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3 janvier 2011 1 03 /01 /janvier /2011 14:52

La géopolitique de l'Afghanistan par Aymeric Chauprade - Vidéos

 

Voici 3 volets d'une série de l'excellent Aymeric Chauprade qui nous aide à mieux comprendre la complexité de l'Afghanistan et les connexions des peuples qui constitue ce pays avec les pays voisins.

 

 

 

 

 

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2 janvier 2011 7 02 /01 /janvier /2011 11:45

 

 

 

 

La Turquie est bien mal placée pour  parler “au nom de la Justice Internationale” !

 

http://www.cyprus-mail.com/cyprus/turkey-has-no-right-talk-about-international-law/20101230

 

Par Stefanos Evripidou

 

Adapté par MarcBrzustowski

 

Pour © 2010 lessakele et  © 2010 aschkel.info

 

Publié le 30 Décembre 2010

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Cyprus

 

 

 Demetris Christofias

 

Le Président Démétris Christofias a répliqué hier (29/12) aux commentaires du Ministre des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu, concernant l’accord israélo-chypriote, en déclarant que rien en matière de lois internationales ne pouvait justifier un tel degré de « cynisme et d’arrogance ».

 

Le Ministre turc des Affaires étrangères avait déclaré que le récent accord entre Chypre et Israël au sujet du tracé des limites respectives de leur zone économique exclusive (ZEE) était nul et non avenu.

 

Commentant cette Remarque, Christofias a déclaré : “Selon les lois internationales, la présence de l’armée turque à Chypre est dépourvu de sens et illégale. Par conséquent, pas plus la charte de l’ONU que la Justice internationale ne peuvent servir à justifier le degré « de cynisme et d’arrogance » de Mr Davutoglu ».

 

 

L'hégémoniste hors-la-loi Davutoglu

 

Le Président a ajouté que l’attitude du Ministre était “répréhensible”, rappelant que Chypre est un état souverain et indépendant exerçant ses droits et devoirs souverains à travers la signature de divers accords qui émanent des lois internationales et des lois de la Mer.

 

“La République de Chypre a signé la Convention de l’ONU relative au droit maritime et, malheureusement, on doit constater que la Turquie ne l’a pas fait, aussi ceux qui sont hors-la-loi sont bien Mr Davutoglu et son propre pays”, a t-il signifié.

 

“Le Ministre turc des affaires étrangères exprime le point de vue d’une puissance occupant et cette puissante occupant, malheureusement, a le soutien de quelques-uns dans l’arène international, qui autorisent ses représentants à parler de la sorte”, a t-il ajouté.

 

Au sujet du barrage de critiques essuyées en sa direction, sur le plan intérieur, après ses commentaires concernant ceux qui ne veulent pas voir s’installer une fédération à Chypre, Christofias a déclaré : “J’en parlerai parce que je souhaite que l’homme de la rue sache ce qui est en train de se passer, parce que nous avons vécu des temps tragiques et difficiles et nous ne devons pas permettre qu’ils se reproduisent à nouveau ».

 

Il a formulé l’espoir que la logique prévaudrait au-delà de tous les clivages politiques, partisans ou motives par d’autres raisons.

 

 

Les commentaires de Davutoglu a aussi provoqué la colère d’autres personnalités politiques, parmi lesquelles le dirigeant de l’AKEL, Andros Kyprianu, disant hier qu’en tant qu’état souverain, Chypre disposait parfaitement du droit de conclure un traité avec quelque pays que ce soit comme il le souhaite.

 

Le dirigeant de l’Eek, Yiannakis Omirou a, quant à lui, déclaré que les commentaires inappropriés de Davutoglu apportaient bien la preuve des mauvaises intentions de la Turquie, dans la mesure où elle était précisément un des très rares pays au monde à avoir refusé de signer la Convention relative aux Lois maritimes.

 

 

 

Son partenaire dans la coalition, le DIKO, a publié une déclaration insistant sur le fait que “les menaces systématiques de Davutoglu à l’encontre de Chypre faisaient partie intégrante d’une politique au long cours qui s’est intensifiée depuis que la Turquie a commencé à réaliser qu’en tant que membre permanent au sein de l’Union Européenne, Chypre se trouvait en position de « déjouer les rêves européens de la Turquie », si elle continuait à refuser de remplir ses obligations à l’égard de l’Union Européenne ».

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29 décembre 2010 3 29 /12 /décembre /2010 16:40


 

 

BANNER SENTINELLE

 

 

Les guerres de 2011

 

  
 

 

Jerusalem Post 28/

http://www.jpost.com/Opinion/Columnists/Article.aspx?id=201223

 

Adaptation française de Sentinelle 5771 ©

Israël doit se préparer à deux choses pour l’année à venir : une guerre par missiles avec le Hamas et une guerre politique avec le Fatah.

     

Dimanche, des milliers de manifestants haïssant Israël se sont rassemblés à Istanbul pour accueillir le bateau terroriste Turco-Hamas Mavi Marmara dans le port. Décoré de drapeaux palestiniens, la foule entonnait « Mort à Israël », « A bas Israël » et « Allah est le plus grand » avec un enthousiasme digne du Hezbollah.

Les manifestants turcs promettaient de prendre le parti du Hamas quand il s’attaquera de nouveau à Israël. Ils pourraient bien n’avoir pas à attendre longtemps pour tenir leur promesse. Au cours des deux dernières semaines, le Hamas a fait monter en flèche sa guerre par missiles avec plus de 30 lancements. La semaine dernière, un missile qui manqua de peu une école maternelle blessa une jeune fille.

Depuis l’opération ‘Plomb Durci’ il y a deux ans, l’Iran a aidé le Hamas  à augmenter massivement ses capacités en missiles et autres armes. Aujourd’hui, le groupe terroriste qui dirige Gaza possède des missiles capables d’atteindre Tel Aviv. Il possède des missiles antitanks dernier cri. Et le porte-parole du Hamas Abou Obeida a dit samedi : « Nous sommes désormais plus puissants qu’avant et pendant la guerre, et notre silence pendant les deux dernières années n’était destiné qu’à évaluer la situation ».

Cette évaluation n’a pas calmé l’objectif du Hamas d’annihiler les Juifs d’Israël. Comme le collègue d’Obeida, Ahmed Jaabari l’a dit samedi, les Juifs d’Israël ont deux options : « la mort ou quitter les terres palestiniennes ».

Les commandants de Tsahal prennent au sérieux cette nouvelle volonté du Hamas d’aller aux limites du possible. Dans les jours récents, plusieurs ont déclaré que la dissuasion d’Israël s’est érodée. Un autre ‘Plomb Durci’ n’est qu’une affaire de temps, préviennent-ils.

Dans le même temps, le Fatah – parfois rival du Hamas et parfois son frère – prépare son prochain round de guerre politique avec ses nombreux amis à travers le monde. Malgré certains repositionnements tactiques récents, son objectif est clairement de procéder à sa proclamation d’Etat avec le maximum de soutien international dans les prochains 9 à 12 mois.
 
A cette fin, le Fatah et ses alliés opèrent sur de multiples fronts. Le 24 novembre, l’Assemblée Générale de l’ONU a adopté une résolution pour la tenue d’une conférence ‘Durban III’ le 21 septembre 2011. On se souvient surtout de la première conférence, tenue à Durban en Afrique du Sud en septembre 2001, comme d’un pogrome diplomatique contre Israël et les Juifs, ce qui complétait la guerre de tirs sur Israël.

Alors que des Juifs étaient massacrés dans des pizzerias à Jerusalem, des antijuifs se rassemblaient pour dénier aux Juifs les droits de l’homme. Ils utilisaient la bannière de l’antiracisme des USA pour affirmer qu’il n’est pas raciste de tuer et d’appeler au meurtre des Juifs. Les Juifs furent ostracisés et condamnés comme la seule nation dans le monde dont le mouvement de libération nationale – le sionisme – est raciste.

Mais encore plus important que son service à la gloire des islamikazes à la bombe et de leurs commissaires politiques, exactement trois jours avant l’attaque jihadiste du 11 septembre 2001 contre les USA, la conférence de Durban fut le lieu où le brouillon de la guerre politique contre Israël fut rédigé. A la conférence des ONG qui eut lieu comme complément de la conférence gouvernementale, les groupes de « droits de l’homme » autoproclamés du monde entier tombèrent d’accord pour s’attribuer comme mission de criminaliser l’Etat juif, de l’isoler politiquement, diplomatiquement et économiquement. Comme les organisateurs clés le formulèrent : le travail des « activistes » était de conduire un jihad non violent en complément au travail des « combattants de la résistance » massacrant des enfants et des parents en Israël.

La conférence ‘Durban II’ l’an dernier à Genève était supposée revigorer la guerre politique lancée en 2001. Mais ce fut un échec total. Le seul chef d’Etat à s’exprimer lors des débats fut le dictateur iranien Mahmoud Ahmadinejad. Il mit à profit cette opportunité pour appeler de nouveau à l’éradication de l’Etat juif.

Pour prévenir un nouveau fiasco, le mois dernier, les Palestiniens et leurs partisans s’accordèrent pour que le dixième anniversaire de la conférence se tienne à New York pendant l’ouverture de l’Assemblée Générale de l’ONU. L’objectif est de parasiter cette conférence pour obtenir que les chefs d’Etats déjà présents à New York se joignent à leur guerre politique anti-Israël.

Et ils ont toutes les raisons d’être optimistes. Bien que le Canada et Israël aient annoncé leur projet de boycotter la conférence, le gouvernement Obama a été remarquablement réticent à prendre ses distances.
 
Sur l’endroit chic de Durban III, les Palestiniens et leurs amis croient qu’ils vont bénéficier d’une reprise de la conférence d’ONG antijuives virulentes comme il y a une décennie. La résolution défend clairement ce résultat dans son appel pour : « une société civile comprenant des ONG, organisant et soutenant la conférence avec une grande visibilité ».

Pour les dirigeants du Fatah comme le président non élu de l’Autorité Palestinienne Mahmoud Abbas et son Premier ministre non élu Salam Fayyad, la conférence Durban III sera le point culminant de leur campagne actuelle pour délégitimer Israël.
 
La semaine dernière, l’AP a annoncé qu’elle demandera au Conseil de Sécurité de l’ONU d’adopter une résolution antisémite définissant la construction juive en Judée, Samarie et à Jerusalem comme illégale. Cette décision cadre joliment avec la déclaration d’Abbas en fin de semaine affirmant que la « Palestine » sera ‘judenrein’. Comme il l’a formulé : « S’il y a un Etat palestinien indépendant avec Jerusalem pour capitale, nous ne serons pas d’accord sur la présence d’un seul Israélien dessus. Quand un Etat palestinien sera établi, il n’y aura aucune présence israélienne”.

A ce jour, aucune de ces enchères racistes déniant aux Juifs leurs droits fondamentaux à leurs foyers et à la terre pour la seule raison qu’ils sont juifs n’a reçu la moindre opposition de quelque gouvernement ou de quelque groupe de droits de l’homme que ce soit. Et si le gouvernement Obama permet que la résolution antisémite de l’AP aille devant le Conseil de Sécurité, ce pas serait une victoire massive dans la guerre politique contre Israël.
 
Cette guerre a déjà gagné quelques autre victoires significatives dernièrement. La décision de cinq gouvernements Sud-américains de reconnaître la « Palestine » dans les lignes d’armistice de1949, de même que la décision de nombre d’Etats européens – après celle des USA – de donner un statut diplomatique supérieur à l’OLP, sont des gains tactiques.

La secrétaire d’Etat Hillary Clinton a montré ce mois-ci que le gouvernement Obama est totalement du côté du clan pour la guerre politique du Fatah. Dans son discours à l’institut ‘Brookings’ le 10 décembre, elle déclara que le gouvernement Obama soutient le plan du Fatah de construire des faits accomplis qui rendront plus difficile pour Israël de maintenir son contrôle sur la Judée, la Samarie et Jerusalem.

Après avoir qualifié la présence juive dans ces zones d’ « illégitimes », Clinton a promis que les USA « approfondiront leur soutien aux efforts des Palestiniens dans la construction de leur Etat ».

Entre autres choses, elle promit de continuer à former et déployer une armée palestinienne en Judée et Samarie, et de « mettre la pression sur Israël pour retirer Tsahal de ces zones »

Comme elle l’a formulé : « alors que les forces de sécurité palestiniennes sont de plus en plus professionnelles et capables, nous attendons d’Israël qu’il facilite leurs efforts. Et nous espérons voir une limitation significative des incursions de soldats israéliens en zones palestiniennes ».

Voilà donc les contours des plans de guerre des Palestiniens pour 2011. Le Hamas lancera une guerre illégale de missiles pour provoquer une campagne de Tsahal à Gaza. L’Iran, la Syrie, le Hezbollah, la Turquie, l’ONU et un grand ensemble d’ONG et de gouvernements de Gauche depuis la Norvège jusqu’au Brésil soutiendront cette guerre illégale.

Le Fatah intensifiera sa guerre politique. Sa campagne sera soutenue par les USA, l’UE, l’ONU et un large déploiement d’ONG et de gouvernements de Gauche.

L’objectif de ces deux campagnes – qui se complètent l’une l’autre et culmineront probablement à l’ONU en septembre – est d’affaiblir Israël militairement et politiquement avec l’objectif partagé de le détruire avec le temps.

Alors que doit faire Israël ? Dans la première instance, il doit décider que son but n’est pas seulement de surmonter cette tempête, mais de gagner ces deux guerres.

Ces derniers jours, nous avons été témoins d’un combat modérément divertissant entre le ministre de la défense Ehud Barak et l’ancien Premier ministre Ehud Olmert. Olmert a accusé Barak d’avoir fait exprès de ne pas vaincre le Hamas pendant l’opération ‘Plomb Durci’. Barak, selon Olmert, « fit tout ce qu’il pouvait pour défendre le Hamas et empêcher sa chute dans la bande de Gaza ». 

Barak répondit à l’attaque cinglante d’Olmert en accusant le dirigeant qui échoua à vaincre le Hezbollah pendant la guerre de 2006 de « Churchillianisme de charlatan ».

Ironiquement, bien sûr, tous les deux ont raison. Tous les deux ont conduit Israël à la guerre avec une extrême incompétence. Tous les deux ont refusé de choisir ensemble des stratégies victorieuses.

Maintenant que le pays envisage une reprise de ‘Plomb Durci’, le Premier ministre Benyamin Netanyahou doit s’assurer que quand Tsahal agira, il le fera de façon décisive pour en sortir victorieux. Si cela signifie virer Barak, alors il doit être viré.

Il en est de même dans le domaine politique. L’offensive palestinienne doit rencontrer une contre-offensive sous-tendue par une stratégie victorieuse. Le ministre des affaires étrangères Avigdor Lieberman a montré le point de départ dimanche en déclarant aux ambassadeurs d’Israël qu’une paix avec les Palestiniens est impossible. Mais cela ne suffit pas.

Toute stratégie pour la victoire dans une guerre politique commence par une claire identification de la réalité. La paix est impossible parce que comme le Hamas, le Fatah est l’ennemi. Ses dirigeants et sa base rejettent notre droit à l’existence. Ils construisent un Etat qui sera en guerre avec nous. Ils travaillent avidement à nous délégitimer dans l’intention de nous détruire avec leurs frères du Hamas – qu’ils financent avec les USA et d’autres aides étrangères.
 
Une guerre politique contre le Fatah implique de discréditer activement ses membres et dirigeants. Aujourd’hui, le Fatah dirige une campagne diffamant les soldats de Tsahal et leurs commandants comme criminels de guerre. Israël doit constituer des dossiers valides de plaintes pour crimes de guerre contre des terroristes du Fatah et des dirigeants politiques devant des organes judiciaires internationaux et à l’étranger.

Le Fatah utilise l’ONU pour nous délégitimer. Nos délégations dans tous les organes de l’ONU doivent soumettre quotidiennement des résolutions appelant à la condamnation des Palestiniens pour leurs efforts dans le but de nous criminaliser et de réaliser des crimes de guerre contre nous.

Israël doit aussi rassembler ses alliés de son côté. Nous devons demander à nos amis au Congrès des USA de cesser de financer l’Autorité Palestinienne et l’UNWRA. L’AP est un syndicat terroriste et criminel qui utilise l’argent des contribuables américains pour financer le terrorisme et emplir les poches des maîtres de la terreur et de leurs apparatchiks. L’UNWRA, supposée être un organe de bienfaisance, reconnaît ouvertement employer des terroristes, permettre à ses écoles et camps d’être utilisés comme centres d’endoctrinement au jihad, de camps d’entraînement et de terrains de lancement de missiles. Le Service de Recherche du Congrès a déclaré qu’il est impossible de proclamer que les fonds des USA à l’UNWRA ne financent pas au moins indirectement des groupes terroristes.

En Israël, le gouvernement doit cesser tous les transferts de taxes à l’AP. Il doit interdire le déploiement de l’armée palestinienne entraînée par les USA en Judée et en Samarie. Il doit repousser la pression des USA pour entraver les opérations antiterroristes de Tsahal en Judée et Samarie.

Le gouvernement doit mettre hors la loi toutes les organisations assistant les Palestiniens dans leurs opérations de guerre politique et militaire. Il doit soutenir une action de groupe pour aider les victimes du terrorisme à poursuivre l’AP devant des tribunaux locaux. Il doit retirer les visas diplomatiques des représentants de pays comme la Grande Bretagne où des politiciens israéliens et du personnel militaire sont empêchés de voyager à cause d’opérations de la guerre juridique palestinienne. 

Le gouvernement doit exécuter le plan d’ouverture d’ondes de Netanyahou et encourager le lancement d’un réseau privé d’informations générales sur le modèle de ‘Fox News’.

Les Palestiniens entrevoient clairement l’année à venir comme décisive dans leur guerre de destruction d’Israël. Le gouvernement Netanyahou doit rassembler ses forces pour combattre. Ce sont des batailles que nous pouvons gagner. Mais pour ce faire, nous devons nous engager jusqu’à la victoire.

caroline@carolineglick.com  

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28 décembre 2010 2 28 /12 /décembre /2010 15:32

 

Le Héros des arabes et symbole pour le monde selon Damas and co - Un homme qui a fracassé la tête d'une fillette de 4 ans sur les rochers  : Samir KUNTAR

 

Gloire au héros ! Honoré par les plus grands malfaiteurs, voyous et génocidaires de la planète.

Il est grand parce qu'il a assassiné, massacré, il est grand parce qu'il a fracassé la tête d'un enfant sur les rochers !

Il est une habitude chez ces gens là d'honorer, de glorifier les pires assassins

Quel exemple !

Aschkel

 

 

 

 


 

Par Claire Dana Picard

Le terroriste Samir Kuntar, relâché par Israël en 2008 dans le cadre d’un « échange » et installé depuis lors au Liban, a été l’hôte personnel du président syrien Assad qui a su lui réserver un moment malgré un emploi du temps chargé. Kuntar, rappelons-le, a commis un crime atroce en 1979 à Nahariya, dans le Nord d’Israël : il a assassiné un père de famille, Danny Haran, et sa fillette de quatre ans dont il a fracassé la tête sur des rochers. Emprisonné pendant des années, il doit sa liberté à un accord conclu entre Israël et le Hezbollah qui a permis la restitution des corps des deux soldats Ehoud Goldwasser et Eldad Réguev.

Au cours de l’entretien entre Assad et Kuntar, les deux hommes ont évoqué la situation tendue au Liban, où l’on attend avec appréhension les conclusions du rapport sur le meurtre de l’ancien Premier ministre Rafik Hariri, mort à Beyrouth dans l’explosion d’une voiture piégée en 2005. Ensuite, Kuntar a remis à son hôte un exemplaire de son livre qui est une autobiographie et relate ses années de détention en Israël.

C’est déjà la seconde visite de Kuntar à Damas depuis sa libération. La première fois, quelques mois seulement après son retour au Liban, le meurtrier libanais avait fait le voyage pour recevoir, de la main du président syrien, une médaille. Bachar Assad l’avait alors félicité pour « son attitude ferme et son combat pour les droits des Arabes ». Il aurait même ajouté qu’il était devenu « un véritable symbole pour le monde arabe et pour le monde entier ».

israel7

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27 décembre 2010 1 27 /12 /décembre /2010 21:44

 

Netanyahou : Pas d’excuses à la Turquie

 

Adapté par Marc Brzustowski

 

Pour © 2010 lessakele et  © 2010 aschkel.info


http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-4005333,00.html

 


Discours ferme : le Premier Ministre declare clairement et simplement qu’Israël ne présentera pas d’excuses à la Turquie concernant l’incident de la flottille ; dans un entretien à la Chaîne 10, Netanyahou exige également qu’Ankara annule les procédures judiciaires contre Tsahal.

Ynet

 

Publié le 27: 

12.10, 20:31 / Israel News

 

 

Discours ferme : Israël ne présentera pas d’excuses à la Turquie au sujet de l’incident de la flottille qui a laissé pour morts 9 individus, a déclaré le Premier Ministre Benyamin Netanyahou à la Chaîne 10, lundi.

 

La Turquie avait précédemment insisté sur le fait que les relations avec Israël ne seraient pas restaurées avant qu’Israël ne présente des excuses pour le raid sanglant et verse des compensations aux familles des victimes.

 

 

Cependant, le Premier Ministre a clarifié ce point en disant que des excuses n’étaient pas à l’ordre du jour, et ajouté qu’Israël exige qu’Ankara annule les poursuites et procédures judiciaires contre Tsahal, lancées à la suite de l’arraisonnement de la flottille turque achalandée pour Gaza.

 

Un accord intérimaire?

 

Tournant son attention sur les récentes remarques d’Avigdor Lieberman concernant la Turquie et les Palestiniens, le Premier Ministre a démenti la proposition selon laquelle il aurait été humilié » par son Ministre des Affaires étrangères

 

“Le Ministre des affaires étrangères ne “m’humilie pas” ; il exprime sa vision des choses”, a répondu Netanyahou. « Dans le système israélien de gouvernement, les Ministres expriment toujours leur point de vue. Nous disposons d’une coalition et (en son sein), nous avons des vues différentes ».

 

“Dans ce cas, il y a le Ministre des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman, le Ministre de la Défense Barak, le Ministre de l’Intérieur Eli Yishaï et Habaït Hayehoudit – ils ont tous des points de vue différents », a-t-il déclaré, ajoutant que le seul point de vue qui les relie est celui qui tient le gouvernement comme formant un tout.

 

Le Premier Ministre a ajouté qu’en cas d’échec de la tentative de trouver un compromis avec les Palestiniens sur les problèmes de Jérusalem et des réfugiés, le seul résultat probant pourrait consister en un accord intérimaire.

 

 

“C’est ce qui pourrait constituer le résultat du processus diplomatique”, a t-il dit.

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25 décembre 2010 6 25 /12 /décembre /2010 21:37

 

 

Adapté par Marc Brzustowski

 

Pour © 2010 lessakele et  © 2010 aschkel.info

 


DEBKAfile  Analyse exclusive 25 Décembre 2010, 10:06 AM (GMT+02:00)

 http://www.debka.com/article/20492/


 

 

 

Mikhail Margelov, l’émissaire principal russe, a rencontré des responsables du Sud-Soudan à Tel Aviv

 

Une rencontre secrète à Tel Aviv, jeudi dernier (en 8), le 16 décembre, entre l’émissaire de haut-rang russe, Mikhaïl Margelov et des représentants du gouvernement semi-autonome du Sud-Soudan, a rendu le Président égyptien si furieux qu’il a ordonné à son Ministre du renseignement, le Général Omar Suleiman, de répliquer en accusant Israël de recruter des agents égyptiens pour espionner le Liban et la Syrie.


Selon les sources du renseignement de DEBKAfile, Le Caire a surtout commencé à régler ses comptes avec Jérusalem pour avoir introduit la Russie dans son soutien discret au Sud-Soudan, riche en pétrole. Le Président Silva Kiir Mayardit projette, en effet, de conduire sa province dominée par les Chrétiens à l’Indépendance à l’égard du Nord musulman, lors du référendum du 9 janvier.

 

Les Egyptiens soupçonnent que la récente livraison d’armes russes au Sud-Soudan, essentiellement des hélicoptères de combat, fait partie d’un programme d’armement conjoint russo-israélien.


On ne s'attend pas à ce que le Soudan laisse sa partition se faire sans réagir, particulièrement, alors qu’un autre référendum séparé le même jour peut également conduire une seconde province, Abyie, à faire sécession. Ce qui constituerait un coup double contre l’industrie pétrolière de Khartoum : 85% de son pétrole est puisé dans le Sud et la majeure partie de ses exportations circule par les pipline qui traversent (la province d') Abyie vers Port Soudan sur la Mer Rouge.


Margelov, qui est à la fois Président de la Commission des Affaires étrangères du Conseil de la Fédération de Russie, et Président du groupe démocrate européen à l’Assemblée du Parlement du Conseil de l’Europe, s’était préalablement opposé à une sécession du Sud Soudan. Il faisait alors clairement entendre ses craintes de voir émerger une « nouvelle Somalie ». Cependant, ayant pris la mesure de cette issue inévitable après des décennies de guerre sanglante, le Kremlin a changé de musique.

 

 

On a bien pris note de la réunion de Margelov avec des responsables du Sud Soudan, jeudi dernier –elle a d’abord été révélée par le site web israélo-russe IZRus et l’on pense qu'elle a été organisée par le Ministre des affaires étrangères Avigdor Lieberman –, dans les différentes capitales du monde qui scrutent d’un œil acéré le plébiscite du 9 janvier. Quatre jours plus tard, le Caire annonçait que l’Egyptien Tarek Abd al Rezak avait été arrêté et accusé de travailler pour le Mossad israélien. Pas un jour ne s’est passé depuis sans de fracassantes révélations sur ses activités clandestines.

 

 

La question soudanaise était suffisamment pressante pour pousser Hosni Moubarak et le dirigeant libyen Mouammar Khadafi à faire une visite-éclair à Khartoum, le 21 décembre, pour des discussions serrées avec le Président Omar al Béchir. Ils sont arrivé ensemble pour essayer de le persuader de repousser le Référendum par crainte qu’il ne mène à plus de bains de sang encore. Mais leurs agendas respectifs étaient sensiblement très différents :

 

Khadafi abhorre l’idée même qu’un nouveau pouvoir pétrolier s’érige aux portes de la Libye – et, plus particulièrement, s’il est sous contrôle chrétien. Moubarak redoute que les bouleversements qui ne manqueraient pas de soulever le Soudan rendent caduques les traités coloniaux qui offrent à l’Egypte 85 % des eaux du Nil. La plupart découle du bras principal du fleuve, le Nil Bleu, qui prend sa source en Ethiopie ; une moindre part provient du Nil Blanc, dont la source se trouve en Ouganda. Les deux bras s’unissent près de Khartoum et coulent alors vers le Nord, en un seul et même fleuve qui a été la ligne de vie irriguant l’Egypte depuis des millénaires.

 

L’Egypte se sent menacée, non seulement par les bouleversements soudanais à venir, mais aussi par une nouvelle initiative lancée par le Premier Ministre éthiopien Meles Zenawi, qui défie le monopole égyptien sur les eaux du Nil et exige un partage équitable avec les sept nations situées en amont du fleuve, dont la plupart sont extrêmement pauvres.

 

Le Gouvernement perçoit son contrôle sur le Nil comme un problème existentiel et, si nécessaire, se battra pour cela. Zenawi faisait récemment remarqué que : « Je ne serais guère surpris que les Egyptiens envahissent brusquement l’Ethiopie. Personne, qui ait tenté une chose pareille, n’a vécu assez longtemps pour le raconter ».

 

Par conséquent, le Caire et Addis-Abeba se regardent en chiens de faïence à propos du Nil. Et c’est sur ce point qu’Israël entre dans le paysage, d’après ce que rapportent les sources militaires et du renseignement de DEBKAfile.

 

Le Président Kiir maintient un bureau sous couverture à Tel Aviv, foyer à partir duquel s’acheminent ses relations diplomatiques, militaires et de renseignement avec Israël. L’Egypte et des sources de renseignement occidentales pensent qu’Israël a fortement armé le Sud Soudan par le biais d’une tierce partie, soutenant ainsi sa voie vers l’indépendance. L’Ethiopie, également, est un allié d’Israël et maintient des liens militaires et de renseignements solides avec l’Etat juif. Ce mois-ci, le Caire a été consterné de découvrir qu’Israël avait développé des réseaux d’influence suffisamment puissants dans les pays d’Afrique de l’Est, au Sud de l’Egypte, pour passer outre le rôle dominant du Gouvernement Moubarak concernant, notamment, le problème palestinien.  

 

Pour Moubarak, la rencontre secrète entre des responsables russes et sud-soudanais à Tel Aviv, plutôt qu’en n'importe quel autre endroit du globe, était un comble. Il a perçu ce geste comme le point culminant d’une manœuvre visant à engager le soutien russe dans les nouvelles entreprises risquées lancées par Jérusalem, de façon à se distancier de Washington et de son prestige en chute libre au Moyen-Orient, et comme un moyen de circonvenir la radicalisation de ses voisins, alimentée par l’Iran.

 

Là-dessus, Le Caire a mis les pieds dans le plat, au sujet de l’aventure israélienne au Soudan, en rendant le Mossad responsable de sa colère. Tareq Abd Rezak Hassan est actuellement accusé d’avoir mené des contacts avec les puissants services de sécurité d’Israël et des activités hostiles contre la Syrie. Des actes d’accusation ont également été diffusés contre « Eddy et Moshe Joseph Dimor », décrits comme les agents traitants d’Hassan.

 

Le Caire a pris soin de ne pas aller trop loin en accusant Israël d’espionner directement l’Egypte – mais seulement d’autres états arabes. Mais il a rendu l’affaire publique pour servir d’avertissement à Israël lui intimant de revenir sur ses incursions diplomatiques en Afrique de l’Est ou de se trouver confronté à d’autres sources d’embarras supplémentaires. 

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24 décembre 2010 5 24 /12 /décembre /2010 09:41

 

Très rassurant !

 

 

Essai réussi pour le missile pakistanais Ghauri Hatf 5

22 décembre 2010 – 19:33

opex360

Le Pakistan a indiqué, le 21 décembre, avoir procédé avec succès à un nouveau tir d’essai du missile Ghauri Hatf 5. Le lancement a été effectué par le commandement stratégique de l’armée, en présence du Premier ministre pakistanais, Yousuf Raza Gilani.

Ce tir a été l’occasion pour ce dernier d’affirmer le rôle de la dissuasion nucléaire dans la défense du Pakistan.

« Le test démontre amplement la crédibilité de notre stratégie de dissuasion minimale, qui est la pierre angulaire de notre politique de sécurité et assure la paix dans la région » a-t-il déclaré. Le chef du gouvernement pakistanais a également rappelé que son pays est « responsable » et qu’il n’a aucun « desseins agressifs contre quiconque ».

Le Ghauri Hatf 5 a été développé sur la base du missile No-Dong nord-coréen. D’une portée de 1.300 km, il peut tout aussi bien emporter des charges nucléaires que conventionnels. Son nom est tout un symbole : il est celui d’un souverain afghan qui régna au XIIème siècle sur un territoire comprenant l’Afghanistan, le Pakistan et le nord de l’Inde.

Ce tir pakistanais répond à l’essai manqué d’un missile Agni-II améliorée, effectué par l’Inde, le 10 décembre dernier. L’engin, lancé depuis l’île de Wheeler, au large de l’Etat d’Orissa (Est), a dévié de sa trajectoire avant de tomber en mer.

Ce missile amélioré, d’une portée comprise entre 2.000 et 2.500 kilomètres, doit faire le lien entre l’Agni-II et l’Agni-III, déjà testé avec succès.

Mais pour faire bonne mesure au lendemain l’essai réussi du Ghauri Hatf 5, l’Inde a lancé deux missiles balistiques Prithvi-II, destinés à équiper ses forces aériennes. Le précédent essai d’un engin de ce type, d’une portée de 350 km pour une charge de 500 kg, s’était soldé, en septembre dernier, là encore, par un échec.

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23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 05:41

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USA/FRANCE - Le représentant Démocrate Steve Rothman demande à N.Sarkozy de renoncer à la livraison de missiles pour le Liban/'Hezbollah - Pétition

 

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Pétition pour que le gouvernement français annule la livraison de missiles anti-chars au Liban

 

 

 


 

rothman.house.gov /iloubnan.info

 

 

WASHINGTON - Un élu américain a estimé mercredi que la France devrait abandonner son projet visant à fournir au Liban 100 missiles anti-char, soulignant les risques qu'ils ne soient utilisés par le puissant mouvement chiite Hezbollah contre Israël. 

Dans une lettre, le représentant démocrate Steve Rothman a demandé au président français Nicolas Sarkozy de trouver "d'autres moyens" d'aider les forces armées libanaises.

"Les enjeux sont trop grands, et le danger que cela représenterait pour Israël est bien trop réel. Par conséquent, je vous demande respectueusement de revoir cette transaction de missiles anti-char et d'essayer d'aider les forces armées libanaises par d'autres moyens", écrit le parlementaire.

M. Rothman a noté que la France était sensée livrer le matériel avant mars
2011 et a averti que "le Liban est dans une situation précaire qui fait que le Hezbollah est dans une position de puissance lui permettant d'écarter les forces armées libanaises".

"Si cela devait se produire, Israël serait en danger grave que nos missiles anti-char soient utilisés à son encontre", a ajouté l'élu.

"Je suis d'accord sur le principe que renforcer les forces libanaises contre le Hezbollah est un objectif important, mais je pense que leur fournir des missiles anti-char n'est ni utile ni nécessaire à cet égard", a ajouté M. Rothman. 

La France va offrir au Liban 100 missiles anti-char, avait indiqué vendredi un représentant du gouvernement libanais, confirmant un projet qui avait soulevé des inquiétudes en Israël et aux Etats-Unis.

Durant le conflit entre Israël et le mouvement chiite en 2006, le Hezbollah avait tiré plus de 4.000 roquettes contre le nord d'Israël, contraignant un million d'habitants à se terrer dans des abris ou à fuir vers le sud du pays.

L'arsenal du Hezbollah libanais, mouvement qui prône la lutte contre Israël, n'est plus visible dans le sud depuis 2006, mais reste important. 
Selon l'Etat hébreu il a même triplé depuis le conflit, avec 42.000 missiles pouvant atteindre des villes du sud d'Israël.

 

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Pétition pour que le gouvernement français annule la livraison de missiles anti-chars au Liban

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22 décembre 2010 3 22 /12 /décembre /2010 14:21

 

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Monsieur le Président de la République française,

 

Le Peuple français a appris avec stupéfaction que la France allait livrer des missiles anti-chars au Liban.
La France va offrir 100 missiles anti-chars air-sol de type HOT, utilisés par les hélicoptères Gazelle, qui doivent être livrés avant la fin février.

Cette décision du Gouvernement français nous semble extrêmement dangereuse sachant l’influence croissante du mouvement terroriste Hezbollah au sein de l’armée libanaise.

En effet, le Hezbollah est en passe de contrôler totalement l’armée libanaise et les derniers incidents entre cette armée qui  a tiré et tué un soldat israélien le démontrent. 

Le Liban est en proie à une grande instabilité politique due aux pressions Syriennes ainsi qu’à l’omniprésence du Hezbollah , tête de pont de l’Iran , ce que le Gouvernement de la France  ne peut ignorer.

Si  la résolution 1701 du Conseil de Sécurité de l’ONU prévoit bien une coopération militaire pour contribuer à l’indépendance et à la stabilité du Liban, cette résolution vise essentiellement à aider le Liban à se défendre contre le Hezbollah et la Syrie. Or le mouvement terroriste Hezbollah ne possède aucun char.

Il est fort probable compte tenu de l’influence grandissante du Hezbollah que ces missiles livrés par la France servent à terme à détruire des chars israéliens. Le Gouvernement de la France  ne peut l’ignorer !

Ainsi il est possible que les missiles français tuent  des citoyens israéliens ,, fils de citoyens français.

Si cela devait arriver ce serait l’ensemble de la communauté française qui en serait touchée.

Monsieur Le Président de la République, vous connaissez l’attachement de la communauté juive aux valeurs françaises que cette communauté sert depuis si longtemps. Le maintien de cette livraison de missiles inopportune serait perçue comme un acte anti-israélien évident.

Votre politique étrangère à l’égard d’Israël a déjà changé durant votre mandat, passant « d’ami d’Israël » à « principal pourfendeur  d’Israël » ce qui est mal vécu par une partie de l’opinion publique qui résiste au « politiquement correct » pro-palestinien.

Monsieur Le Président de la République une large part du Peuple français continue, contre vent et marée, contre la bien-pensance largement répandue par la  mouvance pro-palestinienne, à penser qu’Israël est un Etat démocratique qui a le droit et le devoir d’assurer avant tout sa défense, que ses droits d’exister sont inaliénables et que votre précipitation à condamner l’arraisonnement du Mavi Marmara a été une grande  trahison envers nos amis israéliens.

Monsieur Le Président de la République, le Peuple français vous demande de ne pas aller au-delà dans ce qui sera perçu comme une nouvelle trahison de l’amitié franco-israélienne et, en conséquence, vous demande d’annuler cette livraison de missiles HOT au Liban qui risque fortement de tuer des citoyens  israéliens.

 

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22 décembre 2010 3 22 /12 /décembre /2010 07:05

 

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Pakistan : prochain théâtre de guerre américain ?

Les hauts responsables militaires américains en Afghanistan font actuellement pression pour que soit approuvée l'extension de leurs opérations terrestres au-delà de la frontière Afghanistan-Pakistan, afin d'avoir accès à des zones tribales pakistanaises, a rapporté lundi le journal américain New York Times.

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Dans un article publié sur son site internet, le journal a affirmé que la proposition des militaires, non encore acceptée par le président américain Barack Obama, traduisait la frustration grandissante des Américains face à l'"échec" du Pakistan à empêcher les militants afghans de se réfugier dans les zones tribales pakistanaises situées sur la frontière avec l'Afghanistan.


La proposition prévoit l'escalade des activités militaires américaines au Pakistan, "où le mouvement des troupes américaines est jusqu'ici largement interdit par crainte de provoquer une réaction", selon le journal.

Les activités militaires américaines au Pakistan se limitent actuellement en général à des attaques de drones menées par la CIA. "La décision d'étendre les activités militaires américains au Pakistan...pourrait avoir pour conséquence l'ouverture d'un nouveau front dans cette guerre débutée voilà neuf ans", affirme le reportage. "Cela risque de provoquer la colère du gouvernement pakistanais ", jusqu'ici allié inconfortable des américains dans la guerre en Afghanistan, "en particulier si cela débouche sur des dégâts civils ou des confrontations publiques".

Cependant, une "nouvelle conception basée sur l'urgence" en Afghanistan pèserait plus lourd que le risque de réaction négative des Pakistanais, car la date-butoir de retrait des troupes de l'Afghanistan s'approche pour le gouvernement Obama, a affirmé le NYT.

Le président Obama a publié jeudi dernier la révision de la stratégie américaine dans la guerre en Afghanistan, prévoyant un renfort de 30.000 hommes supplémentaires pour l'armée américaine dans le pays asiatique.

Les résultats obtenus dans la guerre contre les militants talibans en Afghanistan "demeurent fragiles et réversibles", a affirmé le gouvernement Obama, "La consolidation de ces gains aura pour corollaire une intensification de la coopération avec le Pakistan dans le cadre de l'élimination des sanctuaires des réseaux d'extrémistes violents".

 


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Depuis qu’il a été chassé de Kaboul en novembre 2001, le mouvement taleb afghan a trouvé refuge dans les zones tribales pakistanaises, à partir desquelles il a pu reconstituer ses forces et intensifier l’insurrection en Afghanistan à partir du printemps 2005.

Ces zones tribales pakistanaises accueillent également les responsables d’al-Qaïda, des camps d’entraînement djihadistes ainsi que d’autres mouvement insurrectionnels, comme le réseau Haqqani, très présent dans l’est de l’Afghanistan.

Le dernier rapport concernant la situation afghane, remis la semaine passée au président américain, Barack Obama, a estimé « déterminante » la coopération avec les autorités pakistanaises pour déloger les militants d’al-Qaïda ainsi que les insurgés afghans de ce sanctuaire.

Or, même si Islamabad autorise la CIA à y mener des raids aériens à l’aide de drones, a reçu des milliards de dollars de Washington au titre des opérations antiterroristes et que son armée a lancé des offensives contre le mouvement taleb pakistanais dans la vallée de Swat et le Nord-Waziristan, les insurgés afghans bénéficient d’une certaine tolérance de la part des autorités pakistanaises, soupçonnées de vouloir garder un atout dans leur manche une fois que l’Otan aura quitté l’Afghanistan.

En attendant, cette situation n’est pas sans créer quelques tensions avec le Pakistan, comme cela a été le cas en septembre dernier, après la courte incursion d’hélicoptères d’attaque, vraisemblablement américains, en territoire pakistanais, lesquels avaient poursuivi des insurgés qui venaient de commettre une attaque en Afghanistan.

Aussi, et dans ce contexte, l’information révélée par le New York Times n’est pas surprenante. En effet, selon le quotidien, des responsables militaites de haut rang voudraient voir les forces spéciales américaines mener des opérations secrètes dans les zones tribales pakistanaises, afin de d’obtenir des renseignements et de capturer des combattants radicaux. « Nous n’avons jamais été aussi près d’avoir le feu vert pour franchir la frontière » a même confié l’un d’eux au journal.

Jusqu’à présent, et outre les raids effectués par les drones (117 en 2010), la CIA emploie des groupes armés afghans pour y mener ce genre d’opérations. Le New York Times évoque ainsi l’existence d’une milice appelée Paktika Defense Force, laquelle aurait déjà mené au moins deux missions dans les zones tribales pakistanaises. Au total, l’agence américaine de renseignement disposerait de 6 unités de ce genre en Afghanistan.

Quant aux forces spéciales américaines, elles n’ont pas l’autorisation de la Maison Blanche pour accomplir le même type d’opérations en territoire pakistanais. Et l’administration Obama semble divisée sur ce point, ceux qui s’y opposent estimant que le bénéfice éventuel de ces opérations serait annihilé par une détérioration des relations avec le Pakistan. En septembre 2008, Islamabad avait vivement protesté après un raid de commandos américains sur son territoire, qui avait conduit à la neutralisation d’insurgés.

Cela étant, le vice-amiral Gregory Smith, porte-parole de la Force internationale d’assistance à la sécurité (ISAF), a opposé un démenti aux informations données par le New York Times. Selon l’officier, qui a réagi par voie de communiqué, la coalition internationale ‘ »reconnaît la souveraineté de l’Aghanistan et du Pakistan pour poursuivre les insurgés et les terroristes opérant à l’intérieur de leurs frontières ».

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