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31 octobre 2010 7 31 /10 /octobre /2010 05:55

 

Article associé

L'unesco déclare aussi Mosquée le tombeau des patriarches et le tombeau de Rachel

 

Le Bureau du Premier ministre a publié un communiqué vif suite à la décision incompréhensible de l’UNESCO de la semaine dernière. L’institution de l’ONU chargée de l’Education, des Sciences et de la Culture avait voté une résolution indiquant « que le Tombeau de Rachel (Beit-Lehem) et le Caveau des Patriarches (Hevron) sont des lieux saints musulmans, et que dès lors, Israël se devait de les retirer de la liste des sites historiques juifs ». L’UNESCO a même appelé ces deux sites de leur dénomination arabe : « Mosquée Beliaal Ben Rabah » et « Al-Haram Al-Ibrahimi ». Le communiqué du Premier ministre déclare notamment : « La volonté de déconnecter Israël de son Histoire était totalement absurde. Si ces lieux où sont enterrés les fondateurs du Peuple juif depuis 4000 ans ne sont pas des sites historiques juifs, alors qu’est ce qui peut être appelé site historique juif ??!! » Le communiqué exprime aussi « son profond regret qu’une institution qui a été créée pour promouvoir les sites historiques à travers le monde, tente aujourd’hui pour des raisons politiques de nier le lien millénaire entre le Peuple juif et son patrimoine. » Et il poursuit en disant : « Contrairement à nos voisins, Israël continuera à respecter la liberté de culte des autres religions ». L’UNESCO a voulu encore adopter d’autres décisions anti-israéliennes, mais l’ambassadeur des Etats-Unis à l’UNESCO a apposé son véto.

par Shraga Blum israel7

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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 15:24

Tous les textes ici

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Par Aschkel  

Pour aschkel.info et lessakele. 

L'unesco déclare aussi Mosquée le tombeau des patriarches et le tombeau de Rachel-et le Saint Sépulcre ?

 

A vous de juger mes amis !

 

 

 

Connaissez vous le slogan de l'UNESCO ?

CONSTRUIRE LA PAIX DANS L'ESPRIT DES HOMMES !

 

Nous devrions revendiquer la Mecque, ou une partie puisqu'il parait qu'Abraham (Ibrahim) est venu y sacrifier son fils Ismaêl.

 

Les arabes vont aussi revendiquer le Saint-Sépulcre puisque ISSA est un de leur prophête.

 

Tout cela est perfide, au lieu de contruire la paix dans le coeur des hommes l'Unesco n'a aucun scrupule à déposseder  le peuple juif de son histoire et de ses symboles.

 

Nous reviendrons sur cette histoire sordide digne des pires vampires 

 

Nous avions mis en garde en février de la perfide action de l'Organisation de la conférence islamique OCI sur l'Unesco.

ICI


 

voici leur décision au 21.10/2010

http://www.unesco.org/new/fr/media-services/single-view/news/executive_board_adopts_five_decisions_concerning_unescos_work_in_the_occupied_palestinian_and_arab_territories/back/18256/

 

Le Conseil exécutif de l’UNESCO adopte cinq décisions concernant les Territoires palestiniens et arabes occupés
La 185e session du Conseil exécutif de l’UNESCO a adopté aujourd’hui cinq décisions concernant les Territoires palestiniens et arabes occupés.

Ces décisions couvrent :

•   La Rampe des Maghrébins dans la Vieille Ville de Jérusalem : le Conseil a voté à 31 voix contre 5 (17 abstentions) pour réaffirmer la nécessité d’une coopération d’Israël afin de faire en sorte que les experts jordaniens et ceux du Waqf aient accès au site de la Rampe des Maghrébins et qu’aucune mesure pouvant compromettre l’authenticité et l’intégrité du site ne soit prise, conformément à la Convention pour la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel et à la Convention de La Haye pour la protection des biens culturels en cas de conflit armé. 

•   Le patrimoine culturel de Jérusalem : le Conseil a voté à 34 voix contre une (19 abstentions) pour « réaffirmer l’importance religieuse de la Vieille Ville de Jérusalem pour les musulmans, les chrétiens et les juifs. La décision du Conseil exprime « sa profonde préoccupation devant les fouilles et activités archéologiques israéliennes en cours sur le site de la Mosquée Al-Aqsa et dans la Vieille Ville de Jérusalem, qui sont contraires aux décisions et conventions de l’UNESCO ainsi qu’aux résolutions des Nations Unies et du Conseil de sécurité ». Elle invite la Directrice générale à nommer des experts affectés à Jérusalem-Est pour rendre compte de tous les aspects relatifs à la situation architecturale, éducative, culturelle et démographique sur place. Elle invite également les autorités israéliennes à faciliter le travail des experts conformément aux décisions et conventions de l’UNESCO auxquelles elles ont adhéré. 

•   Les sites palestiniens d’Al-Haram Al-Ibrahimi/Tombeau des Patriarches à Al-Khalil/Hébron et la Mosquée Bilal Bin Rabah/Tombe de Rachel à Bethléem : par 44 voix contre une (12 abstentions), le Conseil « réaffirme que ces deux sites font partie intégrante des Territoires palestiniens occupés et que toute action unilatérale des autorités israéliennes doit être considérée comme une violation du droit international, des Conventions de l’UNESCO ainsi que les résolutions des Nations Unies et du Conseil de sécurité ». 

•   Les institutions éducatives et culturelles dans les territoires arabes occupés : le Conseil a voté à 41 voix contre une (15 abstentions) pour exprimer « la préoccupation que continuent de lui inspirer » le mur de séparation et d’autres pratiques qui nuisent aux activités des institutions culturelles et éducatives, ainsi que les obstacles qui en résultent et qui empêchent les élèves et étudiants palestiniens d’être partie intégrante de leur tissu social et d’exercer pleinement leur droit à l’éducation. La décision du Conseil invite la Directrice générale à poursuivre les efforts en vue de préserver le tissu humain, social et culturel du Golan syrien occupé et de déployer des efforts afin d’offrir des programmes d’études appropriés et fournir un nombre accru de bourses ainsi qu’une assistance adéquate aux institutions éducatives et culturelles du Golan syrien occupé.

•   La reconstruction et le développement de Gaza : le Conseil a voté à 41 voix contre une (15 abstentions) une décision qui « déplore » le blocus permanent de la bande de Gaza, qui porte atteinte à la circulation libre et continue du personnel et des produits humanitaires. La décision du Conseil invite la Directrice générale à continuer de contribuer à la réponse humanitaire des Nations Unies à Gaza dans les domaines de compétence de l’Organisation.        

Le Conseil exécutif de l’UNESCO est composé de 58 Etats membres. Il se réunit deux fois par an pour veiller à la mise en œuvre du programme adopté par la Conférence générale. La 185e session du Conseil exécutif s’est ouverte le 5 octobre et prend fin le 21 octobre.   

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26 octobre 2010 2 26 /10 /octobre /2010 21:12

 

logo unwra

 

L’agence onusienne en charge des « réfugiés » palestiniens continue à pérenniser artificiellement une situation utilisée à des fins politiques et pour sa propre survie et fait monter l’incitation anti-israélienne d’un cran en ouvrant un site web. Rien ne changera toutefois le fait que ces « réfugiés » sont, comme le montre le réalisateur Pierre Rehov, des « Otages de la Haine. » Ou qu’ils n’iront pas s’établir en Israël, comme le souligne un responsable de l’UNRWA aussitôt désavoué...

« Il est cruel de maintenir les illusions des réfugiés quant à un « retour »... »



« Si nous ne commençons pas à discuter bientôtavec les réfugiés pour qu’ils réfléchissent à ce que pourrait être leuravenir, pour qu’ils commencent à débattre de leur propre rôledans les sociétés où ils se trouvent plutôt que de les laisser dans un état d’incertitude et d’impuissance en préservant de cruelles illusions, les laissant croire que peut-être, un jour, ils rentreront chez eux ,alors nous accumulons des problèmes pour nous-mêmes. » 

Ce n’est pas n’importe qui qui a prononcé ces paroles lors de laconférence annuelle du Conseil des Relations entre les États-Unis et les Arabesà Washington le 22 octobre dernier. Il n’est autre queAndrewWhitley, directeur du Bureau de New York de l’UNRWA. Sa liberté de ton vient peut-être du fait qu’il doit bientôt quitter son poste. Ou peut-être le quitte-t-il parce qu’il ne supportait pas cette instrumentalisation inhumaine de générations dont on a fait des assistés.


L’UNRWA« a aussitôt pris ses distances sans équivoque »...De cette déclaration sans fard qui parle vrai ainsi que d’une autre dans laquelle il affirmait que «  tous les gouvernements, qu’ils l’admettent ou pas, ont des contacts discrets avec le Hamas.  » On sait d’ailleurs, que laFrancequi a un centre culturel – aussi centre de propagande anti-israélienne en recevant des personnages comme Stéphane Hessel - dans la Bande de Gaza et soutient financièrement ses universités a forcément des contacts avec le Hamas...

Un site pour accuser Israël en images


L’UNRWA 
met en place aujourd’hui un sitequi raconte en images quelques histoires de réfugiés palestiniens. On en imagine le script avant même de les voir : de pauvres Palestiniens angéliques qui, en général ont – beaucoup - de jeunes enfants et des parents -très – âgés et dont les femmes sont dûment voilées, sont harcelés et discriminés de mille et une manières par de méchants Israéliens au mépris des lois internationales. Sur fond de mur, de démolitions, violations, etc. Et peu importe que ces histoires soient bâties sur de gros mensonges qu’ils soient par omission ou pas.

« La Paix commence ici » nous dit l’UNRWA qui « travaille avec les réfugiés palestiniens pour les aider à mener des vies dignes en attendant qu’une solution juste soit apportée à leur sort » Suivre les conseils avisés deAndrewWhitley et les intégrer au véritable tissu social là où ils se trouvent serait sans doute la meilleure solution...Quant à une viedigne, celled’assistél’est-elle vraiment ?

De toute évidencel’UNRWA a trop d’argentet a pu se permettre d’en utiliser une partie à des fins de propagande anti-israélienne....La Commission Européenne a mis la main à la poche pour aider à les réaliser.

Un budget annuel d’un milliard 230 million de $



Parmi lesscandalesdesfonds versés à tort et à travers aux Palestiniensqui ont su monopoliser l’attention et la pitié audétrimentde très nombreuses véritables victimes de par le monde, en dehors del’utilisation incontrôlée des sommes énormes versées notamment par l’UE, la France en tête, il y a ce que coûté le fonctionnement del’UNRWA.Un budget d’un milliard 230 million de $ annuels.->http://www.unrwa.org/etemplate.php?id=87] Qui viennents’ajouter aux autres fonds versés, entre autres, à l’Autorité palestinienne...

En 2009 la France donnait plus de 11 million de $...
La contribution de l’UE est de plus de 228 millions de $...

L’UNRWA emploie 32.000 personnes dont une grande partie sont des Palestiniens. Elle a des centres médicaux, des écoles et fournit des aides diverses. Fin 2009 elle se retrouvait presque à zéro ce qui menaçait le paiement des salaires de ses employés... Un porte-parole notait alors que les donateurs ne donnaient plus autant mais surtout que les payas arabes n’avaient pas versé les sommes promises et aussi que « le nombre d’individus qui dépendent du soutien de l’UNRWA allait croissant. »->http://www.maannews.net/eng/ViewDet...]

Ce qui étonne grandement c’est qu’en dépit de ces flots d’argent ces « réfugiés », privés de leur présent et projetés dans un impossible avenir qui relève del’escroquerie, vivent dans desconditions aussi précaires parfoisdans certains de ces « camps ». Comment est donc géré tout cet argent ?


LES OTAGES DE LA HAINE

Un statut héréditaire, une exception inouïe



Établie en 1950 l’UNRWA estime alors qu’il y a «  environ 750.000 réfugiés palestiniens. » Une imprécision qui montre que les critères si minimum de moins de deux ans de présence n’étaient sans doute même pas appliqués. Et pour aujourd’hui l’agence donne le chiffre de4 million 700.000. Car «  les descendants » bénéficient aussi de ce statut....Ce qui est un énorme tour de passe passe. Aucun autre ethnie ou groupe de personnes déplacées n’est ainsi «  réfugié de pères en fils. »


D’ailleurs, ces réfugiés et descendants vivent pour un tiers dans 58 « camps » soit des bâtiments sur des terrains donnés ou loués à l’UNRWA. Établis « en Jordanie, au Liban, en Syrie, dans la Bande de Gaza et en Cisjordanie, Jérusalem Est y compris » précise l’UNRWA. Les autres vivent dans des villes ou dans leur périphérie. L’UNRWA a des écoles, des centres de santé, etc. à l’intérieur comme à l’extérieur des « camps » ; ils sont accessibles à tous les réfugiés. Ceux-ci vivent doncchez leurs frères arabes, y compris en Judée-Samarie ou dans la Bande de Gaza. Ces frères qui sont les premiers à mettre leur sort en avant pour justifier un état de guerre mais qui n’ontrien fait pour les absorber, ni eux ni leur descendance...

L’UNRWA, au delà de toute motivation politique, a un intérêt vital à ce que la situation justifiant son existence perdure..

Pour être considéré comme réfugié palestinien : avoir vécu moins de deux ans dans la région palestinienne, même en étant venu d’ailleurs....


Cette agence onusienne a été créée pour aider ceux qui, selon sa propre définition,« vivaient normalement en Palestine entre juin 1946 et mai 1948 et ont perdu à la fois leur maison et leur moyens de subsistances à cause du conflit arabo-israélien de 1948. »


Premier tour de passe passe  : définir la qualité de « Palestinien » à tous ceux ayant fait unséjour de moins de 2 ans dans une région donnée. Or, de nos jours en France, par exemple, des immigrants qui y vivent depuis bien plus longtemps n’acquièrent pas la nationalité française pour autant...

De plus, l’histoire montre qu’un grand nombre d’Arabes et de musulmans allèrent s’installer dans la région appelée Palestine aprèsquel’immigration juive y ait progressé pour tenter d’avoir une vie meilleure. En effet, ces immigrants juifsvenaient pour la plupart avec un solide bagage intellectuel, une grande détermination, un mode de vie moderne pour l’époque ; ils asséchèrent des marécages pour combattre la malaria, cultivèrent des terres en friche, etc. Il y avait parmi eux des ingénieurs, des médecins, etc.Leur venue entrainait donc une certaine prospérité,inconnue dans la région.

Ainsi « de1870 à 1948, la population arabe et musulmane y a augmenté de 270%  » alors que même en « en Égypte, le pays arabe au plus fort taux de natalité, la population augmenta de seulement 105%.Le recensement britannique de 1931 en Palestine (nom que le Mandat britannique donna au pays) a montré que plus de 50 langues étaient parlées par la population arabe et musulmane. »

On note par ailleurs que l’UNRWA resteprudenteenn’attribuant pas ces départs de population de la région à Israël. On sait en effet également que, s’il y a sans doute eu des départis provoqués par la peur, justifiée ou non,nombre de Palestiniens partirent pour laisser le champ libre aux armées arabes qui attaquèrent le tout jeune, fragile et démuni État juifet proclamaient sur les ondes qu’ils allaient « jeter les Juifs à la mer »...

On sait aussi que nombre d’Arabes qui vivaient alors dans la région sont restés, notamment dans le Nord d’Israël où il y a une population arabe importante. Le réalisateur Mohamed Bacri,un Arabe israélien très anti-israélien, admettait que si ses parents étaient restés, ils avaient « été plus intelligents » - conversation à la cinémathèque de Jérusalem à l’issue de la projection d’un de ses films - . Il en va sans doute de même pour la députée arabe israélienneHanan Zoabidu parti Balad qui souhaite ouvertement ladisparition d’Israëlet crie à la discrimination d’une manière particulièrement haineuse alors qu’elle a fait ses études à l’université de Haïfa puis de Jérusalem avant d’être élue dans un processus démocratique. In l’a retrouvée sans surprise à bord d’un bateau la vraie fausse « flottille » dont le seul but était de délégitimer Israël.


« LES REFUGIES DU SILENCE » 


Les réfugiés juifs des pays arabes : « Les réfugiés du silence »



Le sort deprès d’un million de Juifsayant dûfuir les payas arabesoù leur famille était établie depuis dessièclesa été bien plus terrible que celui de ces réfugiés palestiniens. Simplement, ils n’ont pas été instrumentalisés à des fins politiques et se sont mis à l’ouvrage là où ils se sont installés, reconstruisant leur vie du mieux qu’ils le pouvaient. Un grand nombre s’est installé en Israël où beaucoup ont vécu dans des camps de toile – des vrais – , les Maabarot, dans des conditions précaires. « En 1949 seulement, 240.000 immigrants furent accueillis en Israël .De 1948 à 1951, un total de 687.739 immigrants sont entrés dans le pays, c’est-à-dire pratiquement l’équivalent de la population de l’État en 1948. »L’ONU ne les prit pas an charge, ni eux ni leur descendance. Israël et des Juifs de par le monde le firent.

Une documentation nombreuse mais peu connue existeQuant audouble DVD de Pierre Rehov, qui réunit deux excellents documentaires, « Les Réfugiés du silence, » « Les Otages de la Haine » il doit être vu pour comprendre les réalités, les différences, les différences de traitement, les manipulations.

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26 octobre 2010 2 26 /10 /octobre /2010 20:34
L'ONU soutiendra la déclaration unilatérale d'un Etat palestinien
ParTOVAH LAZAROFF 
26.10.10

L'ONU apportera son soutien à la déclaration d'un Etat palestinien indépendant. C'est ce qu'à déclaré mardi le coordonnateur spécial des Nations Unies pour le processus de paix au Moyen-Orient, Robert Serry, au numéro 2 de l'Autorité palestinienne, Salam Fayyad.


PHOTO: TOVAH LAZAROFF , JPOST

"Tous les acteurs internationaux tombent aujourd'hui d'accord sur le fait que les Palestiniens sont prêts à tout point de vue pour l'établissement de leur Etat dans un proche avenir", a déclaré Serry. Et de poursuivre : "Nous sommes sur la dernière ligne droite avant d'atteindre cet objectif fixé au mois d'août de l'année prochaine. Et vous pouvez compter sur notre soutien."

Ces déclarations de Serry interviennent suite à l'annonce de Fayyad de parvenir à l'établissement d'un Etat palestinien indépendant d'ici l'été 2011. Le numéro 2 du Fatah compte sur la mise en place d'institutions nationales en Judée-Samarie afin de préparer les Palestiniens à gérer de façon autonome leur Etat.

Et Fayyad de poursuivre sa propagande haineuse........

Au cours de la conférence de presse, Fayyad a également appelé Israël à prévenir les crimes des habitants des implantations contre les civils palestiniens. Une référence à un certain nombre d'incidents survenus en Judée-Samarie au cours des dernières semaines. Selon Fayyad, les actes de violence commis par "les colons extrémistes israéliens" relèvent du terrorisme.
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23 octobre 2010 6 23 /10 /octobre /2010 17:57

 

 

Dossier Onu et Consorts

 

Evidemment !

 

 

La dérive de l’UNESCO

Par David Ruzié, professeur émérite des universités, spécialiste de droit international

samedi 23 octobre 2010

desinfos


« La déception arabe face à la colonisation israélienne », comme le titrait Le Monde sur son site Internet, vendredi 22 octobre, ne justifie en rien la dérive du Conseil exécutif de l’UNESCO qui, tombant dans le panneau de ceux qui « font la chanson et la chantent », a cru devoir adopter, juste avant de clore sa session, le 21 octobre, pas moins de cinq résolutions anti-israéliennes, aussi infondées les unes que les autres.

Cette 185ème session de l’organe de l’Organisation des Nations Unies pour la science l’éducation et la culture, tenue sous la présidence de la déléguée russe, ne contribuera pas à assurer le renom de cette institution spécialisée des Nations Unies, chargée, en quelque sorte, de réaliser dans le domaine de la science, de l’éducation et de la culture, les objectifs de coopération internationale figurant dans la Charte des Nations Unies.

On déplore déjà que l’ONU soit elle-même polluée par des considérations idéologiques partisanes, mais « le ver est également dans le fruit », s’agissant des organisations à vocation scientifique et culturelle, comme l’illustrent les résolutions adoptées à Paris, au nom de l’UNESCO.

Car, il ne faut pas perdre de vue que le Conseil exécutif est censé « veiller à la mise en oeuvre du programme adopté par la Conférence générale » de l’Organisation, qui rappelons-le regroupe 193 Etats (contre 192 à l’ONU, dont ne font pas partie les îles Cook….).

A en juger par le contenu des textes adoptés, sur lesquels nous allons revenir, on serait tenté de dire qu’il existerait, à l’UNESCO, comme à l’ONU, un « programme » de mise en accusation systématique d’Israël.

Ce n’est, certes, pas la première fois que l’UNESCO témoigne d’un parti pris anti-israélien, comme nous l’avons relevé ici-même, à plusieurs reprises, depuis plusieurs années (v. nos points de vue des 12 novembre 2004, 16 mars 2007 et 23 octobre 2008).

Mais ce n’est pas une raison pour persévérer dans l’erreur, surtout si elle traduit une déformation de la réalité, tant des faits que du droit.

Concernant le site de la Rampe des Maghrébins dans la Vieille Ville de Jérusalem, le Conseil a voté une résolution pour « réaffirmer la nécessité d’une coopération d’Israël afin de faire en sorte que les experts jordaniens et ceux du Waqf aient accès à ce site et qu’aucune mesure pouvant compromettre l’authenticité et l’intégrité du site ne soit prise, conformément à la Convention pour la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel et à la Convention de La Haye pour la protection des biens culturels en cas de conflit armé ».

Or, il a été maintes fois prouvé que les travaux en question ne se fondaient que sur des considérations de sécurité et n’étaient nullement de nature à « compromettre l’authenticité et l’intégrité du site ».

Nous ne pensons pas que les Israéliens tiennent dans l’ignorance les autorités musulmanes de ces travaux et, d’ailleurs, on ne voit pas en quoi l’une quelconque des dispositions des deux conventions susvisées seraient violée.

S’agissant du patrimoine culturel de Jérusalem, le Conseil a voté un texte pour « réaffirmer l’importance religieuse de la Vieille Ville de Jérusalem pour les musulmans, les chrétiens et les juifs ».

Ceci nous paraît, effectivement, tout à fait conforme à la vérité.

Mais, la décision du Conseil exprime, aussi, « sa profonde préoccupation devant les fouilles et activités archéologiques israéliennes en cours sur le site de la Mosquée Al-Aqsa et dans la Vieille Ville de Jérusalem, qui sont contraires aux décisions et conventions de l’UNESCO ainsi qu’aux résolutions des Nations Unies et du Conseil de sécurité ».

Or, à notre connaissance, il n’y a pas de « fouilles et activités archéologiques israéliennes en cours sur le site de la Mosquée Al-Aqsa » (souligné par nous).

Quant aux fouilles et activités archéologiques israéliennes en cours « dans la Vieille Ville de Jérusalem », on aurait aimé que le Conseil exécutif de l’UNESCO précise quelles sont les « conventions de l’UNESCO » qui seraient ainsi violées, car, par ailleurs, il est évident que l’Organisation ne dispose pas du pouvoir de prendre des décisions à l’encontre d’un Etat, en dehors d’une procédure menée en bonne et due forme, qui se traduiraient par des sanctions pour violation de normes internationales, liant les Etats membres de l’Organisation.

Il y a certainement eu, dans le passé, des résolutions de tel ou tel organe de l’UNESCO condamnant Israël pour certaines de ses initiatives, car l’objectif de la majorité quasi-automatique, qui manipule l’UNESCO, comme elle manipule l’ONU, vise à empêcher Israël de mettre au jour les preuves d’une présence ancestrale juive à Jérusalem, pour permettre de faire croire que seuls les musulmans auraient des droits sur cette ville.

Mais ce n’est pas en répétant à l’envi des contre-vérités qu’on en fait pour autant des vérités.

Poursuivant sa mise en accusation d’Israël, le Conseil exécutif a, également, adopté une résolution « concernant les sites palestiniens d’Al-Haram Al-Ibrahimi/Tombeau des Patriarches à Al-Khalil/Hébron et la Mosquée Bilal Bin Rabah/Tombe de Rachel à Bethléem, le Conseil, qui « réaffirme que ces deux sites font partie intégrante des Territoires palestiniens occupés et que toute action unilatérale des autorités israéliennes doit être considérée comme une violation du droit international, des Conventions de l’UNESCO ainsi que les résolutions des Nations Unies et du Conseil de sécurité ».

Nous avons déjà souligné, il y a quelque temps, l’inanité de cette affirmation (v. notre point de vue du 24 février 2010), car rien n’interdit à Israël de prétendre vouloir veiller à la bonne conservation de lieux saints pour la religion juive, dès lors que cette question est sans rapport avec le statut politique ultérieur de ces lieux.

D’autre part, à propos des institutions éducatives et culturelles dans les territoires arabes occupés, le Conseil a voté une résolution exprimant « la préoccupation que continuent de lui inspirer le mur de séparation et d’autres pratiques » ( ?), « qui nuisent aux activités des institutions culturelles et éducatives, ainsi que les obstacles qui en résultent et qui empêchent les élèves et étudiants palestiniens d’être partie intégrante de leur tissu social et d’exercer pleinement leur droit à l’éducation ».

On aurait aimé que l’UNESCO témoigne de la même sollicitude à l’égard des populations concernées par l’existence de nombreux « murs de séparation », qui existent de par le monde et surtout que cette organisation se penche sur le sort des populations israéliennes victimes d’actions terroristes, qui, l’expérience le prouve, sont devenues, à l’heure actuelle, pratiquement impossibles, du fait, précisément, de l’existence de la « barrière de sécurité « (il faut « appeler un chat un chat », puisqu’il est évident que cette barrière ne se présente sous la forme d’un mur que sur une partie seulement de son tracé.).

Enfin, s’agissant de la reconstruction et du développement de Gaza, le Conseil a voté une résolution, qui « déplore le blocus permanent de la bande de Gaza, qui porte atteinte à la circulation libre et continue du personnel et des produits humanitaires ».

Nous pensons pouvoir relever, tout d’abord, qu’ainsi présentée la prise de position du Conseil exécutif de l’UNESCO ne nous paraît pas entrer dans le champ des compétences de l’Organisation, à moins de considérer que « tout est dans tout » et que l’UNESCO peut se comporter comme n’importe quel organe de l’ONU, qui, elle, est une organisation politique.

Et on aurait, aimé, par ailleurs, que l’UNESCO adopte une attitude également critique à l’égard de certaines initiatives prises par le Hamas dans le domaine de l’éducation et de la culture, qui vont à l’encontre des ouvertures humanistes de l‘idéal de l’Organisation.

Mais c’est oublier que sur les 58 membres du Conseil exécutif, outre Cuba et le Vénézuéla, dont l’hostilité de principe à l’égard d’Israël est évidente, il y a 18 Etats membres de l’Organisation de la Conférence islamique, dont notamment 6 dans le groupe des Etats d’Afrique, qui ont certainement dû rallier à leur position, sur la base d’une solidarité du contient, l’ensemble du groupe composé de 13 membres.

De telle sorte que la majorité est pratiquement acquise à toute initiative du bloc arabo-musulman.

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21 octobre 2010 4 21 /10 /octobre /2010 11:50

 

 

Logo Goldstone

 

 

 

Dossier : GAZA-Une analyse critique du rapport Goldstone 

 

D’un rapport déficient à un retournement du droit international -

Schmuel Trigano et la Revue Controverses

 

 

Le rapport Goldstone, mandaté par le Conseil des droits de l’homme de l’ONU avait pour mission « d’établir les faits » de l’opération « Plomb Fondu »1 menée par Israël à Gaza du 27 décembre au 18 janvier 2009. Ses graves conclusions – qui portent contre l’État d’Israël l’accusation de « crimes contre l’humanité » et de « crimes de guerre » – ne sont pas fondées sur une enquête conforme à une déontologie juridique rigoureuse, ni sur une neutralité idéologique sans défaillance. C’est ce que soulignent et analysent les quatre contributions de cette étude.

Anne Lifsitz-Krams démontre combien il est paradoxal pour les rapporteurs de tirer des conclusions définitives d’une enquête baclée et qui n’établit réellement aucun fait. La commission avoue ellemême qu’elle n’a atteint, à aucunmoment, « le standard de preuve applicable dans les procès criminels ». Les témoignages furent recueillis en public et télévisés en direct, sous la surveillance de l’une des parties au conflit, le Hamas. Comment s’en étonner pour une enquête qui a pris son objet même pour la prémisse centrale autour de laquelle elle fut organisée ?

Jacques et Stéphanie Amar se sont attachés à la perspective juridique. Le rapport fonde ses accusations sur une conception problématique du droit international humanitaire. Il refuse de prendre en considération la situation juridique

et politique résultant de la décision d’Israël de se désengager de la Bande de Gaza et les conséquences d’une situation de guerre sur le respect des droits de l’homme. En transformant en crime, relevant de la juridiction de la Cour pénale internationale, tout manquement aux conventions de Genève, il se livre à une interprétation critiquable du statut de cette cour et pose la question de l’avenir d’une justice pénale internationale.

Jean Pierre Bensimon apporte un éclairage sur les dispositifs de l’armée israélienne, principale accusée du rapport, pour garantir le respect du droit lors de ses opérations miltaires, autant dans sa doctrine opérationnelle que dans son système de formation et ses procédures de contrôle et de sanction.

Malka Marcovich insère le Rapport dans la configuration internationale depuis les années 1970. Les instances de l’ONU ont connu une prolifération unique de résolutions concernant Israël, toutes accusatrices et délégitimantes, illustrant clairement qu’un système de « deux poids, deux mesures » est à l’oeuvre à son endroit. Ses conséquences se font nettement sentir dans le texte que nous analysons.

Il n’est pas exempt d’une essentialisation des protagonistes, à commencer par le juge Goldstone – comme le montre Anne Lifshitz-Krams – dont la conséquence la plus grave est la mise au ban d’Israël, identifié à l’Afrique du Sud de l’Apartheid.

Il y aurait beaucoup à dire sur les présupposés politiques et les circonstances qui inspirent ce document. Ils s’inscrivent dans un climat général et un processus international qui éclairent les tenants et aboutissants des accusations majeures qu’il instrumente. Le fait le plus étonnant concerne, sans nul doute, l’absent du tableau qu’il peint de l’opération de Gaza : le Hamas et le régime qu’il a mis en place, consécutivement au coup d’État de son chef, Ismaïl Haniye, contre l’Autorité Palestinienne, un régime fondamentaliste et policier, belliqueux, dont la situation est si bien documentée sur le plan international que l’élision de ce côté du conflit par le rapport Goldstone est criante. Quelques schémas et une recension des événements rappellent la nature militaire du Hamas.

Cette absence se comprend cependant, plus profondément, en vertu d’un autre cadre de référence, qui n’est plus étroitement lié à Israëlmais concerne l’évolution des catégories du droit international et la culture politique qui la sous-tend. L’extension du domaine des droits de l’homme, conjuguée au recul de la référence étatique, prend une couleur différente dans le cas d’un conflit asymétrique, comme c’est le cas : les brigades palestiniennes sont immergées dans la population civile, ellemême enrégimentée, et jusqu’aux enfants, comme l’a souligné le rapporteur spécial de l’ONU sur l’utilisation des enfants dans les conflits armés. Ces soldats d’une armée semiformelle visent des civils israéliens de façon préméditée, programmée et déclarée.

Lorsque l’armée israélienne les poursuit, pour protéger Sdérot et Ashkelon de leurs attaques, Israël se voit donc accusé de crimes perpétrés contre des civils, dans laméconnaissance la plus totale des actions armées ennemies.

Puisqu’il n’y a, en effet, que des « civils », et plus d’ennemis, puisqu’il n’y a qu’une « société civile internationale », une « communauté internationale », un terri toire dénommé « Israël-Palestine », et plus d’États, il n’y a plus, dans cette perspective, de « guerres » et il n’y a plus d’États pour la faire… Toute réaction à une agression devient la véritable agression, puisqu’ellemet en scène un État face à des « civils ». Exit l’armée duHamas et la stratégie de destruction de l’État d’Israël dans laquelle cette formation idéologico-guerrière se reconnaît, à l’instar d’autres courants palestiniens, y compris dans le Fatah de l’Autorité Palestinienne.

C’est en raison de ce prisme déformant et erroné que les catégories fondamentales du jugement, tant moral que juridique, se retrouvent dévoyées. Cette situation sera demain le lot de toutes les États de droitmais elle a une portée spécifique quand il est question d’Israël – menacé dans son existence même – car, dans nombre de situations semblables, voire moins graves, les États incriminés ne connaissent pas un tel sort dans l’arène des institutions internationales, comme le démontre l’étude de Malka Marcovich.

Le recul du principe de responsabilité, consécutif au déséquilibre dans la considération des situations de guerre, entraîne nécessairement l’obscurcissement de la réalité. Il encourage l’affabulation sur les causes réelles des conflits. Il essentialise les acteurs, autant de faits qui engendrent un relativisme moral et juridique généralisé.

Tout ceci se trame dans le rapport Goldstone qui doit être tenu pour l’indice d’une mutation affectant l’ensemble des démocraties, et pas seulement un acte d’accusation à l’encontre du seul Etat d’Israël.

L’examen de ses assertions à la lumière des faits réels devra un jour être conduit et il l’est déjà2. Notre propos, dans ces études, n’est pas de le réfuter point par point mais de montrer à quel point sa référence aux critères de droit et d’impartialité est indue. La lecture de cette enquête approfondie sur ses formes, son raisonnement juridique, ses soubassements internationaux, montrera combien il leur est infidèle.

notes

1. Nom de code de l’opération israélienne à Gaza. La traduction française la plus courante est “Plomb

Durci”. Cependant, la traduction littérale de l’hébreu est “Plomb Fondu”.

2. Au moment où nous bouclons. Cf. Ethan Bronner, « Israel Poised to Challenge a U.N. Report on

Gaza », The New York Times, January 23, 2010.

 

 

 

 

 

Lire le dossier :

  Analyse critique du rapport Goldstone Controverses13 TAP  ICI

 



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Lire le dossier 

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28 septembre 2010 2 28 /09 /septembre /2010 06:20

 

 

En ce moment les médias ne cessent de nous bassiner quotidiennement à propos de "colonies menaçant la paix"... Dire que les mêmes médias dénigraient l'année dernière le moratoire comme sans portée et inutile, maintenant ils déclarent comme scandaleux qu'il se termine ! Quelle bande d'hypocrites obsessionnels...

ET L'ONU !!!

 

A relire

>Parmi les victimes du gel de la construction: 200 000 "Palestiniens"

 

Au moins si la construction reprend ce ne sera pas perdu pour tout le monde !

 

Catégorie : >ONU et CONSORTS

 

Ban Ki-moon déçu par la décision d'Israël de ne pas prolonger le gel des colonies

un.org

"Colonie" israélienne près de Jérusalem.

27 septembre 2010 – Le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, s'est déclaré déçu lundi par la décision de gouvernement israélien de ne pas prolonger le gel des colonies en Cisjordanie, qui a pris fin dimanche soir, alors que des pourparlers directs entre Israéliens et Palestiniens ont repris début septembre.

 

« Le Secrétaire général rappelle la déclaration du Quatuor de la semaine dernière qui reflétait l'appel uni de la communauté internationale demandant à Israël de prolonger la politique de retenue en matière de colonisation », a dit son porte-parole dans une déclaration.

 

Ban Ki-moon « est déçu qu'aucune décision de la sorte n'ait été prise et il est préoccupé par les provocations qui ont eu lieu sur le terrain. Il rappelle que la colonisation dans les Territoires palestiniens occupés, dont Jérusalem-Est, est illégale selon le droit international, et appelle Israël à remplir ses obligations inscrites dans la Feuille de route concernant le gel de la colonisation », a-t-il ajouté.

 

Voici donc une nouvelle interprétation trés personelle de BAN KI MOON qui comme le Comité des Droits de l'homme s'amuse avec ses propres textes.

 

Pour rappel - LES TERRITOIRES SONT DES TERRITOIRES DISPUTES QUI N'ONT JAMAIS ETE DECLARES PALESTINIENS.

 

 

 

Le Secrétaire général « soutient les efforts en cours pour trouver une voie permettant de poursuivre les pourparlers de paix dans un environnement favorable aux progrès. C'est la seule voie vers un Etat palestinien viable vivant en paix avec un Israël en sécurité, » ajoute le communiqué.

Lors d'une rencontre lundi avec le ministre israélien des affaires étrangères, Avigdor Liberman, au siège de l'ONU, Ban Ki-moon lui a fait part de sa déception sur la non prolongation du moratoire.

A l'issue d'une réunion mardi à New York, le Quatuor sur le Moyen-Orient, qui comprend les Nations Unies, les Etats-Unis, la Russie et l'Union européenne, avait noté « que le louable moratoire israélien sur la colonisation instauré en novembre dernier avait eu un effet positif » et il avait « appelé à sa prolongation ».

 

Notant que la confiance mutuelle était cruciale pour le succès des négociations, le Quatuor avait appelé de nouveau Israël et les Palestiniens à promouvoir un environnement favorable aux progrès, notamment en évitant les actions provocatrices et une rhétorique incendiaire.

 

Lors d'une rencontre à Washington le 2 septembre, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et le Président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas ont relancé les pourparlers de paix. Il s'agit des premières négociations directes entre les deux parties en vingt mois. Elles avaient en effet été suspendues en décembre 2008.

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27 septembre 2010 1 27 /09 /septembre /2010 07:54

 

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Catégorie : ONU et CONSORTS 

 

Un rêve devenu cauchemar

Le Comité des droits de l'homme composé des pires violateurs des droits de l'homme


Par Aschkel

Pour aschkel.info et lessakele.

 

Titre en hébreu

החלום הפך לסיוט

Lien en anglais

http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-3959776,00.html

Omer Gertel

 

Publié le:  09.27.10,


 

Voici une liste partielle des membres qui s'occupent de la dignité et des droits de l'homme au Conseil de l'ONU: Bahreïn (depuis 2007), Bangladesh (depuis 2009), Chine (depuis 2009),Jordanie(depuis 2009), Malaisie (depuis 2009), Pakistan (depuis 2009 ,) et l'Algérie (depuis 2007). Comme nous le savons, ces États font preuve d'intérêt réel pour les droits de l'homme dans leur propre quotidiennement, il est donc difficile de ne pas être impressionné par leur seul souci au sujet d'une  flottille dirigée sur les rives tranquilles de Gaza.

Par ailleurs, une liste partielle des membres de la commission des Nations unies traite des droits de la Femme qui comprend l'Algérie, l'Egypte , la Malaisie, le Pakistan, et le joyau de la couronne - l'Iran , où les femmes accusées d'adultère sont lapidées à mort selon la loi.

Yoaz Hendel

 

 

 

 

L'Arabie saoudite est l'un des pires violateurs des droits de l'homme. Ce n'est pas une démocratie électorale et l'opposition politique est interdite. La liberté d'expression est fortement restreinte. Le gouvernement maintient le contrôle des médias et répond durement à la critique ou un simple écart à l'égard de son dogme islamique stricte.

 

En outre, la liberté de religion est inexistante: tous les Saoudiens sont tenus par la loi d'être musulman, alors que la pratique publique d'autres religions sont interdites. Les pratiques religieuses des musulmans chiites et soufis sont également limitées. Les arrestations arbitraires et la torture ne sont pas rares.

La discrimination à l'égard des femmes est effroyable: elles ne peuvent pas conduire de voiture, voyager à l'intérieur ou l'extérieur du pays sans un parent de sexe masculin, ou d' utiliser librement des installations publiques en présence des hommes. Les taux d'emploi des femmes sont extrêmement faibles et leur capacité à participer à la vie politique est minime.Le témoignage d'un homme est égal à celui de deux femmes au tribunaux de la charia dans le pays.

 

On pourrait s'attendre d'un organisme qui s'appelle "Conseil des droits de l'homme " de consacrer une partie importante de son activité à la critique et la condamnation de l'Arabie saoudite. Mais ce n'est pas le cas. Non seulement l'Arabie saoudite n'a jamais été condamnée par le Conseil des droits de l'homme - mais de plus il en est un membre digne.

 

Comment un des pays les pires violateurs des droits de l'homme peut-il être membre d'un organisme officiel dédié à la promotion et la protection des droits de l'homme partout dans le monde? 

Bienvenue au Conseil des droits de l'Homme (UNHRC), l'organe le plus hypocrite et le plus honteux, un organisme qui fait perdre à l'ONU le peu de sens qu'elle détenait encore.

 

Malheureusement, l'Arabie saoudite n'est pas une exception.L'UNHCR est dominé par les pays du tiers monde, dans la plupart desquels la démocratie et des droits de l'homme ne sont que des concepts théoriques. Plus de la moitié des membres du Conseil ne sont pas des démocraties libres, En plus de l'Arabie saoudite, ce Conseil comprend certaines des dictatures les plus oppressives du monde, comme la Libye, le Qatar et la Chine.

 

Naturellement, un organisme d'une telle composition fait très peu pour promouvoir ou protéger les droits de l'homme et ne peut que porter préjudice à ses membres et ses aspirations. 

Que faut-il faire alors? 

Que peut-on attendre précisément d'un organisme comme celui-ci avec une proportion importante des pays arabo-musulmans - diaboliser Israël.

 

Le cas du Sri Lanka

Incroyable, environ 80% (!) Du Conseil de la censure ont été consacrés à Israël. C'est un chiffre incroyable: Pendant ce temps, les tyrannies, comme l'Iran, l'Arabie saoudite, la Libye, la Chine et d'autres n'ont jamais été condamnées par l'UNHCR.La Corée du Nord, l'un des régimes les plus terribles du 21ème siècle, a été condamnée une seule fois. Au Soudan, où un génocide a été commis pendant des années, deux  résolutions du  UNHRC ont été prises, dont aucune ne tiendra compte de la responsabilité du gouvernement  soudanais (une fait l'éloge de ses "progrès" sur les droits de l'homme.)

 

D'autre part, Israël, une démocratie la seule du Proche-Orient accorde et respecte , les droits civils et humains à tous ses citoyens, y compris des minorités qui appartiennent à un peuple avec lequel Israël est engagé dans un conflit amer - est censé être le pire contrevenant des droits de l'homme sur la terre, et en fait l'un des auteurs de violations des droits humains ?

 

Hillel Neuer, directeur exécutif de UN Watch, raconte une histoire qui démontre l'hypocrisie typique de l'UNHRC l'égard d'Israël: Durant la première moitié de 2009, deux pays, Israël et le Sri Lanka, ont combattu des groupes terroristes qui visent des civils et qui les utilisent comme boucliers humains - Israël face au Hamas dans l'opération "Plomb durci"Le Sri Lanka aux prises avec les Tigres tamouls. Il y avait plusieurs différences entre ces deux cas similaires: Alors qu'Israël a entrepris de vastes mesures pour éviter de nuire aux civils, décrite par le colonel britannique Richard Kemp comme unique dans l'histoire militaire, le Sri Lanka n'a lui pas fait une telle chose. Si Israël a décreté une pause humanitaire chaque jour, le Sri Lanka ne l'a pas fait.

 

Le nombre de victimes civiles à Gaza a été environ 1.000 selon des sources palestiniennes (et beaucoup plus faible, selon des sources israéliennes), alors que le nombre de victimes civiles au Sri Lanka n'était pas moins de 6.500, et atteint plus de 20.000 selon certaines estimations.

 

Nous savons tous ce qui s'est passé pour Israël au sein du Conseil des droits de l'homme. Une mission d'établissement des faits (Goldstone), est rapidement mis en place avec l'objectif déclaré d'enquêter sur "les crimes de guerre d'Israël" et "violations", et a confirmé toutes les conclusions prédéterminées représentant d'Israël comme le diable. Israël a été sévèrement condamné, comme toujours.

 

Mais qu'en est-il du Sri Lanka? l'l'UNHRC a ignoré complètement le meurtre de milliers de civils? 

Pas du tout. Il a adopté une résolution sans vergogne écrite par le Sri Lanka lui-même, faisant l'éloge du Sri Lanka pour la promotion et la protection des droits de l'homme. Une histoire vraie !!!.

 

Quelle est la conclusion de tout cela? 

Tout d'abord, les rapports de l'UNHRC, comme le (Goldstone)ou le (rapport de la flotille), sont tout à fait politique et manquent de crédibilité ou de preuves, de valeur juridique ou morale. En fait, compte tenu de la politique bien connue du Conseil, une personne intelligente n'aurait pas besoin de preuves ou de connaissances pour répondre parfaitement et prévoir les conclusions et le verdict d'un rapport de ce Conseil. 

 

Mais ce n'est pas un secret en Israël. Israël a refusé de coopérer avec l'UNHCR  en ce qui concerne la mission de la flottille de Gaza, et la réponse officielle d'Israël (à ce rapport) conclu qu'il était «partial et unilatéral comme l'organisme qui l'a produit." C'est exact, mais pas assez.

 

Bien que certains d'entre nous connaissent peut-être l'absurdité de la composition de l'UNHRC et ses résolutions, beaucoup considèrent tout organisme des Nations Unies comme neutre, ce qui rendrait ses résolutions et ses rapports justes et utiles. Par conséquent, Israël doit faire tout en son pouvoir pour délégitimer l'UNHRC et montrer et démontrer qui est vraiment ce Conseil. 

 

Les réponses officielles, qui sont généralement publiés dans les médias du monde entier, doivent être utilisées à cette fin. Toute réponse d'Israël ne doit pas seulement juste accuser l'UNHRC de parti pris politique, mais aussi de se référer à la tyrannie et les violations des droits humains qui la composent, et de mentionner le fait que le Conseil de manière systématique  ignore délibérément les violations des droits de l'homme par les dictatures les plus répressives, accuser Israël est un moyen pour ces mêmes dictatures de détourner l'attention sur les atrocités qu'elles commettent.

 

 

Il devrait être connu partout, pour le bien d'Israël et aussi pour des droits de l'homme, que le Conseil des droits humains est une imposture.

 

S'exprimant au sujet de l'UNHRC, Hillel Neuer a décrit comment le  «rêve d'Eleanor Roosevelt», fondatrice de cette Commission des droits de l'homme après la Seconde Guerre mondiale, s'est transformé en cauchemar. Israël doit faire tout son possible afin d'aider à réhabiliter ce noble rêve.

 

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26 septembre 2010 7 26 /09 /septembre /2010 05:56

 

 

 

 

 

 

 

 

Adapté par Aschkel

 Verser Aschkel.info et Lessakele

http://elderofziyon.blogspot.com/2010/09/unhrc-tramples-on-international-law-to.html

Détails DANS dossiers les

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Même un coup d'œil rapide au rapport de l'UNHCR montre l'extraordinaire hypocrisie et la duplicité de la description du droit international.

Nous avions déjà publié un certain nombre de savants articles sur la légalité de la Marine au sujet du siège israélien sur Gaza. 

Le Conseil des Droits de l'Homme l'ONU estime qu'il faut une législation entièrement nouvelle pour accuser Israël de violer le droit.

 Article en français:

> Contre la flottille Israël a respecté le droit international - Pr N.Weiss-Livori

>La base juridique du blocus israélien sur la bande de Gaza Prof Lapidoth Ruth



Tout d'abord, il affirme explicitement la définition du siège par le Manuel de San Rémo

Voir deux articles précédents en Français

Jusqu'ici, tout va bien. mais regardez ce qui vient après:
52. Le siège ne peut continuer à être exécuté sur le lieu  où il cause des dommages disproportionnés par rapport à la population civile. sens habituel de "nuire à la population civile,« le droit des conflits armés se réfère à la mort, aux blessures et aux dommages matériels. Ici, le dommage peut être vu dans la destruction de l'économie civile et d'empêcher la restauration des dommages passés.On peut aussi noter, depuis que de nombreux habitants de Gaza sont confrontés à la pénurie de nourriture ou les moyens de l'acheter, parce que le sens ordinaire la 'famine" en vertu du droit des conflits armés est tout simplement causé par la faim"
Le texte en gras et rouge est simplement rajouté par le UNHCR, et n'a rien à voir avec le droit international. Il n'y a rien dans le droit international qui stipule que «la destruction de l'économie civile et la prévention des dommages de réhabilitation passé" n'est pas valide en vertu des lois de quarantaine.


Pire encore,  la note qu'il cite dit ceci :
C Pilloud et J. Pictet, Commentaire des Protocoles additionnels du 8 Juin 1977 aux Conventions de Genève du 12 août 1949 (Comité international de la Croix-Rouge, 1987), p.53, paragraphe 2089. Voir aussi anglais Oxford Dictionary définitions de «priver d'alimentation  "ou" soumettre à  la famine. "
Ils citent Pilloud et Pictet, comme si nous disions «faim» signifie «à cause de la faim." Et pourtantPilloud et Pictet a déclaré:

Le HCR a délibérément mal interprété son matériel de bas de page pour accuser Israël par le blocus d'affamer  Gaza.

Bien sûr, il ne mentionne pas les tonnes de nourriture qui arrivent chaque jour à Gaza livrées par Israël lui-même, et ne mentionne pas le fait qu'il n'y a aucun résident de Gaza "mort de faim"  au cours des quatre dernières années.

Depuis que le UNHCR a établi la définition légale spécialisée d'un siège, fait sur mesure pour Israël seul, ils n'est pas surprenant qu'ils concluent:
53. dans l'évaluation des preuves présentées au comité, y compris au Bureau de la coordination des affaires humanitaires territoires palestiniens occupés [NDRL Plus un seul  Juif à Gaza depuis 2005], confirmant la situation humanitaire difficile dans la bande de Gaza et d'empêcher la destruction de la reprise de l'économie (détaillée ci-dessus), la mission estime et est convaincue que le blocus a été d'infliger un préjudice disproportionné à la population civile dans la bande de Gaza et en tant que telle l'interception ne peut être justifiée et doit par conséquent être considérée comme illégale

 


Le rapport se poursuit avec les mensonges habituels - dit que Gaza est occupé, et  déclare que les FDI ont tiré à balles réelles de l'hélicoptère avant que les premiers soldats ne soient descendus sur le navire, et ainsi de suite. Mais voici un exemple concret où le droit international n'est pas correctement utilisé, interprété voire modifié dans le seul objectif de l'objectif de trouver les coupables, Israël.

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25 septembre 2010 6 25 /09 /septembre /2010 23:27

 

 

 

 

« Flottille » : le Conseil des Droits de l’Homme récidive. Après Durban II, Goldstone II

Hélène Keller-Linddesinfos

vendredi 24 septembre 2010

 

Articles associés

 

>L'ONU condamne, le Hamas débouche le champagne

>Rapport de l’ONU : Israël odieusement accusé

>Enquête-ONU/Flotille : déséquilibre total, parti-pris, conclusions douteuses et biaisées aux dépends d'Israël.

 

 

 

Pour être complet consulter aussi...

La catégorie 

ONU et CONSORTS

et les dossiers ci-dessous

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Elle a cherché, elle a trouvé...la Mission mandatée par le Conseil des Droits de l’Homme onusien devait « enquêter sur les « violations » du droit international et du droit humanitaire et humain, résultant des « attaques » perpétrées par Israël sur la flottille qui transportait une aide humanitaire. »

Des conclusions connues d’avance



Alors que la Mission Turkel, initiée par Israël, pour « examiner l’incident maritime du 31 mai 2010 » - et dont tout donne à penser qu’il ne s’agit pas d’une commission « godillot » - n’a pas encore terminé ses travaux, la Mission du Conseil des Droits de l’Homme, qui a beaucoup voyagé – d’Ankara à Istanbul en passant par Aman, vient de terminer les siens. Son mandat était d’enquêter sur « les violations du droit international, et du droit humanitaire et humain, résultant des « attaques » perpétrées par Israël sur la flottille qui transportait une aide humanitaire. » ( Il faut rappeler à cet égard qu’il n’y avait aucune « aide humanitaire » sur 3 des bateaux de cette « Flottille » ) Comme avec le Rapport Goldstone on avait les conclusions dans l’intitulé même du mandat.

Elle a entendu les représentants israélien, jordanien, turc, britannique, américain à Genève et l’observateur palestinien auprès des Nations unies. Mais aussi les divers et nombreux organismes onusiens chargés, pour l’un, de la « coordination des Affaires humanitaires dans les Territoires Palestiniens Occupés » ; pour un second, « l’UNRWA, » - seul organisme de ce type - de prendre en charge des « réfugiés », dont, de surcroît, le statut est héréditaire – autre spécificité – ; et la Mission a entendu aussi le Coordinateur Spécial pour le Processus de Paix au Moyen-Orient. Mis à part une rencontre avec son délégué, Israël a décliné de participer à ce dont on savait d’avance que ce serait une farce tragi-comique à la Goldstone. Le Rapport Goldstone a été démonté pièce par pièce dans un dossier initié par Shmuel Trigano dans un numéro spécial de CONTROVERSES, on s’en souvient. 


Ces rencontres avaient pour but « d’être briefés sur la situation dans la Bande de Gaza. » Point n’est besoin d’être grand clerc pour savoir que ces organismes sont systématiquement critiques d’Israël et sont frappés de quasi cécité dès lors qu’il s’agit du Hamas, le « gouvernement de facto » dans la Bande de Gaza. Et les rapporteurs font mine d’ignorer le principe de cause à effet, oubliant que s’il y a blocus de la Bande de Gaza – ce qui n’empêche pas les marchés de regorger de marchandises ou qui n’a pas empêché l’ouverture récente d’un centre commercial - , c’est que le terrorisme est une manière d’être pour le Hamas. Ou le kidnapping. Évidemment pas un de ces organismes dits humanitaires n’a pu obtenir ne serait-ce qu’une visite à l’otage franco-israélien Guilad Shalit, détenu au secret depuis plus de quatre ans... Son nom ne figure même pas dans ce rapport. ( Rappelons qu’une manifestation de soutien à Guilad et sa famille se tiendra à Genève, Place des Nations, le 28 septembre à 17 h. Une Soucca pour Guilad sera dressée sur cette même place les 26 et 27 septembre )


Pour le Conseil dit des Droits de l’Homme, « la paix et le respect se méritent ne peuvent être obtenus en matraquant l’adversaire. » Ce que ferait Israël...



Pourtant dans ce rapport il est admis « qu’avant les premiers accords de paix on estimait à quelque 20.000 le nombre des habitants de Gaza qui quittaient la Bande de Gaza chaque jour pour aller travailler en Israël et rentrer le soir. » Et si la Mission est bien obligée d’évoquer les roquettes tirées sur Israël depuis la Bande de Gaza et de les qualifier de « violations graves du droit international et du droit humanitaire international, » elle rétorque aussitôt que cela ne saurait justifier de « punition collective... » Et on trouve des phrases surréalistes du type : « la paix et le respect se méritent ne peuvent être obtenus en matraquant l’adversaire. » 

La Mission fait mine de ne pas savoir que si le blocus était levé la Bande de Gaza deviendrait aussitôt une base iranienne 


Condamnations automatiques d’Israël



On peut imaginer ce que sont les conclusions de cette Mission mandatée par un Conseil des Droits de l’Homme qui vient ne compte pas que des démocraties parmi ses membres et, de surcroît, vient d’accueillir la Libye en son sein. Conseil dont la principale préoccupation est de condamner Israël Un Conseil qui avait organisé Durban II et reçu en grande pompeAhmadinejad, le laissant vitupérer et vilipender « l’entité sioniste » pendant quelque vingt minutes, alors que le temps imparti à chaque intervenant était de 5 ou 6 minutes tout au plus....et cette enceinte onusienne avait retenti alors d’applaudissements nourris. La plupart des délégués européens étaient sortis pendant ce discours. Les États-Unis n’étaient pas présents...Et on se souvient que Raphaël Haddad, alors Président de l’Union des Étudiants Juifs de France,accompagné de quelques compères, s’était transformé en clown pour cette farce onusienne et avait lancé son nez rouge à un Président iranien impassible à la tribune 


La vérité est dans les vidéos ...



Quant à l’incident sur lequel la Mission est censée avoir enquêté...elle parle de « une violence superflue et incroyable...un niveau de brutalité inacceptable... ». Pas celle des aspirants martyrs recrutés par une organisation turque liée au terrorisme , qui, armés de barres de fer, de gourdins et couteaux, attendaient les soldats israéliens de pied ferme, on le sait, . Mais une brutalité qu’elle attribue aux soldats israéliens qui, violemment agressés, se sont défendus... 



Le Président turc – alors que la Turquie a trempé dans le recrutement d’aspirants au martyre - a profité de ce rapport truqué pour exiger des excuses et des dédommagements pour les passagers dont les vœux ont été exaucés puisqu’ils ont désormais le statut de martyrsUn statut que leur avait décerné l’Autorité palestinienne et la Turquie au lendemain même de l’incident 
Côté israélien on réplique, pour l’heure, que le monde entier a vu les vidéos de l’abordage et des aspirants au martyrefilmés sur le Marmara avant l’abordage et que ces conclusions fausses et de parti pris n’ont rien d’étonnant. 


Bien entendu, cette caution onusienne va donner une nouvelle impulsion à tous ceux qui participent de cette délégitimationd’Israël, puisque c’est uniquement de cela qu’il s’agit. Ce qu’avait dénoncé à l’époque le Premier ministre israélien Et on peut s’attendre à ce qu’il y ait de nouvelles « flottilles » ou autres farces pseudo-humanitaires...

 

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