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25 septembre 2010 6 25 /09 /septembre /2010 20:58

 

Catégories

>ONU et CONSORTS

>CHANTAGE ET "ETAT PALESTINIEN"

 

L'ONU condamne, le Hamas débouche le champagne

Par 

Yaron Gamburg

 

Articles associés

>Rapport de l’ONU : Israël odieusement accusé

>Enquête-ONU/Flotille : déséquilibre total, parti-pris, conclusions douteuses et biaisées aux dépends d'Israël.

 

Je ne fais que reprendre les titres de nombreux journaux, avec une petite touche "cosmétique".

Le 31 mai dernier, une douzaine de soldats israéliens, équipés de fusils à peinture, tentent d'embarquer à bord du fameux "Mavi Marmara"- embarcation à but humanitaire sous l'égide du groupe sympathisant terroriste IHH- de quelques centaines d' hommes et femmes de bonnes intentions, pris en otage par un petit groupe, quelques dizaines, de sympathisants islamistes fanatiques (je n'inventent rien, ils s'en sont suffisamment ventés eux même devant les caméras), bien décidés à en découdre avec l'armée israélienne, et si possible, ca aurait été un must, mourir en martyrs.

L'idée était simple: forcer le blocus sur les armes et les matériaux permettant d'en fabriquer, mis en place, je le rappelle, de façon conjointe par Israël et par l'Egypte. Ce blocus a été installé d'un commun accord pour faire cesser le trafic incessant d'armes ayant pour destination le gouvernement Hamas a Gaza.

Même si ces même hommes et femmes de bonnes intentions préfèrent continuer a penser ainsi, il n'y a pas et n' a jamais eut de crise humanitaire a Gaza. Le Marmara lui-même a été à plusieurs reprises prié de débarquer sa cargaison au port d'Ashdod afin que celle-ci puisse être vérifiée et transférée à la population de Gaza, comme c'est le cas de dizaines de tonnes de vivres chaque semaine.

Alors, n'y a-t-il pas un truc qui cloche? Si les destinataires de cette cargaison "humanitaire" étaient le peuple palestinien, pourquoi avoir refusé de débarquer à Ashdod? Pourquoi défier un blocus israélo- égyptien légal et légitime, dont le seul but est de faire cesser la cause même de la précarité dans laquelle les palestiniens de Gaza se trouvent, et conserver une petite chance de créer un jour un climat propice à la paix? Qui avaient en tête le malheureux peuple palestinien à l'heure où la barbarie se déchainait sur les soldats de Tsahal, aucunement préparés à ce scenario auquel pourtant il aurait fallu s'attendre?

Qui a encore la naïveté de croire que si la situation avait été inverse, si les quelques barbares embarqués dans le ventre du Marmara avaient assassiné neuf de nos soldats, il y aurait eut, comme il y a eut à la suite de cet épisode malheureux, ce formidable élan de protestation indignée, cette haine passionnée qui n'attendait qu'un "bon prétexte" pour déferler?
Je voudrais bien y croire…

Que vaut donc dire ce nouveau rapport de la Conseil des droits de l'homme de l'ONU présidé par un juge dont on connaît les prises de positions, ou plutôt ses non prises de position… et que vaut donc cet organisme, animé par ces grands amis de la démocratie que sont l'Iran, la Syrie, la Libye… pour ne citer que les plus notables.

Pas grand-chose, je vous le concède. Je n'ai d'ailleurs jamais très bien compris l'intitulé de cet organe respectable, "Conseil des droits de l'Hommes". J'aurais plutôt vu "Comité d'Acharnement contre Israël" ou quelque chose de ce genre. "Conseil des Droits de l'Homme"… quel intitulé incongru et insensé pour un organe qui depuis sa création a eut, sous l'égide de l'ONU, pour agenda principal la délégitimation de l'Etat d'Israël?
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23 septembre 2010 4 23 /09 /septembre /2010 21:53

 

 

Catégorie >ONU et CONSORTS

Article associé

>Enquête-ONU/Flotille : déséquilibre total, parti-pris, conclusions douteuses et biaisées aux dépends d'Israël.

 

 

«Il y a des preuves claires permettant d’appuyer des poursuites contre Israël pour les crimes suivants: homicide intentionnel, torture ou traitements inhumains, fait de causer intentionnellement de grandes souffrances ou des blessures graves…. », voilà quelques unes parmi les accusations calomnieuses qui figurent dans le Rapport que l’ONU vient de publier sur la provocation turque lors de l’expédition du « Mevi Marmara », et ce, malgré toutes les preuves solides apportées depuis par Israël, montrant que cette expédition n’avait rien d’humanitaire, que les soldats de Tsahal ont été pris dans un guet-apens, et qu’ils n’ont fait usage de leurs armes qu’une fois placés en situation de danger de mort. Selon les observateurs, ce Rapport est encore plus sévère et malveillant que le Rapport Goldstone.

Les « experts » de Commission spéciale de l’ONU, deux juges de Grande-Bretagne et de Trinidad et un militant malaisien  des droits de l’Homme. qui remettront lundi leur rapport à la Commission des Droits de l’Homme, estiment « qu’Israël a fait une usage disproportionné de la force envers les passagers du bateau », et que l’arraisonnement du bateau a constitué « une violation grave des droits de l’Homme et du droit international humanitaire » !!!

Dans leurs conclusions, ces « experts impartiaux» recommandent « que des actions pénales soient entreprises à l’encontre d’Israël sur le plan international », et exigent « qu’Israël indemnise les familles des militants pro-terroristes qui ont été tués ou blessés sur le bateau ».

Le Hamas a bien évidemment salué ce Rapport. Ezzat al-Rashk, membre du bureau « politique » du Hamas « a salué le contenu du Rapport sur le massacre perpétré par les forces sionistes contre des humanitaires internationaux sur la flottille de la liberté» (sic). Le Président turc Abdullah Gül, s’exprimant du haut de la tribune de l’ONU, y a vu « une confirmation des accusations turques », et a une nouvelle fois exigé « des excuses officielles de la part d’Israël », et des « indemnités pour les familles ». Son ministre des Affaires Etrangères, Ahmet Davutoglu, a d’ailleurs aussitôt salué cette enquête onusienne « extrêmement impartiale et basée sur des preuves solides ». La députée arabe israélienne, Hanin Zouabi (Balad), qui se trouvait sur le bateau aux côtés des alliés du Hamas, a pu exulter sourire aux lèvres, en disant « que ce Rapport remet Israël en place ». Elle a demandé à ce que « les responsables politiques et militaires de cette opération soient maintenant traduits devant la justice internationale ».

Israël, une fois de plus isolé dans sa Soucca face au monde entier, se doit de réagir, même si la tâche est immense. Le ministre des Affaires Etrangères, Avigdor Lieberman, son vice-ministre Dany Ayalon, actuellement à New York, l’ambassadeur d’Israël à l’ONU et le Consul Général d’Israël à New-York ont entrepris de créer une « cellule de crise » pour coordonner les réactions médiatiques d’Israël et la « hasbara » suite à ces nouvelles accusations. Ils agissent tout azimuts, face aux médias américains, aux membres du Congrès US, aux diplomates étrangers et face aux grandes organisations juives.

Ayalon a notamment déclaré « que ce Rapport est mensonger et dégoûtant », et « qu’il finira par se retourner contre ses commanditaires qui ont perdu tout crédit ». Il a également appelé « à des changements drastiques dans les structures de la Commission des Droits de l’Homme ».

par Shraga Blum - israel7

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21 septembre 2010 2 21 /09 /septembre /2010 06:19

 

par Claire Dana-Picard

Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, qui profère régulièrement des propos extrêmement hostiles à l’encontre d’Israël, menaçant d’anéantir l’Etat juif, a eu droit dimanche soir à une entrevue avec le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon. Les deux hommes se sont entretenus en marge de l’ouverture de l’Assemblée générale de l’Onu, prévue mardi à New York. 

Lors de leur conversation, Ban Ki-moon a souligné auprès de son interlocuteur l’importance des droits politiques dont devait jouir tout citoyen. En outre, il l’a engagé à entamer des pourparlers avec la communauté internationale sur l’armement nucléaire de son pays. 

Le leader iranien ne se laisse pas amadouer par l’Occident et il continue à nier l’évidence, prétendant à qui veut l’entendre que son pays développe son programme nucléaire à des fins civiles. Interviewé par l’agence de presse AP, Ahmadinejad a affirmé qu’il ne souhaitait pas obtenir l’arme atomique et qu’il aspirait à la paix. Et d’ajouter avec aplomb: « L’avenir appartient à l’Iran, qui constitue un enjeu de taille face aux Etats-Unis qui doivent accepter l’Iran en tant que puissance prépondérante dans le monde ».

israel7

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20 septembre 2010 1 20 /09 /septembre /2010 12:36
Les exploits de L'ONU dans la catégorie

>ONU et CONSORTS 

Israël demande à l’ONU de condamner les dernières attaques du Hamas contre des civils israéliens

 

Meron Reuben

Depuis le lundi  13 Septembre 2010, des terroristes du Hamas ont lancé 14 roquettes et obus de mortier depuis la bande de Gaza, dans le but de terroriser les populations civiles à Ashkelon et dans le sud d’Israël.

ambisrael

 

 

 

M. Ban Ki-moon
Secrétaire général des Nations-Unis
New-York 

Monsieur le Secrétaire général,

Je vous écris encore une fois à propos des incidents graves survenus dans le sud d’Israël et à    la suite d’attaques continues depuis la bande de Gaza contrôlée par l’organisation terroriste Hamas. Depuis le lundi  13 Septembre 2010, des terroristes du Hamas ont lancé 14 roquettes et obus depuis la bande de Gaza visant à terroriser les populations civiles d’Ashkelon, ainsi que de la région d’Eshkol. Lors de certaines de ces attaques, qui ont délibérément ciblé des civils, du phosphore blanc a été utilisé, un fait reconnu publiquement par les médias palestiniens. En outre, pendant cette même période, les terroristes palestiniens ont lancé des grenades sur des soldats israéliens qui effectuaient des patrouilles de routine le long de la frontière entre Israël et la bande de Gaza.

Cette escalade a lieu dans un contexte positif de la reprise des négociations directes entre Israël et les Palestiniens. Dans un effort concerté pour faire dérailler les pourparlers de paix, le Hamas et autres organisations radicales se sont engagés dans cette violence meurtrière. Ce terrorisme en plus du rejet total du Hamas de tout règlement négocié, renforce la décision d’Israël d’exercer son droit à la légitime défense contre le Hamas et tous les autres groupes qui menacent et mettent en danger les citoyens israéliens.
À cet égard, Israël s’attend à ce que les membres de la communauté internationale soutiennent les négociations de paix et une solution pour deux Etats et condamne sans équivoque les dernières attaques du Hamas qui, non seulement ont pris pour cible des civils israéliens, mais aussi la paix et la sécurité de la région.

Je tiens à vous informer qu’une lettre identique a été envoyée à M. Ertuğrul Apakan, Président du Conseil de sécurité des Nations- Unies et qui sera distribuée comme étant un  document officiel émanant du Conseil de sécurité.

Permettez-moi, Monsieur le Secrétaire général, de vous renouveler les assurances de ma très haute considération.

Meron Reuben
Ambassadeur d’Israël auprès des Nations-Unis

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3 septembre 2010 5 03 /09 /septembre /2010 13:58

 

 

 

 

 

Le coup de "gueule"

par Yossi Malka

 

Banner Météor Yossi

 

Le magazine Météor d'Ashdod en partenariat avec aschkel.info et lessakele.

 

Ce mois-ci : Coup de "gueule" aux donneurs  de leçons...et aux commissions...Y.Malka

 

 

ici gris

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30 août 2010 1 30 /08 /août /2010 09:52

BANNERALDO

Merci Aldo-Michel

Pour aschkel.info et lessakele.

 

Texte à diffuser très largement

Je vous prie de trouver ci-après un texte sous signature collective proposée en Carte blanche aux quotidiens Le Soir et La Libre et que l'actualité politique actuelle empêchent de publier. Le décès ce week-end du premier signataire, mon vieil ami Daniel Ducarme, ne permet pas d'attendre une hypothétique parution par la presse. Merci donc de diffuser largement ce texte auquel Daniel Ducarme était particulièrement attaché.

 

La Convention européenne des Droits de l'Homme peut-elle être bradée?

 

Texte collectif sous la signature de : 

 

Daniel Ducarme, Ministre d'Etat, Anne-Marie Lizin, ancienne présidente du Sénat, Patrick Moriau, Député-Bourgmestre PS, Claude Eerdekens, Député-Bourgmestre PS, Fatoumata Sidibe, Députée régionale FDF, Jacques Lemaire, professeur à l'ULB, Corentin la Salle, professeur de philosophie, Claude Javeau, professeur émérite de sociologie de l'ULB, Paul Damblon, journaliste, Chemsi Cheref-khan, humaniste musulman, Luc Pire, Michel Graindorge, avocat, Marcel Cools, avocat, Philippe Chansay-Wilmotte, avocat, Claude Demelenne, journaliste, Aldo-Michel Mungo, Editeur

 

 

Le 25 mars dernier, le Conseil des Droits de l'Homme de l'ONU a adopté un projet de protocole international présenté par les pays membres de l'Organisation de la Conférence Islamique (OCI). Cette organisation, qui a son siège en Arabie saoudite, réunit 57 pays musulmans dont la Turquie, un membre du Conseil de l'Europe. Ce nouveau protocole international tend à criminaliser la diffamation des religions et à censurer toute information susceptible de desservir l'islam. L'Union européenne a pris position contre ces velléités liberticides ainsi que, plus fermement, les Etats-Unis. La récente résolution 1743 du 23 juin 2010 de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe consacre également ce concept dans le vocabulaire de cette organisation internationale.

 

La diffamation des religions est une aberration consistant à confondre objet et sujet de droit. Ainsi, la religion est désormais assimilée à un être juridique. Diffamer implique une atteinte portée à l'honneur. Or, une chose n'a pas d'état d'âme: ni honneur, ni déshonneur. En réalité, la diffamation des religions n'est qu'un mécanisme de censure instauré sous prétexte de prescrit divin.

 

Cette revendication n'est pas neuve. La résolution du Conseil des Droits de l'Homme n'est pas surgie de nulle part. C'est lors de la conférence de Durban I, en septembre 2001, que ce processus a débuté, dans le cadre des Nations Unies. Depuis près de dix ans, au nom du dialogue, les chancelleries occidentales vont de reculades en reculades. Au-delà du discours, le fait est que les Occidentaux n'ont qu'une stratégie défensive, voire pas de stratégie du tout.

 

Au Conseil des Droits de l'Homme, la France a exprimé la position de l'Union européenne en déclarant que cette dernière«reconnaît l'existence de préoccupations légitimes» et se disant «clairement disposée à s'engager dans un dialogue constructif avec l'Organisation de la Conférence islamique». L'Union européenne a donc assorti son timide refus d'un appel au dialogue, alors que les faits ont démontré que ce dialogue est illusoire, quand on se place systématiquement sur le terrain de l'adversaire. Naturellement, mieux vaut la paix que la guerre et la concorde plutôt que la discorde, mais les évidences in abstractoimpliquent-elles un aveuglement face aux évidences in concreto ? Il n'est pas judicieux de présenter sempiternellement un profil bas alors que les revendications outrancières n'évoluent qu'en s'amplifiant.

 

Une ferme, et rapide, reprise en main s'impose afin d'inverser ce processus pernicieux. Si le délit de diffamation des religions aboutissait, les Etats occidentaux auraient ipso facto l'obligation d'adapter leurs législations. Cela paraissait invraisemblable, voici quelques années, c'est devenu une réalité possible aujourd'hui. La carence de volonté politique a ouvert un boulevard aux exigences les plus folles.

 

N'ayant pas rencontré de véritable opposition, les Etats musulmans ont pu tisser un réseau de soutien. Leurs prétentions liberticides dépassent largement le concept, lui-même hautement discutable, de diffamation des religions. En substance, il s'agit, d'une part, d'obtenir la censure de toute information les desservant, y compris en matière de terrorisme. Il en découlera que les terroristes pourront invoquer l'islam pour justifier leurs actes tandis qu'il serait interdit de prendre des mesures contre-terroristes tirant les conséquences de cette orientation idéologique. D'autre part, le protocole international envisagé qualifie les populations établies dans les pays occidentaux non pas par leurs nationalités actuelles mais sur base de leurs origines ethniques:«descendants d'Africains»,«descendants d'Arabes», etc. Ils sont, de ce fait, ipso facto rattachés définitivement aux Etats d'origine, au mépris de leur citoyenneté au sein des Etats hôtes de l'immigration ; même s'ils sont de la génération qui y est née.

 

Il va sans dire que l'on n'évoque nulle part le respect à reconnaître, où que ce soit dans le monde, aux«descendants d'Européens», aux«descendants d'Américains» ou aux «descendants d'Australiens». Les Etats occidentaux y voient leur fonction réduite à celle de structures d'octrois de services, à leur charge évidemment, pour favoriser la pratique de la religion. Parallèlement, ce que les Etats de la Conférence islamique visent à établir, c'est que la fonction de juger les situations soit dévolue au Comité pour l'Elimination de la Discrimination raciale; avec comme corolaire, que toute opposition à l'islam serait constitutive de racisme. Les Etats récalcitrants y seront alors attraits et condamnés.

 

Il en va des exigences outrancières des Etats musulmans comme des prétentions analogues émanant des communautés musulmanes en Europe. Considérant le monde sous le prisme de La Mecque, les manouvres traduisent la volonté de substituer d'autres valeurs à celles qui sont établies en Occident, en partant du principe que celles des bédouins du VIIème siècle constituent une référence cardinale. Les droits de l'Homme sont invoqués à tort et à travers, à l'appui des revendications des activistes. D'autres obscurantismes, chrétiens notamment, commencent à leur emboiter le pas, aux Etats-Unis notamment.

 

C'est oublier que la Convention européenne des droits de l'Homme prohibe clairement les accommodements à leur égard. Son article 17 précise expressément qu'«aucune disposition ne peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou un individu, un droit quelconque de se livrer à une activité ou d'accomplir un acte visant à la destruction des droits ou libertés reconnus dans la présente Convention ou à des limitations plus amples de ces droits et libertés que celles prévues à ladite Convention». Autrement dit, pas de liberté pour les ennemis de la liberté.

 

Si les représentants des Etats occidentaux persistent dans leur attitude actuelle, le processus en cours aboutira à la disqualification de la Convention européenne des droits de l'Homme. Et ce en raison de la place qu'occupera, dans la hiérarchie des normes, la convention internationale initiée, le 25 mars 2010, par le Conseil des Droits de l'Homme de l'ONU à l'instigation des Etats islamiques. Chacune des dispositions de la Convention européenne des droits de l'Homme ne pourra plus être invoquée qu'à la condition sine qua non qu'elle ne soit pas contredite par un prescrit religieux.

 

Il nous appartient d'affirmer les valeurs qui fondent la démocratie, de les faire respecter, et d'être intraitables avec ceux qui escomptent les brader sous prétexte d'accommodements dits raisonnables. Les Européens ne sont pas les seuls en butte à ce courant obscurantiste: les laïques qui tentent d'émerger dans les Etats dits islamiques sont souvent décontenancés devant la passivité occidentale qui découle du politiquement correct, cet ersatz médiocre de l'esprit de tolérance. En Europe, c'est l'islam qui est en première ligne, mais toute concession à ses obscurantistes ouvre la voie à d'autres fondamentalistes.

 

La démocratie est fondée sur un contrat social qui est le fruit de l'Histoire.

Celui-ci n'est ni à négocier ni à brader.

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29 juillet 2010 4 29 /07 /juillet /2010 21:57

 

 

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logo goldstone

Le responsable de l’enquête Goldstone est “partial”

Titre : UN Goldstone probe head is 'biased'


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Par Toby AxelrodThe Jewish Chronicle, 29 Juillet 2010

 

Adapté par : Marc Brzustowski

 

Pour : unwatch.org

 © 2010 lessakele et  © 2010 aschkel.info

Article associé

:Le responsable du suivi du rapport Goldstone nie être juge et partie 

 


Le Juge allemande Christian Tomuschat est confronté à une pression croissante exigeant sa démission du poste de chef du panel d’experts de l’ONU, accompagnée de réclamations critiquant la façon dont le rapport Goldstone a été mis en place.


Ses détracteurs affirment que Mr Tomuschat a déjà, au préalable,  dit que les actions d’auto-défense d’Israël ressemblaient à du “terrorisme d’Etat”, et qu’ainsi il ne pouvait fournir une évaluation impartiale pour savoir si Israël et le Hamas avaient enquêté de façon appropriée et ensuite jugé ceux présumés avoir commis des crimes de guerre durant l’opération « Plomd Durci ».


Mr Tomuscha, professeur émérite à l’Université Humboldt de Berlin, avait été nommé, cet été en tant que chef du panel d’experts, qui doit remettre son rapport en Octobre. Les autres membres du comité sont le procureur et rapporteur spécial de l’ONU, Param Cumaraswany de Malaysie et l’ex-avocate à la Cour Suprême de Justice de l’Etat de New York, Mary Mc Gowan Davis.


Ce qui fait problème, ce sont les déclarations passes de Mr Tomuschat, à propos du conflit israélo-palestinien. Dans un essai sur les réponses au terrorisme, il a écrit –pour commenter la réplique de l’armée israélienne aux attaques terroristes – qu’un état qui ordonne des représailles contre « des terroristes présumés », sachant que des civils peuvent y trouver la mort « est passible de la même accusation que ceux qu’il prend pour cible ».

Il a également exprimé des doutes que le système judiciaire d’un tel état puisse « mener des enquêtes efficaces et punir les agents responsables”.


S’exprimant dans le JerusalemPost du week-end passé, Mr Tomuschat a souligné que ses déclarations passées étaient objectives et a tourné en ridicule la suggestion qu’il doive démissionner de la direction du panel.

 


 Mais Hillel Neuer, directeur d’UNWatch, ONG basée à Genève, a affirmé, qu’il devrait pourtant bien démissionner.


“Un panel ayant pour mission d’évaluer l’efficacité des enquêtes d’Israël sur les crimes de guerre, piloté par quelqu’un qui a déjà forgé son opinion et s’est exprimé lui-même sur cette question precise – contre Israël – n’est pas seulement absurde, mais une mascarade de justice”.


Il a ajouté que : “la nomination d’un détracteur déclaré d’Israël est une preuve supplémentaire d’un parti-pris anti-israélien au sein du Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU, lequel comprend des états-membres qui sont des dictatures notoires, impliquées dans des génocides ou autres dossiers d’activités aussi obscures, au sujet des droits de l’homme.


« Quand bien même y aurait-il Mère Thérésa ou Mahatma Ghandi au sein de ce comité, le processus d’ensemble serait entaché de partis-pris”, a poursuivi Mr Neuer.



Tout récemment, l’ancienne Ministre des Affaires étrangères de l’Islande, Ingibjorg Solrun Gisladottir, a été démise de ses fonctions au sein de la Commission d’enquête de l’UNHCR concernant la conduit d’Israël dans l’arraisonnement malheureux de la flottille, fin mai, lorsqu’on a découvert qu’elle avait signé une pétition de soutien à la flottille.


Dans son essai datant de 2002, Mr Tomaschat suggérait également que la victime d’un attentat terroriste devrait être considérée comme responsable de ses propres souffrance : « Tout état victime d’un attentat terroriste devrait « analyser sa propre conduite et se  demander s’il a commis des erreurs qui ont nourri des frustrations, de la haine et du désespoir ».


Source: http://www.thejc.com/news/world-news/36306/un-goldstone-probe-head-biased

 

 
tel: (41-22) 734-1472 • fax: (41-22) 734-1613

www.unwatch.org
 

  
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26 juillet 2010 1 26 /07 /juillet /2010 21:23

 

 

CHRISTIAN TOMUSCHAT

Le juriste allemand Christian Tomuschat a affirmé qu'il ne démissionnerait pas.

 

Adapté de l'hébreu par Aschkel

Pour © 2010 lessakele et  © 2010 aschkel.info

Version anglaise : 

http://www.jpost.com/LandedPages/SearchResults.aspx?q=Christian%20Tomuschat

 

 

BERLIN - Le Président de la Commission des Nations Unies chargée du suivi des conclusions du rapport Goldstone sur l'opération «Plomb durci» a reconnu, samedi, qu'il avait aidé à préparer un avis consultatif afin d'analyser les aspects juridiques de la question israélo-palestinienne dans les années 1990, mais a dit qu'il ne se rappelait pas s'il avait fait ce travail au nom du dirigeant palestinien Yasser Arafat.

 

Dans tous les cas, précise le  juriste allemand Christian Tomuschat, l'objectif, c'était un  travail d'ordre juridique, que ce travail ne devrait pas être considéré comme "une tache" et ne constitue pas une raison suffisante pour qu'il démissionne du suivi de la commission Goldstone.

 

Le Jerusalem Post a demandé à Tomuschat de commenter les informations qu'il a reçues ce week-end, à savoir que lui-même et quatre autres juristes internationaux avaient préparé un mémoire pour Arafat en 1996 concernant les aspects de droit international du processus de paix, ce qui suggère que si M. Arafat avait  porté son affaire devant l'Assemblée générale des Nations unies, celle-ci aurait pu alors saisir la Cour internationale de Justice.



Le fait que Tomuschat ait travaillé directement pour l'une des parties concernées aurait dû être divulgué à Israël lors de l'annonce de la constitution  d'un comité de suivi du  rapport Goldstone, mais cela n'a pas été fait, selon les informations reçues par le Jpost.



Le comité a été nommé le mois dernier par le commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, 
Navi Pillay, et est sur le point de commencer ses travaux, en vue de publier un rapport en Octobre.



La nomination de Tomuschat avait déjà attiré les critiques en raison de sa caractérisation de la politique d'assassinats ciblés par Israël comme "terrorisme d'Etat".



En outre, le Post a appris ce week-end, que Tomuschat a déjà, préalablement, faite sienne cette conviction que les Etats sont incapables de mener efficacement des enquêtes sur les dépassements commis par leurs propres forces militaires. Son parti-pris évident sur cette question est préoccupant, parce que le mandat de la commission consiste, justement, à examiner si le système judiciaire israélien est, ou non, capable d'étudier les dépassements des FDI, dont les allégations sont présentées dans le rapport Goldstone.



Tomuschat parle de cette évaluation dans une étude intitulée "Les menaces individuelles dans la lutte contre le terrorisme" Dans cette étude, publiée en 2002, il écrit: «Dans de tels cas, il ya peu d'espoir que le système judiciaire de l'Etat concerné puisse conduire des enquêtes efficaces et punissent les agents responsables. Nulle part les excès commis par les forces de sécurité n'ont été suffisamment condamnés."



Dans la même étude, il a également écrit que «Si un État frappe de manière aveugle les terroristes présumés dans leur milieu de vie, en admettant que les suspects ainsi que des civils y perdent la vie, il utilise la même tactique que les terroristes eux-mêmes. C'est dans cette perspective, que de nombreuses actions menées par l'armée israélienne dans les territoires palestiniens occupés devront également être examinées très attentivement. »



«En principe, -dit-il-, les États se voient comme les gardiens des droits de l'homme. »


Tomuschat a déclaré samedi qu'il n'avait rien fait qui doive l'obliger à démissionner de la commission. Israël est extrêmement préoccupé par la mise sur pied d'un comité de suivi du rapport Goldstone, dont le mandat consiste à examiner l'efficacité, l'indépendance et le professionnalisme du système judiciaire d'Israël et son adhésion aux normes internationalement acceptées.



Israël craint les biais de cette enquête sans précédent de  l'ONU contre lui et se méfie de manière aiguë d'un comité dont les motivations et les idées préconçues, pourrait porter atteinte à la crédibilité du système judiciaire israélien sur le plan international, rendre Israël vulnérable et le censurer dans les forums juridiques internationaux.


Les critiques du groupe et de ses membres révèlent que ce groupe est incapable d'accomplir son travail parce que trois de ses membres sont affiliés à la Commission internationale de juristes, qui "a eu une longue histoire de préjugés anti-israéliens, depuis les fausses allégations de massacre à Jénine [contre Tsahal après l'opération Bouclier défensif en 2002] ». Plus tôt ce mois-ci, Gerald Steinberg d'ONG Monitor sur la surveillance des droits de l’homme, a déclaré :  "le fait que des juristes du CJI impliquent des fonctionnaires liés à la Commission des Nations Unies est une nouvelle illustration des liens entre l'ONU [Conseil des droits humains] et les ONG idéologiques.

 


Les deux autres membres du comité sont le Malaisien Param Cumaraswamy et l’Américaine Mary Davis.

Tomuschat, dans une interview de 2007, à propos de l'assassinat par Israël du chef spirituel du Hamas, Cheikh Ahmed Yassine,  en 2004, a déclaré: "Les assassinats ciblés sont aussi impitoyables que les attaques des terroristes."

La question lui a été posée de savoir si les assassinats ciblés par Israël constituait un  "terrorisme d'Etat", Tomuschat a répondu: "ce que je dis là va dans ce sens".

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26 juillet 2010 1 26 /07 /juillet /2010 20:56

 

 

 

 

CHRISTIAN TOMUSCHAT

Le juriste allemand Christian Tomuschat a affirmé qu'il ne démissionnerait pas.

 

Adapté de l'hébreu par Aschkel

Pour © 2010 lessakele et  © 2010 aschkel.info

Version anglaise : 

http://www.jpost.com/LandedPages/SearchResults.aspx?q=Christian%20Tomuschat

 

 

BERLIN - Le Président de la Commission des Nations Unies chargée du suivi des conclusions du rapport Goldstone sur l'opération «Plomb durci» a reconnu, samedi, qu'il avait aidé à préparer un avis consultatif afin d'analyser les aspects juridiques de la question israélo-palestinienne dans les années 1990, mais a dit qu'il ne se rappelait pas s'il avait fait ce travail au nom du dirigeant palestinien Yasser Arafat.

 

Dans tous les cas, précise le  juriste allemand Christian Tomuschat, l'objectif, c'était un  travail d'ordre juridique, que ce travail ne devrait pas être considéré comme "une tache" et ne constitue pas une raison suffisante pour qu'il démissionne du suivi de la commission Goldstone.

 

Le Jerusalem Post a demandé à Tomuschat de commenter les informations qu'il a reçues ce week-end, à savoir que lui-même et quatre autres juristes internationaux avaient préparé un mémoire pour Arafat en 1996 concernant les aspects de droit international du processus de paix, ce qui suggère que si M. Arafat avait  porté son affaire devant l'Assemblée générale des Nations unies, celle-ci aurait pu alors saisir la Cour internationale de Justice.



Le fait que Tomuschat ait travaillé directement pour l'une des parties concernées aurait dû être divulgué à Israël lors de l'annonce de la constitution  d'un comité de suivi du  rapport Goldstone, mais cela n'a pas été fait, selon les informations reçues par le Jpost.



Le comité a été nommé le mois dernier par le commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, 
Navi Pillay, et est sur le point de commencer ses travaux, en vue de publier un rapport en Octobre.



La nomination de Tomuschat avait déjà attiré les critiques en raison de sa caractérisation de la politique d'assassinats ciblés par Israël comme "terrorisme d'Etat".



En outre, le Post a appris ce week-end, que Tomuschat a déjà, préalablement, faite sienne cette conviction que les Etats sont incapables de mener efficacement des enquêtes sur les dépassements commis par leurs propres forces militaires. Son parti-pris évident sur cette question est préoccupant, parce que le mandat de la commission consiste, justement, à examiner si le système judiciaire israélien est, ou non, capable d'étudier les dépassements des FDI, dont les allégations sont présentées dans le rapport Goldstone.



Tomuschat parle de cette évaluation dans une étude intitulée "Les menaces individuelles dans la lutte contre le terrorisme" Dans cette étude, publiée en 2002, il écrit: «Dans de tels cas, il ya peu d'espoir que le système judiciaire de l'Etat concerné puisse conduire des enquêtes efficaces et punissent les agents responsables. Nulle part les excès commis par les forces de sécurité n'ont été suffisamment condamnés."



Dans la même étude, il a également écrit que «Si un État frappe de manière aveugle les terroristes présumés dans leur milieu de vie, en admettant que les suspects ainsi que des civils y perdent la vie, il utilise la même tactique que les terroristes eux-mêmes. C'est dans cette perspective, que de nombreuses actions menées par l'armée israélienne dans les territoires palestiniens occupés devront également être examinées très attentivement. »



«En principe, -dit-il-, les États se voient comme les gardiens des droits de l'homme. »


Tomuschat a déclaré samedi qu'il n'avait rien fait qui doive l'obliger à démissionner de la commission. Israël est extrêmement préoccupé par la mise sur pied d'un comité de suivi du rapport Goldstone, dont le mandat consiste à examiner l'efficacité, l'indépendance et le professionnalisme du système judiciaire d'Israël et son adhésion aux normes internationalement acceptées.



Israël craint les biais de cette enquête sans précédent de  l'ONU contre lui et se méfie de manière aiguë d'un comité dont les motivations et les idées préconçues, pourrait porter atteinte à la crédibilité du système judiciaire israélien sur le plan international, rendre Israël vulnérable et le censurer dans les forums juridiques internationaux.


Les critiques du groupe et de ses membres révèlent que ce groupe est incapable d'accomplir son travail parce que trois de ses membres sont affiliés à la Commission internationale de juristes, qui "a eu une longue histoire de préjugés anti-israéliens, depuis les fausses allégations de massacre à Jénine [contre Tsahal après l'opération Bouclier défensif en 2002] ». Plus tôt ce mois-ci, Gerald Steinberg d'ONG Monitor sur la surveillance des droits de l’homme, a déclaré :  "le fait que des juristes du CJI impliquent des fonctionnaires liés à la Commission des Nations Unies est une nouvelle illustration des liens entre l'ONU [Conseil des droits humains] et les ONG idéologiques.

 


Les deux autres membres du comité sont le Malaisien Param Cumaraswamy et l’Américaine Mary Davis.

Tomuschat, dans une interview de 2007, à propos de l'assassinat par Israël du chef spirituel du Hamas, Cheikh Ahmed Yassine,  en 2004, a déclaré: "Les assassinats ciblés sont aussi impitoyables que les attaques des terroristes."

La question lui a été posée de savoir si les assassinats ciblés par Israël constituait un  "terrorisme d'Etat", Tomuschat a répondu: "ce que je dis là va dans ce sens".

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25 juillet 2010 7 25 /07 /juillet /2010 05:37

 

Etonnant !!!!

 



Le porte-parole de l’ONU, Matin Nesirky, demande à ce que « l’aide humanitaire pour la Bande de Gaza passe désormais par voie terrestre, à travers les points de passage », ce qui équivaut à exiger l’arrêt des expéditions maritimes, qu’Israël a promis de stopper « par tous les moyens », notamment celles qui se préparent depuis le Liban. Nesirky a également justifié sa demande « par le désir de ne pas enflammer la situation si sensible, au moment où se déroulent des pourparlers entre Israéliens et Palestiniens ». Le ministre de la Défense, Ehoud Barak, a rappelé qu’Israël « ne voyait aucun inconvénient à faire amarrer les bateaux dans le port d’Ashdod pour contrôle, avant de faire transférer leur contenu par voie terrestre vers la Bande de Gaza. Le Hamas, plus soucieux des opérations médiatiques que du bien-être de la population de Gaza, a condamné ces propos, accusant l’ONU « de favoritisme envers Israël ». Fawzi Barhoum, porte-parole du mouvement terroriste, a déclaré « que cette exigence de l’ONU était contraire au Droit international (sic) et qu’elle constituait un soutien de l’ONU à l’occupation, qui permettrait à l’ennemi sioniste de poursuivre son agression sans devoir rendre des comptes ».



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