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5 mars 2010 5 05 /03 /mars /2010 11:53

Parachat Parah
Nombres 19, 1-22


Texte de la lecture de parachat Parah
Lois relatives à la lecture de Parachat Parah
La mère du veau
La mère du veau
Purifier la mort elle-même
La roi Salomon resta perplexe ; Moïse pâlit. En effet, seul le plus incompréhensible des décrets divins - la loi de la vache rousse - peut constituter un antidote pour la plus incompréhensible étape de l'existence humaine : le phénomène de la mort
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26 février 2010 5 26 /02 /février /2010 13:52
SHABBAT SHALOM - שבת שלום






Lehadlik-Ner-Shel-Shabbat.jpg 




שבת שלום ופורים שמח 
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26 février 2010 5 26 /02 /février /2010 12:45

La Paracha avec Manitou

1/2
2/2


Tetsavé - en bref
Exode 27, 20 - 30, 10

D.ieu commande à Moïse de recevoir des Enfants d’Israël de l’huile d’olive pure pour alimenter la « flamme perpétuelle » de la Ménorah, que Aharon devra allumer chaque jour, « du soir jusqu’au matin ».

Les vêtements sacerdotaux que les Cohanim (prêtres) devaient porter lors de leur service dans le sanctuaire sont décrits. Tous les Cohanim portaient : 1. la ketonet – une tunique de lin, 2. lesmikhnassayim – pantalons de lin,  3. lamitsnefet ou migbaat – un turban de lin, 4. la avnet – une longue ceinture portée au dessus de la taille.

En plus de ces habits, le Cohen Gadol (le « grand prêtre ») portait : 5. leefod – une sorte de tablier, tissé de fils laine et de lin teints d’azur, de pourpre et d’écarlate et de fils d’or, 6. le ‘hochen – un pectoral comportant douze pierres précieuses gravées aux noms des douze tribus d’Israël, 7. lemé’il – une cape de laine bleue, avec des clochettes et or et des ornements en forme de grenade à sa lisière, 8. le tsits – une plaque d’or portée sur le front comportant l’inscription « Saint pour D.ieu ».

Tetsaveh inclut les instructions détaillées de D.ieu pour les sept jours d’initiation dans la prêtrise d’Aharon et de ses quatre fils – Nadav, Avihou, Elazar et Itamar , ainsi que pour la fabrication de l’autel d’or sur lequel brûlait la ketoret (l’encens).

 

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26 février 2010 5 26 /02 /février /2010 12:42
A lire 

Amalek..............Souviens-toi de ce que t'a fait Amalek..........(1)




Texte de la lecture de parachat Zakhor
Lois relatives à la lecture de Zakhor
« Zakhor » : « Souviens-toi »
« Zakhor » : « Souviens-toi »
A quelques jours de la fête de Pourim, le dernier Chabbat qui la précède, les synagogues retentissent d’une lecture particulière, celle d’un texte de la Torah qui donne justement son nom à ce jour : « Zakhor » ou « souviens-toi ». On le dit souvent, de manière générale et avec juste raison, le peuple juif a une longue mémoire. Pourtant, il y a ici quelque chose de plus...
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20 février 2010 6 20 /02 /février /2010 18:22
Shavouah tov lé Koulam








 Photo Par Rav Ra'hamim Dufour modia
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19 février 2010 5 19 /02 /février /2010 15:25
SHABBAT SHALOM - שבת שלום









chabbat3.jpeg 
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19 février 2010 5 19 /02 /février /2010 14:29



PARACHA AVEC MANITOU
1/2 2/2



Térouma - en bref
Exode 25, 1 – 27, 19 






Il est demandé au peuple d’Israël de faire don de 15 matériaux – or, argent, cuivre ; laine teinte de bleu, de pourpre et de rouge ; lin, poils de chèvre, peaux d’animaux, bois, huile d’olive, épices et gemmes – desquels D.ieu dit à Moïse « Ils Me feront un sanctuaire et Je résiderai parmi eux. »

Au sommet du mont Sinaï, Moïse reçoit des instructions détaillées sur la façon de construire cette demeure pour D.ieu afin qu’elle puisse être facilement démontée, transportée et réassemblée lors du voyage du peuple dans le désert.

Dans la pièce la plus intérieure du sanctuaire, derrière un rideau artistiquement tressé, se trouvait l’arche contenant les tables du témoignage sur lesquelles étaient gravés les Dix Commandements ; sur le couvercle de l’arche, se tenaient deux chérubins ailés, taillés dans un bloc d’or pur. Dans la pièce extérieure se dressait la Ménorah à sept branches et la table sur laquelle les « pains de proposition » étaient disposés.

Les trois murs du sanctuaire étaient composés de l’assemblage de 48 planches de bois qui étaient chacune recouverte d’or et tenue par une paire de socles en argent. Le toit était constitué de trois couches de couvertures : a. des tapisseries multicolores de laine et de lin, b. une couverture de poil de chèvre, c. une couverture en peau de bélier et de ta’hach. Face à l’entrée du sanctuaire, une tenture brodée était tenue par cinq poteaux.

Entourant le sanctuaire et l’autel recouvert de plaques de cuivre, il y avait une clôture de tentures de lin soutenues par 60 poteaux en bois comportant des crochets et des ornements en argent et renforcées par des pieux de cuivre.

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13 février 2010 6 13 /02 /février /2010 18:18
Shavouah tov ou mévoura'h lé Koulam

L'équipe... 


Détail d'un bouquet de fleurs blanches. [bouquet fleurs blanc photo] 
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12 février 2010 5 12 /02 /février /2010 13:28
SHABBAT SHALOM - שבת שלום




 shabat.jpg

 

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12 février 2010 5 12 /02 /février /2010 13:27
La paracha MICHPATIM avec MANITOU

mishpatim-partie 1 

mishpatim-partie 2






"Si tu prêtes de l'argent à quelqu'un de mon peuple, - au pauvre qui vit avec toi - ne te conduis pas envers lui comme un créancier, n'exige point de lui des intérêts".
(Exode, 22, 24)


Parmi les très nombreuses MITSVOTH contenues dans cette PARACHA, nous allons relever celle concernant le pauvre et nous pencher un peu sur son contenu.


Dieu nous demande de prêter de l'argent à celui qui est dans le besoin afin de lui permettre de retrouver son équilibre financier et de gagner convenablement sa vie dorénavant.

Notre aide ne doit pas avoir pour but d'assurer simplement la nourriture du pauvre au jour le jour, mais doit se fixer un objectif bien plus large et bien plus ambitieux, celui de relancer le malheureux dans le circuit du travail afin qu'il assure son existence par lui-même.

C'est la seule façon de remédier à son état d'une manière durable et d'éviter qu'il ne continue à tendre la main. C'est la seule manière de lui faire retrouver par le travail sa dignité d'homme.


D'une manière passagère, bien entendu, il est de notre devoir de l'assister en attendant qu'il ait retrouvé son gagne-pain, de l'aider à vivre jusqu'à ce qu'il assure lui - même la subsistance des siens.

C'est ce que nous demande ce texte de la Torah (Deutéronome, 15, I I) : " Ouvre largement ta main à ton frère pauvre ".


Cette obligation envers les pauvres, il nous est facile de l'observer si nous pensons que si nous avons réussi dans la vie, nous le devons en grande partie à l'aide que Dieu nous a apportée. Or, puisque Dieu nous a donné son soutien, puisqu'il a été si l'on peut dire, notre " associé " dans notre réussite, il a droit normalement à une partie de nos bénéfices. Mais comme l'Eternel n'en a guère besoin, il nous demande de verser sa " part " à ses enfants qui sont dans la misère. Ne pas le faire serait commettre une malhonnêteté : ce serait accaparer pour nous des richesses qui ne sont pas les nôtres.


N'oublions pas, par ailleurs, que la totalité des biens de ce monde appartient à l'ensemble des enfants de Dieu. Tous les frères que sont les êtres humains doivent également en profiter. La part du pauvre se trouve provisoirement auprès de son frère plus aisé. Mais celui-ci n'en est pas le propriétaire pour autant; il n'en est que le dépositaire et le gérant qui a le devoir de la remettre au plus tôt à celui qui est dans le besoin.

 lamed.fr 


 

Michpatim - en bref
Exode 21, 1 - 24, 18

Suite à la révélation du Sinaï, D.ieu promulgue une série de lois à l’adresse du peuple d’Israël. Elles incluent les lois relatives au serviteur contractuel, aux peines sanctionnant le meurtre, le rapt, l’agression et le vol, les lois civiles relatives aux réparations des dommages, aux prêts financiers, et à la responsabilité des quatre catégories de gardiens, ainsi que les lois régissant le procédé judiciaire mené par les tribunaux.

Sont également enseignées les lois mettant en garde contre le fait de maltraiter les étrangers. L’observance des fêtes saisonnières et des offrandes agricoles qui devaient être apportées au Saint Temple à Jérusalem. L’interdiction de cuire de la viande avec du lait et la mitsva de prier. En tout, la paracha de Michpatim contient cinquante-trois mitsvot : 23 commandements impératifs et 30 interdictions.

D.ieu promet de mener le peuple d’Israël à la Terre Sainte et les prévient de ne pas adopter les comportements païens de ses habitants actuels.

Le peuple juif proclame  « Nous ferons puis nous comprendrons » tout ce que D.ieu nous commande. Laissant Aaron et Hour en charge du camp israélite, Moïse gravit le mont Sinaï et y demeure pendant quarante jours et quarante nuits pour recevoir la Torah de D.ieu.

'habad 


 LA SIDRA DE MICHPATIM

L’attachement du peuple juif à l’idée de justice date  depuis ses origines historiques.

Déjà le premier Hébreu, Abraham, se distingue par son esprit d’équité qu’il considère comme le premier attribut de son idéal.  L’existence de ses descendants en tant que peuple, avant même qu’ils aient pris possession d’un territoire à eux, commence par une réglementation des lois. 

Le principe de justice juive, diffère de celui des autres peuples. Ces derniers, tout en ayant la notion d’une justice idéale, reconnaissant l’égalité des hommes, optaient pour une justice « positive » convenant mieux  aux intérêts de la classe dominante. De cette manière le droit romain reconnaissait l’esclavage sous sa forme la plus abusive, les codes du Moyen-Âge admettaient – sans le moindre scrupule les supplices les plus inhumains, et nous n’insisterons pas trop sur ce que nous réserve l’époque contemporaine. Du point de vue légal c’est « la justice. »

La législation juive s’est toujours préoccupée du bien de la collectivité entière ; elle porte intérêt non seulement au parti lésé, mais aussi au coupable. «  Par l’application de la justice- disent nos sages – on porte secours à l’innocent, en le rétablissant dans ses droits, et aussi au malfaiteur, en lui enlevant le fruit de son méfait. »
Le droit mosaïque qui reconnaît la liberté de l’individu et l’applique dans la vie, souligne déjà dans le Décalogue, l’importance de l’affranchissement et commence le cycle de MICHPATIM par la réglementation de l’esclavage.  Toutes les lois qui suivent tendent à régler la conscience collective. A côté des prescriptions, nous trouvons des exhortations  et des conseils qui instruisent et affirment, rendant l’homme meilleur et plus profond. La loi découlant de la sagesse divine devient éternelle en son essence : elle se communique simultanément au cœur et à l’esprit ; elle nous apprend à distinguer le bien du mal et à opter pour le bien.

Le monde repose, selon nos maîtres, sur trois bases : la vérité ; la justice et la concorde. Si la vérité est indispensable à la vraie justice, cette dernière est à son tour la première condition du règne de la concorde.
Selon le monothéisme éthique la justice et la charité se rejoignent et se confondent. Nous ne pouvons pas accepter pour notre compte la définition générale en cours : la justice accorde à chacun ce qui lui est dû, tandis que la charité lui donne ce qui ne lui est pas dû. 
La notion purement juridique de ce « qui est dû »ne s’identifie pas avec la conception mosaïque de ce terme. Nos lois découlent toutes d’une source générale ayant pour base une idée fondamentale selon laquelle toutes les richesses du monde appartiennent à D. et nous n’en sommes que de simples dépositaires : «  Donne lui de ce qui est à lui, attendu que toi et tout ce que tu as, lui appartiennent. 
Ceci a été exprimé par David qui disait : » Tout vient de toi et nous recevons de ta main tout ce que nous t’offrons » (Avoth 3, 8) La notion même de  charité diffère du mot lui répondant en hébreu ; tsédaka (dérivant de tsédék-justice) et signifiant «  justice-bonté. » Nous, en nous conformant aux exigences de tsédaka, nous n’accomplissons pas un acte de charité, mais un devoir dicté par la justice et octroyons à l’indigent sa part qui nous a été confiée. 

Connaissant la nature humaine, la Torah ne s’est pas borné à nous ordonner le respect de la personne humaine sous toutes ses formes : l’amour envers son prochain, étranger et indigent, mais elle nous a également prévenus des conséquences néfastes que la transgressions de ces préceptes entraînerait pour nous-mêmes. La désobéissance au «message divin » entraîne les pires des fléaux pour la collectivité. Car l’injustice et l’abus engendrent la pauvreté et cette dernière, à son tour, bouleverse l’ordre social ; la sécurité de l’individu, qui se croit le mieux protégé, s’en trouve atteint.
« Vous servirez  uniquement l’Eternel, votre D. et il bénira ta nourriture et ta boisson et j’écarterai toute maladie de ton milieu. «  (XXIII, 25).

Pensez au bien-être de son prochain n’est pas du domaine de la charité, c’est penser à soi-même, à son propre bonheur. La grande famille que forme un peuple est en sécurité quand chacun de ses membres prend à cœur le bien général autant que son propre plaisir. Quand, à l’heure actuelle, nous octroyons une parcelle de nos revenus à notre pays, nous ne devons guère le  considérer comme bienfait. Nous accomplissons une minime partie de nos devoirs envers nos frères, envers notre terre ancestrale. Ceci n’est point un acte de pitié-charité, mais un acte filiale, doublé de la conscience des besoins de la collectivité. 
Toute notre conscience,  réclame de nous non pas un don ; mais la restitution d’une partie qui nous est échue de trop.

 

 
Le Rav Harboun

 

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