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16 juillet 2010 5 16 /07 /juillet /2010 10:57

 

 

A propos par Aschkel 

 

Par Aschkel

Pour aschkel.info et lessakele

 

http://elderofziyon.blogspot.com/2010/07/unrwa-even-more-despicable-than-i.html

 

 

Voici Un document  montrant l'augmentation des «réfugiés palestiniens» depuis 1950. 


 




unrwa.jpg


 

Deux choses sont frappantes lorsque l'on regarde ce document

Tout d'abord, il y a une colonne manquante dans le tableau. 

 Il ya un autre pays qui avait des personnes définies comme des réfugiés palestiniens en 1950 qui ne figurent pas ici - et ce pays est Israël.

Selon 
l'UNRWA, Israël avait 48.000 réfugiés palestiniens : 31.000 Arabes et 17.000 Juifs. Israël a réussi à intégrer les réfugiés, les Arabes et les Juifs, au sein de sa société qui ont  ainsi  disparu des listes de réfugiés en 20 ans

Si les pays arabes avaient songé à traiter les "Palestiniens", comme l'a fait Israël (réduction de la population de 25.000 réfugiés par an), ils auraient éliminé le problème des réfugiés dans les 20 ans plutôt que de les laisser dans ces conditions plus de 60 ans.
Non seulement cela, le pourcentage de réfugiés par rapport à la population totale était d'environ 8% au Liban, en Syrie 2% et 4% en Israël. Il n'y a donc aucune excuse que les autres pays soient submergés et n'ai  pas pu intégrer les réfugiés comme il se devait- Israël a non seulement absorbé ces réfugiés, mais a intégré en plus des centaines de milliers de réfugiés juifs supplémentaires en provenance des pays arabes au même moment - tout cela sans aucune aide de quelque agence de l'ONU. (En Jordanie, le pourcentage de réfugiés était d'environ 40% de la population, mais gardez à l'esprit que la Jordanie a également gagné beaucoup de terrain dans la guerre de 1948 et que beaucoup de réfugiés y vivaient déjà.)

N'est-il pas intéressant, cependant de constater, que l'UNRWA ne reconnaît pas les réfugiés d' Israël dans leurs statistiques? Il est vrai que c'est gênant pour cette agence de constater le modèle unique d'intégration qu'est Israël.

Un autre fait important  à tirer de ces statistiques: Presque tous les «réfugiés» qui vivent en Jordanie sont des citoyens jordaniens! Non seulement la définition de l'UNRWA d'un réfugié est "biaisée" en incluant les descendants des réfugiés, mais ils comprennent également un grand pourcentage  de population qui n'est pas apatride!

 L'UNRWA reconnaît effectivement cela, avec une logique tendancieuse.  Février dernier, Michael Kingsley-Nyinah, Directeur du Bureau exécutif de l'UNRWA, 
a prononcé un discours à Malte sur la façon dont l'Office se penche sur les Jordaniens d'origine "palestinienne", et ses paroles sont étonnantes:

Les réfugiés résidant en Jordanie et en Syrie profitent d'un large éventail de droits et libertés qui ont contribué à atténuer les difficultés de leur déplacement. Beaucoup se voient accorder des droits économiques et l'accès au marché du travail, et la stabilité de ces pays signifie qu'ils sont épargnés par les traumatismes des conflits armés. Parmi les moins défavorisés se trouvent les réfugiés de Jordanie qui jouissent des privilèges de certaines catégories de la population jordanienne.


Les avantages de ceux qui résident en Jordanie et en Syrie sont bénéfiques pour eux. Pourtant, ils ne masquent pas la vulnérabilité inhérente à l' étiquette de réfugiés.  Les réfugiés et les communautés hôtes partagent une compréhension implicite que le séjour des réfugiés de "Palestine" est temporaire - et que ce régime transitoire est inchangé du fait de la  longue durée de leur exil. En corollaire, la «conscience de réfugié" est forte parmi les Palestiniens, y compris chez la jeune génération. Les années passées ont laissé intact le sentiment d'injustice, une demande de reconnaissance

Pour tout autre groupe de réfugiés, l'ONU (HCR) se plie en quatre pour supprimer le "label de réfugiés, mais l'UNRWA elle l'applique même dans les situations où il ne devrait pas exister. Les nations arabes ont refusé de traiter les réfugiés comme des êtres humains dés le  début, et finalement l'UNRWA suit non seulement ce plan diabolique, mais l'a institutionnalisé.

Une personne qui est née et a grandi en tant que citoyen d'un autre pays ne peut pas être appelé un «réfugié». Pourtant, l'UNRWA fait exactement cela. 

 d' un trait de plume, elle aurait pu réduire le nombre de «réfugiés» de 40% -
Il en résulte que
 même les Jordaniens sont discriminatoires à l'égard des Jordaniens d'origine palestinienne, soixante ans après que leurs ancêtres soient devenus des citoyens. L'UNRWA les maintenu dans ce statut et l'a justifié en qualifaint leur statut de temporaire. En définissant les Jordaniens d'origine palestinienne, comme des Jordaniens "temporaires",l'UNRWA  est complice de la discrimination à leur égard.

Il ya une autre conséquence de l'utilisation du mot «temporaire» pour définir le séjour des réfugiés dans les pays arabes . Si leur statut n'est que temporaire, il est certain état que l'Etat d'Israël est temporaire aussi, le but étant leur «retour».

l'UNRWA a fait tout ce qu'elle a pu et peut perpétuer et d'étendre le nombre

présumé de "réfugiés". Elle l'a fait pendant des  décennies et de ce fait a

empêché leur intégration. 

Year Jordan Lebanon Syria West Ban Gaza Total
1950 506,200 127,600 82,194 - 198,227 914,221
1955 502,135 100,820 88,330 - 214,701 905,986
1960 613,743 136,561 115,043 - 255,542 1,120,889
1965 688,089 159,810 135,971 - 296,953 1,280,823
1970 506,038 175,958 158,717 272,692 311,814 1,425,219
1975 625,857 196,855 184,042 292,922 333,031 1,632,707
1980 716,372 226,554 209,362 324,035 367,995 1,844,318
1985 799,724 263,599 244,626 357,704 427,892 2,093,545
1990 929,097 302,049 280,731 414,298 496,339 2,422,514
1995 1,288,197 346,164 337,308 517,412 683,560 3,172,641
2000 1,570,192 376,472 383,199 583,009 824,622 3,737,494
2005 1,795,326 401,071 426,919 690,988 969,588 4,283,892
2008 1,930,703 416,608 456,983 754,263 1,059,584

4,618,141

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16 juillet 2010 5 16 /07 /juillet /2010 07:20

 

Le Mouvement BDS promeut la dé-légitimation de l'Etat d'Israël

 

 

logo-REUT.gif


Traduction de

Dominique KAHTAN

Pour aschkel.info et lessakele

 

 

 

 

bdsimage3

Photo de Yonathan

 

 

Ce document exceptionnel traduit par Dominique pour l'Institut Reut  nous permet de comprendre les principaux objectifs, mais aussi l'absence de résultats patents du Mouvement BDS, au-delà de la seule agitation idéologique qui consiste à désigner à la vindicte Israël comme l'Etat paria par excellence, celui, le seul, qu'il faille abhorrer.
 
Ce mouvement unilatéral et donc profondément anti-humaniste, sous son vernis, incite à la haine, à la ségrégation morale, économique et politique et est, in fine, opposé à une solution négociée, à torts partagés, depuis les prémisses du conflit, au Proche-Orient.
 
Il est l'enfant illégitime (parce qu'agissant en dehors de toute légalité) de la conférence de Durban 2001 et assume sans complexe le caractère "raciste" de cette entreprise qu'avait su déceler le Commissaire aux Droits de l'homme de l'ONU, à l'époque, Mary Robinson, qui avait dû refuser les conclusions de la conférence des "ONG".

M.Brzustowski.

Cliquez
non au boycott 
Non au mythe de l'apartheid


 

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14 juillet 2010 3 14 /07 /juillet /2010 04:06

 

 

 

 

 

Amnesty international a dénoncé ce soir l’adoption, à une écrasante majorité des députés français, d’un projet de loi visant à interdire le port du voile intégral dans l’espace public, estimant qu’il “violait la liberté d’expression et de religion” des femmes concernées…

news-fr.karameloo

 

 

 

 

 

Les masques continuent de tomber : Amnesty International se déshonore à nouveau !

lundi 3 mai 2010, par Alain Dubos


Les masques continuent de tomber. La vitesse à laquelle Amnesty International a réagi au vote belge sur le voile intégral est proprement sidérante. Face à une décision prise à l’unanimité (moins deux abstentions) par un Parlement élu, on se serait attendu à un minimum de recul, à une critique pondérée, à une mise en perspective de la Loi, de ses risques comme de ses éclairages. Au lieu de quoi la diatribe a fusé : les Belges sont d’horribles castrateurs, condamnant des malheureuses (déjà retranchées du monde par leur accoutrement, ndlr) à la réclusion à perpétuité au fond de geôles familiales subventionnées par le contribuable. Foutus belges, vraiment, qui supportent mal l’irruption du Moyen-Âge musulman dans leur société déjà ébranlée par la querelle linguistique. Pour Amnesty, leur réaction est celle de pseudo-démocrates tourmentés par des désirs fascisants.

Petit rappel historique : Amnesty fut longtemps la courroie de transmission de l’Est, à l’époque de la guerre froide. Une sorte de faux-nez prêchant l’amitié, le désarmement, la confiance dans le bloc communiste, etc. Ces dangereuses fariboles ont été balayées par l’Histoire. Je me porte témoin du silence d’Amnesty, de son incrédulité vaguement narquoise lorsque les premiers échos de la tragédie cambodgienne (par le Père François Ponchaud, puis par MSF et par bien d’autres ensuite) alertèrent des opinions assoupies au sortir de trente années de guerre. Long silence, loin des hurlements (légitimes, absolument, nul ne conteste) de l’association face aux tueries argentines ou chiliennes. Amnesty avait alors clairement fait le choix d’ignorer les souffrances khmères, et elle a aujourd’hui bonne mine lorsqu’elle se plaint de la lenteur des procès de Phnom Penh !

Il en fut de même face aux agissements de Mengistu en Ethiopie, en 1985, alors que la preuve formelle du détournement intégral de l’immense aide internationale (Band Aid, Geldof, etc) à des fins de déportation et d’extermination de provinces entières, était apportée par MSF. Ces silences ont couvert des fosses communes dont le seul défaut furent de ne pas être à l’"Ouest". Damnés Khmers, maudits Tigréens, crevez seuls ! Vous l’avez bien mérité, nous on est suffisamment occupés avec Pinochet, Videla et leurs petits camarades.

Pour Amnesty comme pour Staline, la mort d’un homme est un drame, celle d’un million d’hommes, de la simple statistique. Accablant dossier ! À l’évidence, les grandes âmes de ce tribunal à sens unique n’ont pas retenu la leçon, si tant est qu’ils l’aient écoutée. Comme pas mal d’esprits mouillés jusqu’à la garde dans quelques signalés massacres de cette époque, Amnesty ouvre encore sa gueule pour tomber cette fois sur les défenseurs de la laïcité, de la démocratie et de quelques autres acquis essentiels de l’humanité. Amnesty rechute et, se saisissant en urgence de la question religieuse, elle nous propose aujourd’hui le même avenir que les prêcheurs de la subversion islamiste. Etrange égarement, de la part de ceux-là mêmes qui exècrent sa philosophie originelle et qui s’empresseront de l’abattre dès lors qu’elle ne les servira plus.

Décidément, on ne se refait pas. Les masos seront toujours les masos, à moins qu’il ne s’agisse des angéliques perchés sur le beau nuage blanc de la justice universelle. En vérité, ces gens ne sont ni masos ni angéliques. Manipulés-manipulateurs. Pour quel projet ? Allez savoir. L’essentiel est, pour nous, quoi qu’il en soit, de ne pas être les dindons de ces farces trop démonstratives pour être honnêtes.

Amnesty milite pour le respect absolu de la démocratie, pour sa restauration là où elle n’est plus et pour la fin des dictatures. Noble projet, auquel il serait de fort mauvais goût de ne pas souscrire. Dans le même temps, l’association condamne les décisions prises par des Etats, des Parlements, des opinions publiques même, pratiquant à la lettre ladite démocratie. Cherchez l’erreur.

Et bas les masques !

Alain Dubos

PS : autre rappel, cet adage de type stalinien, éminemment adaptable : "Tout ce qui est à moi est à moi, tout ce qui est à vous est négociable".

 

 

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13 juillet 2010 2 13 /07 /juillet /2010 05:30

 

 

 

La FINUL ne réussit pas à faire respecter le mandat pour stopper le Hezbollah, soutenu par l'Iran   1/2

 

 

La force intérimaire de l'ONU au Liban (FINUL) avait été à l'origine créée en 1978 par les Résolutions 425 et 426 du Conseil de Sécurité de l'ONU à la suite du conflit au Sud Liban. Sa mission d'origine incluait un mandat visant à rétablir la paix internationale, confirmer le retrait d'Israël du Liban et assurer l'autorité du gouvernement libanais

À la suite de la guerre défensive d'Israël contre le Hezbollah en 2006 qui a duré un mois, le Conseil de Sécurité de l'ONU a approuvé la Résolution 1701 pour mettre fin au conflit entre Israël et le Hezbollah. La résolution a augmenté de 15 000 le nombre des forces sur la frontière israélo-libanaise.[1]  

La Résolution 1701 a également renforcé le précédent mandat de la FINUL. Les forces de la conciliation ont maintenant plus de responsabilités et l'autorité de : 

  • Aider le gouvernement libanais à protéger ses frontières et à empêcher l'entrée d'armes illégales et autres matériels ; 
  • Soutenir les forces armées libanaises dans leur déploiement à travers le Sud et le long de la Ligne Bleue (la frontière israélo-libanaise); 
  • Établir la coordination des activités avec les gouvernements libanais et israélien ; 
  • S'assurer que l'aide humanitaire parvienne aux populations civiles et ramener en toute sécurité les personnes qui ont été déplacées; 
  • Établir avec les forces armées libanaises, une zone entre la Rivière Litani et la Ligne Bleue, sans personnel armé ou armes autres que celles destinées au gouvernement libanais ou aux troupes de la FINUL déployées dans la région.[2] 

Le réarmement du Hezbollah et les violations de la Résolution 1701

Le Hezbollah a augmenté son stock de missiles et de roquettes au nombre de 40 000 roquettes.[3] Cet arsenal inclut le Zelzal avec une portée à hauteur de 300km, le M-600 syrien avec une portée de 250km et le Fateh iranien 110 d'une portée de 170km. Ces armes pourraient aisément frapper des zones peuplées israéliennes à Tel-Aviv et dans la région côtière israélienne.[4]

Des rapports ont également indiqué que la Syrie avait livré au Hezbollah des missiles Scud balistiques à portée moyenne, une allégation confirmée par le chef de la Division de Recherche du Renseignement Militaire de l'armée israélienne.[5]

Les violations de la Résolution 1701 du CSNU par le Hezbollah

2010 

  • 29 mai : Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu confirme que la Syrie a fournit au Hezbollah des missiles Scud balistiques à portée moyenne, que le Hezbollah garde dans une base en Syrie.[6] 

  • 4 mai : Le chef de la Division de Recherche du Renseignement Militaire de l'armée israélienne, le brigadier général Yossi Baidatz, déclare que l'Iran et la Syrie procèdent à des transferts d'armes au Hezbollah qui ne peuvent plus être uniquement classifiés de contrebande d'armes. Des roquettes telles que le Zelzal, le Fateh 110 et le M-600, pouvant toutes atteindre la région côtière fortement peuplée d'Israël, sont transférées par l'Iran et la Syrie au Hezbollah.[7]

2009

  • 26 décembre : Les forces de la FINUL découvrent un certain nombre de cachettes d'armes juste à l'extérieur d'un village au Sud Liban. Les cachettes contenaient des douzaines d'appareils explosifs improvisés, très probablement fabriqués en Iran et en Syrie.[8]
  • 5 novembre : La marine israélienne interdit le Francop, un navire qui transportait 500 tonnes d'armes destinées au Hezbollah par le port syrien de Latakia.[9] 
  • 12 octobre : Un entrepôt d'armes du Hezbollah situé dans la maison d'un agent du Hezbollah dans le village de Tair Filsay au Sud Liban explose, blessant plusieurs personnes. Les agents du Hezbollah sont arrivés pour isoler la scène de la FINUL et de l'armée libanaise et déplacer les armes restantes et les preuves de l'explosion. Une vidéo aérienne prise par les FDI montre les roquettes et les lanceurs de roquettes déplacés de la maison. [10]
  • 14 juillet : Un entrepôt d'armes du Hezbollah dans le village de Khirbet Silim au Sud Liban explose. Il s'avère que la cachette d'armes contenait des roquettes, des munitions d'armes à feu, des obus de mortiers et des obus d'artillerie. À la suite de l'explosion, les forces du Hezbollah sont arrivées sur les lieux, empêchant la FINUL d'inspecter le site et ont effacé toute trace de l'entrepôt d'armes. L'existence de la cachette d'armes au Sud Liban viole les conditions de la Résolution 1701 du CSNU qui stipulent qu'il ne devrait pas y avoir de présence armée au Sud Liban autre que la FINUL et l'armée libanaise. [11]
  • 13 avril : Des suspects associés à une cellule du Hezbollah en Égypte admettent comploter des attaques sur le sol égyptien et de faire de la contrebande d'armes par la frontière entre Gaza et l'Égypte à destination du Hamas. Plusieurs des suspects ont passé des armes en contrebande par des intermédiaires libanais dans la Bande de Gaza.[12]
  • 21 février : Une roquette Katyusha est tirée du Liban et atterrit dans une maison au nord d'Israël, blessant trois civils. [13]
  • 14 janvier : Des groupes militants palestiniens lancent deux roquettes Katyusha du Sud Liban en direction du nord d'Israël, dont une frappe une vieille maison à Nahariya. [14] 

2008

  • 21 novembre : Le Hezbollah organise des exercices militaires au sud de la Rivière Litani, en violation de la Résolution 1701 du CSNU, qui interdit toute activité du Hezbollah au Sud du Litani.[15]   
  • 27 mai : La chaîne de télévision Al-Manar, appartenant au Hezbollah, rapporte que le Hezbollah fait un exercice militaire dans un emplacement inconnu, dans lequel les terroristes ont pris d'assaut une colline représentant un poste des FDI. Les membres du Hezbollah sont filmés en train de tirer plusieurs armes. La possession d'armes, quelles qu'elles soient, par le Hezbollah est explicitement interdite par la Résolution 1701 de l'ONU.[16]
  • 8 janvier : Une bombe explose sur le bas côté d'une route alors qu'un véhicule de la FINUL traverse l'autoroute côtière près de Sidon, ville au Sud Liban. Deux soldats de la FINUL sont blessés dans l'attaque. Le Conseil de Sécurité de l'ONU condamne l'attaque.[17] 
  • 8 janvier : Deux roquettes Katyusha sont tirées en direction du nord d'Israël, sur la ville de Shlomi. Il est probable que le Fatah al-Islam ou des groupes associés furent responsables de l'attaque. Le Conseil de Sécurité de l'ONU a publié un communiqué de presse condamnant sévèrement l'attaque de roquettes.[18]

L'alliance entre l'Iran et la Syrie de plus en plus importante

L'alliance entre l'Iran et la Syrie s'est renforcée en 2010, les deux pays promettant, au cours d'une réunion à Damas, d'établir un Proche-Orient "sans sionistes." [19] 

Dans le cadre de sa visite, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a dit dans une conférence de presse avec le président syrien Bashar al Assad : " 
Les Américains veulent dominer la région mais ils sentent que l'Iran et la Syrie les en empêchent. Nous leur disons qu'au lieu de s'ingérer dans les affaires de la région, ils feraient mieux de prendre leurs affaires et de partir. Si l'entité sioniste veut répéter ses erreurs passées, sa mort est inévitable. "[ 
20]

Pendant ce temps, les États-Unis cherchent à restaurer ses relations avec Damas en y réintégrant son ambassadeur après une absence de cinq ans dans un effort d'encourager la Syrie " à commencer à s'éloigner de sa relation avec l'Iran, qui préoccupe si profondément la région ainsi que les États-Unis. " a dit Bill Clinton.[21]

En juin 2010, le vice président syrien, Farouq ash-Shara, a rencontré Mahmoud Ahmadinejad à Téhéran, au cours de cette rencontre le président iranien a dit : " L'Iran et la Syrie deviennent plus fortes jour après jour, alors que nos ennemis communs sont dans une position de faiblesse. C'est grâce à la fraternité qui existe entre nos nations. " [22] 


 Références http://www.theisraelproject.org/site/apps/nlnet/content2.aspx?c=hsJPK0PIJpH&b=3757541&ct=8518945

 


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8 juillet 2010 4 08 /07 /juillet /2010 08:38

 

 

ONU : Echec des manigances de certains pays arabo-musulmans concernant la flottille.

 

Des réserves émises par les Etats-Unis et un certain nombre de pays européens ont contribué a l'échec de cette réunion d'urgence. Une fois de plus, ces derniers se sont rendu compte, tardivement certes, que les faits étaient loin d’être ceux décrits par la propagande turque et arabe dès l’arraisonnement du bateau « Marmara »

 

La réunion d’urgence du Conseil de Sécurité à propos de l’affaire de l’expédition turque vers Gaza, n’aura finalement pas lieu. Le Président de l’Assemblée, Ali Abed Al-Salam Tarki a envoyé une lettre officielle en ce sens aux membres du Conseil de Sécurité. Cette demande avait été faite il y a un mois par trois pays musulmans, champions des Droits de l’Homme, la Malaisie, la Syrie et l’Iran, à la suite de la première réunion du Conseil, qui s’était achevée sur une simple déclaration de son Président.

Cette annulation survient du fait que de nombreuses divergences sont apparues au sein des pays arabes quant à l’efficacité d’une telle réunion, mais aussi du fait des réserves émises par les Etats-Unis et un certain nombre de pays européens. Une fois de plus, ces derniers se sont rendu compte, tardivement certes, que les faits étaient loin d’être ceux décrits par la propagande turque et arabe dès l’arraisonnement du bateau « Marmara » par l’unité « Shayetet 13 » de Tsahal.

Mais le Président de l’Assemblée, libyen d’origine, (on croît rêver…) ne désespère pas pour autant : « L’opération israélienne dans les eaux internationales contre une expédition humanitaire ( !) a entraîné un regain d’intérêt international à propos de la situation difficile de la population civile de Gaza. Elle a aussi provoqué une demande pour une enquête internationale, et malgré l’annulation de cette réunion, je continuerai à m’entretenir avec les autres membres du Conseil pour de futurs développements »

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7 juillet 2010 3 07 /07 /juillet /2010 05:23
La Croix-Rouge est l'hôte et sert des boissons aux terroristes du  Hamas 

Par David Frankfurter

 

Adapté par Aschkel

pour aschkel.info  et  lessakele

 

La Croix-Rouge a toujours été réticente dans son attitude à l'égard d'Israël. 
Pendant toutes ces années, elle a été réticente à accepter Israël Magen David Adom en son sein jusqu'à ce que la Croix-Rouge des États-Unis lui retire le financement ceci est un excellent exemple. Pendant de nombreuses années, la Croix-Rouge a prétendu qu'être lié à l'étoile de David rouge comme emblême , n'était pas conforme à ses normes (alors que le Croissant-Rouge "palestinien" l'est).

Aujourd'hui, la Croix-Rouge affirme qu'elle fait pression sur le Hamas afin de permettre l'accès au soldat Gilad Shalit. D'une certaine manière, d'une manière perverse, la Croix-Rouge fait  de 
ses activités dans la région une sorte de victoire.

«Une de nos principales réalisations, c'est que nous avons pu visiter presque tout ceux  détenus dans le cadre de ce conflit, à l'exception de Gilad Shalit", Pierre Dorbes, chef adjoint du Comité international de la Croix-Rouge en Israël et dans les territoires occupés , a déclaré Haaretz ce mardi.

Dorbes oublie commodément Ron Arad, ou en fait n'importe quel Israélien qui a été capturé dans le passé par les armées arabes ou des milices. 
Bien sûr, la Croix-Rouge a eu accès à tous les prisonniers détenus par Israël. Israël agit dans les normes du droit international et de la morale même à l'égard des terroristes. Ce que la Croix-Rouge réclame.

... La Croix-Rouge est impuissante contre les "États" voyous, comme le Hamas - n'est-ce pas? 
L'universitaire anti-israélien Noam Chomsky nous le dit dans "Turning the Tide: l'intervention américaine en Amérique centrale et la lutte pour la paix" que la Croix-Rouge : «Jen Juillet 1982 ... a menacé de quitter le Salvador en raison de violations des droits de l'homme par les forces armées ...". 

Ainsi, dans la bande de Gaza,  la Croix-Rouge ,'a jamais pris une telle position forte - Pour Gilad Shalit , ainsi que  pour les citoyens du sud d'Israël qui ont été soumis à huit longues années sous les roquettes et les missiles, ou pour les violations quotidiennes des droits de l'homme à Gaza que commet le Hamas qui  s'attaque à ses propres citoyens, vole leur aide, les utilise comme boucliers humains, met en œuvre la peine de mort sans tribunal , et bien plus encore?

Comment le Hamas fait-il pression sur la Croix-rouge ?

À Jérusalem-Est, la réponse est claire - même si les seuls médias a ce jour à avoir communiqué sur ce fait  sont 
Yediot Aharonot par sa  version imprimée de langue hébraïque en Israël  et le site des Frères musulmans.(Je vous laisse poser à vos médias - pourquoi cette histoire est sans intérêt général.)

Pour citer Yediot Aharonot "Le Hamas ne permet pas a des représentants de la Croix-Rouge de visiter  Gilad Shalit, mais il exige de l'organisation internationale d'accorder l'asile dans ses bureaux de Jérusalem-Est pour les dirigeants du Hamas."Israël a émis des ordres d'expulsion pour activités subversives contre quatre des dirigeants du Hamas. Ils sont actuellement détenus dans une prison israélienne, en attendant le résultat d'un recours devant les tribunaux. 
Les autres sont photographiés attablés devant des rafraichissements et autres gourmandises,  avec  boissons servies par un employé de la Croix-Rouge   dans les locaux de l'organisation à Jérusalem-est , qui a leur a accordé l'asile et a informé les autorités israéliennes qu'elles sont sous la protection de celle-ci.

Israël a averti qu'ils ne sont pas protégés car ce sont des terroristes et qu'ils seront arrêtés, je peux imaginer l'intérêt soudain des médias et les protestations.
Par David Frankfurter
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3 juillet 2010 6 03 /07 /juillet /2010 22:06

 

 

La Professeur Ruth Halperin-Kadari, Directrice du Centre « Emmanuel Rackman » pour la Promotion de la Femme, dépendant de l’Université « Bar-Ilan », a été élue membre de la Commission de l’ONU chargée de superviser l’application de la Convention Internationale contre la Discrimination des Femmes. L’élection a eu lieu cette semaine à New-York, et Halperin-Kadari a obtenu les voix de 103 pays sur les 182 participants au vote. Il s’agit d’un réel succès pour Israël au vu de l’hostilité et l’ostracisme dont souffre généralement Israël dans les institutions internationales depuis des années, mais aussi par le fait qu’il s’agit de l’une des commissions les plus prestigieuses de l’ONU dans le domaine des Droits de l’Homme.

L’élection de cette femme a été obtenue après une campagne intensive de la part du ministère israélien des Affaires étrangères, et prouve que parfois, les motivations professionnelles et les compétences peuvent prendre le dessus sur la politisation qui gangrène les institutions internationales notamment à cause du lobby des pays arabes. Il s’agira de la troisième juriste israélienne élue à cette commission (CEDAW) composée de 23 membres.

L’ambassadrice d’Israël à l’ONU, Gabriela Shalev, a vivement félicité le Prof. Halperin-Kadari. Cette dernière est Maître de Conférences à la Faculté de Droit de l’Université « Bar-Ilan », elle est spécialisée dans le Droit de la Famille et de la Bio-Ethique, et par le passé, elle a déjà dirigé durant cinq ans la Commission de la Promotion de la Femme, attachée au Bureau du Premier ministre. Elle est considérée comme l’une des plus grandes spécialistes juridiques de la condition féminine en Israël.


par Shraga Blum

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29 juin 2010 2 29 /06 /juin /2010 06:04

 

 

L'hypocrisie d'Amnesty International (2/2)
Traduction par Dominique Kahtan
pour aschkel.info et lessakele
Première partie : 
 
Amnesty a crée sa propre définition déformée du terme "occupation" et qu'elle réserve à Israël seul.
Dès qu'il s'agit d'Israël, Amnesty abandonne la définition de l"occupation" établie par le Droit International et valable pour tout autre pays et conflit, et la remplace par sa propre définition "tordue".
 
Amnesty n'applique cette définition "tordue" à aucun autre pays ni à aucun autre conflit de par le monde. Ainsi, Amnesty n'applique pas la même définition à l'Azerbaïdjan bien que celui-ci encercle totalement l'enclave du Nagorny-Karabakh. Amnesty ne déclare nullement que l'Azerbaïdjan occupe Le Nagorny-Karabakh. Amnesty ni n'applique ni n'a appliqué la définition aux Balkans, au Yémen (où les Saoudiens opèrent un blocus sur une partie du pays en fermant aussi les frontières terrestres) ou en Irak.
 
.Plus important encore le fait qu'Amnesty n'ait jamais appliqué cette définition aux voisins arabes d'Israël. En 1967, les puissances arabes (l'Egypte, la Jordanie, la Syrie et le Liban) ont coupé l'accés d'Israël à la Mer Rouge, une tentative délibérée pour étouffer Israël. A cette époque, les  frontières d'Israël étaient contrôlées dans leur presque totalité et toutes fermées par les armées arabes. Personne ne s'est alors montré assez fou pour clamer bien haut qu'Israël était "occupé" par les Arabes.
 
Ajoutons que cette définition manque bizarrement de logique. Tant qu'un pouvoir ne ferme pas toutes les frontières d'une région, il n'a aucun contrôle sur les entrées ou sorties. Autant n'avoir aucun contrôle sur les frontières.
 
Israël ne peut nullement contrôler la frontière de Gaza avec l'Egypte ainsi que le démontre clairement la multitude de tunnels assurant la contrebande d'armes vers Gaza et la destruction sporadique de la clôture le long de cette frontière. En d'autres termes, la fermeture de la Bande de Gaza dépend, à parts égales, des opérations d'Israël et de l'Egypte. La définition d'Amnesty doit donc être appliquée et à Israël et à l'Egypte puisqu'il ne peut y avoir de fermeture d'un territoire sans un encerclement complet. Amnesty se doit donc de déposer  la responsabilité pour Gaza aux pieds d'une coalition anti-Hamas composée des deux partenaires égaux. Sinon la définition bizarre d'Amnesty de la notion  d'"occupation" est un exemple de plus de l'arrogance et l'hypocrisie de cette organisation.
 
O notre Sage, vous avez entièrement raison. Israël ne peut assumer les responsabilités d'une force d"occupation puisqu'il ne peut contrôler les évènements à Gaza. La Bande de Gaza est contrôlée dans sa totalité et exclusivement par le régime du Hamas, un régime jihadiste assoiffé de sang, en guerre avec Israël, un régime qui ne recherche pas la liberté mais bien l'extermination systématique, le  génocide du peuple juif. Ce régime a la main mise sur tout ce qui se passe à Gaza.
Il est catégoriquement impossible à Israël" d'assurer le bien-être des habitants de Gaza",  sous la botte du Hamas, tenus en otage  dans une  guerre contre  Israël, sans que ce dernier envoie une armée pour occuper Gaza et écraser le Hamas. Ce n'est qu'en occupant Gaza qu' Israël pourra remplir les exigences d'Amnesty. Amnesty et tous les autres détracteurs d'Israël perdraient alors toute contenance!
 
Quoiqu' Israël fasse ou dise, Amnesty le mettra toujours au rang des accusés, sauf, peut-être, en cas de non-assistance à ses propres citoyens sous une éventuelle attaque de bombes et de mortier. Pour ce faire, Amnesty a crée une nouvelle définition  pour un terme qui en a déjà une tout-à-fait différente et légale. Amnesty adopte  sa propre  définition dans le contexte du Droit International là où seule la vraie définition devrait être appliquée. Il me semble que, ce faisant,  Amnesty se rend coupable  non seulement d'hypocrisie, de méchanceté, de malveillance, de bêtise mais aussi de fraude. Si les avocats d'Amnesty ont eux aussi  accepté cette "fabrication",  ils mériteraient bien, peut-être, d'être radiés du barreau.
 
Amnesty n'est pas seule dans sa campagne; l'ONU a aussi qualifé Gaza d'"occupée" en s'appuyant sur une note obscure et nébuleuse, en bas de page, qui, après examen plus minutieux, prouve exactement le contraire! La commission pensait sans doute que personne n'irait vérifier.
 
Puisqu'ils "savent" Gaza occupée, que leur décision est prise, ils n'hésiteront pas à l'entériner en trouvant les raisons necéssaires et suffisantes, quitte à les inventer.
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29 juin 2010 2 29 /06 /juin /2010 05:59

 

 

 

 
 
 
Amnesty International contredit sa propre définition
du terme "occupation"! (1/2)

Traduction par Dominique Kahtan
pour aschkel.info et lessakele
Source :  
 
Amnesty International persiste à qualifier la Bande de Gaza d' "occupée" et Israel de " force occupante", affirmant  dans un récent communiqué de presse, qu 'après la prise du pouvoir à Gaza par le Hamas,  Israel avait  renforçé sa politique de bouclage, déjà en place, par un blocus rationnant produits alimentaires, carburant et autres produits de base.

Israel, en tant que force d'occupation, aurait, comme responsabilité première, d'assurer le bien-être des habitants de Gaza.

Ainsi donc dans le cas d' Israel, Amnesty et bien d'autres, telle la Cour Internationale de Justice, assimilent  la fermeture plus ou moins totale des frontières d'un territoire à  une "occupation".

Et pourtant, après l'invasion de l'Irak par les USA et la GB, Amnesty a publié en 2003 un guide pour définir et établir la légalité d'une occupation en temps de guerre. Voyons comment cette définition, selon  les conventions de La Haye, s'applique à la situation à Gaza.

L'article 42 des Règles de la Haye donne la définition suivante  de l' " occupation en temps de guerre" .
 
Aux termes de l'article 42 des Règles de La Haye, "un territoire est considéré comme occupé lorsqu'il se trouve placé sous l'autorité de l'armée ennemie. L'occupation ne s'applique qu'aux territoires où cette autorité est établie et en position de s'affirmer."
Le seul critère  pour décider de l'application d'une loi en temps d'occupation en temps de guerre, s'appuie sur les faits suivants:
1- le contrôle de facto et effectif d'un territoire par des forces armées étrangères qui ont le pouvoir d'appliquer leurs décisions. 
2- l'absence de facto d'une autorité gouvernementale nationale pouvant exercer un contrôle effectif. 
De telles conditions réunies sur quelque territoire exigent l'application de la règle concernant l'occupation en temps de guerre. Même si l'objectif de la campagne militaire n'est  pas de contrôler le territoire, la seule présence de forces étrangères exerçant un contrôle effectif, demande la mise en vigueur de la règle protègeant les habitants. La puissance occupante ne peut se soustraire à ses responsabilités en l'absence d'un gouvernement national  assumant des fonctions normales.
 
Le régime juridique international relatif à l'occupation en temps de guerre prend effet dès que les forces armées d'un pouvoir étranger ont pris le contrôle effectif d'un territoire qui n'est pas le leur. Ce régime devient caduc aussitôt que les forces d'occupation ont renoncé à contrôler le territoire en question.
 
La question est de savoir si la loi sur l'occupation est encore applicable après la mise en place, et ce par les forces d'occupation, d'une autorité civile choisie parmi les ressortissants des territoires occupés pour gérer le quotidien. La réponse reste affirmative aussi longtemps que les forces d'occupation resteront sur place et exerceront un droit de contrôle sur les actions des autorités locales.
 
Dans sa première déclaration, plus haut dans le texte, Amnesty reconnait la main mise du Hamas sur Gaza. D'après ses propres définitions, très claires quant à la situation en Irak, une occupation devient un état de fait dès qu'une armée venant de l'extérieur prend contrôle d'un territoire en s'y installant et passe outre aux décisions prises par les autorités locales. 
 
On ne peut ignorer le fait que Gaza n'est nullement sous l'autorité des FDI (Forces de Défense d'Israël). L'exercice d'une telle autorité ne pourrait se faire qu' avec un retour des forces israéliennes sur le terrain. Si Gaza peut être considèrée comme occupée du fait qu' Israël a la possibilité de contrôler ses propres frontières avec un territoire hostile, on peut considèrer aussi qu'avant 1977, Israël était, lui,  aussi occupé  par ses "voisins" qui contrôlaient alors leurs propres frontières en empêchant tout échange commercial. Une idée absurde et sans aucun fondement en droit international.
 
De fait, dans son guide datant de 2003, Amnesty demande aux USA et La GB d'assumer des responsabilités en Irak qu'elle se retiendrait bien d'imposer à Israël! En effet, faire régner ordre et loi, protéger une  population civile de la torture et de la contrainte avec application de mesures supplémentaires,  nécessiteraient une présence physique sur le terrain. (les arguments juridiques de Goldstone se révèlent encore plus étranges !)
 
La définition de l"occupation" avancée par Amnesty en 2003 est tout-à-fait exacte et en accord complet avec les définitions adoptées par La Haye. Changer cette définition quand il s'agit d'Israël et Gaza relève de la plus haute et flagrante hypocrisie!
 
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23 juin 2010 3 23 /06 /juin /2010 17:33
L'ONU accepte de retirer progressivement les noms des talibans de sa liste noire
Publié le 2010-06-23 08:33:58 |  http://french.news.cn/monde/2010-06/23/c_13363912.htm
 
 

 

 

Sympa l'ONU !!!

 

KABOUL, 22 juin (Xinhua) -- Le Conseil de sécurité de l'ONU a accepté de retirer progressivement les noms des dirigeants talibans de sa liste noire, a-t-on pu lire mardi dans un communiqué publié par le palais présidentiel afghan.

L'accord a été atteint au cours de la réunion des quinze membres de la délégation du Conseil de sécurité de l'ONU avec le président afghan, Hamid Karzaï, mardi dans le palais présidentiel, a indiqué le communiqué.

"Les noms des éléments talibans n'ayant aucun lien avec Al- Qaïda et les autres groupes terroristes seront progressivement retirés de la liste noire", a indiqué le communiqué.

Lors de la rencontre, en plus d'informer la délégation sur le programme de réconciliation nationale et la Jirga consultative nationale qui s'est achevée récemment, M. Karzaï a également appelé le Conseil de sécurité de l'ONU à retirer les noms des talibans n'ayant aucun lien avec le réseau Al-Qaïda, d'après le communiqué.

La décision a été prise après la Jirga (ou assemblée) organisée plus tôt à Kaboul.

Les noms de plusieurs leaders et membres talibans, notamment de leur commandant suprême, le mollah Mohammad Omar, sont inscrits sur la liste noire de l'ONU pour leur implication dans des activités terroristes.

Pour trouver des moyens de mettre fin aux conflits prolongés en Afghanistan, les participants de la Jirga, qui ont demandé aux talibans d'abandonner l'insurrection, ont également appelé le gouvernement afghan à faire avancer la réconciliation nationale et à faire en sorte que les noms des leaders talibans soient retirés de la liste noire de l'organisation multilatérale.

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