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Gaza/Terrorisme - Quatrième kassam depuis ce matin sur la région du Shaar Ha Neguev/Aschkélon - Un missile grad sur Ofakim
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Gaza/Terrorisme - Quatrième kassam depuis ce matin sur la région du Shaar Ha Neguev/Aschkélon - Un missile grad sur Ofakim
Tags - Hamas, Bachar Al Assad
Le Hamas au secours de Damas - Des attentats pour faire exploser la coalition - Gil Mihaely
S’il est trop tôt pour spéculer sur la logique géostratégique à l’œuvre derrière l’attentat de cet après-midi à Jérusalem, il y a de moins en moins de doutes sur celle qui anime le Hamas : il s’agit de faire l’union sacrée du monde arabe contre Israël. On connaît le scénario, huilé comme un billard à deux bandes. En 1991, Saddam Hussein lançait des Scuds sur Israël mais la véritable cible de ses missiles était l’alliance formée par Bush père pour le bouter hors du Koweït. À l’époque, des troupes syriennes et égyptiennes sous mandat onusien se battaient aux côtés des Britanniques et des Américains et le président irakien voulait faire croire aux opinions publiques arabes que Damas et le Caire font le sale boulot des sionistes.
Aujourd’hui, il s’agit entre autres de détourner l’attention, pendant que les Occidentaux jouent contre la montre en Lybie et que les Syriens font le sale boulot chez eux où la répression a déjà fait une dizaine de morts. Ce sont les Palestiniens les plus radicaux – Hamas en tête – qui attaquent Israël avec le même but stratégique : présenter l’Etat hébreu comme le cœur des tous les problèmes et faire voler en éclats la coalition qui se bat actuellement en Libye. Quant à la tactique, elle vise à provoquer une réaction en chaîne : provocation, riposte de Tsahal (avec l’espoir d’une bavure sanglante), images choc en boucle sur les écrans, indignation en Occident et colère dans le monde arabe, écroulement de la coalition. Cela n’a pas marché en Irak mais la fragilité de l’alliance qui opère en Libye et les buts plutôt mouvants de cette intervention pourraient laisser croire aux stratèges du Hamas et autres partisans palestiniens de la lutte armée que le coup mérite d’être tenté.
Pour les islamistes de Gaza sont vitaux : si la Syrie tombe, le Hamas perdra son principal soutien dans la région et ses dirigeants devront déménager en urgence.
Fidèle à la stratégie de son père, Bachar el-Assad a un seul crédo: je nuis, donc je suis. Empêcher toute avancée et mettre des bâtons dans toutes les roues pour vendre ensuite chèrement sa « bonne volonté » – c’est-à-dire la mise en veilleuse provisoire de sa mauvaise volonté -, voilà l’essentiel de la politique syrienne depuis quarante ans. Concrètement, cela signifie étouffer le Liban, encourager le Hezbollah à se maintenir en tant que force armée, mener un jeu trouble en Irak et sponsoriser les mouvements palestiniens les plus intransigeants.
Le président syrien ne cache pas son jeu, il en est même très fier. Dans une interview accordée au Wall Street Journal quand il se croyait à l’abri de mouvements comparables à ceux qui emportaient Ben Ali et Moubarak, il a revendiqué cette politique centrée sur l’hostilité à « l’entité sioniste » conforme, selon lui, aux croyances profondes du peuple. Autrement dit, sa ligne politique repose sur la conviction que, pour les Arabes, la haine d’Israël est plus importante que l’aspiration à une vie meilleure et aux libertés civiles. C’est-à-dire exactement le contraire de ce que pensent les Occidentaux.
Dans cette perspective, la Syrie est devenue la pièce-maîtresse du dispositif iranien au Moyen-Orient et – comme l’ont prouvé récemment une belle capture de la marine israélienne et les soupçons croissants des douaniers turcs sur certains vols Téhéran-Damas – une plaque tournante dans le trafic d’armes vers le Liban et le Gaza.
Avec Assad, c’est tout l’édifice stratégique du Hamas et consorts qui pourrait trembler comme une tour de Tokyo pendant un séisme. Un changement d’enseigne en Syrie pourrait engendrer un Liban indépendant et une Autorité palestinienne libérée de la surenchère idéologique islamiste. C’est aussi l’Iran qui pourrait perdre pied en Méditerranée quelques semaines seulement après les y avoir trempés pour la première fois – lorsque les navires de guerre de la République islamique ont franchi le Canal de Suez.
Pour Téhéran et Gaza, ce scénario est un cauchemar stratégique. Il est donc urgent de provoquer Israël en espérant que la riposte sera suffisamment musclée pour donner la victoire cathodique à ces pauvres islamistes innocents victimes de la barbarie sioniste. Peu importent quelques morts, y compris dans leur propre camp : il faut à tout prix sauver le soldat Bachar el-Assad ! Quant à la liberté, Palestiniens et Iraniens la défendent avec enthousiasme en Egypte où ils ont des comptes à régler et des bénéfices stratégiques à empocher.
Quand il s’agit de leurs intérêts vitaux, c’est une autre affaire. Voilà donc Gaza et Téhéran confrontées au même dilemme que les Occidentaux, face aux révoltes du Yémen et de Bahreïn. Curieusement, j’ai comme le sentiment que les premiers ont beaucoup moins d’états d’âme que les seconds. Mais cela doit être de la mauvaise foi sioniste.
L'explosion d'une bombe en plein centre de Jérusalem résultait du travail de professionnels du terrorisme
DEBKAfile Reportage spécial 23 mars 2011, 9:58 PM (GMT+02:00)
Adapté par Marc Brzustowski
Pour © 2011 lessakele et © 2011 aschkel.info
http://www.debka.com/article/20793/
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Explosion d’une bombe à Jérusalem
La bombe qui a explosé mercredi 23 mars après-midi près de l’arrêt de bus du n°74, en face de Binyanei Har Homa à l’entrée principale du nord de Jérusalem a été déclenchée par un dispositif de contrôle. Elle a tué une touriste et blessé entre 30 et 40 passants et passagers, plusieurs gravement, sans compter au moins 20 victimes en état de choc qui ont ensuite bénéficié de soins médicaux.
Les sources anti-terroristes de Debkafile rapportent que l’attentat a été exécuté de manière professionnelle par une équipe de trois à cinq individus disposant d’un soutien local de la part de Palestiniens de Jérusalem-Est. Alors que les autorités ont cherché à rassurer la ville en expliquant qu’il s’agissait d’un acte isolé, les experts du renseignement et du terrorisme sont certains que c’est une organisation terroriste qui a entraîné activement les poseurs de bombe et qu’ils pourraient récidiver.
L’engin d’1 à 2 kg dispose dans une valise a été déclenché à l’un des carrefours les plus populeux de Jérusalem, où les taxis attendent pour convoyer les arrivées en dehors de la ville et où deux bus prennent en charge les passagers. Le site de l’attaque a dû être repéré préalablement, avec le déclencheur de la bombe attendant dans un véhicule près à démarrer à proximité, afin de déclencher le dispositif explosif au moment où l’un des bus prenait son départ et se mettre en route vers la Jérusalem arabe ou la Bande occidentale avant l’arrivée de la police. Cette méthode est typique de la période de guerre par la terreur palestinienne des années 2003-2006. La police a dressé des barrages sur l’autoroute de Tel Aviv avant de réaliser trop tard que les artificiers avaient pris la direction de l’Est.
Le matin même, deux missiles Grad fournis par l’Iran ont été tirés depuis Gaza et ont frappé Beersheva, une ville de 200 000 habitants, blessant cinq personnes et endommageant une maison, suivis par sept obus de mortier explosant dans la région des fermes d’Eshkol, plus près de la frontière, une zone (de 200 000 résidents) encore secouée par les 50 obus de mortier lancés en un seul tir de barrage samedi dernier. On a découvert que certains étaient porteurs de phosphore de façon à accentuer les risques de brûlures par effet inflammatoire.
Durant la nuit, deux missiles Grad ont pris pour cible les ports importants des villes d’Ashkelon (170 000 habitants) et d’Ashdod (200 000 habitants).
Dans la nuit de mercredi, après avoir subi les tirs de 20 missiles perfectionnés et obus de mortier durant la journée, les trois-quarts des un million d’habitants se sont vus conseillés de rester près des abris à l’épreuve des bombes et des pièces sécurisées.
Des incidents terroristes sont advenus également Durant les dernières semaines dans d’autres endroits. Plus tôt ce mois-ci, deux Palestiniens ont assassiné cinq membres d’une famille israélienne durant leur sommeil à Itamar dans la Bande Occidentale. Ces assassins n’ont pas encore été capturés. Un engin explosif a été neutralisé à temps, camouflé dans un sac poubelle, dans une grande rue très fréquentée de Jérusalem.
Beersheva et Ashdod ont fait fermer toutes les écoles jusqu’à la fin de la semaine. Leurs dirigeants exigent une action pour mettre un terme aux agressions constantes contre leur population, soutenus par plusieurs cabinets ministériels qui poussent dans le sens d’une campagne d’envergure contre le Hamas.
Des cercles de plus en plus étendus de mécontentement sont dirigés contre l’attitude tempérée de sang-froid apparent du Ministre de la Défense, Ehud Barak ( : « le Hamas ne souhaite pas plus une véritable escalade que nous ne le souhaitons nous-mêmes ») et son influence sur le Premier Ministre Benyamin Netanyahou, qui a repoussé la date de son séjour à Moscou de quelques heures pour consultations au sujet de l’attentat à la bombe de Jérusalem.
L’attentat a rappelé aux Yérosolomitains les années de terreur palestinienne meurtrière qui a emporté des centaines de civils, dans les bus, les cafés, les rues, les écoles, les marches, les grands magasins et lors d’évènements festifs, dans tous les recoins de la ville. Les deux dernières années ont été relativement calmes et comme délivrées de ce genre d’attentats. Le dernier outrage majeur palestinien dans Jérusalem a été le massacre au séminaire de la Yeshiva du Mercaz Harav, le 6 mars 2008. Plus tard, les Palestiniens ont tenté d’utiliser des tractopelles servant à la réfection des voies de circulation.
Gaza/terrorisme - Roquette Qassam au sud d'Aschkélon - Le quotidien difficile de la population du Neguev.
Une roquette Kassam a explosé ce matin au Sud d'Aschkélon, les FDI ont fait le constat qu'il n'y a ni blessé, ni dégât.
Hamas : "nous nous réjouissons de l'attentat de Jérusalem, mais, malheureusement, nous n'en sommes pas les auteurs" |
Plusieurs dirigeants du Hamas ont nié toute responsabilité dans "la préparation et l'exécution" de l'attentat de Jérusalem hier après-midi. Un des porte-paroles du mouvement terroriste a déclaré : "Nous nous réjouissons de cet attentat, mais, malheureusement, nous n'en sommes pas les auteurs |
Voici à quelle sorte de pourriture terroriste nous avons à faire !
La vie continue normalement dans le pays pendant que les habitants des localités du sud du pays doivent, à chaque instant, courir dans les abris après l’alerte annonçant le tir d’une roquette ou d’un obus. Une routine difficile à vivre pour cette population qui ne sait plus ce qu’est le calme et la sérénité depuis que les terroristes de la bande de Gaza les harcèlent par leurs nombreuses attaques.
Comme on le sait, les tirs se sont multipliés ces derniers jours, et les roquettes ont atteint cette fois les villes d’Ashdod, d’Ashkelon et de Beershéva. Mercredi matin, à 5h30, la population a déjà dû aller se mettre à l’abri et l’explosion qui a suivi a fait cette fois un blessé, fort heureusement légèrement atteint. 35 personnes étaient en état de choc.
Vu la situation, un assistant social, Michael Ohayon, a obtenu l’autorisation d’aller travailler, malgré la grève observée depuis plus d’une semaine par toute la profession, pour s’occuper des personnes traumatisées par ces nouvelles attaques. Plusieurs de ses collègues sont allés s’occuper de personnes âgées à leur domicile.
Le maire de Beershéva, Roubik Danilowitz, a décidé, en accord avec les services de sécurité, de suspendre les cours dans les écoles et les jardins d’enfants jusqu’à vendredi. Toutefois, l’université Ben Gourion est restée ouverte et fonctionne normalement. La même décision a été prise à Ashkelon. La Défense passive, de son côté, a recommandé aux maires des localités de la région de ne pas interrompre les activités scolaires.
La police du district sud a renforcé ses effectifs. Il ne faut pas oublier que 69 roquettes Grad, Kassam et obus de mortier, se sont abattus dans le secteur depuis dimanche. Et depuis le début de l’année, on en compte 109 qui ont blessé 41 personnes.
Hamas, Jihad, terrorisme, palestiniens
Le Serment du Hamas à Khartoum : faire oublier la Libye/Syrie, maintenir l’attention médiatique, creuset de la Cause et entraîner l’Egypte à sa suite.
par Marc Brzustowski
Pour © 2011 lessakele et © 2011 aschkel.info
Depuis le 6 mars 2011, nous (Aschkel et moi-même) n’avons cessé d’insister sur le tournant stratégique menant droit au risque de nouveau Jihad, relancé lors de la « Conférence pour al Qods » à Khartoum, en présence de Youssouf al Qaradawi, Khaled Meshaal et Mohammed Sayyed du Hezbollah. On y aurait décelé la présence des services secrets des Pasdaran iraniens supervisant le sens à donner, par détournement, au vent des « révolutions arabes ».
>Soudan - repaire de génocidaires à la 8ème conférence pour la fondation d'Al Quds (Jérusalem)
>HAMAS et Al-Béchir du SOUDAN - Le Jihad contre Israël, ciment de l'unité palestinienne
Effectivement, depuis, avec l’arraisonnement du Victoria par les Commandos du Shayeret 13, on ne compte plus les convois d’armes interceptés au Soudan, en Egypte, en Turquie, théoriquement à l’intention des Jihadistes de Gaza. Tout cela sentait très fort les préparatifs de nouvelle guerre.
Le déroulement des évènements internationaux, la focalisation de l’attention publique sur l’intervention militaire en Libye, les manifestations en Syrie, semblent avoir sonné l’hallali pour le déclenchement de l’offensive.
S’appuyant sur les justifications incessantes de Mahmoud Abbas et son incitation permanente au meurtre, depuis 2009, pour ne pas reprendre les pourparlers de paix, il fallait d’abord frapper les imaginations de stupeur par les 5 crimes odieux d’Itamar, contre la famille Fogel.
Ce sont ensuite les villes côtières et désertiques en proximité de Gaza, Ashkelon, Ashdod, Beersheva qui ont constitué les premières cibles, dans un contexte rappelant dangereusement que « Plomb Durci » était loin d’avoir achevé son travail de rétablissement de la dissuasion.
Mais, but ultime de la rhétorique génocidaire, c’est le cœur que le Jihad glocal incarné par les séides irano-égyptiens du Hamas veut frapper : Jérusalem. Aujourd’hui, une femme de 60 ans a trouvé la mort, 5 personnes au moins sont dans un état critique, 26 autres blessées. Un tel phénomène ne s’était pas produit dans la capitale réunifiée d’Israël depuis le 6 mars 2008, date de l’attentat à la Yéshiva du Mercaz-Harav, qui avait fait 8 morts parmi les étudiants.
Que doit penser la conscience du monde de ce détournement terroriste du train de l’histoire vers la « démocratisation » ? Israël doit-il hésiter une seule seconde à détruire un à un tous les foyers bactériens qui sèment le vent du Jihad, au moment où d’autres espéraient déposer les tyrans, abattre leurs statues et ouvrir une nouvelle page de la situation au Moyen-Orient?
Mahmoud Abbas, le « modéré » a décidé de se tourner vers le Hamas et de lui proposer de se « réconcilier », mais avec le sang pas encore séché de qui ? Il a délégué le négociateur Nabil Shaat, un professionnel du « processus de paix » fondu aux discussions avec Jérusalem pour trouver un terrain d’entente avec les frères jihadistes. Ce pacte a-t-il été signé à Itamar, sur la tête de 3 enfants juifs et de leurs parents ?
Abbas peut-il ignorer qu’il n’a rien d’autre à offrir à ses vis-à-vis que de fermer les yeux sur leur projet de relancer la 3è Intifada, scellé à Khartoum, en présence de non-nationaux palestiniens et au service de causes externes : comme celles du Soudan, de la Syrie et de l’Iran, avec la bénédiction du « très modéré » Youssouf al Qaradawi, celui-là même qui prêche les attentats-suicides sur Al-Jazeera depuis des décennies ?
Israël doit dire, haut et clair, que, tout comme le Tyran de Tripoli, on doit mettre un terme à la tyrannie du Hamas sur la cause arabe et palestinienne, sans quoi ni l’une ni l’autre ne connaîtra jamais, ni les joies de la démocratie, du pluralisme et encore moins n’appréciera les petits bonheurs quotidiens de la paix.
Jérusalem doit présenter la réalité au monde : un noyau dur d’extrémistes veut tenir le sort des peuples et le dénouement de l’histoire au creux de sa main, en déclenchant des attentats en Israël et dans le monde entier. Le Hamas, le Jihad islamique, inféodé à Téhéran et ceux qui les commanditent depuis Khartoum, Damas et Le Caire ont, d’ores et déjà, décidé que le destin de l'Orient leur appartenait, contre les aspirations des peuples et qu’eux-seuls devaient donner le tempo des évènements à suivre en cascade.
A la même heure, l’Algérie s’embrasait pour conquérir sa liberté. Au moins une centaine de manifestants, dont un bébé de sept mois, étaient blessés à balles réelles et lacrymogènes à Alger. Un jeune de 16 ans a eu l’œil crevé par une balle en caoutchouc. Le sort de Mouammar Kadhafi n’est toujours pas prêt d'être réglé, on ne dispose pas d'un Etat-Major coordonné pour ce faire. Trois personnes ont été tuées, lors de funérailles, près d’une mosquée à Deraa, en Syrie et de nombreux échanges de feu ont été tirés, avec la présence des escouades dites « anti-terroristes » syriennes, dans cette ville frontalière. Car réclamer sa liberté, voilà qui est "terroriste" pour le clan des faiseurs de guerre. Et Bachar al-Assad a limogé son chien, le gouverneur, accusé d'avoir la rage.
Les Palestiniens, quant à eux, ne renonceront jamais à la violence ni au terrorisme qui sont toutes deux, sage-femme et mère porteuse de leur cause. L’invitation de Mahmoud Abbas, courtisan du Hamas, au Quai D’Orsay, par Alain Juppé et François Fillon, ce même jour, tombe comme un pavé dans un jardin ensanglanté et laisse entrevoir que la diplomatie occidentale n’a toujours rien appris des conditions initiales susceptibles de conduire le Moyen-Orient vers une ère de renouvellement des comportements, qui soient, un jour, enfin, propices à la paix.
Gaza/terrorisme - 5 obus de mortiers dont certains contenant du phosphore sur le littoral d'Aschkélon -Rappel du cycle de la terreur depuis Samedi
Par Aschkel
http://www.ynet.co.il/home/0,7340,L-8,00.html
Les sapeurs ont examiné les obus de mortiers tirés sur le littoral d'Aschkélon, certains d'entre eux contiennent du phosphore. Le phosphore est une arme interdite en vertu du droit international
Rappel depuis Samedi
Attentat à Jérusalem
16.57 une femme est décédée
Une explosion a ébranlé la capital près du Centre Convention de Jérsalem, le MDA déclare 1 entre a vie et la mort, 3 dans un état désespéré, 10 blessés modérés à graves et une trentaine de blesses légers.
Omri Efraim
Adapté par Marc Brzustowski
Pour © 2011 lessakele et © 2011 aschkel.info
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http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-4046677,00.html
Une explosion est survenue près d’un arrêt de bus, mercredi, en face du Centre (commercial) Convention de Jérusalem. Les forces d’intervention et de premiers secours du Magen David Adom ont fait mention d’un évènement entraînant des dommages massifs et les ambulances ont été dépêchées sur place.
Jusqu’à présent, les infirmiers déclarant 1 mort, 3 dans un état désespéré, 10 blessés modérés à graves et une trentaine de blessés légers sur les lieux.
La police affirme que l’explosion a été provoquée par un engin explosif place dans une cabine téléphonique près de l’arrêt de bus, et qui a, plus tard, été retrouvé à proximité. Les officiers sont à la recherche d’autres engins supplémentaires tout en tentant d’éloigner les passants de la scène, hurlant que cela peut encore être dangereux.
L’explosion a eu lieu autour de 15h. De premiers rapports ont prétendu qu’elle avait eu lieu dans un bus. Un lecteur d’Ynet a écrit un e-mail d’alerte : « une puissante explosion a été entendue dans le centre de Jérusalem. Une minute après, on pouvait entendre de nombreuses sirènes.
Le MDA a déclaré que plus de 20 personnes avaient été évacuées vers l’hôpital, trois dans une situation grave et dix souffrant de blessures modérées. Les autres sont légèrement blessés.
Ronen Medzini a contribué à ce reportage
Retransmission en direct de la scène de l'attaque (avec la permission de Channel 10)
Gaza - Les agressions terroristes du 'Hamas transformées pour la propagande en agression de l'aviation israélienne. Elaboration d'un mensonge pour les dupes occidentales
Par Aschkel
© 2011 www.aschkel.info
Je garde ce document bien précieusement. Vous êtes témoins !
Depuis les révolutions dans le monde arabo-musulman les sanguinaires de la bande de Gaza sont assez furieux de perdre la vedette de "la victime" idéale.
c'est une des raisons !
Non seulement les terroristes envoient des projectiles dans le seul but de tuer des civils israéliens, et lorsque l'armée israélienne pour défendre ses citoyens riposte et cible les infrastructures terroristes ils disent envoyer des roquettes en réponse à l'agression du peuple palestinien par les "sionistes".
le djihad islamique (Branche armée du fatah - parti d'Abbas) fait de la surrenchère sur ses petits copains. Les brigades d'Al-Qods veulent frapper plus loin à l'interieur du territoire israélien- Leur porte parole Abou Ahmad a déclaré que les cibles telles que Sdérot et Aschkélon sont dépassées. Il n'ya plus de ligne rouge tant que l'ennemi ne respectera pas les résolutions et les chartes de l'ONU.
Vous avez bien lu, leur charte a eux préconise la destruction de l'Etat d'Israël, civils inclus.
Ces terroristes lanceront des roquettes Israêl ripostera et les occidentaux recommenceront leur sérénade avec leur rapport abjecte.
Les terooristes considèrent chaque civil israélien comme une cible à détruire, et comble de la haine préparent de jolis tableaux pour les dupes occidentales.
Le 'hamas et autres factions terroristes ciblent intentionnellement des civils, des quartiers d'habitation dans les villes, des jardins d'enfants, des kibboutzim.
Aucune action de l'Armée israélienne n'est menée si ce n'est en représailles des tirs aveugles et abjectes des terroristes.
Les tirs de l'armée israélienne sont étudiés et ciblées au millimètre pour éviter toutes pertes civiles.
Lors de certaines représailles l'armée israélienne envoie des messages à la population en arabe pour les prévenir de se tenir éloignée des cibles définies. L'armée israélienne ne tire pas sur des civils mais sur des objectifs et infrastructures terroristes.
Il arrive qu'il y ait des victimes collatérales qui ont l'a vu sont souvent utilisées comme boucliers humains par les terroristes.
Souvenez-vous de l'infâme rapport Goldstone qui avait pris en compte des témoignages des activistes du 'Hamas.
Témoignages démenti par le ministre de l'intérieur du 'Hamas Fathi Hamad lui-même
Voici ci-dessous un rapport publié par les brigades el Qassam branche militaire du 'Hamas qui affirme cibler des bases militaires israéliennes.
Ces "bases militaires" sont des quartiers d'habitation, des zones civiles.
Alors bien sur présenté dans un joli tableau, il sera facile ensuite de délivrer ces documents mensongers à n'importe quel observateur dupe envoyé par n'importe quelle officine de l'ONU.
Military Communiqué
E.Q.B. fired (33) mortars at Zionist military bases near Gaza
Al-Qassam Brigades is declaring its responsibility for the following operations as a response to Zionist aggression on the Palestinian civilians:
Day: Saturday Date: March 19th, 2011.
Time | Mission | Target |
8:30 | Ten Mortars | Military Base "Sofa" |
8:40 | Seven Mortars | Military Bases "Sofa- Third Eye" |
8:40 | Eight Mortars | Military Bases "Al Faraheen-Kesufeem" |
8:40 | Eight Mortars | Military Base "Nahal Oz" |
These operations are part of the repelling operations against the occupation assaults on Gaza Strip and West Bank, and as a response for the ongoing aggression against Palestinian people.
Ezzedeen Al-Qassam Brigades
Information Office
March 19th, 2011
Gaza - Histoire de meurtre entre "amis"
Par David Goldstein
Après avoir tiré 54 obus de mortier ce Shabbat sur les habitants proches de la frontiere avec Gaza, puis 2 roquettes sur Ashkelon dimanche, et une sur Beer sheva, 2 roquettes de longues portée sur Ashdod cette nuit (les roquettes sont tombées au sud d'Ashdod, dans un terrain vague ne provoquant ni blessés ni dégâts). Alors que les alarmes ont également retenti dans les villes de Gan Yavné et Kiriat Mala'hi cette nuit, les tirs ont repris ce matin du 23 mars 2011, a l'aube, avec de nouveau un missile Grad tire sur la ville de Beer sheva, provoquant l'annulation des cours dans cette ville.
C'est la première fois depuis l'opération plomb durci que les roquettes atteignent Ashdod. C'est aussi la premiere depuis Oferet itsouka que les tirs palestiniens atteignent directement ces grandes villes israeliennes sans passer par les pauvres villes martyrs de Sderot, Netivot,...plus proches de la bande de Gaza.
La question n'est pas de savoir si c'est bien ou non, la question est de savoir comment en deux ans les groupes terroristes ont put evoluer de telle facon qu'ils arrivent a tirer plus loin et plus precisement qu'avant l'operation israelienne dans la bande de Gaza !
Il faut bien sur voir ici la preuve que malgre le blocus israelien sur cette zone, le traffic d'armes va bon train. Il faut bien sur comprendre pourquoi il est important de continuer plus intensement encore ce blocus. Quand serait il de notre region si les armes iraniennes arrivaient a bon port ? Bien sur que les degats seraient plus important en Israel, les regions touchees seraient plus nombreuses et les degats plus importants, mais surtout cela ne laisserait pas d'autre choix a Tsahal que de raser la bande de Gaza afin d'eliminer definitivement les groupes terroristes.
Comme tout le monde le sait, cela se ferait aussi et surtout, au frais de la population civile !
Hier soir sur les ondes de la radio israelienne Reshet bet, les specialistes annoncaient que les tirs de missiles Grad n'etaient pas l'oeuvre du Hamas mais de groupes rivaux tel que le Djihad islamique.
D'apres ces memes specialistes, le Hamas n'est, pour l'instant, pas interesse par une escalade de la violence avec Tsahal mais est en conflit avec des groupes concurrents qui veulent briser le statuquo actuel et reprendre la lutte armee contre l'Etat hebreu. Ces luttes internes au sein des nazislamistes gazaouites expliqueraient donc la reprise partielle de la violence palestinienne contre Israel. Ainsi, ces memes specialistes nous expliquent que c'est pour tenter de convaincre et de contenir la concurrence djihadiste, que le hamas aurait tire les 54 obus de mortier sur Israel samedi.
Une sorte de gage a la folie meurtriere...
D'autres specialistes nous disent aussi que le massacre d'Itamar aurait ete organise par Mahmoud Abbas avant sa visite dans la bande de Gaza, en gage aussi, donne cette fois au hamas comme preuve de la perseverance du Fatah dans le combat contre "l'ennemi sioniste" !
Impressionnant donc de voir combien les palestiniens dit moderes, extremistes ou ultra-extremistes sont tous d'accord entre eux quand il s'agit de tuer du juif. Triste de constater qu'en fait le sang juif est le seul ciment de cette proto-societe palestinienne.
Pendant ce temps, ce sont les nouveaux "barbares" iraniens, syriens et nasralliens qui se frottent les mains. Leur plan diabolique est en marche et le monde continue de se voiler la face.
Les rois du terrorisme international (en concurrence directe avec Al qaida) continuent leurs efforts humains et financiers pour rearmer le Hamas. La derniere affaire en cours etant l'interception par la marine israelienne du navire "Le Victoria", charge d'armes destiner au Hamas. Mais ces efforts sont multiples et sont permanents, malheureusement il semblerait qu'Israel n'ai pas atteint le sans faute sur ce dossier.
A mes yeux il est evident que le but ultime de l'slamisme mondial est de surarmer la bande de Gaza, d'entamer le combat avec Israel afin de nous pousser a intervenir avec force en tuant un maximum de civils. Un maximum inacceptable par tous, meme les israeliens, permettant ainsi une action internationale telle que celle qui se deroule actuellement en Lybie.
Ceux qui connaissent bien ce conflit ne seront pas surpris de cette conclusion, mais il est toujours bon de s'horrifier un peu.
Ainsi, apres avoir ete ecoeure de constater combien il etait facile pour nos ennemis de massacrer des juifs (le massacre de la famille israelienne Fogel d'Itamar en est la preuve absolue), permettez moi l'horreur de constater que nos voisins arabo-musulmans sont prets a faire massacrer des millions de palestiniens pour tenter de se debarasser d'Israel !
Si ce constat est inutile, il nous permettra peut etre de rester humains sur cette terre, fideles au message biblique et conscients du sens donne a la phrase de Golda Meir :
"Nous pouvons pardonner aux palestiniens de tuer nos enfants, mais nous ne pourrons jamais leur pardonner de nous obliger à tuer leurs enfants. La Paix viendra quand les Arabes aimeront leurs enfants plus qu'ils ne nous haïssent."
David Goldstein.
L'escalade des tirs de missiles et obus palestiniens sur les villes israéliennes accentue les tensions
>Israel - Escalade dans le sud - Un deuxième grad sur la ville de Beer-Sheva - Vidéos
DEBKAfile Reportage spécial March 23 mars 2011, 9:57 AM (GMT+02:00)
Adapté par Marc Brzustowski
Pour © 2011 lessakele et © 2011 aschkel.info
http://www.debka.com/article/20792/
Les victimes des tirs de roquettes du Hamas sur Beersheba
Les missiles, roquettes et obus de mortiers palestiniens tirés depuis la Bande de Gaza pleuvent de façon incessante sur les villes et villages israéliens durant les dix derniers jours. Le maire de la ville de Beersheva du Neguev a ordonné le maintien de la fermeture des écoles, ce mercredi 23 mars, après que le second tir de roquette lourde Grad (fournie par l’Iran) en un mois ait touché un secteur résidentiel, blessant cinq personnes, et provoquant de sérieux dégâts. A peine s’était-il mis à parler qu’un second Grad a explosé dans Beersheva. Durant la nuit, deux Grad ont pris pour objectif les villes portuaires d’Ashkelon et d’Ashdod. On a demandé à la population des villages adjacents de Gaza de rester près des abris, mardi soir, après qu’ils aient subi quelques 56 salves de mortier en trois jours. Mercredi matin, sept autres ont explosé dans la région des fermes d’Eshkol, mettant en évidence l’absence de préparation du Commandement intérieur de Tsahal à des attaques répétées en prolifération.
Les Palestiniens affirment qu’ils veulent punir Israël d’avoir répliqué à la source des précédentes attaques palestiniennes [les zones de lancement de qassam et Grad], certaines ayant été admises par le Hamas, d’autres par le supplétif de l’Iran, le Jihad islamique. Mardi, l’un des quatre obus de tank israélien a frappé un bâtiment palestinien près d’une zone de lancement d’un mortier et a tué trois civils, dont un adolescent et un jeune garçon, en même temps que l’un des servants du mortier. Israël a présenté ses excuses pour les morts de civils, insistant sur le fait qu’ils étaient accidentels, alors que les terroristes Palestiniens de Gaza prenaient délibérément pour cibles les civils israéliens. A la suite de cet échange de tirs, les responsables des villes et villages israéliens prises pour cibles ont manifesté haut et fort en faveur d’une nouvelle opération « Plomb Durci », constatant clairement que l’action militaire de réplique limitée n’était d’aucun secours.
Samedi dernier, le 19 mars, Mahmoud Abbas, le Président de l’Autorité Palestinienne base à Ramallah, a déclaré lors d’une interview : « Les Israéliens devraient négocier la paix avec moi ». Balayant d’un revers de manche le fait qu’il ne peut parler que pour le segment de la population palestinienne de la Bande occidentale- et non à la place des Gazaouïtes qui ont renverser le Fatah auquel il appartient- il a ajouté : « Laissez-moi faire avec le Hamas ». Le Hamas a répondu à cette prétention en intensifiant ses attaques contre Israël pour souligner son indépendance à l’égard du Président de l’AP. Bien que le Fatah d’Abbas soit à la recherche d’une réconciliation –jusqu’alors introuvable- avec son rival, par le biais de pourparlers secrets conduits par Nabil Shaat, le Hamas, se sentant bien plus renforcé par le succès des Frères Musulmans en Egypte, joue gros pour faire de même. Les dirigeants du Hamas à Gaza et Damas sont plus intéressés à peser de tout leur poids aux alentours, de façon à ce que tous les extrémistes les perçoivent et les montrent en exemple comme seuls capables de s’en prendre à Israël.
Lorsqu’il répond aux plaintes d’Israël, il convient parfaitement au Hamas de faire porter le blâme sur la milice supplétive de l’Iran, le Jihad islamique, pour les tirs massifs de roquettes. Cela dit, les sources militaires de Debkafile sont en mesure d’affirmer que le Jihad ne frappe qu’avec la totale bénédiction du Hamas.
Plus difficile à comprendre est l’échec du gouvernement Netanyahou à faire taire les auteurs de cette punition collective incessante qui se poursuit depuis Presque une décennie, excepté durant l’opération limitée « plomb durci » de 2008-9, qui a également été interrompue prématurément sous la pression internationale orchestrée par les Palestiniens et leurs fervents supporters.
Les dirigeants israéliens continuent de prétendre qu’”aucun côté ne cherche l’escalade” – ce que plus personne ne croit réellement.
Ils n’apprécient pas non plus à sa juste valeur que l’attaque militaire mise en œuvre par les nations occidentales contre le Régime de Mouammar Kadhafi a changé les règles du jeu dans la façon de traiter avec les dirigeants nuisibles. Plutôt que de viser le haut de la pyramide du Hamas, Israël n’a, jusqu’à présent, que marginalement durci ses contre-attaques contre ses troupes, juste de quoi obtenir un redoublement de frappes plus lourdes de missiles palestiniens contre leurs propres villes.
Mardi, un obus de tank israélien a tué deux garçons palestiniens âgés de 11 et 16 ans et un homme d’une cinquantaine d’années, à la suite d’une série d’attaques de mortiers et missiles palestiniens contre leurs voisins israéliens. Plus tôt ce jour-même, une frappe aérienne israélienne a éliminé quatre membres d’une unité palestinienne sur le point de lancer un missile. D’autres équipages palestiniens ont répliqué rapidement par des attaques qui ne sont pas tombées loin de Beersheva et des villes côtières israéliennes, en utilisant des roquettes Grad, qui ont une portée d’au moins 40 kilomètres.
La toute dernière escalade d’une longue campagne palestinienne, depuis Gaza, contre Israël, galvanisée par la réussite du soulèvement en Egypte, a été ponctuée par l’interview de Mahmoud Abbas à la Télévision israélienne – un geste public accompagné par sa démarche secrète consistant à faire la cour au Hamas.