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26 novembre 2009 4 26 /11 /novembre /2009 09:12
Goldstone : le contre-rapport de Tsahal


Par YAAKOV KATZ
25.11.09
I

 

 

http://fr.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1259010977368&pagename=JFrench%2FJPArticle%2FShowFull

 

En janvier dernier, et en pleine opération Plomb durci dans la bande de Gaza, l'armée israélienne décide d'ouvrir un centre médical au passage d'Erez. Sa mission : soigner les blessés palestiniens. Pendant la durée des combats, la clinique reste active et dispense des soins à ceux qui en ont besoin. Quelques mois plus tard, les enquêteurs de la police militaire investissent le hall et les chambres, alors occupées par les médecins et leurs patients. Ils sont chargés de recueillir les témoignages de Palestiniens venus corroborer les 28 plaintes de "crimes de guerre" déposées à l'encontre de Tsahal.

 

 

Goldstone a parlé; mais Tsahal entend montrer dans son rapport un autre visage que celui dépeint par l’ONU.
Photo: DR , JPost

200 ambulances de la Croix-Rouge



Le mois dernier, le chef d'état-major Gabi Ashkenazi a nommé le brigadier-général Youval Halamish, un ancien haut officier du renseignement militaire, au poste de "gestionnaire de projet". Son rôle : contrer le rapport Goldstone et optimiser tous les efforts mis en place dans ce sens. Mesure phare : la compilation des efforts humanitaires déployés par l'armée au cours des trois semaines d'offensive.


Le chef de la Coordination de Gaza et de la liaison administrative, le colonel Moshé Lévi, a ainsi présenté cette semaine un volumineux rapport à l'état-major. Certains éléments apportés sont déjà bien connus. Notamment les 37 000 tonnes de matériel autorisés par l'armée à destination de la bande de Gaza, les trois pauses d'une heure quotidiennes, chaque jour de combat, pour permettre aux Palestiniens de se déplacer librement, de reconstituer leurs réserves et de réparer les infrastructures endommagées.


D'autres apportent une lumière nouvelle sur l'opération. Ainsi, parallèlement à la lutte contre le Hamas, les forces israéliennes ont trouvé le temps de nourrir bétail et animaux abandonnés, d'agencer l'entrée de camions de pompiers dans les zones fermées ou sous couvre-feu, et de transporter des Palestiniens ayant besoin de soins médicaux.


Au total, plus de 1 200 familles palestiniennes ont été évacuées au cours des combats, du nord vers le sud de Gaza. Les militaires ont permis à 80 équipes d'atteindre les zones de combat afin de réparer les infrastructures vitales, et autorisé près de 200 ambulances de la Croix-Rouge à traverser la bande de Gaza malgré le blocus imposé. Pour certains, les précisions de Tsahal arrivent trop tard. Mais l'armée israélienne entend montrer dans son rapport un autre visage que celui dépeint par l'ONU.

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22 novembre 2009 7 22 /11 /novembre /2009 05:35
22 novembre 1967. Le conseil de sécurité de l’ONU adopte la résolution 242. En voici le texte :
Le Conseil de sécurité,
Exprimant l'inquiétude que continue de lui causer la grave situation au Proche-Orient, 

Soulignant l'inadmissibilité de l'acquisition de territoires par la guerre et la nécessité d'œuvrer pour une paix juste et durable permettant à chaque État de la région de vivre en sécurité, 
Soulignant en outre que tous les États Membres, en acceptant la Charte des Nations Unies, ont contracté l'engagement d'agir conformément à l'Article 2 de la Charte, 

1. Affirme que l'accomplissement des principes de la Charte exige l'instauration d'une paix juste et durable au Proche-Orient qui devrait comprendre l'application des deux principes suivants : 
a) Retrait des forces armées israéliennes des territoires occupés au cours du récent conflit ; 
b) Fin de toute revendication ou de tout état de belligérance, respect et reconnaissance de la souveraineté, de l'intégrité territoriale et de l'indépendance politique de chaque État de la région et de son droit de vivre en paix à l'intérieur de frontières sûres et reconnues, à l'abri de menaces ou d'actes de violence ; 

2. Affirme d'autre part la nécessité
a) De garantir la liberté de navigation sur les voies d'eau internationales de la région ; 
b) De réaliser un juste règlement du problème des réfugiés ; 
c) De garantir l'inviolabilité territoriale et l'indépendance politique de chaque État de la région, par des mesures comprenant la création de zones démilitarisées ; 

3. Prie le Secrétaire général de désigner un représentant spécial pour se rendre au Proche-Orient afin d'y établir et d'y maintenir des rapports avec les États concernés en vue de favoriser un accord et de seconder les efforts tendant à aboutir à un règlement pacifique et accepté, conformément aux dispositions et aux principes de la présente résolution ; 

4. Prie le Secrétaire général de présenter aussitôt que possible au Conseil de sécurité un rapport d'activité sur les efforts du représentant spécial. 
Adoptée à l'unanimité à la 1 382° séance.
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12 novembre 2009 4 12 /11 /novembre /2009 21:05

Goldstone : un drame ?
Par Jacques KUPFER

[Jeudi 12/11/2009 14:15]

 

L’affaire Goldstone, ce juge sud africain se prétendant juif et auteur d’un rapport à l’ONU dénonçant les « crimes de guerre » israéliens lors de l’opération « Plomb durci » a des conséquences  plus que nuisible.

Des accusations aussi mensongères que grossières ont marqué notre existence juive depuis le mythe  de peuple déicide qui a perduré deux millénaires, jusqu’à  celui de crime rituel accusant les Juifs d’utiliser du sang chrétien pour confectionner les pains azymes. L’imagination antisémite fut et reste toujours fertile en divagations. Nous avons connu le Protocole des Sages de Sion, l’idée d’une omnipuissance juive qui contrôlerait les medias et la politique internationale jusqu’à l’affabulation dans un journal scandinave nous prêtant le rôle de vendeur d’organes « palestiniens ». Les dénégations, les preuves pour récuser toutes ces horribles accusations n’ont jamais empêché le moindre pogrome, la moindre flambée de haine, la moindre distorsion de l’Histoire. Il se trouve toujours un renégat, un Torquemada pour servir les dessins de l’Inquisition, un  Naturei Karta  ou un « professeur » Sand payé par l’Université hébraïque de Jérusalem pour nier l’existence nationale et sioniste du peuple Juif. .

En somme rien de bien nouveau dans l’esprit et les conclusions du rapport Goldstone et pourtant il présente un terrible danger.

Les effets collatéraux…

Ce n’est pas l’accumulation de faits erronés inventés par les témoignages arabes ni la condamnation des pays arabes et « non alignés » toujours prêts à faire l’union contre les juifs en soutenant au « Machin » une nouvelle résolution contre l’Etat d’Israël qui est dangereuse. Sans Israël, on se demande ce qu’il  resterait à discuter à l’Assemblée générale de l’ONU. Israël sauve du chômage des centaines d’interprètes, de techniciens, d’imprimeurs et de secrétaires travaillant dans cette institution internationale. Non, ce n’est pas le contenu du rapport Goldstone (faut-il plutôt écrire Goldstein?) qui doit inquiéter mais ses effets collatéraux.

A voir les réactions juives et israéliennes dans le monde, on constate un besoin pressant et incoercible de se disculper, de nier, de s’excuser. Là réside la victoire arabe et  le danger pour Israël.

Apres avoir pris toutes les précautions les plus dangereuses pour la sécurité de nos soldats, après avoir inondé Gaza de millions de tracts prévenant de nos frappes, après avoir téléphoné aux gazaouis pour les avertir, après avoir accepté de mettre en danger la vie de nos propres soldats pour ne pas attenter à celle de supposés civils arabes , après s’être abstenu de liquider les chefs du Hamas et les principaux terroristes pour ne pas avoir à raser un hôpital où ils s’étaient réfugiés, nous sommes donc accusés de « crimes de guerre ».Et au lieu d’éclater d’un rire tonitruant et renvoyer Goldstone, son rapport et ses commanditaires dans les poubelles déjà bien pleines de l’Histoire, nous nous expliquons et nous contestons ce rapport. Le but poursuivi par nos ennemis et certains européens se prétendant nos « amis », est de réussir à faire une pression psychologique qui nous empêchera d’assurer notre défense, nous fera douter de la possibilité  d’éliminer nos ennemis et risque même de faire accepter à certain gouvernants israéliens, l’idée que mieux vaut une victime juive plutôt qu’une nouvelle accusation lors d’une prochaine opération de Tsahal.

Paraître de parfaits « démocrates »…

Certains de nos politiciens, y compris parmi les plus influents de la droite nationale, vont s’efforcer de paraître de parfaits « démocrates », des libéraux prêts à tous les sacrifices, même pas pour être félicités mais  seulement pour ne pas être critiqués. Et en conséquence le prix à payer par le citoyen d’Israël risque d’être lourd. Plus importantes seront nos compromissions, nos abandons idéologiques, notre capacité de résistance et plus fortes seront les pressions pour nous pousser toujours plus loin sur le chemin de l’abdication de nos droits, de notre bon droit et du chemin le plus droit.

Déjà, Tsahal indique enquêter et inviter les arabes de Gaza à apporter leurs témoignages. Déjà, le chef d’état major reconnaît que quelques « erreurs » ont pu être commises et s’exprime avec moins de vigueur que ce vaillant commandant britannique qui a soutenu devant les instances internationales le haut niveau moral de l’armée juive. Déjà, les organismes porteurs de haine de soi en Israël, vitupèrent sur les incidences de l’opération de Gaza couvrant ainsi leur silence lorsque les missiles arabes pleuvaient  sur le sud du Néguev et auparavant sur le Gouch Katif. Les dirigeants israéliens se répandent en déclarations de bonne volonté à l’égard des arabes, ouvrent des barrages routiers avec moult sourires et photos, et prient le terroriste Mahmoud Abbas de rester à son poste. Comme s’il y avait la moindre différence dans le but poursuivi par ce dernier et celui des chefs du Hamas, du Hezbollah, des dirigeants syriens ou de l’Iran. La seule différence notable  réside dans le port de la cravate et la stratégie « light »  pour aboutir à notre destruction.Le sentiment de culpabilité qui envahit le monde occidental doit être banni en Israël car il paralyse le jugement et l’action.

L’auto flagellation…

Des dirigeants qui ne seraient pas contaminés par l’auto flagellation occidentale alliée à un complexe galoutique, s’exprimeraient-ils dans ces termes de « concessions douloureuses » qui fleurissent de nouveau dans le vocabulaire politique actuel?

Avons-nous pris la Terre d’un autre peuple, avons-nous commis le crime de la désertifier, avons-nous préparé des agressions, avons-nous initié une guerre de plus d’un siècle, avons-nous perdu une guerre, avons-nous nié le droit à l’existence d’un des trop nombreux 22 états arabes, avons-nous une foi qui nous ordonne de pratiquer le terrorisme, avons-nous fait exploser des bombes humaines, avons-nous causé la mort de voyageurs d’autobus ou de jeunes dans une discothèque ou une crèche?

Ce qui serait naturel serait de déclarer que le vaincu sanguinaire devrait faire des « concessions douloureuses » et non le peuple Juif. Pourtant nos ministres issus de la gauche et ceux mal à l’aise dans leur tenue de droite ne cessent de promettre des concessions. Elles ne sauraient d’ailleurs être efficaces, que si elles seront « douloureuses ». A ce stade, nous aurions besoin du Dr Freud!

Hussein Obama

Aux Etats-Unis, un commandant d’origine « palestinienne » avait fait l’objet d’une enquête révélant son engagement musulman mais aboutissant  à le considérer fiable pour servir dans les forces armées US de Hussein Obama. Il était médecin et   aurait dû se sentir reconnaissant envers les Etats Unis. Tout cela  ne l’a pas empêché ou au contraire l’a poussé à massacrer à  Fort Hood les soldats avec lesquels il vivait quotidiennement. Le danger ne provient pas de la prolifération d’armes mais de la prolifération des métastases de l’Islam. Le plus significatif est certainement le fait qu’un appel a été lancé par les autorités américaines pour prévenir les musulmans de possibles exactions à leur encontre au lieu d’informer  la population de veiller aux probables et prochaines manifestations mortelles des musulmans à l’égard des citoyens américains!

Dans ces conditions, je dois avouer que je préfère de loin tenir le rôle de criminel virtuel plutôt que celui de victime réelle et même le jour où l’agneau et le loup cohabiteront, je préfère être dans la peau du loup!

Jacques KUPFER

Président du Bloc national Francophone

par Jacques KUPFER http://www.actu.co.il/

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12 novembre 2009 4 12 /11 /novembre /2009 05:24
Onu/ Le retour des tyrans
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11 novembre 2009 3 11 /11 /novembre /2009 04:04

Ban Ki-moon appelle le Liban à respecter la résolution 1701 


Et oui Ban Ki, maintenant que le 'Hezb est au gouvernement, ça devrait rouler comme sur des roulettes n'est-ce pas ??? 


[Mardi 10/11/2009 11:53]

 











Après cinq mois d’incertitude, qui ont suivi les élections au Liban, et de nombreuses tentatives infructueuses, Saad Hariri, pressenti depuis le début pour devenir le Premier ministre, a enfin présenté lundi son gouvernement d’union nationale composé d’une trentaine de membres. Parmi les nouveaux venus, on compte des représentants du Hezbollah, qui ont obtenu deux portefeuilles, à savoir le ministère d’Etat de la Réforme administrative et l’Agriculture.

Par conséquent, le président libanais Michel Sleimane, qui assurait l’intérim depuis plusieurs mois, a annoncé officiellement que le gouvernement de Fouad Siniora n’était plus en fonction et laissait la place à son successeur Saad Hariri, nommé Premier ministre du Liban.

Saad Hariri, fils de l’ex-premier ministre assassiné Rafic Hariri, a présenté la liste de ses ministres  et a déclaré : « Nous avons tourné une nouvelle page qui sera, je l’espère, celle de l’unité et du travail du Liban ». Dans son discours, il n’a pas oublié de souligner que le nouveau gouvernement « devait présenter un front uni face aux menaces israéliennes » et œuvrerait pour affirmer ses droits à l’autodéfense ».

Réagissant à la formation de cette coalition, le secrétaire général de l’Onu, Ban Ki-moon, a appelé les nouveaux dirigeants du pays du Cèdre à appliquer pleinement la résolution 1701 de l’Onu exigeant le désarmement du Hezbollah. Dans un communiqué, il a déclaré : « Le secrétaire général espère que les leaders politiques libanais continueront à travailler dans un esprit d’union, de dialogue et de coopération ». Ban Ki-moon a ensuite encouragé le nouveau gouvernement de Beyrouth à relever le défi en vue de renforcer la souveraineté du Liban.

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8 novembre 2009 7 08 /11 /novembre /2009 06:01
La victoire dans la défaite
Par JPOST.FR 
06.11.09
http://fr.jpost.com/ 

Un dénouement couru d'avance mais des résultats moins négatifs que prévu. Le ministre des Affaires étrangères Avigdor Lieberman s'est déclaré "satisfait" du vote Goldstone car Israël a obtenu une "majorité morale".

Avigdor Lieberman. 
PHOTO: ARIEL JEROZOLIMSKI , JPOST

Pourtant sur le papier, le document a été approuvé par l'Assemblée générale de l'ONU : 114 pays ont voté pour et 18 contre. Mais 44 Etats ont choisi l'abstention.

'Ceux qui ont voté en sa faveur, dont l'Arabie Saoudite et la Somalie, n'ont aucune leçon à donner en matière de droits de l'Homme", a souligné Lieberman.

Pour les autorités israéliennes, l'objectif principal est donc passé : montrer que le rapport Goldstone était totalement biaisé. Parmi les pays les plus convaincus dominent les Etats-Unis.

Jugeant le document "injuste", Washington a souligné, par ailleurs, qu'il ne faisait que heurter les démarches de paix dans la région.

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4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 22:33
Envoyé par Ygal.

Eh bien voilà ! Beau boulot Mr G !

Sans commentaires !

An embroidery scarf bearing the name of South African judge Richard Goldstone is displayed at a Palestinian souvenir shop in Gaza City on November 4, 2009. The UN General Assembly is scheduled to discuss the controversial UN Goldstone report on Israel�s 22-day war against Palestinian militants in Gaza.
 
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4 octobre 2009 7 04 /10 /octobre /2009 01:58





Quand les fonds européens financent les offensives judiciaires des

ONG anti israéliennes

 

Traduction : Gilles RAPHEL

pour : http://aschkel.over-blog.com/ et http://lessakele.over-blog.fr/ 

 

NGO Monitor

30 septembre 2009

 

(Jérusalem) - NGO Monitor a révélé aujourd'hui que l'ONG palestinienne Al-Mezan, qui est derrière les efforts pour faire arrêter le ministre israélien de la Défense Ehud Barak, est financée par un certain nombre de gouvernements européens. Bien que les autorités britanniques aient refusé de donner des informations, Monitor note que le rôle de l’ONG Al-Mezan est un autre exemple de l'abus de financement du contribuable européen détourné au profit de la campagne d’offensives judiciaires contre Israël.

Les principaux donateurs d’Al-Mezan comprennent le gouvernement norvégienet d'une façon générale ceux de Suède, la Suisse, la Hollande et le Danemark, groupement connu sous le nom NDC. Les bailleurs de fonds complémentaires à Al-Mezan sont la Commission européenne, la Fondation Ford, Diaconie (Suède) Et Trocaire (Irlande).

Les activités d'Al-Mezan reflètent une lutte constante de mise à l'ordre du jour et de diabolisation d'Israël, y compris dans les revendications del « 'apartheid israélien ».

Cette affaire est la dernière étape de l'ONG dans le cadre de ses offensives judiciaires. Sous couvert de justice, les ONG utilisent les dispositions sur la compétence universelle pour promouvoir et justifier l'isolement et le boycott d'Israël ainsi que de ses dirigeants.

Les tribunaux britanniques ont rejeté tous les demandes précédentes des ONG contre les dirigeants israéliens en notant le caractère détourné. Les dossiers précédents déposés au Royaume-Uni étaient ceux contre Doron Almog et Shaul Mofaz, portés par le Palestinian Centre for Human Rights (PCHR). En Novembre 2008 et Juillet 2009, La Cour d'appel britannique avait rejeté les affaires introduites par Al Haq contre le gouvernement du Royaume-Uni pour mettre fin à des licences d'exportation vers Israël.


Le Président de NGO Monitor, le professeur Gerald Steinberg a dit: «Les gouvernements européens qui versent des fonds des contribuables pour ces ONG radicales paient pour la diabolisation d'Israël et alimentent le conflit. 

Al-Mezan a rejoint d'autres ONG dans l'utilisation des tribunaux de promouvoir la désinformation anti-israélienne. En plus de l'attaque contre Ehud Barak, Al-Mezan a également contribué aux fondements du rapport Goldstone, qui est une autre forme d’offensive judiciaire »
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30 mai 2009 6 30 /05 /mai /2009 20:47

ONU au Sri Lanka : chut !

La mobilisation contre Israël a jeté dans la rue cet hiver des dizaines de milliers de français aux cris de « Mort à Israël ».

L’offensive Plomb durci aurait fait selon les responsables de Gaza, le Hamas, 1400 morts. Depuis cette date, les agences occidentales, les politiques reprennent ce chiffre jamais contrôlé.

Les Nations-Unies sont-elles en train de renier leurs principes au Sri Lanka ?

Bien qu'elle ait disposé d'éléments accablants sur la conduite de l'armée sri-lankaise dans sa lutte contre les rebelles tamouls, la hiérarchie onusienne a gardé le silence, de peur de compromettre ses activités dans le pays.

Israël, lui, malgré les critiques incessantes, collabore avec l’ONU. On autorise le passage des camions de ravitaillement. Israël continuait à fournir Gaza en médicaments, en pétrole et en électricité ceux qui les bombardaient.

Au Sri Lanka, des centaines de milliers de civils Tamouls ont été parqués dans des enclaves aussitôt pilonnées. Les poches se sont restreintes au fil des assauts de l’armée. Et les civils ont payé le prix fort.

Maintenant, on parle 20.000 morts en un mois de combats et de centaines de milliers de sans-abris.

L'ONU a fait le choix partisan de la conciliation avec Colombo : elle a étouffé des chiffres et laissé des rapports sans suite. Elle a manqué gravement à ses devoirs envers des centaines de milliers de civils en danger.

En France et en Europe, ce drame humanitaire, ces crimes de guerres et contre l’humanité, n’ont pas suscité la moindre manifestation populaire de « solidarité ». Quelques marches locales, tout au plus !

La France n’a réclamé aucun cessez-le-feu, ou alors si timidement que l’écho n’est pas parvenu jusqu’aux hautes instances internationales. L’ONU ne s’est pas mobilisée.

Il faut dire que c’est un conflit entre Hindouistes et Bouddhistes. Il y a peu de musulmans au Sri Lanka.

A fortiori, il y a encore moins de Juifs. On ne peut donc leur attribuer une quelconque responsabilité dans cette abominable tuerie.

Oublié, le droit d’ingérence à la Kouchner ! Ah si, une petite brigade de la sécurité civile s’y est installée et a pu soigner quelques 230 civils sur les 20.000 morts et 350.000 blessés recensés officiellement. Certainement beaucoup plus.

Il n’y a pas de pétrole et de gaz en quantité suffisante au Sri Lanka pour menacer l’équilibre mondial. Et pas de Juifs à mettre en cause.

La diplomatie n’a donc pas jugé utile de s’en occuper.

Mais cela n’a vraisemblablement aucun rapport. Ecoeurement !

© Primo, 31 mai 2009 

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21 mai 2009 4 21 /05 /mai /2009 23:16

Bernard-Henri Lévy, philosophe ; Claude Lanzmann, cinéaste et directeur de la revue Les Temps modernes ; Elie Wiesel, écrivain et Prix Nobel de la paix en 1986.

jeudi 21 mai 2009

Qui a déclaré en avril 2001 : "Israël n’a jamais contribué à la civilisation à quelque époque que ce soit car il n’a jamais fait que s’approprier le bien des autres"- et a réitéré deux mois plus tard : "La culture israélienne est une culture inhumaine ; c’est une culture agressive, raciste, prétentieuse, qui se base sur un principe tout simple : voler ce qui ne lui appartient pas pour prétendre ensuite se l’approprier" ?

Qui a expliqué en 1997, et l’a répété ensuite sur tous les tons, qu’il était "l’ennemi acharné" de toute tentative de normalisation des rapports de son pays avec Israël ? Ou encore, en 2008, qui a répondu à un député du Parlement égyptien qui s’alarmait que des livres israéliens puissent être introduits à la bibliothèque d’Alexandrie : "Brûlons ces livres ; s’il s’en trouve, je les brûlerai moi-même devant vous" ?

Qui, en 2001, dans le journal Ruz Al-Yusuf, a dit qu’Israël était "aidé", dans ses sombres menées, par "l’infiltration des juifs dans les médias internationaux" et par leur habileté diabolique à "répandre des mensonges" ? A qui devons-nous ces déclarations insensées, ce florilège de la haine, de la bêtise et du conspirationnisme le plus échevelé ?

INCENDIAIRE DES CŒURS

A Farouk Hosni, ministre de la culture égyptien depuis plus de quinze ans et, à coup sûr, le prochain directeur général de l’Unesco si rien n’est fait avant le 30 mai, date de clôture des candidatures, pour arrêter sa marche irrésistible vers l’un des postes de responsabilité culturelle les plus importants de la planète.

Pire : les phrases que nous venons de citer ne sont que quelques-unes - et pas les plus nauséabondes - des innombrables déclarations de même teneur qui jalonnent la carrière de Farouk Hosni depuis une quinzaine d’années, et qui, par conséquent, le précèdent lorsqu’il prétend à un rôle culturel fédérateur à l’échelle du monde contemporain.

L’évidence est donc là : Farouk Hosni n’est pas digne de ce rôle ; Farouk Hosni est le contraire d’un homme de paix, de dialogue et de culture ; Farouk Hosni est un homme dangereux, un incendiaire des coeurs et des esprits ; il ne reste que très peu de temps pour éviter de commettre la faute majeure que serait l’élévation de Farouk Hosni à ce poste éminent entre tous.

Nous appelons donc la communauté internationale à s’épargner la honte que serait la désignation, déjà donnée pour quasiment acquise par l’intéressé lui-même, de Farouk Hosni au poste de directeur général de l’Unesco. Nous invitons tous les pays épris de liberté et de culture à prendre les initiatives qui s’imposent afin de conjurer cette menace et d’éviter à l’Unesco le naufrage que constituerait cette nomination.

Nous invitons le président égyptien lui-même, en souvenir de son compatriote Naguib Mahfouz, Prix Nobel de littérature, qui doit, à l’heure qu’il est, se retourner dans sa tombe, nous l’invitons, pour l’honneur de son pays et de la haute civilisation dont il est l’héritier, à prendre conscience de la situation, à désavouer de toute urgence son ministre et à retirer, en tout cas, sa candidature.

L’Unesco a, certes, commis d’autres fautes dans le passé - mais cette forfaiture-ci serait si énorme, si odieuse, si incompréhensible, ce serait une provocation si manifeste et si manifestement contraire aux idéaux proclamés de l’Organisation qu’elle ne s’en relèverait pas. Il n’y a pas une minute à perdre pour empêcher que soit commis l’irréparable. Il faut, sans délai, en appeler à la conscience de chacun pour éviter que l’Unesco ne tombe aux mains d’un homme qui, lorsqu’il entend le mot culture, répond par l’autodafé.

www.desinfos.com 

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