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7 février 2011 1 07 /02 /février /2011 07:21

 

 

Le Quartette rejette la déclaration unilatérale d'un "État palestinien" et demande la reprise des négociations directes
par Gerard Fredj

israel-infos

Lire aussi - 

 

>Situation de crise dans les pays arabo-musulmans - Le quartet se défosse encore sur le conflit israélo-arabe !

>L'Autorité palestinienne ou l'art du rejet et de la mauvaise foi.


Le Quartette (ONU, Etats-Unis, Union européenne, Russie) pour le Moyen Orient s'est réuni en marge de la 47è conférence sur la sécurité qui s'est tenu à Munich. Les palestiniens sont déçus par la déclaration finale.

Le Quartette a salué les efforts de Mahmoud Abbas pour "son leadership et ses efforts pour la constitution d'un état" ainsi que les récents gestes du gouvernement israélien en direction des palestiniens, tout en déplorant « la fin du moratoire israélien de dix mois sur le gel des activités de colonisation ».

Le quartette, faisant référence aux efforts déployés par les palestiniens pour faire reconnaître unilatéralement un état réaffirment « avec force que les actions unilatérales de l'une des parties ne peut pas préjuger du résultat des négociations et ne sera pas reconnu par la communauté internationale ».

Les représentants ont souligné, au vu des développements récents en Égypte et ailleurs dans la région, la " nécessité impérative de reprendre immédiatement les pourparlers".

L'Autorité palestinienne s'est déclarée déçue pour ces déclarations, les jugeant insuffisantes pour reprendre les négociations avec Israël.
"Nous espérions que le Quartette prendrait des décisions historiques pour contraindre Israël à arrêter la colonisation et à reconnaître l'Etat palestinien avec Jérusalem-Est pour capitale", a déclaré Saëb Erakat, négociateur en chef palestinien, 

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6 février 2011 7 06 /02 /février /2011 19:05

 

 

Dossier Onu et Consorts

Situation de crise dans les pays arabo-musulmans - Le quartet se défosse encore sur le conflit israélo-arabe !

 

Et voici donc que le Quartet remet cela !

La preuve a été faite par 100 que dis-je par mille que la situation interne des pays arabo-musulmans en crise est indépendante du conflit Israélo-arabe que l'on appelle conflit israélo-palestinien.

Qui serait aveugle maintenant pour ne pas comprendre qu'il suffit d'agiter le chiffon des négociations de paix ou des non-négociations, cette fixation que font les occidentaux abreuvés par les pressions des pays arabes, pour se défosser sur les réelles situations de danger qui couvent lorsque des masses sont privées depuis des décennies de leurs libertés et soumises à des mythes haineux.

Aschkel

Voici ce que l'on trouve sur le site de l'ONU.

un.org

La tension au Moyen orient montre l'urgence d'une paix israélo-palestinienne

A Ramallah, en Cisjordanie, le mur séparant Israéliens et Palestiniens.

Les développements récents en Égypte et ailleurs dans la région soulignent la nécessité pour Israël et les Palestiniens de reprendre immédiatement les pourparlers de paix, ont indiqué samedi les membres du Quatuor pour la paix au Proche Orient, après une rencontre en marge de la 47ème Conférence sur la sécurité de Munich, en Allemagne.

Dans une déclaration commune, l'ONU, les Etats-Unis, l'Union européenne et la Russie prennent notent « de l'évolution dramatique en Egypte et ailleurs dans la région ces derniers jours » et réaffirment « que les négociations devraient conduire à un résultat mettant fin à l'occupation qui a commencé en 1967 et apportant une solution à toutes les questions relatives au statut permanent, afin de mettre fin au conflit et de parvenir à une solution à deux Etats ».

« Compte tenu de l'évolution au Moyen-Orient, le Quartet exprime sa conviction qu'un nouveau retard dans la reprise des négociations serait préjudiciable aux perspectives de paix et à la sécurité de la région », poursuivent-ils, avant de souligner « la nécessité pour les parties d'entreprendre d'urgence les efforts nécessaires pour aboutir à une paix israélo-palestinien et une paix globale israélo-arabe ».

En attendant sa prochaine rencontre fixée à la mi-mars, le Quatuor précise qu'il « cherchera à travers ses envoyés à se réunir séparément avec les négociateurs israéliens et palestiniens à Bruxelles, ainsi qu'avec le Comité de l'Initiative de paix arabe ». « Dans ses discussions avec les parties, le Quatuor entend écouter sérieusement leur point de vue sur la manière de relancer les négociations sur toutes les questions fondamentales, y compris celles des frontières et de la sécurité », ajoute le communiqué.

S'ils saluent « le leadership du Président Abbas de l'Autorité palestinienne pour ses efforts de construction d'un Etat », qu'ils se félicitent également « de l'ensemble des mesures annoncées par le Premier ministre Netanyahu pour la Cisjordanie et Gaza », les quatre membres du Quatuor déplorent toutefois « la fin du moratoire israélien de dix mois sur le gel des activités de colonisation » et réaffirment « avec force que les actions unilatérales de l'une des parties ne peut pas préjuger du résultat des négociations et ne sera pas reconnu par la communauté internationale ».

Relancées par les Etats-Unis en septembre dernier, les négociations se sont enlisées après le refus d'Israël, fin septembre, de proroger le moratoire sur le gel de la colonistaion au delà de 10 mois. Ce refus à justifié le retrait du Président palestinien Mahmoud Abbas des pourparlers directs avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.

5 février 2011 – 
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22 janvier 2011 6 22 /01 /janvier /2011 20:49

 

On attend de voir !

 

 

Les Nations Unies vont aider le Liban à délimiter ses frontières maritimes

Le 21 janvier 2011

BEYROUTH - L'ONU a exprimé sa volonté d'aider le Liban dans la délimitation de ses frontières maritimes avec Israël pour protéger les réserves de gaz du pays, ajoutant que le Liban a le droit de bénéficier de son potentiel en matière de ressources offshore en pétrole et en gaz. 

La réponse des Nations unies fait suite à une demande du Liban à l'organisation internationale, pour protéger les ressources économiques du pays, après la découverte d'un vaste champ gazier par Israël au large de la côte méditerranéenne. En août dernier, le parlement libanais a ratifié un projet de loi qui autorise pour la première fois l'exploration offshore pour la recherche de gaz et de pétrole. La loi apporte les bases pour appliquer une loi internationale appelée Production Sharing Agreement (PSA), essentielle pour les contrats de partage de production qui sont en général signés entre les Etats et les compagnies internationales. 

Le ministère de l'Energie et de l'Eau a indiqué que la première phase d'octroi de licenses pour l'exploration de gaz offshore aurait lieu en 2011, ajoutant que l'annonce officielle concernant l'octroi de ces licenses et l'appel à projet des compagnies qualifiées aurait lieu en novembre 2011. En mars dernier, l'USGS (United States Geological Survey) a estimé que la zone du Bassin du Levant représentait un potentiel de 1,7 milliards de barils de pétrole et 122 billion de pieds cubes de gaz. Le Bassin du Levant représente environ 83 000 km carrés de l'Est de la Mediterranée, au large des côtes libanaises, syriennes, chypriotes et israéliennes. L'USGS a souligné que les estimations représentent les ressources de gaz et de pétrolesrécupérables techniquement, et non économiquement. 

Source: Lebanon This Week /iloubnan

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19 janvier 2011 3 19 /01 /janvier /2011 18:42

 

logo unwra

 

Merci ALBERT

 

L'Unrwa Pérennise le Conflit Arabo-Israélien Depuis 62 Ans

 

Par Sybille Ottenstein, coordinatrice du campus AICE – www.stopbds.com

16/01/11 - aicecampus@gmail.com

Adapté par Albert Soued,  http://soued.chez.com  pour www.nuitdorient.com

 

Chers compatriotes américains, avez-vous une quelconque idée d'une des destinations de votre argent, payé en impôt ? Les territoires palestiniens -- et cela dure depuis déjà 62 ans ! Depuis ces longues années, un organisme créé spécialement par l'Onu pour traiter des réfugiés issus de la guerre arabo-israélienne de 1948/9, a déformé  le sens du mot "réfugié", défini par la loi internationale, et il emploie des salariés qui se déclarent affiliés à l'organisation terroriste du Hamas, je veux parler de l'Unrwa.

UNRWA: United Nations Relief and Work Agency, Organisation humanitaire et sociale des Nations Unies qui ne cesse de demander de l'argent à son plus grand soutien, les Etats-Unis. Or ce soutien est en contravention avec la politique américaine au Moyen Orient et empêche tout progrès dans la société palestinienne.

Sous la pression des pays arabes, le Haut Commissariat pour les réfugiés (HCNUR) a cru devoir créer en 1949 un organisme spécial pour traiter des réfugiés issus de la guerre mentionnée ci-dessus. Les 900 000 réfugiés juifs des pays arabes ont été recueillis par Israël naissant et par divers pays étrangers. Les dits 650 000 "réfugiés palestiniens" ont été mis dans des camps provisoires financés par le nouvel organisme Unrwa qui les a hébergés, nourris, soignés et éduqués. Par diverses inflations -- démographie, immigration, mariages…--, en 62 ans, ces réfugiés sont devenus une masse qu'on ne parvient plus à compter, variant selon les sources entre 4 et 6 millions d'âmes.

 

De récentes enquêtes ont montré que l'Unrwa, aves ses 25 000 employés, était à l'origine de la perpétuation de la détresse des Palestiniens et de la pérennisation du conflit qui les oppose à Israël. Mais cette situation n'a pas empêché l'administration américaine de lui envoyer une contribution annuelle de 190 millions $.

 

La pérennisation du conflit se fait de 2 manières: d'abord la définition erronée et abusive de l'appellation "réfugiés" et ensuite l'embauche d'islamistes radicaux dans l'organisation. Contrairement au HCNUR qui définit un réfugié comme quelqu'un qui a été physiquement obligé de quitter son foyer pour des raisons politiques et qui s'emploie à le réinstaller le plus rapidement possible dans un autre pays ou une autre région, l'Unrwa a créé des camps en dur, de véritables villes, où sont cantonnés les réfugiés et leurs descendants, sans limite de temps. D'où l'une des origines de l'inflation du nombre initial de réfugiés. Après 62 ans, il ne reste pratiquement plus de réfugiés au sens du HCNUR. Aujourd'hui, les réfugiés dits "palestiniens" sont des descendants de la 2ème /3ème/4ème génération auxquels s'ajoutent tous les conjoints, parents, amis extérieurs et tous les indigents qui ont réussi à s'infiltrer dans les dits "camps", pour profiter de la manne internationale.

Cette inflation artificielle a pour but de rendre plus difficile toute résolution du conflit arabo-israélien, en affaiblissant la partie israélienne sur le plan démographique.

 

Il faut savoir que selon les règles internationales du HCNUR, tout réfugié acquiert la citoyenneté du pays qui le reçoit. Aujourd'hui, en dehors de la Jordanie, aucun pays arabe n'a accordé la citoyenneté à un réfugié dit "palestinien". La citoyenneté jordanienne a été accordée, à la condition que le statut de "réfugié" soit maintenu parallèlement, afin que ces Palestiniens puissent bénéficier de l'aide humanitaire de l'Unrwa ! Et récemment, pour des raisons de politique intérieure, la Jordanie a commencé à retirer massivement la citoyenneté aux ex-Palestiniens.

Ainsi les Palestiniens sont devenus des "pions" consentants d'une politique de pérennisation du conflit voulue par la Ligue Arabe et l'Onu.

Par ailleurs 99% des 25 000 employés de l'Unrwa sont des Palestiniens et parmi eux un certain nombre d'employés, notamment des maîtres et des éducateurs, se déclarent ouvertement comme membres du Hamas et du Jihad Islamique, groupes considérés comme terroristes par les Etats-Unis; et la loi américaine interdit de financer des organismes employant des terroristes.

 

Ainsi l'argent du contribuable américain finance des terroristes qui diffusent à des enfants des doctrines radicales de jihad et de mort. Cette situation me confond et je me demande pourquoi mon administration continue dans cette voie perverse qui perpétue un conflit et encourage la terreur.

 

L'Unrwa est devenu un cancer qui s'étend rapidement dans la société palestinienne, car il empêche son émancipation. Cette population a un besoin pressant de devenir réellement autonome et adulte.

Il faut dissoudre l'Unrwa et transférer ses services au HCNUR. L'existence même de l'Unrwa est insupportable et ses actions sont illégales au regard du droit international et non éthiques. De plus elle contribue à la diffusion d'idées radicales et perpétue une situation conflictuelle. Il est grand temps pour la communauté internationale de se réveiller et de réagir devant cette ineptie et ce gaspillage. Il est grand temps de mettre un terme à l'Unrwa.

 

The UNRWA: Perpetuator of Conflict

 

By Sybil Ottenstein, Campus Coordinator, American-Israeli Cooperative Enterprise (AICE)         Email: aicecampus@gmail.com, Phone: 301-565-3918,

Web: www.stopbds.com    Mon Jan 16 2011

 


 

Fellow Americans, do you have any idea where and to whom your tax money goes in the Palestinian territories? Proven to distort international regulations regarding the definition of refugees and employ self-proclaimed Hamas affiliates, the 60-year-old United National Relief and Works Agency (UNRWA) is yet again asking its largest donor, the United States, for more funding and political support. American support to the UNRWA not only directly contradicts U.S. policy, but also has become a powerful tool in squashing progress within the Palestinian community.

The UNRWA was created under the jurisdiction of the UN High Commissioner for Refugees (UNHCR) following the 1948 Arab-Israeli War. It is the only agency assigned the unique responsibility of solely aiding the Palestinian population, as opposed to the UNHCR, which is dedicated to aiding all refugees in the world.

While the UNRWA was established to provide health, education and humanitarian services to the over 4 million questionably defined Palestinian refugees across the region, recent investigations have confirmed the organizations role in perpetuating the plight of the Palestinians and encouraging the Israeli Palestinian conflict. Nevertheless, this has not stopped the U.S.’s annual $190 million contribution to the UNRWA budget.

The UNRWA perpetuates conflict in the region through two main channels: its definition of refugees and its employment of radicalized citizens.

Like no other UN body, the UNRWA's definition of refugees includes not only the refugees themselves, but also decedents of refugees. As such, the original number of 1948 refugees has increased 400 percent to be over 4 million. This policy is clearly aimed to maximize the potential number of refugees in a politically oriented tactic to eventually distort Israeli demographics.

While every population of refugees around the world loses their refugee status the moment they gain citizenship to a country, the Palestinian refugee population has managed to maintain their refugee status even after gaining Jordanian citizenship. These hundreds of thousands of Palestinian Jordanians are still eligible for UNRWA aid and services. This policy of “citizen-refugees”1 violates the definition of the UN High Commissioner for Refugees as these disputed people in fact have a claim to the protection and national services of the country in which they reside. The UNRWA has been using these so-called refugees as political pawns for decades as a way to perpetuate the infamous regional conflict.

Next, as the largest contributor to the UNRWA, the U.S. has laws prohibiting taxpayer’s funds going to terror organizations. *Footnote - Congressman Chris Smith. However, the UNRWA’s25,000 person staff is 99 percent made up of locally recruited Palestinians, a portion of which are proven members of Hamas and Islamic Jihad, both of which the U.S. and the EU classifies as terror organizations.2 Many teachers and educators within Palestinian schools are UNRWA staff members who openly identify with such radical groups. Therefore, American taxpayers’ money is going directly into the hands of members of the terrorist organization that allows for the dissemination of radicalized Hamas messages to Palestinian school children.

The situation baffles me. Why is the U.S. contributing to an organization that has strayed from its original mission and become a powerful player promoting a conflict it was created to resolve? Why is U.S. taxpayer money going into Hamas teachers and educators?

The UNRWA has become a cancer rapidly spreading amongst the Palestinian community. Through its backwards and unwarranted definition of refugees and its open employment of radicalized citizens, the organization has been prohibiting progress amongst a population that so badly needs it.

The UNRWA must be dissolved and its services transferred to a more appropriate organization, specifically, the UNHCR. The actions of the UNRWA disregard legal and ethical codes from around the world. Moreover, the UNRWA’s make-up and policies contribute to the population’s radicalization and politically stagnant status. It is time for the international community, especially the United States, to wake up and see where their money is going. It is time to dissolve UNRWA.

 

1 http://www.washingtoninstitute.org/templateC04.php?CID=306

2 http://www.jpost.com/International/Article.aspx?id=102572

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19 janvier 2011 3 19 /01 /janvier /2011 15:16

 

 

 

 

Ban Ki moon won UNs Ban Ki Moon on Civilian Killings


 

 

 

 

Lettre ouverte à BAN KI MOON 

par Jacques KUPFER

 

jacques_kupfer.jpg

 

 

Lire aussi 

>J'accuse... ! Lettre ouverte à Mr 
Ban Ki-Moon, Secrétaire général des Nations-Unies Par Haïm Ouizemann


 

Dans les hautes fonctions qui sont les vôtres, il est évident que vous savez choisir les priorités. Les problèmes qui secouent notre planète sur tous les continents sont tellement intenses et nombreux que vous devez sélectionner avec soin ceux qui méritent toute votre attention et qui nécessitent une réaction immédiate.

Dans les hautes fonctions qui sont les vôtres, il est évident que vous savez choisir les priorités. Les problèmes qui secouent notre planète sur tous les continents sont tellement intenses et nombreux que vous devez sélectionner avec soin ceux qui méritent toute votre attention et qui nécessitent une réaction immédiate.
Vous avez toutefois, à titre personnel et au nom de votre organisation, une prédilection particulière pour le Proche Orient. A juste titre, cette région du monde exige toute votre attention. Les coptes massacrés en Egypte, les Syro Chaldéens tués et expulsés d’Irak, les maronites en voie de fuite au Liban, le peuple kurde bombardé par les avions turcs et privé de tous ses droits, le réacteur nucléaire en Iran et les tentatives syriennes…C’est pourquoi je me pose des questions en lisant votre récente déclaration sur les événements se déroulant dans la capitale juive, Jérusalem.
Un promoteur immobilier a acquis de la manière la plus légale qui soit, un bâtiment anciennement dénommé « hôtel Shepherd ». Cet immeuble abritait le mufti Hadj Amin El Husseini, l’allié d’Hitler et le créateur des unités SS musulmanes. Il est évident qu’un tel immeuble a une valeur historique indéniable pour les successeurs du mufti et leurs amis.
En fait ce lieu côtoie le tombeau de Simon le Juste, haut lieu de prières pour les Juifs.
Le promoteur, muni des autorisations municipales nécessaires, a détruit cette vieille carcasse en ruine pour y construire un ensemble d’habitations modernes et correspondant au style de Jérusalem.
Une bouffée de fierté
Vous avez immédiatement réagi, en condamnant cette opération qui mettrait « en danger les négociations » en cours entre Israël et les arabes de Judée Samarie.
Voyez-vous, M. Ban KI Moon, votre attitude m’inspire évidemment une bouffée de fierté en constatant qu’un immeuble à Jérusalem, surtout dans sa partie orientale, a une telle importance que le responsable de l’ONU s’attarde à le commenter. Une construction juive dans la capitale juive de l’Etat Juif requiert une absolue priorité par rapport aux événements planétaires. Vous avez raison, de manière inconsciente certes, de sentir que la construction juive sur notre Terre hâte l’avènement d’une ère nouvelle.
Ma seconde réflexion consiste à me demander si vous êtes totalement ignare (ce que je ne peux croire) ou antisémite forcené (ce que je n’ose imaginer).
Permettez moi de vous expliquer pourquoi.
Je ne peux douter un seul instant que vous ayez lu la Bible et que vous sachiez que Jérusalem est la ville du Roi David (non, pas Daoud!), la ville sainte pour le peuple juif où furent édifiés nos Temples sur le Mont du Temple (pas l’esplanade des mosquées). Vous n’ignorez pas que Jérusalem est la ville de nos prophètes juifs et que c’est dans sa direction que mon peuple juif en exil s’est tourné pendant deux millénaires pour ses dévotions juives. Vous ne pouvez également ignorer que nos prières pour la reconstruction de notre capitale sont répétées quotidiennement depuis le premier jour de notre bimillénaire exil. Vous savez que nous jurons au moment de fonder un foyer juif que « notre droite dépérisse » si jamais nous oublions Jérusalem. Tout cela, à moins d’être effectivement un ignare bâté, vous le savez.
Ignare ou antisémite

J’ignore si vous savez qu’il n’y a aucun lien entre l’islam et Jérusalem, que son nom ne figure pas une seule fois dans tout le Coran. Ce n’est que la libération de Jérusalem par l’armée juive en 1967 qui a déclenché un attachement aussi soudain que suspect à Jérusalem. Le seul peuple ayant un droit historique, national, religieux, moral sur Jérusalem est le seul peuple Juif.
Et donc, si vous l’ignorez, vous êtes un ignare et si le sachant, vous réagissez en condamnant la construction chez nous, vous êtes un antisémite.
Vous ne pouvez pas ignorer, M Ban Ki Moon, que la prime à l’agression n’est pas une pratique civilisée et que ce n’est pas l’agresseur vaincu,qui dicte ses conditions à l’agressé vainqueur. Ce n’est pas l’Allemagne nazie qui a dicté ses conditions de reddition et ce n’est pas le Japon impérial qui a décidé des suites du conflit. Les alliés, vainqueurs, ont imposé aux vaincus des conditions de reddition impératives. Les îles Sakhaline furent annexées par l’Union Soviétique, Eupen et Malmédy repris par la Belgique, l’Alsace et la lorraine définitivement récupérées par la France. Pouvez vous ignorer que le Peuple juif est revenu sur sa terre, conformément à son destin éternel et en accord avec la Société des Nations, les accords de San Remo et le droit du vainqueur. Le Peuple d’Israël fut agressé dès sa création par une coalition des états arabes voisins, attaqué à nouveau en 1956, menacé de disparition en 1967, attaqué le Jour le plus saint de son calendrier à Yom Kippour en 1973, soumis à la guerre d’usure, aux attaques terroristes à partir du Liban et des villes occupées par les arabes, obligé d’entrer en guerre au Liban, soumis aux tirs des Kassams de Gaza et des tirs meurtriers sur sa frontière Nord. Quel exemple avez-vous vu dans l’Histoire de l’Humanité, où un agresseur barbare est vaincu mais garde la faculté de dicter ses conditions pour « négocier ». Il appartient et il a toujours appartenu au vainqueur de dicter les conditions de la reddition de son ennemi, de fixer les frontières de son pays et de déterminer librement où se situe sa capitale.
« peuple palestinien »
Vous savez certainement que « le peuple palestinien » est une invention fort récente et que jamais une « Palestine » arabe » n’a existé dans l’Histoire.
Vous savez que les fonds versé aux prétendus « réfugiés palestiniens » permettent de continuer à entretenir des parasites malfaisants et corrompus depuis des générations, de fournir des sommes énormes pour la nomenclature terroriste, édifier des villas luxueuses à Gaza et Ramallah. Vous savez que les pays arabes où vivent ces parasites refusent de les naturaliser et de leur permettre une intégration en leur sein qu’ils réclament pour les arabes dans les pays occidentaux. Vous savez que ces mannes financières qui alimentent le terrorisme arabe depuis six décennies auraient pu solutionner tous les problèmes que rencontre le continent africain.
Si vous l’ignorez, vous êtes un ignare mais si vous le savez, vous êtes un antisémite. A vous de choisir.
La troisième possibilité
En fait il existe une troisième solution que je n’ose vous proposer, le cumul des deux qualifications soit ignare et antisémite. Bien sur, cette lettre sans changer un iota aurait pu être adressée à de nombreux hommes politiques occidentaux mais vous les représentez si bien!
D’ailleurs vous aurez une splendide opportunité de prouver une fois de plus votre attachement à la tolérance religieuse! Désormais, les juifs auront enfin la possibilité de prier devant ce que nous appelons le « petit Kotel », un morceau de la muraille autour de notre Mont du temple. Cet endroit se situe dans la partie encore peuplée d’arabes de notre capitale. Je suis persuadé que vous déciderez que des prières juives en un tel lieu seront une raison suffisante pour mettre un terme aux « négociations ». Vous serez sûrement rejoint sur ce point par un président européen qui trouve normal que des musulmans bloquent les rues de sa capitale en imposant leurs prières publiques mais qui trouvera anormal que les Juifs en Israël puissent prier devant un reste de leur gloire passée, une preuve de leur grandeur actuelle et un gage de leur splendeur future.
Comme l’affirmait M. Menahem Begin : « Nous y sommes par la force du droit et non par le droit de la force ».
Mais s’il faudra le démontrer par le droit de la force….
Avec mes salutations pas trop respectueuses,

 

Jacques KUPFER

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6 janvier 2011 4 06 /01 /janvier /2011 13:30

 

 

 

Par Shraga BLUM

Il a suffi qu’Israël découvre l’un des plus importants gisements de gaz – et peut-être de pétrole – au monde depuis des décennies, pour que ses pays voisins, qui ignoraient son existence, se mettent soudain à en revendiquer la propriété! On n’arrête pas l’insolence et le ridicule.

La lutte entamée par le Liban pour la possession de ce trésor inestimable est montée d’un cran mercredi, après que le porte-parole de l’ONU, Martin Nesirky, ait officiellement et catégoriquement repoussé la requête libanaise d’une intervention de l’ONU pour fixer la frontière des eaux territoriales entre les deux pays. Parallèlement, à Beyrouth, on est fortement en colère après que des hauts-fonctionnaires chypriotes aient annoncé que la compagnie « Noble Energy », associée aux recherches sur le champ gazifère « Leviathan », débutera bientôt ses forages.

La Turquie, la Syrie et le Liban ne cachent pas leur opposition à la nouvelle politique énergétique menée en collaboration entre Israël et Chypre, et accusent la Grèce, nouvel allié d’Israël, d’être derrière ces nouveaux développements… »pour les aider à voler les matières premières énergétiques appartenant à ces trois pays »!!!

Il semble que l’on assiste à peine au début d’une lutte sans pitié qui va se dérouler à propos des gisements de gaz et de pétrole dans l’Est de la Méditerranée, tant les enjeux économiques et géopolitiques sont importants. Avec d’un côté Israël, la Grèce et Chypre, et de l’autre, la Turquie, l’Egypte, la Syrie, le Liban, la République turque de Chypre et l’Autorité Palestinienne – qui se sent évidemment de la partie dès qu’il s’agit de contrer Israël.

Le ministre libanais des Affaires Etrangères, Al Shami, s’était adressé mardi à Ban Ki-Moon, Secrétaire général de l’ONU, afin « qu’il envoie des unités de la FINUL stationnées au sud-Liban pour faire stopper les opérations de forages d’entreprises israéliennes…dans les eaux territoriales libanaises »!! Dans sa lettre, Shami définissait le secteur comme se trouvant « dans les eaux territoriales qui sont à la limite du Liban et de la Palestine du nord » (sic). Mais avec une rapidité inhabituelle, Ban Ki-Moon a fait savoir « que le mandat de la FINUL selon la résolution 1701 lui confère la responsabilité des côtes libanaises mais pas de la fixation des frontières maritimes avec ses voisins ». Fin de non-recevoir.

Chypre a également réagi à la demande libanaise, en déclarant « qu’elle poursuivrait elle-aussi ses recherches de gaz et pétrole dans ces zones », et en rappelant « que la Compagnie ‘Noble Energy’ avait obtenu l’autorisation de Nicosie pour forer dans les eaux territoriales chypriotes qui touchent celle d’Israël et où se trouve le site ‘Leviathan’ ». Ces forages devraient s’effectuer entre octobre 2011 et 2013. Ceci indique qu’une coopération stratégique est en train de se dessiner entre Jérusalem et Nicosie, avec la bénédiction de la Grèce, nouvel allié stratégique d’Israël dans cette région du monde.

Cette coopération sera d’ailleurs de plus en plus forte, et les recherches de gisements supplémentaires de plus en plus concentrées, car Israéliens comme Chypriotes veulent créer des réalités irréversibles sur « le terrain » avant que ce conflit ne devienne plus aigu avec les pays qui sont en train de s’unir pour faire barrage à Israël. Ankara a déjà prévenu qu’il considère le pacte israélo-chypriote sur leurs frontières maritimes communes comme « nul est non avenu puisqu’il ne prend pas en compte les droits et les intérêts de la partie nord de Chypre », territoire occupé (réellement, lui) par les Turcs. Le Caire aussi, pays « allié d’Israël », a commencé « à étudier les limites territoriales fixées entre Israël et Chypre, pour voir si elles ne portent pas atteinte aux zones d’intérêts économiques égyptiennes en Mer Méditerranée ».

Rien ne change sous le soleil. La Bible racontait déjà comment la réussite économique de nos ancêtres fut une chose très difficile à avaler pour leurs voisins. Les Etats du Proche et Moyen-Orient, repus de pétrodollars depuis des décennies, et faisant chanter et danser le monde entier selon leurs caprices, ne supportent pas que le petit Etat d’Israël puisse lui aussi un jour avoir une petite part du gâteau.

israel7


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4 janvier 2011 2 04 /01 /janvier /2011 20:49

 

Lire également

La farce de DURBAN III The Jerusalem Post par Edith Brenner

ENCOURAGEZ LES ETATS DE L’UNION EUROPÉENNE À DIRE NON À L’ORGANISATION PAR LES NATIONS UNIES DE DURBAN III

>A l'ONU, par son vote d'abstention sur la conférence Durban 3, la France a coupé l'Europe en deux par Jean-Pierre Bensimon 

 

 

Bann H.Ouizemann

 

LA CONFERENCE      «DURBAN 3»  SOUS LE SIGNE DE LA RESOLUTION 3379

Par 'Haim OUIZEMANN

Pour aschkel.info et lessakele

 

La conférence «Durban 3» devrait se tenir à la prochaine session annuelle du Conseil de Sécurité des Nations-Unies  prévue à  New York en Septembre 2011, dans le but de commémorer  la conférence «Durban 1» qui, en 2001, a, selon le Ministère des Affaires Etrangères israélien,  laissé «une cicatrice qui ne disparaîtra pas de sitôt».

En quoi cette cicatrice se caractérise-t-elle ?

. La Conférence Durban 3: métamorphose de la Résolution 3379 ?

Lors de la Conférence contre le Racisme à travers le monde (Durban 1), en 2001, les pays arabes et musulmans profitent de l'occasion inespérée qui leur est donnée afin de conduire une ligne clairement antisémite et antisioniste et avouer de la manière la plus abjecte leur haine envers l'Etat d'Israël et sa population.

 

L'Etat hébreu est, alors, défini comme un Etat d'apartheid, un Etat occupant. Ces pays qui constituent la majorité automatique contre Israël au sein de l'Organisation des Nations Unies non seulement œuvrent afin de nier la légitimité historique de l'existence  d'Israël, mais de surcroît osent qualifier la politique d'Israël à l'égard des Palestiniens de «Shoah», discréditant par là-même la particularité de l'effroyable Shoah qui frappa le peuple juif.

De plus, cette majorité arabo-musulmane, soutenue par les pays non-alignés, tente avec un succès certain de remettre à l'ordre du jour l'infâme résolution 3379 des Nations Unies, assimilant le Sionisme au racisme (10 septembre 1975) que l'ambassadeur et futur Président d'Israël, Haïm Herzog, déchira alors publiquement.

Effectivement, l'annulation en 1991 de cette résolution négationniste et antisémite provoque l'irritation non dissimulée de ces mêmes pays. La conférence prévue en 2011 afin de commémorer le dixième anniversaire de Durban 1, en l'occurrence Durban 3, n'en constitue donc  qu'une sombre parodie.

. Durban 2: Conférence d'Evian 2 ?

La conférence de Durban 2 (2009)  à laquelle assistent plus de cent pays, est boycottée par nombre de gouvernements occidentaux qui ainsi expriment leur volonté de soutenir Israël. Effectivement, l'état hébreu a catégoriquement refusé de participer à cette

Conférence à la suite de la rédaction des minutes nécessaires à la préparation de ladite conférence, les pays hostiles à l'Etat sioniste ayant fait preuve d'opiniâtreté pour que soit maintenue la qualification de: «Etat raciste occupant», tout en affirmant: «la conférence met l'accent… sur le fait que dans le but de renforcer l'occupation israélienne, (les Palestiniens) font l'objet d'ostracisme collectif, de tortures, d'embargo économique et de limitation de la liberté de mouvement… la conférence  fait remarquer avec inquiétude que les implantations illégales continuent de se construire sur des terres arabes conquises depuis 1967».

Il semble que sur le plan idéologique,  la conférence  Durban 2 qui se tint en Suisse ne soit point sans rappeler celle d'Evian (6 Juillet 1938), et que, comme l'enseigne le livre des Proverbes: «il n'y a rien de nouveau sous le soleil».

En effet, la Suisse reste fidèle à elle-même: après «l'Anschluss», cette dernière décline la réunion d'une conférence n'ayant d'autre vocation que de trouver une solution aux réfugiés juifs fuyant l'Autriche. C'est la raison pour laquelle la ville d'Evian, en France, accueillera cette conférence dont le Président des Etats Unis est le principal initiateur.

Le Président Franklin Delano Roosevelt propose l'idée de cette conférence afin d'éviter l'entrée massive aux Etats Unis de 150 000 Juifs considérés comme un poids économique et démographique difficile à supporter pour le Nouveau Continent. Il suggère, alors, de les diriger vers l'Europe libre, prévoyant que cette dernière ouvrirait généreusement ses portes à ces Juifs apatrides.

Or, la conférence d'Evian s'achève sans aucune conclusion probante quant à l'avenir de milliers de Juifs abandonnés à leur sort. Au moment où éclate la Seconde Guerre mondiale, l'élimination systématique de six millions de Juifs est programmée dans l'indifférence des Nations du monde qui s'avère constituer une des causes majeures de la Shoah. Le régime nazi verra dans cette totale et froide impassibilité des pays «éclairés», y compris du Vatican, l'opportunité inespérée de traiter les Juifs selon le dessein faustien établi par Hitler dans «Mein Kampf», libéré de toute entrave politique et morale.

L'Histoire retiendra que le refus des Nations de trouver une solution humaniste au drame des réfugiés Juifs a ouvert la voie à l'application de la «Solution finale».

Le Secrétaire d'Etat des U.S.A en poste au moment de la conférence d'Evian, Cordwell Hull, lauréat du prix Nobel en 1945, «le père des Nations-Unies» aux dires du Président Franklin D. Roosevelt, déclare à cette même conférence qu'il n'existe aucune obligation à recevoir les réfugiés juifs.

Il est nécessaire de rappeler qu'immédiatement après l'échec de la conférence d'Evian, témoignage de la faiblesse morale des nations européennes vis-à-vis des Juifs persécutés, Hitler en personne commandite la «Nuit de Cristal» (9-10 novembre 1938), froidement organisée par Goebbels et exécutée par toutes les instances nazies.

La «Solution finale» constituera au demeurant l'aboutissement extrême de la «Nuit de Cristal». Comme en écho, quelques dizaines d'années plus tard, le monde, impuissant,  assiste, le 11 septembre 2001 à  l'explosion des «Tours Jumelles» à  New York, non loin du siège de l'Organisation des Nations Unies, et ce, trois jours après le  cuisant échec de la conférence de Durban 1.  

Les Nations n'auraient-elles donc point tiré les leçons de l'Histoire?

Les événements le donnent à penser. Pour preuve: marchant sur les traces de son prédécesseur Pie XII, le Pape de la Shoah, le Pape Benoît XVI, lors de la conférence Durban 2, se fait remarquer par son silence éloquent quant à l'attitude antisémite dont font montre les pays de l'Islam envers Israël, pensant préserver ainsi les minorités chrétiennes en pays d'Islam. Quant à la Suisse, son Président Hans-Rudolf Merz, arguant du même sophisme que son prédécesseur en 1938, affirme conduire une politique «neutre»: «La Suisse est neutre et ne prend part à aucune alliance».

A la question portant sur sa rencontre officielle avec Mahmoud Ahmadinejad, il répond qu'«il s'agit d'une démarche acceptable depuis plusieurs années. Si on demande à me rencontrer, j'accepte toujours volontiers».

Apparemment, Hans-Rudolf Merz n'a pas cru bon de faire sienne la leçon d'histoire que son prédécesseur Pascal Couchepin enseigna lorsqu'il déclara à propos des Justes suisses: (Janvier 2008): «Ces Justes sont des modèles pour notre génération et celles qui suivront. Ces personnes ont simplement dit non à la barbarie. Ils ont eu le courage et la force intérieure de dire non. La dignité humaine dépend d'actes comme ceux-là». Un de ces Justes, Paul Grüniger, officier de la police suisse, sera, sur la requête des autorités allemandes, condamné par son propre gouvernement pour avoir permis en 1938 l'entrée de 3600 Juifs fuyant la barbarie nazie. Or, tandis que ces réfugiés devenus apatrides cherchent refuge en Suisse, cette dernière leur ferme ses frontières. La réhabilitation de Paul Grüniger n'a eu lieu qu'en 1995, alors qu'Israël, dès 1971, lui attribue le titre de Juste des Nations.

Israël porte en son sein la cicatrice de l'humiliation, mémoire vivante de l'infernal et récurrent antisémitisme. Par son refus de participer à la conférence Durban 3, Israël sauve non seulement l'honneur de son nom mais aussi celui du monde libre et démocratique pour le bien des générations futures. 

 Israël n'assistera donc point à la conférence de Durban 3, redite de Durban 1 (*1).

 

(*1) Résolution 63 (Durban 1) Nous sommes préoccupés par le sort du peuple palestinien vivant sous l’occupation étrangère. Nous reconnaissons le droit inaliénable du peuple palestinien à l’autodétermination et à la création d’un état indépendant, ainsi que le droit à la sécurité de tous les États de la région, y compris Israël, et engageons tous les États à soutenir le processus de paix et à le mener à bien rapidement.

Résolution 64 (Durban 1) Nous lançons un appel en faveur d’une paix juste, globale et durable dans la région, qui permette à tous les peuples de coexister et de vivre dans l’égalité, la justice et la sécurité en exerçant les droits de l’homme reconnus à l’échelle internationale. 


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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 11:19

 

 

 

Richard Falk, le rapporteur-menteur avéré spécial de l'ONU avoue son objectif : la destruction de l'Etat juif

EoZ

traduit par Dominique KAHTAN

Pour aschkel.info et lessakele.

 

Article associé

>Agissez et Dites non !!! Au pro-terroriste siègeant officiellement à l'ONU: Richard Falk

Richard Falk, menteur aévéré et grand  manipulateur du droit international, qui soutient explicitement l'emploi de la terreur contre Israël, occupe malgré tout  le poste de Rapporteur Spécial de l'ONU pour la "Palestine". Sous sa plume, un article qui démontre clairement que la vraie raison d'être du BDS n'est pas de changer le comportement d'Israël mais bien de délégitimer Israël aux yeux la communauté internationale.

 

L'article paru dans ".aljazeera", le site ad-hoc pour acceillir sa haine, cite la vague actuelle des efforts des partisans du BDS et des défenseurs des droits pour diaboliser Israël dans l'arène internationale et la  qualifie de "Guerre pour la Légitimité"!

 

Et bien que le gros-titre dans Al-Jazeera semble indiquer qu'il s'agisse là d'une guerre pour la légitimité de la cause arabe "palestinienne", l'article n'y fait aucune référence. De fait, Falk dans un article précédent, paru dans un journal d'extrême -gauche, reprend cette  mêmes idée tout en clarifiant sa pensée:

 

La vraie raison de cette guerre  pour la légitimité est de jeter le doute sur plusieurs aspectsd'Israël et de  sa  légitimité : sur Israël, adhérant au droit et à la morale, sur Israël, force d'occupation face au peuple palestinien et respectueux des Nations Unies et du Droit International. Tous ceux qui s’engagent sur le sentier de la guerre pour  la légitimité,  revendiquent une supériorité morale dans ce conflit rampant  et veulent  s'assurer ainsi d'un appui lors de leurs multiples actions, coercitives mais non -violentes, conçues pour faire pression sur Israël, sur les gouvernements du monde et sur les Nations- Unies afin de priver Israël des droits habituels participatifs, inhérents à sa condition de membre de la société internationale.

Bien qu'il ait écrit ce paragraphe à la troisième personne, il est évident qu'il est, lui-même, un des membres dirigeants de ce mouvement qui veut expulser Israël, -et Israël seulement- de la communauté mondiale des nations.

 

Pas la Syrie! Pas l'Iran! Pas  la Chine! Pas le Soudan!

 

Nenni! dans l'esprit perverti  de Falk, seul l'Etat Juif mérite, de par son unique malfaisance, d'être banni et expulsé de la communauté internationale.

 

Même si les "palestiniens" gagnent la guerre pour la légitimité, nul ne peut garantir que la victoire produira les résultats politiques voulus. Il faudra aux "palestiniens" de la  patience, de la détermination, une direction, une vision ainsi qu'assez de doigté  pour amener les israéliens et probablement Washington aussi, à changer d'avis. Il faudrait alors que les israéliens acceptent d'abandonner le projet sioniste, si cher à leur cœur, qui est  d'établir un état juif, perspective peu envisageable pour le moment.

C'est à se demander pourquoi Richard Falk est à ce point contre un état juif (nationalité et/ou religion) tout en ne trouvant  rien à redire contre les états qui se définissent eux-mêmes comme arabes (nationalité) ou musulmans (religion).

 

(h/t Zach et Womble)

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 06:25

Le dossier

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Article associé : 

Révélations du 'Hamas - Israël avait raison. Goldstone a eu tort de croire sans réserve les mensonges du Hamasv

 

La vérité sur l'opération "Plomb durci":Comment la Commission Goldstone a minimisé le rôle du Hamas 1/2 

29/09/2009 
Jonathan D. Halevi - jcpa  

Les déclarations des "Palestiniens" enregistrées par la Commission Goldstone et publiées sur le site web de l’ONU ont fourni une preuve authentique de la méthode de travail de la Commission et ont soulevé de sérieuses questions quant à ses intentions de dévoiler la vérité.

Les membres de la Commission n’ont pas posé des questions essentielles aux Palestiniens interviewés sur les activités du Hamas et sur les autres organisations terroristes opérant dans la Bande de Gaza. Leurs activités auraient pu être classées comme crimes de guerre car elles étaient  potentiellement dangereuses à l'encontre de civils innocents. En outre, il ne figure pas dans ce rapport une seule considération sérieuse sur les incidents de « tir amical », et nous ne pouvons pas deviner combien de civils "palestiniens" ou blessés ont été touchés par les tirs palestiniens.

Les rapports publiés par les organisations terroristes "palestinienne"s elles-mêmes détaillent le combat d’une manière qui souvent contredit les témoignages "palestiniens". Plus, ces témoignages ont oblitéré la présence des terroristes armés et les échanges de tirs dans le propre voisinage.

Le 28 et 29 juin 2009, la Commission Goldstone a enregistré les déclarations "palestiniennes" au siège de l’UNRWA situé dans la ville de Gaza. Ce qui suit est une analyse approfondie des principales déclarations, la manière dans laquelle la Commission les a interprétées, ainsi que les rapports d’autres sources "palestiniennes" qui contredisent les témoignages présentés à la Commission.

Le 15 septembre 2009, la Commission Goldstone a publié ses conclusions concernant l’opération israélienne à Gaza accusant Israël de violation du droit humanitaire et des conventions de Genève ce qui impliquerait selon cette commission des crimes de guerre.

Dans sa réponse, le ministère israélien des Affaires étrangères a publié un communiqué accusant la commission d’avoir pris parti unilatéralement, en ignorant les milliers de tirs du Hamas contre les civils israéliens ce qui a provoqué légitimement la nécessité d'une opération militaire. Ce rapport ignore totalement la stratégie délibérée du Hamas opérant au sein et à proximité d'une population civile rendant densément des zones peuplées en zones de combat. La commission Goldstone n’a jamais interrogé sur les crimes de guerre "palestiniens":

-Le lancement de roquettes sur des villes et villages israéliens en visant  l’intérieur d’habitations résidentielles.

-Le tir d'obus de mortier sur des quartiers palestiniens lorsque les forces de l’armée israélienne opéraient près des zones des tirs contre des immeubles suspects d’avoir introduit des combattants palestiniens.

- La prise de logements privés servant de tremplin à des embuscades lancées contre les forces israéliennes.

- Le piège des maisons avant et pendant la guerre et l'explosion d'engins et d'explosifs.

- la plantation et l'explosion de divers types de mines et engins artisanaux anti-personnel et anti-véhicule et anti-char aux alentours des maisons  résidentielles.

-Embuscades et tirs à la mitrailleuse lourde contre les forces armées israéliennes au sein des régions résidentielles palestiniennes.

Aucune des déclarations recueillies par la commission (telles qu'elles ont été publiées dans le site de l’ONU) n’a signalé, ne fusse qu'une seule fois, la présence des Palestiniens armés, ou de combattants lançant des roquettes sur Israël ou tirant sur les forces armées israéliennes opérant dans la Bande de Gaza. Aucune considération sérieuse sur les incidents « de tir amical » palestinien, ni aucune explication sur les pertes de civils palestiniens tués ou blessés par des tirs palestiniens. En fait, ils ont signalé que durant les trois semaines de combat, il n’y avait aucune résistance palestinienne significative.

Voici l’analyse de principales déclarations, sur la manière dont la commission a interprété les témoignages. En fait, des rapports de différentes  sources palestiniennes contredisent les témoignages présentés à la Commission.

Les déclarations de la famille al-Silawi :

Trois membres de la famille al-Silawi ont été interviewés par la commission: Moussa al-Silawi (91, aveugle) Sabah al-Silawi (la femme de Moussa) et Mouteeh al-Silawi, un officiel du Hamas. La déclaration la plus détaillée a été celle de Mouteeth al-Silawi, directeur adjoint de l’administration des instances religieuses du ministère du Hamas pour le nord de la bande de Gaza. Celui-ci a affirmé qu’il n’y avait pas d’activité militaire dans la mosquée Ibrahim al-Maqadma ou dans ses alentours pendant l’attaque. Les fidèles venaient à la mosquée chercher un abri dans l’hypothèse qu'il s'agissait d'un lieu sécurisé. Les membres de la commission ont posé plusieurs questions : quel est le nom de la mosquée et où était-elle située ? Quelle était la date de l’attaque israélienne ? Un avertissement a-t-il été donné avant l’attaque ? Quand la mosquée a-t-elle été construite ? Ont-ils entendu des bruits avant l’explosion et quel dégât les Israéliens ont causé ? Combien de personnes ont été tuées et blessées dans l’attaque ? Combien de personnes étaient dans la mosquée lorsqu’elle fut attaquée ? Quelle était la distance de la mosquée de l’hôpital le plus proche ? La famille avait-elle une quantité suffisante d’équipement médical et les services étaient- ils suffisants ?

Ils ont demandé également : Sous quelles conditions les deux prières (le soir et la nuit) ont été effectuées? Ont-elles étaient consécutives ? Y a-t-il eu plus de monde lors de ces prières? Plusieurs questions étaient hors contexte et n’avaient aucun rapport à l’évènement. Les membres de la commission n’ont pas demandé au sujet des hommes armés présents dans la mosquée.  Leur présence était destinée à des fins militaires ou à inciter des fidèles à mener des attaques terroristes contre Israël? Ils n’ont pas non plus interrogé sur la présence  d'armes dans la mosquée, si des hommes armés opéraient près de la mosquée, si le Hamas et ses brigades Iz-al-DIN al-Qassam contrôlent la mosquée. N'ont-ils pas utilisé le lieu sacré pour recruter des agents?...ou identifier des victimes affiliées à leur organisation et notamment les membres de la famille al-Silawi.     

De sources palestiniennes, librement accessibles, nous pouvons facilement savoir que les victimes dans l'incident de la mosquée étaient bel et bien  des terroristes et comprenaient des membres de la famille al-Silawi, qui ont été présentés à la commission comme des civils innocents.

"Les terroristes tués dans l’attaque comprenaient" : 

-         Ibrahim Moussa Issa al-Silawi, un membre dans les Brigades Izz al - Din al-Qassam, l’aile militaire du Hamas. Né le 1er décembre 1946, à Jabaliya au nord de la bande de Gaza. Selon le site des Brigades Izz al-Din-al-Qassam, Ibrahim « a sucé du lait de sa mère l'amour pour le djihad et la haine pour l’ennemi sioniste » En 1984, il a rejoint le mouvement islamique (qui est devenu plus tard le Hamas) et était un membre des Frères Musulmans. Il avait des relations étroites avec Nizar Riyyan, un terroriste notoire qui a rejoint les Brigades Izz al -Din al-Qassam en 2003, à l’âge de 38 ans. Il a été affecté à la brigade du nord de la bande de Gaza et a participé dans des opérations militaires ; maniant des postes de première ligne à Jabaliya, combattant contre Tsahal, creusant et préparant des tunnels pour l’usage des Brigades Izz al-Din Qassam.

-         Omar Abed al-Hafez Moussa al-Silawi (Abu Souheib) est un membre des Brigades Izz al-Din al-Qassam. Né en Arabie saoudite le 29 septembre 1981, et a rejoint le Hamas et les Frères Musulmans. En 2004 il rejoint les Brigades Izz al-Din al-Qassam et a été affecté au poste de première ligne sur la frontière Est de Jabaliya. Il a également préparé et placé des engins explosifs ; a participé à des combats contre  les forces israéliennes ; et a lancé des obus de mortiers et des roquettes Qassam sur les villes et villages israéliens.

-         Sayed Salah Batah, un membre des Brigades Izz al-Din al-Qassam. Né le 7 avril 1986 à Jabaliya. Membre du Hamas et des Frères Musulmans, Il a rejoint les Brigades Izz-al-Din al-Qassam et a combattu contre Tsahal à Jabaliya, al-Salatin et dans les régions al-Atatra. Il  a préparé et placé des engins explosifs artisanaux. Déployé dans une unité qui a pour but de perpétrer des attentats suicide, il a participé  régulièrement à des embuscades contre des soldats israéliens. Selon le site d'Izz-al-Din al-Qassam, le 3 janvier 2009, il s’est rendu à la mosquée Ibrahim al-Maqadma pour rencontrer « des jeunes » et a été tué dans l’attaque  israélienne. (Note : la version des Brigades Izz al-Din al-Qassam montre clairement que le Hamas utilise les mosquées comme lieu de rencontre pour coordonner avec ses membres leur combat contre l’armée israélienne).

Son père a raconté dans ce site que pendant la première semaine des combats, son fils a lancé, chaque jour, des roquettes sur le territoire israélien. La liste des membres de l'aile militaire du Hamas présents dans cette mosquée, lors de l'opération israélienne est longue et nous n'avons mentionné que quelques uns parmi les nombreux terroristes.     

Mohammed Fouad Abou Askar s’est présenté devant la commission comme Directeur général du ministère des Instances religieuses musulmanes. Il a déclaré qu’il a été détenu en Israël en 1992 pour avoir appartenu au Hamas. Il a raconté à la commission que sa maison avait « injustement » été détruite à l'explosif par les forces israéliennes, et qu’il avait reçu auparavant un appel téléphonique l’avertissant d’évacuer sa maison. Une personne s’identifiant comme représentante des forces israéliennes était au bout du fil. 30 minutes après, la maison était sous les décombres.

Askar a raconté aussi que les alentours de l’école Al-Fakhura ont été également bombardés. L’école servait de refuge pour de nombreux Palestiniens de Beit Lahiya, Al Salatin et Al Atatra, qui l’ont considéré comme un lieu sûr parce qu’elle était située au sein du camp des réfugiés et elle portait le drapeau de l’UNRWA. Il a dit qu’il a vu, de ses propres yeux, trois fortes explosions près de l’école et qu'il a entendu plusieurs autres. Il a précisé que deux bombes ont tué 11 membres de la famille Diyab et que des dizaines de personnes  ont été tuées près de l’école et que la plupart des victimes étaient des enfants. Il n’y avait, selon lui, aucun combattant palestinien dans les parages. Askar a informé la commission que deux de ses enfants, Khaled et Imad, ont été tués, ainsi que son frère Raafat. Tous, d’après Askar, étaient des civils innocents.

Les membres de la commission ont posé plusieurs questions et notamment : Après l’alerte téléphonique qu’avez-vous fait ensuite ? Avez-vous reçu cet appel par un téléphone fixe ou par un cellulaire ? Où êtes vous parti lorsque vous avez quitté la maison ? Combien de temps s’est déroulé entre le bombardement du quartier de l’école Al- Fakhura et l’attaque contre la maison de la famille Diyab ? Avez-vous visité vous-même ou quelqu'un de votre famille les lieux juste après l’attaque israélienne ?

Bien que Mohammed Abu Askar ait admis être un membre actif  du Hamas et avoir été détenu en Israël, la commission n’a pas pensé lui demander s’il avait des liens avec les Brigades Izz al-Din Qassam. Elle n'a pas non plus interrogé sur les personnes tuées près de l’école et si elles appartenaient à une quelconque organisation ou sont-elles aussi des combattants.

Eh bien, après enquête et contrairement à ses déclarations, Askar et ses fils étaient directement et étroitement liés aux Brigades Izz al-Din al-Qassam ; un lien qui comprenait le recrutement de terroristes, des armes et des munitions et que dans le quartier de l’école Al-Fakhura, étaient présents plusieurs terroristes. Voici une partie de la liste :

-         Mohammed Fouad Abu Askar lui-même. Ses enfants et parmi eux, Khaled (tué dans l’attaque), Ahmed (tué le 7 juillet 2006 lorsqu’il a essayé de lancer un missile anti-char contre Tsahal et Osama (grièvement blessé le 13 octobre 2004 par l'armée israélienne).

Ses enfants et notamment Khaled ont été volontaires pour la préparation des attentats suicide.

En clair, la maison de Mohamed Fouad Abu Askar et ses fils a servi, nul ne le doute, d'abri aux terroristes des brigades Izz al-Din al-Qassam, de cache d'armes et d'explosifs et un tremplin  pour lancer des opérations contre Israël.

Les contradictions des témoignages sont flagrantes avec la réalité sur le terrain et avec les activités des terroristes. Notre enquête révèle de faux témoignages des familles Wail et Salah al-Samouni. Celui-ci jure par Dieu que tous ses membres sont de "paisibles agriculteurs"…Et que les soldats israéliens n'ont pas apporté une assistance médicale aux blessés.

Ce qui est faux et contredit même un témoignage rapporté par cette famille aux délégués du mouvement B' Tselem. Un de ses membres, la femme de Tawfiq Rashad Hilmi al-Samouni, a avoué que son mari, qui a été tué le 5 janvier 2009, fut un combattant du djihad islamique palestinien. Une brochure du djihad islamique palestinien note en effet  que Muhammad et Walid al-Samouni furent des combattants actifs dans le quartier de Zeitoun.

Selon leur version, le soir du 4 janvier 2009, ses combattants ont tiré un RPG sur un char israélien et ont ouvert le feu sur des soldats de Tsahal. A 1H20 du 5 janvier, un palestinien du Djihad islamique de l’unité d’ingénierie a fait exploser une bombe de 50KGS près d’un char  israélien non loin de la mosquée Al-Tawhidi, dans le quartier Zeitoun. Selon une autre déclaration officielle du Djihad islamique; l'un de ses combattants portait le nom de Muhammad Ibrahim al-Samouni.

Un autre témoignage est celui de Khaled Muhammad Abdi Rabbo. Il

rapporte la mort de deux de ses enfants. Il habite à Jabaliya près de la frontière israélienne dans une maison de quatre étages. Lui et sa famille n’ont pas quitté leur demeure même lorsque les combats terrestres ont commencé. Il a déclaré n’avoir pas vu d’activité de palestiniens armés dans la région. Il a dit que le 7 janvier les forces armées israéliennes ont occupé le quartier et ont positionné leurs chars tout près de leurs maisons. Les soldats ont utilisé un mégaphone pour appeler les résidents de sortir de leurs maisons. Les Palestiniens ont quitté en tenant un drapeau blanc et un des soldats, sortit de son char et a tiré sur ses enfants sans raison. Il a dit que deux de ses filles furent aussi tuées ; une autre fut grièvement blessée, et sa femme fut blessée également.

Aucune question ne fut posée par les membres de la commission sur le déroulement des évènements, ou s'il y ont vu des échanges de tirs à proximité, ou s'il y avait des palestiniens armés.

Contrairement aux déclarations faites pas Khaled Abdi Rabbo, les sources palestiniennes ont rapporté qu’il y avait une activité militaire palestinienne dans le quartier près de l’incident et des échanges de feu entre des palestiniens et les forces de Tsahal. Khaled a déclaré que ses filles ont été touchées par des soldats et quatre palestiniens furent tués tout près. Ibrahim Abdi al-Rahim Sulaiman, 19 ans, un membre des brigades Izz al-Din al-Qassam, Shadi Issam Hamad, membre du Front populaire pour la libération de la Palestine (George Habash) Muhammad Ali al-Sultan, 55ans, membre des Brigades Izz al-Din, et Ahmad Adib Faraj Juneid, 26 ans, membre des Brigades Izz al-Din

Les circonstances de la mort d'Ahmed Juneid  éclaircissent l'incident. Ce dernier a rejoint le Hamas en 2003 et plus tard  les Brigades Izz al-Din al-Qassam. Posté près de Jabalyia, il a rejoint l’unité de sabotage et de suicide des Brigades et a participé à des embuscades et des combats contre les soldats de Tsahal. Selon le site des Brigades Izz al-Din, Ahmed Juneid a participé, le 7 janvier, à une embuscade contre les soldats israéliens située dans une des maisons à l’Est de Jabaliya. Selon ce site, il a été tué par un missile lancé par un drone.

Khaled Abu Rabbo  dont ses filles ont été tuées, n’a pas raconté à la commission de l’ONU sur les échanges de tir entre les deux camps. La possibilité n’exclut pas que ses enfants furent pris entre les échanges de tirs et ont pu être tués par les Palestiniens.

Comme on peut le constater et à partir d’une analyse détaillée de sources palestiniennes (en arabe) les déclarations et les témoignages palestiniens certifiés par la commission Goldstone sont contradictoires. L'enquête que ses membres ont dirigée s’est avérée superficielle et partiale. Elle n'a pas présenté sérieusement les faits et ce rapport n'a pas réussi à recueillir des témoignages crédibles et n'a pas dévoilé toute la vérité sur le terrain. 

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30 décembre 2010 4 30 /12 /décembre /2010 19:16

 

bann daniel pipes

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Un fonctionnaire de l'UNRWA demande aux Palestiniens d'accepter la réalité

par Daniel Pipes
23 octobre 2010

danielpipes

Version originale anglaise: UNRWA Official Calls on Palestinians to Accept Reality
Adaptation française: Anne-Marie Delcambre de Champvert

  Soyez le premier de vos amis à indiquer que vous aimez ça.

Voici une histoire [inhabituelle, du genre] « un homme mord un chien »: Le directeur du bureau représentatif de New York de l'Office de secours et de travaux des Nations Unies [UNRWA], Andrew Whitley, a dit, lors d'un colloque à Washington, que les Palestiniens devraient accepter de ne jamais retourner en Israël et, plutôt que de continuer à en rêver, ils devraient travailler pour améliorer leur situation actuelle.

Andrew Whitley de l'UNRWA.

Si on ne commence pas rapidement une discussion avec les réfugiés pour qu'ils réfléchissent à ce que peut être l'avenir pour eux- car c'est à eux de commencer à débattre du rôle qui est le leur dans les sociétés où ils sont, plutôt que d'être laissés dans un état d'incertitude où ils sont impuissants mais en préférant qu'ils gardent les cruelles illusions que peut-être ils retourneront un jour dans leur foyer- alors nous accumulons des[ tas de] problèmes pour nous-mêmes. ...

Nous reconnaissons, comme je pense que la plupart le font, même si ce n'est pas une position que nous avons publiquement exprimée, que le droit au retour est peu susceptible d'être exercé sur le territoire d'Israël, dans une mesure importante ou significative. Ce n'est pas une question politiquement acceptable, ce n'est pas celle que défend publiquement l'UNRWA, mais c'est néanmoins un aspect connu de la question.

Whitley a conclu ces remarques surprenantes en suggérant que l'UNRWA réinstalle ses clients plutôt que de continuer à perpétuer leur statut de réfugié.

Commentaire: Comme cela fait du bien d'entendre de telles paroles. Comme je l'ai dit en 2009, si les Palestiniens renonçaient à leur rêve irrédentiste de l'élimination d'Israël, cela « les libérerait pour se concentrer sur leur propre politique, économie, société et culture» et «devenir un peuple normal."

Mise à jour du 3 novembre 2010: Après des plaintes de l'Autorité palestinienne, du gouvernement jordanien, et de beaucoup d'autres, Whitley a présenté de plates excuses pour ses remarques dans une lettre adressée au porte-parole de l'UNRWA:

Je vous écris suite à ma prise de conscience - à partir des rapports des médias, des déclarations et des lettres de particuliers, organisations et gouvernements – que la partie du discours que j'ai prononcé à un colloque à Washington organisé par le Conseil national sur les relations US-Arabes, le 22 Octobre 2010, était inappropriée et fausse. Ces observations ne représentent pas le point de vue de l'UNRWA.

Je tiens à exprimer mes sincères regrets et excuses pour tout le mal que mes paroles ont pu faire à la cause des réfugiés de Palestine et pour toutes les offenses causées. J'ai passé une grande partie de ma longue carrière à travailler pour le peuple palestinien, et à défendre leurs droits, à titre professionnel. Ce n'est certainement pas ma conviction que les réfugiés devraient renoncer à leurs droits fondamentaux, y compris le droit au retour.

Je tiens à mettre cette lettre en archive publique par égard au fait que ce que j'ai dit à Washington pourrait être interprété de manière à nuire à la réputation et au travail de l'UNRWA, une organisation que j'ai été fier de servir depuis juillet 2002. L'Agence a toute liberté pour utiliser ma déclaration de toutes les façons qu'elle juge opportunes. Il n'est pas nécessaire de répondre

Cordialement,

Andrew Whitley

Commentaire: Que l'UNRWA puisse envisager de cesser ses activités et d'aider à mettre fin au conflit israélo-arabe – c'était trop beau pour être vrai.


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