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18 juillet 2010 7 18 /07 /juillet /2010 17:24

 

Lieberman - Israël ne fait pas confiance à l'Europe

 

 


 

Alors que la « ministre des Affaires étrangères de l’UE », Catherine Ashton, en visite à Gaza, appelle Israël « à ouvrir tous les points de passage entre Israël et la Bande de Gaza », le ministre israélien des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman, en visite au Kazakhstan, fait part « de l’expérience décevante d’Israël quant au sérieux des Européens lorsqu’ils s’engagent à surveiller des points de passage ».

Lieberman participait à un Congrès de l’O.S.C.E (Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe). Près de 50 chefs de la diplomatie y étaient présents, et le ministre israélien a pu rencontrer de nombreux homologues. Il en a profité pour remercier le ministre allemand, Guido Westerwelle, du fait que l’Allemagne ait déclaré hors-la-loi la branche allemande de l’ « IHH » turque. Il a émis le souhait que les autres pays de l’UE ainsi que les Etats-Unis feraient de même.

Avigdor Lieberman a expliqué à ses homologues quelle était la nouvelle politique israélienne par rapport à la Bande de Gaza, et leur a dit « qu’Israël attendait de l’Union Européenne autre chose que des déclarations, et que l’Europe allait s’engager sérieusement dans des projets à Gaza ».

Il s’est aussi et surtout référé à la question des points de passage, dont les Européens réclament l’ouverture : « Nous avons hélas une expérience décevante avec les Européens », n’a pas hésité à dire Lieberman. Il a rappelé à ses interlocuteurs l’accord signé en 2005 sur la prise en charge par l’Union Européenne du point de passage de Rafiah, entre l’Egypte et la Bande de Gaza. Mais les soldats de la Force Européenne avaient soudain abandonné leur poste en une journée, après avoir reçu des menaces de la part du Hamas, laissant Israël se mesurer seul avec la contrebande d’armes !! « Israël est prêt à reconsidérer la question de laisser les points de passage sous responsabilité européenne », a indiqué le ministre israélien, « mais à condition qu’il s’agisse de forces capables de résister aux menaces du Hamas et de réagir au besoin comme il faut ». Il a cité la « Légion Etrangère » française comme possibilité, « mais pas moins que cela », a-t-il précisé.

Il a également profité de ce forum pour rappeler aux ministres présents « que le bateau turc ‘Marmara’ avait été un piège tendu à Israël et un leurre envoyé à la communauté internationale, car ses passagers, envoyés par l’IHH turc, étaient des activistes pro-hamas et non des militants pacifistes ».

Lors de ce sommet, Lieberman a reçu une invitation officielle pour le Président Shimon Pérès et le Premier ministre Binyamin Netanyahou de se rendre en en visite en Autriche.

 

israel7

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16 juillet 2010 5 16 /07 /juillet /2010 05:42

 

 


 

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15 juillet 2010 4 15 /07 /juillet /2010 15:59

 

 

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Chers Amis,

La liste des soutiens à ma candidature ne cesse ce croître, et je souhaite remercier toutes celles et tous ceux d’entres vous qui ont adhéré au Likoud pour renforcer mes chances d’être élu.

Je souhaite insister sur le fait que nous avons jusqu’au 29 août 2010 au plus tard pour soumettre une liste de nouveaux adhérents.  Seuls ceux qui auront adhéré avant cette date pourront voter aux prochaines élections primaires du Likoud, élections qui sélectionneront la liste des candidats à la Knesset (dont le siège réservé aux immigrants, que je brigue).

Je vous rappelle que vous pouvez downloader directement le formulaire (et sa traduction française) en cliquant sur « contact » sur mon site (
www.navon.com) .  

Une fois rempli et signé, le formulaire doit m’être envoyé directement,

Ø   soit par email (emmanuel@navon.com),

Ø   soit par fax (0508962467),

Ø   soit par la poste (30, Yonathan Hahashmonai, Efrat 90435).  

Si vous envoyez directement le formulaire au Likud, il ne sera pas comptabilisé comme un soutien en ma faveur.  

Les frais de membre (64 shekels par an par personne ou 96 shekels par an par couple) ne peuvent être réglés que par carte de crédit ou par prélèvement bancaire (pas par chèque, et pas en liquide).

Faites passer ce mail à vos contacts, postez-le sur Facebook et Twitter, pour créer ce mouvement « vital » rendu possible par Internet.

Je vous annonce par ailleurs, je donnerai une conférence à :

Netanyah le mercredi 28 juillet à 20 heures 30 pour expliquer aux Francophones l’importance de notre mobilisation politique.  La réunion se tiendra dans une salle au 13 rue Harav Kook (au rez-de chaussée).  

Je donne également un « choug bait » à Jérusalem le 26 juillet 20 heures 30 chez Avraham et Ruhama Dahan (rue Yitzhak Nissim 82/3, à Har Homa)

 

 Beaucoup d’entre vous se posent la question : Quel intérêt y-a-t-il à se mobiliser en faveur d’Emmanuel Navon, et qu’est-ce-que cela nous apporte ?  Et surtout, quel est son programme ?


J’ai décidé de me présenter car je pense que je peux contribuer à constituer un nouveau leadership dont Israël a besoin.  Tandis qu’Israël fait face à une hostilité internationale sans précédent, la plupart de nos dirigeants actuels et futurs ne sont pas en mesure de relever les défis d’Israël.

L’une des « stars » des prochaines élections sera Yaïr Lapid.  Que veut-il ?  La sécularisation à outrance d’Israël, et le retrait de tous les territoires libérés par Israël en juin 1967 (dont Jérusalem et le Golan).  Face à cette tendance, il faut faire front avec des hommes politiques fiers de leurs racines juives.  Il en va du futur de notre pays.

 

PROGRAMME


 

Téléchargez le programme en PDF >  PROGRAMME E.NAVON PROGRAMME E.NAVON

 

 

Le programme que je vous propose, et sur lequel je sollicite vos réactions, s’articule autour des cinq points suivants :

1.      Réforme électorale :
 

a.      Remplacer la proportionnelle intégrale par la majoritaire à deux tours.
 

b.      Faire passer une loi sur le référendum pour mettre en place cette réforme en      contournant la Knesset.

 

2.      Éducation :
 

a.      Mettre fin à l’acculturation juive de notre jeunesse.  L’actuel Ministre de l’Éducation, Gideon Saar, s’est attiré la foudre des médias et des « intellectuels » pour avoir introduit l’étude de Pirkei Avot dans les écoles laïques.  Il faut transmettre notre patrimoine culturel et national à notre jeunesse, sans se laisser intimider par notre pseudo-élite acculturée.
 

b.      Mettre fin à la fuite des cerveaux en offrant à nos universitaires des perspectives de carrière semblables à celles qu’ils recherchent aux États-Unis.  Cela exige la privatisation et la décentralisation des Universités avec un système de bourses pour les étudiants défavorisés.

3.      Économie :
a.      Démanteler les monopoles et baisser les impôts pour mettre fin aux abus de pouvoir économiques et pour encourager la croissance.
b.      Promouvoir l’usage des voitures électriques et des bio-carburants pour réduire la dépendance pétrolière d’Israël.

4.      Immigration :
a.      Mener une politique agressive d’encouragement de l’immigration, en particulier de France et des États-Unis, en insistant sur les perspectives économiques en Israël et sur le coût moindre de l’éducation juive par rapport aux États-Unis.
b.      Maintenir le statut halakhique des conversions pratiquées en Israël, tout en reconnaissant les conversions alternatives pratiquées aux États-Unis.

 

5.      Politique étrangère :

a.      Passer d’une stratégie de résolution du conflit israélo-arabe à une stratégie de gestion du conflit.  Le conflit étant insoluble, il faut rendre le statu quo viable en finissant la construction de la barrière de sécurité (pour désamorcer la pression démographique et la menace binationale) et en maintenant la présence de Tsahal en Judée-Samarie.
b.      En diplomatie publique, passer d’une stratégie défensive à une stratégie offensive.  Au lieu de s’expliquer et de s’excuser, il faut affirmer ses droits avec fermeté, initier des campagnes médiatiques et embarrasser nos ennemis.


Israël est notre pays.  Ne laissons pas sa destinée être décidée par des gens qui manquent de courage, de vision, et de foi.  Prenons nos responsabilités.  La démocratie, ce n’est pas simplement voter.  C’est aussi prendre part aux décisions en se faisant élire.

Après dix-sept en Israël et une carrière qui a combiné l’Université avec les affaires et la défense médiatique de notre pays, je me sens prêt et capable pour relever ce défi.  Mais j’ai besoin de votre soutien.  

Ce n’est que grâce à votre mobilisation, ici et maintenant, que je pourrai entrer à la Knesset pour défendre les idées et les valeurs qui nous sont chères.  En vous inscrivant au Likoud avant le 29 août, vous pourrez décider du sort des élections primaires qui fixeront la liste des candidats du parti à la prochaine Knesset.

“Im Tirtsou, Ein Zo Agadah" (si vous le voulez, ça n’est pas un rêve) nous avait dit Herzl.  C’est la volonté (« Ratzon ») qui traduit les idées en réalité.  Sortons de notre léthargie, de nos divisions, et de nos découragements, et soyons à la hauteur du défi que nous avons relevé en montant en Israël.

Je compte sur vous.

Emmanuel Navon.

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15 juillet 2010 4 15 /07 /juillet /2010 06:57

 

ISRAEL : Le désengagement mène a notre perte - Y.EDELSTEIN

 

 

 

« Le Désengagement a inéluctablement conduit la Bande de Gaza dans les bras du Hamas et les Flottilles en sont une conséquence directe. Eluder cela dénote d’une incompréhension totale des processus politiques. » C’est ce qu’a affirmé le ministre de l’Information et de la Diaspora, M. Youli Edelstein, ancien prisonnier de Sion qui a fait son Alyah d’Union soviétique dans les années 80.

Il ajoute: « Les commémorations actuelles pour les cinq ans de l’évènement traumatique du retrait du Goush Katif ne sont pas uniquement destinés aux expulsés du Goush ou à leurs enfants, mais à tout un chacun dans la société israélienne afin de se souvenir et de rappeler que l’expulsion de Juifs et l’évacuation de localités juives ne mènent nulle part. C’est une voie qui mène à notre perte, à l’insécurité et la perte de vies humaines. Je nourris l’espoir que même ceux qui se sont alors trompés et considéraient que c’était la bonne chose à faire, en tireront les leçons et reconnaitront que dans la conjoncture actuelle, les retraits nous conduisent de Charybde en Scylla. ».

 

par Meir Ben-Hayoun

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12 juillet 2010 1 12 /07 /juillet /2010 18:29

pour aschkel.info et lessakele

 

A diffuser à vos amis et contacts 

 

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Chers amis,

  

J’ai décidé de me présenter aux prochaines élections à la Knesset sur la liste du Likoud.  Beaucoup d’entre vous m’ont déjà exprimé leur soutien, et je les en remercie.

 

Mon but est de transformer une influence politique électorale potentielle en une force politique réelle pour défendre des idées et des valeurs auxquelles je crois, tout comme la grande majorité des Francophones d’Israël.

 

Je ne veux pas créer un mouvement communautariste.  Nous sommes tous des Israéliens à part entière.   Mais le système électoral israélien de la proportionnelle intégrale fait que nous n’avons pas de représentants locaux ou régionaux qui doivent nous rendre des comptes pour leur action (ou inaction) à la Knesset.  C’est pourquoi c'est la seule façon de représenter des intérêts sectoriels et d’avoir des élus qui représentent ces intérêts.  Les immigrants russes et les Sépharadim orthodoxes l’ont compris, et le pouvoir politique de Israel Beitenou et de Shas sont là pour en témoigner.

 

Songez-y: Il y a un demi-million de Francophones en Israël et ils sont en grande majorité de droite.  Or il n’y a qu’un véritable Francophone à la Knesset et il est de gauche.  Pourquoi ? Parce que la plupart des Israéliens francophones sont passifs politiquement et que les tentatives passées de créer une force politique ont été sabotées par des luttes internes.  Il est temps de dépasser les jalousies et les divisions.

 

Il n’est pas raisonnable de vouloir donner un exemple d’unité en créant un nouveau parti politique.  Israël souffre d’une pléthore de partis et la Knesset est trop écartelée.  Nous pouvons et devons nous exprimer au sein du parti politique qui a toujours été celui des Juifs traditionnels et patriotes : Le Likoud.  Certains d’entre vous diront que le Likoud est trop amorphe idéologiquement.  Justement : si vous voulez influencer le grand parti au pouvoir, vous ne pouvez le faire que de l’intérieur.

 

Depuis la réforme introduite par Benjamin Netanyahu en 2005, les candidats du Likoud à la Knesset sont sélectionnés par les quelques 100,000 adhérents du parti.  En adhérant au parti, vous aurez voix au chapitre.  Avec 500,000 Francophones en Israël, vous comprenez quelle influence vous pouvez avoir.  En admettant que 10% des Francophones d’Israël se joignent au parti, cela constituera le tiers de son électorat.

 

Une telle force électorale n’est pas une fin en soi.  C’est sur la base d’un programme et d’idées que je demande votre soutien.  Mon cheval de bataille est la réforme du système électoral israélien par voie de référendum.  Mes votes à la Knesset seront toujours guidés parle souci de l’intégration des immigrants, la fidélité aux valeurs du judaïsme, la fierté nationale, et la cohésion sociale.

 

Vous recevrez dans les prochains jours un programme électoral détaillé.  N’hésitez pas à me faire part de vos idées et suggestions pour que je puisse les inclure dans le programme.

 

Je me tiens à votre disposition pour venir présenter mes idées et mon programme dans votre quartier ou votre communauté.  Vous pouvez me contacter par email (emmanuel@navon.com).

 

Nous avons jusqu’au 29 août 2010 pour soumettre une liste de nouveaux adhérents au Likoud.  À l’âge de l’Internet, nous pouvons faire adhérer plusieurs milliers de membres en deux mois. 

 

Je compte sur vous pour m’y aider. 

 

Il suffit de downloader le formulaire d’inscription en allant dans « contact » sur mon site (www.navon.com), et de me le renvoyer rempli et signé soit par scan (emmanuel@navon.com), soit par fax(0508962467), ou bien par courrier (30, Yonathan Hahashmonai, Efrat 90435).  Les frais d’adhésion au Likoud sont de 64 shekels par an par personne ou 96 shekels par an par couple (le paiement ne peut se faire que par carte de crédit ou par prélèvement bancaire.  Les chèques ne sont pas recevables).

 


Pour atteindre directement la page formulaire ici

 

Une version française de mon site Internet sera bientôt mise en ligne.

 

« Si vous le voulez, ça n’est pas un rêve » avait dit Herzl.  En nous unissant et en nous organisant, nous nous étonnerons nous-mêmes de ce que nous pouvons accomplir ensemble.

 

Je compte sur vous.

 

Emmanuel Navon.

 

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9 juillet 2010 5 09 /07 /juillet /2010 13:53

 

 

 

Diviser pour mieux exister
Par AVIGDOR LEIBERMAN 
08.07.10

'La définition de la folie est de 'faire la même chose encore et encore et d'espérer des résultats différents'", selon Albert Einstein. Depuis 1993, les gouvernements successifs, soutenus par la communauté internationale, ont tenté de mettre fin au conflit israélo-palestinien en utilisant le paradigme imparfait "terre contre paix". A chaque fois, la même formule a été mise sur le tapis, mais a échoué en raison d'une certaine attitude récalcitrante du camp arabe.

“Il n’existe aucune preuve que la Ligne verte, démarcation que l’ex-ministre pacifiste des Affaires étrangères Abba Eban avait affublée de ‘ligne d’Auschwitz’, ait été jamais considérée comme une quelconque frontière. - Avigdor Lieberman. 
PHOTO: ARIEL JEROZOLIMSKI , JPOST

L'opinion internationale a commencé à exiger de plus en plus ardemment le retour d'Israël aux lignes d'armistice de pré-1967 comme base de toute résolution du conflit. Pourquoi cet acharnement ? Tout simplement parce que tout le monde croit à tort que ce conflit est à caractère territorial. Et pour couronner le tout, les dirigeants israéliens à travers l'histoire n'ont jamais fourni d'alternative à ce paradigme.
Ceux qui prétendent qu'Israël doit revenir à ladite Ligne verte devraient examiner de plus près la résolution 242 du Conseil de l'ONU, qui a servi de cadre juridique de l'après-guerre de 1967, lors de l'annexation des territoires. Ils constateront que la résolution n'a jamais appelé à un retrait total de la Judée-Samarie. Lord Caradon, architecte principal du document, a qualifié les lignes d'avant 1967 d'"artificielles et indésirables". Un autre initiateur, Eugene V. Rostow, sous-secrétaire d'Etat américain pour les affaires politiques en 1967, a déclaré qu'Israël doit se retirer uniquement jusqu'à "des frontières sécurisées et reconnues, qui doivent être différentes des lignes de démarcation de l'armistice".

En fait, la Ligne verte correspond au tracé le long duquel les armées israélienne et jordanienne ont mis un terme à leur combat à la fin de la guerre d'Indépendance. Le traité d'armistice jordano-israélien précise : "Aucune disposition du présent accord ne doit porter atteinte aux droits, revendications et positions de chacune des deux parties dans le règlement pacifique des questions palestiniennes, les dispositions de cet accord étant dictées exclusivement par des considérations militaires."
Ainsi, il n'existe aucune preuve que la Ligne verte, démarcation que l'ex-ministre pacifiste des Affaires étrangères Abba Eban avait affublée de "ligne d'Auschwitz", ait été jamais considérée comme une quelconque frontière.

Si beaucoup clament que le conflit israélo-palestinien est territorial, les faits le démentent. Israël n'avait pas de citoyens, de "colons" ou de soldats en Judée-Samarie jusqu'en 1967, ce qui n'a pourtant pas permis le moindre moment de paix avec ses voisins et les terroristes qu'ils soutenaient. La création de l'OLP (Organisation de libération de la Palestine) en 1964 a précédé la guerre des Six-Jours. Et dans sa constitution originelle, il est précisé qu'elle ne revendique en aucun cas la Judée-Samarie.

Ligne verte, lignes rouges

Si ce conflit renvoie aux lignes d'avant 1967, il passera inévitablement outre ces frontières et atteindra le cœur même d'Israël. La majorité des Arabes du pays se définissent comme palestiniens, politiquement et culturellement. Nombreux sont ceux qui s'identifient ouvertement avec le mouvement national palestinien, au point d'agir ouvertement contre l'Etat qui leur octroie tous les droits civils. En 2006, les dirigeants arabes ont rédigé un article intitulé "La vision future des Arabes palestiniens en Israël". Un document profondément troublant, remettant en cause la légitimité et la raison d'être même de l'autodétermination juive.

Pire encore, certains dirigeants arabes soutiennent activement les bien-intentionnés qui rêvent de détruire l'Etat juif. L'ancien député Azmi Bishara a fomenté les attaques de roquettes du Hezbollah sur Israël et Ahmed Tibi a été le conseiller de Yasser Arafat, une fonction qu'il occupe toujours auprès de l'actuel chef de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, parallèlement à celle de député à la Knesset, aux frais du contribuable.

Des démonstrations anti-israéliennes féroces sont légion dans les villes arabes du pays, où il n'est pas rare d'entendre les slogans "Mort aux Juifs" et où les photos de dirigeants terroristes du Hamas et du Hezbollah sont fièrement brandies. Ces phénomènes indiquent clairement que la cause de la friction provient d'une dissension entre deux peuples.

Par conséquent, la solution n'est pas de se plier à des exigences territoriales démesurées de la part des Palestiniens, mais de créer véritablement "deux Etats pour deux peuples".
Certains acteurs de la communauté internationale prônent un Etat palestinien homogène et pur aux côtés d'un Etat israélien binational, soit "un Etat et demi et un demi-Etat". Selon moi, pour obtenir une paix et une sécurité à long terme, nous devons opérer une véritable division politique entre les Arabes et les Juifs, chacun doté d'une autodétermination.

Par conséquent, pour une solution durable et équitable, nous devons effectuer un échange de territoires peuplés et créer deux entités homogènes, l'une juive israélienne et l'autre palestinienne arabe. Il va sans dire que les minorités qui choisiront de rester dans chacun des pays bénéficieront de tous les droits civils.
Il n'y aura pas de soi-disant droit au retour de Palestiniens. Tout comme les réfugiés juifs des pays arabes ont trouvé un foyer en Israël, les réfugiés palestiniens pourront rejoindre leur nouvel Etat. Cet Etat doit être démilitarisé et Israël devra maintenir une présence à ses frontières afin de contrôler le trafic d'armes.

A mon avis, telles doivent être nos lignes rouges.
L'histoire nous a démontré que des aspirations nationales antagonistes trouvaient rarement leur dénouement dans la coexistence au sein d'un seul Etat. L'ex-Yougoslavie a été divisée en plusieurs pays distincts. La Tchécoslovaquie a été coupée en deux, et même en Belgique, des voix fortes veulent voir ce pays scindé en Wallonie et territoires distincts flamands. Ainsi, force est de constater que la création de nouveaux Etats sur des bases ethniques, nationales et même religieuses est monnaie courante.

Au regard de toutes les difficultés, c'est la seule solution qui assure une stabilité de longue durée. Dans la plupart des cas, nul transfert physique de population ou démolition de maisons n'a été nécessaire, seulement la création d'une frontière là où il n'en existait pas, suivant les données démographiques. Les Arabes d'Israël recevront tout simplement la citoyenneté palestinienne.


D'aucuns prétendent qu'il est illégal de retirer la citoyenneté à des individus. Toutefois, la résolution 55/153 de l'Assemblée générale des Nations unies, rédigée en 2001, prévoit explicitement : "Lorsqu'une partie du territoire d'un Etat est transférée de cet Etat à un autre, l'Etat successeur doit octroyer sa nationalité aux personnes concernées qui résident sur le territoire transféré et l'Etat prédécesseur doit retirer sa nationalité à ces personnes."
Non-violence et négociations directes

D'autres avancent que ces Arabes qui feraient partie d'un futur Etat palestinien devraient s'y opposer. Tout d'abord, une question s'impose : Pourquoi les Arabes qui prétendent soutenir les aspirations nationales palestiniennes rejetteraient ce plan ? Je crois que nous devons soumettre le problème à un référendum à l'ensemble des citoyens israéliens et les laisser décider.
Je ne doute pas que les votants, sans distinction de race ou de religion, feront preuve de maturité politique et comprendront qu'une paix durable est dans le meilleur intérêt de tous.

Si beaucoup d'entre nous sont de plus en plus impatients de voir le bout du tunnel, fixer des délais artificiels ou ajouter à la pression n'accélérera pas les choses. Peu importe combien de temps cela prendra, le conflit sera finalement résolu par des moyens non violents et des négociations directes. Dans les plus de 100 différends territoriaux et nationaux qui sévissent aujourd'hui à travers le monde, les personnes concernées n'ont pas recours à la violence.

Toutefois, pour bâtir la confiance et une atmosphère positive entre les parties, les Palestiniens doivent cesser d'inciter à la haine d'Israël, de glorifier l'assassinat, de stigmatiser Israël dans les forums internationaux, de boycotter les produits israéliens et de procéder à des offensives judiciaires contre des responsables israéliens.
Je vous ai livré ma plate-forme pour une solution permanente au conflit. Pour reprendre les termes de Théodore Herzl : "Si vous le voulez, ce ne sera pas un rêve."

L'auteur est ministre des Affaires étrangères et vice-Premier ministre.

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3 juillet 2010 6 03 /07 /juillet /2010 21:53

 

 

 

L’afflux de réactions au discours du Premier ministre sur l’Affaire Shalit montre à quel point la population est partagée de manière tragique face à l’ignoble chantage entretenu par le Hamas depuis quatre ans.

Après avoir défini ouvertement ce qu’il était prêt à faire – et ce qui est déjà énorme – Binyamin Netanyahou a également exprimé les lignes rouges de sa politique, en prenant le contre-pied du mouvement populaire en faveur de la libération de Guilad Shalit : « Je ne suis pas prêt à payer n’importe quel prix pour sa libération ». Netanyahou a notamment évoqué les deux lignes rouges de sa politique : « Non à la libération des terroristes notoires ayant du sang sur les mains, et non au retour en Judée-Samarie des terroristes libérés ».

Le tragique enjeu de cette affaire se résume à deux réactions entendues de part et d’autre de la population, dans les deux camps artificiellement opposés que le Hamas a cyniquement créés au sein de la population israélienne : « Netanyahou a parlé en véritable homme d’Etat », pouvait-on entendre chez certains, dont les associations de victimes de terrorisme, ou « un véritable homme d’Etat prendrait une fois pour toutes la décision qu’il faut pour libérer Guilad Shalit », entendait-on dans l’entourage de la famille du soldat retenu en otage.

Pour Noam et Aviva Shalit, « le Premier ministre a loupé le coche, et il a montré qu’il est sourd aux appels du peuple ». Le père du soldat est allé jusqu’à accuser le Premier ministre « de dessiner le diable sur la muraille en évoquant les risques de récidive des terroristes qui seraient libérés ». Ces propos ont d’ailleurs valu à Noam Shalit pour la première fois des critiques, car manifestement, le Premier ministre abordait un sujet qui s’est vérifié dans les faits. Le journal « Makor Rishon » dans son édition de vendredi, dresse la liste des 27 Israéliens assassinés dans des attentats organisés et commandités par des terroristes libérés par le gouvernement Sharon en 2004, lors de la « Transaction Tennenbaum » avec le Hezbollah.

Les amis de la famille Shalit voient dans l’afflux de participants à la grande marche ce vendredi « une réponse cinglante au discours du Premier ministre de jeudi ». En effet, depuis jeudi soir, des milliers de personnes sont venues se rajouter aux participants, qui sont évalués vendredi matin à environ 20.000. Au Comité pour la Libération de Guilad Shalit, on a réagi avec colère au discours du Premier ministre : « Netanyahou n’a pas répondu à la question de libérer ou non des terroristes, mais à celle de provoquer ou non la mort de Guilad Shalit ! ». « Nous attendions de Netanyahou beaucoup plus que de la sympathie, nous attendions des décisions courageuses ! »

Shimshon Libman, Président du Comité, a déclaré « qu’il aurait mieux valu que le Premier ministre ne parle pas du tout, plutôt que de dire des choses que tout le monde avait déjà entendues, et qui datent déjà de l’époque Olmert ». Libman s’est dit « persuadé que le peuple aura finalement raison de ses dirigeants et que la pression populaire aura le dernier mot ». « Si Netanyahou veut rester avec l’image d’un dirigeant courageux », rajoutait Libman, « il doit profiter de cette vague populaire pour prendre les décisions qui s’imposent, sans considérer sans cesse ce que le Hamas va penser ou faire ».

De leur côté, les « opposants » à cette ligne ont souligné « le courage du Premier ministre qui ne cède pas à la facilité de la pression populaire et qui garde l’intérêt général devant ses yeux ». Le journaliste Dan Margalit, dans « Israel Hayom », résume ainsi l’avis de ceux qui soutiennent la position du Premier ministre dans cette affaire : « Aucun pays au monde ne serait prêt à échanger 1.000 assassins contre un seul soldat, aucun pays au monde ne serait prêt à s’agenouiller devant une organisation terroriste et accepter leurs exigences démesurées, et aucune population ne devrait exercer des pressions sur son gouvernement pour qu’il cède face aux revendications des terroristes. Mais il a fallu que cette situation s’impose au Premier ministre Netanyahou. ». Margalit note cependant trois erreurs qu’il met sur le compte du gouvernement actuel comme sur celui du précédent : de ne pas avoir réussi à mobiliser la moindre organisation humanitaire internationale (celles qui se sont tant mobilisées en faveur de l’expédition turque…), afin qu’il fasse pression sur le Hamas pour qu’il accepte au moins une visite à Guilad Shalit, ne pas avoir réussi a collecter des informations suffisantes dans le domaine du Renseignement afin d’envisager une opération militaire, et celle de ne pas avoir su exercer suffisamment de pression sur le Hamas lui-même, à l’image de l’allègement du blocus sur la Bande de Gaza, résultat des pressions internationales sur Israël. Margalit regrette également « que malgré la volonté déclarée de libérer 1.000 terroristes contre un seuil soldat, aucun pays dans le monde n’a eu le courage de se placer résolument du côté d’Israël dans cette très difficile épreuve ». Margalit est sévère avec les partisans de la famille Shalit qui défilent ces jours-ci sur les routes du pays : « Ceux qui pensent qu’en refusant une reddition face au Hamas, on condamne Guilad Shalit à mort, ne pourront jamais tenir le coup face à des régimes comme ceux de Damas ou de Gaza ».

 

par Shraga Blum

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30 juin 2010 3 30 /06 /juin /2010 16:39

 

 

 

 

Alors que la famille Shalit poursuit sa marche en direction de Jérusalem en compagnie de milliers de supporters, le gouvernement fait une nouvelle tentative en vue de relancer les pourparlers pour la libération du soldat, séquestré depuis quatre ans par les terroristes du Hamas de Gaza. Les efforts déployés jusqu’à présent n’ont donné aucun résultat et on ignore également dans quel état se trouve aujourd’hui l’otage israélien, dont on est sans nouvelles depuis trop longtemps.

C’est dans ce contexte donc qu’une nouvelle initiative est prise: le chef du département politique et sécuritaire du ministère de la Défense, Amos Guilad, s’est rendu mardi soir au Caire pour s’entretenir avec le ministre égyptien des Renseignements, Omar Soleiman, et le ministre de la Défense Hussein Tantawi. L’essentiel de leurs discussions portait bien entendu sur la reprise des contacts pour la libération du jeune Shalit. Ils ont également abordé la question des points de passage donnant accès à la bande de Gaza.

Selon des informations publiées par la presse arabe, le médiateur allemand impliqué depuis le début dans les pourparlers devrait également effectuer un voyage au Proche-Orient, pour tenter de son côté de faire avancer les négociations.

Il est peu probable que ces nouvelles démarches aboutissent, vu l’intransigeance croissante du Hamas, qui durcit de plus en plus ses positions.  Selon les estimations d’un diplomate étranger, il serait même encouragé par la politique d’Israël qui a accordé récemment des allègements du blocus, ce qui aurait entrainé le gel total du dialogue entre les parties.

De son côté, la Croix Rouge affirme qu’elle met tout en œuvre pour pouvoir rendre visite à Guilad Shalit. Selon le quotidien Maariv, elle aurait adressé une nouvelle requête aux dirigeants du Hamas à Damas et à Gaza, quelques jours après l’arraisonnement de la Flottille, pour leur demander de leur accorder ce droit. Le Hamas, comme on le sait, a formellement refusé.

Maariv rapporte les réactions des responsables de la Croix Rouge qui ont alors indiqué : « La question de Guilad Shalit reste pour nous une priorité.  Toutes nos demandes, adressées aux instances les plus hautes du Hamas, ont été rejetées, qu’il s’agisse de lui rendre visite ou de lui remettre les lettres qui lui ont été envoyées ». Selon eux, il y aurait dans les bureaux de la Croix Rouge de Gaza des centaines de missives et de colis venant d’Israël et du monde entier.


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24 juin 2010 4 24 /06 /juin /2010 19:20

 

 

Lieberman dévoile son "plan de paix"
Par JPOST.FR 
24.06.10

Le ministre des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman, a formulé jeudi une demande spéciale. Celle-ci consiste en un "échange de territoires peuplés" qui placerait ainsi une grande partie des Arabes israéliens dans un nouvel Etat palestinien.


PHOTO: ARIEL JEROZOLIMSKI , JPOST

Dans une tribune publiée jeudi dans leJerusalem Post, intitulée "Mon plan pour une résolution du conflit", Lieberman souligne qu'il ne s'agirait pas d'un "transfert physique de population ni de démolitions d'habitations". Mais plutôt de "créer une frontière là où il n'en existait pas, en fonction de la démographie…" Et de préciser que "les Arabes qui vivaient, jusque-là, en Israël recevront la citoyenneté palestinienne".

Le ministre écrit, par ailleurs, que la pression croissante de la communauté internationale sur Israël pour un retour aux frontières d'avant 1967 n'a aucun fondement juridique. Pour lui, "apaiser les demandes territoriales maximalistes des Palestiniens" n'est pas une solution au conflit. Cela ne ferait que déplacer le conflit à l'intérieur des frontières d'Israël.

La communauté internationale cherche à la fois à "créer un Etat palestinien homogène et un Etat binational en Israël. Pour une paix et une sécurité durables, nous devons créer une vraie division politique entre Arabes et Juifs, chacun jouissant de son auto-détermination", à partir d'un échange de territoires pour constituer deux Etats distincts et homogènes. Sans que cela n'empêche les minorités demeurant dans chaque Etat de jouir de leurs pleins droits civils.

La citoyenneté des Arabes israéliens retirée légalement

Pour justifier le retrait de la citoyenneté israélienne aux Arabes israéliens, Lieberman cite la résolution 55/153 de l'Assemblée générale des Nations unies rédigée en 2001, qui rendrait légale la manœuvre dans le cadre du transfert de territoires d'un Etat à un autre Etat.

D'autre part, Lieberman estime que les Arabes se considérant comme Palestiniens devraient en toute logique accepter ce plan.

Il conclut en appelant à un référendum auquel participeraient tous les Israéliens "sans considération de race ou de religion" pour trancher sur la question. Les Israéliens devraient, selon lui, "faire preuve de maturité politique pour assurer la paix, qui est dans l'intérêt de chacun".

Mercredi, Lieberman avait appelé Kadima à "accepter le principe d'échange de territoires et de populations" et d'abandonner celui de "la terre contre la paix".

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16 juin 2010 3 16 /06 /juin /2010 18:27

 

 

Appel à l'Occident
Par HERB KEINON 
jpost
16.06.10

L'Etat hébreu avertit. Depuis plusieurs jours, Israël appelle les gouvernements occidentaux à ne pas autoriser leurs ressortissants à participer à d'éventuelles expéditions maritimes en direction de Gaza.


PHOTO: AP , JPOST

De source officielle, ces appels ont été entendus. Notamment depuis que le Hezbollah et l'Iran ont annoncé leur intention d'envoyer leurs propres navires. Dans le même temps, aucun gouvernement n'a concrètement publié d'avertissement officiel.

Le cabinet de sécurité a prévu de se réunir mercredi afin d'aborder à la fois la manière de gérer l'arrivée de futures flottilles et comment alléger les restrictions imposées à la bande côtière. "Quand on veut, on peut", a annoncé un haut-responsable israélien, concernant la capacité des gouvernements occidentaux à empêcher toute expédition de leurs ressortissants. Plus précisément, une telle mesure consisterait à "abandonner" les parlementaires qui décideront de participer à ce genre d'opérations. Le pays concerné ne pourrait, alors, pas adresser de plaintes à l'Etat hébreu si ses ressortissants sont arrêtés.

Des citoyens de 12 pays différents étaient impliqués dans l'opération du Mavi Marmara. Neuf personnes ont été tuées après avoir attaqué les soldats israéliens montés à bord du navire pour le repousser de la côte gazaouïe.

La commission Terkel se réunit

De son côté, le Premier ministre Binyamin Netanyahou a récemment exprimé sa volonté, à plusieurs reprises, d'assouplir le blocus imposé à l'enclave palestinienne. Cela, dans l'intérêt des habitants locaux, tout en maintenant le blocus maritime qui permet d'empêcher l'importation illégale d'armes et l'arrivée de terroristes.

Depuis les trois dernières années, Israël a strictement contrôlé ce qui entrait et sortait de Gaza. Malgré l'opposition des Etats-Unis, du Quartet et de l'Union européenne. Cette politique - adoptée par l'ancien Premier ministre, Ehoud Olmert - devait forcer le Hamas à libérer le soldat captif Guilad Shalit. Elle continue cependant d'être vigoureusement condamnée par la communauté internationale, notamment depuis l'incident du Mavi Marmara le 31 mai dernier.

Mardi soir, le bureau du Premier ministre a publié un communiqué dans lequel il indiquait que la commission Terkel - chargée d'enquêter sur l'affaire du Mavi Marmara - mènera une "réunion introductive", mercredi. Le contrôleur d'Etat, Misha Lindenstrauss, a fait savoir, de son côté, qu'il avait également l'intention d'examiner les événements du 31 mai dernier. Son enquête se concentrera essentiellement sur le processus décisionnel du gouvernement, ainsi que le travail des services de renseignements et de diplomatie publique.

Nouvelle visite de Mitchell

L'assouplissement des restrictions sur la bande de Gaza a de grandes chances d'être au cœur des discussions entre les responsables israéliens et l'envoyé américain au Proche-Orient, George Mitchell, attendu mercredi soir à Jérusalem. Il s'entretiendra avec le leadership palestinien, vendredi.

Depuis deux semaines, les négociations indirectes ont été totalement mises de côté, sous l'effet de l'incident maritime.

L'Etat hébreu s'apprête, par ailleurs, à devoir repousser de nouvelles flottilles en provenance du Liban et d'Iran. "Nous ne savons pas encore à quel point ces menaces sont réelles", confie un haut-responsable à Jérusalem. Mais, l'Iran et le Liban restent des "pays hostiles", précise-t-il.

Hilary Leila Krieger a contribué à la rédaction de cet article.

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