Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
1 septembre 2010 3 01 /09 /septembre /2010 16:24

 

 

Renseignements US : Téhéran pousse très fort le Hezbollah à attaquer Israël

 

Adaptation : Marc Brzustowski

 

Pour
 
© 2010 aschkel.info et © 2010 lessakele

 

 link
DEBKAfile Reportage exclusif  1er Septembre 1, 2010, 12:13 PM (GMT+02:00)

Tags:  Hizballah build-up Description : http://www.debka.com/static/images/tag_arrow.gif  Iran Description : http://www.debka.com/static/images/tag_arrow.gif  Israel Description : http://www.debka.com/static/images/tag_arrow.gif


 

 Les unités du Hezbollah du Sud-Liban renforcées par une alerte à la guerre.

 

Le renseignement occidental et les sources du Golfe persique rapportent que le 30 août, le Hezbollah a mis ses forces en état d’alerte de guerre et a diffusé un appel partiel en direction de ses réservistes. Selon les sources militaires de Dekafile, le Hezbollah semble se préparer à une attaque de grande envergure, juste après la cérémonie d’ouverture des négociations de paix israélo-palestiniennes à Washington, jeudi 2 septembre. Une seconde date-butoir est le début des festivités du Nouvel An Juif, à partir du 8 septembre. La pression depuis Téhéran, pour que les terroristes chi’ites libanais frappent en Israël s’est intensifiée à la suite de l’exemple donné par le Hamas palestinien, ce jeudi soir 31 août, lors d’une fusillade depuis un véhicule qui a tué 4 civils israéliens à un croisement de routes près d’Hébron.

 

 

Une offensive de grande ampleur apparaît être en travail, si on en juge par le lourd influx d’unités armées du Hezbollah dans le Sud-Liban, au cours des tous derniers jours. Nos sources militaires confient qu’elles comprennent des unités spéciales entraînées spécifiquement aux incursions et aux frappes en profondeur dans le nord d’Israël, en réplique aux contre-attaques israéliennes.

 

Nos sources du renseignement rapportent que le Commandant des forces al-Qods iraniennes, dont les réseaux et supplétifs sont engagés en Irak, dans la Bande de Gaza et l’Autroité Palestinienne, a passé les dix derniers jours à Damas. Il y est arrivé le 19 août, avec la délégation du Général Mohammad Ali Jafari, le chef des Gardiens de la Révolution (CGRI) et il est resté après le départ de son patron de la capitale syrienne, apparemment assigné à superviser une opération terroriste ou militaire importante contre Israël.

 

Les sources du renseignement occidental font savoir que son propre Commandant direct du Hezbollah au nom du Corps des Gardiens de la Révolution, Hassan Mahdavi, qui fait la pluie et le beau temps au Liban, appuie fortement pour que le Secrétaire-Général du Hezbollah, Hassan Nasrallah frappe les forces de Tsahal dans les jours à venir, en réponse au parrainage américain des discussions directes israélo-palestiniennes. On dit que le chef terroriste est sur le point de prendre une décision à propos de la cible à attaquer et à quel moment.

 

 

 

 

 

 

Réticent à laisser le champ au Hamas palestinien, Nasrallah est, de plus, littéralement harcelé par un florilège d’officiers du CGRI visitant Beyrouth et tentant de persuader le porte-parole du Parlement libanais, Nabih Berri, qu’il permette son organisation Amal, rivale du Hezbollah, de rejoindre celui-ci, pour la première fois, dans une offensive contre Israël. Ils veulent que tous les courants chi’ites au Liban hissent l’étendard à l’unisson, ce qui serait un geste de bienvenue précédant la visite d’état ultérieure au Liban du Président iranien Mahmoud Ahmadinedjad.

 

 

La date de cette visite est tenue étroitement secrète, aussi bien par Téhéran que Beyrouth. Les sources de Debkafile dévoilent qu’elle est programmée pour les 10-12 septembre, lorsqu’Israël célèbrera Rosh Hashana.

Partager cet article
Repost0
31 août 2010 2 31 /08 /août /2010 13:39

 

 

 

 

 

.israelvalley

 

ISRAËL DEFENSE – RÉVOLUTION DANS TSAHAL. LA BRIGADE « KFIR » QUITTE LES TERRITOIRES PALESTINIENS POUR LA FRONTIÈRE NORD. « NOUS DEVONS LA PRÉPARER POUR LA GRANDE GUERRE », AFFIRME UN OFFICIER SUPÉRIEUR DU COMMANDEMENT CENTRE.

AUG 201031

Par Maxime Perez, à Tel Aviv


KfirSi la nouvelle est presque passée inaperçue dans la presse, elle a eu l’effet d’un coup de tonnerre dans les milieux militaires. Kfir, considérée la plus importante unité de l’armée israélienne, devrait se retirer des territoires palestiniens courant 2011. Elle avait été créée à la fin de la première Intifada pour mener exclusivement des opérations de guérilla urbaine.

Cette décision a été prise après une série de concertations entre le colonel Oren Abman, commandant de la brigade Kfir, et le général Avi Mizrahi, chef du commandement centre dont l’autorité s’exerce sur toute la Judée-Samarie (Cisjordanie).

Kfir – qui signifie lionceau en hébreu – sera désormais rattaché aux unités d’infanterie classiques de l’armée : Golani, Nahal et Givati. D’après plusieurs officiers supérieurs de Tsahal, l’objectif est de parvenir à un redéploiement rapide de la brigade le long de la frontière nord et de « la préparer à la grande guerre ».

Dans les prochains mois, les soldats de Kfir seront donc associés à toutes sortes d’exercices combinés avec l’aviation, les tanks et l’artillerie. Ses entraînements seront adaptés aux types de cible que l’armée israélienne est susceptible de rencontrer au Liban et en Syrie. Symbole de ce changement tactique : les Kfir abandonneront leur M-16 au profit du Tavor, le nouveau fusil-mitrailleur israélien.

L’état-major de Tsahal souhaite que l’expérience acquise par cette brigade en territoire palestinien puisse servir sur d’autres théâtres d’opérations, comme au Sud-Liban où la ceinture de villages chiites a été convertie en une immense base arrière du Hezbollah.

L’unité Kfir regrouperait aujourd’hui 6000 hommes issus des troupes régulières, un contingent réparti en 6 bataillons dont chacun se voit attribuer la responsabilité d’une ville palestinienne et de ses environs : Nahshon (Tulkarem et Qalqilya), Shimshon (Bethléem), Lavi (Hébron), Dukhifat (secteur de Ramallah), Haruv (Naplouse) et enfin Netzer Yehuda (Jénine), dont la particularité est qu’il se compose d’appelés juifs orthodoxes.

Une nouvelle réalité sur le terrain

Cette réorientation des Kfir s’explique pour plusieurs raisons. D’abord, l’accalmie sécuritaire retrouvée dans les territoires palestiniens. Depuis l’opération « Rempart » menée en 2002, puis l’édification d’un mur de séparation, les attentats anti-israéliens sont en baisse drastique.

En se repositionnant autour des localités de Cisjordanie, Tsahal a également empêché la reconstitution de groupes armés comme le Tanzim, la branche armée du Fatah, très actif au moment de la deuxième Intifada. Chaque nuit, l’armée israélienne appréhende des dizaines de suspects palestiniens qu’elle délivre ensuite au Shabak, les services de renseignements intérieurs. La brigade Kfir serait d’ailleurs responsable de 70% de ces arrestations.

L’entrée en fonction du Premier ministre palestinien Salam Fayyad a confirmé cette tendance au calme. Soucieux de jeter les bases d’un Etat indépendant d’ici août 2011, le nouvel homme fort de la Mouqa’taa a mis fin à des années d’anarchie dans les territoires, dissuadant son peuple de tout soulèvement, y compris au plus fort de l’offensive israélienne à Gaza en 2009.

Sa priorité concerne à présent les nouvelles forces de police palestiniennes, soit six bataillons de 500 hommes fraîchement formés par le général américain Keith Dayton, qu’il souhaite voir opérer librement à l’extérieur des villes de Cisjordanie.

La menace du nord

Le retrait qu’entamera prochainement la brigade Kfir des territoires palestiniens ne signifie pas que Tsahal n’y sera plus actif. Il répond en réalité au risque d’une escalade d’envergure à la frontière nord d’Israël qui pourrait dégénérer en un conflit ouvert avec le Hezbollah et la Syrie.

Pour nombre d’experts de la région, il ne fait désormais guère de doutes que la prochaine guerre est une question de temps. Elle nécessitera, coté israélien, le recours rapide à l’infanterie pour pénétrer en profondeur les territoires syriens et libanais, seul moyen de mettre fin aux tirs de missiles et d’artillerie qui frapperont durement l’Etat hébreu.

Face à cette perspective, l’état-major – qui passera bientôt sous le commandement de Yoav Galant – a besoin de forces supplémentaires capables de suppléer les unités d’infanterie traditionnelles de Tsahal. Telle sera la nouvelle mission de la brigade Kfir.

M.P

Partager cet article
Repost0
31 août 2010 2 31 /08 /août /2010 11:40

 

Le autres documents

Banniere documents speciaux

 

Histoire d'un succès du Mossad - La longue route vers la Syrie (réacteur nucléaire)


Adapté par Aschkel
Pour aschkel.info et lessakele.

Titre en hébreu

הדרך הארוכה לסוריה

Lien en anglais

http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-3944303,00.html

Les deux auteurs d'un livre récemment paru sur les dernières opérations de l'Institut de renseignements israélien recomposent le récit des évènements survenus en septembre 2007, en Syrie, autour du réacteur de Deir al-Zour, ainsi que les conditions de l'assassinat de l'architecte du programme nucléaire, biologique et chimique syrien, le Général Mohammed Suleiman, le bras droit de Bachar al-Assad.
  
Ils enrichissent ce compte-rendu des hésitations de Washington et de la détermination de Jérusalem, au fur et à mesure du recoupement de preuves obtenues par diverses voies, par le renseignement israélien.
  Si ce témoignage vaut pour l'histoire, il n'est pas sans nous apporter quelques éclaircissements sur les difficultés de coordination, à partir de conclusions parfois divergentes entre les administrations, en ce qui concerne un autre dossier, encore plus dramatique : celui du programme nucléaire iranien et des dispositions que sont prêts à prendre les différents gouvernements, à un moment historique où les rapports entre eux ne sont pas optimum.
GAD

 

Londres, fin Juillet 2007. Un invité lors d'un séjour dans un grand hôtel de Lexington a quitté sa chambre dans la soirée, et pris l'ascenseur pour descendre dans le hall, puis est entré dans un véhicule qui l'attendait à l'extérieur. C'était un haut responsable syrien arrivé de Damas, quelques heures plus tôt, et qui était attendu pour une réunion urgente.

 

Au moment où il a quitté l'hôtel, deux hommes se sont levés de leurs sièges dans un coin du lobby. Ils sont entrés dans l'ascenseur, ont rejoint la chambre de ce client, ont ouvert la porte à l'aide d'un code. Ils ont fouillé la chambre de manière professionnelle, mais n'ont pas eu besoin de travailler trop dur. L'ordinateur portable de l'officier était sur le bureau. Les deux hommes  ont alors installé un système  créant ainsi une "porte dérobée" dans le programme de l'ordinateur. L'utilisation de cette porte, permettait de surveiller l'ordinateur à distance et de copier tous les documents enregistrés sur lui. En à peine quelques minutes, les deux hommes ont quitté la salle.

 

Le récit ci-dessus, et les informations suivantes, sont basées sur deux rapports, l'un israélien, l'autre non. L'ordinateur portable a fourni alors de précieux renseignements à l'Agence de renseignement israélienne, qui révèlent l'existence du programme nucléaire secret syrien. Les résultats ont été spectaculaires : la nature du réacteur nucléaire dans la région de Deir al-Zur, de la correspondance avec les autorités nord-coréennes, des photographies montrant le réacteur recouvert de ciment. Les preuves étaient sans équivoque. Elles complétaient d'autres informations accumulées au cours de 2006 et 2007 par des agents de renseignement israélien. Selon ces informations, le gouvernement syrien construisait secrètement un réacteur nucléaire dans le désert, près de la frontière turque et à environ 160 kilomètres (100 miles) de la frontière avec l'Irak. Les responsables ont été surpris de découvrir que le réacteur avait été construit avec des fonds iraniens et avec l'aide d'experts nord-coréens.


Image du réacteur syrien (Photo: AP)

 

"L'histoire d'amour »entre la Syrie et la Corée du Nord a commencé avec la visite du Premier ministre coréen en Syrie avant la guerre du Golfe, invité, à l'époque, par Hafez El-Assad. Les deux pays ont signé un accord de coopération militaire et technologique. Bien que la question du nucléaire ait été évoquée, M. Assad avait décidé de la mettre en suspens et de développer les armes chimiques et biologiques. Pendant les funérailles de son père en Juin 2000, Bachar el-Assad a rencontré des membres de la délégation nord-coréenne. À cette époque, ils ont commencé à faire avancer en secret  la construction du réacteur syrien. En Juillet 2002, un accord tripartite a été mis au point, avec un représentant de l'Iran s'engageant à financer la construction du réacteur (environ 2 milliards $.) Il s'avère que, pendant cinq ans, Israël et les agences de renseignement américaines sont restés dans l'ignorance.

 

Un général iranien révèle tout  
Pendant toutes ces années, certains signes avant-coureurs sont apparus, mais personne n'a pris le soin d'y prêter réellement attention. La communauté américaine du renseignement a mal interprété les informations qu'elle a reçues, tandis que le Mossad et les responsables du renseignement militaire en Israël estimaient que les Syriens n'avaient pas d'intérêt ou les capacités d'acquérir des armes nucléaires. Par conséquent, personne n'a cherché sérieusement d'information qui aurait dévoilé le projet. Les Syriens ont adopté une tactique destinée à endormir Israël et les Etats-Unis dans un faux sentiment de sécurité : Ils ont imposé un moratoire complet au sujet de la communication sur tous les employés et les experts du site nucléaire. Les cellulaires et les téléphones par satellite ont été interdits, et toute communication était faite par l'intermédiaire de messagers. L'activité sur le site n'a pas été exposée, même si les satellites américains et israéliens l'ont photographié régulièrement. Toutefois, un développement ultérieur a stupéfait à la fois Israël et les États-Unis.


Le général iranien Askari

 

Le 7 Février  2007, le général iranien Ali Reza Askari, ancien haut dirigeant des Gardiens de la Révolution  et ministre adjoint de la Défense, est arrivé à Damas depuis Téhéran. Il est resté dans la capitale syrienne, jusqu'à ce qu'il s'assure que sa famille le suive et soit sortie d'Iran, avant de poursuivre vers la Turquie et de disparaître à Istanbul. Un mois plus tard,  Askari se retrouve en Occident, lors d'une opération planifiée par les Etats-Unis, en liaison avec Israël. Il a été interrogé dans une base américaine en Europe - apparemment en Allemagne - et a révélé les secrets les mieux gardés de Téhéran et Damas. Askari a dévoilé la relation à trois niveaux impliquant la Syrie, la Corée du Nord et l'Iran. Il a confié à ses interrogateurs que Téhéran a  encouragé et  finançé la création du réacteur nucléaire syrien. Il a apporté des précisions sur l'état du réacteur et sur les efforts des Iraniens pour aider et conseiller les Syriens.

 

Un agent à l'intérieur du réacteur  
Ces informations ont incité Israël à agir. Le Mossad a déployé de la main-d'œuvre et des ressources afin de vérifier les détails fournis par le général iranien. Puis, le Premier ministre Ehud Olmert a convoqué les chefs de la sécurité d'Israël pour une réunion spéciale. Au cours de la séance, ils ont convenu qu'Israël devait agir d'urgence pour obtenir une preuve crédible de l'existence du réacteur. Il était clair pour tous qu'Israël ne pouvait accepter la perspective de voir la Syrie se transformer en une puissance nucléaire. En quelques mois, le Mossad et les chefs militaires du renseignement ont été en mesure de présenter au Premier ministre des éléments de preuve accablants sur ce qu'il cherchait à savoir. Cinq mois après la défection d'Askari, la recherche a pris un nouveau tournant, grâce au matériel découvert dans l'ordinateur du responsable syrien à Londres. Pendant ce temps, le Mossad a enregistré un autre succès : il a réussi à recruter un des employés du réacteur, qui a fourni de nombreuses photographies et une vidéo tournée à l'intérieur du bâtiment.

 

Israël a fait en sorte de tenir  les États-Unis au courant, en temps réel, sur tout le matériel qu'il a réussi à acquérir, notamment les images satellitaires mises à jour et l'exploitation des conversations entre la Corée du Nord et Damas. La pression israélienne a également incité les États-Unis a utiliser ses propres satellites espions. Bientôt, la matière mise à jour qui a été accumulée, y compris des images satellites obtenues par l'Amérique et les informations sensibles acquises par voie électronique, ont indiqué que les Syriens construisaient rapidement un réacteur.


Réacteur en construction (Photo: AFP)

 

En Juin 2007, le Premier ministre Olmert s'est rendu à Washington pour présenter tous les documents rassemblés par Israël. Lors d'une longue discussion avec le président George W. Bush, Olmert a informé le Président américain qu'il avait décidé de frapper le réacteur syrien. Cependant les Américains hésitaient. Israël avait recommandé une attaque militaire, mais les États-Unis ont refusé. Selon des sources américaines crédibles, la Maison-Blanche a finalement décidé que «les États-Unis préféraient  ne pas avoir à mener l'opération." La Secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice et le secrétaire à la Défense Robert Gates ont tenté de convaincre Israël de mettre les Syriens devant leurs responsabilités [par voie diplomatique], et non de les attaquer.

 

En Juillet 2007, Israël a lancé des patrouilles aériennes au-dessus du réacteur et des images ont révélé l'activité sur le site,via le satellite Ofek 7. Les images ont été analysées par des experts américains et israéliens, qui ont jugé que la Syrie construisait un réacteur nucléaire en se basant sur le modèle nord-coréen existant. En fait, les experts ont conclu que les réacteurs étaient identiques.Pendant ce temps, Israël l'unité de renseignement 8 200 israélienne a fourni les extraits  de conversations entre les scientifiques syriens et des experts nord-coréens. Cette information a également été remise à Washington, mais les Américains ont exigé la preuve sans équivoque que l'installation serait bien utilisée comme un réacteur nucléaire, et que les matières nucléaires étaient déjà sur le site.

 

Derrière les lignes ennemies  
L'"arme du crime"a été trouvée en août 2007. Des éléments de preuve éclatants ont été réunis par l'unité d'élite Sayeret Matkal de reconnaissance, qui, depuis deux hélicoptères, se sont dirigés vers le site dans l'obscurité
. Personne n'a repéré les troupes lorsqu'elles ont atterri près de Deir al-Zur. A l'aide d'un équipement spécialisé, ils ont pris des échantillons du sol qui contenait plusieurs indices de matière radioactive. Les résultats ont été rapidement transmis à la sécurité nationale américaine. Stephen Hadley, conseiller, a été surpris par ces révélations. Il a rapidement appelé des experts pour tirer des conclusions et faire un rapport au président Bush. 

 

Suite à l'évaluation  des experts, Hadley était convaincu que le sujet était grave. Il s'est entretenu longuement avec avec le renseignement militaire israélien et ses chefs , et ils sont parvenus à la conclusion que le réacteur constituait une menace très sérieuse. Les États-Unis étaient convaincus que le réacteur devait être détruit. Selon le Sunday Times britannique, le Premier ministre Olmert a convoqué le Ministre de la Défense, Ehud Barak, et le Ministre des Affaires étrangères, Tzipi Livni, les trois dirigeants ont discuté des incidences probables d'une attaque militaire en Syrie avec des responsables de la haute sécurité. Après des heures de délibération, ils ont décidé d'aller de l'avant et de détruire le réacteur. Olmert a informé le président de l'opposition Benjamin Netanyahu, de la décision.
 


Chasseur F-15 à réaction au décollage (Photo: Reuters)

 

La date de l'opération a été fixée pour le 5 Septelmbre 2007. Selon le Sunday Times, les troupes d'élite de la Force aérienne a été déployée dans la région le 4 Septembre pour marquer la cible des jets en utilisant le laser. Le 5 Septembre 2007, à 11 heures, 10 avions de chasse ont quitté la base aérienne de Ramat-David et se sont dirigés vers la Méditerranée. Trente minutes plus tard, trois avions ont reçu l'ordre de  rebrousser chemin. Les sept autres jets F-15 ont reçu l'ordre de se diriger vers la frontière syro-turque. En route vers le réacteur, ils ont bombardé une station radar, de façon à contrecarrer les capacités de la Syrie à identifier l'infiltration.Quelques minutes plus tard, les jets ont atteint la région de Deir al-Zur: Ils ont tiré des missiles Maverick et largué des bombes d'une demi-tonne sur l'installation nucléaire, qui a subi des dommages irrémédiables. En quelques minutes, le réacteur syrien, qui aurait pu être utilisé pour produire des bombes menaçant l'existence d'Israël, a été anéanti.

 

Les responsables en Israël ont craint une réaction syrienne. Olmert a appelé le Premier ministre turc Erdogan et demandé à ce dernier de transmettre un message au Président Assad, soulignant qu'Israël ne cherchait pas la guerre. Le lendemain, une grande confusion régnait à Damas. Dans un premier temps, les Syriens ont maintenu un silence complet. Ils ont signalé l'opération à 3 heures. Selon le rapport, les avions israéliens ont infiltré l'espace aérien syrien à 1 heure. «Notre armée de l'air a été forcée de se retirer après avoir largué ses munitions à travers le désert, ni blessures ni dommages n'ont été signalés," ont alors déclaré les Syriens.

 

En avril 2008, quelque sept mois après que l'installation syrienne ait été touchée, l'Administration américaine a annoncé que le site bombardé était un réacteur nucléaire qui avait été construit avec l'aide de la Corée du Nord et qu'il n'était pas destiné à des fins pacifiques. Les chefs du renseignement américain ont présenté aux membres du Congrès des photographies mettant en évidence la similitude de l'installation syrienne avec le réacteur nord-coréen, ainsi que des images satellite et des croquis. Les membres du Congrès ont également visionné une autre vidéo fascinante, qui, selon les rapports de Washington, ont été filmés par un agent du Mossad à l'intérieur du réacteur syrien. Israël est parvenu à garder le silence pendant deux semaines, refusant d'admettre qu'il était à l'origine de l'opération. Mais Netanyahu, chef de l'opposition, en réponse à une question à Haim Yavin  lors d'une émission télévisée, a déclaré : «Quand le gouvernement fait quelque chose pour la sécurité d'Israël - je le soutiens ... Et ici, j'ai été un partenaire dans cette affaire et je l'ai soutenu dès le début". 

 

Assassinat en Syrie 

Dans la soirée du 2 août 2008, 11 mois après le bombardement du réacteur, un dîner festif s'est déroulé sur la terrasse d'une maison d'été dans le quartier Rimal al-Zahabiya, au nord de la ville syrienne de Tartous. La maison d'été était adjacente à la rive donnant sur une vue magnifique. Les invités étaient des amis proches du propriétaire de la maison, le général Mohammed Suleiman, qui y passait le week-end.

 

Suleiman était le haut conseiller du président Assad sur les questions militaires et de sécurité. Il était en charge de la construction du réacteur et de sa sécurité.  Son bureau était situé dans le palais présidentiel, à côté de celui d'El-Assad, et peu le connaissait en Syrie ou à l'étranger. Bien que le nom de Suleiman n'a pas été mentionné dans les médias, le Mossad et les services de renseignement occidentaux savaient qui il était et quelles étaient ses fonctions. C'était un ingénieur de 47 ans diplômé de l'Université de Damas. Au cours de ses études, il s'était  lié d'amitié avec Basile Assad,  fils premier-né d'Hafez El-Assad et son frère aîné Bashar. Après la mort de Basile dans un accident de la route, son père a pris Suleiman à ses cotés. En 2000, Hafez El-Assad est décédé et son fils Bachar a été élu Président. Avec son accession au pouvoir, le jeune président fait de Suleiman son confident et son proche conseiller.

 

Suleiman a joué un rôle unique : Il a été membre du conseil de la recherche syrienne, qui portait sur le développement de missiles, d'armes chimiques, biologiques, de la recherche et du développement nucléaire. Dans le cadre de son travail, il a été en contact avec la Corée du Nord. Il a coordonné le transfert de pièces du réacteur pour la Syrie et a été en charge des dispositifs de sécurité pour les scientifiques nord-coréens et les techniciens impliqués dans sa construction. Le bombardement du réacteur a été un coup dur, mais pas mortel pour Suleiman. Après avoir surmonté le choc initial, il a commencé à planifier la construction d'un réacteur de rechange, pour lequel un emplacement n'avait pas encore été déterminé. La nouvelle mission de Suleiman était beaucoup plus complexe et plus difficile qu'auparavant, car il savait désormais qu'il était sur la liste des agences de renseignements israéliennes et américaines. 

 

 

Avant la prochaine phase de sa mission secrète, Suleiman avait pris quelques jours de congé pour se rendre à sa résidence d'été. Des vacances et un dîner avec ses amis étaient le meilleur remède pour cet homme sous pression. De son siège près de la table, il regardait les vagues paresseusement ramper jusqu'à la rive. Mais ce qu'il ne voyait pas, à une distance de quelque 150 mètres (165 yards) de la terrasse, c'étaient deux silhouettes en attente, immobiles dans l'eau sombre. Ils ont atteint ce point d'une distance lointaine depuis un navire qui les avaient déposés, à près de deux 2 kilomètres (1,2 miles) de la maison de Suleiman. De là, ils ont plongé  jusqu'à ce qu'ils s'approchent de sa maison. Les deux tireurs d'élite étaient des professionnels, possédant une grande expérience et des nerfs d'acier. Ils étaient munis de leurs armes étanches sous l'eau .Quand ils ont atteint la rive, ils ont immédiatement repéré la maison de Suleiman. L'information reçue de l'agence de renseignement était exacte. Ils ont identifié le bâtiment et la terrasse, scanné les gens assis à la table et se sont concentrés sur leur objectif : le général assis en face d'eux, parmi ses invités.

 

Vers 9 heures, les tireurs d'élite sont retournés pour tester leur objectif et la portée de leur tir. Suleiman, assis sur une chaise au centre de la table, était entouré de ses amis qui se pressaient autour de la table, ce qui a forcé les tireurs d'élite à réinitialiser leurs tirs et viser à la tête de l'hôte. Ils ont continué à se cacher dans l'eau. Le signal a été donné. Les deux tireurs sont sortis de l'eau jusqu'à la rive, se sont rapprochés de la maison, ont pointé leurs fusils et ont tiré simultanément sur Suleiman. Le coup a été mortel. Sa tête a été secouée en arrière et puis il s'est effondré en avant sur la table. Les personnes présentes n'ont pas compris ce qui s'était passé, parce qu'ils n'ont pas entendu de bruit - les fusils étaient équipés de silencieux. Ce n'est qu'après avoir remarqué le sang qui coulait de la tête de Suleiman qu'ils se sont rendus compte qu'il avait été victime de tirs de fusil. Une grande agitation a envahi la terrasse, ce qui a permis aux tireurs d'élite de fuir par une voie d'échappement pré-programmée. Le Sunday Times décrit une version légèrement différente, affirmant que les tireurs d'élite étaient des membres de la Flottille 13 des commandos, arrivés à Tartous sur un yacht de luxe appartenant à un homme d'affaires israélien, qui ont rempli leur mission, et ont disparu.

 

Les organismes officiels Syriens ont été choqués. Le gouvernement a d'abord gardé le silence et n'a pas abordé la question des rapports relatant l' assassinat. Il est resté plongé dans un grand embarras. Comment l'équipe qui a frappé a t-elle pu se  rendre sans encombre jusque dans le nord de la Syrie? Comment ont-ils fui le site? N'y a t-il donc aucun endroit  en Syrie, où les chefs du régime pourraient se sentir en sécurité? Le jour après l'incident, une brêve déclaration officielle a été communiquée: "La Syrie tiendra une enquête pour trouver les responsables de ce crime". Mais les médias arabes avaient déjà largement rendu compte de l'affaire dès le premier jour et avaient déjà spéculé sur l'identité des auteurs.La presse arabe a été prompte à pointer du doigt Israël qui, selon eux, avait intérêt a assassiner le Général. Ils ont suggéré qu'Israël avait procédé à l'assassinat en raison de la participation de Suleiman à la construction du réacteur de Deir Al-Zur. Alors que les médias arabes chantaient les louanges de Suleiman, les agences de renseignement occidentales ont eu une réaction totalement différente concernant sa mort. Dans les capitales du monde libre, personne n'a versé de larme sur le décès prématuré du général.

 

Article écrit par Michael Bar-Zohar et Nissim Mishal, auteurs du livre récemment publié : «Mossad - les grandes opérations."

Partager cet article
Repost0
23 août 2010 1 23 /08 /août /2010 05:40

 

 

 

Barak nomme Galant prochain Chef d’Etat-Major


http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-3941460,00.html

 

 

Le Ministre de la Défense decide de pas attendre la fin de l’enquête à propos du « document Galant » et informe le Cabinet qu’il a choisi le Commandant en chef de la Région Sud pour être le prochain Chef d’Etat-Major. Les Ministres doivent approuver cette nomination la semaine prochaine. Le Premier Ministre Netanyahou a déclaré que cette décision est « avisée ».

Par Roni Sofer

Adaptation : Marc Brzustowski

Pour © 2010 lessakele et  © 2010 aschkel.info

 

 

Latest Update: 

08.22.10, 15:52 / Israel News

 

 

 

Le Ministre de la Défense Ehud Barak a informé le Cabinet réuni dimanche qu’il avait choisi le Commandant en chef de la Région Sud, Yoav Galant pour devenir le prochain Chef d’Etat-Major.

 

Barak prendra la decision de demander l’autorisation du Cabinet après avoir consulté le Premier Ministre Benjamin Netanyahu.

 

 

En adoptant cette façon de faire, Barak n’a pas attend jusqu’à la fin de l’enquête de la police dans le montage  du "document Galant."

 

 

“A cause de l’état actuel des affaires, cette nomination doit avoir lieu aussi rapidement que possible, de façon à réinstaurer la stabilité au sein de Tsahal », a déclaré Barak.

 

Le Ministre Moshe Ya’alon a interrogé Barak sur les raisons de cet empressement, mais les autres Ministres disposant d’un riche passé militaire, nommément le Ministre Binyamin Ben-Eliezer et le Ministre Yossi Peled, ont exprimé leur soutien à cette décision.

 

 

Le Premier Ministre Netanyahou a loué cette décision Durant la réunion du Cabinet : « C’est la juste évolution, parce que l’incertitude réclame un coût élevé. La situation ainsi générée nécessite une décision rapide, capable d’aller de l’avant vers la prochaine étape de nominations dans l’armée. C’est une évolution favorable qui ramènera la stabilité aux différents échelons militaires », a-t-il dit.

 

 

Le Bureau de Barak a diffusé une déclaration établissant que : « Le Ministre a réalisé, durant les derniers jours, un cycle d’entretiens avec les cinq candidats au poste de Chef d’Etat-Major, parmi lesquels le Délégué au Chef d’Etat-Major, le Général Benny Gantz, le Chef du Commandement Central, le Général-Major Avi Mizrahi, le Chef du Commandant Nord, Gadi Eizenkot, et l’attaché militaire à Washington, Gadi Shamni. Le Ministre a exprimé sa haute estime à chacun des candidats en leur demandant de rester au service des Forces de Défense d’Israël et de continuer à contribuer à l’effort. Il a ajouté que la décision à prendre entre les candidats n’était pas facile, parce que chacun d’eux est de grande valeur ».

 


 

 

Barak a décrit Galant comme étant “une officier vétéran disposant d’une expérience opérationnelle diversifiée et riche, ayant fait preuve de grandes qualités de commandement et de la capacité à conduire les Forces de Défense d’Israël à travers les défis auxquels elles sont confrontées, ainsi que l’Etat d’Israël."

 

 

 

Barak a appelé le Président Shimon Peres afin de lui notifier sa décision. Le Bureau de Peres a répondu que «  c’est la nomination qui convient le mieux ».

 

 

Le Ministre (des affaires stratégiques) Ya’alon a affirmé que les dommages causés par une telle nomination surpassaient ses bénéfices.

 

 

Ya’alon, lui-même ancien Chef d’Etat-Major, a suggéré que cette décision ne devrait pas être arrêtée, pour ce qui est de l’autorisation du Cabinet la semaine prochaine, parce qu’il pense qu’elle a été prise hâtivement, alors que tous les faits n’ont pas été éclaircis, concernant l’affaire du document Galant, particulièrement, à propos du rôle de divers généraux de haut-rang, dont le Chef d’Etat-Major Gabi Ashkenazi.


 

 Ashkenazi n’a pas bronché.

 

 

On croit savoir qu’Ashkenazi a fait tout ce qui est en son pouvoir pour retarder le processus de désignation. Malgré cela, il a souhaité un franc succès à Galant dans son nouveau rôle. Cependant, l’Unité du porte-parole de Tsahal a dit que Ashkenazi a promis à Galant «  toute l’aide et le soutien dont il aura besoin dans le rôle important qu’il va endosser dans quelques mois à peine ».

 

“Il s’agira d’une période complexe”, a prédit un officier supérieur, lors d’un entretien avec Ynet. « Il y a des relations tendues entre les deux, mais nous n’avons pas encore digéré les conséquences du scandale du document, et il y a déjà un nouveau chef d’Etat-Major ».

 

 

Depuis que l’annonce en a été faite, le  clan Ashkenazi a préféré rester discret, concernant la position du chef d’Etat-Major à propos de son récent remplacement. Cependant, on estime qu’il ne déborde pas d’enthousiasme à l’idée que cette décision a été prise avant l’établissement des conclusions de l’enquête policière sur le document.

 

Un officier supérieur de Tsahal a confié que les évènements récents entourant cette nomination contiennent un élément d’humiliation pour Ashkénazi. «  Après tout, après presque 4 ans à ce poste, Ashkenazi s’en va meurtri ».

 

 

Selon le meme officier : “L’affaire du document ne lui a pas fait de bien, à un niveau personnel. Et, de toute évidence, aujourd’hui, non plus, à travers cette décision urgente, Barak ne lui montre aucune gratitude, il ne fait que gratter les plaies du ressentiment, tout comme cela s’est passé durant les derniers mois, avec les tensions accrues entre eux ».

 

Le mystère du document Galant continue de mijoter

 

Le document Galant, rendu public par la chaîne II d’information, il y  environ 2 semaines, suggérait que Galant aurait atteint son objectif de devenir le prochain Chef d’Etat-Major, en « présentant une image négative » de son principal rival, le Général-Major Benny Gantz et de l’actuel Chef d’Etat-Major Ashkenazi.

 

 

 

Le scandale a placé sous examen minutieux les coulisses de l’armée entière, y compris Ashkenai en personne et le Ministre de la Défense Ehoud Barak. Quoi qu’il en soit, la police avait annoncé dès jeudi que tous deux, ainsi que plusieurs autres responsables haut-gradés de l’armée, étaient hors de cause.

 

 

 

Même si la police a terminé le plus gros de l’enquête, la question demure encore de savoir qui est l’auteur du document, ainsi que le rôle de l’actuel chef d’Etat-Major Ashkenazi. Ashkenazi était apparement en possession du document depuis plusieurs semaines et il n’en a rien fait, excepté informer antz et Einzenkot de son contenu.

 

Hanan Greenberg a contribué à ce reportage 

 

Partager cet article
Repost0
19 août 2010 4 19 /08 /août /2010 17:10

 

סקירה מיוחדת: שירות נשים בצה

18/08/2010

Merci a Myriam

Pensées pour Zéhava

Des femmes au service de l'Armée Israélienne depuis 60 ans

Adapté par Aschkel

pour aschkel.info et lessakele.


http://dover.idf.il/IDF/

 

La présentation qui suit(en anglais) décrit le rôle qu'ont eu les femmes dans l'armée tout au long de l'histoire des Forces de Défense israéliennes. 

Les femmes ont toujours pris part à des opérations militaires en Israël, depuis la fondation de l'Etat en 1948 à l'armée moderne d'aujourd'hui. 

Les FDI, des rôles ouvrent de plus en plus  aux femmes comme un nombre croissant d'unités vu  la valeur des soldates.

Avant la création de l'Etat, les femmes ont servi dans des rôles de combat dans les milices qui sont devenues par la suite les Forces de Défense Israéliennes. 

Toutefois, lorsque l'armée israélienne a été créée les femmes ont servi principalement dans des rôles d'éducation et d'administration. 

Puis, durant la guerre du Kippour (1973), du fait d'un besoin croissant pour les forces terrestres, le rôle des femmes est devenu nécessaire. Elles ont servi d'instructeurs de combat, de sergents dans les opérations, et même d'officiers.

Vous pourrez lire des entretiens avec des femmes sur le terrain en charge de l'équipement, de l'entraînement au combat, comme instructeurs de tir pour la force blindée, ou en tant que soldates dans le bataillon d'infanterie légère, ainsi que des commandants dans les forces de renseignement sur le terrain et plus encore.

Dans la Force aérienne, les femmes étaient autorisées à devenir pilotes de chasse aux côtés des hommes en 1995 et les femmes d'aujourd'hui servent aussi de techniciens en avionique, de commandants de batterie dans les forces anti avions et dans diverses autres fonctions.

La Marine voit aussi les femmes prendre un rôle actif dans ses forces. Les femmes se trouvent dans les équipes de sécurité portuaire et maritime de surveillance entre autres.

L'armée israélienne a une tolérance zéro pour le harcèlement sexuel et soutient le besoin des femmes durant leur service militaire dans diverses cliniques pour des besoins spéciaux.

L'Armée israélienne est l'une des armées les plus développées au  monde aujourd'hui, et l'accent de l'armée israélienne sur les droits de la femme la distingue pour  l'égalité des chances dans un monde où les femmes sont mis au défi de tirer le meilleur parti de leur potentiel, que ce soit au combat ou non.

 

 

Partager cet article
Repost0
18 août 2010 3 18 /08 /août /2010 06:26

 

Banniere-documents-speciaux.jpg

 

Document précédent :

Attaques terroristes contre les citoyens d'Israel - rapport mensuel Juillet 2010

 

 

Israeli Security Agency

 מיפוי וניתוח מערך מימון כספי טרור

Cartographie et système d'analyse des fonds à la disposition des terroristes

 

Document original :

http://www.shabak.gov.il/SiteCollectionImages/Hebrew/TerrorInfo/docs/coalition0909.pdf

Autorisé à la publication

Avec le concours précieux d'Ariel.L

Adapté par Aschkel

Ajustements : Marc Brzustowski

Pour © 2010 aschkel.info et © 2010 lessakele

La nébuleuse des systèmes de financement du Hamas

Le Hamas est un mouvement islamique qui a été établi dans la bande de Gaza en Décembre 1987 par le cheikh Ahmed Yassine. Le mouvement est conforme aux principes des Frères Musulmans, mais contrairement à ce dernier, le Hamas voit en la "Palestine" une priorité absolue (avant de s'efforcer d'imposer  sur le monde musulman - une croyance partagée avec le courant des Frères Musulmans), il soutient le djihad (guerre sainte) comme un moyen pour atteindre ses objectifs, et estime que chaque musulman a le devoir d'exécuter le Jihad. 

 

Lire la suite du Document :  SBK-Financement Hamas- Doc AschkeletGad SBK-Financement Hamas- Doc AschkeletGad


Partager cet article
Repost0
17 août 2010 2 17 /08 /août /2010 19:11

 

      Guysen

 

20:36 Prise d'otages à Tel-Aviv : le blessé est le preneur d'otages
20:23 Prise d'otages à Tel-Aviv : le consul de Turquie et son épouse sont sains et saufs
20:22 Prise d'otages à Tel-Aviv: le preneur d'otage cherchait un asile politique,selon les turcs
20:14 Prise d'otages à Tel-Aviv : il ne s'agissait pas d'une attaque terroriste
20:12 Prise d'otages à Tel-Aviv : le preneur d'otages affirmait être ''pourchassé'' par le Shin Bet
20:08 Prise d'otages à Tel-Aviv : le preneur d'otages s'était déjà retranché à l'ambassade anglaise
20:04 Prise d'otages à Tel-Aviv: les Turcs empêchent la police israélienne d'entrer
20:02 Prise d'otages à Tel-Aviv : les vigiles ont tiré sur le preneur d'otages
Homme blessé par balle à l'ambassade de Turquie à Tel-Aviv

 

Par Aschkel 

Pour  aschkel.info et lessakele.

http://www.ynet.co.il/articles/0,7340,L-3938542,00.html

 

 

Au moins une personne a été blessée dans une fusillade à l'ambassade turque à Tel-Aviv mardi soir, la police précise que d'autres incident peuvent survenir  à l'intérieur des murs de l'Ambassade, de grandes forces ont été déployées sur les lieux

Eli Senyor

Dernière mise à jour:  08.17.10, 19:40 / Nouvelles Israël

Rapport initial: Au moins une personne a subi des blessures par balle à l'ambassade de Turquie à Tel-Aviv mardi soir.

 

Selon les premiers rapports de la scène de prise de vue, un homme nu est arrivé à l'ambassade et a été abattu.

 

Pendant ce temps, un autre incident  aurait eu  lieu dans l'enceinte de l'ambassade. Les témoins sur lsur place ont  déclaré  avoir entendu plusieurs coups de feu , mais aucune autre information n'aété fournie. D'autres témoins ont rapporté avoir vu un impact de balle dans l'une des fenêtres de l'ambassade.

 

policier armé devant l'ambassade (Photo: Ziv Reinstein)

 

D'importantes forces de police ont été déployées sur les lieux et attendent à l'extérieur du bâtiment; le protocole diplomatique  les empêchant de pénetrer dans l'ambassade et ne relève donc pas de  la compétence de la police d'Israël. Les équipes d'intervention et les négociateurs de police ont également été dépêchés sur les lieux dans le cas où seraient détenus des otages dans l'ambassade.

 

Le ministère des Affaires étrangères coordonne le traitement de l'affaire 

 


 

les forces de police anti-émeute ont également été dépêchées sur les lieux de peur que la situation ne devienne incontrôlable par l'afflux  de personnes arrivant sur les lieux.

 

Selon les rapports précédents, les forces de police ont bouclé le quartier et ont fermé  le trafic sur Hayarkon Street, où l'ambassade est située.

 

 

Ces derniers temps plusieurs manifestations ont eu lieu face a l'ambassade turque.

Les manifestations ont été organisées pour protester contre l'attitude de la Turquie envers Israël et la situation concernant l'incident de la flottille. l

 

Ziv Reinstein contribué à l'histoire

Partager cet article
Repost0
17 août 2010 2 17 /08 /août /2010 00:02

 

 

Tir de roquettes après que Tsahal ait dû éliminer deux Palestiniens à Gaza

 

Archive photo: Reuters

Les forces ont ouvert le feu sur deux Palestiniens qui déposaient apparement une bombe près de la barrière de sécurité ; un soldat a subi une blessure due à des éclats dans l'explosion. Deux qassams ont frappé le Neguev peu de temps après l'incident ; pas de blessés.


 

Reporters d'Ynet

Adaptation : Marc Brzustowski

Pour © 2010 lessakele et  © 2010 aschkel.info

 

Latest Update: 

16.08.10, 22:14 / Israel News

 

 

 

 

Après un mois de calme relatif le long de la frontière d'Israël avec Gaza, les soldats de Tsahal ont ouvert le feu, lundi soir, contre deux Palestiniens qui déposaient apparemment une bombe dans le secteur. Selon les sources dans la Bande de Gaza, les Palestiniens ont été tués.

 

 

Alors que les soldats ratissaient le secteur, une explosion a eu lieu près de la barrière de sécurité. Un soldat a subi des blessures légères dues aux éclats. On ne sait toujours pas qui était derrière l'explosion.

 

 

Des sources ont confié que ces hommes appartenaient apparemment à une celule des Brigades al-Quds. Al Quds est la branche armée du JihadIslamique

 

 

L'Unité du porte-parole de Tsahal a déclaré que l'un des Palestiniens tués dans l'accrochage a été identifié comme Bassem Dragma, un membre de haut-rang du Jihad Islamique qui avait déjà pris part à l'accrochage frontalier qui a arraché la vie au Major Eliraz Peretz et au Sergent Ilan Sviatkovsky en mars dernier.

 

Photo: Elad Gershgoren
Maj. Eliraz Peretz (archives) Photo: Elad Gershgoren

 

Environ deux heures après l'incident frontalier, deux roquettes qassam tirées depuis le Nord de Gaza ont atterri dans un terrain vague du Conseil Régional du Neguev à Eshkol. Il n'y a pas eu de rapport concernant d'éventuels blessés ou dommages.

 

 

L'escalade de la violence dans le Sud a commencé au tout début d'août, quand un Palestinien a été tué par un tir de Tsahal à l'Est de Khan Younès, dans le Sud de Gaza. L'incident faisait suite à un raid de l'armée de l'air sur des cibles à Gaza, lancé en représailles contre le tir d'une roquette qassam sur la région du Neguev.

 

 

L'armée de l'air avait pris pour cible un tunnel de trafic d'armes sous la frontière entre l'Egypte et Gaza, ainsi qu'un autre tunnel qui se développait le long de la frontière de la bande avec Israël, qui était destiné à mener une attaque terroriste en territoire israélien.

 

 

Les responsables israéliens ont estimé que la roquette tirée était, pour les terroristes palestiniens, une tentative d'enflammer la zone, pour contrecarrer d'éventuelles négociations directes entre Israël et l'Autorité Palestinienne.

 

Hanan Greenberg, Ilana Curiel et Ali Waked contribué à ce reportage.

Partager cet article
Repost0
15 août 2010 7 15 /08 /août /2010 15:55

 

Israël s'offre des F-35
Par YAAKOV KATZ ET JPOST.FR 
15.08.10

 

Ehoud Barak donne son feu vert. Le ministre de la Défense a approuvé, dimanche, l'achat de la cinquième génération des avions de chasse F-35, de fabrication américaine.


PHOTO: AP , JPOST

"Le F-35 est l'avion du futur. Il permettra à Israël de maintenir la supériorité de son armée de l'air", a déclaré Barak. "Cet appareil fournira également à l'aviation israélienne de meilleures capacités longue-portée et courte-portée, de manière à garantir la sécurité nationale."

Si les Etats-Unis ont approuvé la demande israélienne d'obtenir 75 appareils, l'Etat hébreu ne prévoit d'en acheter qu'une vingtaine, à ce stade. La valeur du contrat est estimée à un peu moins de 3 milliards de dollars. Barak devra encore présenter le marché au gouvernement, pour obtenir son accord final.

Rester premiers dans la région

Jusqu'à présent, deux principaux obstacles ont repoussé l'achat des derniers F-35 : leur prix - soit un peu plus de 140 millions de dollars - et l'opposition américaine à l'intégration de plusieurs systèmes techniques israéliens sur l'avion. En raison du prix élevé de l'appareil, Israël achètera d'abord des modèles standards américains, qui seront livrés fin 2015. Puis, une seconde série, certainement livrée avant 2020, sera configurée aux systèmes israéliens.

L'aviation israélienne souhaitait, avant tout, devenir le principal client étranger des Etats-Unis, par crainte que d'autres pays de la région - notamment l'Egypte et l'Arabie Saoudite - ne soient autorisés à acquérir l'appareil.

Israël a, par ailleurs, été le premier pays étranger à acheter des modèles F-15 aux Etats-Unis. L'Arabie Saoudite en opère, depuis, un certain nombre et cherche même à en acheter davantage. Si l'intérêt saoudien pour ce type d'appareil est sans doute lié à la menace croissante de l'Iran, l'Etat hébreu surveille de très près le renforcement de la force aérienne de Riyad.

Partager cet article
Repost0
11 août 2010 3 11 /08 /août /2010 18:35

 

 

 

« Barak voulait venger l'incident frontalier et attaquer le Liban »

 

Le journal al-Sharq al-Awsat raporte que Sarkozy et Clinton ont fait pression sur Israël pour qu'il retire son plan de lancer une opération militaire de grande envergure pour répliquer à la mort du Lieutenant-colonel Dov Harari tué durant l'accrochage frontalier.

Roee Nahmias

Adaptation : Marc Brzustowski

 

Publié le : 

11. 08.10, 10:44 / Israel News

 

 

Le journal al-Sharq al-Awsat a rapporté mercredi que la France a dissuadé Israël de déclencher une opération militaire de grande envergure contre le Liban, en réprésailles à l'incident de frontière durant lequel le Lt-C Dov Harari a trouvé la mort.

 

 


 

Des sources françaises ont confié au journal que le Ministre de la Défense Ehud Barak avait informé Bernard Kouchner, Ministre des affaires étrangères qu' »Israël était sur le point de déclencher une opération militaire de grande envergure pour éduquer l'Armée Libanaise et venger la mort du l'officier supérieur israélien »

 


On suppose que cela a mené à des contacts de haut-rang impliquant le Président français Nicolas Sarkozy, la Secrétaire d'Etat américaine Hilary Clinton autant que des responsables égyptiens, jordaniens, ainsi que d'un autre pays arabe.

 

Selon le reportage, ces pressions se sont occupées d'évacuer les tensions et d'empêcher une nouvelle campagne au Nord.

 

Ces sources françaises ont expliqué que les résultats de ces pressions étaient évidents à travers la déclaration de Barak, lorsqu'il a affirmé que « Israël n'a pas planifié l'incident, pas plus que l'armée libanaise ». Elles ont ajouté que le fait que le Hezbollah n'a pas interféré dans le cours de ces évènements violents « a permis au Liban de se maintenir à l'écart d'une nouvelle guerre qui aurait pu débuter à partir d'une mauvaise interprétation de la part d'un camp ou de l'autre ».

 

 

 

Selon le reportage, Israël savait qu'il n'était pas dans son intérêt de combattre l'armée de l'air libanaise, puisque c'est le seul élément capable « de résoudre le problème du Sud-Liban et de faire appliquer la loi du pays dans cette zone ».

 

 

Les responsables français pensent avoir réussi à effacer l'ardoise, après cet incident et que l'actuel état de pacification est durable. Quoi qu'il en soit, le reportage remarque qu'Israël a demandé à Paris d'arrêter de fournir des armes à l'armée de l'air libanaise, du fait qu'elles étaient désormais pointées contre Israël et qu'elles sont susceptibles de tomber entre les mains du Hezbollah.

 

 

On aurait prétendu plus tard que la France rejetait cette requête, du fait de ses engagements dans un pacte de défense signé avec Beyrouth. On a aussi remarqué qu'un délai avait été observé dans l'armement des avions de chasse libanais par des missiles air-sol français.

 

 

 

Les responsables français ont donné pour toute réponse que ce délai était dû au fait que « le Liban souffre de problèmes budgétaires », autant que de conflits internes au Liban.

Partager cet article
Repost0

Traducteur/translator

 

 

France  ISREAL  English

Recherche

logo-lien-aschkel-copie-1.jpg

 

France  ISREAL  English
Traduire la page:
By
retour à l'acueil

------------------------------------- 

 

Communication and Information

 

Vous souhaitez 

- proposer un article ?
 - communiquer une info ?

Contactez la rédaction

bOITE-a-mail.jpg

-------------------------------

 

Nous remercions par avance tous ceux

qui soutiendront le site Aschkel.info

par un don

icone paypal

Paiement sécurisé


Consultez les dossiers

Archives

Mon livre d'or

 

 Livre_dor

 


 

Visites depuis la création du site


visitors counter

Catégories