Sans que cela ne nuise aucunement à la population musulmane dans le monde, les terroristes issus de cette religion « de paix » ont réussi depuis quelques décennies à transformer en casse-tête ou en cauchemar ce qui aurait dû être un plaisir, à savoir un voyage en avion. Par réaction de cause à effet, cette industrie de la mort a généré une industrie de la survie, et un combat acharné se livre en coulisses entre ceux qui veulent semer le désastre et ceux qui veulent les en empêcher. Cette lutte a entraîné l’apparition de services spéciaux de sécurité qui emploient des dizaines de milliers de personnes à travers le monde, ainsi qu’une véritable industrie des méthodes technologiques les plus avancées pour faire barrage au terrorisme. Ce dernier a aussi généré une angoisse permanente pour des millions de voyageurs dès qu’ils mettent les pieds dans un appareil, sans parler des milliards de dollars, qui seraient bien plus utiles ailleurs, dépensés pour trouver les parades les plus efficaces aux intentions maléfiques des représentants d’Allah. Rien que d’imaginer qu’en ce moment même, quelque part au Pakistan, au Yémen, en Arabie ou en Egypte, un groupe tente de trouver comment faire sauter un avion avec 300 passagers à son bord, à de quoi donner la chair de poule.
En Israël, l’un des pays les plus visées au monde par le terrorisme, on est également aujourd’hui à la pointe de la recherche dans le domaine sécuritaire, et de nombreuses entreprises israéliennes se sont spécialisées pour développer des techniques ultrasophistiquées pour prévenir un acte terroriste dès que le suspect entre dans le terminal d’un aéroport.
A titre d’exemple, la société « Nemsysco » développe un système qui pourrait faire repérer un terroriste dès l’étape du « questionnaire traditionnel » par les agents de sécurité dans les files d’attentes, en identifiant des modifications de pression des cordes vocales. Ainsi, la tension naturelle ressentie par un terroriste, qui n’est pas perceptible… à « l’oreille nue », serait détectée par un appareil ultrasensible, et l’on pourrait analyser l’état de stress d’une personne.
Autre domaine, la société – israélienne aussi – C.D.S – entend améliorer et perfectionner le système d’identification par photos et empreintes digitales, et dans lequel les agents de sécurité pourraient affiner l’interrogatoire des voyageurs suivant une base de données complète. Et surtout, il y aurait moyen de suivre les mouvements et déplacements de l’individu suspect dans tout l’aéroport.
Les nouvelles méthodes utilisées par les terroristes vont entraîner un élargissement du champ des vérifications. Dans le cas du terroriste nigérian du vol Amsterdam-Detroit, ce dernier avait déjà envoyé sa valise au check-in, et se promenait tranquillement au duty-free, avec le produit explosif sur lui. Les sociétés spécialisées vont maintenant travailler sur les moyens de mieux détecter la présence d’explosifs entre l’étape du check-in et celle de l’entrée dans l’appareil, mais durant le vol lui-même. Le terroriste nigérian était à deux doigts de réussir sa machiavélique entreprise. Dans ce domaine aussi, la société israélienne « Amos » a déjà développé des systèmes très sophistiqués de surveillance par caméras et autres détecteurs dans les terminaux, et qui pourraient désormais être étendus aux cabines des appareils afin de détecter tout mouvement suspect d’un passager.
Dans cette compétition entre terroristes et équipes de sécurité, entre ruse et technologie, il y aussi un facteur chance (ou malchance) qui peut décider du sort de centaines de passagers se trouvant entre ciel et terre. Mais l’expérience de ces dernières décennies a montré que ce sont vraiment les appareils israéliens qui sont les plus sûrs au monde.
[Samedi 02/01/2010 23:05]