Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
21 mai 2010 5 21 /05 /mai /2010 05:45

 

Défense passive : grand exercice d'évacuation de masse

 

 

 

La Défense Passive met actuellement au point un plan vaste et précis sur l’échelle nationale, qui prévoit l’évacuation rapide de populations entières en cas d’attaques de missiles sur des villes d’Israël. Les premiers exercices auront lieu la semaine prochaine dans le cadre de manœuvres au niveau national, appelées « Nekoudat Mifneh », qui impliqueront 68 collectivités locales. Tsahal se prépare à toute éventualité dont celle d’une attaque massive de missiles depuis le nord et le sud du pays. Les missiles détenus actuellement par le Hezbollah peuvent atteindre n’importe quelle ville d’Israël, mais on estime que certaines zones sont plus menacées que d’autres : les villes et villages de Galilée, la région du grand Tel-Aviv (« Goush Dan ») et certaines bases stratégiques de Tsahal. Le plan de Tsahal prévoit non seulement l’évacuation de centaines de milliers de citoyens mais aussi la logistique à mettre en place dans les lieux vers lesquels ils seraient transférés. Il s’agit d’un changement net par rapport à la politique suivie en 1991, lors de la 1ère Guerre du Golfe, où le gouvernement avait demandé aux populations de ne pas quitter leurs lieux d’habitations, car il estimait qu’il n’y avait pas de danger sérieux. A l’époque, « seuls » 42 missiles « Scud » avaient été tirés par l’armée de Saddam Hussein, mais cette fois-ci, on parle de milliers de missiles et roquettes qui pourraient être tirés simultanément. Lors de la 2e Guerre du Liban, en 2006, des milliers d’habitants du nord avaient fui vers le sud et avaient été recueillis par des familles, notamment en Judée-Samarie et dans le centre du pays. « Mais cette fois-ci », indique-t-on à la Défense Passive, « on parle de centaines de milliers d’habitants qui seraient obligés de quitter leur demeures, et si 70% d’entre eux pourront se débrouiller par eux-mêmes, les 30% restants doivent impérativement être pris en charge par Tsahal et l’Etat. Il faut donc que tout soit prêt pour le jour où… ». Le Commandant en Chef de la Défense Passive, le général Yaïr Golan, estime « que la prochaine guerre mettra une grande partie de la population du pays en danger, et on assistera à d’importants mouvements de population à l’intérieur du pays. Les collectivités locales doivent donc préparer de nombreux volontaires, des assistants sociaux, psychologues, médecins, chauffeurs, prévoir des abris souterrains, tels les parkings, prévoir éventuellement des campements de fortune à l’écart des villes et aménager des réserves alimentaires ».


Partager cet article
Repost0
17 mai 2010 1 17 /05 /mai /2010 16:51

 

Une simulation plus vraie que nature
Par BEN HARTMAN 
17.05.10

 

http://fr.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1272465555038&pagename=JFrench/JPArticle/ShowFull

La menace d'une arme nucléaire iranienne oblige Israël à envisager tous les scénarios tragiques possibles. Une simulation, basée sur un exercice qui s'est tenu en décembre à l'université de Harvard, a été organisée afin de prévoir les différentes réactions possibles en cas d'attaque.


PHOTO: BEN HARTMAN , JPOST

La simulation se divise en deux parties. Les participants, dont d'éminents experts et universitaires israéliens, cherchent dans un premier temps une réponse aux capacités nucléaires de la République islamique. Suit un "déclencheur", en fonction duquel les participants doivent s'adapter.

Une vingtaine d'Etats étaient représentés, ainsi que des organismes internationaux, des organisations terroristes et des universitaires spécialisés. Lors du premier tour de l'exercice, les équipes ont appris que le Hezbollah tirait des missiles longue-portée sur Tel-Aviv. Le mouvement terroriste libanais souhaitait, de même, supprimer le ministère de la Défense et causer d'énormes pertes humaines.

Une réaction proportionnelle

En réponse à la frappe imaginaire, le président américain Barack Obama aurait déclaré : "Nous condamnons le comportement de l'Iran et exprimons notre soutien, sans équivoque, au droit d'Israël à se défendre." Et le président de remarquer que l'attaque marque le début d'une guerre et qu'Israël devra réagir de façon proportionnée.

Selon les résultats de la simulation, l'enchaînement de la situation conduirait les Etats-Unis à former une force multinationale, une "coalition de volontaires" pour pénétrer au Liban et démanteler le Hezbollah par la force.

Partager cet article
Repost0
14 mai 2010 5 14 /05 /mai /2010 10:52

 

 

Pour lessakele. et aschkel.info

 

 


freds

 

Desserrer au plus vite l’étau qui risque d'asphyxier Israël
 
Israël se trouve aujourd’hui dans une situation grave. Plusieurs fronts sont en train de se former contre lui tant sur le plan militaire que diplomatique.

 
Au sud-ouest le flot d’armes destiné au Hamas est continu, au nord, le Hezbollah reçoit des armes de plus en plus sophistiquées provenant d'Iran et de Syrie et à l’est, la République islamique d'Iran – qui ne cesse de prôner la destruction d’Israël – continue sa course à l’armement conventionnel et nucléaire tout en organisant des war games de grande ampleur.


Sur le plan diplomatique Israël doit encore défendre son droit d’exister face aux attaques des antisémites de gauche comme de droite, d’Occident comme d’Orient. Aujourd’hui même une partie de la diaspora juive a décidé de se lancer dans la surenchère anti-israélienne par la création de groupes de pressions composés de sycophantes tels que
 Jstreet aux États-Unis et Jcall en France. C’est maintenant le potentiel nucléaire israélien qui se trouve dans le collimateur des corrompus qui président au fonctionnement de l’Agence Internationale de l’Énergie Atomique (AIEA). L’Égypte tente avec Washington de créer un utopique Moyen-Orient sans armes nucléaires. En fait, le Caire tremble devant l’avancée iranienne dans le domaine de la production d’armes atomiques. Les Égyptiens se disent alors que tant qu’à faire, puisque l’État juif n’agit pas contre l’Iran, il vaut mieux tenter de faire pression sur Israël avec l’aide de l’oncle Sam pour tenter de désarmer l'Etat hébreu en croyant bien naïvement que l’Iran alors sous pression suivra la même voie. Si l’Iran n’existait pas, il faudrait l’inventer doivent se dire tous les ennemis d’Israël car l’Occident utilise aussi le levier iranien en tentant de faire chanter Israël avec le prétexte fallacieux suivant : « si vous ne faites pas de concessions vis-à-vis des Palestiniens alors nous ne vous aiderons pas à combattre l’Iran ». Déjà à l’époque de la Guerre du Golfe,( 1990-1991), le gouvernement américain de George Bush senior avait créé un lien totalement artificiel entre la guerre en Irak et le conflit israélo-palestinien. L’idée était que les armées des pays arabes s’associeraient plus facilement à la coalition anti-Saddam Hussein si Israël acceptait des négociations avec les « Palestiniens ». Israël se retrouva donc, fin octobre 1991, bien esseulé à une table de négociations (ou plutôt de reddition) lors de la Conférence de Madrid qui malgré tout posa les premiers jalons des suicidaires Accords d’Oslo. Force est de constater que le Premier Ministre israélien de l’époque de la Guerre du Golfe et de la Conférence de Madrid, Itzhak Shamir(du Likoud) , porte une grave responsabilité dans la diminution de la capacité de dissuasion de l’État juif par le fait de ne pas avoir répliqué -sous la pression américaine- aux attaques de Scuds qui frappèrent Israël et en acceptant de participer au traquenard que fut la Conférence de Madrid. Ces tristes épisodes devraient rappeler au gouvernement israélien actuel que la reddition face aux diktats américains n’est jamais une solution.


Face à toutes ces pressions, Israël doit agir au plus vite pour desserrer l’étau militaire et diplomatique qui tente de l’asphyxier. C’est pour cette raison que malgré les graves risques qu’il encoure en entreprenant une action militaire contre l’Iran, Israël doit utiliser son droit inaliénable à l’autodéfense en frappant un maximum de sites nucléaires iraniens et en menaçant du pire les mollahs et les Pasdarans en cas de représailles sur des zones civiles israéliennes.


Israël ne peut plus se permettre de rester sur la défensive en observant l’accumulation d’armes de plus en plus sophistiquées qui remplissent les bases et les différentes caches du Hamas et du Hezbollah. Et surtout, l’État juif ne peut rester sans agir face au bellicisme des fanatiques qui contrôlent  la République Islamique d’Iran.


L’Amérique se doit pourtant de soutenir une action militaire contre Téhéran . En effet, l’Iran reste une menace pour la stabilité à la fois de l’Irak et de l’Afghanistan. De plus, il est avéré que malgré les dissensions profondes et souvent violentes qui existent entre les Shiites et les Sunnites, les Talibans sunnites - alliés d’Al Qaida – reçoivent de l’aide de l’Iran comme le rapportaient par exemple le 5 décembre 2009 les journalistes de France 24 Billet et Ghafar. Ces derniers interviewèrent le mollah Serajuddin, commandant des Talibans du district de Gulestan dans la province de Farah. Le commandant taliban Serajuddin avoua qu’il existait : «un camp d’entraînement pour Talibans en Iran qui est contrôlé par les services secrets iraniens.» Les auteurs du reportage révélèrent aussi que cette information leur avait été confirmée par les autorités afghanes.


Rappelons au passage que la tentative d’attentat qui a visé Times Square le 1er mai dernier à New-York a été le fait d’un réseau taliban (peut-être pas encore très organisé) et non pas d’un terroriste isolé (comme le prétendaient les naïfs ou les menteurs). L’Amérique devrait dès lors grandement s’inquiéter de ces réseaux talibans qui pourraient obtenir l’aide très ponctuelle de l’Iran afin de frapper leur «ennemi commun». Après tout - et ce n’est qu’un nouvel exemple parmi d’autres - un rapport officiel américain datant du 16 juin 2004 révélait que pendant les années 90 des représentants de Ben Laden et des officiels iraniens avaient émis l’idée de mettre de côté la division chiites/Sunnites afin de combattre ensemble l' Amérique. Ainsi, un groupe de représentants d’Al Qaida avaient voyagé en Iran et dans des camps d’entraînement du Hezbollah au Liban pour s’entraîner au maniement des explosifs et suivre des cours sur le renseignement.


Tout doit donc être fait pour stopper militairement l’expansionnisme iranien. Israël devrait pouvoir convaincre les États-Unis que l’Iran est la menace numéro 1 pour l’État juif mais aussi pour l’Amérique. Pour finir, nous insisterons sur le fait que l’État hébreu ne doit plus simplement observer les préparatifs de guerre de ses ennemis mais comme en 1967, il devrait prendre «l’initiative», certes ô combien risquée, de frapper ses ennemis avant qu’il ne soit trop tard…

Partager cet article
Repost0
13 mai 2010 4 13 /05 /mai /2010 11:35

Des uniformes "blanc-bleu" pour Tsahal

 

source: israel7

Que faire pour sauver les entreprises de textiles du Nord du pays, souffrant sérieusement de la concurrence chinoise. La question a été largement évoquée ce mercredi au sein de la commission parlementaire des Finances. Le débat a été lancé par le député Majalli Whbee (Kadima) qui a indiqué que de nombreuses usines risquaient de fermer leurs portes si les uniformes et d’autres vêtements étaient achetés en Chine.  Il a rappelé que cela provoquerait de nombreux licenciements touchant notamment la population druze de la région. 

Au cours des discussions, la députée (travailliste) Shelly Yahimowitz a évoqué son projet de loi donnant la priorité aux productions locales lors d’appels d’offres. Il faut préciser que cette loi a déjà été votée en lecture préliminaire et elle doit encore être présentée à la Knesset pour son adoption définitive.  A l’issue de la réunion, les députés ont adressé un appel au gouvernement, lui demandant de ne plus adresser leurs commandes d’uniformes à des entreprises chinoises. 

Ce projet de loi bénéficie notamment du soutien du ministre de la Défense Ehoud Barak et du ministre du Commerce et de l’Industrie Binyamin Ben Eliézer. Mais le ministre des Finances Youval Steinitz et celui de la Sécurité intérieure Itshak Aaronowitz s’y opposent. Ce dernier a toutefois accepté d’accéder à la demande du président de la commission, Moché Gafni (Yaadout Hatora) et de suspendre les appels d’offres pour les uniformes pendant deux mois. 

Le délégué du Trésor a expliqué que son ministère ne pouvait pas approuver ce projet de loi, étant donné qu’il n’avait pas été consulté au préalable. Son collège de la Sécurité intérieure a présenté les mêmes arguments, affirmant qu’il ne pouvait pas soutenir une loi dont il ignorait la teneur. Il a en outre confirmé que deux commandes avaient déjà été faites, pour 60 000 articles. Il s’est avéré par la suite que son ministère avait également acheté en Chine 180 000 habits de prisonniers.

 par Claire Dana-Picard

Partager cet article
Repost0
10 mai 2010 1 10 /05 /mai /2010 16:49

 

 

Ya’alon : Israël est tout-à-fait en capacité d’attaquer l’Iran
Reuters.
Adaptation : Marc Brzustowski
titre original : Ya'alon: Israel capable of attacking Iran

 

L’Ancien chef d’Etat-Major affirme que la technologie s’est renforcée en ce qui concerne l’élargissement du rayon d’action, l’approvisionnement aérien en carburant, la précision et la qualité des renseignements

Reuters

Published: 

05.10.10, 14:07 / Israel News

 

 

L’adjoint du premier Ministre (aux affaires stratégiques), Moshé Ya’alon a declare lundi qu’Israël a la capacité technologique de réaliser une frappe militaire contre l’Iran .

 

 

S’exprimant lors d’une conférence sur le thème de la puissance aérienne, Ya’alon a affirmé que l’expérience d’Israël dans la mise en œuvre de frappes contre des objectifs terroristes le long de ses frontières, pourrait aisément être étendue à des sorties distantes sur l’Iran.

 

“Il ne fait aucun doute que les capacities technologiques, qui n’ont cessé de se perfectionner ces dernières années, ont permis d’améliorer aussi bien le rayon d’action que les possibilités d’approvisionnement en vol et ont conduit à une amélioration constante, en matière de précision ou de logisitique et de renseignement », a-t-il précisé.

 

Ya’alon, ancien chef d’Etat-Major a expliqué que “Cette capacité peut aussi bien être utilisée dans une guerre contre la terreur à Gaza, dans une guerre face aux roquettes tirées du Liban, dans une guerre contre l’armée conventionnelle syrienne, et, bien entendu, pour une guerre contre un état périphérique comme l’Iran”

 

Lors de son exposé à l’Institut Fisher sur les études aériennes et spatiales, Ya’alon a situé le rôle des frappes aériennes comme consistant à « décapiter ou aveugler » un ennemi en prenant pour cible ses cercles dirigeants ou ses systèmes d’alerte avancés.

 “Pour autant que je sache, l’attaque demeure la forme la plus efficace de défense », a-t-il déclaré.

 

 

Ya’alon a ajouté : « Israël se perçoit comme de facto en guerre contre l’Iran, du fait de son utilisation du Hamas et du Hezbollah comme sous-traitants. Il n’y a aucun doute, si l'on prend en compte la situation globale, que nous sommes, d’ores et déjà, dans le cadre d’une confrontation armée avec l’Iran », « l’Iran est le principal incitateur de ceux qui nous attaquent ».

 

 

 

 

Israël a bombardé le réacteur nucléaire irakien en 1981 et est soupçonné d’avoir lancé une sortie identique sur la Syrie en 2007.

 

 

Les dirigeants de l’Etat ont dit explicitement que toutes les options étaient sur la table, lorsqu’ils évoquaient la question d’une éventuelle action militaire contre l’Iran, mais des analystes indépendants conçoivent que les cibles potentielles sont trop éloignées, dispersées et suffisamment bien protégées, pour que les jets de l’aviation israélienne seuls ne les prennent pour objectifs.
Partager cet article
Repost0
9 mai 2010 7 09 /05 /mai /2010 16:37

 

Des bombes intelligentes pour Israël ?

 

 

 

Les Etats-Unis ont renouvelé la livraison pour l’Armée de l’air israélienne de bombes de type GBU-28 et de  bombes de taille plus réduite de type GBU-29.  Avec ces bombes, sont également fournies des systèmes de visée au laser de type LJDAM.

Le Président de l’Etat d’Israël Shimon Pérès est le seul dirigeant à parler ouvertement de fourniture ininterrompue de missiles syriens au Hezbollah. Il vient de déclarer ce dimanche 9 mai au Président Dimitri Medvedev que les livraisons de missiles syriens au Hezbollah ne signifient qu’une seule chose, que la Syrie et son Président Bachar El Assad recherchent la guerre.

Parallèlement, des sources américaines qui en général ne s’empressent de rendre public les fournitures d’armement à Israël, rapportent que l’Administration Obama a ordonné d’intensifier les livraisons de bombes sophistiquées à l’Armée de l’air israélienne. Ce type de munition est efficace contre des positions fortifiées comme celles du Hezbollah au Liban, du Hamas à Gaza et de l’Armée syrienne.

Trois types d’armement ont été principalement fournis à l’Armée de l’air d’Israël:

-         Des bombés téléguidées de type GBU-28 (Guided Bomb Unit), dénommées « Gorges profondes » pulvérisatrices de bunkers d’un poids de 2 268 kilogrammes, capables de pénétrer la terre jusqu’à une profondeur de 31 mètres et de percer une épaisseur de 6,20 mètres de cibles recouvertes de béton armé.

-         Des bombes plus petites de type GBU-39 pesant 113 kilogrammes l’une spécialement adaptables sur les bombardiers F 15. Elles sont destinées à pénétrer dans des fortifications plus petites et peuvent percer 1.83 mètres de béton armé. Ces bombes ont été développées dans le dessein de faire porter à la place d’une ou deux grosses bombes sur les chasseurs bombardiers F 15, toute une série de bombes plus petites comme celle-ci. Lorsque’lle atteignent leurs cibles, la déviation de ces bombes peut varier entre 5 et 8 mètres de la cible, c’est-à-dire que le taux de frappe exacte de ces bombes est de 50 %. D’autres part, les Etats-Unis fournissent également des bombes semblables mais pouvant être portées sur le F 16.

-         Pour améliorer la précision de ces armements, les Etats-Unis fournissent à Israël des systèmes de visée à laser LJDAM (Laser-Guided Joint Direct Attack Munitions). Ce système a été développé par la Société américaine Boeing et par la Société israélienne Elbit. Il permet de lancer les bombes d’une distance de 28 kilomètres et d’assurer l’atteinte précise d’une cible en toute condition météorologique.

L’Administration Obama d’autre part, publie ce communiqué afin d’invalider les rumeurs parlant d’embargo et de retardement de livraisons d’armes à Israël.

Partager cet article
Repost0
5 mai 2010 3 05 /05 /mai /2010 07:37
Renseignement militaire : Les Scuds du Hezbollah ne sont que le sommet de l’iceberg

 Par Amnon Meranda


ynetnews.

 

Adaptation française : Marc Brzustowski


pour lessakele. et aschkel.info

 


 

Le chef du Département de la Recherche des Renseignements Militaires déclare que le transfert d’armes depuis la Syrie vers le groupe terroriste chi’ite ne peut plus être appelé un simple « trafic », mais que, de la façon dont il est organisé, il s’agit d’un véritable transfert officiel. Le Général de Brigade Yossi Baidatz alerte sur le fait que les capacités militaires du Hezbollah se sont développées de façon significative depuis 2006, et que le groupe a, désormais, un arsenal de milliers de roquettes.

 

 


 

Publié le : : 

04.O5.10, 14:14 / Israel News

 

 

 

 

 Le Général de Brigade Yossi Baidatz, chef du Département de la Recherche des renseignements militaires (RM), a déclaré, mardi, qu’Israël est de plus en plus préoccupé par le transfert d’armement depuis la Syrie vers le Hezbollah. « Les armes sont transférées au Hezbollah à un rythme soutenu et ce transfert est organisé par les régimes syrien et iranien. Par conséquent, on ne peut plus parler de « trafic d’armes de contrebande » vers le Liban, mais de transfert organisé et officiel ».

 

Il a affirmé que “le transfert de missiles de longue portée qui a été récemment rendu public n’est que le sommet de l’iceberg ».


Mardi, Baidatz a exposé l’état des lieux, lors d’un debriefing devant le Comité des affaires étrangères et de la défense de la Knesset et mis l’accent sur le fait que « à cette heure, le Hezbollah dispose d’un arsenal de milliers de roquettes de tous types et de différentes portées, comprenant des roquettes de longue portée à carburant solide et des roquettes d’une grande précision ».

 

Il a ajouté : “les missiles de longue portée que le Hezbollah a en sa possession le rendent capable de fixer ses zones de lancement très profondément au cœur du Liban, et ils couvrent ainsi de plus vastes et de plus longs rayons d’action que ceux auxquels nous avons eu affaire par le passé. Le Hezbollah de 2010 est très différent du Hezbollah de 2006, en termes de capacités militaires, qui se sont développées significativement.


“”Le Hezbollah est en tension critique entre deux identités différentes : son engagement à l’égard du Jihad et de l’Iran, et, d’un autre côté, ses considérations politiques au Liban et les besoins de la communauté chi’ite. Par conséquent, il a méticuleusement sélectionné et planifié sa logique d’action actuelle. Le Renseignement militaire pense qu’il n’est pas intéressé à se lancer dans un nouveau cycle de confrontation de grande ampleur avec Israël. Il la redoute, mais il s’y prépare. L’organisation jure encore publiquement vouloir perpétrer des attaques terroristes contre Israël. »

 

Selon le chef du Département de la Recherché du RM, “ la Syrie continue de marcher en suivant deux mélodies, sans être forcée par la Communauté internationale d’en choisir aucune. D’un côté, elle renforce ses relations avec l’Occident, les pays arabes et avec la Turquie, et elle est également en train de regagner de l’influence à l’intérieur du Liban ; et de l’autre côté, elle intensifie sa coopération stratégique et opérationnelle avec l’Iran, le Hezbollah et les groupes terroristes palestiniens ».

 

 

Cependant, Baidatz a fait remarquer que la Syrie considère que parvenir à un accord de paix avec Israël reste l’une de ses principales priorités. « Le RM perçoit un désir syrien de trouver un accord, mais seulement à ses conditions, signifiant : recouvrer la maîtrise du Golan tout entier et obtenir un engagement américain ».

Selon les estimations du RM, en échange d’un accord, la Syrie a la volonté d’infléchir certaines de ses activités sur l’axe radical, mais le Président syrien Bashar Assad ne perçoit pas de changement en vue d'un réel progrès avec l’actuel gouvernement israélien et il n’est, par conséquent, prêt à faire aucun geste permettant de bâtir la confiance nécessaire.


 

“Abbas a peu de marge de manœuvre »

Sur le front palestinien, un jour seulement avant l’ouverture des  pourparlers deproximité, l’Armée fait part d’une estimation sombre et pessimiste : « Abu Mazen (le Président palestinien Mahmoud Abbas ) est intéressé par un accord avec Israël, mais son rayon (pouvoir) de flexibilité sur les problèmes capitaux est très limité », a déclaré l’officier supérieur.

 « “Nous ne discernons pas en Abu Mazen une véritable volonté de flexibilité sur les problèmes fondamentaux, et on s’attend à ce qu’il vienne avec les mêmes positions qui existaient durant les pourparlers avec le précédent gouvernement. Abu Mazen prépare le terrain pour que ces discussions échouent –et elles tendront à vouloir "démasquer le véritable visage » d’Israël ».

 

Baidatz a insisté sur le fait que le calme relatif, qui a persisté sur tous les fronts durant l’année passée, résultait principalement de la dissuasion israélienne. Cependant, a-t-il précisé, «  malgré le calme, il n’y a pas de statu-quo dans l’environnement stratégique d’Israël. Alors qu’il existe, d’un côté, une fenêtre d’opportunité pour des accords politiques avec les Palestiniens et les Syriens, en même temps, les tendances négatives qui nous encerclent continuent de s’intensifier. Cela inclut la nucléarisation de l’Iran, l’armement accéléré chez tous nos ennemis, dans un rayon d’action aussi bien rapproché que lointain, et le risque qu’une attaque terroriste ne conduise à une escalade ».

 

 

 Ainsi pour l’Iran, dit-il, “Les Iraniens continuent d’avancer à marche forcée dans leurs projets nucléaires et accumulent des moyens qui les rendent capables de parvenir aux armes nucléaires au moment où ils ne décideront. A partir de ce moment-là, tout dépendra de leur décision. Si, par le passé, l’accession aux capacités nucléaires dépendait de la capacité à surmonter les obstacles technologiques, aujourd’hui, l’Iran se trouve dans la situation où cela ne dépend plus que de sa décision de se lancer dans la production d’une bombe nucléaire ».

Baidatz a également fait des commentaires sur les alertes terroristes dans la Péninsule du Sinaï : «  A la veille de Pessah, il y a eu une véritable alerte relative à l’activité des Bédouins dans le Sinaï, ce qui signifiait des tentatives imminentes de kidnapper des Israéliens dans le Sinaï et de les livrer à la branche militaire du Hamas. Il y avait un projet de coopération entre eux. Les rapports à ce sujet ont dissuadé ces groupes de passer à l’action, mais il existe toujours un risque que des Bédouins, travaillant en tant que sous-traitants, puissent kidnapper des Israéliens et les livrent auHamas . »
Partager cet article
Repost0
30 avril 2010 5 30 /04 /avril /2010 00:49

 

 

 

Pourquoi sont-ils aussi effrayés?

      Une page se tourne entre Liban et Syrie, estime Saad Hariri


Ron Ben-Yishai analyse la situation sur le front nord, les préoccupations syriennes et libanaises.

 

ynetnews

 

Adaptation française : Marc Brzustowski

 

Pour lessakele et aschkel.info

 

 

 

 

 

29.04.10

 

 

 

Partie 1 de l’ analyse 

Le niveau de tensions sur la frontière nord demeure élevé. Elles ont gravement augmenté, lorsque des agences occidentales de renseignement ont mis en lumière l’effort syrien (encouragé et financé par l’Iran) pour équiper le Hezbollah avec des missiles Scud devant être déployés au Nord Liban. La tension sur le théâtre du nord a décliné lentement, puis s'est à nouveau brusquement ravivée, lorsqu’un journal koweitien a révélé le plan irano-syrio-hezbollahni.

 

Jamais jusqu’à cette publication, l’atmosphère dans le nord n’avait semblé recelé de telles vapeurs inflammatoires, si proche de risquer une mise à feu, en particulier, alors que le Liban et la Syrie craignent qu’Israël n’accepte pas la présence de missiles balistiques lourds entre les mains du Hezbollah et puisse passer à l’offensive, par une action militaire, dans le but de lever la menace supplémentaire que constituent ces missiles contre les civils et les militaires du front intérieur de l’Etat Juif.

 

A ce point, c’est la première fois dans l’histoire globale qu’un état souverain cède des missiles balistiques à une milice armée et même entraîne ses membres à les utiliser. Le secrétaire américain à la Défense vient juste d’avertir que le Hezbollah possède plus de roquettes et de missiles que la plupart des gouvernements au monde.

Nous pouvons dire avec une quasi-certitude, que, pour le moment, Israël n’a pas l’intention de bombarder le Liban et la Syrie. Il est presque évident que le nombre limité de missiles Scud distribués par la Syrie au Hezbollah n’augmente pas fondamentalement la menace posée au front intérieur d’Israël, du fait de l’arsenal de roquettes et missiles déjà en possession du Hezbollah.

 

Durant les dernières années, le groupe chi’ite a accumulé et préparé à l’action plus de 45 000 roquettes et missiles de tout type, mis à l’abri dans des caches fortifiées et camouflées. Selon le Hezbollah, cet arsenal comprend un petit nombre de centaines de puissantes roquettes d’un rayon d’action qui leur permet de frapper n’importe quelle zone habitée en Israël –même le sud de Dimona – et munies d'ogives pesant des centaines de kilos qui peuvent provoquer autant de dommages qu’un Scud.

 

Messages américains

 

Certaines de ces puissantes roquettes sont même plus dangereuses que les missiles Scud, parce qu’elles sont plus précises. La principale différence entre elles et les Scuds provient que, du fait de leur plus long rayon d’action (spécialement les missiles Scud D), ils peuvent être déployés dans le nord du Liban, qui est situé très loin de la frontière israélienne, rendant d’autant plus difficile à l’aviation israélienne de les prendre pour cible.

 

D’un autre côté, environ 30 minutes et peut-être plus sont requis pour préparer le Scud au lancement, puisqu'il fonctionne au carburant liquide. Durant ce temps, le missile risque d’être repéré par les moyens de renseignement israéliens et peut donc être pris pour cible de façon précise. Ce n’est pas le cas des roquettes puissantes du Hezbollah, qui fonctionnent au carburant solide et peuvent être lancés en quelques minutes, presque sans nécessiter aucune préparation.

 

La ligne rouge, c’est qu’aussi longtemps que le Hezbollah n’est pas en possession d’une large quantité de Scuds, il ne constitue pas ce que les responsables de la défense appellent “des armes rompant l’équilibre des forces”.

 Dans le but d’empêcher le nombre de Scuds d’augmenter juqu’au point de non-retour, Israël a demandé l’aide de l’Administration américaine, qui a diffusé et continue d’envoyer des messages d’avertissement à la Syrie et au Hezbollah. Au même moment, Israël fait en sorte d’envoyer des messages rassurants à la Syrie et au Liban, qui ont pour but d’empêcher un embrasement résultant d’une « erreur d’appréciation » - qui serait une situation dans laquelle la Syrie et le Hezbollah détectent des mouvements sur le territoire israélien et les interprètent comme étant des préparatifs en vue d’une frappe israélienne imminente – et qui ferait qu’ils seraient tentés de frapper les premiers.

 

 

 

C’est pour cette raison que le chef de l’Etat-Major de l’armée, Ashkenazy, le Ministre de la Défense Barak et le Premier Ministre Netanyahou ont réitéré des déclarations publiques disant qu’Israël n’a pas l’intention de frapper la Syrie et le Liban, tant que la Syrie renoncerait au transfert au Hezbollah d’armes rompant l’équilibre des forces. Cela fait tout autant référence aux missiles anti-aériens avancés qu’à une large quantité de types sophistiqués de roquettes et de Scuds.

 Ce problème est au sommet de la liste, dans l’agenda du Ministre de la Défense, lors de ses entretiens à Washington. Barak a alerté du fait que la Syrie soutient le Hezbollah avec des systèmes d’armements qui sont susceptibles de modifier cet équilibre fragile.

 

Cependant, aussi bien les gouvernements syriens que libanais ne se sentent pas, pour autant, plus détendus. La Syrie – parce que l’affaire risque de remettre en cause son rapprochement avec le Etats-Unis et contrecarrer l’arrivée d’un nouvel ambassadeur à Damas. Le Liban – parce qu’il redoute des représailles israéliennes à cause du déploiement de Scuds sur son territoire. Mais plus encore, la principale raison des préoccupations syriennes et libanaises, ce sont les évaluations qu’ils ont reçues de la part de l’Iran.

 

Qu’est-ce que l’Iran a laissé entendre à la Syrie et au Liban?

 

La conspiration iranienne

Téhéran joue sur la peur d’une frappe israélienne au nord pour promouvoir les intérêts iraniens

Publ


 

Partie 2 de l’article

 

 

Les cadres dirigeants des Gardiens de la Révolution et au sein du leadership politico-religieux en  Iran ont raconté, depuis des mois, à la Syrie d’ Assad et au Hezbollah deNasrallah ainsi qu’aux principaux responsables libanais qu’Israël projetait une attaque-surprise contre eux dans le proche avenir.

 

 Les Iraniens ont déclaré ouvertement qu’Israël a intérêt à lever la menace des roquettes et missiles posée par le Hezbollah et également par la Syrie, par une frappe préventive, mais plus que tout, selon les Iraniens, parce qu’une attaque israélienne présenterait l'avantage de gommer « la disgrâce de la défaite » de la Seconde guerre du Liban (telle que les Iraniens la perçoivent).

 

Pour renforcer cette évaluation, les Iraniens font référence aux exercices fréquents et de grande envergure auxquels se livre Tsahal sur la frontière nord. Les Iraniens ont aussi déclaré (et Nasrallah l’a annoncé publiquement) s’attendre à ce que l’offensive israélienne ait lieu durant le printemps ou l’été 2010.

 

“Les alertes” transmises par l’Iran à ses alliés disposant de frontières communes avec Israël sont motivées par un objectif stratégique : les Iraniens  feraient moins l’objet d’une attention mondiale, et celle des membres du Conseil de Sécurité pourrait être détournée du refus de Téhéran concernant le problème nucléaire et des préoccupations au sujet des sanctions contre l’Iran ; au lieu de quoi, elle serait focalisée sur la tension et les menaces de guerre, susceptibles de surgir à n’importe quel moment, entre Israël et ses voisins du Nord. Ainsi, les Iraniens peuvent gagner plus de temps, tout en espérant amoindrir la sévérité des sanctions à leur encontre.

 

Surplombant tout cela, l’attention publique étant mobilisée à restreindre les intentions d’Israël de passer à l’offensive à l’encontre de ses voisins crée une atmosphère internationale qui rend plus difficile une frappe sur les sites nucléaires iraniens – si jamais il projetait de le faire dans un avenir proche. C’est pourquoi l’Iran encourage la Syrie à renforcer ses livraisons d’armes au Hezbollah. Les protestations et les menaces diffusées par Israël et les Etats-Unis en réponse à ces transferts d’armement servent particulièrement bien les intérêts stratégiques de l’Iran.

 

Cependant, en ce moment, l’Iran n’a pas à ce point intérêt de déclencher une guerre effective entre Israël et le Hezbollah, le Liban et la Syrie. Des tensions, certes ; la guerre : pas question.

 

Cela parce que, lors d’une guerre effective, l’armée de l’air et les forces terrestres israéliennes pourraient bien détruire cet armement en missiles et roquettes du Hezbollah, ce même arsenal que l’Iran a financé et contribué à construire, dans le but de l’utiliser comme moyen de représailles contre un éventuel raid israélien contre les sites nucléaires de Téhéran. La même chose vaut pour la Syrie. L’Iran ne  souhaite pas non plus voir le Hezbollah perdre le statut dominant qu’il a acquis au sein de l’establishment politique du Liban, de sorte que les Libanais reprochent à l’organisation d’avoir ruiné leur pays.

 

Les “évaluations” iraniennes, qui sont censées servir les objectifs de Téhéran, ont reçu une écoute attentive à Damas et Beyrouth. Elles sont proportionnelles au mode de penser moyen-oriental qui voit des conspirations (et spécialement celles d’Israël) à chaque coin de rue. Lorsque l’Iran avertit ses alliés d’une intention israélienne de prendre sa revanche pour sa « défaite », cela apparaît certainement logique, non seulement aux cerclers dirigeants à Damas et Beyrouth, mais aussi à leurs peuples.

 

C’est pour cette raison que le Premier Ministre du Liban, Hariri s’est engagé à promouvoir sa cause, lors d’une campagne de lobbying et de plaintes en Europe et dans les Etats arabes, visant à prévenir « l’attaque israélienne » à cause du transfert de Scuds. Il a nié devant quiconque voulait bien l’entendre que le transfert de missiles vers son pays avait effectivement eu lieu.

 

 

 

Son activation hystérique trahit encore une culpabilité partisane, et il en sait apparement plus qu’il ne veut bien le dire. Mais cela ne l’a pas empêché d’appeler la chancelière allemande Angela Merkel, cette semaine, dans l’espoir de la convaincre que les rapports sur les transferts de Scud étaient infondés. Il recherche également un soutien à ses arguments dans le monde arabe et, dans ce but, vient juste d’assister à une rencontre avec le président égyptien Moubarak à Charm El-Cheik.

 

Moubarak s’est évertué à apaiser les craintes d’Hariri concernant les intentions israéliennes, les Allemands ont fait de même. Cela dit, Hariri n’est pas rassuré pour autant, et les vapeurs inflammatoires continuent de planer sur Beyrouth et Damas. Jérusalem, pour sa part, fait tout pour empêcher une situation dans laquelle un des camps dévale la pente dangereuse créée par les Iraniens, à cause d’une compréhension défaillante de la situation réelle. 

Partager cet article
Repost0
18 avril 2010 7 18 /04 /avril /2010 15:25

 

Alors que le front nord se réchauffe, un arsenal est découvert. Il sera intéressant de savoir s'il est était pré-positionné pour des types d'opération incluant les fameuses Brigades de "libération de la Galilée", assujetties au Hezbollah. Ou s'il s'agit vraiment d'une pure affaire criminelle... Les activités de ces groupes mixent les genres et peuvent comprendre le trafic de drogue depuis la Bekaa. 


Cache d'armes à Beit Jan
Par JPOST.FR 
18.04.10

La police a découvert un important cache d'armes à Beit Jan, dimanche. Le travail des forces de l'ordre s'inscrivait dans une campagne de grande envergure destinée à éradiquer le trafic d'armes dans le nord du pays.


PHOTO: SHIN BET , JPOST

La police de Carmiel, en collaboration avec la police des frontières, a mis la main, dimanche, sur la quantité la plus importante d'armes illégales depuis le début de cette campagne. Dans l'arsenal se trouvaient, entre autres, quatre kilogrammes d'explosifs, 17 000 balles d'armes à feu, 100 cartouches, des pétards, 2 obus de 40 mm, 20 grenades M-203 et dix grenades d'entraînement.

Des équipements militaires, tels que des vestes, des sacs à dos, des uniformes et des chaussures ont également été découverts.

Pour l'heure, trois suspects ont été arrêtés, dont un soldat. Son fusil M-16 a été confisqué. Une enquête est en cours.

Partager cet article
Repost0
18 avril 2010 7 18 /04 /avril /2010 11:58

 

 

La Syrie en ligne de mire
Par JPOST.FR 
18.04.10


Israël prévient Bashar el-Assad. Toute attaque de missiles orchestrée par le Hezbollah contre l'Etat hébreu sera suivie par une riposte directement dirigée contre la Syrie, rapportait, dimanche, le Sunday Times.


PHOTO: DR , JPOST

Selon le journal britannique, l'avertissement israélien - envoyé plus tôt en avril - a défini le Hezbollah comme étant "une division de l'armée syrienne", une branche militaire de Damas au Liban. Il aurait été délivré aux autorités syriennes via une tierce partie.

Livraison de Scuds

Par ailleurs, selon le quotidien arabe Al-Hayat, le ministre Hezbollah Nawaf al-Moussawi estime que les dernières accusations israéliennes - au sujet des intentions du groupe - s'inscrivent dans une volonté de détourner l'attention de l'échec de reprise des pourparlers avec les Palestiniens.

La semaine dernière, le journal koweitien Al-Raï annonçait la livraison de missiles Scud au Hezbollah. Israël avait alors répondu par de sévères avertissements, en cas de reprise des attaques sur le front Nord.

Partager cet article
Repost0

Traducteur/translator

 

 

France  ISREAL  English

Recherche

logo-lien-aschkel-copie-1.jpg

 

France  ISREAL  English
Traduire la page:
By
retour à l'acueil

------------------------------------- 

 

Communication and Information

 

Vous souhaitez 

- proposer un article ?
 - communiquer une info ?

Contactez la rédaction

bOITE-a-mail.jpg

-------------------------------

 

Nous remercions par avance tous ceux

qui soutiendront le site Aschkel.info

par un don

icone paypal

Paiement sécurisé


Consultez les dossiers

Archives

Mon livre d'or

 

 Livre_dor

 


 

Visites depuis la création du site


visitors counter

Catégories