes des "territoires" âgés de moins de 35 ans ne sont plus autorisés à pénétrer à l’intérieur du territoire d’avant 1967, le chômage chez les Arabes a augmenté de 40 % et la plupart des habitants sont donc forcés d’avoir recours à l’aide européenne pour survivre.

Mais les Arabes d’avant la création de l’Etat ne sont pas les seuls à avoir menti en prétendant être nés en Erets.

Il est prouvé qu’un grand nombre de personnalités importantes chez ceux qui se font appeler "Palestiniens" ne sont absolument pas originaires du pays. Le professeur Edouard Sayd, professeur en littérature dans une université réputée et important propagandiste palestinien a toujours prétendu être né à Jérusalem. Or, un article paru dans le Commentary Magazine en 1999 divulgua que Sayd était originaire du Caire, ce que Sayd s’est trouvé forcé de confirmer par la suite. Mais pourquoi nous attarder sur Sayd?

Le chef de l’autorité palestinienne lui même, qui s’est proclamé "Chef du peuple palestinien" Yasser Arafat a toujours affirmé qu’il était né en "Palestine" alors que selon son biographe attitré, Yasser Arafat est né au Caire le 24 août 1929 et y a grandi. Afin de maintenir, l’effet de ce coefficient essentiel qu’est, leur soi-disant origine sur cette terre les responsables de la propagande arabe durent réécrire l’histoire et pour cela ils durent également avoir recours à une nouvelle géographie.

Durant 2000 ans, la région aride du centre du pays fut appelée judée-samarie, ce qui est prouvé par toutes les cartes du pays depuis le Moyen-Âge. Mais Depuis que ce territoire a été occupé par la Jordanie en 1948, il a reçu la nouvelle appellation de"Cisjordanie" ou "Bande ouest" (Textuellement de l’hébreu.) A-t-on une seule fois demandé, à la Jordanie depuis 1948 de restituer ces territoires aux Palestiniens. La vérité est que la Palestine est un mythe. Les journalistes qui commentent les événements de la région ne sont nullement gênés d’employer ce terme alors que ce territoire ne peut être appelé "ouest" que par rapport a la Jordanie, étant situé à l’est d’Israël. Tout le monde continue donc de se servir du terme jordanien pour parler de ce territoire. Le terme "Palestinien" témoigne de la désinformation malhonnête de l’histoire afin de prouver que les racines de leur soi-disant peuple proviennent de cette terre. Des arabes ont même adopté des noms de la tribu cananéenne antique, Plichtim disparus depuis presque 3000 ans.

Il n’existe aucun lien entre ce "chéveth" (tribu) antique et les Arabes de l’époque moderne. Mais qui donc fait la différence? Ne se rattachant à aucun relevé historique, Arafat raconter que "Jésus, ébéniste Juif de Galilée était en fait palestinien". C’est pourquoi, Arafat se rendait chaque année à Bethléem à l’occasion de la "Fête de la Nativité" et répéter chaque fois que " Jésus fut le premier palestinien". Malgré le témoignage apporté par l’histoire, la presse a réussi à ancrer l’idée qu’il existe un peuple palestinien.

Un sondage effectué dernièrement auprès de citoyens français démontra que la plupart des français sont convaincus à tort bien sur qu’avant la création de l’Etat d’Israël, il y avait à sa place un Etat palestinien indépendant.

Au cours de toute l’histoire, il n’y a jamais eu d’Etat palestinien indépendant dans la région géographique que les "Palestiniens" "appellent Palestine". Le dernier Etat indépendant qui exista dans la région avant la création de l’Etat d’Israël fut l’Etat antique de Judée, il y a 2000 ans.

Les "palestiniens" sont un mythe, la question essentielle reste pourquoi? Pour quelles raisons ont-ils décidé d’inventer un peuple?

La réponse est que le mythe du peuple palestinien sert à justifier l’occupation arabe d’Erets Israël. Ce sont des spoliateurs, et falsificateurs de l’histoire.

Doit-on parler de réfugiés ou d’échange de population?

C’est chiffres (qui n’incluent pas, bien évidemment, les descendants des réfugiés) 800.000 juifs vivant dans les pays arabes ont été contraints à l’exil!
Mais les réfugiés ne restèrent pas longtemps des réfugiés. Il furent intégrés pour la plus grande majorité en Israël qu’attendent les autres pays arabes ils disposent de 21 Etats souverains (plus que n’importe quelle nation dans le monde) en particulier la Jordanie terre déjà donnée aux palestiniens. Ils règnent sur un territoire 800 fois plus grand que la terre d’Israël ! Mais il semblerait que cela ne suffise pas et c’est pourquoi ils éprouvent le besoin de voler aux Juifs le seul et unique Etat dont ils disposent, un des plus petits Etats du monde.

Malheureusement, trop de gens qui ne connaissent pas l’histoire de cette région, entre autre une grande partie de la presse internationale, sont trop heureux de se proposer de les aider.

Même les enfants israéliens ne sont pas à l’abri de ce mythe. Dans les livres d’histoire, pour exemple le livre d’Eyal Navé, "l’histoire du 20ème siècle", qui est utilisé dans les lycées, y compris des lycées religieux et y compris des lycées Juifs de judée-samarie, l’idée mythologique du "peuple palestinien" est inculquée dans l’esprit des élèves comme une réalité. Il est regrettable de constater que même la presse pro- israélienne, fortement influencée par ses collègues gauchistes, se sert du nom imaginaire de "palestinien" dans ses reportages. Cela revient à dire "ces gens, qui n’ont pas droit à un Etat, on droit à un Etat".

Nous devons trouver le terme adéquat pour définir de façon exacte la véritable nature de ces arabes qui habitent en Erets Israël. Les termes appropriés sont "Arabes de Judée –Samarie". Il est intéressant de remarquer que la Torah elle-même fait allusion à un conflit entre Israël et un peuple imaginaire: "Eux, M’ont irrité et contrarié par des dieux inexistants et par leurs vaines idoles. Moi Je les irriterai par un peuple inexistant et par une nation indigne" Devarim /Deutéronome 32,21.

Ne faut-il pas être aveugle ou de mauvaise foi pour ne pas reconnaître que les rêves d’un nouveau Moyen –Orient se sont totalement effondrés lorsque les troupes d’assassins, des hordes sauvages d’arabes de Palestine tirent tuent se font exploser, au milieu de bébés, d’enfants, et d’habitants juifs d’Erets Israël. Israël est pour la paix, mais refuse le sacrifice de ses citoyens. Notre méfiance à l’égard du chef de l’autorité palestinienne est légitime et justifiée. Le temps du mépris est révolu Israël retrouve sa terre, après deux mille ans d’exil et de souffrances. Aucun conquérant de notre terre qu’il soit croisé, islamique ou issu d’autres peuples, ne peut se prévaloir d’une quelconque antériorité ou du moindre titre de propriété sur la terre d’Israël.

Les pierres et le sol du Golan, de la Judée de la Samarie et de Jérusalem regorgent de vestiges hébreux. Chaque arpent de terre porte les traces de destructions précédentes qui, pendant des siècles ont interdit l’accès aux Lieux saints juifs et parfois ceux des chrétiens Pourtant ceux-là même qui sont revenus après deux mille ans sur cette terre ravagée et qui l’on construite, ont inscrit dans leur déclaration d’indépendance le droit à la liberté d’accès aux lieux saints de toutes les religions.

Qui d’entre nous n’a pas était un jour frappé par l’outrance des commentaires suscités par les médias et du détournement des mots pour qualifier Israël? Clouant au pilori d’une part l’Etat d’Israël, et d’autre part les Juifs. Les accusations formulées par les médias à l’égard d’Israël ne sont ils pas injustes et excessives, ainsi les opérations menée par Tsahal après les attentas commis par les terroristes palestiniens sont toujours montée en épingle et condamnée de façon tonitruante, les nécessités sécuritaires d’Israël sont rarement comprises et le terrorisme palestinien légitimé, des lors Israël est perçu comme un occupant et les palestiniens comme des résistants, (n’est ce pas une façon de se décharger du poids de la Shoah en faisant d’Israël le nouvel Etat nazi?, L’Etat d’Israël serait en quelque sorte le juif des nations banni est persécuté, rejeté par le reste du monde), ceci démontre naturellement une incapacité intellectuelle à saisir l’histoire juive et de vouloir délégitimé l’idée nationale du peuple juif et de sa fidélité au cadastre de la Bible.

Par conséquent on assiste, a une recrudescence brutale et virulente en France de l’anti-judaïsme, dont l’occident chrétien fut le berceau et l’idéologie vichyste, un exemple auquel l’islamisme conquérant vient aujourd’hui se calquer Une France antisémite cela ne signifierait pas pour autant une politique d’Etat antisémite mais un passé qui ne passe pas Cette vision alimentée par des faits incontestable d’agressions dont la violence et la fréquence constituent une véritable mutation dans l’histoire des juifs de France depuis 1945 rend La situation des juifs en France difficile des lors on ne peut reprocher aux juifs qui se réfugient dans la solidarité communautaire de rompre avec l’universalisme et d’avoir pour solution le retour a Sion.

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