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29 décembre 2010 3 29 /12 /décembre /2010 04:01

 

 

Dossier Onu et Consorts

 

ONU - Fabrique a résolutions contre Israël ! 

Source: Par David EYE on the UN


Voici les 5 pays qui ont fait l’objet du plus grand nombre de résolutions des Nations-Unis depuis 2003 (date à laquelle les statistiques ont commencé à être compilées):

Antisémite
Source: EYE on the UN

De voir les Nation-Unis s’acharner sur la seule terre de liberté du Moyen-Orient, c’est la démonstration la plus éloquente de l’échec de cette organisation.

Autrement, comment peut-on justifier le fait qu’Israël ait été l’objet d’un plus grand nombre de résolutions que le total cumulé par: le Soudan, l’Iran, la Corée du Nord, le Myanmar, le Turkménistan, Cuba, le Sierra Leone, l’Ouzbékistan, la Lybie, l’Arabie Saoudite, la Chine, la Russie et la Syrie…

 

 

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26 décembre 2010 7 26 /12 /décembre /2010 03:13

 

 

 

La farce de DURBAN III

The Jerusalem Post |Traduction pour Info’SION par Edith Brenner

 

Pétition
L’ONU est devenue un outil dans les mains des plus grands auteurs de violations des droits de l’homme. Le lundi 20 décembre, l’Assemblée Générale de l’ONU est supposée voter sur l’initiative de la réalisation de « Durban III ». Si, en septembre prochain, le mouvement des Non-Alignés et autres qui cognent sur Israël et les USA est majoritaire lors de l’Assemblée Générale qui aura lieu au plus haut niveau, dans la ville de New-York,

une cérémonie spéciale commémorera le 10ème anniversaire de la Conférence Mondiale de l’ONU contre le Racisme, la Discrimination Raciale, la Xénophobie et l’intolérance Associée qui a eu lieu à Durban en Afrique du Sud.

Tout comme la conférence de 2001 et celle qui a suivi, en avril 2008 à Genève, cette troisième incarnation n’aura absolument rien à voir avec son prétendu objectif déclaré. Comme l’a noté Irwin Cotler, l’expert juridique des droits de l’homme dans sa description de Durban I, elle deviendra sans aucun doute le bureau central de la fusion de l’antisémitisme au vitriol et de « l’union d’une nouvelle mondialisation virulente et anti-judaïque nostalgique de l’atmosphère qui prévalait en Europe dans les années 1930 ».

Le cynisme et le mépris intentionnel des droits de l’homme et de la liberté des deux Durban ont été ahurissants.

L’un des prospectus distribués à Durban, par exemple, présentait une image d’Adolf Hitler au dessus du texte : « Que serait-il arrivé si j’avais gagné. » ? De bonnes choses.

Il n’y aurait eu aucune effusion de sang israélien et palestinien (sic). Vous devinez le reste. « Les Protocoles des Sages de Sion » étaient remis gratuitement, ainsi que d’énormes quantités de propagande islamiste sur Israël, Trotskiste et antimondialiste associées montrant Israël comme un état raciste, théocratique et appliquant l’apartheid. A Durban, le Forum des ONG faisait référence à « l’ethnocide » supposé appliqué par Israël contre les palestiniens.

Le comité d’organisation de Durban II, présidé et co-présidé par les guides des droits de l’homme tels que la Libye, l’Iran, le Pakistan et Cuba, ont mis au point, avant la conférence, un projet de déclaration de 88 pages accusant les USA, Israël, l’Europe de l’Ouest et les autres démocraties libérales d’attitudes racistes et de politiques contre l’Islam. Les centaines de milliers de gens assassinés au Darfour sur des bases racistes n’étaient même pas mentionnées, ni les atrocités commises au Congo et au Kenya, ni les abus routiniers aux droits de l’homme dans tout le monde musulman.

Si le résultat de la réunion est l’obtention sans effort d’une majorité qui soutiendra toute motion contre Israël, il y a de fortes chances que lundi, l’Assemblée Générale vote en faveur de la tenue de Durban III. Il reste cependant un petit espoir, c’est que l’ONU conserve un minimum de raison et annule la proposition, uniquement pour respecter les sensibilités américaines.

Septembre 2011 sera le dixième anniversaire d’un autre événement historique. Ce serait tout simplement l’occasion d’organiser une autre manifestation contre l’Ouest alors que l’Amérique commémore la perte d’êtres chers assassinés par les terroristes pendant les attaques du 9 septembre.

Si l’ONU avance avec Durban II, avec la mise en scène d’une orgie de bigoterie haineuse et de racisme contre l’Amérique et l’Occident, il n’y aura aucune alternative que le lancement d’un appel par la Conférence des Présidents des principales Organisations Juives Américaines à tous les pays sensés et moralement responsables pour leur demander de s’abstenir d’y participer.

Malheureusement, avec les années, les heures brillantes de l’ONU se sont raréfiées et sont restées isolées. Parmi elles, le 16 décembre 1991, il y a presque 19 ans exactement, a eu lieu la révocation de la Résolution 3379 de 1975 assimilant le sionisme au racisme. Et surtout, évidemment, celle de l’Assemblée Générale de l’ONU du 25 novembre 1947 qui a décidé de la partition de la Palestine, en donnant naissance à l’Etat d’Israël. Elle aurait également donné naissance à un état palestinien sans l’intransigeance virulente des états arabes.

Malheureusement, la capacité de l’ONU à faire respecter les impératifs moraux de ses fondateurs a considérablement diminué depuis lors.

Entre les mains des plus grands auteurs de violations des droits de l’homme, l’ONU est devenu un outil, utilisé pour détourner l’attention de leurs actes abominables en attaquant l’Amérique, Israël et les autres pays qui essaient courageusement de sauvegarder la liberté tout en menant une guerre contre la terreur.

Comme le note Robert Wistrich, l’historien de l’antisémitisme, dans son livre Obsession Mortelle, c’est le régime soviétique qui, le premier, dans les années 1960 et 1970, a utilisé la délégitimisation d’Israël, en incluant des comparaisons visuelles et verbales constantes entre Israël et l’Afrique du Sud, comme moyen de ralliement du soutien des Arabes et des Africains pendant la Guerre Froide. Cette campagne a particulièrement réussi à l’ONU, où le système « un pays, une voix » a donné un pouvoir disproportionné à de nombreux petits états africains et musulmans.

Une organisation créée pour faire avancer la liberté et l’égalité a effectivement été détournée par des régimes autoritaires. Si lundi, l’ONU décide de lancer Durban III, le peu de respect et de crédibilité dont elle bénéficie diminuera encore plus.

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25 décembre 2010 6 25 /12 /décembre /2010 19:11

 

 

ENCOURAGEZ LES ETATS DE L’UNION EUROPÉENNE À DIRE NON À L’ORGANISATION PAR LES NATIONS UNIES DE DURBAN III
publié le 17/12/2010

licra

 Participez à cette initiative  en signant la pétition ICI 

L’Assemblée Générale des Nations Unies tente de faire voter une résolution organisant un « Durban III » sous la forme d’un sommet des chefs d’Etats qui se tiendrait le 21 Septembre 2011 à New York.

L'événement célébrerait le 10ème anniversaire de la conférence de Durban de 2001 sur le racisme - un rassemblement qui a été détourné par des dictateurs et leurs alliés, et qui a fini par promouvoir l'antisémitisme et par désigner l'Amérique, l'Occident et Israël comme Etats racistes.

Si les États-Unis, le Canada et l'Australie s'opposent à cette résolution de l’Assemblée Générale des Nations Unies, le vote de l'Union Européenne, qui est essentiel, est lui encore indécis.

La licra souhaite que la France et plus généralement l’Union européenne se mobilisent davantage et fassent preuve d’une fermeté absolue en se positionnant officiellement contre la résolution organisant cette « célébration » de la Conférence de Durban I.

Nous nous associons à cette occasion à la pétition en ligne « Exhortez les Etats de l'Union européenne à s'opposer au projet de l'ONU d’organiser Durban III » que l’Organisation Non Gouvernementale suisse UN Watch a lancé le 16 décembre 2010. Elle permet à tous les citoyens de l’Union Européenne d’envoyer à Madame Catherine Ashton, Haute représentante de l’Union Européenne pour les affaires étrangères, le message suivant (extraits) :

« En tant que militant des Droits de l'Homme et de l'égalité, je prie instamment les 27 Etats membres de l'Union européenne à voter Non à la résolution de l'ONU organisant un « Durban 3 » l’année prochaine à New York.

Le projet de résolution appelle à un sommet des chefs d’Etat le 21 Septembre 2011 « pour commémorer le dixième anniversaire de l'adoption de la Déclaration de Durban ». Le programme de cet évènement serait intense, avec des « réunions plénières d’ouverture et de clôture», des « tables rondes consécutives » et des « groupes thématiques », l’ensemble aboutissant à une « déclaration politique » - le tout dans la célébration de la « Conférence mondiale sur le racisme » qui s'est tenue à Durban, en Afrique du Sud, en 2001 et qui a fait de l’Amérique, de l'Occident et d’Israël des boucs émissaires.

Les États-Unis, le Canada, l’Australie et plusieurs États européens ont déjà voté Non lors de l’examen de cette résolution par la 3ème Commission de l’Assemblée Générale des Nations Unies. Dans leur déclaration, les États-Unis se sont dis « profondément troublés par le choix de la date et le lieu de cette commémoration  du 10ème anniversaire de Durban I. Quelques jours plus tôt, nous honorerons les victimes du 11 septembre, dont les proches vont marquer l’anniversaire solennel des 10 ans pour eux et la nation tout entière. Ce sera un moment particulièrement sensible pour les habitants de New York et une répétition de l'expérience au vitriol malheureusement vécue en 2001 à Durban – et lors des évènements liés - risque de nuire à la relation entre les Etats-Unis et l'ONU  pour laquelle nous avons durement travaillé ces dernières années ».

Comme vous le savez, la conférence de Durban en 2001 a non seulement échoué à lutter contre le racisme – mais a elle-même incité au racisme. Durban I fut la pire manifestation internationale d'antisémitisme depuis la Seconde Guerre Mondiale. (…)

Le pire est que le projet de « Durban III » de l’ONU invite en particulier les organisations non-gouvernementales (ONG) à « organiser et soutenir des diverses initiatives à haute visibilité... pour commémorer le dixième anniversaire de l'adoption de la Déclaration de Durban ».

Cette situation est alarmante étant donné que le Forum des ONG qui s’était tenu sous l'égide de l'ONU lors de la conférence de 2001 a été entièrement dominé par des extrémistes anti-Occident et anti-Israël. Ces derniers ont officiellement déclaré Israël « Etat d'apartheid raciste » coupable de « génocide ». Dans les rues de Durban, des milliers de militants « pro-palestiniens » ont brandi des pancartes disant : « Hitler aurait dû finir le travail ». D'autres ont distribué des exemplaires du livre notoirement antisémite Le Protocoles des Sages de Sion. A Durban, des militants juifs des droits de l’Homme ont été intimidés et menacés physiquement et des étudiants traumatisés.

Par chance, la tentative de 2009 de reproduire ces scènes à Genève, lors de la conférence de Durban II, a été déjouée. Les lignes rouges posées par l'Union européenne ont pu tenir éloignées les pires dérives dans la déclaration finale adoptée par cette conférence. Le Sommet de Genève pour les Droits de l’Homme, co-organisé par la Licra et UN Watch, a permis aux véritables victimes des violations des droits de l’Homme d’occuper l’espace public et d’attirer l’attention internationale sur leurs récits.

L'Union européenne est le bloc de démocraties le plus influent à l'ONU. Il ne faut pas donner une apparente caution morale à un événement qui offrira une dangereuse tribune aux dictateurs que sont le président iranien Mahmoud Ahmadinejad et le leader libyen Mouammar Kadhafi.

Par conséquence, pour soutenir véritablement les Droits de l'Homme et la lutte contre le racisme, j'exhorte tous les Etats de l’Union Européenne à voter Non à la résolution de l'ONU sur Durban III. »

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23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 06:02

 

Tiens ?

Une toute petite timide réaction ?

 

L'émissaire de l'Onu soutient le droit d'Israël à se défendre
Par JPOST.FR 
22.12.10

Le coordinateur spécial de l'ONU pour le processus de paix au Moyen-Orient, Robert Serry, a condamné mercredi la multiplication des tirs de roquettes et d'obus de mortiers aveugles par des groupes d'activistes à Gaza, qui se sont intensifiés ces derniers jours contre le territoire israélien.


PHOTO: AP , JPOST

"Ces attaques constituent une violation flagrante du droit international humanitaire et mettent en péril des civils en Israël", a déclaré Robert Serry dans un communiqué.

"Israël a droit d'exercer sa légitime défense en accord avec la loi internationale. Mais, j'appelle l'Etat hébreu à faire preuve de retenue et à prendre toutes les précautions pour garantir que ses forces ne mettent pas en danger des civils à Gaza, qui trop souvent paient le prix fort de l'escalade de la violence", a-t-il ajouté.

En réponse aux tirs de roquettes et d'obus de mortiers, l'aviation israélienne a lancé une série de raids contre l'enclave palestinienne contrôlée par le Hamas. Cinq terroristes islamistes ont été tués au cours d'un raid contre la bande de Gaza samedi soir.

Une escalade des violences qui fait craindre le déclenchement d'une opération militaire israélienne de grande ampleur contre la bande de Gaza.

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23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 05:33

 

 

 

 

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Le problème des réfugiés- scénario possible au lendemain de l’Indépendance "palestinienne"

Jonathan D. Halevi 

jcpa

  • Les divergences entre Israël et les Palestiniens sur la solution de la  question des réfugiés sont profondes et elles ne peuvent être aplanies. Les Palestiniens exigent « une paix équitable », signifiant  la reconnaissance du droit au retour et rejettent « une  paix de compromis». 
  • La position palestinienne obtient un soutien de diverses organisations, palestiniennes et israéliennes, pour les droits de l’homme. Elle s'appuie sur des résolutions de l’ONU, confirmant le droit au retour comme « droit privé » pour chaque réfugié, ce qui signifie que pour les représentants du peuple palestinien (et non pour la ligue arabe et l’ONU) aucune autorité ne pourra renoncer à ce droit au nom des réfugiés. 
  • La formule « une solution équitable sera convenue conformément à la résolution 194 » est incluse dans l’initiative de paix arabe, mais elle ne reflète pas la volonté implicite au compromis palestinien possible en ce concerne le droit au retour. « Sera convenue » signifie qu’il faut imposer à Israël son acceptation d’appliquer les revendications palestiniennes au nom de « la Justice ». 
  • L’OLP et l’Autorité palestinienne continuent à favoriser au sein de la société palestinienne l’idée du retour des réfugiés. Ils écartent  toute possibilité de réinstallation des réfugiés hors des camps et perpétuent le rôle de l’UNRWA comme expression symbolique et pratique à la revendication du retour. 
  • Selon le consensus palestinien, la non mise en œuvre du droit au retour perpétuera le conflit, et par conséquent la justification de poursuivre la lutte armée contre Israël restera en vigueur même après la création d’un Etat palestinien. 
  • Le transfert des postes frontaliers sous contrôle palestinien et/ou la création d’un Etat palestinien risque de conduire à une vague d’immigration/d’expulsion en masse de Palestiniens, principalement du Liban, de la Syrie, et de le Jordanie, vers le territoire palestinien et sans accord politique. 
    Le problème des réfugiés, pierre d'achoppement durant plusieurs     décennies, risque donc d’éclater sur nombreux plans: 
    * Infiltration de Palestiniens dans le territoire israélien. 
    * Revendications juridiques de réfugiés devant des tribunaux israéliens et devant la Cour internationale de Justice de la Haye afin d'obtenir le droit au retour, la restitution des biens et indemnités.
    * Focalisation de la lutte armée pour le droit au retour (Intifada de réfugiés) 
    *Escalade de la campagne diplomatique dans l’arène internationale pour imposer à Israël d’accepter le droit au retour (boycottage et Apartheid) 
  • Israël devrait obtenir un soutien international solide dans le cadre des négociations sur le statut final. Il doit parvenir à un accord sur la base de frontières défendables et trouver une solution permanente au problème des réfugiés, basée principalement sur la naturalisation des réfugiés dans les pays d’accueil ou leur absorption dans le futur Etat de Palestine.




Le droit au retour a été exprimé clairement et à plusieurs reprises par tous les leaders palestiniens. Saeb Erekat, chef des négociations en cours, a affirmé lors d’une réunion publique avec les membres du mouvement du Fatah de la région d’Hébron, réunie le15 avril 2009: «  

Le droit au retour est un droit privé pour tous les réfugiés palestiniens et personne ne pourra décider à leur place. Israël a une responsabilité historique sur la souffrance des réfugiés palestiniens et de l’attribution d'indemnités pour les dégâts subis et indemnités aux Etats qui les ont hébergés."   

Quant au président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas,  il insiste toujours sur la revendication d'une « une paix équitable». 

Les propos d'Erekat sont compatibles aux positions du chef de l’OLP et de l’Autorité palestinienne  et l’attitude de Mahmoud Abbas est tout à fait similaire à celle de Yasser Arafat, fondateur de l’OLP. 

Lors du dernier sommet de Washington en présence de Netanyahou et le président Obama, réunis en septembre 2010, Mahmoud Abbas a réitéré dans son allocution  et à trois reprises l’importance d’établir « une paix juste et équitable » et a déclaré que le peuple palestinien « a besoin plus que d'autres de sécurité, de justice et de paix ». 

Le mot « compromis » n’a pas été mentionné par Mahmoud Abbas et ne figure nullement dans son attitude pour un règlement futur avec Israël et en particulier sur le problème des réfugiés. « Justice » rejette totalement « compromis » selon la conception basée sur la résolution 194 de l’Assemblée générale des Nations-Unies. Elle  offre la légitimité juridique à la revendication du droit au retour des réfugiés palestiniens. Cette conception a été confirmée à maintes reprises pour pouvoir parvenir selon Mahmoud Abbas: " à une solution politique globale et équilibrée qui assurera la sécurité et la stabilité à tous les peuples et Etats de la région, principalement à l’Etat de Palestine et à sa capitale, Al Kouds, Jérusalem l’éternelle. Elle  garantira les droits des réfugiés palestiniens pour leur retour aux foyers, conformément aux résolutions juridiques internationales et notamment à la résolution 194 ». 

Salam Fayyad non plus n'évoque pas le compromis comme base « à la solution juste et convenue » avec Israël et pense qu’Israël devrait reconnaître « la justice palestinienne » volontairement ou à contrecoeur. Dans un discours prononcé à la conférence des donateurs pour les camps des réfugiés à Nahr Al Bared au nord du Liban (23 juin 2008) Fayyad a déclaré: " nous devons forcer Israël à accepter nos revendications et notamment l’initiative arabe pour la paix , qui a fourni une occasion historique à parvenir à une paix juste stable et globale pour tous  les peuples de la région et ainsi aboutir à une solution juste et convenue pour le problème des réfugiés conformément à la résolution 194 mentionnée dans l’initiative arabe de paix ». 

Le plan de Salam Fayyad pour la création d’un Etat palestinien publié en août 2009, éclaire sans équivoque que la réalisation de « la justice » palestinienne sur la question des réfugiés est une condition fondamentale à la paix, et par extension à la stabilité régionale et la sécurité. Dans un autre discours, prononcé dans le camp des réfugiés de Kalandia, situé dans le nord de Jérusalem, Fayyad souligne qu'une "paix durable ne sera pas établie sans solution au problème des réfugiés conformément aux revendications juridiques internationales et principalement à la résolution 194 ». Il a également déclaré à ce sujet que « le problème des réfugiés est le cœur du problème palestinien. La lutte politique de l’OLP dans sa patrie et en diaspora a pour but de réaliser tous les droits légitimes consacrés, au retour, à la liberté et à l’autodétermination dans le cadre d'un Etat palestinien indépendant établi sur toutes les frontières de 1967. ». 

Marwan Barghouti, chef du Fatah en Cisjordanie, et qui purge aujourd'hui une peine de prison à vie pour avoir  assassiner des civils israéliens, a rappelé dans une interview au journal « Al Hayat (28 septembre 2010), les principes de la loi du retour des réfugiés conformément à la résolution 194.». 

Hussam Hader, l'un des chefs du mouvement Fatah à Naplouse a mis en garde « tout président (palestinien) qui signera au nom des réfugiés la renonciation du droit au retour… nous serons dans l’obligation de l’éliminer ou de se rebeller contre lui. » 

Hannan Ashrawi, une autre représentante éminente considérée dans le « courant pragmatique » montre des positions semblables dans le consensus palestinien et insiste sur le droit au retour comme droit privé de chaque réfugié, c’est-à-dire que les représentants du peuple palestinien n’ont aucun pouvoir de renoncer à ce droit. 

Pour Samir Abdullah, signataire de l’initiative de Genève de 2003 et ancien ministre du Travail et de Planification au sein de l’Autorité palestinienne, a déclaré dans une interview publiée le 12 avril 2008:

" Bien naturellement, nous ne renoncerons jamais à ce droit. Le retour des réfugiés est notre carte la plus importante dans les négociations et sa valeur en ce qui concerne le peuple palestinien est capitale." 

En février 2010, des signataires de l'initiative de Genève ont envoyé également une lettre ouverte à Mahmoud Abbas  exprimant fermement leurs oppositions à la reprise des négociations avec Israël sans accord préalable sur la question du droit au retour." 

L’attitude de l’initiative arabe de paix à la question du droit au retour

L’initiative  arabe de paix, adoptée lors du sommet des dirigeants des pays arabes à Beyrouth (mars 2002), a présenté les principes du règlement du conflit israélo-arabe, et a inclus leur attitude au problème des réfugiés palestiniens. Dans l'article relatif à ce sujet, nous pouvons lire:« nous devons trouver une solution juste au problème des réfugiés palestiniens, sur laquelle elle sera conforme à la résolution 194 de l’assemblée générale de l’ONU » et « nous rejetons toutes les formes de citoyenneté aux Palestiniens, contredisant les circonstances particulières des pays arabes d’accueil ». 

Le président syrien Assad a déclaré que le droit au retour est un droit privé pour tout réfugié et n’est pas un sujet attribué à aucun gouvernement ni même à un palestinien qui n’est pas réfugié, et donc les décisions du sommet de Beyrouth ne peuvent en aucun cas atteindre le droit au retour. 

Tous les Etats arabes où résident des Palestiniens définis comme réfugiés soutiennent sans contestation le droit au retour. le Liban adoptent une politique traditionnelle qui précise clairement  que les camps des réfugiés dans leur territoire sont provisoires et  que les réfugiés retourneront en Palestine lorsque les  conditions seront mûres. Le régime jordanien s’est  déconnecté de la Cisjordanie en 1988 et a accordé des passeports  jordaniens à tous les réfugiés mais a déclaré qu’après la création de  l’Etat palestinien les réfugiés devront décider s’ils préfèrent devenir des citoyens jordaniens ou retourner en Palestine. 

L’expulsion massive de population palestinienne a bien eu lieu durant  ces trois dernières décennies. Le Koweït a expulsé 400 mille Palestiniens après la première guerre du Golfe pour avoir soutenu l’Irak de Saddam Hussein. La Libye avait ordonné l’expulsion de 30 mille Palestiniens mais en fin de compte est revenue sur sa décision suite à la fondation de l’Autorité palestinienne. L’Irak a expulsé des dizaines de milliers de Palestiniens suite à la chute du régime de Saddam Hussein en 2003. 

En conclusion, le problème des réfugiés demeure au cœur du conflit et selon le point de vue palestinien représente une carte maitresse. Les Palestiniens pourront l'utiliser sur le plan démographique en épuisant tous les arguments israéliens. Suite à la création de l’Etat palestinien et à long terme, cette carte jouera en leur faveur à fin de pouvoir l'assimiler dans l’Etat de Palestine étendue de la "mer au fleuve". 

Dans ce contexte, Israël devrait obtenir un soutien ferme de la communauté internationale pour que sur le règlement final avec les Palestiniens un accord sera signé sur la base de frontières défendables avec une solution définitive au problème des réfugiés.  Il devrait mentionner clairement leur naturalisation dans les pays d’accueil ou leur absorption dans le futur Etat de Palestine.


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23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 05:02

 

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Bugget 2011 pour L'UNWRA, la fabrique à réfugiés "palestiniens"

 


 

07/12/2010
Assemblée générale
AG/11032 
PAL/2138

Département de l’information • Service des informations et des accréditations • New York

Commission spéciale pour les annonces

De contributions volontaires à l’UNRWA

1èreséance – matin


VINGT-QUATRE ÉTATS MEMBRES, L’UNION EUROPÉENNE ET LE SAINT-SIÈGE S’ENGAGENT À SOUTENIR FINANCIÈREMENT L’UNRWA AU COURS DE L’ANNÉE 2011


Dix-huit États Membres, l’Union européenne et le Saint-Siège ont annoncé, ce matin, des contributions d’un montant d’environ 220 millions de dollars -dont environ 100 millions de dollars par l’Union européenne- pour financer les activités de l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA) au cours de l’année 2011.  Le représentant de l’Union européenne a annoncé le versement en début d’année d’une première tranche de 40 millions d’euros, soit environ 53 millions de dollars.


Six autres États Membres ont promis d’annoncer et de verser leurs contributions à l’UNRWA à une date ultérieure.  L’an dernier, les apports financiers de ces six États (États-Unis, Japon, Pays-Bas, Norvège, Chine et Australie) à l’UNRWA pour l’année 2010 qui s’achève s’étaient élevés à 300 millions de dollars, dont 240 millions de dollars venant des États-Unis.


Présentant les grandes lignes du budget de l’Office et les défis complexes auxquels se heurte l’UNRWA, Mme Margot Ellis, Commissaire générale adjointe de l’UNRWA, a estimé que les besoins de l’Office de secours et de travaux pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient s’élevaient à 621,2 millions de dollars, somme nécessaire pour pouvoir satisfaire les besoins des refugiés en 2011.  Elle a indiqué qu’en raison de projections défavorables, le total des ressources à mettre au profit de la satisfaction de ces besoins avait été revu à la baisse, soit 565 millions.  Cette somme devrait servir à faire face aux besoins les plus urgents, a précisé Mme Ellis.  Elle a rappelé que l’UNRWA avait déjà été confronté à une des situations financières les plus graves de son histoire, avec un déficit de 100 millions de dollars en 2010, qui n’a pu être comblé que grâce à une réaction « exceptionnelle » des États Membres.


Dans ses remarques liminaires, M. Joseph Deiss, Président de la soixante-cinquième session de l’Assemblée générale, a rappelé que cinq millions de réfugiés étaient aujourd’hui enregistrés auprès de l’UNRWA; soit six fois plus qu’en 1950.  « Créé le 8 décembre 1949, l’UNRWA n’avait pas vocation à exister éternellement », ont rappelé plusieurs délégations, ainsi que le Président de l’Assemblée générale, tout en soulignant le rôle indispensable que continue de jouer cette institution.


Seul programme des Nations Unies qui soit un organe subsidiaire de l’Assemblée générale, l’UNRWA fournit une assistance dans les domaines des secours et des services sociaux de base, de l’éducation, de la santé, du microfinancement et des infrastructures des camps, à près de 5 millions de réfugiés palestiniens vivant en Cisjordanie, dans la bande de Gaza, au Liban, en République arabe syrienne et en Jordanie.


Dans ses remarques de clôture, l’Observatrice de la Palestine auprès des Nations Unies a remercié les donateurs pour leur générosité et leur soutien, et elle a salué l’engagement et les efforts de l’UNRWA en faveur du bien-être et de la protection des refugiés palestiniens.  Les contributions annoncées aujourd’hui, a-t-elle ajouté, permettront à l’Office de poursuivre ses programmes de secours et de continuer à fournir aux réfugiés palestiniens un espoir et une dignité essentiels alors qu’ils attendent toujours que justice leur soit rendue.  Elle a souligné la responsabilité morale de la communauté internationale tant que la question de la Palestine ne sera pas résolue de manière juste et durable et que l’on ne sera pas parvenu à une solution à deux États coexistant en paix au Moyen-Orient.


La représentante de la Norvège et l’Observatrice de la Palestine ont rendu hommage à M. Andrew Whitley, Directeur du Bureau de liaison de l’UNRWA à New York, qui assistait aujourd’hui à sa dernière réunion en tant qu’officiel de l’UNRWA avant de rejoindre de nouvelles fonctions.


Annonces de contributions volontaires au budget de l’UNRWA pour 2011

(Par ordre d’annonce par les délégations)

 

Annonces de contributions volontaires au budget de l’UNRWA pour 2011

(Par ordre d’annonce par les délégations)

 

Italie

  2 millions d’euros (soit environ 2,68 millions de dollars)

Inde

1 million de dollars

Luxembourg

2,75 millions d’euros (soit environ 3,67 millions de dollars)

Belgique

1 million d’euros (soit environ 1,34 million de dollars)

Égypte

50 000 dollars

Koweït

1,5 millions de dollars

Chine

montant non encore fixé (la délégation a annoncé que son pays verserait un montant supérieur au 80 000 dollars de 2010)

Union européenne

Versement d’une première tranche de 40 millions d’euros (environ 53,5 millions de dollars) sur une contribution annuelle qui devrait avoisiner 100 millions d’euros

Monténégro

10 000 euros (soit environ 13 363 dollars)

Afrique du Sud

1 million de rands (soit environ 145 000 dollars) 

Australie

Le montant de la contribution n’est pas encore fixé mais la délégation a annoncé qu’il serait supérieur à celui de la contribution de 2010

République tchèque

165 000 dollars

Norvège

Le montant de la contribution n’est pas encore fixé (elle était de 36,7 millions de dollars en 2010)

Thaïlande

30 000 dollars

Saint-Siège

20 000 dollars

Danemark

12,5 millions dollars

Turquie

1 million de dollars

États-Unis

Le montant de la contribution de 2011 n’est pas encore fixé  (elle était de 240 millions de dollars in 2010)

Finlande

3 millions d’euros (soit environ 4 millions de dollars)

Suède

282 000 couronnes suédoises (environ 41 millions de dollars)

Émirats arabes unis

1 million de dollars

Irlande

12 millions d’euros sur trois ans (environ 15,6 millions de dollars, soit environ 5 millions de dollars par an)

Pays-Bas

Le montant de la contribution de 2011 n’est pas encore fixé (15 millions d’euros ont été versés au fonds et 5 millions au secours d’urgence en 2010)

Suisse

10 millions de francs suisses (environ 10 millions de dollars)

Pakistan

10 000 dollars

Japon

Le montant de la contribution de 2011 n’est pas fixé (elle était de 10 millions de dollars en 2010)


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22 décembre 2010 3 22 /12 /décembre /2010 12:14

 

ambisrael

 

ambisrael

S.E. Mme Susan E. Rice
Présidente du Conseil de sécurité
Organisation des Nations Unies
New York 

Excellence,

Je vous écris pour vous informer d’une série d’incidents graves dans le sud d’Israël et la bande de Gaza qui menacent la paix et la stabilité dans notre région.

Très tôt aujourd’hui, mardi 21 Décembre 2010, environ vers 8 heures (heure locale) une roquette Qassam a été tirée de la zone de la bande de Gaza sur le sud d’Israël près d’Ashkelon, tombant dans le kibboutz Zikim. Cette fusée a explosé à proximité d’un jardin d’enfants alors que des dizaines de parents y déposaient leurs enfants à l’école, blessant une jeune fille de 14 ans. L’incident d’aujourd’hui fait suite à une série d’attaques, émanant de la bande de Gaza, englobant le lancement depuis le 19 Décembre 2010 de quelques trois roquettes et 18 obus de mortier dans les régions d’Eshkol et d’Ashkelon dans le sud d’Israël.

Ces attaques, mentionnons-le incluent le lancement de six mortiers, le 19 Décembre 2010 contre des forces de Tsahal opérant à proximité du terminal de Kerem Shalom.

Les incidents de ces derniers jours font partie d’une escalade des attaques terroristes émanant de Gaza, qui ciblent des civils israéliens dans des villes ainsi que le personnel militaire. Israël tient l’autorité de facto qui sévit dans la bande de Gaza pour entièrement responsable de tous ces incidents, menées en violation flagrante du droit international.

En réponse à ces attaques, Israël a exercé et continuera d’exercer son droit de légitime défense.

Dans une lettre précédente, le 9 Décembre 2010, j’ai mentionné que l’escalade de ces attaques doit être considérée avec le plus grand sérieux.

Dans l’intention d’empêcher la poursuite de l’escalade du conflit, le Conseil de sécurité, le Secrétaire général et la communauté internationale doivent envoyer un message clair et déterminé statuant que ces attaques sont inacceptables.

En outre, le Conseil de sécurité doit accorder une attention appropriée à la contrebande d’armes vers Gaza, qui continue d’alimenter la violence et l’instabilité dans notre région – en violation de nombreuses résolutions du Conseil de sécurité, y compris la résolution 1860.

Je vous serais reconnaissant de distribuer la présente lettre en tant  que document officiel du Conseil de sécurité.

Je tiens à vous informer qu’une lettre identique a été envoyée à M. Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies.

Permettez-moi, Excellence, de vous renouveler l’assurance de ma très haute considération.

Cordialement, 

Meron Reuben
Ambassadeur
Mission permanente d’Israël auprès de l’Organisation des Nations Unies

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16 décembre 2010 4 16 /12 /décembre /2010 03:35

 

 

Dossier Onu et Consorts

 

Merci Catherine

 

Religions, ONU soit qui mal y pense

Marc SEMO

L’anthropologue Jeanne Favret-Saada1 s’empare des dérives onusiennes sur le principe d’universalité.

Il était une fois la déclaration universelle des droits de l’homme. Ce texte - essentiel parmi les documents fondateurs du système des Nations unies tel qu’il s’est mis en place après la Seconde Guerre mondiale - reste en vigueur même si, dans la pratique, il n’a guère été respecté sinon par une minorité d’Etats de par le monde. Mais aujourd’hui, une majorité de pays membres de l’ONU refusent de reconnaître l’universalité des droits de l’homme. 

«Depuis une douzaine d’années, la référence à des droits universels reconnus par tous les Etats a été graduellement marginalisée au profit d’une référence aux droits des “cultures, des civilisations et des religions, censés converger vers une paix perpétuelle grâce à la vertu miraculeuse du “dialogue”», écrit Jeanne Favret-Saada, anthropologue et psychanalyste, dans un livre court mais dense. L’auteure du célèbre les Mots, la mort, les sorts - livre désormais classique sur la sorcellerie dans le bocage berrichon - analyse avec une implacable rigueur les raisons d’une dérive amorcée au début des années 90, qui a culminé lors des conférences onusiennes contre le racisme de Durban 1 en 2001, où Israël fut le seul Etat cité nominalement avec une dénonciation du sionisme assimilé à un racisme et à l’apartheid. Celle de Durban 2, réunie à Genève en 2009, a été moins caricaturale. Mais les plus lucides des hauts fonctionnaires onusiens n’en reconnaissent pas moins qu’avec les rapports de force entre les 192 pays représentés à l’ONU, il serait aujourd’hui impossible d’adopter le texte de la déclaration universelle des droits de l’homme voté en 1948.

Le glissement commence en 1990 quand 57 pays de l’ONU regroupés dans l’Organisation de la conférence islamique (OCI) adoptent la Charte du Caire posant que «l’Ummah islamique dont Dieu a fait la meilleure communauté» constitue un modèle pour toute l’humanité. Et qu’en dernière analyse la charia (la loi islamique) reste «la référence suprême» pour l’interprétation des articles de ce texte fondateur. «Or ces droits universels de l’homme dans l’islam ne comportent pas pour l’individu le droit de professer la religion de son choix, de quitter sa religion ou de n’en avoir aucune», rappelle Jeanne Favret-Saada soulignant que ce précédent a ouvert la voie : «L’ONU n’a pas pu, ou pas voulu, contraindre l’OCI à adopter les normes qui fondent l’ordre international, de sorte que rien ne s’opposera par la suite à ce que certains Etats de l’OCI président les cessions du comité des droits de l’homme de l’ONU, fassent des rapports sur la situation de ces droits dans le monde ou exigent des sanctions contre tel ou tel pays.»

Les pays de l’OCI alliés avec les «non alignés» disposent d’une majorité automatique, y compris au sein du Conseil des droits de l’homme, qui a remplacé, en 2006, une Commission des droits de l’homme par trop déconsidérée à cause de ce genre d’errements. Là, comme dans le reste des institutions onusiennes, ils se battent pour faire passer des motions, sanctionner «la diffamation des religions», oubliant que le droit de critiquer la religion comme celui de blasphémer, demeurent des libertés essentielles dans un monde laïc. Ce transfert progressif vers les religions de l’universalité de la déclaration des droits de l’homme inquiète.

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12 décembre 2010 7 12 /12 /décembre /2010 10:22

UN Watch rencontre la Croix-Rouge pour réclamer la libération de Shalit, et tient le Hamas pour responsable de violation des lois internationales.

banner hillel

Adapté par : Marc Brzustowski

Pour : http://www.unwatch.org

 © 2010 lessakele et  © 2010 aschkel.info


http://blog.unwatch.org/index.php/2010/12/10/ngo-meets-red-cross-to-petition-for-release-of-shalit-hold-hamas-accountable-for-violating-international-law/

GENEVE, le 10 Décembre 2010 — Alors que des manifestants,dans le monde entier appelaient, aujourd’hui, à la libération du soldat israélien capturé Gilad Shalit, le Directeur exécutif d’UN Watch, Hille Neuer rendait visite au siège du Comité International de la Croix-Rouge, à Genève, pour lui présenter une pétition pressant le Hamas de respecter les obligations minimales relatives aux lois humanitaires internationales. 

M. Neuer, qui a rencontré, la semaine dernière, le père de Shalit sous sa tente de protestation à Jérusalem, a vivement recommandé à la Croix-Rouge de s’exprimer fortement contre les atteintes contre les lois internationales, perpétrées par le Hamas et le Hezbollah, en mettant en lumière leurs crimes de guerre, tels que les actes de terrorisme, l’incitation au terrorisme, et la disposition de lance-roquettes dans les zones civiles, dans le seul but de maximiser les pertes humaines.

Le groupe de défense des droits de l’homme basé à Genève a, également, fermement interpelé la Croix-Rouge, en lui demandant de prendre des mesures, à propos des révélations de Wikileaks d’après lesquelles les ambulances du Croissant-Rouge iraniennes ont été utilisées au Liban pour pratiquer la contrebande d’armement. 

La pétition a été signée par 175 délégués de 26 nations qui se sont rassemblés récemment au 4ème Forum européen des jeunes adultes juifs du B’nai B’rith, à Zurich, au cours duquel Neuer s’est illustré en tant qu’orateur principal.

Plus de détails sur l’action d’UN Watch pour les droits en Chine

Dans un domaine séparé, aujourd’hui, UN Watch a rendu publique une autre déclarationémanant de 38 ONG exigeant que l’ONU ne s’abstienne pas d’assister à la cérémonie de ce jour de remise du Nobel à Oslo au dissident chinois Liu Xiaobo.


La déclaration proteste également contre uneexposition massive de photos inaugurée ce jour-même, qui décrit UN Watch comme un véhicule de propagande outrageante, destinée à masquer les taux record abyssaux de la Chine en matière d’atteinte aux droits de l’homme. L’agence de presse allemande Deutsche Press-Agentur a consacré unrécitentier à l’appel d’UN Watch d’une action au sujet de la Chine. 

Afin de soutenir l’action vitale d’UN Watch, merci de d’apporter votre contribution, ici.

 tel: (41-22) 734-1472 • fax: (41-22) 734-1613
www.unwatch.org
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10 décembre 2010 5 10 /12 /décembre /2010 11:06

 

Dossier Onu et Consorts

Le jour où vous verrez un titre comme celui-ci, c'est que le monde, vous savez celui qui blâme sans discontinuer, celui qui immédiatement monte au créneau au moindre geste qu'Israël fait pour défendre ses citoyens - celui-là même qui se tait d'un silence assourdissant quand les terroristes de la bande de Gaza envoient des missiles sur les civils israéliens.

 

le jour où vous verrez un titre comme celui-là le monde ira un peu mieux

 

On attend toujours la réponse de Ban Ki moon

 

Articles associés

>L'ONU condamne, le Hamas débouche le champagne

>Les civils de la région d'Aschkélon toujours autant menacés cette fois par des missiles au phosphore blanc, Israël dépose une plainte à l'ONU

>Israël adresse une plainte à l'ONU suite aux tirs de roquette et de mortier au phosphore

>Journée des Droits de l'Homme - J'accuse Lettre ouverte à Ban Ki Moon - version française et anglaise.


et toutes les prouesses de l'ONU et consorts dans ce dossier

Dossier Onu et Consorts

 

 

lettre-Ban-Ki-moon-copie-1.jpg

 

 

 

Ashton

Négociations : l'ONU et l'UE blâment Israël
Par JPOST.FR ET AP 
10.12.10

"Sans l'arrêt des colonies, il n'y aura pas de discussions", martelait Mahmoud Abbas, à l'issue d'un entretien avec le président égyptien Hosni Moubarak et le responsable des services de renseignements Omar Suleïman, jeudi lors d'une visite au Caire.

Ban Ki-Moon. 
PHOTO: AP , JPOST

Si les Etats-Unis ont cessé de faire pression sur Israël au sujet du moratoire, d'autres membres du Quartet pour le Proche-Orient critiquent vivement l'Etat hébreu. BEN VOYONS !!!!

10 mois de moratoire par Israël - 10 mois de cinéma par l'AP

"Je constate avec regret qu'Israël n'a pas été en position d'accepter l'extension du moratoire comme demandé par les Etats-Unis, l'Union européenne, et le Quartet", déplorait, jeudi, Catherine Ashton, responsable de la diplomatie européenne.

"La position de l'UE sur les colonies est claire : elles sont illégales ??? selon le droit international ??? et représentent un obstacle à la paix ???. Les derniers développements à ce sujet, notamment à Jérusalem-Est, contredisent les efforts déployés par la communauté internationale en vue du succès des négociations", a-t-elle ajouté.

Quant au secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, il a fait part de ses regrets de voir qu'Israël "n'a pas tenu compte de l'appel uni de la communauté internationale"RE-BEN VOYONS !!!, a rapporté son porte-parole Martin Nesirky. "Malgré ce revers, le secrétaire-général estime qu'il est plus important que jamais de promouvoir une fin négociée pour aboutir à la solution de deux Etats séparés."

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