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22 novembre 2010 1 22 /11 /novembre /2010 15:45

 

 

 

 

 

 

 

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>Les civils de la région d'Aschkélon toujours autant menacés cette fois par des missiles au phosphore blanc, Israël dépose une plainte à l'ONU

 

 

 

ambisrael

19 novembre 2010
"Israël exerce et continuera d'exercer son droit de légitime défense et prendra, le cas échéant, toutes les mesures nécessaires pour protéger ses citoyens."

M. Ban Ki-moon

Secrétaire général
Organisation des Nations Unies
New York

 Monsieur le Secrétaire général,

 Je vous écris pour vous informer d'une série d'incidents dans le sud d'Israël et la bande de Gaza qui mettent en danger la paix et la stabilité.

Depuis hier soir, 18 Novembre 2010, une salve de roquettes et de mortiers ont été tirés sur les villes israéliennes et leurs civils depuis la bande de Gaza, entité contrôlée par le Hamas. Ces attaques, notamment le lancement d'une fusée à longue portée sur la ville israélienne d'Ofakim, ont causé des dommages importants à des propriétés et à du bétail. Elles ont été suivie par sept tirs de mortiers - dont certains contenaient apparemment du phosphore blanc - tirés sur la zone autour de la ville d'Ashkelon et dans la région d'Eshkol dans le Sud. En outre, deux roquettes Kassam ont été tirées depuis la bande de Gaza dans la région de Merhavim au sud d'Israël.

Destinés à terroriser les populations civiles ciblées, ces incidents ne sont que les derniers d'une série d'attaques menées par le Hamas et d'autres organisations terroristes, qui ont lancé quelques 8800 roquettes depuis Gaza contre les villes israéliennes depuis 2001, dont la majorité depuis le retrait de la région par Israël en 2005. Ces attaques reflètent l'accumulation continue d'armes et de munitions par le Hamas et d'autres organisations terroristes dans la bande de Gaza.

Ces derniers incidents - en violation flagrante du droit international - démontrent les menaces aiguës envers la sécurité auxquelles Israël est confrontée quotidiennement.

Ces attaques doivent faire l’objet de la plus forte condamnation possible. En outre, en réponse aux attaques du Hamas à partir de la bande de Gaza qu’il contrôle, Israël exerce et continuera d'exercer son droit de légitime défense et prendra, le cas échéant, toutes les mesures nécessaires pour protéger ses citoyens.

Je tiens à vous informer qu'une lettre identique a été envoyée à M. Mark Lyall Grant, Président du Conseil de sécurité des Nations Unies, qui sera distribuée comme document officiel du Conseil de sécurité.

Permettez-moi, Monsieur le Secrétaire général, de vous renouveler les assurances de ma très haute considération. Cordialement,

Reuben Meron,
Ambassadeur
Mission permanente d'Israël auprès de l'Organisation des Nations Unies

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15 novembre 2010 1 15 /11 /novembre /2010 18:35

 

logo unwra

 

 

L'UNRWA et le Code du Silence

Selon cette Agence, on ne doit jamais dire la vérité aux "Palestiniens", qu'ils ne reviendront plus dans la maison de leurs ancêtres

Par Alexander H. Joffe & Asaf Romirowsky, auteurs de "A tale of 2 Galloways: notes on the early history of unrwa and Zionist historiography", publié par Middle Eastern Studies

Paru dans le Jerusalem Post du 8/11/10

Traduit par Albert Soued, http://soued.chez.com  pour www.nuitdorient.com

L'une des principales règles quand on est fonctionnaire de l'Unrwa c'est l'omertà

Plus que tout, le Code du Silence, c'est ne pas dire 2 vérités essentielles:

- D'abord ce qu'est l'Unrwa, mécanisme-clé qui maintient les Palestiniens à l'état de réfugiés pendant déjà plus de 60 ans (4 générations), après la fuite de leurs ancêtres, lors de la guerre arabe contre la création de l'Etat d'Israël. Il est financé sur le plan international au niveau de 1,23 milliard $, pour 2010/11. Mais comme il est géré par des "Palestiniens", il constitue un outil pour perpétuer leurs griefs contre Israël et l'Occident, et aussi il forme une culture unique, faite de dépendance et de "droits des victimes" eu égard au monde entier.

- Les fonctionnaires de l'Unrwa ne doivent jamais dire aux Palestiniens la vérité, qu'ils ne reviendront pas dans la maison de leurs ancêtres, et ce faux rêve est l'humus de toute l'idéologie victimaire palestinienne et de leur être. (voir le dossier sur les réfugiés)

Pour la 3ème fois dans l'histoire de l'Unrwa, un haut fonctionnaire a laissé échapper la vérité récemment. Dans un discours à un groupe arabo-américain, AndrewWhitley, directeur du bureau de New York, sur le départ, a avoué l'évidence: "Je pense que la plupart d'entre nous, malgré que ce ne soit pas une position qu'on avoue publiquement, nous reconnaissons que le "droit de retour" ne peut raisonnablement s'exercer à un niveau significatif, sur le territoire de l'état d'Israël…Le droit au retour n'est pas un problème viable sur le plan politique, mais ce n'est pas ce qu'affirme publiquement l'Unrwa; c'est cependant la vérité pour cette question ".

La réaction de l'Unrwa a été rapide, disant "Sans équivoque, l'Unrwa prend ses distances par rapport aux déclarations faites par son directeur de New York, Andrew Whitley, au Conseil National des relations arabo-américaines à Washington, le 22/10/10. Ces déclarations ne reflètent en aucune manière la politique ou les positions de l'Agence et ce sont des points de vue personnels de Mr Whitley".

Whitley a subi des pressions tellement fortes de son ex-employeur qu'il s'est senti obligé de présenter des excuses publiquement, disant que ses "commentaires étaient faux et inappropriés". Il ajouta qu'il souhaitait publier sa lettre d'excuses, pour dissiper tout malentendu qui risquerait d'affecter la réputation et le travail de l'Unrwa!

Ainsi l'Unrwa est vouée à mentir aux Palestiniens, comme moyen de maintenir son rôle de gardien permanent des lieux, prête à gifler un de ses fonctionnaires en public et même à faire en sorte qu'il se rétracte. La même chose est arrivée en 2009 quand James Lindsay, l'ex Conseiller général, écrivit un rapport critique sur l'organisation, pour l'Institut Politique du Proche-Orient. Lindsay critiquait entre autres, l'emploi continu par l'Agence de terroristes connus et la politisation permanente de la question des réfugiés. Par ironie du sort, c'est Whitley qui avait la charge de le rabrouer, disant: "L'Agence est déçue par les résultats de cette étude, tendancieux et partiaux et elle regrette en particulier la pauvreté des sources…. L'étude ignore le contexte dans lequel opère l'Unrwa et la ligne étroite qu'elle est obligée de suivre, vu la variété des pressions"

Whitley insista aussi sur le fait que quelqu'un lisant ce rapport sans connaître les tenants et les aboutissants pourrait croire que le gouvernement d'Israël n'est pas partie prenante dans la situation, car nulle part on ne parle de "l'occupation de territoires", mais Whitley omet de mentionner l'évacuation unilatérale de Gaza en 2005…

Parfois l'Unrwa niera les critiques internes. En 1952, le Lt Général Sir Alexander Galloway, un militaire-diplomate connu qui était à l'époque le directeur de l'Unrwaen Jordanie, a fait une fameuse déclaration devant un groupe de visiteurs Américains, dirigeants d'Eglises: "Il est parfaitement clair que les nations arabes ne veulent pas résoudre le problème des réfugiés arabes. Elles veulent le maintenir comme une plaie ouverte, comme un affront béant devant les Nations Unies, et comme une arme contre Israël. Les dirigeants arabes se fichent éperdument de savoir si les réfugiés vivent ou meurent". La solution pour Galloway était directe: "Donnez à chaque nation arabe qui abrite des réfugiés une somme d'argent, sur laquelle on peut s'entendre, pour qu'elle s'occupe de ses réfugiés et les réinstalle. Les Nations Unies auraient dû réaliser cela depuis le début, dès la fin du conflit (en 1949), expliquant ainsi: "Nous sommes désolés de ce qui est arrivé, mais voici une somme d'argent pour vous et prenez soin des réfugiés", le problème aurait été résolu depuis fort longtemps".

Dans un article la même année, Galloway était encore plus abrupt à l'égard de l'Unrwa: "Les fonctionnaires entraînent encore plus de fonctionnaires. Les plans se succèdent, les machines à écrire remplissent du papier, les brochures et les statistiques pleuvent. Les réfugiés sont toujours là, mangent, se plaignent et font des enfants. Et le jeu continue entre les gouvernements locaux et le directeur de l'Unrwa…" . Il continue ainsi: "Il faut choisir entre une manœuvre politique tentante et le fait dur à avaler que les réfugiés ne pourront pas revenir chez eux, dans un avenir prévisible. Mais arriver à accepter ce fait inéluctable, cela reste du domaine politique et cela dépasse l'Unrwa. Il faudrait un effort déterminé pour amener les nations arabes hôtes à prendre la relève de l'Unrwa, afin de procéder à la réinstallation des réfugiés"

Pour avoir été honnête, Galloway a été licencié à la demande du gouvernement jordanien, qui voulait que l'Unrwa embauche des citoyens locaux au lieu d'Occidentaux. Depuis cette époque en effet, l'Unrwa a fait le contraire des recommandations de Galloway, optant pour "des manoeuvres politiques tentantes", c'est à dire mentir aux Palestiniens sur leur avenir, n'exigeant rien des nations arabes hôtes et devenant progressivement à la fois les ministères palestiniens de la Santé, de la Solidarité, de l'Education et aussi étonnant que cela puisse paraître, des Affaires Etrangères !

Le comble c'est qu'à travers des déformations successives par des historiens et les médias, le Lt Génaral Sir Alexander Galloway est devenu "Ralph Galloway", introuvable, ce qui a permis à l'Unrwa de nier jusqu'à ce jour qu'il n'ait jamais existé.

Mais les problèmes sur lesquels Galloway avait mis le doigt en 1951/52 ont pris de l'ampleur, se sont compliqués et installés, devenant de plus en plus coûteux, mais les solutions préconisées par lui restent encore valables.

La raison d'être de l'Unrwa est l'existence permanente des "réfugiés palestiniens" et cette Agence a créé une dépendance dans la société "palestinienne". On a peut-être oublié Galloway, mais on ne peut oublier Lindsay et Whitley, dans l'ère de la communication. Si on veut vraiment la paix entre Israéliens et "Palestiniens", l'Occident doit trouver aujourd'hui la volonté politique pour dire la vérité aux "arrière, arrière petits enfants" des réfugiés de 1948/9, et pour contrôler l'Unrwa, autrement cette Agence continuera de mentir, de dépenser l'argent des Nations et de demander l'Omertà à ses fonctionnaires.

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11 novembre 2010 4 11 /11 /novembre /2010 17:42

 

 

 

Ban Ki et Abdallah

                                                                                                                Légendes Aschkel

 

Par Melba de bivouac

 

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=23639&Cr=femmes&Cr1=

 

 

L’ONU est  entièrement perverti par les pays musulmans qui réussissent à détourner, organe après organe, des but pour lesquelles ils sont créés. Ainsi, l’Arabie Saoudite est maintenant en charge de la défense des droits de la femme. On peut s’attendre au pire….c’est un peu si Comte Dracula obtenait les clefs de la Banque du sang.

L’Arabie Saoudite a obtenu l’un des 41 sièges au conseil exécutif de “l’Onu-femmes”. Cette toute nouvelle agence de l’ONU dédiée à la défense des droits des femmes et à la promotion de l’égalité des sexes, débutera ses travaux en janvier 2011.   

l’Arabie Saoudite était assurée d’obtenir l’un des deux sièges réservés aux nouveaux États donateurs de cet organe consacré à la défense du droit des femmes dans le monde.  ”L’Arabie saoudite a carrément acheté son siège à l’ONU-Femmes”, résume Marianne Mollmann, responsable des droits des femmes à Human Rights Watch. Et il n’y avait rien à faire pour l’en empêcher.

Rappelons qu’en Arabie Saoudite, sans la présence d’un tuteur  mâle (ou gardien), la femme ne peut étudier, accéder à des services de santé, se marier, voyager, avoir une entreprise, pratiquer de nombreux métiers ou simplement accéder à une ambulance dans une situation d’urgence, les victimes de viol sont souvent condamnées par la justice à la prison et à des coups de fouet, la polygamie est autorisée, les petites filles sont mariées à des hommes mûrs, les hommes reçoivent le double des femmes lors du partage d’un héritage, un mari a le droit de battre ou violer sa femme …

Le Pakistan siègera aussi au conseil, en revanche, l’Iran a été éliminé. Onze pays asiatiques étaient candidats pour dix sièges au conseil, avec la candidature de dernière minute du Timor-Oriental aidé par les Etats-Unis et le Canada pour barrer la route à l’Iran.
L’Iran est donc le seul pays à avoir été écarté pour ce groupe Asie. 

“Il est moralement pervers de récompenser un pays qui fouette les victimes de viol, et qui subjugue systématiquement les femmes dans tous les domaines de la vie, en lui donnant le pouvoir d’influer négativement sur la protection globale des droits des femmes”, a déclaré Hillel Neuer, directeur de l’Organisation UN-Watch qui a organisé une campagne sur internet à travers le monde pour tenter de mobiliser l’opinion publique contre la candidature de l’Iran et l’Arabie saoudite.

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10 novembre 2010 3 10 /11 /novembre /2010 21:37

 

 

De l’UNESCO et ses majorités

RICHARD ROSSIN
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Le tombeau de Rachel

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’Histoire appartient, parait-il, aux vainqueurs. Ce qui se passe depuis des années est probablement gravissime et c’est d’ailleurs cette conscience qui a fait que le négationnisme est juridiquement condamnable. Pourtant, il est même des chefs d’État qui le pratiquent sans le moindre état d’âme. Ah ! Les États et les âmes. D’autres se contentent de protester mollement.

Des dénis d’Histoire il y en eut de nombreux. Je me souviens avoir mis en garde des cénacles chrétiens qui s’amusaient beaucoup à entendre Arafat (du nom de la montagne de la révélation de Mohamed, pseudonyme choisi à dessein) prétendre qu’il n’y avait jamais eu de Temple juif sous le dôme d’Omar. En effet, s’il n’y avait pas eu de Temple, il n’y avait pas eu là de marchands et donc pas de Jésus les chassant. Cela provoquait une certaine perplexité mais pas de nature à les faire réfléchir plus loin, l’Église leur parait tellement forte et absolument éternelle mais peut être rêvaient-ils simplement de voir disparaitre finalement le peuple qui les a précédés, dont est issu leur prophète et qui a survécu à leurs persécutions comme à leurs yeux fermés. Sans même remarquer que cela annoncerait leur propre disparition.

Le déni persiste devant la mort : les chrétiens sont pourchassés partout dans le monde musulman, vraiment partout, et au proche Orient il n’y a qu’en Israël que leur nombre augmente ; pourtant les congrégations sont nombreuses parmi les chrétiens d’Orient et souvent même d’Occident qui condamnent ce pays pour persécutions à l’exception de tout autre pays. Ce n’est pas la peur qui les fait parler mais les préjugés. A moins qu’il s’agisse d’une alliance autour du complexe du père ? Mais qu’importent ces recherches étiologiques : il faut d’abord traiter urgemment la fièvre épidémique, c’est un symptôme mortifère.

On m’a susurré à l’oreille que Charles Martel à Poitiers 732 aurait disparu des manuels scolaires, je n’ai pas vérifié mais je ne serai pas étonné puisqu’aujourd’hui l’UNESCO (qui a pourtant échappé au censeur égyptien Farouk Hosni) en est à rebaptiser les monuments du patrimoine culturel juif.

Bien sûr, il est possible d’avoir une vision angélique du monde arabe qui revendique le tombeau des Patriarches et celui de Rachel. En effet, Abraham, sous la pression de son épouse Sarah, est celui qui a chassé dans le désert Ismaël, leur ancêtre mythique et Rachel était l’épouse de Jacob qui s’appelait déjà Israël. Ce serait grandeur d’âme, nous avons déjà parlé.

Le monde occidental, à la fin du cauchemar de la deuxième guerre mondiale que son absence de vigilance et sa lâcheté avaient laissée exploser, développa une belle idée sur les cendres de la même idée que le premier conflit mondial avait fait naître. Je veux parler de l’Organisation des Nations Unies (ONU) successeur de la SDN. Et cette organisation en a créé une autre centrée sur la culture : l’UNESCO, celle qui sauva notamment le site d’Abou Simbel que les égyptiens, indifférents à leur patrimoine, allaient noyer dans le lac Nasser.

Nous assistons à un revirement complet de l’intérêt pour le patrimoine au point de revendiquer celui des autres, avec des arguments douteux pour s’y rattacher et une volonté farouche de ne jamais partager. Je comprends maintenant leur étonnement en 1967, lorsqu’Israël ne rebâtit pas le Temple sur son ancien site sur lequel s’élève aujourd’hui le dôme d’Omar et la mosquée El Aqsa… Eux l’auraient fait. Tout est mosquée. La déligitimisation passe par la culture.

Quant à l’ONU, elle est vraiment héritière de la Société des Nations (SDN) d’avant 1939, à vouloir à tout prix la paix on n’obtient que la guerre. L’assentiment à tout asservit et il faudra bien à terme une libération. L’Histoire ne se répète peut-être pas mais elle devrait bien servir d’exemple.

En matière de culture qui est l’objet de l’UNESCO, il est utile de rappeler encore en ce qui concerne le tombeau de Rachel qu’il avait été en 1615 attribué en exclusivité aux Juifs par le pacha de Jérusalem puis le site avait été acheté par le dirigeant juif anglais Moses Montefiore en 1841 aux autorités turques et qu’enfin c’est en 1996 que pour la première fois apparait le terme de « mosquée de Bilal bin Rabah » sans le moindre effet religieux évidemment. Aucun culte ne s’y est jamais célébré et les arabes eux-mêmes, que le lieu n’avait jamais intéressé et pour cause, ne l’avaient auparavant appelé autrement que tombeau de Rachel ; ce n’est qu’un lieu de pèlerinage pour les Juifs. On a le sentiment qu’à l’UNESCO la culture et la connaissance sont devenus du yaourt.

Dès lors, comment ne pas comprendre que cet organisme prétende organiser à Téhéran un colloque de philosophie  du 23 au 25 novembre 2010 ; l’Iran d’aujourd’hui est effectivement, de notoriété publique, un haut lieu de la philosophie et de la tolérance. Le grand Cyrus, dont le cylindre d’argile portant son Édit de Tolérance est exposé au siège de l’ONU à New York, doit se retourner dans sa tombe. Ahmadinedjad à propulsé en arrière l’Iran à des années lumières avant Cyrus, à l’âge de la pierre pour la lapidation.

L’UNESCO ne s’intéresse plus à ses valeurs de culture, d’éducation, d’amitié entre les peuples, de dialogue entre les civilisations, les cultures et les peuples, fondé sur le respect de valeurs partagées par tous ; les résolutions de l’UNESCO, comme celles l’ONU d’ailleurs, ne sont que le résultat des votes de pays avec leurs majorités automatiques. C’est une faillite absolue qui limite la démocratie à son apparence, ses votes mais sans ses valeurs, c’est une démagocratie, une tyrannie. Demain l’organisme nous apprendra qu’il n’y a jamais eu de négriers musulmans et que l’esclavage n’a jamais existé dans le monde arabe, majorité oblige. Le politique s’est emparée de l’Histoire. Faut-il laisser ce gouffre financier pour les contributeurs occidentaux aux mains de prédateurs qui se désintéressent de la culture et ne contribuent pas ?

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10 novembre 2010 3 10 /11 /novembre /2010 11:22

 

Tombeau de Rachel - B.Netanyahou à Ban Ki Moon "N'effacez pas 4000 ans d'histoire et ne déformez pas des faits historiques simplement par intérêt "

 

Ban Ki Moon, Ashton Obama and Co poussent des cris d'Orffraie lorsque les juifs construisent sur leurs terres mais n'hésitent pas à les spollier de leur patrimoine

 


Rachel's Tomb

Il faut rappeler que le tombeau de Rachel a été attribué en exclusivité aux Juifs par le pacha de Jérusalem en 1615.

 

 En 1830, les Turcs ont également émis un « firman » donnant force juridique à la reconnaissance du caractère juif de la Tombe de Rachel.

 

 

 

"N'effacez pas 4 000 ans d'histoire"

Les Nations unies ne devraient pas effacer 4 000 ans d'histoire liant le peuple juif au Tombeau des Patriarches et à la Tombe de Rachel. C'est ce qu'a déclaré le Premier ministre Binyamin Netanyahou lors de sa rencontre avec le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, lundi soir à New York.

Le Premier ministre, Binyamin Netanyahou, rencontre le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon. 
PHOTO: AP , JPOST

"La nation juive jouit de liens forts avec ces deux sites depuis près de 4 000 ans", a-t-il poursuivi, avant de l'appeler à rectifier les récents commentaires de représentants de l'Unesco (Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture), selon lesquels ces deux lieux constituent des "territoires palestiniens occupés". L'organisation a également classé les sites comme hébergeant d'abord, et avant tout, les mosquées Al-Haram Al-Ibrahimi et Bilal Bin Rabath.

"Plus d'un milliard de personnes reconnaissent ce lien, qui est précisé dans la bible", a ajouté Netanyahou. "Ne déformez pas des faits historiques simplement par intérêt politique." La semaine dernière, l'Etat hébreu a annoncé qu'il ne coopérerait pas avec l'Unesco concernant les décisions prises pour ces deux sites.

Enfin, le Premier ministre a profité de sa rencontre avec Ban Ki-moon pour lui faire connaître l'intention israélienne de se retirer du secteur Nord du village de Ghajar, situé sur la frontière israélo-libanaise. Dès son retour en Israël, Binyamin Netanyahou soumettra ce projet au vote du cabinet de sécurité.

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5 novembre 2010 5 05 /11 /novembre /2010 10:54

 

Les autres synthèses

   Banner Alain Rubin

 

 

 

Quand l’Unesco remonte le temps et change le passé sur trois mille ans ???

Par Alain RUBIN

Pour aschkel.info et lessakele.

 

Articles associés

 

Tombeau de Rachel, colloque de philosophie à Téhéran : R.Prasquier du CRIF écrit a Irina Bokova, la directrice générale de l’Unesco

voir les 5 décrets infâmes L'unesco déclare aussi Mosquée le tombeau des patriarches et le tombeau de Rachel-et le Saint Sépulcre ? 


L’UNESCO vient de prendre une décision tout à fait surprenante.

Comme on dit, l’antisémitisme, grimé en antisionisme, mène à tout, même à révolutionner la science de l’histoire et la technologie.

En la circonstance : haine irrationnelle pour les uns, pusillanimité pour les autres, ont produit au sein de la vénérable institution quelque chose de tout à fait miraculeux. L’UNESCO a enfin réalisé ce que les auteurs de science fiction n’avaient que rêvé et fait qu’offrir à des lecteurs bienveillants. C’est ainsi que les dernières décisions de l’organisation ont fait passer cette machine extraordinaire du stade d’invention littéraire à celui d’outil réel et quotidien pour favoriser l’action « éducative » des représentants des gouvernements.

Je vois d’ici votre petit sourire, ou votre index porté au front, pour signifier : il est maboule, complètement cinglé, ce pauvre Alain...

Malheureusement, dans l’affaire, je ne suis pas cinoque. Les instances de l’organisation internationale ont bien inventé une machine à voyager dans le temps. Elle est même capable de permettre de changer le passé. Elle a donné les moyens scientifiques, à madame la directrice de l’UNESCO et à ses proches collaborateurs, pour qu’ils remontent loin en arrière dans l’histoire humaine, aux fins d’agir pour changer un avenir qui pour nous reste un passé. Désormais, un pan du passé de l’histoire humaine a été profondément modifié. Il nous est enfin révélé dans sa vérité vraie.

Quitte à me répéter, j’insiste : Les experts qui officient dans les bureaux bien ensoleillés de la place Fontenoy, dans le magnifique 7ème arrondissement de Paris, -madame Irina Bokova et ses collaborateurs-, ont bien inventé pareille et extraordinaire machine, capable d’envoyer des gens dans un passé où ils ont changé le cours des choses, effaçant des mythes, révélant des vérités cachées. Et cela à marché. La preuve, les dernières décisions de l’organisation des Nations Unies pour la culture, la science et l’éducation.

C’est ainsi que le tombeau de Rachel, -une des matriarches du peuple hébreu-, racheté à prix d’or par Lord Montefiore au milieu du 19ème siècle, aux autorités légales d’alors, à savoir les dignitaires ottomans représentant du Califat islamique. Cette acquisition était destinée à faciliter les pèlerinages juifs, assurant leur pérennité, protégeant le lieu et les pèlerins. Grace à la machine mise au point place Fontenoy, ce lieu n’est plus un lieu juif...

Grace aux voyageurs du temps installés dans la grande maison parisienne, la  propriété des héritiers légaux de Lord Montefiore n’est plus leur propriété, ni morale, ni légale. Grâce aux travaux scientifiques des fonctionnaires internationaux de la place Fontenoy, une machine à permis de modifier, en fait, révéler le passé caché. Extraordinaire, non ?

Le tombeau de la matriarche n’est plus le tombeau de la matriarche. L’acte d’achat du lieu, réalisé il y a 170 ans, ne s’est pas produit. Le tombeau hébreu et juif est même devenu une « mosquée », un lieu arabe et musulman.

Grâce à l’extraordinaire machine, mise au point par l’équipe de madame Bokova, on peut enfin savoir que ce que tout le monde croyait depuis un peu plus de trois millénaires, n’était qu’une vaste erreur : L’islam n’était pas né au 7ème siècle de l’ère actuelle mais bien plus tôt, deux mille ans plus tôt ; et les Juifs n’avaient jamais voyagé, de près ou de loin, pour venir se recueillir sur ce lieu. Quant à Lord Montefiore, un Juif sépharade anobli par sa gracieuse Majesté britannique, il n’avait pas acheté le lieu. Et même, ce Lord et la reine qui l’avait fait noble n’avaient pas existé. Lord Montefiore et la Reine d’Angleterre n’étaient que des mythes sionistes...

Par contre, on apprend enfin ce que tous nous ignorions, y compris les autorités califales ottomanes du début et du milieu du 19ème siècle : foin de tombeau d’une matriarche juive, il s’agissait d’une mosquée ; certes, une mosquée sans minaret, une mosquée sans salle de prière, une mosquée sans lieu d’ablution, mais quand même, de tous temps, ce fut néanmoins « une mosquée ». Et l’équipe de savants fonctionnaires et d’érudits vacataires lui a même découvert son nom, un nom que personne ne connaissait, à cette « mosquée » très particulière. Fantastique, la science des fonctionnaires et vacataires de la place Fontenoy !!

Revenons à la réalité. Quittons le fantasmagorique.

Pour qui pensait naïvement que la culture et l’histoire qui la produit sont des données objectives, en tant que telles, -mêmes si elles sont le produit des relations sociales et de la subjectivité humaine qui les accompagne et les nourrit-, qui ne doivent pas apparaître ou disparaître au gré des choix politiques, de leurs manipulations et de leurs ruses, l’UNESCO vient de choisir de devenir le contraire de ce pourquoi elle a été crée.

En remontant dans le passé, pour changer la nature des choses et favoriser des combines politiciennes répugnantes, elle vient de s’affirmer comme une sorte de « propaganda staffel ». Ses fonctionnaires sont sans manteau de cuir, leurs « bureaux » émanent d’une machine bureaucratique de taille internationale, mais le fond des choses marquent une continuité indéniable.

Dans le cas de la première, les Juifs étaient bien réels, il convenait de s’en débarrasser, par tous les moyens et les plus expéditifs étant les meilleurs. Les accuser de tout donnant le prétexte commode.

Pour la nouvelle, les Juifs n’ont jamais existé, ils n’ont aucun lieu propre, surtout, ils n’ont jamais eu de territoire national, ni lieu de pèlerinage, ils n’ont jamais rien acheté et payé de leurs deniers dans le territoire qui se serait appelé toujours et tout le temps « Palestine ». Bref, et pour faire court, ils sont un mythe. Mais un mythe bizarre quand même, parce qu’il existe depuis trois mille ans, et quand quelque chose ne va pas, on peut lui taper dessus à bras raccourci comme s’il était une réalité tangible et absolument détestable : l’archétype de la « tête de Turc », en quelque sorte. D’ailleurs, comme c’est la tête de turc idéal, ce non-être juif, il se dit même : que le projet national de ce non-être, « l’entité sioniste », est en réalité un « complot turco-tartare »...

En conférant au tombeau de Rachel, un lieu saint juif antérieur de plus deux millénaires à l’apparition de la prédication mahométane, le statut de « mosquée », l’équipe dirigeante de l’UNESCO se comporte ici comme les rédacteurs du précis d’histoire du PCUS (le parti communiste « bolchevique » de la défunte URSS). Comme ces derniers, nos experts de la nomenklatura de la place Fontenoy se croit autoriser à effacer tel événement et/ou à en inventer un autre aux grés des caprices du chef de la bureaucratie. Ici, ce qui tient lieu de chef de la bureaucratie, ce sont les oukases de ceux qui veulent faire définitivement disparaître le peuple juif en commençant par son état national.

Je crois quand même que ces messieurs et ces dames vivent un peu de nos impôts, ne serait-ce qu’au niveau de leurs locaux bien ensoleillés, bureaux, restaurant d’entreprise, électricité, et autres commodités. Il me semble que cela nous donne un tout petit peu le droit, à nous autres qui payons des impôts dans ce pays, de lui demander quelques comptes à la dame Bokova et à son équipe.

Une affaire à suivre donc.

Alain Rubin

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4 novembre 2010 4 04 /11 /novembre /2010 18:32

 

 

 

Tombeau de Rachel, colloque de philosophie à Téhéran : R.Prasquier du CRIF écrit a Irina Bokova, la directrice générale de l’Unesco

04/11/10

crif.org







 

 

Madame la directrice générale,
 
Je vous écris pour vous dire la stupéfaction de la communauté juive de France, comme celle des diverses communautés juives dans le monde, devant deux mesures récentes prises par  l’Unesco, incompréhensibles et outrageantes.
 
1° La première est la demande 184 Ex 37 du Conseil exécutif de l’Unesco dans sa récente session, au milieu d’autres motions injustement hostiles à Israël, de retirer le tombeau de Rachel (et le caveau des Patriarches) de la liste du patrimoine national israélien.
 
Dans cette décision, le tombeau de Rachel est appelé Mosquée de Bilal bin Rabah comme s’il s’agissait de sa dénomination réelle. Il est également signalé que ce lieu a une signification religieuse aux yeux des trois religions monothéistes.
 
Il n’en est rien. Le monument en question porte depuis des temps immémoriaux le nom de « tombeau de Rachel ». Les Juifs ne sont pas les seuls à l’appeler ainsi : dans l’histoire les musulmans ne l’ont jamais appelé autrement, jamais…jusqu’en 1996 où pour la première fois, est apparu le terme, sans justification historique, religieuse ou culturelle, de « mosquée de Bilal bin Rabah ».
 
Le tombeau de Rachel a été attribué en exclusivité aux Juifs par le pacha de Jérusalem en 1615. Il a fait l’objet d’un achat par le dirigeant Juif anglais Moses Montefiore en 1841 aux autorités turques. C’est le même Moses Montefiore, qui par respect a construit un mihrab attenant au bâtiment. Le tombeau de Rachel est un lieu célèbre de pèlerinage pour les Juifs. Il ne représente rien de particulier pour les autres religions.
 
L’Unesco, en avalisant une dénomination idéologique et toute récente, s’associe donc à une entreprise négationniste visant à effacer la mémoire juive des lieux où leurs ancêtres ont vécu et prié depuis des millénaires.
 
2° La seconde mesure incompréhensible et outrageante est le choix de Téhéran pour la tenue du 23 au 25 novembre 2010 d’un colloque de philosophie sous l’égide de l’UNESCO. Faire cet honneur à un gouvernement qui maintient son peuple dans un régime de terreur et de déni des droits élémentaires de la personne humaine, en particulier en ce qui concerne les femmes, qui s’agrippe au pouvoir après avoir truqué les résultats électoraux, qui menace continuellement d’anéantissement l’Etat d’Israël membre à part entière de l’ONU, est insupportable. Quel est l’apport du régime iranien totalitaire à la réflexion philosophique ?  La lapidation fera-t-elle partie des thèmes traités ?
 
Madame la Directrice Générale, l’Unesco a été créée sur la base de belles et nobles ambitions. Il lui est arrivé dans le passé de faillir sous l’influence de pressions politiques en violant les impératifs de vérité à la base de toute éducation qui mérite ce nom. Cela s’est traduit par la déclaration honteuse de 1974 sur le sionisme comme racisme. Aujourd’hui, de nouveau, l’Unesco se trouve à la croisée des chemins. L’éducation, le progrès et la philosophie méritent de puiser leurs exemples ailleurs que chez le régime iranien. Votre élection a été accueillie avec joie par les partisans de la démocratie et de la liberté. Que restera-t-il demain de ces espoirs ?
 
Je vous prie, Madame la Directrice Générale, d’agréer mes sentiments très distingués.
 
Richard Prasquier
Président du CRIF
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4 novembre 2010 4 04 /11 /novembre /2010 14:30

 

 

 

Par Melba de bivouac-id

 

Depuis la mosquée de Ground Zero, ceci est la plus grande infamie mise en place par les musulmans et leurs alliés d’extrême-gauche. 

  L’Organisation des Nations Unies planifierait d’organiser “Durban III” à New York en Septembre 2011, pour marquer le dixième anniversaire de la Conférence de Durban en 2001 qui avait été précédée du forum des ONG à Durban, Afrique du Sud.

La conférence contre le racisme Durban I s’était terminée par la tristement célèbre Déclaration de Durban et son Programme d’Action (DDPA), accusant Israël et uniquement Israël de racisme, sans nommer aucun autre Etat dans le monde.

La deuxième conférence Durban II, qui s’est tenue à Genève en avril 2009, avait mis en vedette le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, qui y a vu l’occasion idéale de nier une nouvelle fois l’Holocauste tout en promettant un nouveau génocide contre l’État juif (En bas de page voir notre billet).

Selon les organisateurs, faire coïncider Durban III avec l’ouverture annuelle de l’Assemblée Générale est censé garantir une large participation des présidents et premiers ministres, ce qui n’avait pas été prévu par les organisateurs de Durban I et II.

En fait, l’ONU sera l’hôte d’une manifestation violamment anti-israélienne pour le 10eme anniversaire des attentats du 11 septembre  2001 tout près de Ground Zero. La Conférence de Durban I, qui fut une tribune pour la rhétorique virulente pro-terroriste et antisémite, avec des conférenciers tels que Yasser Arafat et Fidel Castrol, s’était terminée seulement trois jours avant les attentats du 11 septembre.
L’Australie, le Canada, la Pologne la République tchèque,l’Allemagne, Israël, l’Italie, les Pays-Bas,la  Nouvelle-Zélande et les États-Unis ont boycotté Durban II. 

Source : The Weekly Standart     

Ceci est l’un des tracts distribué en 2001 à la conférence de Durban I

Traduction : 

Hitler : Et si j’avais gagné [la guerre] ?
Les avantages : Il n’y aurait pas d’Israël ni de sang palestinien versé.
Les inconvénients :  Je (Hitler) n’aurais pas permis la fabrication de la nouvelle Coccinelle (Wolgswagen)
A vous d’imaginer le reste

 

 

Le fiasco de Durban 2 : [video] Eli Wiesel bousculé et insulté par les islamofascistes.

Voici ce que cette conférence de l’ONU aura permis:

Suite au discours d’Ahmadinejad, les supporters de ce dernier ont hurlé sur Eli Wiesel,prix Nobel de la paix et rescapé d’Auschwitz-Birkenau, le traitant de nazi , plus précisément de “zio-nazi”.

Épouvantable, insupportable. Je ne trouve pas les mots pour exprimer mon dégoût et ma consternation.

C’est le discrédit complet pour l’ONU et pour la Suisse qui a accepté d’accueillir Ahmadinejad à cette conférence.

Vidéo:

Vu sur LGF

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4 novembre 2010 4 04 /11 /novembre /2010 11:48

 

 

 

 

Contrairement à une information diffusée dans la presse, Israël, par le discours de Danny Ayalon, n'a pas officiellement rompu avec l'UNESCO, ce qui serait une autre façon de s'auto-exclure des instances internationales en matière de culture, mais refuse d'obtempérer et d'appliquer ses cinq décrets mentionnés il y a quelques jours dans l'article suivant : 

 

>L'unesco déclare aussi Mosquée le tombeau des patriarches et le tombeau de Rachel-et le Saint Sépulcre ?

 

http://www.israel7.com/2010/11/israel-na-pas-rompu-avec-lunesco/

 

 

 

 

A cause d’une erreur commise par la porte-parole du vice-ministre des Affaires étrangères Dany Ayalon, la presse a publié mercredi soir une information erronée indiquant qu’Israël avait rompu ses relations avec l’Unesco. Il est vrai que la tension était à son comble entre Jérusalem et cette organisation de l’Onu chargée de la culture mais à aucun moment il n’a été question de cesser leurs rapports. 

Cette publication officielle n’a pas arrangé les choses dans un climat déjà tendu. En effet, Israël a manifesté son mécontentement suite à l’adoption de cinq résolutions anti-israéliennes par l’Unesco. Ayalon avait riposté mercredi pour dire que l’Etat juif ne se soumettrait pas à la décision prise par l’organisation internationale, qui exigeait que le Tombeau de Rachel à Bethlehem et le Caveau des Patriarches à Hébron soient retirés de la liste des sites appartenant au patrimoine national d’Israël.  Il avait même souligné que contrairement aux habitudes de l’Unesco, cette décision avait été prise sans obtenir de consensus et avait été imposée à Israël. 

Depuis la tribune de la Knesset, Ayalon avait précisé qu’Israël « repoussait avec vigueur les cinq résolutions de l’Unesco et n’avait pas l’intention de coopérer pour leur application ». Des déclarations qui avaient été mal interprétées par sa porte-parole qui avait alors diffusé une fausse nouvelle. Ce n’est que quelques heures plus tard que l’erreur a été corrigée par les fonctionnaires du ministère des Affaires étrangères, qui ont tenté ainsi de limiter les dégâts. 

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1 novembre 2010 1 01 /11 /novembre /2010 05:16

 

Logo le scandale des ONG-copie-1

 

La débauche d'Amnesty international avec les Durbanistes, antisémites et antisionistes de tous poils continue..

 

A lire pour fous faire une petite idée

L'hypocrisie d'Amnesty International (2/2)

Amnesty International contredit sa propre définition du terme "occupation"! (1/2)

 

http://elderofziyon.blogspot.com/2010/10/some-news-about-amnesty.html

Adapté par Aschkel

Pour aschkel.info et lessakele.

 

En mai, Amnesty International a publié une communiqué très ferme condamnant Israël pour l'arrestation d'un "militant des droits de l'homme:"

Amnesty International a appelé les autorités israéliennes à mettre fin à leur harcèlement d'un militant des droits de l'homme. 

Ameer Makhoul, un citoyen "palestinien" d'Israël, a été arrêté lors d'un raid à l'aube à son domicile à Haïfa, dans le nord d'Israël, par les services de sécurité israéliens et la police le 6 mai. Il a été accusé de "contact avec un agent étranger" sur la base des «preuves secrètes». 

«Ameer Makhoul est un défenseur "clé" des droits de l'homme, bien connu pour son activisme au sein de la société civile au nom des citoyens palestiniens d'Israël », a déclaré Philip Luther, directeur adjoint d'Amnesty International au Moyen-Orient et Afrique du Nord. 

"Son arrestation, son maintien en détention son du  harcèlement pur et simple, et visent à entraver son droit à travailler pour les droits de l'homme. Nous le considéreron comme un prisonnier de conscience et nous appelons à sa libération immédiate et inconditionnelle. "

 Vraiment ?

 

La semaine dernière, ce «personnage clé de défense des droits humains" a reconnu avoir été un espion pour le Hezbollah
Comme Yaacov Lozowick demande - Amnesty devra présenter des excuses pour incitation et entrave aux services de sécurité qui protège la population civile et protège ses droits humains 

Qu'Amnesty se consacre à son business et cesse de se mêler de ce qui ne la regarde pas !

Ah mais non pas question !

L'autre histoire concerne le  tribunal fantoche appelé le Tribunal Russell sur la Palestine. Il prévoit de se réunir en Novembre pour créer son deuxième spectacle du procès contre Israël, avec les membres du "jury", y compris ces enragés détracteurs d'Israël que sont Spéphane Hessel, Mairead Corrigan Maguire, John Dugard, Ronald Kasrils et même complot nutjob théorie Cynthia McKinney. Il est parrainé par le Barreau de l'Angleterre.

 

Il s'intitule
Responsabilités des entreprises dans les violations des droits humains et du droit international humanitaire par Israël-20.21.22/11/2010 et se passe à Londres dans les bureaux d'Amnesty.
Rien que ca !

§   10: 00 Pierre Galand (Belgique) inaugurera la session au nom du comité d’organisation international du TRP. accusé d'alimenter la diabolisation d'Israël et en conséquence la judéophobie - il s'en défend préside http://www.association-belgo-palestinienne.be/  avait déclaré à Beyrouth en 2006 : "Israël est un danger pour la paix mondiale"


C'est au cours de l'odieuse conférence de l'ONU sur le racisme à Durban que le belge Pierre GalandPrésident du Comité européen de coordination des ONG pour la question de Palestine, a annoncé que la fondation de la veuve de l'ancien Président de la République française François MitterrandDanièle Mitterrand, soutenait :

"la réactivation d’un tribunal des peuples où l’on puisse identifier l’ensemble des violations dont sont victimes les Palestiniens, annonçant qu’il a déjà obtenu l’accord des Fondations Rossel [Belgique] et Danièle Mitterrand" (ONU, Communiqué de presse, AG/PAL/818, Conférence internationale des Nations Unies de la société civile en solidarité avec le peuple palestinien, 24/09/2002).

On trouve Danièle Mitterrand, Présidente de la fondation France Libertés, parmi les signataires de la pétition de soutien àStéphane Hessel.  On remarquera que Pierre Galand est le créateur du Tribunal Russell sur la Palestine et qu'il fut "inauguré en présence du diplomate français Stéphane Hessel, un des pères de la Déclaration universelle des droits de l'homme, son [du "tribunal] objectif affiché est de "réaffirmer la primauté du droit international comme base du règlement du conflit israélo-palestinien" et de "mettre fin à l’impunité de l’Etat d’Israël" (Médiapart).  


Pour en savoir plus sur les activités anti-Israël de Pierre Galand cliquer ICI.

Dessin: 
Ambassade d'Israël en Espagne (le "tribunal" fut créé en Belgique, et a tenu sa première "session" à Barcelone, la suivante aura lieu à Londres - en présence du Professeur Pierre Galand (Université Libre de Bruxelles) et de ... l'ambassadeur Stéphane Hessel. Nous reviendrons sur ceci bientôt.)

Introduction à la deuxième session du tribunal Russell sur la Palestine par Stéphane Hessel, ambassadeur de France et Michael Mansfield QC (U.K.).

A lire aussi

La brêve d'Occam - Hessel pire que Goldstone

Al-Manar du Hezbollah invite Stéphane Hessel, antisioniste notoire, avec le soutien diploma-carpettique du Consulat de France à Jérusalem! 

  

 Demandez le programme ! - Bien-sûr nous suivrons cela de près.

10:15 I. RESPONSABILITE DES ENTREPRISES : LE CADRE JURIDIQUE
Les experts juridiques, Richard Hermer QC (Royaume-Uni), Yasmine Gado (Etats-Unis) et William Bourdon (France) définiront le cadre juridique de la session de Londres du TRP. Chacun des experts interviendra sur les spécificités du droit interne de chacun des trois pays : Royaume-Uni, Etats-unis et France, leur pertinence dans l’application du droit international concernant la complicité des entreprises.

 

11:50 II. IMPLICATIONS DIRECTES ET INDIRECTES DES ACTIVITES DES ENTREPRISES DANS LA COLONISATION (PREMIERE PARTIE)
Dalit Baum (Israël) et Hugh Lanning (Royaume-Uni) présenteront une vue d’ensemble des pratiques des entreprises en relation avec la colonisation et l’activité économique des colonies.
Fayez Al Taneeb (Palestine) et Wael Natheef (Palestine) interviendront sur l’impact direct de cette activité économique sur les Palestiniens en tant que travailleurs et résidents dans et au voisinage des colonies.

14:45 II. IMPLICATIONS DIRECTES ET INDIRECTES DES ACTIVITES DES ENTREPRISES DANS LA COLONISATION (DEUXIEME PARTIE)
Adri Nieuwhof (Pays-Bas) livrera son analyse d’expert confirmé sur la réglementation des contrats publics et sur le cas de la multinationale Veolia et ses activités dans les territoires palestiniens occupés.
Ghaleb Mashni (Palestine) complétera cette analyse par un témoignage sur l’impact des activités de Véolia sur les Palestiniens.
John Dorman (Irlande) clora cette session par une intervention sur le rôle de la Cement Roadstone Holdings dans la construction du mur.

15:50 III. ETIQUETTAGE ET COMMERCIALISATION DES PRODUITS DES COLONIES
Une vue d’ensemble des questions juridiques en relation avec la commercialisation et l’étiquettage des produits des colonies sera proposée par un représentant de Al Haq (Palestine)

 

16:30
Christophe Perrin (France) présentera un rapport sur les activités de l’entreprise agro-alimentaire Carmel Agrexco.
Nancy Kricorian et Rae Abileah (U.S.A.) interviendront sur l’entreprise de cosmétiques Ahava et ses produits spa.
Phon Van Den Biesen (Pays-Bas) exposera la question de l’étiquettage des produits issus des colonies et Genevieve Coudrais (France) le cas de l’entreprise Soda Stream.

 

Dimanche 21 novembre 2010

10:00 Ouverture des portes
Pierre Galand (Belgique) introduira cette deuxième journée au nom du Comité d’organisation international du TRP.

10:30 IV. LES SERVICES FINANCIERS
Merav Amir (Israël) : les entreprises financières israéliennes et internationales et leur rôle dans l’occupation israélienne de la Palestine.
Mario Franssen (Belgique) exposera le cas du groupe Dexia.
Saskia Muller (Pays-Bas) interviendra sur le fonds de pension PFZW.

12:00 V. INDUSTRIE DE LA SECURITE ET INDUSTRIE DE GUERRE (PREMIERE PARTIE)
Panorama de l’industrie de la sécurité et de la nature de la participation des entreprises par John Hilary (Royaume-Uni).
Maria LaHood (Etats-Unis) interviendra sur Caterpillar et l’utilisation de ses équipements dans les pratiques militaires israéliennes, que Josh Ruebner (Etats-Unis) complétera par un exposé détaillé sur les activités de Caterpillar.
Puis Merav Amir et/ou Dalit Baum (Israël) rapportera/ont le cas de l’entreprise de sécurité privée G4S .

14:45 V. INDUSTRIE DE LA SECURITE ET INDUSTRIE DE GUERRE (DEUXIEME PARTIE)
Shir Hever (Israël) et Jamal Juma’a (Palestine) évoqueront le cas d’Elbit Systems et son rôle dans les pratiques de sécurité israéliennes.
Paul Troop (Royaume-Uni) rendra compte des récentes affaires judiciaires concernant les entreprises industrielles d’armement britanniques EDO ITT et Raytheon.
Le dernier intervenant, Ben Hayes (Royaume-Uni), donnera une information détaillée sur les subventions européennes à l’industrie de la sécurité.

 

16:30 Temps de parole pour les entreprises**
Questions supplémentaires
Le Tribunal se réserve la possibilité de rappeler les experts de la session ou d’autres experts internationaux pour éclairer des points de juridiction à la lumière de ce qui aura été dit tout au long de ces deux journées.
Récapitulatif
Synthèse des deux journées et suites à donner.

19:00 Le jury se retire pour délibérer

 

Une conférence de presse se tiendra au Amnesty International Human Rights Action Centre. Elle présentera les conclusions de la deuxième session du TRP.

**Toutes les entreprises dont les activités auront été mises en cause durant la session ont été contactées par courrier et invitées à participer à la session.

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